« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Dites moi un baiser est-ce que c'est aussi chanceux qu'une patte ?
Est-ce que j'avais rendez-vous aujourd'hui ? Non pas du tout ! Je tapais l’incruste au cabinet de mon médecin pour le coeur . Est-ce que j'avais appeler sa secrétaire ? Non pas du tout ! Et je n'avais pas envie d'entendre, ni même parler a une demoiselle. Et toute façon j'avais égaré la petite carte professionnel de mon psychologue avec le numero de telephone, quelque part dans la chambre de ma coloc. Parce qu'en ce moment c'est un peu le bordel, je n'ai pas le moral de faire le ménage. Ne vous inquiète pas il n'avait pas de bouffe qui marchait tout seul encore ! Quand je parlais de ménage pas fait. C'est que je n'avais fait pas mon lit . Ramasser mon linge sale d'hier soir , pour le mettre à laver. Ramasser les objets qui traînaient , comme les petits jouets de mon petit singe, mes petits objets personnels, comme mes fameuses revues , mais aussi ma collection d'objets un peu étrange dans celle ci j'avais une poupée sans tête. Mais pourquoi agir de la sorte ? Parce que j'avais besoin de parler. Alors pourquoi pas aller voir mes copains ? Parce que je voyais mal Jace mon meilleur ami , lui parler de ma vie dans les intimes détails. Il était plus présent pour me changer les idées. Alec lui ne connaissait rien aux femmes, par contre il pourrait me conseiller sur ce fameux baiser que j'avais eu avec un homme. Mais Alec était un peu trop timide sur ce genre de sujets. Et mes autres amis n'étaient pas assez proche de moi pour que je me vide le coeur. Il avait aussi Park que je pourrais aller voir , mais ma colocataire avait des soucis personnels plus importants que les miens. Il avait aussi Ava, mais je préférais lui demander des conseils de drague . Et tout façon qui pourrait comprendre que je souffre d'une dépendance aux princesses. Et que j'ai besoin qu'on me prescrive des calmants pour les princesses, parce qu'elles allaient me rendre fous, à force de me faire jeter, buter et tout le reste. C'était l'une des raisons pourquoi j'avais besoin de consulter quelqu'un qui avait un avis neutre. Le sujet que j'avais envie de parler avec lui n'avait aucun lien avec les princesses, enfin pour le moment, mais avec ce fameux baiser que tout le monde avait entendu parler. Le baiser que j'avais partager , il a quelques mois, avec un lapin chanceux . Est-ce que ce baiser allait m'apporter de la chance ? Est-ce que ce baiser représentait quelque chose pour moi ? Comment s'était passé ce baiser parce que seul Dyson et moi avions la réponse. Mais seulement moi c'est le pourquoi ce bisous .. Donc le docteur allait découvrir les moindres secrets.
Il était très tôt ce matin là , cinq heure du matin environ , la réceptionniste et le docteur n'étaient pas encore arrivés pour commencer leur journée. Moi j'étais allongé dans le canapé du bureau. J'étais vêtu de mon bas de pyjama bleu et de mes pantoufles en têtes de singe. Je n'avais pas de chemise de nuit, j'étais donc torse nu. Ma chevelure noire corbeau était décoiffée. J'avais même apporté une couverture que j'avais installé sur mes jambes. J'avais allumé une petite lampe, car j'étais en train de feuilleter une revue avec mon ex fiancé sur la couverture. Je lisais les articles sur elle, avec attention, car Jasmine serait sans doute un sujet que je voudrais aborder avec mon psychologue. Pendant j'étais occupé à lire , Amira ma petite capucine était sur le bureau en train de dessiner des barbeaux sur des feuilles, des dossiers qui traînaient sur celui-ci. Elle aussi portait un petit pyjama à sa taille. Un petit pyjama violet, avec une petite boucle dans son poil. Nous étions mis très à notre aise... Quand tout à coup , quelqu'un tournait la poignée..
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Encore endormi, j’avais doucement ouvert les yeux lorsque je sentis une petite truffe me tirer de mon sommeil réparateur. Sans me laisser une minute de répit, le petit panda roux de Matthew me taquinait pour que je consente enfin à lui donner un peu de nourriture… qu’il insiste encore un peu et ce sera mon pied dans son joli derrière roux que je lui donnerais ! « Mais fiche-moi la paix, saleté de panda ! ». Ma tête était encore douloureuse ! Je m’étais pris une cuite monumentale la veille et j’en payais le prix ce matin. Me tournant un instant sur le côté, je me blottissais dans mes couverture pour ce maudit courant d’air qui courait sur ma peau dénudée. Je pouvais encore sentir le parfum vaporeux de la magnifique sirène qui avait partager mes draps la veille. Bien sûr, il n’y avait plus aucune preuve de la présence de cette fille dans la maison. Je n’allais pas m’en plaindre ! C’était qu’une aventure d’une nuit et malgré les compétences exceptionnelles de la demoiselle au lit, je ne tenais pas à la voir le lendemain. Il n’y avait que le sexe qui comptait pour moi, l’Amour ça passait au troisième ou au quatrième plan !
