« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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Me regarde pas comme ça, un peu de sport ne te ferais pas de mal. Ca te réussis pas franchement de fricoter avec une pâtissière, enfin... Je dis ça, je dis rien...
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| Conte : Vaiana, la légende du bout du monde | Dans le monde des contes, je suis : : Vaiana
Dans un recoin reculé de la jungle, l’entrée d’une grotte est dissimulée dans l’un des flans de la montagne central. A l’extérieur, autour de cette ouverture cachée, aucun bruit. Seulement les feuillages, les animaux, les insectes frémissant de ci de là. Pourtant, en pénétrant, à peine quelques mètres dans cette fameuse grotte, vous auriez entendus...
"AU SECOUUURS ! LAISSEZ-NOUS !! MAIS LAISSEZ NOUS SORTIR !"
L’une des personne s’égosillait, les mains serrées autour des barreaux de sa cage. Un autre homme, l’observait, d’un air détaché. Beaucoup moins anxieux et à la limite de la folie de son partenaire de cage.
"Je ne suis pas sûre que crier comme ça soit la meilleure des solutions."
L’homme, bien portant, se retourna vers lui, l’air vindicatif. Une dispute explosa entre les deux compères, l’un continuant de hurler, l’autre gardant son calme, non sans un léger regard condescendant.
A côté, des pleurs et des larmes, quelque peu couvert par les hurlements de l’autre, se faisaient entendre. Une femme. Une belle femme, devrais-je dire.. Pleurait, chaussé de talons aiguilles dont l’un avait été rafistolé avec un morceau de liane.
"Mais vous ne comprenez pas, comment vais-je pouvoir rentrer chez moi ? Mon chihuahua va mourir de faim..."
Se lamenta-t-elle alors que l’autre femme la toisait, presque désespérée. Elle semblait avoir un passif avec la jeune femme, puisqu’elle se contenta de soupirer et de suivre, de nouveau, les traces de son tatouage du doigt. Ce dernier représentait une rose, entourée de diverses autres fleures et plantes. De sa poche, dépassait même une poignée d’herbe ou de plante qui ne vous était certainement pas familier, si vous n’excelliez pas en herboristerie.
Et enfin...
"Il faut trouver un moyen de sortir. Nous devrons sauver la jungle ensuite, avant de retrouver nos familles et notre vie. Tel est notre devoir."
Sur un ton grave, l’homme à la musculature saillante, au regard de tombeur et à la posture impeccable fixait l’entrée de la grotte, dans un état d’esprit théâtrale et pourtant si sérieux. La jeune femme, à côté de lui, habillée comme une parfaite aventurière, fixait la sortie d’un même regard, dans une posture tout aussi marquée.
"Il a raison, nous devons accomplir notre mission."
Sa voix sérieuse claqua, faisant taire les hurlements du plus emporté d’entre eux. Tout le monde les regarda, d’un air admiratif. Ils dégageaient quelque chose de.. Parfait. De parfait aventuriers, certainement tout aussi parfaitement adapté à la survie.
Pour l’instant, ils étaient seuls. Mais il n’y avait aucun doute que les hommes qui les avaient amené ici allaient revenir. Ils les avaient momentanément abandonné dans cette grotte, le temps de savoir, certainement, que faire d’eux. Ils devaient s’échapper...
Pour laisser le jeu commencer.
La compagnie des Chercheurs d’Aventures Périlleuses vous présente...
Nayati Lifebreath Le poney macho
Vaiana de Motunui La vahiné buttée
Michel-Angelo Turtles La tortue toquée
Chacun devra entrer dans le jeu, et se plier à ses règles. Attention, vous avez trois vies, après ces trois dernières...
G A M E O V E R
Nayati Lifebreath
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| Conte : Spirit l'étalon des plaines | Dans le monde des contes, je suis : : Spirit
" Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te délivreras "
Je m'étais redressé, essuyant mon front du dos de la main. Au loin, le soleil se couchait et je venais de passer l’après midi a creuser dans du bois. Super n'est ce pas ? En réalité oui ca l'était. Après avoir rencontré Vaiana, j'avais décidé de profiter de l'occasion pour me refaire une pirogue. Pas un de ses trucs chelous qu'elle faisait et qui manquaient cruellement d'équilibre mais bien le genre de barque qui nous permettait de passer les rapides des rivières. L'avoir vu construire son bateau, même si j'étais certain qu'il allait couler en moins de deux, m'avait donné l'envie de me reconnecter avec ma tribu. Et d'un certaine façon, j'y arrivais. Nous avions travaillé cote a cote pendant un moment et dieu merci, elle n'avait pas absolument tenu a me faire la conversation toute l'après midi. De temps en temps nous échangions quelques mots mais la plus part du temps, je restais concentré sur mon travail, et c'était agréable de ne pas être en compagnie d'une nana qui parlait tout le temps et ne s’arrêtait que pour reprendre sa respiration.
Bref, j'avais passé un bon moment jusqu'à ce qu'elle me propose de m’arrêter et de m'inviter pour me remercier. De quoi ? De lui avoir filé un bois potable pour sa « nouvelle barque ». On c'était installé sur le sable, nus pieds, a contempler le reflet du soleil sur la mer. Sur ma gauche son poulet débile picorait le sol depuis ce matin et c'était peu a peu enfoncé dans le sable.... Elle, elle me parlait de son peuple, de leurs culture. Plus exactement du pourquoi et du comment de leurs tatouages. Ils racontaient leurs vies m'expliquait elle. Ces signes, ces symboles alambiqués étaient la trace d'une histoire. D'une vie, de la leur. Ainsi chacun était différent, unique comme les vies et les personnes qui vivaient sur l'ile.
L'ombre d'un homme se profilait a l'horizon au moment ou je demandais d'ou venait cette culture, cette habitude, et rapidement le livreur de Pizza nous rejoignit. Sa coupe de cheveux m'arracha u sourire, en voilà un qui n'était pas passé chez le coiffeur depuis un moment. Je m'étais levé pour le payer, en sortant mon porte feuille de ma poche – j'allais tout de même pas laisser une nana m'inviter – quand un son étrange retentit. Rapidement, je jetais un coup d'oeil vers.. le trou du poulet vers lequel Vaiana se penchait. Visiblement il avait trouvé un truc : une souche d'arbre ou un coquillage... enfin, débile comme il était il n'allait même pas faire la différence.
J'avais détourné les yeux pour les retourner vers le jeune homme l'aire de dire : « ah les femmes et leurs bestiaux » pour lui dire :
« 'Jour. Je te dois combien ? »
Et Vaiana m'interpella :
"T'as déjà vu un truc pareil ? »
Elle avait déposé devant elle une vielle console, un truc qui était sortit des années avant et dans lequel on mettait un Cd pour lancer le tout. Une Ps4 en plus vieux quoi. Elle était noire et posée dans le sable a la portée du coq maléfique qui ne se fit pas prier, alors que je haussais les épaules, pour mettre un coup de bec pile sur l'un des boutons du truc. A ce demander comment il avait survécu jusqu'ici en picorant tout SAUF de la bouffe.
Et a partir de la, tout commença a partir en couille. Un hologramme vert apparut brusquement, comme si il sortait de la console. C'était un mec, une sorte d’aventurier a la Indiana Jones avec une tenue chemisette-short moulante. En soit c'était franchement pas mal, j'avais jamais vu un truc du genre ceci dit c'était pas du tout comme dans les films, la qualité était vachement moindre. L'image grésilait un peu, comme si le sable et l'eau de mer avaient abimé le mécanisme.
"Bonjour cher aventurier, voulez-vous débuter une nouvelle partie" Un bouton en haut à gauche apparut brusquement : "new game", lui aussi en variations de vert. "charger une ancienne partie" et "paramétrer le jeu" apparurent les uns a la suite des autres au fur et a mesure que le type parlait. D'ailleurs il continuait sur sa lancée : "ou le quitter ? Ce que je ne vous recommande pas, nous avons besoin de vous, vous êtes l'homme de la situation !" » Et boom : dernier bouton magique qui apparaissait dans l'air.
"T'es sure que tu veux pas le changé en nuggets ton poulet ? Non parce que vraiment ...." lancais je a Vaiana en m'accroupissant pour regarder la machine. Non mais franchement comment ce truc pouvait marcher ? C'était même pas branché ?
"Ne me tente pas avec cette idée.." souffla elle en regardant Hei hei qui continuait à picorer le sol. Quelle surprise...
Quand a moi, j'appuyais sur le bouton principale en espérant que ca éteindrait le truc malheureusement ca ne fit que relancer le discourt.
« Les gosses laissent traîner n'importe quoi sur la plage de nos jours... » marmonnais je en retournant la machine. Nope, pas de prises. Et pas de piles non plus.
Et la quoi ? L'autre crétin de livreur de Pizza, qui visiblement ne savait pas retenir ses mains, tendit le doigt et appuya sur « New Game ». Et la fin du monde commença. Brusquement, je sentit un picotement au bout des jambes et … ah bah non j'avais plus de jambes. La machine semblait nous aspirer peu a peu en nous changeant en particules et j'avais commencé a crier quand ce fut le black out.
J'ouvris les yeux dans une cellule avec un abrutie qui me secouait comme un prunier. Ma tete rebondissait sur le sol et je voyais double. D'un geste je le repoussais... ce qui n'eurt pas grand effet.
« Putain mais lache moi ! … C'est quoi ce bordel ?" ajoutais je en voyant la tenue sans laquelle il était et accessoirement la cage en fer dans laquelle nous étions coincés.
Dans une grotte. Avec d'autres gens, normal. Avec l'impression d'avoir une gueule de bois du tonner je jettais un œil vitreux sur l'abrutie qui m'avait rendu a moitié sourd en hurlant quand je m'étais réveillé. Bon au moins il m'avait laché et avait reculé. C'était déjà ca de gagné, la proximité je préférais ca avec les femmes.
"Ca va, ça va, détend toi, t'es tombé comme un piquet aussi."
Geuzeuh quoi ? JE sentit toutes les infos se mettre en places dans ma tête et lui bondit dessus, attrapant son col pour le plaquer contre la cage. Des putains de cages d'animaux... non mais sérieux comment je m'étais retrouvé la ? Je n'avais pas réussis a le plaquer mais je mis mon absence de force sur le compte de la fausse geule de bois.
« T'as trente secondes pour me dire qui tu es, ou on est et pourquoi t'es fringué comme ca » sifflais je entre mes dents d'un air menaçant.
".. Pourquoi je te le dirais ? On est tout les deux dans la merde, et puis j'suis plus grand que toi."
« Pardon ? »
… … … … … …
Il avait raison ce con o_O Il mesurait bien une tête de plus que moi, pourtant... Je le lachais soudainement et baissais les yeux sur mes mains. Elles étaient minuscules.. et manucurées. Mes bras étaient ridiculement petits et je comprenais beaucoup mieux pourquoi ce crétin avait pas volé a travers la cage tout a l'heure. Mon visage était... petit et flasque, et j'avais des lunettes. Serieusement, des lunettes ??? D'un geste rageur je les enlevais... pour voir que je ne voyais rien avec. Super... Je les remis passais une main dans mes cheveux bouclés.
