« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Ce sont les rayons du soleil qui réveillèrent Jack. Doux, comme un calin, ils le tirèrent de sa torpeur. Maudissant cet astre jaune et brulant, il se redressa. Un mal de crâne considérable frappa ses tempes. Le Rhum. Merveilleuse invention, mais qui pouvait transformer le meilleur d’entre nous en un parfait imbécile. Pour Jack, le Rhum le rendait incroyablement fort, puissant et chanceux. Mais quand il forçait la dose, comme il avait du le faire quelques heures auparavant, ce merveilleux pouvoir d’ivresse devenait totalement incontrôlable. Et visiblement, c’était ce qui s’était passé. Masquant le soleil à l’aide de sa main, Jack Sparrow regarda autour de lui. Il était allongé, sur le sable chaud et fin d’une île déserte. Pourquoi est-ce qu’il sentait que le sable était si chaud et si fin ? Simplement parce qu’il était nu. Nu, oui. Nu comme un ver. Dans une grimace de surprise, il constata que son appareil génital était toujours là. Bonne chose. Se relevant lentement, il s’étira et regarda au loin. Rien. Pas de Black Pearl. Pas de navires, pas de vie, rien. Fronçant les sourcils, il s’étira un peu, sans paniquer. Il s’était déjà retrouvé dans ce genre de situation. Une fois étiré, il regarda tout autour de lui. L’île était constituée comme la plupart des îles de la région, d’une plage puis d’une forêt luxuriante. Certainement remplie de bête féroce. Mais ce n’est pas ça qui attira son attention. Un homme était allongé, à plusieurs mètres de lui. Visiblement, il avait passé la soirée avec lui car il semblait dans le même état. Et lui aussi nu comme un ver. S’élançant en courant, il vacilla rapidement. Les effets de l’alcool ne s’étaient pas encore estompé. Une fois arrivée à la hauteur de l’homme, il donna un coup de pied dans le sable juste à côté de son visage. « Ohé ! Réveil toi l’ami ! »
Une fois qu’il eut émergé, il fit comme Jack, dans un premier temps, il regarda tout autour de lui, et la panique commença un peu à se lire dans ses yeux.
« Ouais, je sais, elles ont toutes ce regard quand elles voient mes précieux bijoux d’famille. Bon, mon gars, il semblerait qu’on soit dans une très mauvaise situation toi et moi. L’ennui c’est que je ne te connais pas. Ca encore c’est pas vraiment le problème. On est nu comme Adam et Adam, d’ailleurs j’espère qu’on a pas eu de coït, ça m’étonnerait, même ivre comme lapin ça m’est jamais arrivé… Et j’ai perdu mon Black Pearl, mon compas et mon Tricorne. Ca c’est déjà plus grave… Oh tu m’écoutes quand j’parle ! J’sais pas ce que je t’ai trouvé à Tortuga dans la taverne, mais t’es visiblement bien moins marrant quand t’es à jeun ! Réponds moi ! Tu te rappelles de quelques chose ?... »
Aie. Juste, aie. Bemy c'était déjà réveillé avec bien des cuites. Certaine colossale, qui l'avait laissé dans un état de léthargie pendant plusieurs heures. Un état désagréable, dont sa tête ce souvenait encore. Mais celle ci, assurément que les souvenirs étaient brouillés comme pour en cacher les pistes. Il ouvrit durement les yeux, avec un goût de sel à la bouche. Avait-il bu la tasse ? Le lumiosité était bien trop violente pour ses pauvres rétines. Bemy ce contenta de grogner, avant de recevoir un paquet de sable sur le visage. Il s'étouffa sous les grains qui ce noyait à la fois dans sa bouche et dans son nez, alors que l'agression fut accompagné par une voix inconnu. « Ohé ! Réveil toi l’ami ! » Bemy ce releva de manière brusque, avant de sentir le vent caresser sa peau de manière trop direct. Il baissa les yeux, et un ricanement s'échappa de ses lèvres. Il était nu. Ce n'était pas pour le déranger. D'une expression affirmative, il constata que ses parties génitales étaient plus généreuses que celle de son pirate voisin. De quoi gonfler son égo bien trop surdimensionner pour le reste du peuple.