Les geignements de cet animal malodorant me tirant hors de mes pensées, je me relevais enfin de mon lit et enfilait une robe de chambre trouvée dans la penderie du gamin. Je n’avais jamais compris ce qui avait motivé Matt à s’acheter ce paillasson rouge. Un moyen de combler un manque affectif peut-être ? Parce que c’est clair que mon alter-ego était à la ramasse en ce qui concernait les histoires de cul ou de cœur ! J’osais à peine imaginer ce qu’il lui faisait subir à cette pauvre bête loin des regards indiscrets. Une fois correctement vêtu, j’allais jusqu’à la cuisine le petit monstre collé aux miches. En ouvrant le frigo, je découvris un petit bol de pommes que le gamin avait soigneusement coupées. Au moins une bonne chose que je n’aurais pas à faire moi-même ! Saisissant le récipient dans les mains, je posais la gamelle à sa place habituelle. En guise de remerciement, le panda me sauta dessus pour avoir ses fruits. « Eh tu te calmes, le rouquin ! Sinon tu finiras en descente de lit ! ».
Je m’occupais alors de mon propre estomac. Un petit pain dans la main, je me servis un café avec une bonne dose d’aspirine. Un truc me chagrinait dans ma situation… je ne m’étais jamais réveillé en tant que moi ! D’ordinaire c’était le gamin qui avait à subir les effets secondaires de ses propres métamorphoses. Alors quoi ? Le sérum avait un défaut ? Est-ce que j’étais devenu le seul maître à bord ? Il faut pas rêver, ça risque pas d’arriver ! Mais peut-être qu’aujourd’hui je pourrais vivre sa vie de tous les jours. Cette idée n’était pas pour me déplaire et alors que l’heure de partir travailler approchait, ce fut moi qui débarquait devant mon bureau tout de noir vêtu.
A peine étais-je arrivé sur place que je croisais l’assistante de Matthew. La sublime Jane MacIntosh m’adressait un regard inquiet. Je n’avais pas besoin d’ouvrir la bouche pour qu’elle comprenne ! Mon costard et mon charme naturel parlant d’eux-mêmes. « Ce n’est quand même pas vous qui venez travailler à sa place ? Il est au courant que vous êtes ici ? » « Ecoute Jane chérie, le gamin a bien le droit de se reposer un peu ! Et puis je suis sûr sur que je m’en sortirais bien mieux que lui à ce petit jeu ! ».
Sans ajouter un mot, je rentrais dans mon bureau Jane sur les talons pour assister à un spectacle bien particulier. Un spectacle qui ne manqua pas d’attiser la curiosité de la belle rouquine « Monsieur Nacer ? Que faites-vous ici ? Vous n’aviez pas pris rendez-vous à ce que je sache. » A cet instant, je ne l’écoutais même pas. J’étais bien trop occupé à dévisager le magnifique Apollon allongé sur mon canapé. C’était plutôt agréable comme surprise de bon matin. Je me tournais vers Jane tout en me glissant dans le rôle de Matt. « Ca va aller Jane ! Je vais m’en charger ! » L’assistante retourna vers son secrétaire et saisit entre ses mains le dossier griffonné du fameux Ali Nacer. Elle vint me le donner tout en murmurant. « Tâchez de faire correctement votre travail. Sinon j’en aviserais je vrai Dr Jackman » « Sois une gentille fille Jane, prépare deux tasses de café ! » Pestant à mon adresse, elle s’éloigna sans un mot.
C’était à mon tour de rentrer en scène « Bien monsieur Nacer, à nous deux maintenant ! » Je m’asseyais sur mon fauteuil et parcourut en vitesse le dossier, aidé en cela pas mon excellente mémoire. Je relevais mon regard vers la frimousse d’ange qui me faisait front. « Bien Ali, pourquoi teniez-vous tant à me voir ? »
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Ali Nacer
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Dites moi un baiser est-ce que c'est aussi chanceux qu'une patte ?