"T'as vraiment du te faire mal en tombant sur la tête, hein.."
C'était trop. J'ouvris les bras en grand et me mit a crier :
"Non mais SERIEUSEMENT ? Un AUTRE malédiction ? Une seule sa suffisait pas ???" Je mis un coup dans la cage et me retournais vers le type en le pointant du doigt : "Me cherche pas ok ? Et puis... » je me mis a réfléchir. J'avais pas le souvenir d'une malédiction a vrai dire... « D'où je suis tombé sur la tête ? J'étais sur la plage avec un poulet débile et une nana, et en suite...."
Un grognement parfaitement animal... humain me fit tourner la tête. Dans mon dos deux jolies blondes se reveillaient doucement.. .enfin non, y en avait une déjà debout, avec la paire de talons la plus haute que j'ai jamais vue, et la seconde.. .bah allongée sur le sol, la joue pleine de terre et d'un filet de bave. Miam.
"C'est quoi ce bordel..?"
Super, elle sortait de son comas éthilique. Sa copine se précipita a ses cotés, les bras repliés contre elle a la manière d'un tyranausore pour braillé d'une voix de crécelle :
"Oh, j'ai eu peur que tu sois morte ! Contente que tu sois vivante. Je ne veux pas voir un cadavre pour la première fois de ma vie, ce serait trop TRAU MA TI SANT, mon dieu !"
J'avais une théorie personnelle sur l'intelligence des gens : on pouvait deviner leur niveau de réflexion a leur voix. Ici, miss talons avait le QI d'une huître. Super. Je soupirais et me tournais vers l'autre cage pas loin o il y avait une fille et un mec a l'intérieur. Bah au moins y en aurait un qui allait pouvoir s'amuser...
"Est ce que l'un de vous a vu un livreur de pizza avec une coupe de cheveux improbables et une vahiné avec un poulet ?"
"Qui t'as parlé d'une vahinée ? Et pour qui tu te prends pour lui donner un surnom pareil ?"
Je me tournais vers la belle au bois dormant qui me fixait d'un regard méfiant et lachais :
"J't'en pose des questions Blondie ? Si t'as rien a dire tais toi. "
Voila, ca c'était fait.
« Blondie ? » elle baissa les yeux sur sa chevelure et beugla : "Blonde.. JE suis blonde ?! Et blanche ?! Mais c'est quoi ce..."
Je plissais les yeux. Ah génial. Elle avait encore moins de QI que l'autre. Peut etre qu'elles se partageaient le cerveau de l'huitre ? Bon, au moins elle ne termina pas sa phrase comme pour éviter de choquer nos chastes oreilles. Trop aimable. Rapidement je me détournais :
"Bon, personne ? Ok génial » lâchais je avec ironie avant de revenir a mon camarade de cage.
Bizarement, en comparant avec les deux autres spécimen d'a coté, j'étais pas trop mal tombé. Quoi que si j'avais eu une nana a la place de ce crétin j'aurais pu passer le temps d'une manière un peu plus amusante... Mais bon c'était pas le moment.
"Donc c'est quoi cette histoire de coup à la tete ? » demandais je finalement.
"J'en sais rien, t'es tombé raide d'un coup, et tu t'es cogné la tête contre la cage. Je pensais que t'étais mort. Mais apparemment non..."
"Au fond si on y réfléchit bien, le responsable, c'est le poulet non? "
Filant à la vitesse de l’éclair sur son skateboard, Michel-Ange se dirigea vers la plage de Storybrooke à toute vitesse. Qui était donc les goinfres qui avaient commandés autant de pizza pour deux personnes ? Même lui n’en mangeaient pas autant. Sautant sur un trottoir, il finit par arriver sur la plage. Au loin, un homme et une femme semblaient en pleine discussion. Tapant son skateboard avec son pied pour l’attirer sous son bras, il se mit à hurler : « WOHO LES AMOUREUX ! JE SUIS LA ! J’vais pas venir ca va mettre du sable dans mes roulements ! »
Voyant qu’ils l’observaient sans comprendre, il se décida à y aller lui même. Je vous jure, certains n’ont vraiment pas inventés l’eau chaude… Posant son skate sur le trottoir, il traversa la plage, avec les pizzas devant lui. On ne voyait que ses yeux. Habitué grâce à son entraînement à ce genre de chose, elles ne bougèrent as d’un pouce. « 18 dollars et 70 cents, avec le pourboire, tu peux aligner à 24 dollars mon pote. »
Détournant le regard de la jeune femme, il ne voulut pas le croiser. Il était trop timide pour parler aux filles, et les seuls qu’il pouvait encore supporter étaient ces deux amies, Figue et Emily. Prenant l’argent, il recompta « T’aurais pu mettre un peu plus, radin... »
Mais quelque chose attira son attention, une espèce de vieille console. Le poulet plutôt rigolo se dirigea vers elle et l’activa. Aussitôt, un hologramme apparu et commença à présenter le jeu. Sans attendre une seule seconde de plus, il se jeta dessus, oubliant les pizzas et appuya sur NEW GAME. « Trop géant ! J’essaie ! »
Soudain, Michel-Ange ressentit des picotements dans l’ensemble de son corps et serra des dents. Le décor changea en tournoyant sur lui même, puis ce fût le trou noir absolu. A son réveil, il sentit que le sol était froid et dur. Ouvrant les yeux, il se les frotta et commença à chercher la plage autour de lui. Elle avait disparu. Ce qui l’étonna en revanche, c’était qu’il était torse nu, en short et en basket. Regardant son corps, il se rendit compte qu’il s’était bien développé durant cet espèce de saut magique dans un autre monde. « J’ai pris un peu tiens... » dit-il d’un air amusé en se tournant vers les autres.
Soudain, il se rendit compte que dans les autres cages, il n’y avait que des inconnus. Or l’inconnu l’effrayait épouvantablement. Des larmes se mirent à couler le long de ses joues. Dans la cage, une femme blonde et athlétique l’observait d’un air surpris et légèrement ahuri. « Est-ce que tu es réellement en train de pleurer ? Tu es censé être un Héros ! Pas un pleurnichard. »
Rougissant de tout son visage, essayant de se ressaisir, il regarda ses bras qui étaient plus gros que d’habitude. Mais il savait que cela ne voulait rien dire. Autrefois, il avait des bras plus petits, mais il pouvait soulever des objets bien plus lourd. Voulant vérifier, il se releva d’un bon et déclara : « Tu as raison !! A MOI FORCE HERCULEEEEEENEEEE ! »
Attrapant les barreaux à deux mains, il essaya de les tordre dans le bon sens, pour pouvoir sortir aisément. Ces derniers plièrent dans un boucan épouvantable, mais que l’autre héroïne arriva à couvrir de sa voix nasillarde : « Le pauvre n’est plus en état d’être un héros ! »
Créant un trou plus que convenable, il lui indiqua de passer. Sa forme athlétique mais svelte lui permis de passer l’intégralité de son corps sans aucun problème apparent. Essayant de passer à son tour, il se rendit compte qu’il était beaucoup trop musclé pour se faufiler. « Allez à toi alors ! Fais nous sortir, vite ! »
Il était épuisé. Tordre les barreaux lui avait demandé pas mal d’efforts. Elle regarda les autres, puis Michel-Ange un petit moment. Au final elle sourit en coin et se mit à partir en courant en déclarant d’un ton cassant : « Je n’ai pas besoin de vous pour terminer le jeu ! »
Toute timidité parti du corps de Michel-Ange envers cette personne à ce moment précis. « ESPECE DE SALE CONNASSE ! ALERTE ALERTE ! EVASIOOON »
Se retournant gracieusement, elle lui fit un doigt d’honneur parfait. Personne ne vint l’attraper et elle fila comme le vent. Posant sa tête contre les barreaux, désespéré, ce fut la cruche qui le tira de son malheur. « Dommage que vos muscles vous coince, ils vous vont pourtant si bien... »
Battant des cils, elle fixa Michel-Ange. Horrifié, il s’assit au fond de la cage et commença à paniqué, saignant un peu du nez. Une fille, qui lui faisait du gringue ? Terrorisé par la cruche, et par le désespoir, il se remit à pleurer silencieusement dans son coin. « C’est ma faute... »
Il repensa alors à ses frères, son père adoptif, Figue, Emily. Ils ne les reverraient jamais, et c’était sa faute ! Sniffant et reniflant bruyamment il reçut brusquement une truc d’aspect visqueux et puant sur sa tête. « Gné ? »
Levant la tête, l’herboriste l’observait d’un regard étrange. Un regard qu’il semblait déjà avoir vu en quelque part… « Désolé, je visais plus bas, mais tes pleurs ont été un peu… Inattendu. » « J’pleurai pas, c’est des allergies ! » se défendit-il.
Pour toute réponse, il reçut une autre couche plus imposante de la matière immonde, cette fois-ci sur son torse ultra-super-giga-musclé. « Etale toi ça sur ton corps, ça glisse, tu pourras passer. »
Un instant, elle sembla perturbée. Ecarquillant les yeux, elle sembla elle même étonné de ses propres paroles. Commençant à s’étaler la bouse sur le corps, il rougit un peu et déclara d’un ton un peu revanchard : « Retourne toi, c’est intime ! »
Semblant l’ignorer, elle ne l’avait même pas écoutée. En revanche la cruche lui fit de grands sourires à chaque fois qu’il s’étalait de la bouse sur le corps. Cette dernière semblait apprécié le spectacle. Michel-Ange sentit que son nez se remit à saigner et ses joues s’empourprer. Terminant rapidement, il finit par sortir de la cage avec beaucoup d’efforts dans un petit « ziiip » sonore. Se dirigeant d’abord vers la cage où se trouvait la cruche, il écarta les barreaux comme il avait fait pour sa propre cage. Elles étaient assez fines pour passer. Se dirigeant vers la dernière cage, il l’ouvrit également les barreaux, toujours dans le même sens. Tous le monde étaient désormais libre. Sauf le boulet, qui en réalité, avait le ventre beaucoup trop gros pour passer. « Allez bouge toi les fesses » cria la tortue. « TU VOIS BIEN QUE TON TROU EST MINUSCULE ! »
Fronçant les sourcils, il ne répondit pas. Après tout, il n’était pas doté de ce don que les gens avaient de jugé les personnes. Il ne le trouva même pas gros. Lui même n’avait pas réussi à sortir. Se tournant vers un homme qui semblait bien plus intelligent que les autres, il lui dit d’un ton pressé : « Bon toi le génie, t’as pas une idée ? Hm ? »
Observant les cages posées sur le sol, sans planché, il estima qu’elles étaient tombées sur eux. Toujours observant le génie d’un air interrogateur, il commença à fuir la cruche du regard. Il entendait déjà les ricanements d’Emily et de Figue se moquaient de lui. Heureusement, elles n’avaient pas assisté à ce triste spectacle.
