« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Tous les enfants s’étaient maintenant rapprochés de Noa et Ali et sa bulle bleue. La main toujours posée sur cette barrière bleue, la fée des animaux remarqua une lueur rouge, qui brillait sous la cape de son ami. Elle ne l’avait pas remarqué avant, c’était intriguant. Ali expliqua alors qu’elle était cette magie, et mentionna le demi-ange, dont ils avaient parlé plus tôt. Noa comprit mieux. Ce garçon commençait vraiment à intriguer la jeune fée. Ils étaient tous deux protecteurs de la petite Kenza désormais, peut-être seraient-ils amenés à se croiser prochainement.
Puis Ali expliqua qu’il était ici pour trouver une cachette, il détailla la raison de sa venue. Les enfants écoutaient, un peu dispersés, mais les lances se baissaient au fur et à mesure du récit. Noa détecta même de l’intérêt et de la curiosité dans leurs yeux quand son ami expliqua que lui aussi était comme eux, sans famille. Elle remarqua qu’il passa une histoire sur sa mère, et elle se dit qu’effectivement il n’en avait encore jamais parlé. Le sujet avait l’air difficile à aborder, peut-être cela viendrait-il un jour ? Elle savait qu’Ali cachait beaucoup de choses, mais elle essaierait de ne pas poser trop de questions, malgré sa grande curiosité. Sur ces sujets difficiles, s’ils devaient en parler un jour, ce serait à lui d’en parler s’il le voulait, s’il le décidait, et non à elle d’aller aborder le sujet.
Ali souleva soudain sa cape, pour dévoiler le bébé accroché sur son dos. Noa entendit quelques « oooh » de surprise parmi les enfants, qui étaient maintenant fascinés par ce bébé. Normal, comment ne pas être fasciné devant ce petit bout de chou absolument adorable et trop mignon ? La fée entendit ensuite le jeune papa fredonner une chanson. Elle l’avait déjà entendu une fois, pendant Noël, et elle se fit la même réflexion qu’elle avait déjà eu : il chantait plutôt très bien, et sa voix était apaisant à cet instant. La chanson eut pour effet d’apaiser tout le monde, Noa, les derniers enfants qui étaient encore un peu sur leurs gardes, Amira qui se tenait proche de Noa. Mais cela apaisa surtout le bébé, et le dôme qui les protégeait disparut, ils se sentaient maintenant en sécurité.
Les enfants restaient à regarder le bébé, qui avait sa tête reposée contre son père. Noa brisa ce moment en suspens, et les interpella. Elle se pencha vers eux, et prit une voix douce.
Bon les enfants, notre ami Ali ici présent à… On n’est pas des bébés, pas besoin de nous parler comme ça. Ah….euh héhé ok. Malgré leurs bouilles enfantines, ils n’étaient pas commodes quand même. Elle reprit une voix normale et se redressa. Désolée. Je disais donc comme vous a expliqué Ali, il est à la recherche d’un endroit secret, une cachette, pour pouvoir mettre à l’abri sa famille en temps voulu. Je sais que vous connaissez très bien l’île, je suis sûre que vous pouvez nous aider à trouver l’endroit parfait. Les enfants la regardaient, dubitatifs. Elle leur fit un grand sourire. Vous croyez que vous pouvez nous aider alors ?
Les enfants se regroupèrent un peu plus loin, pour se concerter. Noa essaya de tendre l’oreille, pour entendre la délibération mais elle ne captait que des bribes. On a mieux à faire….mais on aide les fées….Tuk arrête de te curer le nez….alors on fait quoi… Noa se tourna vers Ali, avec un air interrogateur. Elle ne savait pas bien quoi faire de plus, et attendait impatiemment le verdict.
Au bout de quelques minutes, les enfants finirent leur discussion, puis se tournèrent vers Ali et Noa. Bon on a discuté…On veut bien vous montrer un ou deux coins. Des vieilles cachettes qu’on n’utilise plus vraiment, on peut les prêter. Hiiii chouette merci ! s’emballa Noa. Ne vous emballez pas trop, on voudrait quelque chose d’autre en échange. Nouveau regard interrogateur entre Ali et Noa. Vous voulez quoi ? On va voir si on peut s’arranger.
Un des enfants, qui semblait être un des leaders du groupe, pointa du doigt le pendentif autour du cou de Kenza. Nous aussi on veut un bijou magique comme celui-ci. Aïe…Noa s’attendait à plusieurs demandes, mais pas à celle-là. Ça allait s’avérer sûrement compliqué, c’était sûrement trop demandé. Elle se tourna vers Ali, attendant sa réaction. Comment allaient-ils faire ? Etait-ce envisageable ? Ils ne pouvaient pas vraiment donner de la magie à ces enfants…Pouvaient-ils trouver à la rigueur autre chose qui pourrait leur plaire ? Noa se mis à réfléchir, pensive.