La porte s'ouvrait et je ne bougeais pas d'un poil contrairement à ma petite capucine qui montrait les dents et qui tapait sa queue contre le bureau, en voyant Jane m'adresser la parole. Mon petit singe n'aimait pas les femmes surtout celles qui osait s'adresser à elle. Elle était possesive envers moi , mais c'était aussi sa manière de me protéger de ses briseuses de coeur. La demoiselle était accompagné de mon psycologue , que j'analysais quelques secondes du regard , avant de retourner Un psycologue qui n'était pas habillé comme d'habitude. Il portait un habit propre. Pourquoi ? Il s'était fait une petite amie ? Quelqu'un lui avait une critique sur son ancien look ? Non mieux que ça , il avait décidé par lui-même d'aller voir qui était ma patronne : Lena , après notre précédent rendez vous ou nous avions discuter d'elle. Et elle avait décidé de reelooker. J'avoue que vêtu de cette manière , il ressemblait à un '' Chaud lapin''. Certes certains de ses patients n'auraient pas remarquer son changement, mais j'étais une personne très observatrice. Tellement observatrice que j'avais l'impression qui avait fait de la musculation. Il semblait un peu plus large des épaules. J'avoue que je devrais y remettre moi aussi , je commençais a prendre de la bédaine à force de manger des pots de crèmes de glacés à force de dévorer ma déprime. « Monsieur Nacer ? Que faites-vous ici ? Vous n’aviez pas pris rendez-vous à ce que je sache. »
Monsieur Nacer , je grimaçais à ce nom. Parce que j'avais l'habitude qu'on m'appel simplement Ali ou même Aladdin. Après tout ce nom de famille n'était pas celui de mon père. Il m'avait été accordé par cette maudite malédiction, pour ma fausse identité. Enfin pour une de mes fausses vies que je n'avais pas eu le souvenir d'avoir inventer. En plus c'était quoi le but d'avoir un nom de famille ? Mes parents n'avaient même pas pris le temps de m'offrir un nom en lien avec son père qui m'a tout simplement abandonné parce qu'il avait préféré aller à la chasse au trésor, quand le véritable trésor il l'avait devant lui , c'était ma mère et moi. Comment je savais tout ça ? J'avais fais consulter une oracle dans le passé qui m'avait réveler des choses et j'avais eu la chance d'en découvrir plus sur mon passé grace à ce pirate qu'on m'appelait moineau. Et pourquoi mon nom de famille était '' Nacer'' ? Savez vous ce que cela signifie dans ma langue '' Sauveur '' . Oui autrefois j'étais un sauveur de royaume . J'avais épargner à mon peuple la souffrance d'un Tyran. J'avais empêcher une princesse d'être l'épouse d'un homme qui ne l'aimera jamais pour ce qu'elle est.. Mais depuis des années ce héros que j'étais est mort.. Tuer par l'amour que je ressentais pour cette princesse.. L'histoire commence par cet amour déchu . Nacer aurait été aussi le nom qu'elle aurait porté si elle aurait été mienne.. Malheureusement , je ne suis que le seul héritier de ce nom. Je foudroyais donc du regard cette dame, qu'il venait jouer dans une plaie profonde de mon existence.
Elle me demandait de ce que je faisais ici ? Cette secrétaire était aveugle ou quoi ? Pourquoi je serais dans un cabinet de psychologue ? Parce que j'avais envie de déballer mes problèmes. Avoir une oreille attentive. Et certainement pas elle, qui allait m'écouter. Les femmes n'écoutent jamais ce que les hommes ont à dire pour leurs défenses. C'est toujours les hommes : le problème ! Pourquoi je prendrais rendez-vous c'était là que j'en ressentais le besoin de bavarder.. Pas dans quelques heures.. Ni demain ! Je répondais donc à la dame : - Je suis là , pour vous prouver que n'importe qui peut entrer par effraction dans le cabinet de Monsieur Jackman .. Vous avez oublier de verrouiller derrière vous..
Puis je retournais à ma lecture en souriant parce que je voyais bien du coin d'oeil que le Docteur me dévisageait avec envie. Mais je lui disais rien , car il fallait bien que j'en profite un peu. Et si un homme me trouvait attirant. Pourquoi une princesse ne pourrait pas me trouver de son goût ? Parce que les femmes cherchent la perfection . Amira quittait à cet instant le bureau pour venir me rejoindre, et monter sur moi. Elle s'installait en petite boule sur mon ventre. Je commençais du bout des doigts, à la caresser. Elle était contente par elle tournoyait sa petite queue autour d'un de mes doigts. Jane revenait quelques instants avec un dossier en mains. Mon dossier.. Il était d'une bonne épaisseur. Pourquoi ? Parce que ma vie était mouvementée. Ma vie était remplie d'aventures , donc j'avais beaucoup péripéties a raconter. Parfois quelques unes étaient des mensonges. Pourquoi ? Simplement parce que mentir était une façon de me protéger à l'égard de certaines choses . Et à travers tout ça , il avait mes problèmes de princesses. Jane disparut de notre vue, quand le psychologue demandait d'aller chercher deux tasses de café.
