« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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Mais je te jure, je suis sûre qu'on est la même personne.
Haha, ouais peut être...
J'ai la même apparence que toi à mon âge...
Arrête, ça me veillit...
Le Red Hair Cops travaille en duo.
Le Red Hair Cops, c'est comme le pain et le nutella.
C'est pas bon l'un sans l'autre.
En duo, on est comme Laurel et Hardi.
Non...On est comme Anya et Carrie.
| Conte : Unforgettable | Dans le monde des contes, je suis : : Carrie Wells elle-même
Je ne pensais pas que je passerais l’entièreté de mon après-midi à courir après un voleur. Je faisais des choses plus intéressantes dans notre monde mais il faut bien faire ce qu’on a sous la main n’est-ce-pas. Puis bon, je n’étais pas seule. J’étais avec Angelika, elle travaillait avec moi sur cette affaire de vol. Ce n’était pas un voleur de sac à main ou de légumes, c’était un voleur qui s’était introduit dans la cave de la mairie pour voler les objets qui y sont enfermés. J’avais vu son visage et je me souvenais de lui, comme s’il était devant moi. Mais alors que je courrais, il monta dans une voiture et je n’eu pas le temps de l’arrêter.
Tirant sur la voiture, je ne pu l’arrêter et me maudissant intérieurement, je vins à ranger mon arme avant de poser mon regard sur Angelika qui venait de me rejoindre. On se trouvait au bord des rives de Storybrooke. Mon regard se balada sur les rives avant que je ne me stoppe et que je ne revive ce maudit souvenir. Un souvenir que je rêverais de pouvoir oublier mais qui demeurais là, dans ma tête. Mes jambes flagellent et je reviens dans la réalité avant de ramener mon regard sur la blonde.
« Je… » puis-je dire simplement.
crackle bones
Angelika B. Beresford
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"Donc on est bloquée dans un monde que tu ne maîtrise pas ? On va bien se marrer."
"Tu sais bien que les plus beaux chapitres de ta légende tu ne les as jamais écrit seul, n'est-ce pas Sherlock Holmes ?"
| Conte : Bernard & Bianca | Dans le monde des contes, je suis : : Miss Bianca
Depuis que Sherlock travaillait comme détective consultant pour la police de Storybrooke, les enquêtes ne manquaient pas d’affluer, me poussant à réduire encore mes heures de travail à l’hôpital de Storybrooke. Petit à petit, je m’écartais de mon rôle de médecin pour reprendre celui de détective que j’avais dans le Monde des Contes. La petite souris Bianca resuicidait d’entre les morts et renouait avec son addiction aux enquêtes et aux grandes aventures. Tout du moins, c’était ce que le papier disait ! La réalité était parfois bien moins excitante que celle que je vivais autrefois. La police nous avait appelé le matin-même dans notre appartement de Baker Street ! Elle souhaitait requérir les services de mon associé pour un vol important à la mairie. Mon ami étant par essence-même un intellectuel un peu imbu de sa personne, le convaincre de l’intérêt d’une pareille enquête n’était pas chose aisée. L’inspecteur insistant, il finit par me désigner comme son ambassadrice, se préoccupant peu de savoir si j’avais d’autres projets pour la journée !
C’est pourquoi je me retrouvais à travailler en duo avec Carrie Wells, un jeune lieutenant que je n’avais encore guère eu le temps de rencontrer. Notre enquête avançait bien et nous savions qui était notre voleur de haut standing ! Reconnaissant son visage, Carrie s’était immédiatement lancé à sa poursuite lorsqu’elle l’eut reconnu. Malheureusement pour nous, le voleur s’enfuit au volant d’une voiture. Par reflexe, je sortis de la poche de ma veste un petit calepin et notait avec attention le numéro de sa plaque d’immatriculation. A défaut de pouvoir le capturer tout de suite, nous pourrions toujours le faire plus tard !
« Oh zut ! Je vais prévenir nos collègues en patrouille pour qu’il le prenne en chasse ! »
Je contactais alors mes autres collègues, leur demandant de nous prévenir si jamais ils retrouvaient une voiture correspondant à cette description. Puis, portant enfin mon attention vers Carrie, je la dévisageais avec inquiétude. Le visage de la policière était alors livide et elle semblait perdue dans ses pensées. Que lui arrivait-il exactement ? Était-ce son erreur qui la mettait dans cet état ?
« Ne vous inquiétez pas, Carrie ! Nous parviendrons à l’arrêter à un moment ou à un autre ! »
Cependant, il y avait quelque chose en moi qui me faisait penser que sa réaction n’avait rien à voir avec cette affaire. Après tout, elle n’était pas à son coup d’essai et elle avait dû se retrouver bien souvent dans ce genre de situations ! Que se passait-il vraiment ? Je me rapprochais alors d’elle.