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Ali Nacer
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Même si je ne porte pas la Deesse de l'amour dans mon coeur. Parce qu'elle ne voyait jamais ma détresse. J'avais perdu ma foi en ce sentiment jusqu'à ce fameux Noel ou Kenza était arrivée dans ma vie. La naissance de ma Princesse avait réveillé des secrets du passé. Elle avait réveillé un pouvoir qui sommeillait en moi depuis longtemps : Celui d avoir un coeur pur. D'être ce héros qui croit que l'amour rompra toutes les malédictions du monde. Et chanter était la plus belle manière d exprimer cette puissante magie. Ma spécialité était les mélodies d'amour. Kenza était apaisée chaque fois que je lui chantais une chanson. Mais cette fois-ci ca marchait aussi avec les enfants perdus et ma petite Noa. En voyant mon poupon, tout le monde était attendrit. Kenza avait le don de donner cet effet aux gens. Ce qui me faisait plaisir, mais qui me rendait aussi craintif et jaloux, car j'avais du mal a la partager avec les gens de mon entourage. J'étais extrêmement de possessif !
Mes explications avaient aussi portées fruit, les enfants perdus étaient moins craintif a ma présence, mais la magie les avaient intrigués. Les garçons s'étaient éloignés en discutant. Je lançais des regards inquiets a ma marraine fée. Elle essayait de jouer les espionnes ayant un oreille indiscrète. Pendant ce temps là, Amira revenait auprès de moi, pour se percher dans mon épaule.Je lui caressais tendrement la tête pour la féliciter. Elle avait eu un comportement exemplaire. Elle avait restée calme en la présence de la barrière magique. Elle s'était cachée devant l'ours. Malgré son jeune âge, je l'avais bien éduquée. Enfin je faisais de mon mieux, de l'élèver comme ma propre fille. Être papa célibataire c'était bien, même si j aurais voulue une figure maternelle pour mes enfants. Heureusement j'avais Noa et Angelika.
Le petit groupe de garçons revenaient nous voir, nous annonçant qu'il acceptait de montrer et nous offrir des cachettes. Je sourirais, au fond de moi j'étais heureux parce que je pourrais offrir a Sadira un foyer en toute sécurité, car les sorcières ne viendront pas certainement pas dans ce monde a part pour venir la chercher. Mais ce rictus collé a mes lèvres disparue rapidement, car ils voulaient marchander. En échange de la cachette ils désiraient le collier de Kenza.
Malheureusement je ne pouvais pas accepter cette échange. Parce que ce pendentif était unique. Cette relique venait de mon chez moi : Agrabah. Cette magie était celle de l'amour. Chaque fois que ton âme soeur se retrouve a proximité , le médaillon s'illumine. Kenza était le plus grand amour de ma vie, et pour mon bébé s'était ses parents . Donc je ne pouvais pas l'offrir parce que cet artefact était peut-être un moyen de retrouver la mère de ma fille. Il fallait que je mette toutes les chances de mon coté. Ce collier était aussi utile parce que mon meilleur ami Jace pouvait dessiner des runes magiques pour celui-ci pour protéger ma gamine de tous les dangers de ce monde. Il fallait que je trouve autre chose a marchander qui seraient tout aussi intéressants pour eux..
- Je suis désolé je ne peux pas vous donner ce médaillon, il est trop symbolique pour moi. Mais je peux faire un marché avec vous, Mon ami Jace pourrait enchanter vos armes de la magie que vous désirez. Parce qu'il utilise la magie des runes qui est très vaste..Je peux même le faire venir ici.. Marché conclu ?
Je tendais la main vers le chef des enfants, espérant qu il accepte. Parce que je devais faire venir le demi ange au Neverland pour ce marché, mais parce que ca serait l’occasion que Noa et lui se rencontrent. Et tout le monde pourrait poser ses questions sur sa fameuse magie protectrice. Je savais que la magie du téléphone ne marchait pas ici. Est-ce qu il allait répondre a mes coquillages ? Ou il va falloir trouver une sirène pour voyager entre les deux mondes et aller le chercher ? Je réfléchissais tout en remettant ma cape en place pour camoufler Kenza qui s'était rendormie tenant fermement la couverture parfumée a l odeur de sa maman perdue.
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Noa
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Ali avait regardé le collier de sa fille, puis s’était tourné vers les enfants pour leur répondre. Noa ne savait pas ce qu’il allait dire, et elle écouta sa réponse. Celle-ci la surprit tout d’abord, puis la mit quelque peu mal à l’aise. Même s’il y en avait toujours une présence sur l’île, la magie était surtout revenue sur Neverland depuis que les fées étaient revenues à la vie, grâce à Pan. Noa n’était pas la fée la plus sage ni la plus réfléchie, mais elle sentait que ce n’était pas forcément la meilleure des idées que d’amener une autre forme de magie ici. Elle aurait ainsi préféré qu’Ali ne fasse pas cette proposition-ci, parce qu’elle vit les yeux des enfants perdus s’illuminer. Aïe, elle espérait qu’il n’était pas trop tard pour leur faire changer d’avis. Elle se mit devant Ali, avec un petit rire, en essayant de prendre un air amusé pour tenter de réparer le coup.