Puis c'était à son tour de m'appeler Monsieur Nacer. Je décidais donc de lui lancer un regard mécontent. Et de m'étirer le bras par la même occasion pour mettre le magazine dans mon sac, qui était proche de moi, adosser au canapé ou j'étais allongé. - Ça vous dérange qu'on soit plus intime ?.. Vous pouvez m'appeler Ali . Après avoir pris quelques instant pour lire mon dossier . Il me demandait pourquoi j'étais venu le voir.. Vous souvenez de ce baiser que j'ai partagé avec l'adjoint du maire , un de vos collègues Psychologue .. Dyson ? Je croyais que ce baiser allait me porter chance , mais finalement j'ai autant de malheur qu'avant.. J'ai même été kidnappé par un paquet cadeau pour aller dans un royaume et je suis tombée sur Jasmine.. Donc je viens chercher des réponses pourquoi il n'a pas fonctionner ? Je croyais que votre collègue était un lapin chanceux !
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Je souriais en assistant à cette petite scène surréaliste. Je ne prononçais pas un seul mot, me contentant de conserver mon attention braquée sur la belle surprise que mon premier jour de travail m’avait amené. Si tous les patients et patientes de Matthew étaient aussi plaisants à regarder, il est certain que je n’allais pas m’ennuyer ! Cependant, Jane se plaisait à briser mes rêveries en se déchaînant envers le bel Indien, lui reprochant ses mauvaises manières. Je soupirais alors tout en levant les yeux au ciel. Pourquoi diable se formalisait-elle pour si peu ? Elle était dans sa mauvaise période du mois, ou quoi ? A moins que ce soit le fait de m’avoir vu quelques minutes plus tôt qui l’avait rendue toute chose ? Pour enfin avoir la paix, je l’avais priée sourire aux lèvres de bien vouloir m’apporter le dossier du plaisant patient avant de lui rappeler son devoir de secrétaire… Nous apporter nos boissons pour notre séance, ça et son devoir sacré de satisfaire les fantasmes ardents de son patron ! Mais nous aurions encore le temps pour ça et j’espérais secrètement que mon patient aurait la décence de s’en charger. Une séance payée en nature ? Ce n’était pas pour me déplaire ! Eh puis cela empêcherait le gamin d’utiliser son argent de poche pour en faire n’importe quoi !
Cependant, en cet instant je n’avais envie que d’une chose. Poser au plus vite mes fesses sur le premier fauteuil confortable que je trouvais ! C’est ce que je fis dès l’instant où ma charmante assistante obéit docilement à mes instructions. Un dossier compliqué que celui de ce type ! C’était à croire que ses consultations prenaient les trois quarts des heures de travail de Matt ! Je n’avais cependant pas pu m’empêcher de laisser un rictus apparaître sur mes lèvres au moment ou l’Indien m’adressa sa première requête. Si ça me dérangeait qu’on soit plus intimes ? Je levais mon regard vers lui et haussais simplement les épaules. « Pas le moins du monde, Ali ! Le patient est roi ! ». Je m’empêchais d’ajouter quelques remarques bien senties et salaces de mon cru, après tout j’étais sensé ressembler un minimum à Matthew. Autrement dit, passer pour un coincé incapable de voir la Beauté même quand elle se trouvait à quelques mètres de lui ! Je choisis donc de plonger le nez dans le dossier afin de glaner quelques informations importantes avant de relever mon regard vers lui.
C’est alors que j’eus le malheur de lui demander ce qui l’amenait dans mon cabinet. En un instant, Ali s’enflamma débitant tellement d’informations à la seconde que mon pauvre petit cerveau englué dans une gueule de bois de tous les diables ne put en retenir que le plus strict minimum et à mon sens l’essentiel. La seule évocation du prénom de Dyson suffit à titiller ma curiosité. Je haïssais ce psy du plus profond de mon âme ! Il s’était mis en tête de me combattre en aidant Matthew à guérir de sa soi-disant schizophrénie. Je ne savais ce que je devais trouver le plus comique dans cette situation ! L’espoir insensé du gamin qui croyait dur comme fer pouvoir un jour se débarrasser de moi ? Ou le psy qui se faisait des couilles en or avec un cas aussi désespéré que celui de mon alter-ego ? Remarquez, j’avais beau le haïr profondément, je ne pouvais m’empêcher de reconnaître que le Doc avait un certain panache. Ali ne venait-il pas de me dire qu’il avait profiter de la profonde naïveté de l’Indien pour l’embrasser ? C’était touchant et très encourageant pour la suite de l’entretien ! « J’ignorais que vous étiez quelqu’un de superstitieux Ali ! » Superstitieux ou complètement stupide ? Il faut dire que les deux allaient souvent de pair. J’étais cependant curieux d’en apprendre plus sur cette histoire. S’il m’était donné l’occasion d’en connaître un peu plus sur les goûts de mon sublime patient, pourquoi m’en priverais-je ? « Je suis navré Ali, je viens de passer une nuit épouvantable. Est-ce que vous pourriez vous attardez quelques instants sur ce fameux baiser et me dire qui s’est passé exactement ? »
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Ali Nacer
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Dites moi un baiser est-ce que c'est aussi chanceux qu'une patte ?