« Carrie est-ce que tout va bien ? »
acidbrain
Carrie Wells
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« Quand je t’ai dit que j’avais pas besoin de toi, pas besoin que tu m’protèges, c’était parce que je… mais j’ai besoin de toi, j’ai besoin de toi tout le temps. J’ai besoin de toi à mes côtés. »
Il me sourit.
« Le jour où t’as r’fait irruption dans ma vie… » « Eh attends ! C’est toi qui est revenu dans la mienne. Dans mon p’tit appart du Quinn’s, cinq heures du mat’, tu tapais comme un sourd, boum, boum, boum. »
Il fronce les sourcils.
« J’ai été tout en douceur. » « J’ai crié « Hé, pas la peine de défoncer la porte, j’ai entendu. » » « Moi aussi, j’suis heureux de te retrouver. »
Je le regarde, sans réellement comprendre. Qu’est-ce-qu’il insinue là ? Il pose ses mains sur mes épaules, avec douceur.
« Je t’aime. »
Hein ?
« Quoi ? » « Oui, je sais que ça t’fais peur, mais ça m’est égal puisque c’est la vérité. »
Je tente de rompre son regard. Si seulement il savait…
« Mm…Mais… » murmurais-je simplement.
« Je t’aime, j’t’ai toujours aimé et je t’aimerais toujours. »
Je le regarde sans rien dire. Comment réagir face à ça ? Je l’aime aussi, comme une folle, il fait partit de moi, on forme un tout tous les deux, une équipe mais avant tout, quelque chose de plus fort que tout ça. On s’aime, il m’aime et je l’aime mais il faut croire que le destin ne voulait pas que tout ça soit réel.
« Ouahou, c’est … j’aurais jamais cru avoir assez de force pour m’aventurer à nouveau dans cette voie ou admettre ça mais je… »
PAN.
Il s’effondre sur le sol. Je me frotte le visage. Il est couvert de son sang. Je me rends compte de ce qu’il se passe.
« Al ?… AL !!! » paniquais-je « Al ! Regarde-moi ! »
J’appuie sur sa blessure alors qu’il saigne abondamment.
« J’ai besoin de toi, tiens-bon. T’endors pas, garde les yeux ouverts. Al, non je t’en prie, fais un effort, Al… »
Je retiens mes larmes, mes yeux sont rouges.
« APPELEZ UNE AMBULAAANCE ! »
Je tente de stopper la blessure.
« Al, restes avec moi, restes avec moi, no…non. Al, non, t’endors pas, j’t’en prie Al… »
******
« Carrie, est-ce-que ça va ? »
Je ramène mon regard vers Angelika et retiens mes larmes avant de ranger mon arme, me rendant compte que je n’en aurais plus l’utilité. Je voyais que la blonde s’inquiétait pour moi, peut-être que ça me ferait du bien de parler…de parler de ce souvenir, de cette douleur incessante qui me broie le coeur chaque jours qui passent quand je sais que je n’ai pas pu le sauver. Ce souvenir qui me hante jour et nuit, ce souvenir qui m’empêche de vivre, qui m’empêche de dormir. Qui m’empêche d’accepter sa disparition.
Je passe ma main dans mes cheveux roux avant d’essuyer les légères larmes qui m’ont échappées en revivant encore et toujours cet affreux souvenirs. Je pose mon regard sur Angelika et prends finalement la parole pour briser le silence et lui expliquer ce qu’il se passe.
« Je suis hypermnésique, je suis apte à me souvenir de tout. Chaque détails, chaque image, tout me reste en mémoire, je n’oublie rien. Je n’oublies ni les bons, ni les mauvais souvenirs. Et il s’avère que mon hypermnésie me permets de revivre les souvenirs comme si je regardais un film et le fait de me trouver au bord de l’eau m’a rappelée un souvenir que j’aimerais oublier. Un souvenir qui me hante jour et nuit… » expliquais-je à la jeune femme « Avant que le Sort de Regina ne me touche, je me trouver au bord de l’Hudson aux côtés de l’homme que j’aimais et il s’est fait tiré dessus avant de s’effondrer dans mes bras, il est mort dans mes bras, je n’ai pas été capable de le sauver et depuis, je vis avec ce souvenir qui ne s’effacera jamais. » énonçais-je finalement avant de jouer avec la bague que j’avais autour de l’annulaire, elle était à lui, c’était la seule chose que j’avais de lui. Une bague. le symbole d’un amour éternel mais pour le coup, à quoi ça pouvais correspondre ?