Ahah Jace ? Hum t’es sûr qu’il n’est pas parti en vacances ? Ali ne sembla pas comprendre de suite ce qu’essayait de faire la fée, malgré les regards sous-entendus qu’elle lui lançait, aussi lui répondit-il par la négative. Noa eut de nouveau un rire nerveux. Ah oui non tu as raison il est revenu…Euh…mais on va peut-être pas l’embêter avec Neverland, ce n’est pas tout à côté, et puis il est sûrement très occupé par ailleurs… Elle ramait. Elle ramait sévère. Il fallait qu’elle trouve autre chose, vite, avant que les enfants ne s’ancrent trop cette idée en tête. Elle sortit plusieurs idées, qui lui venaient spontanément, dans le désordre. Sinon on pourrait plutôt proposer euh…un repas avec des fées ? Un petit goûter ? Ou les fées bricoleuses pourraient vous aider sur deux-trois constructions ? C’est des amies, je m’arrangerais avec elle ! Ou alors je peux vous former un ou deux animaux, pour qu’ils vous aident dans des tâches du quotidien ? Ou encore euh…je cherche je cherche…
Les enfants la regardaient, dubitatifs, et écoutaient son flot de propositions. Quand elle fit une pause parce qu’elle cogitait, ils se regardèrent, et d’un simple regard se comprirent tous. Non ! La fée arrêta de s’agiter un instant, pour les regarder. Non…euh quoi ? Le goûter ? Non ! Rien ! On préfère la proposition de lui ! Euh déjà on ne montre pas du doigt, c’est malpoli On s’en fiche, nous c’est la magie qui nous intéresse, tes propositions elles sont nulles ! Noa se vexa, et mis ses poings sur ses hanches. Hé dis donc ! je fais de mon mieux pour essayer d’arranger tout le monde ! Hé ben c’est bon, on est arrangés, on prend la magie, arrête de nous embêter !
La fée perdit patience et se découragea. Elle secoua la tête puis regarda Ali, pensive. Elle était à priori dans une impasse, elle aurait bien aimé qu’il ne fasse pas cette proposition. Mais tant pis, c’était maintenant trop tard pour faire demi-tour. Il n’y avait plus après tout qu’un espoir : que les enfants perdus oublient un jour cet échange et qu’ils ne redemandent plus de magie ; Ou peut-être avec l’aide d’autres fées, et de Jace, ils pourraient réfléchir à une forme de magie non nocive, qui face juste des trucs brillants, et qui pourrait les satisfaire.
Noa finit par hausser les épaules. Ok, j’abandonne. On en reparlera. On en reparlera rien du tout, c’est comme ça. Noa soupira. Dis donc, ils n’étaient pas faciles ces mômes ! Bon ok. Maintenant on pourrait peut-être se mettre en route ? Vous nous montrez l’une de vos cachettes ?
Quel échange ! Ça avait épuisé la fée, qui se mit à l’écart, derrière Ali. Elle reprit Amira sur son épaule, et la regarda d’un air désespéré. Avec toi au moins c’est plus facile de parler ! Et oui, elle négociait mieux avec les animaux finalement. Elle regarda tout le monde, personne ne bougeait. Elle s’agaça un peu. Bon alors, on bouge ou quoi ? Les enfants prirent alors un regard peu sympathique. Noa se recula légèrement, et esquissa un sourire nerveux. Oui, enfin, euh…on pourrait y aller s’il vous plaît ?
La troupe se mit finalement enfin en marche. La fée des animaux entendait les enfants chuchoter, et certains la regardaient. Mmmrf…sales gosses. Ils avancèrent comme cela sur l’île, les enfants devant, Ali et Kenza à la suite, puis Noa et Amira qui fermaient la marche.
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Ali Nacer
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Ma proposition semblait plaire aux enfants perdus emballés d'avoir de la magie pour eux. De cette manière je gardais ce précieux pendentif. Noa semblait contre cette l'idée. Pourquoi ? J'en avais aucune idée car je ne connaissais pas bien le royaume de Neverland. Mais je n'hésiterais pas a lui demander car nous aurons moins toute l'attention des garçons .Elle se mettait devant de moi, pour prendre la parole. Surpris par son attitude, je ne comprenais pas ce qu'elle essayait de faire.Puis elle demandait si mon meilleur ami n'était pas parti en vacances. Comment elle pouvait le savoir si il était absent ou non? Elle ne le connaissait pas et ne l'avait jamais vu. En plus je n'avais jamais vu Jace prendre des vacances contrairement a moi, il était plutot sédimentaire, que nomade. Préférant rester dans la ville , que voir le monde. Il ne voyageait pas non plus, parce qu'il n'aimait pas s'éloigner de son Parabatai, ni même de sa famille et ses amis. C'était un gars qui aimait trop être en groupe. Depuis la mort de son petit frère Max, il voulait surtout être disponible pour Alec et Izzy, sa soeur.