Le client est roi. C'était totalement vrai ! Je suis Roi enfin Prince pour le moment, parce que le Sultan de mon peuple. Enfin le père de Jasmine n'avait pas rendu l'âme . Je n'étais pas de sang royal. Je n'étais pas un bourgeois non plus. J'étais un batard ! Je n'étais officiellement marier avec La Princesse Jasmine , célébré par une grande cérémonie. Mais nos avions signés des papiers pour nous engager l'un à l'autre. Donc mon statut de Prince je l'avais. Mais aux yeux du peuple ce n'était pas officiel. Et toute manière, je devais me faire pardonner. Elle devait prendre ses tords pour que nous étions un jour vivre notre rêve bleu. A moins que mon rêve n'était pas avec elle, car la malédiction était en quelque sorte. Une manière de s'écrire une nouvelle histoire. Une histoire que je n'avais pas le gout de commencer. Parce que j'étais loin de chez moi. Agrabah était la ou je voulais vivre ma fin heureuse. Je voulais vivre dans le palais qu on m'avait promis. Et ma nouvelle histoire avait plutot commencer mal, comme toutes les histoires. Mais je détestais les premières pages.. Mais pour ça j'avais trouver un moyen d'y remerdier peut-être avec le fils de la sauveuse : Henry Mills. Nous étions en pleine mission. Nous avions l'opération rêve bleu en cours. Nous recherchons des indices pour trouver le fameux auteur de son bouquin maudit. Que je me m'écrive une nouvelle fin.. et que je change le cours de mon histoire, et avec un peu de chance récupéré mon rêve bleu. Donc pour revenir a ma petite séance d'aujourd'hui. Je suis bien un ''soi-disant Roi ''. Il plongeait son nez dans mon dossier, je ne comprenais pas trop pourquoi, car il était supposé être au courant de toutes mes aventures. Et surtout de mes soucis et des raisons pourquoi j'avais décidé de consulter un psychologue. Je ne suis pas fou ! Je suis simplement au bout du rouleau, avec toutes ses princesses qui en veulent ma jolie peau. Le pire c'est que je ne ferais pas un bon tapis, j'ai a peine de poil. Donc avant de tenter de me suicider une nouvelle fois.. J'ai du lancer un appel de Détresse. Et Matthew se sentait à l'aise d'y répondre.
« J’ignorais que vous étiez quelqu’un de superstitieux Ali ! » Oui je suis quelqu'un de superstitieux . Je crois en le destin, aux coïncidences, au karma et toutes ses petites choses, comme les pattes de lapins, les miroirs fracassées , les chats noirs etc. Et que rien n'arrive pour rien. Mais ce que je me demandais par contre c'est pourquoi ma malchance s'acharnait sur moi ? Est- ce que c'était parce que je suis un sauveur de Royaume un peu cette sauveuse de Storybrooke. Mais sans la magie ! Est-ce que c'est parce que je suis un héros. Et ceux ci doivent payer le prix fort ? Parce que c'est quand même une méchante sorcière qui a nous tous emmenée dans cette ville de malheurs. Par sa faute, j'avais tout perdu mon âme soeur, mon chez moi, mon ancienne vie et le contrôle sur mon histoire. - Oui docteur je le suis , quand on ne croit plus en l'amour, il faut bien croire en quelque chose. Est- ce que je ne croyais plus vraiment a l'amour ? J'avais encore un espoir d'y croire mais celui-ci allait s'éteindre si ma vie ne prenait pas une autre tournure. Si je n'arrivais pas a guérir mes plaies du coeur. Puis il me posait une question , se donnant comme excuse qu'il voulait que je lui rappel comment s'était passé ce baiser. L'excuse qu'il avait passer une nuit épouvantable. Avez-t-il le gout d'en parler avec moi ? Après tout on pouvait s'aider l'un et l'autre. C'est pas ça un héros, avoir le coeur sur la main et penser aux autres avant soi-même. - Une nuit épouvantable vous dites , désirez vous en parler Docteur ? Vous avez eu une mauvaise nuit avec une femme ? Je comprend moi aussi je n'arrive pas a conclure au lit avec une..
Pour moi tous les malheurs de la vie c'était relier aux princesses. Je laissais échapper un long soupir a ce moment là. Je continuais a caresser la petite queue de son singe endormi sur mon ventre nu. Puis je décidais de répondre a sa question. - Vous avez besoin de vous raconte depuis le début ? Très bien alors, mais écoute bien parce que je ne répète pas. Parce que cette histoire me fait beaucoup a songer, si je ne devrais choisir les princes au lieu des princesses. Croyez vous que les hommes sont moins compliqué que les femmes Docteur ? Est-ce que je devrais tenter l'expérience ? Je me posais peut -être trop de questions. Je devrais peut-être arrêter de m'en poser et agir a la place sans me soucier des conséquences. Sans me tourmenter. Devenir une âme moins sensible. Pourquoi dans la vie on doit toujours se remettre en question ? Un jour je devrais lui poser cette question a mon fameux psychologue mais pas toute suite. Parce qu'il va penser que je suis trop bavard. Et je vais lui donner la migraine.