« « Ouais, je sais, elles ont toutes ce regard quand elles voient mes précieux bijoux d’famille. Bon, mon gars, il semblerait qu’on soit dans une très mauvaise situation toi et moi. L’ennui c’est que je ne te connais pas. Ca encore c’est pas vraiment le problème. On est nu comme Adam et Adam, d’ailleurs j’espère qu’on a pas eu de coït, ça m’étonnerait, même ivre comme lapin ça m’est jamais arrivé… Et j’ai perdu mon Black Pearl, mon compas et mon Tricorne. Ca c’est déjà plus grave… Oh tu m’écoutes quand j’parle ! J’sais pas ce que je t’ai trouvé à Tortuga dans la taverne, mais t’es visiblement bien moins marrant quand t’es à jeun ! Réponds moi ! Tu te rappelles de quelques chose ?... »
▬ « La nudité ne me dérange pas. Et toi ?» dit-il d'un regard carnassier et d'un sourire espiègle. Provoquer. Comme toujours. Après tout, il était beau et digne d'un Apollon. Si il ce sentait inférieur, c'était pas son problème. Puis il ce mit à parler de manière un peu trop rapide pour Bemy. Il ce contenta d'hausser les sourcils et de tourner la tête de gauche à droite afin d'étudier les environs. Ils semblaient bien loin de Tortuga, et Bemy n'arrivait pas à remettre un trait sur les filamments de ses souvenirs. Si lui et son compatriote était nu, il espérait avec dévotion qu'ils n'aient pas fait quoi que ce soit. Il aimait les filles. Les poitrines. La féminité. Pas le contraire. Il lâcha un profond soupire en considérant le fait que lui non plus, a jeun, il n'était pas amusant. Et Bellamy détestait quand la situation devenait sérieuse. Le goût de l'aventure était plus acide.
▬ « Tu as finit de paniquer comme une gonzesse ? » fit-il d'un haussement de sourcils. A vrai dire, il devait avouer que la situation n'était pas pour l'enchanter non plus. « J'ai perdu mon navire aussi. » remarqua t-il. Si l'Eldorado était dans les parages, avec un soleil pareil, l'or ce serait manifester au loin. « En générale, quand je suis nu, je me retrouve avec une belle divinité à mes cotés ! » expliqua t-il d'un sourire particulièrement malsain. « Ou deux. Ou trois. Ca depend de mon humeur. » s'amusa t-il à vanter. Il savait qu'il était l'objet de convoitise de n'importe qu'elle petite jouvencelle. Il effectua une claque brutale sur l'omoplate de l'homme, une expression fourbe placardant ses traits. « Ne pleure pas. On va les retrouver. » ce moqua t-il. Et puis, comme ci la situation était lassante, Bemy ce détacha de la plage pour arpendanter l'orée du bois.
▬ « Tu peu rester ici et faire bronzette. Ou me suivre. » lui proposa t-il. Ne ce dépatissant pas de son arrogance. Bemy tentait de remettre ses idées encore mélangés en place dans sa tête. En tout cas, il n'attendra pas le pirate. Il comptait bien faire comme il l'entendait, avec ou sans personne. De toute façon, Bemy ne comptait que sur lui même et il ne lui viendra pas à l'esprit d'aider qui que ce soit. Et parce que son nouveau compagnon d'infortune semblait détester l'idée de rester seul, Bemy fut très vite accompagné. Il dégagea les premières feuilles qui gênait son visage, maudissant ses habits d'avoir disparu. Pour le coup, son sabre lui aurait très utile. Il ce demandait où était son mousquet, son chapeau que lui aussi affectionnait, et son sabre. Forte heureusement, le collier qui ornait son cou était toujours présent et intact. Il lâcha un sourire amusé, alors que son compagnon ne semblait pas aimer le fait de ce balader nu en forêt.
▬ « Et beh alors, on n'est pas réglo avec sa propre anatomie ? » ce moqua t-il, avant de s'arrêter après un « clic » suspect ce fit entendre. On ne bouge plus. Bemy analysa la situation en parcourant le paysage du regard. Son cerveau n'était pas bête, et il savait que les clics en générale c'était mauvais signe. Il braqua son regard vers une brousaille qui remuait. Loin lui était l'idée de dévoiler son pouvoir devant cet inconnu, mais si il devait ce défendre, il ne ce ferait pas tuer en gardant son pouvoir pour lui même. Un grognement ce fit entendre, et un beau spécimen sortait des fourrés. Bellamy continuait de garder son expression espiègle, alors qu'un animal de type félidé s'approcha d'eux avec une lueur menaçante dans le regard. Il avait la taille d'un léopard. Bien. Il allait pouvoir porter son attention sur l'autre pendant que lui s'échapperait. Chacun pour soi. Hors de question que Bemy perde la vie pour sauver un compatriote. Après tout, il ne le connaissait pas, donc il avait aucune importance à ses yeux.