- Jace parti en vacances ? Je lui disais d'une voix surprise. Je ne crois pas..j'aurais été au courant. Elle me lançait des regards comme signaux. Mais parfois je suis lent à comprendre ! Mais quand je finissais par comprendre ou elle venait en venir. Il était trop tard, la petite troupe d'enfants étaient trop enthousiasme a mon idée. Mais Noa me faisait penser a moi, en essayant de les baratiner pour nous sortir de ce moment pas. Parce que je faisais ça, inventer un scénario pour trouver un échappatoire a mes problèmes. Ça me rappelait même un souvenir, celui de ma première rencontre avec la Princesse Jasmine. Dans le bazar, elle avait voulue une pomme a un petit garçon affamé. Le vendeur furieux voulait lui couper la main. La loi chez moi était très sévère et barbare. Heureusement , j'avais intervenu..mais ça m'avait aussi apporter des ennuis par la suite et la rencontre d'un vilain personnage: Jafar !
Oups ! Je venais de gâcher sa tentative de marchander une meilleure offre , et empêcher les enfants perdus d'avoir accès a une puissante magie céleste. Elle avait de réparer notre boulette en disant que mon meilleur ami , le demi-ange, était revenu de ''ses vacances'', mais qu'il était extrêmement occupé. C'est à ce moment là que j'ai allumé dans mon cerveau! Je me baissais la tête pour m'excuser de mon erreur. Elle leur proposait pleins de choses intéressantes mais moins que la magie que je leurs avais proposer. Je les comprenais , étant un garçon, la magie était beaucoup plus captivante qu'un goûter et une cabane..Donc leurs non qui était peu plaisant a entendre, était prévisible. À ce ''non'' je grimaçais et murmurait a Noa : - Je m'excuse tout est ma faute, mais je ne pouvais pas donner le collier, leur offrir la plus puissante magie : L'amour. Je détestais être dans une telle situation, parce que je culpabilisais toujours pour tout. C'était ce sentiment qui souillait mon coeur pur. Qui me faisait devenir un diamant taillé, au lieu de brute. -Tu vas devoir m expliquer pourquoi ils ne peuvent pas avoir cette magie ?
La fée laissait tomber son idée de les faire changer d'avis, enfin pour le moment.Elle voulait qu'on se remette en chemin. Bonne idée parce que je sentais déjà mal dans ma peau. Noa insistait plusieurs fois pour qu'on se remette en route..Les enfants entamaient donc la marche en jetant des regards à la fée des animaux et chuchotant.
Avant de marcher a mon tour, Amira descendait de mon épaule pour rejoindre Noa. Je la laissais faire, si ca pouvait aider à ma cause. Avant d'entamer le pas, je murmurais a mon amie : - De la poussière de la fée ca ne pourrait pas les faire changer d'idée?
Puis je me retournais pour suivre les garçons perdus, espérant que la cachette serait parfaite pour Sadira tout en ruminant du noir dans mon coin, comme Noa d'ailleurs qui s'était isolée en arrière avec mon petit singe.
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Noa
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Ils avançaient dans la pampa Neverlandienne, à la file indienne, indienne, indienne…tous à la file indienne, marchant en chantant ! Pourquoi donc Noa avait-elle cette drôle de chanson en tête, elle ne savait guère. Ali était juste devant elle. Il s’était excusé pendant qu’elle essayait de marchander, excusé de ne pas pu avoir donner le collier. Mais encore heureux ! Elle voulait elle aussi empêcher cela, qu’ils aient ce collier ou autre forme de magie. Son ami lui avait dis qu’elle devrait lui expliquer pourquoi ils ne devaient pas avoir accès à cette magie, et elle allait le faire. Il lui avait aussi soumis l’idée de la poussière de fée, mais idem, elle n’était pas sûre que ce fût une bonne idée.
Elle voyait qu’Ali ruminait et n’avait pas l’air d’être à l’aise avec ce qu’il venait de se passer. Elle se dit qu’elle n’allait pas le laisser comme ça, et qu’il était venu le moment d’expliquer son comportement. Elle accéléra un peu le pas pour se retrouver à sa hauteur, puis elle lui sourit. Elle lui fit ensuite un signe de la tête en désignant les enfants, et lui fit comprendre qu’ils pouvaient ralentir le pas pour mettre un peu de distance avec eux et pouvoir parler.
Une fois la bonne distance établie, Noa se mit à parler, à voix assez basse tout de même, elle se sentait encore trop observée. Alors mon petit Ali, que je t’explique ! En fait je ne pense pas non plus que la poussière de fée soit une bonne idée…Mais je n’en sais vraiment rien, c’est juste un pressentiment. Je préfère en parler à mes collègues fées, et surtout aux plus sages, pour les consulter sur le sujet. Neverland à un historique assez compliqué, quelques histoires, en lien avec la magie dont même moi je ne connais pas tous les détails. Mais je sais que ça ne s’est pas forcément toujours bien passé. C’est pour ça que je ne pense pas qu’apporter une autre forme de magie, ou même donner de la magie à des enfants un peu sauvages, il faut le dire, est la meilleure des idées. Ali l’écoutait calmement. Je ne sais pas si je suis très claire, mais voilà en bref, j’ai des…Hé !!