- Mon anecdote commence, je suis en Russie déguisé en super-héros. En Gambit plus précisément. Dyson est en mauvaise posture a cause d'une bataille avec un vilain du prénom de Magnéto qui vient de lui balancer une voiture. Pauvre petit il est vraiment mal au point. Moi je suis tout mouillé dans mon costume moulant parce que j'ai joué au chat et la souris avec une femme fatale, vraiment canon, dans la salle de bain. J'ai tout fait exploser. Boom ! La salle de bain n'existe plus.. La femme m'a fuit comme toutes les autres. À même en ce moment là, que je me suis blessé a la Jambe, si vous voulez je pourrais vous montrer la cicatrice. ..
Je prenais mon souffle parce que cette histoire était longue. - Je m en vais aidé Dyson qui est déguisé en Spider Man. La je pense a ma Colocataire, Mina . Une femme vraiment sublime, elle n'a pas le corps des femmes dans les magazines play boy , mais elle a vraiment un petit quelque chose qui me fait fantasmer chez elle.. Elle est parfaite a mes yeux.. J'ai eu un moment égarement, ou j'ai manquer d'air dans mon cerveau, parce que pendant Russie je me suis soûlé dans la limousine. J'ai bu une boisson vraiment forte de 90 %.. Une boisson Russe ! Ça donne des hallucinations.. J'ai eu la migraine pendant plusieurs jours après cette mission, en plus d'avoir du me faire opérer la cuisse et marcher avec des béquilles..
Oui j'étais vraiment bavard mais parler ça me vidait le coeur. Et ça faisait un bien fou.. En gros j'ai rapprocher mes lèvres de celle de Dyson et on sait embrasser.. Vous voulez une démonstration et vous voulez que je vous décrive en détails ? Je plongeais a cet instant mon regard chocolaté dans le regard mon psychologue. Incertain de ce qui allait me répondre. Il devait se dire que mon histoire ressemblait a un film X , avec le scénario de costume et le truc de baiser torride entre un voleur et un lapin.
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La séance avait beau avoir commencer depuis quelques minutes, je ne parvenais pas à me concentrer sur mon travail. Mais qui pouvait m’en blâmer ? Ce client turco-arabo-indien était un homme si plaisant à regarder. Puisque Matthew n’était pas là, j’espérais pouvoir m’amuser un peu avec lui. Mais ses paroles semblaient détruire peu à peu toutes mes jolies illusions sur son compte ! Il n’était que l’une de ces pauvres âmes brisées par la méchanceté d’une femme. Son histoire semblait être des plus classiques et des plus déprimantes qui soit. Si le travail du gamin consistait à écouter des clients aussi fades que cela, il ne fallait pas s’étonner qu’il se drogue tous les soirs pour les oublier. Je me contentais alors d’écouter ses propos d’une oreille discrète, perdu entre les magnifiques courbes de mon patient et ces petits dessins fait dans un cahier que je gribouillais l’esprit perdu vers d’autres horizons. Je lui fis cependant comprendre que ma gueule de bois ne m’aiderait en aucune façons à me concentrer sur ses propos. Lorsqu’il s’intéressa à moi, je ne pus m’empêcher de laisser un rictus apparaître sur mes lèvres. Ce dernier souhaitait donc secrètement disposer de mes conseils pour draguer de jeunes demoiselles ? Si tel était le cas, j’en avais tout un camion de bons conseils à lui donner mais je préférais attendre qu’il puisse m’en dire un peu plus à ce propos avant d’en tirer des conclusions trop hâtives.
« Euh… pardonnez-moi Ali mais je vous rappelle que vous êtes mon psy et non pas le contraire ! Si vous me parliez plutôt de vos difficultés à conclure avec la gente féminine et des raisons qui VOUS amène ici ? »
Mes propos semblaient un peu dur certes mais ce n’était que la vérité. Je n’aimais pas parler de ma vie privée pour des raisons qui me semblaient entièrement justifiées. Je ne m’étendrais jamais sur le canapé d’y psy pour lui parler de ma vie, moi ! Je n’avais donc aucune envie d’inverser les rôles !
Ali commença alors à me parler de ses problèmes et je consentis à lui prêter cette fois une oreille plus attentive. D’autant plus que l’homme sublime allongé sur mon canapé venait de me faire part d’un possible coming out. Je lui souris alors, laissant apparaître une très légère lueur carnassière dans mes yeux.