Vaiana De Motunui*
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| Conte : Vaiana, la légende du bout du monde | Dans le monde des contes, je suis : : Vaiana
J’avais passé la journée avec Nayati sur la plage. Finalement, malgré notre rencontre quelque peu mouvementé, je devais avouer que je l’appréciais. Un peu tête de mule, et trop macho, mais il avait de la réparti, ce qui était plutôt divertissant, pendant de longues journées. Le genre de longues journées que j’appréciais passer seule, sur la plage, à travailler sur ma pirogue, sans personne pour me déranger. Néanmoins, après qu’il m’ait aidé à rapporter du bois, l’homme s’était mis en tête de travailler également sur un bateau. Une sorte de barque, croisée avec un kayak. Bien moins efficace qu’une pirogue, et bien moins classe, mais après tout, je l’imaginais déjà dans son petit bout de bois flottant sur l’eau, à ramer de toutes ses forces.
Finalement, la compagnie que j’avais rejeté pendant un moment n’était pas si désagréable. Même si je l’avais accepté en grinçant des dents au début, je m’étais rendue compte que, tant qu’il restait à distance de ma pirogue, la discussion était agréable. Néanmoins, je ne me privais aucunement de l’envoyer bouler s’il s’approchait trop prêt ou commençait à poser un regard inculte sur ma création.
Pendant qu’il s’exténuait à couper du bois, je continuais de travailler dans un travail bien plus soigneux et minutieux. J’avais déjà dégrossis le travail il y a quelques semaines de ça. Aujourd’hui, je peaufinais les détails pour faciliter la navigation, la rendre optimal et donner à la pirogue une apparence respectable. Il me resterait les motifs, ainsi que le mât et la voile pour la semaine prochaine. Le plus intéressant.
Lorsque le soleil avait commencé à baisser dans le ciel, je lui avais proposé de baisser les armes et de laisser nos outils pour nous reposer un peu et nous poser tranquillement. Je détestais la sensation d’être redevable. Alors, j’avais pris les devants pour m’en dégager. Il avait effectué un travail rapide et de force avec le bois qu’il avait ramené. Ce qui m’avait économiser un temps énorme, et précieux. Donc.. Je supposais que je pouvais bien l’inviter à manger une pizza, en fin de journée.
Tout avait basculé à ce moment là. Morale de l’histoire : Ne plus se sentir redevable et tenter des approches de soirée sympa. Ca portait largement la poisse. La prochaine fois, je m’abstiendrais et je privilégierais le « chacun sa merde ». Histoire d’éviter de nouveaux incidents pareils.
Une console, un livreur de pizza imprudent... Un coq maléfique dont l’idée d’en faire des nuggets me tentait de plus en plus et nous étions embarqué dans une catastrophe. Normalement, rien de divin autour de moi, donc je ne risque pas ma peau. Enfin, j’espère. Quoi que... En voyant le résultat, j’aurais peut être du privilégier un voyage divin.
Un affreux mal de tête plus tard, j’ouvrais les yeux. La sensation de picotement s’en était allé.. Tout comme la plage. Je m’étais assise, massant l’arrière de mon crâne sur lequel je venais vraisemblablement de tomber. Les yeux encore dans le vague, j’eu simplement le temps de réagir au mot « vahinée » qui d’ailleurs m’avait mis de mauvais poil. Depuis quand des inconnus avec une face écrasée s’appropriait ce genre de surnom ?! Puis je m’étais rendu compte. J’avais vu. J’avais compris.
Mes bras. Mes bras étaient blanc. Couleur yaourt nature. Plus blanc, tu meurs. Le coup porté à la tête m’avait dont complètement fait oublier la palette des couleurs. Sauf qu’en levant les yeux, tout semblait normal. Relevant ma longue robe couleur crème... Une longue robe couleur crème ?! Depuis quand je porte des robes ?! Un nouveau hoquet d’effrois. Mes jambes étaient encore plus blanches que mes bras.
- C’est pas possible d’être aussi pâle, sérieux ?! La teinte d’en dessous, c’est translucide ou quoi ?!
Marmonnant ces quelques mots, l’autre blonde en mini jupe et talon aiguille, avec un corps bien trop... Parfaitement adapté aux fantasmes de la société avait baissé vers moi un regard jugeant.
- Et oui ma chérie, on peut pas tous avoir le teint hâlé comme moi. C’est pas grave, en rentrant, je t’offrirais une séance d’UV, tu verras, ce sera FAN-TAS-TIQUE.
Acheva-t-elle en marquant ce dernier mot de geste, sans oublier le petit doigt levé. L’envie de la remballée ne me manquait pas. Si je ne m’étais pas arrêté sur cette couleur de cheveux. Cette couleur de cheveux si loin de mon noir naturel. J’étais blonde. Blonde platine. Mon cœur loupa un battement alors que je me relevais.
- Très bien, l’enfoiré de livreur a du foutre quelque chose dans la pizza, je vois pas d’autres solutions.
D’ailleurs, si je le retrouvais, je jurais d’en faire de la chair à pâté. Et de le donner à picorer à Hei Hei. L’instant d’après, je me retrouver à fouiller dans la petite sacoche que j’avais à l’épaule pour en sortir plusieurs plantes, les tasser entre elle, puis les broyer avec un cailloux pour en faire une mixture verdâtre immonde. Dans le but de l’envoyer sur musclor, un peu plus loin. Après ce geste et cette explication naturelle, qui semblait sortir de ma bouche, mais qui me donnait l’impression d’un échos flippant, je rivais mes yeux sur le sol.
- C’est pas possible, qu’est-ce qu’ils ont encore foutu avec mes souvenirs ?!
Un jour je ne me rappelais de rien. Le suivant j’avais une nouvelle vie. Et maintenant, un mix des deux. J’avais mes anciens souvenirs, avec de nouvelles connaissances, bah voyons. Toujours aussi perdue, j’étais sortie de ma cage grâce au même musclor. Jusqu’à ce que celui-ci, visiblement limité niveau cerveau, ne questionne notre autre partenaire au physique.. Quelque peu disgracieux. Malgré tout, il semblait plus perspicace puisqu’il lui jeta un regard... Remplis de sous entendus concernant sa matière grise.
- Putain, c’est pas la matière grise qui t’étouffe toi. Aidez moi à la renverser.
La blonde, ancienne camarade de cellule eut un large sourire avant de se précipiter vers les garçons toute heureuse... Avant de laisser son sourire s’évanouir en comprenant sa phrase.
- Ah.. Vous parliez de la cage ? Zut.. Moi qui espérait un peu de bon temps après notre longue détention.
Longue détention ? Je n’eus pas le temps de la questionner que les garçons s’afféraient déjà à tenter de culbuter la cage. Avec mon aide, surement médiocre, mais toujours plus efficace que celle de l’avorton à mes côtés, et musclor, la cage fut soulevé en quelques secondes, laissant l’homme prisonnier en sortir en rampant.
- Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
On est entouré de crétin ou c’est juste moi qui ait un QI plus élevé que la moyenne ? Pour ma part, je planche plutôt pour la première option.
- On sort peut être, non ?
Tous entendu sur cette déclaration, je me dirigeais vers la sortie de la grotte. Elle se faisait par un petit interstice, ce qui obligea l’un à rentrer le ventre, et l’autre à réutiliser la sorte de.. Vaseline que je lui avais dégotté.
Juste devant la grotte, un cours d’eau. Une sorte de petite rivière, assez profonde, par contre, nous barrait le chemin. Je me penchais vers cette dernière, histoire de mesurer la profondeur. Mais ce fut sans le reflet qui se forma sur l’eau.
- Oh putain !
Je reculais d’un pas précipitemment, en planquant mes mains sur mon visage. J’avais rêvé. J’avais clairement rêvé.
- Ouais, je sais, tu fais peur, mais soit pas aussi dur avec toi même ma chérie.
Un petit « ta gueule » gentil m’échappa, ce qui offusqua la blonde qui parti bouder un peu plus loin. Je me rapprochais du cours d’eau, toujours aussi.. Décomposée.
- Est-ce que j’ai vraiment une tête de... Peste ? Du genre blonde populaire et... Hypocrite dans les films pour ados ?
Dites moi que je suis juste en train d’halluciner. S’il vous plait. Mais apparemment, je n’étais pas la seule à ne pas me reconnaître dans ce reflet. Et si cela semblait faire des heureux, un autre n’avait pas l’air très content. Celui qui cherchait la vahiné. Et son coq. Et le livreur de pizza. Est-ce que..
- Attend, Nayati, c’est toi ?
C’était totalement... Improbable, mais j’avais changé d’apparance. Je m’étais réveillé après un noir et un coup sur la tête. Comme lui, comme musclor. Et... Il cherchait... Une vahinée, un coq et... Un livreur de pizza.
Que ce soit par la pression et le relâchement des nerfs, ou par une moquerie des plus sincère, j’étouffais un pouffement de rire en regardant sa tête.
- Sympa ton nouveau look. T’as un peu perdu. Par contre, j’en connais un qui a pas mal gagner.
Je me retournais vers le livreur de pizza qui était passer d’ado boutonneux et avec une masse musculaire inférieur à zéro, au mec le plus bodybuildé que j’avais rencontré.
- Je suppose que c’était toi ? Le gamin attardé ? Qu’est-ce que t’as foutu dans nos pizzas pour qu’on en arrive là ?!
J’étais passée de l’amusement, à la colère en un clin d’œil. Quoi qu’on pouvait peut être soulevé une pointe d’espoir dans ma question. Je préférais savoir qu’il nous avais foutu un truc dans nos pizzas, éphémère pour comprendre ce qu’il nous arrivait. Malheureusement, il n’eut pas le temps de répondre puisque...
L’homme bien portant s’était eclipser pour faire la petite commission, selon ses dires, et courrait maintenant dans notre direction, le pantalon en bas des jambes et l’air complètement affolé. Il tenait un rythme presque... Ridicule. Il était encore plus lent que la blonde, en talon aiguille qui venait de le doubler.
Mais je n’eus pas le temps de m’arrêter à ces détails. Puisque un alligator... Toujours aussi peu informé... Les poursuivait réellement, à vive allure. Il gagnait clairement de la vitesse, ce qui me fit rapidement arriver à la conclusion du...
- Barrez vous !! Vite !!
Nayati Lifebreath
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| Conte : Spirit l'étalon des plaines | Dans le monde des contes, je suis : : Spirit
" Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te délivreras "
Pour résumé la situation, que je sois bien sur la même longueur d'onde que moi même : J'étais dans une console même pas branchée, surement abandonnée en plein milieu de la plage a la merci des vagues. Mary quittait l'école dans une petite heure et il n'y aurait personne a la maison. J'étais en compagnie de trois nenettes - enfin deux vue que l'une d'entre elles c'était tirée -, d'un gars qui aurait besoin de rencontrer un tapis de sport et d'un musclor avec autant de neurones qu'une huitre qui pleurait a tout bout de champ... Non, j'étais méchant pour l'huitre. Si il continuait a saigner du nez j'allais devoir lui mettre une perf... Et pour couronner le tout, je me trouvais dans le corps d'un binoclard maigrelet qui était incapable de faire trois pas sans s'étouffer. J'étais presque sur que si je fouillais dans mes poches je trouverai de la ventoline.