Noa s’interrompit, ils venaient de prendre un virage, et ils n’apercevaient plus devant eux les enfants. Où étaient-ils passés ? Elle était trop concentrée dans sa discussion, elle n’avait pas eu où ils avaient pu partir. Elle se tourna vers Ali. Mais ce n’est pas vrai ils sont passés où ? Tu les as vu toi ? Où est-ce qu’ils ont disparus ? Ils commencèrent à chercher avec Ali autour d’eux, plus loin sur le chemin, dans les abords…mais rien. Ils revinrent sur le chemin, penauds. Ils ne sont vraiment pas commodes ces gosses…il vont me rendre chèvre ! Hé la fée on t’entend ! Bêêêêê La fée en question sursauta. Elle ne voyait pas d’où venait la voix. Et ces chenapans en jouaient. Ahah on est cachés ! Vous ne devinerez pas où bandes de nazes ! Enfin le gars peut-être, la fée ça m’étonnerait. Ok, elle avait compris, ils aimaient bien la chercher. Bon ça va les gnomes, j’ai compris, vous vous êtes moqués de moi, maintenant montrez-vous ! Elle détestait le jeu du cache-cache d’ailleurs. Enfin pour trouver les cachettes et attendre tapie, ça elle aimait bien, mais chercher elle trouvait ça nul. Gnome toi-même ! Gnnnn fallait pas qu’ils la cherchent trop longtemps ou c’était elle qu’ils allaient trouver !! La moutarde commençait à monter au nez, quand elle vit soudain un buisson bouger.
Ahah ! Elle sauta derrière le buisson, mais rien. Et soudain elle vit quelques mètres à côté le sol se soulever…Une trappe ! En plein milieu de la nature ! Impressionnant. Ali était arrivé derrière elle aussi, et aperçut la trappe. L’un des enfants en sortait sa tête, d’un air fier, amusé de les avoir fait tourner un peu en bourrique.
Et voilà ! Une de nos cachettes, peut-être que ça pourrait faire l’affaire ?
Noa s’approcha de la trappe, et se pencha au-dessus. Elle ne voyait pas grand-chose il semblait y avoir une sorte d’échelle en bois pour descendre. Elle regarda Ali, d’un air interrogateur.
Après toi peut-être ?
Il acquiesça, et s’engouffra en premier sous la trappe. Ils étaient tous deux curieux de voir à quoi ressemblait cette cachette et si elle pourrait convenir, ou s’il faudrait en trouver une autre.
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Ali Nacer
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La vie sans magie,ce n'était pas pour moi. J'avais du mal a visualiser ma vie sans cela! Certes j'avais vécu vingt huit ans, sous la malédiction sans la magie, mais c'était contre mon gré. J'avais été quand même kidnappé par un nuage violet, par une femme insatisfaite de sa vie. Moi aussi j'avais une vie misérable qui ne me plaisait pas toujours. Je ne lançais pas un charme noir pour autant. Même si parfois c'était très tentant , parce qu'on pourrait enfin comprendre ma misère.
Malgré la malédiction, la magie avait été quand même présente en moi, parce que je possédais toujours mon coeur pur. Un coeur pur que je souillais malheureusement avec la culpabilité . Je m'en voulais d'être contre l'idée de Noa, de refuser la magie aux enfants perdus. Je m'en voulais aussi parce que j'avais mis ma marraine fée dans l’embarras. Mais je comprenais aussi , la frustration des garçons perdus envers ma fée marraine. Pourquoi elle aurait le droit a sa magie de fée et eux a rien ? C'était un peu la même chose pour moi. La méchante Reine avait eu le droit à son petit bonheur , à sa magie , mais elle m'avait enlevée de mon royaume magique, de mon chez moi.
On avançait en file indienne dans la jungle du Neverland. Je gardais le silence, jusqu'à ce que Noa accélérait la cadence de sa marche pour me rejoindre. Et qu'ensuite on ralentisse le pas , parce qu'elle voulait me donner des explications sur la situation. Je l'écoutais calmement et attentivement sans dire un mot. Je grimaçais quand elle me disait ''petit Ali'' , parce qu'elle me parlait comme un enfant. Ça me rendait mal à l'aise même si j'avais toujours désiré avoir une femme pour me materner et avoir une mère adoptive malgré mon âge avancé.