« Je pense que ça dépend surtout de vos goûts personnels. Mais c’est sûr que les hommes sont moins compliqués que ces demoiselles selon mon propre point de vue. »
Moins compliqué ? J’en avais de belles moi alors que mes deux cibles du moment étaient un asiatique dragueur invétéré et à la double personnalité dérangeante et un barbier neurasthénique et lunatique qui ne s’offrirait jamais à moi. Chassant ses idées de mon esprit, je continuais à écouter l’histoire d’Ali. Relevant parfois un sourcil très étonné à ces propos. C’était bien de savoir que le gamin n’était pas le seul consommateur de drogues dures dans cette ville !
« Et ben, on peut pas vraiment dire que vous ayez eu une journée facile ! Ca vous arrive souvent ce genre d’aventures… je parle d’aventure épique bien naturellement. »
Laissant son discours défilé, je ne m’arrêtais que sur cette dernière question qui ne manquait pas cran. Lorsqu’il me proposa un baiser, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire. Je me penchais alors en avant, mon regard plongé dans le sien.
« C’est pas que l’idée d’une petite démo me dérange, loin de là ! Mais en entendant vos propos, je devine que les hommes ne sont pas vraiment votre tasse de thé. »
Ce qui est d’ailleurs bien dommage ! Songeais-je avec mélancolie. Il devait pourtant embrasser divinement bien le petit indien.
« Après tout en l’embrassant vous pensiez à votre colloc, non ? Alors pourquoi voudriez-vous vous tourner vers les hommes ? »
Je me relevais alors plus joueur, me plaçant à deux pas devant lui tout en me penchant à son oreille.
« Ah moins que les hommes t’excitent secrètement et que la missions ne t’aies poussé qu’à révéler quelque chose en toi dont tu n’avais pas conscience ! »
Saisissant son adorable menton d’une main, je me penchais vers lui pour lui offrir un baiser suave.
« Alors ton verdict ? Hétéro ou bisexuel ? » [/size][/justify]
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Ali Nacer
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Dites moi un baiser est-ce que c'est aussi chanceux qu'une patte ?
Comme à son habitude, il me posait des questions pour en savoir plus sur la situation. Mais cette fois ci c'était différent. Il ne posait pas seulement des questions mais m'observait. Un sourire gêné se dessinait sur mes lèvres. Je ne disais rien. Je le laissais me dévorer du regard. Parce qu'il y a trop longtemps que je n'avais pas sentie le plaisir de me faire désirer. Donc je glissais une main dans ma chevelure noir corbeau, pour jouer dedans naturellement. Je mordillais ma lèvre inférieure. Puis il me faisait une remarque pour me remettre a ma place. C'était moi le patient et lui le psychologue. Je l'avoue que je m'avais peut-être trop intéressé a sa vie personnelle trop rapidement. Mais est ce que sa remarque me froissait ? Pas du tout ! Les femmes étaient beaucoup plus dur que cela avec moi. Contrairement a elles, lui il faisait dans la gentillesse et le respect avec son ''pardonnez-moi''.
Il voulait que je discute avec lui de mes difficultés avec la gente féminine et la raison qui m'apportait ici. La raison était simple c'était le baiser de Monsieur Walters qui m'apportait ici. Moi je croyais dur comme fer que le baiser du lapin allait changer le cours de ma vie. Allait m'apporter de la chance en amour. Mais non j'accumulais les déceptions et les échecs. Lapin chanceux ? Certainement pas dans ce monde ! Je vais croire en la chance quand je retrouverais l'amour. Quand je trouvais la source de mes malheurs. Il avait sans doute une explication rationnel a tout ça. Et pourquoi je n'arrivais pas a conclure avec les demoiselles. Soit que j'étais maudit , soit que c'était pas moi le problème mais elles..
- Docteur , je suis ici pour que vous me dites pourquoi le baiser magique de votre collègue n'a pas fonctionner . Et pourquoi je n'arrive pas aller plus loin qu'un baiser parce que je crois que je suis maudit par une malédiction ou soit que je fréquente juste des femmes avec des caractères qui me donnent la migraine parce qu'elles sont trop compliquée a comprendre ou des femmes qui veulent me mener par les couilles.
Ensuite mon médecin du coeur et du cerveau, me rassurait me disant que les hommes étaient sans doute moins compliqués que les femmes, son point de vue. Il avait sans doute raison , parce que les femmes ne sont jamais satisfaites donc on ne sait jamais ce qu'elles veulent. Elles sont comme un code, qui faut décoder. Il disait aussi que ca dépendait de mes gouts personnels. Est-ce que j'avais des gouts en matière de femmes ? Oui j'étais plutot sélectif, pas coté physiquement. Même si je l'avoue que j'aime les femmes avec des courbes bien dessinées. Plus petite que moi ! Une femme plutot féminine, qui se mettait en valeurs. Pour le reste carte blanche! Je suis un homme qui fonctionne au coup de foudre. C'était pour cette raison que ca n'avait pas fonctionner avec Lena, ma patronne et mon agente de boulot. Elle était sublime, attirante physiquement mais j'avais appris a la connaitre pour l'aimer. Nos baisers échangés ne m'avaient pas titiller l'âme, contrairement a Mina et sa gifle sur ma mâchoire.