Bref, la situation ne pouvait pas être pire.
Ah, si. Crocodile.
- Barrez vous !! Vite !!
Ah, vraiment ? Moi qui pensais qu'on allait lui proposer de se poser pour prendre un thé, ou une biere pourquoi pas ? Je veux dire ses grandes machoires et ses dents, et la manière qu'il avait de foncer vers nous.. tout cela traduisait des intentions parfaitements amicales voyons ! Comment ne pouvait elle pas comprendre cela ? C'était de la discrimination voila tout. Non mais vraiment, je vous jure. Je vis tout le monde me dépasser et si je n'avais pas été poursuivt par un crocodile, j'en serai tombé par terre. Personne ne me dépassait d'habitude, hormis les voitures au dela de 60 km/h mais dans l'humanité.. il fallait le vouloir pour me doubler. Bon sang même le petit gros y arrivait ! Honnetement, je ne l'auri jamais admis mas j'étais carrément piqué dans mon égo, en plein dans le mille pour le coup. Dés que j'enlevais ses fichues lunettes je ne voyais plus qu'un monde flou et vague de couleurs, rien de très concret en somme.
Et c'est donc dans la joie et la bonne humeur que je sentis un camion poids lourd - pardon - le boulet (ca sonnait bien comme nom, ca lui allait bien.) me tomber dessus. Nous roulames sur le sol, et je luttais contre sa masse pour éviter de finir écrasé sous son poids. Une sorte de instinct de survie me prenait et me faisait comprendre qu'il était hors de question que je reste dessous lui, sans quoi je ne me relèverai jamais. La fin de la chute fut aussi brutale qu'imprévue , et je restais quelques secondes figé devant l'enorme bout de bois pointu qui était a quelques centimètres de mon œil. Les bras écartées, je ne m'étais arrêté devant lui que par miracle et un mouvement de plus m'aurait transpercé le crâne .
- RHAAAAAAAAAAAAAAA MAIS QUI A MIS CETTE BRANCHE ICIIIII ???? AIDEZ MOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!
- Pousse toi bordel !
Retenant une flopée de jurons, je finis par dégager mes jambes et me redeessais en jettant un regard dans le dos de mon coéquipier. Je n'avais pas le temps de le détester pour le moment. Le crocodile arrivait à toute vitesse et nous n'avions absolument pas le temps de discuter. Ou plutôt , je n'avais pas le temps de l'engueuler. Je fis rouler le boulet pour le dégager de l'endroit où était la branche.
- Tu connais les salles de sport ? Faut que tu ailles y faire un tour mec !
- Geuuuh arrêté ça tout de ....
J'enjeambais l'homme en ne prêtant pas attention à ses gémissements et pris le bout de bois dans les mains jusqu'à ce ... Qu'il ne se mette a vomir sur mes chaussures . Visiblement le fait que je l'ai poussé pour récupérer au bout de bois - ou plutôt que je l'ai fait rouler - l'avait rendu malade. À ce moment , j'envisageais très sérieusement de lui envoyer un coup de pieds dans la tête .
- J'me sens pas bieeeeeeen
Je pris sur moi. Allez Naya... Inspire... Expire ..
- Pourquoi moi ? demandais je en murmurant au ciel a l'intention des esprits qui devaient bien s'amuser de me voir comme ca. Ils devaient cruellement manquer d'humains a ennuyer pour le coup.
Note a moi même : on s'occupe des esprits aprés le sac a main sur pattes. Pendant un instant j'envisageais de me cacher derrière le gros homme et d'attendre le derniers instants pour planter mon baton dans la bouche de la créature... mais je jugeais la tactique trop dangereuse pour le civil. Me rendant compte de cette réalité , je poussais un soupir trés tres long. J'allais devoir faire un travail sur moi pour apprendre à me sentir moins responsable de leurs vies et à ne plus hésiter a les balancer comme appâts si je voulais survivre... Mais c'est n'était pas la question pour le moment .
J'observais l'environnement autour de moi et quelque chose de stupéfiant se passa tout a coup. Tout ce qui auparavant était une jungle luxuriante et pleine de bestioles toutes plus dangereuse les unes que les autres devint un terrain ou des centaines d'outils étaient à ma disposition. Les branches ne furet plus vraiment des branches, les lianes plus vrament des lianes et les cailloux... Des cailloux qui pouvait se montrer utile dans certaines circonstances. J'eus le temps d'embrasser le paysage une seconde avant de m'élancer : c'était comme si des maths se faisaient tous seuls dans ma tête. J'arrivais voir l'elasticité de telle liane, a calculer la trajectoire et la force qu'il me faudrait pour m'y suspendre, je sus quel était l'angle auquel je devais la lacher... en un instant.
D'un geste j'attrapais la liane et poussais sur mes jambes pour bondir vers vers le crocodile sans la moindre hésitation. J'étais peut-être devenu une sorte de génie en entrant dans ce jeu , mais je préférais toujours mes bonnes vielles méthodes : à savoir foncer dans le tas sans réfléchir. J'attéris en plein milieu du dos du crocodile est m'enfoncais dans l'eau jusqu'à la taille avant que la bestiole ne se mette à claquer des dents dans ma direction. Malheureusement et contrairement à ce que j'espérais elle ne se détourna pas de sa proie pour s'occuper de moi et je ne réussi à appliquer mes mains sur ses yeux qu'au moment où elle refermait ses dents sur la main du jeune homme. Celui-ci poussa un cri pitoyable et le sang j'aillis et éclaboussant les alentours .
Ma monture de fortune se mit à faire du rodéo et je m'accrochais de toute mes maigre force avant de hurler vers mes camarades :
- Un peu d'aide serait bienvenue !!!
Il voyait pas que j'étais en train de galérer ? Evidemment ils avaint pas pu aider le boulet a se relever hein ? C'était trop demander ou quoi ? Je veux dire ou pouvait bien laisser nos griefs de côté pour s'entraîner non ? C'était ce que j'avais appris à l'armée : on comptait les uns sur les autres peu importe ce qu'il se passait, meme - et surout - pendant les moments difficiles.Si ces gars ne commencait pas a se mettre ca dans le crâne on allait pas survivre à ce jeu .
Heureusement , Blondie - ou Vaiana, je sentais que ce surnom allait lui rester - eut enfin la présence d'esprit de réagir. Miracle ? Elle.;. se jetta au beau milieu d'un parterre de fleurs. Est ce que c'était VRAIMENT le moment de faire des couronnes de fleures ? Occupé comme je l'étais je n'avais pas vraiment le temps de surveiller ce qu'elle faisait, toujours est il qu'elle me lanca une sorte de boule gluante en me braillant :
« METS LUI ÇA DANS LA GUEULE ! »
C'était un miracle que j'ai réussis a l'attraper avec ma vue sérieux.
"Tu veux lui filer un BONBON ????!"
« Oui, sa mauvaise haleine me gênait ! »
Bon, j'hésitais meme pas une seconde et l'enfournais dans la gueule du croco qui, au bout de quelques secondes, se calma et finit par s'endormir me laissant le loisir de nager jusqu'a la berge. Soufflant comme un muffle, a moitié en train de ramper tellement j'étais crevé, je me dirigeais vers le boulet qui gémissait en tenant son moignon. La pour le coup je pouvais pas lui en vouloir, 'avais fais de mon mieux mais pendant une seconde je regrettais ma dureté avec lui.
"Merci" lachais je a Vaiana en m'accroupissant a coté du gars. D'un geste j'avais retiré ma ceinture pour la terrer autour de so bras et lui faire un garrot de fortune. "Faut qu'on lui trouve des médocs." Ou un médecin. Ou un hopitale mais la pour le coup je n'y croyais pas trop, au beau milieu de la jungle. Je me mis a tapotter la tête du mec, il était la depuis plus longtemps que nous, il conaissais peut être mieux la jungle que nous."Regarde moi, concentre toi mon gars ! Ou est ce qu'on peut te soigner ?"
"Un donuuuuts... Un donuuuts avant ma moooort.." me murmura il avec ses dernieres forces.
Putain plus pale que ca il passait le casting de Twilight. Et en plus il était con jusque la... en réalité je savais pas si c'était de la betise ou un humour a toute épreuve. en toute honneteté je echais pour la premiere solution. Vaiana avait a peine fait quelques pas pour voir si il n'y avait rien d'utile a proximité (me dites pas qu'elle va chercher un donuts pitié ) qu'elle revint vers moi en quatrieme vitesse.
"Il faut absolument qu'on aille se cacher !" me fit elle en me désignant l'eau dont les mouvement devenaient carrément inquietants. Ouais, des bestioles se dirigeaient vers nous et j'étais pas sur qu'elle ait d'autres somnifères sur elle.
"Faut absolument qu'on l'empeche de clamser surtout ! Aude moi !" je passais le bras valide du type sur mon épaule et le forcais a se relever pour nous éloigner du bord de l'eau. "Si on s'éloigne de la berge le croco pourra pas nous suivre. Hey Musclor ! Ramene tes fesses et aide moi !"
Ouah. Le regard que Vaiana me jetta méritait une médaille sérieux ! Pour un peu elle me décernait la médaille de la débilité. Un crétin fini, voila ce que j'étais pour elle.
"Rassure moi, tu sais que les crocodiles marchent sur la terre aussi ?"
Le regard que je lui renvoyais équivalait au sien.
"Rassures moi, tu sais qu'il seront bien moins rapide que sur l'eau et que par nature ils ne s'éloignent pas trop de leurs points d'eau ?"
Je jettais un rapide coup d'oeil et vis un peu plus loin quelques fourrés avec un tapis de feuille. La planque parfaite vue que les crocos voyaient mal les couleurs...
"Et tu pouvais pas le dire avant ?"
"Mais bon sang tout le monde sait ca ! "
Et accésoirement j'essayais de sauver ma peau et celle de ce type d'un sac a main sur pattes !
"Je suis d'ailleurs étonné que toi ou ta copine ne se soient pas jettées sur eux pour t'e fair un sac a main" ajoutais je d'un ton sarcastique. "Allez tout le monde se planque et le premier qui moufte rien a battre je le balance dehors !" déclarais e en arrivant au bosqué en jettant un regard menacant a la blonde. Pas Vaiana, miss Talons. Heureusement celle ci ne moufta pas et passa sagement devant moi pour s'allonger sur les feuilles.
"Brave petite" fis je en m'allongans dans notre planque de fortune a notre tour.