▬ « Je crois qu'il t'aime bien. Je te vous laisse faire plus ample connaissance. » déclara t-il d'un air railleurs, s'éloignant doucement pour ne pas provoquer la bête. Mais elle s'avança avec la ferme attention d'en découdre, et d'une grimace, Bellamy constata qu'il n'y avait aucun échappatoire pour lui. Il attrapa donc un baton, parce que bien entendu, c'était toujours quand on avait besoin d'un mouquet qu'il était porté disparu. Puis il le pointa dans la direction de l'animal. Il semblait hésiter entre lui et son compagnon. Bellamy fit en sorte de ce décaler sur le coté pour essayer de s'éloigné de la bête et de ce creuser un chemin pour ...partir ? Cela semblait être une délicieuse idée. Mais l'animal chargea et ses crocs ce plantèrent dans le baton que Bellamy tenait, luttant contre la force de l'animal. Ses pattes filaient de manières fébriles vers l'avant pour tenter de le lacérer.
Il parvint à toucher l'une de ses épaules, et un liquide doré s'échappa de la blessure. Bellamy grimaça sous la douleur, et réussie à rejeté l'animal en arrière. Il brisa le baton entre ses crocs, et Bemy en profita pour porter ses doigts à sa blessure. Il grimaça en serrant les dents, jetant un regard noir à l'animal. La situation ne l'amusait plus. Le jeux avait cessé. Sans demandé son reste, il indiqua un chemin à son compagnon et fila à vive à allure dans la forêt en courant. Jamais encore il ne c'était sentit plus léger qu'en courant nu. Il tenait quand même à son paquet. Il allait faire comment après ? L'animal courrait derrière eux en voriférants des grognements féroces.
▬ « Tu ne veux pas d'un chat de compagnie par tout les hasards ? » cria t-il à son compagnon, alors que la forêt filait à toute vitesse dans leurs courses haletantes. Bellamy ne pouvait compter les nombres de fois ou ses pieds placardait des plantes piquantes. Il ignorant la sensation douloureuse que cela procurait, et entreprit de courir en regard droit devant lui. Puis, l'horizon finit par disparaître pour laisser entrevoir du vide. Bellamy s'arrêta en dérapant sur l'herbe, avant de jeter un regard des plus courroucés au précipice. Il y avait de l'eau en bas. Il jeta un regard en arrière, l'animal était proche. Mais jamais ils ne les suivraient si il plongeait. Sans même consulter Jack, Bemy recula pour prendre son élan et sauta pour ce jeter dans le vide. L'adrénaline affutait dans son sang doré, et il perça la coque de l'eau froide.
Heureusement, il ne craignait pas l'eau. Il était parfaitement à l'aise avec elle. Elle ne lui faisait aucun mal et il pouvait passer de nombreuses heures dans ses profondeurs sans manquer d'air pour autant. Bemy ne savait pas d'où il tenait cette étrange fusion avec l'eau, mais ca l'arrangeait. Il remonta à la surface, et croisa le regard de son compatriote qui avait également plonger. Son regard bleuté ce dirigea vers l'animal qui gronda d'indignement de ne pas avoir eu son steak. Bemy nagea jusqu'à la rive et ce laissa tomber sur le sol, essouflé. Il n'était vraiment pas contre des vêtements. Il avait aussi la sensation qu'il n'était pas au bout de ses surprises, et que ce n'était que le commencement.
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Jack Sparrow le toisa de tout sa hauteur. Vraiment ? Ce mec était bien plus prétencieux que lui. Il était certes peut être plus beau, plus jeune et plus tonique, mais il n’avait pas un tiers de son charme et de sa classe. Ricanant à sa remarque sur les femmes et sur la taille de son matériel génital, il se tint le ventre en ricanant de toutes ses forces. « Bien évidemment. Sauf que je suis le Capitaine Jack Sparrow… Et les hommes expérimentaient comme moi, bourrés de charme et de talent sont bien plus intéressant que les freluquets imberbes dans ton genre l’ami… C’est pas tellement comment dame Nature nous a équipé qui est important vois-tu… C’est comment on la remercie, et comment on évolue avec les femmes le plus important, mais ça, j’crois qu’sa t’échappe... »
Sans rien ajouter, il le suivit dans la forêt, toujours complètement nu. Ce n’était pas qu’il n’aimait pas vivre à poil, non ca c’était une de ses passions favorites. C’était plus les moustiques, l’humidité et les feuilles sur son corps qui commençaient à le gêner. Faisant des gestes agacés typiquement Sparrowdiens avec ses bras, il remarqua qu’un fourré était en train de bouger tout seul. Courageux comme un ours, il se cacha derrière son compagnon d’infortune, et le plaça bien devant lui. Il n’était pas assez bête pour enclencher le duel avec elle. Et une fois qu’elle aurait dévorée l’autre Pirate, il pourrait ainsi la tuer et récupérer sa fourrure. Il deviendrait alors l’homme le plus sauvage de cette île, libre comme le vent pour l’éternité. L’attaque du Léopard le tira de sa rêverie. Comme son plan fonctionna, et qu’elle s’attaqua à son compagnon plutôt qu’à lui, il se mit à une bonne distance et l’encouragea en levant les bras en l’air. « Vas-y l’ami, frappe le, débat toi ! Voilà ! Aïe, pas bon ça, hé attention, pas mal ! Ouais tu t’en sors bien ! Un vrai Pirate hein ! »