Elle expliquait que son île avait vécue une passe difficile. Je comprenais, mon royaume avait eu aussi des moments difficiles à cause de la magie, surtout à cause de Jafar qui avait une très grande soif de pouvoirs. Mais la magie avait aussi ses avantages parce que le Génie avait changé ma vie et grâce a la magie et mon héroïsme, j'avais réussis a sauver Agrabah du Vizir, mais aussi a gagner le coeur d'une Princesse..Mais Aujourd'hui tout était différent j'avais perdu les deux à cause de la Magie. Donc c'était plutôt difficile de trancher si la magie était néfaste ou non pour un Royaume.
Il fallait juste savoir si les enfants perdus avaient de bonnes intentions ou une soif de pouvoirs comme Regina ou Jafar. Elle disait aussi qu'elle préférait consulter les autres fées. Je n'étais pas contre..Mais cela me rendait anxieux, pas de magie , pas de cachette pour Sadira. J'étais celui qui était pris entre les deux camps et je n'aimais pas ce rôle parce que c'était a moi qui allait payer le prix du marché.
- Il va falloir qu'on trouve une solution..Et je compte sur toi , car je ne repare pas d'ici sans une cachette pour Sadira.
Je disais sèchement, parce que les sujets qui tournaient autour de la mère de mon bébé, me rendait a cran parce que je serais prêt a ''presque'' tout sacrifier pour elle. Alors qu'on tournait le virage, les enfants perdus étaient disparus. Je soupirais. Je pensais a ce moment là que je venais de me faire piéger. Noa semblait dépasser par les événements. Parce qu'elle me demandait ou les enfants étaient passés. J'en avais aucune idée, parce que je m'étais évadé quelques instants dans mes pensées. Et tout simplement parce que je n'étais pas responsable , ni même le père de ses petits garçons. Les seuls enfants sous ma tutelle étaient : Amira et Kenza.
- Soit qu'ils se sont foutu de nous.. Ou soit comme tous les enfants , ils jouent a cache-cache.
Je partais donc la recherche des garçons avec Noa. Les enfants étaient des professionnels de la cachette. Je ne pouvais pas me retenir de rire quand Noa disait que ses enfants allaient la rendre chèvre. Moi je trouvais que c'était une bonne expérience a prendre après tout Kenza va grandir, et elle rendra chèvre sa marraine fée.
À un moment, on entendait leurs voix. Ils nous insultaient, enfin plus la fée que moi. En réalité, il testait nos limites en tant qu'adultes. C'était ça le problème, pour les trouver et les comprendre, il fallait penser comme des enfants. Avoir une imagination fertile. Noa s'agitait dans tous les sens quand elle se faisait provoquer par les garçons. Je ne savais pas trop comment m'en mêler par peur de faire une autre gaffe.
- Aller les garçons, soyez gentille avec la fée, je vais vous ramener des jouets de mon royaume.
C'était la seule solution que j'avais trouvé pour aider. Je suivais Noa au pas,je me glissais donc derrière elle. J'aperçue la même chose que la rouquine: Une trappe. Une petite tête de garçon sortait de là de la trappe Je sourirais satisfait. Le garçon disait que c'était une de leur cachette. Elle était excellente, parce que connaissant Sadira ca lui plairait de vivre sous terre. Parce qu'elle était une sorcière du sable, la terre s'était son élément et son ancienne demeure a Agrabah était une cachette souterraine.
- Merci c'est parfait comme cachette.. Je veux que Sadira vienne s'installer ici.
Je soulevais la cape pour demander l'approbation de mon bébé. -Kenza veux tu que maman vive ici? Un petit son approbateur sortait de ses petites lèvres. Ensuite, Noa observait la trappe. Je fis pareil, et je confirmais que c'était très sombre. C'était un point positif , ça éloignait les curieux. Je camouflais de nouveau mon poupon. J'ouvrais mon petit sac pour qu'Amira revienne dedans.La petite capucine revenait vers moi, se reposer. Le petit garçon descendait l'échelle de bois. Disparu ! Je fis le premier pas dans la trappe. Je tentais la main a Noa pour qu'elle me suive dans les profondeurs de la cachette.
- Me fais tu confiance ?
Cette scène vous rappelle-t-il un événement passé ?
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Noa
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Pendant que Noa lui expliquait ses raisons, Ali semblait contrarié, il ne semblait pas forcément comprendre ou partager l’avis de la fée. Elle voulait simplement éviter qu’une trop grosse puissance vienne aux mains d’enfants…ou alors si cela devait arriver un jour il faudrait vraiment bien les former. Ils étaient un peu sauvages et aimaient bien parfois démarrer des conflits. Son ami lui avait alors répondu sèchement, ce qui avait étonné Noa. Elle avait alors préféré se taire et ne pas en rajouter, il semblait vraiment stressé par cette histoire. Elle espérait vraiment que les enfants seraient efficaces et qu’ils trouveraient quelque chose, parce qu’elle n’aimait pas trop le voir comme cela, elle était mal à l’aise dans cette situation.