Ensuite il me demandait si ma vie était toujours mouvementée de la sorte. Bien évidement ! Je m'ennuyais jamais. Il avait toujours une aventure a vivre, qu'elle soit dure émotionnellement ou pas. C'est pas ça la vie d'un héros , vivre sans repos ? Toujours donner et donner sans recevoir rien en retour !
- Oui c'est assez courant que je vis des aventures de la sorte , que je lui disais en soupirant.
On discutait bien tranquillement, Puis il éclatait de rire en se penchant vers moi. Je trouvais son attitude un peu étrange, parce que d'habitude on n'avait pas de rapprochements. Il était du genre plus sérieux, et réservé. Je ne voulais pas trop me poser trop de questions, car après tout il m'avait clairement fait comprendre que j'étais le patient et lui le professionnel. Et que sa vie personnelle le regardait. Il plongeait son regard dans le mien. Je pouvais apercevoir un reflet dans ses prunelles que je n'avais jamais vu. Un reflet qui changeait ma perception de le voir. Dans son regard on pouvait voir du sex appeal. Il était très proche de moi que ca me troublait un peu, que je figeais. Je le laissais entrer dans ma bulle. Ce qui me surprenait encore plus était les paroles qui suivaient. Soutenant toujours son regard, je lui disais : - Cela ne veut pas dire que je tenterais pas des expériences avec des hommes mais si aussi je préfére le thé aux femmes.
Je voulais faire ma vie avec une femme, me marier et Fonder une famille puis mourir dans les bras de ma bien aimée quand je serais vieux. Mais je n'étais pas fermer a avoir des expériences. À me laisser séduire par des hommes, par contre je ne serais jamais le premier a faire les pas vers un homme. Je préférais me laisser apprivoiser par un homme. Mais si je devais entretenir une liaison ou même une petite aventure, il avait des limites a ne pas franchir. Je ne disais pas non a une aventure avec les deux opposés. J'étais quand même ouvert d'esprit.
Mon psychologue abordait une bonne question. Oui je pensais a Mina quand Dyson et moi avions échanger un baiser et je n'avais rien ressentis. Aucune palpitation ! Mais ca ne voulait rien dire, c'était peut-être pas mon type d'homme. Je préférais les hommes avec du mystère, séducteur, dominant et qui goute le risque. Je n'étais pas intéressé par un héros tout charmant. Je veux l'opposé de moi. Je veux un type viril, qui m'inspirait le danger et les ténébres. Mais a ce moment là, je pensais a ma colocataire parce que c'était un fantasme. Une femme inaccessible pour la gente masculine. Une femme a conquérir son coeur.
- Tout simplement parce que ma colocatrice, mon ex fiancé ca ne menerait a rien.
Pour me gêner encore plus et rendre l'ambiance encore plus étrange et intime. Il se relevait se plaçait très proche de moi. Il se penchait vers mon oreille, venait me chatouiller celle-ci avec ses mots provocateurs. Ne sachant pas comment réagir je restais de marbre. Je le laissais avoir une emprise sur moi. Mais est-ce que les hommes excitaient secrètement ? J'en savais rien ! Dyson avait été ma premiere expérience. Il fallait que je le découvre..Et finalement cette chance allait se montrer plus tôt que prévu. Mon psychologue saisit mon menton d'une main. Un frisson me parcourait le long du corps. Se penchait d'avantage vers moi , il m'offrit un délicieux et doux baiser. Je déposais une de mes mains sur sa joue une manière d'approuver son baiser. Il décollait sa bouche de la mienne pour me demander, si j'étais ou bisexuel. Je ne répondais pas, car la scène qui allait suivre aller répondre a sa question. Je déposais ma bouche sur celle de mon conseiller. J'y déposais un baiser avant d'attraper sa lèvre inférieure il la mordillé doucement pour rendre le baiser un peu plus torride. Je détachais ma bouche de la sienne. Puis je décidais de me relever m'éloignant.
-Ça répond a votre question ? Je crois que la séance est terminée et elle a été très instructive.
Je lui fis un clin d'oeil. Je prenais mon sac puis le petit singe grimpait sur moi. Mais pourquoi je préfere quitter ? Pour l'aguicher un peu parce qu'il semblait aimer le jeu comme moi. Peut-être voudrait-il jouer un autre jour..Je quittais donc son bureau et laissant a ses fantasmes sur moi. Peut -être le baiser de Matthew était magique contrairement a Dyson. Je l'espérais..
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Consultation N. 1 - Le baiser du Lapin Chanceux ( Dr Matthew)