Les crocos, au loin, semblaient nous chercher sans nous trouver. Ils retournèrent fissa dans l'eau comme je l'avais prédit. Brusquement, un son de cloche un peu étrange résonna dans le ciel et un message apparut dans le ciel. " Epreuve n°1 : Réussite." Super. On se tapait hunger games maintenant. J'attendais presque le bruit des cannons quand l'écriture se dissipa en une pluie de pailettes roses et brillantes devant lesquels je buggais pendant quelques instants. Sérieux, des pailettes ? Manquait plus que la fée dragée quoi ! Rhaaa ! J'avais pas le temps. Je m'étais glissé vers le boulet en écartant sans ménagement Vaiana de mon chemin pour poser mon oreille contre son torse. Les batements ralentires jusqu'a disparaitre totalement... une seconde aprés, il s'évaporait sous forme de pixels.
"Au fond si on y réfléchit bien, le responsable, c'est le poulet non? "
Tapis dans le buisson, Michel-Ange avait écouté gentiment tout ce que les autres lui avait demandé de faire. Il était de nature docile, et pour le moment, les autres n’avaient pas encore été en danger de manière assez convaincante pour qu’il risque lui même sa vie. Sortant sa tête du bosquet un regard suspicieux aux alentours, il vérifia que les crocodiles furent suffisamment éloignés pour déclarer : « Yaaaa bien fait ! Ne revenez pas ! Jamais ! On est trop fort pour vous ! »
Puis le jeune homme au corps provisoirement massif se tourna alors vers le boulet qui était en train de disparaître dans un pluie de pixel. Parfait, ils étaient dans un jeu vidéo. Et dans un jeu vidéo, on ne pouvait pas mourir. Il était rassuré. « Deux bonnes nouvelles ! Visiblement on peut pas mourir ici ! En plus on vient de se débarrasser d’un bon poids ! Ciao le Noob ! »
Vaiana, ou du moins l’herboriste dont-elle avait prise l’apparence la fusilla du regard, puis l’observa comme si il était devenu attardé. « Il vient de s’effondrer, de se vider de son sang et de disparaître en pixel… T’appelles pas ça mourir toi ? »
Michel-Ange fixa alors Vaiana, puis baissa les yeux, se sentant réellement stupide et honteux tout à coup. Rougissant légèrement, il regarda ses chaussures tout penaud. C’était toujours de sa faute. C’était de la sienne si ils étaient ici. Et là il venait encore de dire une stupidité… Si ses frères l’apprenaient, il serait encore la risée de la fratrie. Essayant de reprendre ses esprits, Michel-Ange observa les alentours. Il savait ce qu’il devait faire ! Trouver un point culminant pour pouvoir retrouver la sortie, ou une terre plus hospitalière. Regardant autour de lui, il vit un petit amas d’arbre, dont certains étaient suffisamment grands pour pouvoir avoir une vue d’ensemble sur les environs. Sentant au fond de lui qu’il avait la capacité de monté rapidement dans le plus grand d’entre eux, il s’élança. Seulement, tout ne se passa pas comme prévu. Son agilité naturelle due au Mutagène, ne fonctionnait plus. A peine monter sur la première branche, le jeune homme passa par dessus et tomba de tout son poids en avant. Grognant, il se débattit dans la poussière. Se ressaisissant, il changea de tactique, et utilisa au mieux son nouveau corps pour grimper. Ne se servant que de la force de ses bras, il finit par atteindre le sommet. Regardant les autres en bas, puis l’horizon, il se mit alors à hurler : « FAUT ALLER A GAUCHE YA UNE SORTE DE VILLAGE ABANDONNE ! YA UNE MONTAGNE AUSSI MAIS C’EST D’LA OU ON VIENT ! Y’A DES GENS DANS LE VILLAGE FAUT Y ALLER ! A GAUCHE TOUTE ! »
Tout content de lui, il observa ses camarades. D’en bas, il pouvait voir la Blonde enlever progressivement son t-shirt, qui était trempé des événements précédents. L’essorant sans aucune gène, on pouvait apercevoir sa poitrine, nue. Cette vision resta un long moment gravé dans l’esprit de Michel-Ange. Cela devait être la première fois qu’il voyait une poitrine de la sorte. Son sang se mit à tambouriner dans ses tempes… Il sentit également un petit filet perler sur sa lèvre… Ca y était, ça le reprenait… Tout étourdit, il rata la branche et chuta de toute la hauteur de l’arbre au sol dans « BOM » sonore. Ayant un corps aussi résistant que celui dont il disposait dans la vrai vie, la douleur fut intense, mais non-létale. Il fut réveillé quelques instants plus tard par les petites mains de la blonde, qui le secouait et lui donnait des petites gifles. « OH MON DIEU ! On ne peut pas perdre quelqu’un d’autre ! J’ai mon brevet de secourisme ! Qu’est ce qu’il te faut ?! Un massage cardiaque, du bouche à bouche ? »
Paralysé, ses nénés à quelques centimètres de son visage, il resta ainsi tétanisé. Il pouvait voir du coin de l’oeil Vaiana pouffer de rire dans son coin, puis commencer à se diriger vers la zone indiquée. Le reste du groupe, suivit, le laissant seul avec la Blonde.
Fermant les yeux, il utilisa alors une technique Ninja pour faire abstraction de tout son environnement. Ces nénés n’existaient pas. Ces nénés n’existaient pas, se répéta-t-il intérieurement. Au loin, il pouvait entendre la voix de Maître Splinter lui murmurer comme un écho… « Tu peux le faire, Michel-Ange ! Fuis ! »
Se leva brusquement, il poussa la blonde pour éloigner le danger et se mit à courir à toute vitesse. Rattrapant Vaiana, il commençait à être essoufflé. On pouvait d’ailleurs l’entendre faire « Puf puf puf » en même temps qu’il courait. La descendante des Explorateurs l’observa puis déclara d’un ton mi-moqueur, mi-amusé :
« Certains découvrent les joies du premier amour…. Avec les hormones en folie on dirait... »
Rougissant, il s’arrêta de courir à sa hauteur, et il reprit progressivement sa dignité en disant : « J’ai un problème avec les filles… Et c’est de ma faute si on est ici. Je compte bien nous faire sortir ! Pizzas gratuites si j’y arrive... »
Reprenant peu à peu confiance en lui, il se mit à bomber le torse. L’air de Vaiana s’était également adoucit, ce qui lui donna un peu plus confiance en lui. Peut être arrivait-il à l’embrasser avant de partir d’ailleurs ! Il commençait à vaincre ses peurs ! Elle déclara d’un ton un peu plus chaleureux :
« Tu es presque passé du côté enfant mignon… Mais avec tes muscles, j’ai encore du mal à m’y faire. » Puis elle sourit, continua d’avancer et poursuivit : « Ca marche je n’oublierai pas. »
Souriant, il se rendit compte qu’ils venaient d’atteindre le village. Il était en piteux état et il avait l’air abandonné. Plusieurs personnes courraient, d’autres restaient assis sans dire un mot. Il régnait une atmosphère pesante de panique. Une femme brisa le silence. Pleurant comme dans un opéra, elle se mit à hurler : « POURQUOI ?! POURQUOI NOUS ONT-ILS TOUT PRIS ?! »
Courant aussitôt vers elle, et sentant sa détresse, il voulut la consoler, et lui demander ce qu’elle avait. Qui leur avait tout pris ? Mais elle répétait inlassablement... « POURQUOI ?! POURQUOI NOUS ONT-ILS TOUT PRIS ?! »
Pris au dépourvu, il recula de quelques pas, impuissant. Vaiana prit alors la parole/ « Mais c’est pas possible quel... »
Mais elle n’eut pas fini sa phrase qu’un truc énorme surgit du ciel, brisant les nuages sur son passage. Il tomba pile sur Vaiana dans un fracas épouvantable. Attirant l’attention de tout le monde, il était en train d’étouffer Vaiana. Le saisissant par le col et le soulevant du sol comme si il soulevait un petit poulet il lui fit un regard qui demandait des explications. « NJEHIHI JZHUH IS IHDI ISH IDHSIUDSIUI IJSIJISS J’AI VU L’AU DELA !!! J’AI VU L’AU DELAAAAA ! »
Se débattant, Michel-Ange le déposa au sol pour qu’il s’explique. Vaiana resta sonné, elle devait s’être évanoui sous le choc. Mais elle n’était pas morte. Elle avait encore un pouls. Et elle n’était pas pixelisée. Se redressant, un homme du village l’observa et finit par déclarer en hurlant d’un air accusateur : « C’EST EUX ! ILS FONT PARTIS DE LEUR CLAN ! »
Vaiana De Motunui*
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| Avatar : Shay Mitchell :tombe:
Me regarde pas comme ça, un peu de sport ne te ferais pas de mal. Ca te réussis pas franchement de fricoter avec une pâtissière, enfin... Je dis ça, je dis rien...
Don't let little stupid things break your happiness
| Conte : Vaiana, la légende du bout du monde | Dans le monde des contes, je suis : : Vaiana
Tout était devenu noir. D’un seul coup. Comme un coup asséné à la tête, violemment. Des bruits sourds résonnaient autour de moi. Un poids énorme m’écrasait, comme si le ciel m’était tombé sur la tête. J’avais eu du mal à respirer pendant quelques secondes. Jusqu’à ce que se poids ne disparaisse. Les yeux clôt, je n’arrivais pas totalement à reprendre conscience. Bien que j’entende ce qu’il se passe autour. Des cris. Je devais bouger. Mais mes membres ne me répondaient pas encore.
Mon corps bougea, me donnant un coup d’air frais dans le visage. Doucement, mes paupières se rouvrirent enfin. Tout était.. Désespérément flou. Je ballottais de droite à gauche à une certaine cadence, alors que des ombres noirs ou marrons nous suivaient. Il me fallu quelques secondes pour que ma vision s’aiguise et revienne à la normal. Des hommes. Les hommes du village ! Ils nous courraient après. Ils brandissaient des fourches, des lances, et toutes sortes de choses plus aiguiser les unes que les autres. Ils étaient beaucoup. Beaucoup trop pour nous.
Commençant à bouger et à gigoter, mon porteur me lâcha bien rapidement, pour que je puisse me dépêcher et courir à leur côté. En plus de cela.. Quelque chose me poussa à m’éloigner de la trajectoire de mes compagnons pour viser une fleur, légèrement plus grosse que les autres et formant une boule assez régulière. J’ouvrais délicatement les pétales, en courant, avant d’y verser... Le contenu d’une fiole que j’avais dans mon sac. La plante se mit à fumer. Instinctivement je la jetais derrière moi en hurlant.
- Je sais pas ce que j’ai fais, mais mettez vous vite à couvert !
A notre gauche, une sorte de grange, au milieu d’une clairière se détachait du paysage. Je fis signe aux autres de me suivre, pendant que la fumée se développait derrière nous, enfumant les hommes et les femmes nous poursuivant. Même dans la panique, je pouvais entendre les craquements se dégageant de la plante que j’avais envoyé. Heureusement, nous nous rapprochions rapidement de la... Grange ?