Lorsqu’ils cherchaient les enfants qui s’étaient -vraiment- bien cachés, Ali leur dit qu’il pourrait leur ramener des jouets de son royaume. Noa retint l’idée, elle pourrait proposer ça en échange, à voir si ça pouvait les intéresser…
*******
Ils étaient penchés au-dessus de la trappe, et Noa releva la tête pour regarder son ami. Elle était satisfaite de ce qu’elle voyait, il avait l’air content de ce qu’il voyait. Et il manifesta en effet son intérêt. Alors qu’ils n’avaient même pas encore vus l’intérieur. Chouette. Ali ouvrit son sac et Amira sauta de l’épaule de Noa pour retourner se nicher dans le sac. Puis il passa le premier, et se positionna sur l’échelle en bois pour descendre. Il tendit alors la main vers la fée, qui le regarda. Elle lui sourit et attrapa la main de son ami.
Oui, je te fais confiance.
Ils descendirent alors tous les deux dans la cachette. L’endroit était sombre, mais les yeux s’habituèrent peu à peu. C’était une sorte de grande caverne, mais il n’y avait rien de spécial ni rien d’aménagé. Elle regarda Ali, qui faisait le tour tranquillement.
Ce n’est pas mal non ? Il faudrait qu’on vienne aménager un peu, peut-être un petit matelas, une lampe à huile, des stocks de nourriture…Je pourrais aider finalement, ce sera comme mes animaux qui hibernent.
Elle sourit à cette pensée. Bon bien sûr ils ne lui donneraient pas de noisettes, de graines ou de racines, certainement plutôt des boîtes de conserves ou encore des fruits, mais bon ils verraient plus tard ces détails. Il faudrait trouver Sadira avant, même s’ils pourraient préparer la cachette pour que cela soit opérationnel une fois qu’elle serait là.
Alors Ali, tu choisis celle-là de cachette ?
Il semblait bien intéressé. La fée se tourna vers les enfants, qui attendaient, et qui affichaient un air satisfait.
Alors mademoiselle la fée, on n’est pas trop mauvais non les cachettes.
La fée afficha un sourire amusé, ils l’avaient bien fait tourner en bourrique, mais après tout ce n’était que des enfants, et ils les avaient quand même bien aidés. Et puis après tout, elle était encore tout juste une enfant elle aussi, à peine grande ni même mature, et elle connaissait bien les blagues. C’était quelque chose qu’elle aimait toujours faire à ses amies fées, et il est vrai qu’avec le stress et l’importance de la situation elle avait quelque peu lâché ce côté joueuse. Mais elle ne manquerait pas de concocter une petite vengeance marrante la prochaine fois qu’elle croiserait la route de ces enfants.
Oui, elle est au top cette cachette. Ali sembla approuver lui aussi. Du coup vous accepteriez de nous la prêter pendant un certain temps ? Moui…mais pas sans échange comme promis ! Oui…c’est sûr…Alors laissez moi proposer une nouvelle chose encore…Ali ici présent viens d’un royaume extraordinaire et très exotique… Ça veut dire quoi zetotik ? Héhé, ça veut surtout dire que c’est bien différent d’ici. Il y a des grandes étendues de sable notamment, il fait chaud…Mais il pourra vous raconter tout ça mieux que moi si ça vous intéresse. Pourquoi tu nous parles de ça ? Parce que tout à l’heure pendant que vous étiez cachés, il a dit qu’il pourrait vous ramener des jouets de son royaume…le royaume d’Agrabah ! Est-ce que ça vous intéresse, ces jouets et objets étrangers, pour vous remercier pour la cachette ?
Les enfants écoutaient intrigués. Ils se concertèrent de nouveau, ils semblaient intéressés cette fois, du moins ils n’avaient pas dit non de suite, comme tout à l’heure. Puis l’un d’eux se remis face à la fée et à Ali, pour leur répondre.
Ok, on veut bien…mais on en veut plein !
La fée des animaux fut soulagée sur le moment. Puis elle se tourna vers Ali, parce que bien sûr, il fallait que ça lui aille aussi.
On fait comme ça ? Cette cachette-ci, et puis des objets d’Agrabah en échange ?
Elle attendit sa réponse, espérant que tout le monde pourrait trouver son compromis...
BY .SOULMATES
Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Toutes les demoiselles rêvaient que je leurs tente la main et que je leurs murmure dans leur creux de l'oreille ''fais-moi confiance''. Que je glisse mes doigts entre les siens. Que je tienne fermement leur main. Toutes les femmes rêvaient de ce moment mythique que la Princesse Jasmine avait eu le privilège d avoir. Beaucoup m'aimait que je leur fasse la cour, mais certaines me détestaient aussi. Ces personnes me connaissaient qu'en surface. Ne voyait que Le Prince en moi et non le batard sous le turban. Mais Noa quel homme voyait-elle ? Au moins elle lui confirmait qu'elle avait confiance en lui. Un sourire se dessinait au coin de ma bouche, puis j'avais aussi envie de lui confirmer aussi ma confiance en elle.