crackle bones
Angelika B. Beresford
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| Conte : Bernard & Bianca | Dans le monde des contes, je suis : : Miss Bianca
Me tenant aux côtés de ma coéquipière sous le choc, je restais à ses côtés pour l’aider à traverser ce qui me semblait être une crise de panique. Dans cet état, il aurait été vains de poursuivre notre course-poursuite. Carrie devrait tout d’abord être en mesure de se calmer, elle n’était visiblement pas prête à reprendre du service. C’est pourquoi, en conseillère consciencieuse que j’étais habituellement, je pris les devants et tentais de la calmer. Pensant que lui parler serait le meilleur moyen de calmer ses angoisses, je lui avais proposer de me raconter son histoire. Ce qu’elle fit avec beaucoup de facilité à mon plus grand bonheur. Souriant amicalement pour l’encourager dans sa démarche, je lui adressais un sourire compatissant.
« Cela ne doit pas être tous les jours facile de vivre avec un tel don. Nous construisons notre identité grâce à notre capacité à oublier certaines choses et à mettre de l’ordre dans nos priorités. J’imagine difficilement ce que cela doit être pour vous de vous souvenir de tous les évènements de votre vie.»
Bien sûr, ce n’était pas réellement mon point de vue sur cette capacité qu’elle possédait. Bien des personnes auraient été envieuse de sa mémoire prodigieuse. A mes yeux, c’était bien plus une bénédiction qu’une malédiction mais j’avais tôt vite fait de comprendre que dans son esprit, un souvenir particulièrement douloureux de sa mémoire venait de s’éveiller. Cependant, j’étais loin de m’attendre à une telle révélation. Ses confessions sur la disparition de son compagnon me ramenaient au souvenir de la perte de mon époux, mon très cher Bernard tuer si loin de moi lors de l’une de ses enquêtes.
« Quelle horrible histoire ! Je suis vraiment navrée, Carrie. J’étais loin de me douter d’une telle chose. Ce n’est pas facile de perdre une personne que l’on aime d’autant moins lorsque l’on a rien pu faire pour éviter qu’un tel drame se produise. Croyez-moi j’en parle d’expérience ! »
Me retenant de me livrer à mes propres confessions, je restais concentrée sur les siennes. Après tout, c’était avant tout son cas à elle dont il fallait s’occuper en priorité.
« Comment s’appelait-il ? »
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Carrie Wells
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J'ai la même apparence que toi à mon âge...
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C'est pas bon l'un sans l'autre.
En duo, on est comme Laurel et Hardi.
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« Ce n’est pas peu dire oui. J’aimerais tellement oublier certaines choses, je pris par moment pour que quelque chose se produise et que j’oublie les choses qui doivent être oublier mais en même temps, je ne suis plus personne sans ma mémoire, c’est ma mémoire qui fait celle que je suis. » énonçais-je à la jeune femme.
Cela me faisait mal de me souvenir de cet horrible moment, cela me faisait mal de me souvenir de la tristesse que j’avais ressentie quand il était mort dans mes bras, quand cette fichue malédiction s’était abattue sur nous sans que je ne puisse sauver l’homme que j’aime. Je respire longuement en levant le regard vers Angelika avant de reprendre la parole.
« Il me manque tellement…Je m’en suis tellement voulue de ne rien avoir pu faire pour le sauver, il était dans mes bras, j’ai l’impression qu’il est toujours là mais ça me fait tellement mal de ne pas l’avoir près de moi. » énonçais-je à la jeune femme avant d’ajouter « Toi aussi tu as perdu quelqu’un que tu aimais ? » demandais-je, curieuse.
Essuyant les larmes qui roulaient sur mes joues, je reprends finalement la parole, en hoquetant quelque peu.
« Al, il s’appelait Al Burns et il portait tellement bien ce prénom. » énonçais-je « Je l’aimais tellement… »
Depuis que Sherlock travaillait comme détective consultant pour la police de Storybrooke, les enquêtes ne manquaient pas d’affluer, me poussant à réduire encore mes heures de travail à l’hôpital de Storybrooke. Petit à petit, je m’écartais de mon rôle de médecin pour reprendre celui de détective que j’avais dans le Monde des Contes. La petite souris Bianca resuicidait d’entre les morts et renouait avec son addiction aux enquêtes et aux grandes aventures. Tout du moins, c’était ce que le papier disait ! La réalité était parfois bien moins excitante que celle que je vivais autrefois. La police nous avait appelé le matin-même dans notre appartement de Baker Street ! Elle souhaitait requérir les services de mon associé pour un vol important à la mairie. Mon ami étant par essence-même un intellectuel un peu imbu de sa personne, le convaincre de l’intérêt d’une pareille enquête n’était pas chose aisée. L’inspecteur insistant, il finit par me désigner comme son ambassadrice, se préoccupant peu de savoir si j’avais d’autres projets pour la journée !