3...
2...
1...
L’explosion retentit, juste au moment où nous claquions la porte de la grange pour s’y engouffrer. Le temps de se retourner pour la claquer, l’onde de choc nous bouscula. Une seconde de silence, dans le noir. Une seconde pour souffler. Des cris retentirent dehors.
- Michel ?! Michel ça va ?! Relève toi !
- Ne vous laissez pas terrasser, nous devons les rattraper ! Allé Christelle, relève toi !
Je roulais des yeux, avant de reculer pour chercher à tâtons un interrupteur.
- On va pas pouvoir se poser cinq minutes pour réfléchir, sérieux ?
Je continuais de me déplacer, prudente. J’étais sur mes gardes, des petites bribes de lumières filaient entre les lattes de bois, mais pas assez pour observer le décor et ce qui se trouvait dans cet endroit. Soudain, alors que je continuais d’avancer les mains droit devant moi, je percutais quelque chose qui.. Rouspéta.
- HI HAAAAAN !!
Je fis un bon en arrière, surprise et effrayé par cette réaction et ce fouettage de queue. Est-ce que..
- T’es devenu un âne entre temps Nayati ?
Et puis, la lumière s’alluma. Elle clignota un instant, avant de nous laisser découvrir une sorte de.. Fermier ? Ou En tout cas, un vieil homme en salopette. Mais ce n’était pas tout. En face de nous, six véhicules différents. Enfin véhicules.. Moyens de locomotions. Une trottinette. Une moto. Une voiture pour enfant à pédale. Un âne. Un magnifique destrier. Et un.. Quoi ?!
- Vous avez sérieusement un dromadaire dans une jungle ?!
L’homme m’ignora, et leva le bras en direction des.. Moyens de locomotions.
- Vous devez fuir à l’ouest, vite ! Prenez ce que vous voulez, et partez nous sauver !
Bon, j’étais d’accord pour fuir vite. Franchement ces paysans en colère semblaient nous reprocher quelque chose, mais je n’avais aucune idée de quoi. Mais comme ils ne semblaient pas ouvert à la discussion, j’avais seulement une question avant de partir.
- Vous sauver de quoi ?
L’homme me regarda. Il baissa le bras, la tête pendant une seconde. Puis il releva les yeux vers nous, la même expression inquiète sur le visage, avant de brandir sa main vers les animaux et véhicules.
- Vous devez fuir à l’ouest, vite ! Prenez ce que vous voulez, et partez nous sauver !
Mes yeux s’écarquillèrent un instant, mais je n’eu pas le temps de réfléchir puisque la porte s’ouvra en fracas derrière nous, laissant entrer une troupe d’hommes et de femmes mal lunés. N’ayant pas d’autre choix que de foncer vers la première monture qui se présentais à moi, je sautais sur l’âne qui.. Beugla de nouveau.
- PENSEZ À RALENTIR SUR LA BOISSON
Un coup sur les fesses de l’âne, et ce dernier m’embarqua... En trottinant. Alors là, non, mon pote. C’est pas en trottinant qu’on va semer la troupe derrière nous. Alors tu passes à ton mini galop et tu...
De nouveau, mon esprit se mit à établir une stratégie.. Beaucoup trop étrange. Je sortis une seringue de ma sacoche qui semblait renfermer mille et une merveilles, ainsi qu’une poudre étrange. J’attrapais au passage une sorte de fruit des bois violet qui trainait sur un buisson, toujours secouée comme un cocotier sur le trot rythmé de l’âne. Récupérer le jus, y verser la poudre et planter la seringue dans les fesses de l’âne qui hurla de nouveau et accéléra le rythme.
- Mais je suis carrément barbare !
Je lâchais la seringue, dégouté par cet élan que je venais d’avoir. Quelques instants plus tard, Le petit âne galopait bien plus vite qu’à l’initial. M’obligeant à m’accrocher de toutes ses forces à son cou, pour éviter de tomber. Encerclant son ventre de mes jambes, j’étais presque prête à fermer les yeux pour ne pas vomir mon dernier repas.
Michel-Ange Turtles*
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Fallen.
| Conte : Teenage Mutant Ninja Turtles | Dans le monde des contes, je suis : : Michel-Angelo - La Tortue Orange
"Au fond si on y réfléchit bien, le responsable, c'est le poulet non? "
Le groupe derrière lui, Michel-Ange bomba le torse, fier comme un paon. C’était lui non, le chef du groupe ? Le chef c’était toujours le plus fort. Donc c’était forcément lui. S’approchant des paysans, il commença à déclarer d’un ton courtois et semblable à celui qu’il avait déjà vu dans les films. « Holà holà maroufle… Nous ne voulons que paix et guérison sur ton peuple ! Accepte de nous aider, et tu recevras moultes reconnaissances ! »
A ces mots, le paysan qui semblait être le chef ne le comprit pas. Il fronça les sourcils et sembla prendre ça pour un affront. « Pantoufle toi même, mortecouille ! Tu vas mourir à cause de ta langue de Serpent ! »
Et aussitôt, sans prévenir, il s’élança sans prévenir, fourche en avant. Avec l’aisance d’un ninja, Michel-Ange saisit la fourche, l’attira à lui et mit un coup de coude en plein visage au paysan. Ce dernier tomba au sol. Se mettant accroupit, ses fesses proches de sa tête, il passa sa main devant les yeux et hurla : « YOU CAN SEE MEEEEEEE ! » Puis il le fracassa dans un bruit horrible. Mais alors qu’il était en train de s’occuper du chef, plusieurs l’attaquèrent au même moment. Se baissant, esquivant, parant et ripostant à toute vitesse, il fut bientôt plus que débordé. Le boulet qui observait la foule s’agglutiner autour de Michel-Ange se mit à hurler : « IL A ENERVE LA MEUUUUTE !!! T'AS PAS IDEE DE LES ENERVER TOI !! ILS SONT CARREMENT PLUS NOMBREUX QUE NOUS ESPECE D'ABRUTIS !!!»
Une main se posa sur son corps et il entendit murmurer la blonde avec sa douceur et sa voix féline… « T’es encore plus sexy quand tu te bats... »
S’en était trop. Rougissant au maximum, il repoussa la main et les avances de la blonde. Voyant Vaiana en mauvaise posture, il la saisit comme un sac à patate, au grand désespoir de la blonde, qui sembla cracher par terre de dégoût, puis se mit à courir à toute vitesse. Son corps lui permettait simplement d’aller aussi vite que les autres, à cause du poids de Vaiana. Soudain, la jeune femme se réveilla et se précipita vers une fleur en courant, comme si sa vie en dépendait : « ON FERA DU TOURISME PLUS TARD !!! » lui hurla Michel-Ange.
Mais elle insista. Trouvant refuge dans une grange, il y eut ensuite un énorme bruit d’explosion. Cette dernière fit vibrer la porte de la grange avec intensité, puis ce fut le silence à l’extérieur. Parfait, elle venait de tuer une trentaine de personne… Un peu sonné, il n’entendit que très peu la conversation intense et lassive qu’elle eut avec l’âne. Se concentrant sur son environnement, il remarqua que le fermier proposa plusieurs véhicules. Répétant comme un con qu’il fallait aller vers l’Ouest, il fonça vers une voiture à pédale en forme d’Impala, ressemblant comme deux gouttes d’eau à celle d’Emily. L’ayant choisi comme sa baguette choisit son sorcier, il se trouva fort à son aise à l’intérieur. Regardant les autres de haut, il mit une pair de lunette de soleil Aviator. La classe. L’homme répéta encore de partir vers l’ouest… « PNJ à la con… Au moins celui là nous raconte pas sa vie… Allez, on s’casse vers l’Ouest ! YAAA »
Pédalant comme un demeuré vers l’ouest convaincu qu’il était dans la bonne direction, Michel-Ange se mit à doubler tout le monde. Sa force multipliant sa vitesse, il fonça à travers la campagne dans une montagne de poussière. Ses lunettes bien ajustées sur son nez, ce fut un hurlement qui le fit stopper nette. Se retournant, il vit que la Blonde était en mauvaise posture. Cul dans la terre, et sans monture ni véhicule, elle devait juste en tomber, elle tenait son talon brisé dans la main en pleurant et en hurlant. Ne voulant pas laisser une demoiselle en détresse, Michel-Ange fonça vers elle en pédalant, et l’attrapa en vol pour la mettre sur sa voiture à pédale. Bien trop petite pour deux, son corps envahit l’habitacle, et sa poitrine se colla sur son visage. Les villageois les avaient presque rattrapés. C’était moins une… Rougissant et saignant du nez, ses seins heurtèrent son visage à de multiples reprises. La blonde se mit alors à hurler : « MON TALON »
Quelques secondes de silence et d’ignorance passèrent puis elle hurla : « A GAUCHE ! »
A gauche ? Hé cagole ! Comment veux tu que ce pauvre insouciant prennent la bonne direction avec sa poitrine sur son visage. Ignorant il se mit à pédaler tout droit comme un dératé. La Blonde insistante, il finit par perdre son sang froid et gueuler : « TOURNE A GAUCHE TOI MEME TES NENES M’EMPECHENT DE VOIR ! »
Elle en fut offusqué, et elle hurla : « On parle pas de nénés, on parle de poitrine espèce de rustre !! »
Le frappant avec son talon cassé à de multiple reprise au visage, il sentit les hématomes arrivé, ainsi qu’un magnifique œil au beurre noir. Essayant de reste zen, il fit le vide en lui et pensa… « Pense comme Figue, pense comme Emily... »
D’un coup de sang, il la propulsa hors de la voiture. Cette dernière s’envola à une vitesse faramineuse. Sa tête percuta un arbre, et elle mourut sur le coup dans une avalanche de pixel. Se mordant la lèvre de regrets, il ne vit pas le vieil homme qui venait de lui libérer un passage secret… Voilà pourquoi il devait prendre à gauche… Alors qu’il libérait le passage, enlevant un amat de feuille, son corps heurta l’Impala dans un craquement sinistre. Tuant deux personnes pour la première fois de sa vie, Michel-Ange ne pensa qu’à pédaler. Pédaler. Pédaler. Passant le passage secret comme une furie, il déboula dans un laboratoire de recherche. Arrachant tout sur son passage, machines, humains et autres objets, il se fracassa tout au fond de l’établissement… Puis ce fut le trou… Le trou noir.
Nayati Lifebreath
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| Conte : Spirit l'étalon des plaines | Dans le monde des contes, je suis : : Spirit
" Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te délivreras "
Ils étaient environ une trentaine. Rien de bien folichon mais quand on était tout seul ave la force d'une crevette c'était pas forcément évident. Comment j'allais faire ? Vaiana et Le livreur de pizza bodybuldé c'étaient tirés avec la débile de service. D'ailleurs j'allais devoir mettre les points sur les I a Vaiana. Ce pauvre ane ne méritait pas son traitement.