- Moi aussi j'ai confiance en toi, que je confie ce que j'ai de plus précieux : Ma famille.
En parlant de famille, ma frustration s'était envolée, car je ne pouvais lui en vouloir de vouloir protéger son royaume. J'aurais fait de même pour Agrabah. Après tout je l'avais sauvé de la soif de pouvoir et de vengeance de Jafar. Même depuis la malédiction de la méchante reine, je comprenais mieux ses intentions. Il avait sombrer dans les ténèbres, parce qu'il avait aussi un grand vide dans son coeur. Et moi sans Kenza je serais devenu comme lui..
Je l'aidais à descendre l'échelle , la guidant vers dans l’obscurité du lieu. Quand je posais le pied sur le sol, je déposais mes mains sur sa taille, pour la soulever. Et ensuite la déposée sur le sol. J'avais toujours été un homme galant ! Je marchais dans la caverne, examinant le lieu. Cela me rappelait mes catacombes de Storybrooke. Je me penchais pour toucher le sol. C'était du sable. Un sable que je caressais sur le bout de mes doigts. Une larme coulait , le long de ma joue. Une larme qui symbolisait que Sadira me manquait.. Cette larme venait mourir contre mes lèvres.
Puis elle me posait deux questions, si ca me plaisait et si je la prendrais. Bien sûr que ca me plaisait parce que tout ce que je voulais c'est qu'elle soit loin de ses sorcières. Que nous puissions voir notre enfant grandir ensemble..Que Kenza reçoit l'amour maternelle de sa vraie mère. Tout ce que je voulais c'était le bonheur des femmes de ma vie ! Je jetais un regard a Noa en me redressant.
- Cet endroit est parfait ! Certes il faut l’emménager , je veux aider..Je veux qu'elle soit épanouit, qu'elle est enfin un endroit mieux que les rues pour vivre. Un chez soi en attendant que je trouve un moyen de retourner à Agrabah. Donc oui je veux cette cachette.
En effet, Sadira était une prostituée des rues d'Agrabah. Elle gagnait sa vie en volant, mais en séduisant les hommes. Mais j'avais eu le coup de foudre pour elle, parce que c'était mis a nu pour moi. Elle m'avait confiée ses secrets de sa vie. En observant encore cette caverne, je m'imaginais un foyer chaleureux, mais aussi luxueux. Parce qu'elle avait toujours désirée prendre la place de la Princesse Jasmine. Devenir une Princesse. Mais je m'imaginais surtout passer du bon temps avec Sadira, qui bercerait notre bébé dans ses bras, pendant que je leur chanterais une berceuse. Noa proposait son aide a prendre soin de Sadira, donc pour moi la fée était la personne idéale dans le rôle de marraine fée. Cela me faisait chaud au coeur qu'elle tenait a moi de cette manière.
Quand le ''représentant'' des enfants perdus, demandait l'avis de la fée. Elle était aussi contente que moi, ce qui me rendait heureux, s'approuvait d'un signe de tête mon enthousiasme à cet endroit. Je caressais d'une douceur paternel Kenza sous ma cape. Lui disant ces quelques mots en murmurant. - Nous serions bientôt réunis ..Je n'ai peut-être pas tenu quelques promesses dans le passé mais je tiendrais celle-ci
Mon poupon avait fait de moi, un homme meilleur.. Pendant ce temps là, la fée passait le nouveau marché avec les enfants perdus, pour réparer mon erreur. Elle leurs parlait de mon Royaume et des jouets proposés. A notre plus grand bonheur, les garçons acceptaient..Noa se retournait vers moi pour avoir mon approbation.
- Marché Conclu.
J'étais content d'avoir fait un compromis avec les enfants, avec l'aide de ma conseillère. C'était pour moi une preuve que j'aurais été ou je serais un bon Roi pour Agrabah, pour les marchés commerciaux. Parce que ce que personne savait pour Jasmine et moi que malgré le froid nous. Nous étions toujours lier par un contrat de mariage. Donc j'étais toujours le seul héritier du trône du Sultan. Parce que Kenza n'était pas considérée comme tel. Parce qu'elle était un batard , le fruit de l'union entre le ''Dauphin'' et une maîtresse.La seule manière pour quelle soit héritière du trône c'était de la faire légitimer par le Sultan. Ce Sultan, mon beau pere par alliance ,avec qui j'allais devoir marchander pour avoir des jouets de notre Royaume.
Je m'approchais donc de Noa pour lui annoncer qui c' était le moment de partir pour accomplir la part de mon marché.
- Je vais devoir retourner a Storybrooke pour aller voir mon Roi et pour les jouets. Veux tu me raccompagnée au port du Neverland ? Je voulais en même temps te remercier de prendre soin de Sadira.
Je m'approchais d'avantage, pour la prendre dans mes bras et lui faire un calin pour la remercier.Mais soudainement, un nuage de fumée nous enveloppait, pour nous faire disparaître sur un mystérieux navire volant.