Quand a l'esprit d'équipe... putain dés que je me les rechopais ceux la j'allais leur pousser la geulante de leur vie. Je jetais un regard vers le boulet et soupirais. On laissait personne derrière ca se faisait pas. Je voulais attendre qu'il se mette a l'abris avant de pouvoir faire... ce que je voulais faire même si j'avais pas la moindre idée de ce que c'était. Enfin, lui aussi niveau esprit d'équipe j'avais connu mieux. Je le vis se jetter sur une trotinnette qui, aprés un gémissement douloureux, se cassa en deux dans un craquement retentissant. Le tyne ne réfléchit même pas et bondit sur la moto et en quelques secondes il démara comme un dératé et s'enfuit dans le soleil cou... Se prit un arbre en pleine poire qui l'envoya valdinguer dans le ciel en un magnifique soleil qui se grava dans ma mémoire. Et honnentement j'hésitais entre la mortification et le rire. Enfin je vis les herbes remuer et l'homme se relever toujours entier. Il re grimpa sur sa moto et repartit, beaucoup plus lentement en posant de ci de la le pied sur le sol pour se stabilisé. Bon sang meme sur le chameau il aurait été plus stable...
Quoi que la pauvre bête aurait surement crevé sous son poids.
Bref ! Je jetais un regard autour de moi pour analyser la situation. Je ne voulais pas fuir, je voulais.. tester des théories. Nous étions dans un jeu donc le pire qui pouvait m'arriver c'était de mourir et de revenir, non ? Ou de mourir tout court. Mais bon.
Une autre partie de moi voulait savoir si il n'y avait pas d'autres joueurs dans le coin et surtout : qu'est ce qu'on était sencé foutre ici ? Je n'étais pas un pro des jeux vidéos - en réalité je n'y avais jamais joué - mais je savais au moins deux choses : quand on perdait ses vies on reviendrait - comme nous l'avait prouvé la mort du boulot revenu trop tôt - et que quand on en avait plus c'était game over. Et deuxième point : pour finir le jeu il fallait le gagner.
Et pour le gagner... fallait trouver ce qu'on foutait ici non ?
Bref, je voulais tester tout ca d'un seul coup. Et même si je n'étais pas rassuré a l'idée de laisser ces imbécies crapahuter seuls dans la jungle, j'estimais le manque d'informations bien plus dangereux que des crocodiles. Ou que de laisser Vaiana/Blondie me planter une seringue dans les
Je me mis à chercher une planque . dans une grange , ce n'était pas forcément la chose la plus évidente à faire . trouver quelque chose qui empêche rêver balle de me trouver pas une passoire semblait relever du défi . Je voulais trouver quelque chose derrière lequel j'aurais pu me planter et sortir rapidement. Quand à eux, ils entreraient et jetterais d'abord en œil sur la pièce avant de me voir. De là , nous pourrions négocier sens que je me fasse tuer . Enfin c'était ce que j'espérais . j'attends dit quelques minutes jusqu'à ce que brutalement la porte ne s'ouvre et ne laisse pas c'est un commando contrat , jeter un coup d'œil dans la salle et mirent de longues secondes à voir qu'il n'y avait personne sans même se tourner vers moi. Stupéfais, je ne pensais même pas à les interpeller et vit de nous eaux hommes entrer à leurs tour. Cette fois , j'étais sûr que mon compte était bon mais contrairement à ce que je pensais il firent exactement le même manège est passèrent à côté de moi sans me voir . pour un peu les bras m'en tomberaient. Au bout d'une dizaine de personnes dans la grange , il se mire tout centime indienne et sortir en passant à côté de moi sans prêter attention à ma modeste personne . en même temps je le gabarit que je me prenne , moi aussi je me serais ignorer . mais bon.
J'avais prévu de leur demander pourquoi exactement il nous poursuivaient et essayer de voir s'il y avait d'autres gens dans ce jeu , mais bizarrement se plan ne me semblait plus aussi génial qu'il y avait quelques minutes . Ces gars avaient autant de neurones que musclor. Enfant les épaules , je finis par les suivre tranquillement comme si je faisais moi aussi partie de l'expédition . M'intégrer au groupe me semblait être la meilleure technique de survie . je ne me voyais pas , avec ces bras de fille , attraper un mec et le mettre KO pour lui prendre son arme .
Mon groupe de civil pas doué avait miraculeusement disparu (mais bon une partie de moi estimait que ce n'était qu.une question de temps avant qu'ils ne provoquent une catastrophe qui m'indiquerai la route à prendre ) et ma nouvelle tribune, après avoir marché pendant un moment , me sembla totalement... perdue .
"Merde ou est qui sont partis ces bouseux ? s'exclama un type de l'esquade avant de se tourner vers moi et de me jeter un coup d'œil . "Toi , t'as des lunettes, c'est pas commun, tu dois bien voir avec... Sont ou alors ?
Retenant une phrase qui aurait pu me mener droit à la mort je tentais de me prêter au jeu . Rapidement , je jettais un regard aux alentours et fini par dire d'un ton égal ancien :
"Il sont en train de se diriger vers notre base."
Et contre tout attente , ça fonctionna.
"FICHTRE ! TOUS AU CAMP !"
Il fit un geste et tout le monde se mit à trottinette derrière lui pour se diriger vers la base. heureusement pour moi j' arrivais à suivre le rythme , et arrivais en même temps que la troupe dans une sorte de village miteux avec des cabanes pourries . Sans perdre une seconde - et pour ne pas me faire démonter quand ils se rendraient compte que je les avais mené en bateau - je l'éclipse et me faufilais entre les maisons pour tenter de trouver un poste d'armes ou un poste de commandement . De la , si j'arrivais à choper une radio où une arme j'avais encore une chance ça va sortir . Le village était totalement vide , les gens semblait avoir disparu fait-il n'était pas difficile de comprendre que mes charmant nouveau compagnon avec pris possession de l'endroit au détriment des habitants .
Malheureusement , mes pérégrinations furent interrompues par de violents coups portés contre une porte de cave . Celles-ci donnait sur l'extérieur mais semblait verrouiller par un énorme cadenas rouillé . Méfiant, je j'étais tout de même un regard autour de moi pour voir un énorme pot de fleur retourner que je poussais du bout du pied . il roula et oh miracles je trouvais une clef dessous . Rapidement , je revint a la porte de la cave et m'en approchais.
Je finis par toqué à la porte est demandais :
"Hum... Y a quelqu'un ?"
Savait on jamais qu'il s'agissait d'un animal. J'entends dit brusquement un gros gros longue comme si quelqu'un venez de se précipiter contre la porte de la cave et se mit à crier
"Sortez moi de la ! Sortez moi de la s'il vous plaît !"
"Calmez-vous bon sang, on vas nous repérer. Je vous ouvre du calme !"
Appelle la porte est est-elle entre ouverte que l'homme l'enfance à et l'ouvrir en grand avant de se précipiter à l'extérieur en panique , braillant de toutes ses forces :
"FUYEZ, FUYEZ ILS SONT FOUS !"
Et forcément mes charmants amis ne mirent pas longtemps a rappliquer.
"J'ai entendu quelque chose par là-bas"
Et voilà il me me restait que quelques secondes avant qu'il ne débarquent. Tout ça à cause d'un vieux fou . super . j'étais prêt à attraper et à me carapace et avec lui quand , après un pas , je sentis quelque chose butée contre mon pied . je finis la tête sur le sol , la bouche pleine de terre et au moment où j'allais me relever je sentis un poids s'abbattre sur-moi de toute ses forces . j'eus à peine le temps de jeter un œil pour voir qu'une saleté de liane c'était coincé dans ma basket "Putain mais ça traine partout ça !" avant de sentir tout l'oxygène de mes poumons s'en aller comme si on pressait un ballon .
Je pris une inspiration douloureuse avant qu'un second poids ne s'abatte sur moi, puis un troisième. À croire que mon dos etait le nouveau bar branché, et rapidement ils furent suivi d'une dizaine d'autres. J'entendais meme leurs voix brailler comme venant de loin :
"Plaquage ! Plaquage ! Plaquaaaage !!!"
Au bout de quelques secondes , je trouver sous les corps , incapable de faire le moindre mouvement. Il ne me reste qu'une seule chose à faire , c'était de faire le mort . au bout de quelques instants m'avoir réussi à se lever , totalement etroufee, par dessus la masse compacte qui m'ecrasait.
"Les gars... Chuis avec vous... Il s'échappe, choppez le..."
"MENTEUR ! MENTEUR ! Tu nous as trompé et tu as tenté de libérer notre prochain repas !"
Leur prochain repas ? Ces mecs étaient cannibales ? mais jusqu'où l'humanité aller seul descendre ? et puis pendant une seconde un éclair de génie. Enfin , un éclair de génie c'était vite dit . mais la terreur des paysans est l'attitude de ces gens-là commencé à me faire voir la situation c'est un nouveau Tours . après tôt j'étais bien cheval qu'on avait balancer dans le corps dans mon ? Et si il n'aurait fait arrivé la même chose ? je n'arrivais pas à concevoir que des êtres humains puisse se bouffer entre femmes et que des animaux va manger des humains ça me paraissait tout à fait possible . et cela expliquerai la terreur des paysans. Je n'etais pas stupide , j'avais vu le film de Jumanji avec Mary en soi et je savais que en gros c'était une histoire de gens dans la jungle . dans la jungle il y avait des tasde bestiole non ?
"Mais non je voulais juste le préparer ? Il m'a dit qu'il était prêt à se faire passer à la broche . Je l'ai cru, je suis un âne."
Je senti simplement un gros coup à la tête et sombrais dans les tenebres. Lorsque je me réveiller , il faisait toujours aussi noir et ma tête me faisait toujours un mal de chien . mais au moins , j'étais en vie et pas suspendu au-dessus d'un feu de camp. Je suppose et que j'étais dans la cave , l'absence nde lumière et de vent ne me laissait pas beaucoup d'autres alternatives.
Bon et bien au moins il ne m'ont pas encore bouffer. Lachais je en tendant l'oreille pour voir s'il y avait quelqu'un .
"T'aurais pu éviter de manger le seul. Pas très pratique comme sauveur."
De un il allait se calmer illico, j'avais bouffer personne moi. La voix de la gauche avait interet a se calmer, pourtant malgrès la situation j'eus un petit sourire moqueur.
"J'ai jamais dis que je venais sauver qui que ce soit ma belle. Ou mon beau, comme tu veux."
Aprés tout je le jugeais pas.
"T'avais envie de te faire manger aussi ?"
"Pourquoi, t'as envie d'un casse dalle ?"
"Il te manque une case ou c'est juste qu'ils t'ont tapé un peu fort sur la tête ?"
J'haussais les épaules.
"Je suis du genre serviable que veux tu. Et toi tu es ? "
"Pierrick. Et toi ?"
"Nayati. Enchanté "
Je jetais un regard autour de moi sans rien voir de vraiment concluant. du noir, du noir et du noir encore. Super déco en somme. Je tendis tout de même les mains sur le sol autour de moi et effleurais différentes choses.. Un truc gluant, épais et collant au doigt... J'avais pas besoin d'un dessin pour deviner que c'était du sang. y avait même de petits trucs dure que je ne pensais pas être des brindilles de bois pour le coup. A, sur ma droite je sentis une commode que je commençais a éffleurer a taton. Une commode dans une cave sérieux ? Avec un peu de sens on pourrait bariccader la porte déja... Ah, une table. Plus tot petite et humide....ca gouttait sur le sol, sur des cartons.
"C'est quoi ce bazard ?"
"Les précédents repas."
La voix de Pierrick avait retentit dans la piece et c'était répercutée contre les murs, laissant un grand vide derrière elle.
"Mh... super. Encore un peu et je redeviens végétarien"
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| Avatar : Shay Mitchell :tombe:
Me regarde pas comme ça, un peu de sport ne te ferais pas de mal. Ca te réussis pas franchement de fricoter avec une pâtissière, enfin... Je dis ça, je dis rien...
Don't let little stupid things break your happiness
| Conte : Vaiana, la légende du bout du monde | Dans le monde des contes, je suis : : Vaiana
Tentant de contrôler mon âne comme je le pouvais, je culpabilisais encore de l’avoir piqué avec cette seringue. Mais qu’est-ce qui m’était passé par la tête, vraiment ?! A moins que ce ne soit une pulsion du personnage que j’incarnais. Dans tout les cas, j’avais du mal à me le pardonner. Je restais encore sceptique sur ces méthodes, même si je ne montrais rien.
Je vis le pizzaïolo me dépasser à toute vitesse avec sa petite voiture à roulette qu’il faisait avancer à une vitesse extraordinaire. Et.. Des pieds dépassaient. Des pieds chaussés d’un talon aiguiller. Non... ?
- C’EST PAS LE MOMENT DE CONCLURE PUTAIN !!
Hurlais-je hors de moi. Je n’étais même pas sûre qu’il m’ait entendu. Franchement, on essayait de fuir, et il.. Je ne préférais même pas savoir ce qu’il faisait avec la tête dans sa poitrine. Je regardais rapidement en arrière cherchant Nayati du regard. Mais mon regard fut ramené devant par un cri... Il venait de dégager la blonde qui hurlait. Cette dernière était à moitié assommé, mais proférait des insultes assez imagées à mon goût.
Je profitais qu’elle lève le bras pour lui attraper. Malheureusement trop faible, elle ne pu pas monter sur l’âne, et se prit simplement un coup de sabot en pleine tête. Sérieusement... Quelle équipe de bras cassé. Je fis donc un demi tours absolument pas contrôlé qui manqua de me faire tomber. Je revins sur mes pas avant de tirer de toutes mes forces sur l’âne pour le faire ralentir. Il resta dans un pas rapide le temps que j’attrape la blonde au passage.
- Accroche toi, je ferais pas deux fois l’allé retour !
La blonde continuait de jurer, avant de se cramponner à moi comme une possédée. A la limite de ne plus pouvoir respirer, je donnais une tape sur ses bras pour qu’elle laisse du mou.
- Pas... Si.. Fort..
Articulais-je dans un souffle. Correctement accrochée, et bien solidement, je donnais un coup de talon à l’âne qui fusa vers l’avant. Mais non crétinus !! En arrière ! Après un demi tour plus large que le premier pour ne perdre personne, je vis musclor percuter de plein fouet un homme nous proposant de l’aide, tout en entrant dans sa sorte de.. Tanière.. A toute allure.
- Franchement, j’en ai marre. Y’en a pas un pour rattraper l’autre.
- J’vais l’tuer, j’vais l’tuer il va pleurer sa mère.
Ca ce sera pas bien difficile, vu le personnage. Déjà, quand il verrait l’expression de rage de la blonde, je pense que, malgré ses muscles, il se terrerait certainement dans un coin en pleurant. Personnellement, ce n’était pas mes affaires, ils régleraient ça entre eux. Lâchant l’âne, je descendis, me rattrapant de justesse sur la blonde qui trébucha et finit la tête dans la boue.
- Désolé !
Lançais en entrant dans cette fameuse tanière, la laissant se débrouiller seule. Elle saurait bien se relever, et j’aurais largement le temps de la calmer plus tard, là une chose urgeait : La survie de notre sauveteur. Entre guillemet bien sur. Il était allongé par terre, toussant un peu de sang.
- Est-ce que vous allez bien ?
Il posa lentement ses yeux vers moi en déglutissant difficilement. Il pissait le sang, j’avais rarement vu quelqu’un aussi mal en point.. Mais survivant tout de même. Il avait la moitié du visage.. Ecraser, des plaie béante un peu partout et une ouverture à la gorge plutôt inquiétante. J’étais légèrement surprise qu’une voiture ait pu faire une plaie pareille mais... Peut être.
- Le tiroir.. Les bandages...
Des bandages ?! C’était tout ?! Il avait levé le bras vers le tiroir d’un de ses bureaux. Je me levais rapidement, fusillant le bodybuilder du regard.
- Félicitation pour ton entrée fracassante.
Tuer un des hommes pouvant possiblement nous aider. Brillant. Il aurait pas pu foncer dans la foule derrière et liquider plutôt nos poursuivants. Une fois deux bandages en main, je revins vers l’homme dans le bout de tenter d’éponger la plaie dans son cou. Il leva la main faiblement pour m’en empêcher.
- Aux poignets... Pas autre part..
Mes yeux s’écarquillèrent. Il délirait à cause de la perte de sang. Je tentais d’insister mais l’homme rassemblait le peu de force qu’il lui restait pour m’en empêcher. La conclusion était de toute manière rapidement tirée.. Sans un soin puissant, il ne se rétablirait pas.. Il allait rendre l’âme d’ici quelques minutes, à la vitesse où il perdait son sang. Autant lui faire plaisir.
- D’accord, sur les poignets..
Je lui enroulais le bandage sur le premier poignet, avant de le coller avec un bout de sparadrap. Je m’apprêtais à me relever pour détourner le regard lorsque je vis la plaie de son cou se refermer. Ma mâchoire failli se décrocher alors que l’homme tendait son autre bras.
- L’autre.. Poignet...
Estomaquée, j’exécutais ses ordres, tout en observant l’homme qui reprenait des couleurs. Ces bandages n’avaient rien de spécial.. Ils ne semblaient pas magique... Une fois l’autre posé, l’homme ferma les yeux un instant, puis se releva, toujours couvert de sang, mais plus de blessure.. Plutôt de cicatrices.
- Est-ce que vous pouvez... M’expliquer.
Il sembla étonné de ma question. Non franchement, elle semblait si irréelle que ça ma question ? J’ouvrais un peu plus grand les yeux, insistant pour qu’il me réponde.
- Eh bien, les bandages sont notre matériel de soin le plus efficace. Ils soignent tout type de blessure. J’avais prévu ça pour vous, mais apparemment, il n’y en a plus, dommage.
Nouveau regard assassin vers Michelangelo. J’avais envie de le tuer. Il semblait encore sonné par le choc que lui aussi avait reçu en s’écrasant contre le mur. Ce n’était pas encore ça qui allait me faire de la peine, au contraire.
- Il lui faudrait un bandage à lui aussi..
- Oh, j’ai mieux ne vous inquiétez pas.
Je pris l’une des bouteilles d’eau qui jonchait son bureau en bazar, pour lui déverser sur la tête, sans aucune pitié. A cause de lui on avait perdu deux bandages, qui auraient pu être essentiel dans notre survie, et en plus, nous avions perdu Nayati. S’il n’avait pas fait de bêtises nous serions certainement..
Je me fis bousculer par la blonde qui entrait en furie, le visage partiellement nettoyé. Elle déchaussa son talon aiguille en regardant Michelangelo. Ouh, sa vengeance n’allait pas être agréable, je le sentais bien.
- Ca, c’est pour être irrespectueux envers les femmes ET pour m’avoir dégager à une mort certaine.
Elle.. Je détournais le regard, ne laissant que le son me confirmer que son acte avait été mené jusqu’au bout. Elle planta son talon aiguille dans l’un des yeux du pizzaïolo. Lorsque je me retournais, elle avait remis ce dernier couvert de sang. Et le corps bodybuildé gisait, apparemment mort sur le coup.
- MAIS T’ES MALADE ?! On a plus de bandage ! Mais sérieux on est déjà assez dans la merde et tu réduis notre groupe encore une fois ?!
L’homme derrière s’approcha, près à intervenir. Mais malgré la fureur que j’avais contre elle, je ne comptais pas la toucher. J’étais encore assez intelligente pour ne pas ramener le nombre de personne de mon groupe à un.
- Si vous permettez..
- La ferme !
Ma voix claqua alors que je me mettais à faire les cents pas, la blonde venait certainement de réaliser son acte et pleurait à côté du cadavre. C’est quoi cette équipe bon sang.. J’étais tellement bien tombée. En attendant, l’homme à côté la rassurait en regardant son bras, et en lui certifiant qu’il reviendrait, puisqu’il avait encore deux vies. Deux vies ? Cette explication m’aurait très certainement intéressée si je n’avais pas été entièrement prise dans ma réflexion de retrouver Nayati. Il fallait le retrouver. Il avait certainement du être attrapé par ces habitants. Il fallait retourné au village, discrètement, puisque nous serions certainement guetté. Mais... Rapidement. Qui sait, peut être qu’ils allaient s’en prendre à lui...
- Il nous faut une façon d’aller rapidement au village. Rapidement et discrètement.
L’homme réfléchit un instant. Il ouvrit la bouche, puis la referma, en me regardant l’air penaud. Mais qu’est-ce qu’il me faisait, rapidement c’était pourtant clair non. D’une toute petite voix, il murmura.
- Je peux parler alors ?
Ma tension monta d’un cran. J’allais vraiment le tuer. Faire un meurtre. Je m’en fichais, tout cela allait devoir cesser.
- Oui, bien sur.
Grinçais-je entre mes dents. L’homme sembla fort ravi de pouvoir aider. Il se redressa donc, pointa un doigt devant lui et commença un long, lon discours, puisqu’apparemment il s’agissait d’une personne suicidire.
- Pour consulter votre fiche personnage, j’avoue n’avez qu’à pincez votre téton, ensuite, comme vous avez du le remarquer, vous ne mourrez...
- UN MOYEN D’ALLER AU VILLAGE VITE ET DISCRETEMENT !
L’homme sursauta avant de se ruer vers son étagère et d’y déplacer un bouquin, dévoilant une statuette. De chevalier, brandissant son épée. Il abaissa cette dernière et l’étagère grinça puis se déplaça, dévoilant un passage.
- Merci, et à jamais.
J’attirais la blonde avec moi et je passais le tunnel, entendant derrière l’homme crier.
- Gauche, gauche, droite et tout droit jusqu’à la sortie !