Voyant que Bellamy effectua une rupture de contact parfaite et commença à courir, il fit de même en agitant les bras dans tout les sens. Il le vit même se retourner vers lui avec un sourire mauvais et lui demandait si il ne le voulait en tant qu’animal de compagnie. Mais pour qui il le prenait, sérieusement ? Il était le Capitaine Jack Sparrow. Il s’en sortirait vivant, ça s’était certains. Acculé, il observa avec impuissance ce dernier ce jeter du haut de la falaise. Il avait laissé tomber son baton… Quelle ironie ! Se penchant, il le vit nager quelques mètres plus bas. Si il sautait, il avait de grandes chances de mourir. Si il ne sautait pas, il devrait affronter un léopard enragé et motivé par le sang qu’il avait récupéré sur Bellamy. Se saisissant du baton, il fit face à la bête. Trop tard, cette dernière lui sautait déjà dessus… La chance légendaire de Jack Sparrow frappa ! Le baton se coinça dans les dents de l’animal, et l’inertie de l’attaque le fit sauter de la falaise. Entrainant la bête avec lui dans sa chute, son corps percuta l’eau dans un plat sonore au niveau de ses fesses. Remontant à la surface, il observa le pauvre animal qui détestait l’eau se noyer progressivement. Parfait… Une morte, il se saisit de la bête par la peau du cou et nagea vers la rive. Le ton railleur du Pirate cessa immédiatement quand il vit qu’il sortait le léopard mort de l’eau, ses deux merveilleuses fesses rouges comme des tomates mûres. « Tu as de la chance l’ami ! Du moment que tu es avec Jack Sparrow, rien ne peut t’arriver, crois moi ! Bien, aide moi à dépecer ce truc, il est assez gros pour nous faire des vêtements à nous deux et il va nous nourrir au moins pour aujourd’hui ! Allume un feu, je vais cautériser ta plaie et te faire un bandage avec ce qu’il reste de ses boyaux… C’est une vilaine coupure, pour un grand seigneur pirate comme ça » dit-il ironiquement.
Installant le léopard sur les galets, il en prit un plus tranchant que les autres et il commença à lui retirer progressivement la peau….
Le capitaine Jack Sparrow, hein ? Vraiment , ca ne disait rien à Bemy. Pour ce qu'il s'interessait aux fameux pirates des îles aussi ...Après tout, il n'y avait que son égo à lui qui comptait et rien d'autre. Son regard ce porta sur l'animal mort, haussant un sourcil avec peu de conviction. Une chose qui était certaine, c'était que son nouveau compagnon de fortune avait la langue un peu trop pendu. Et il effectuait des mouvements à frôler la crise d'epilepsie pour les épileptiques. Heureusement, le cœur de Bemy était plutôt bien accroché. Il ce contenta donc de froncer les sourcils, lui avait-il sincérement proposé de faire un bandage à base d'entrailles de léopard ? Non, décidément c'était vicéralement pas possible. Si il osait s'approcher avec un intestin ou un truc bien dégoutants, Bemy le transformerait en or sur place. Parole de pirate. Et comme il était hors de question que Jack ce rende compte que de l'or s'écoulait de la blessure de Bemy – il n'avait pas l'air de l'avoir remarqué, il ce contenta de prendre une large feuille en guise de pansement. Il l'enroula autour de son épaule, et parvint à coincé la queue dans l'enroulage.
▬ « Je me passerais de tes conseils douteux. » lui répondit-il tout simplement. Donc il n'y avait aucun échappatoire à cette mascarade grotesque ? Avec un soupire, Bemy attrapa un galet tranchant dans le but d'aider Jack. Il n'était pas un larbin. Ce n'était pas son boulot à lui de depecer les animaux. Lui, il roulait sur l'or. Ou du moins, naviguait … Il était le capitaine, et ce payait une vie idéal au sein de son bateau. La peau d'animal, il avait des cuisiniers pour ca. Ou pour sa sœur quand elle lui tapait un peu trop sur le système. Mais force est de constater que Bemy avait quand même besoin de vêtement. Pas que la nudité le dérangeait, mais ce n'était pas pratique de courir dans la forêt avec les parties intimes à l'air. Les feuilles, les branches, ca coupe l'air de rien. Et il tenait à ses parties délicates qui lui servait à entretenir des liens forts avec ses demoiselles à combler. Bemy écorcha la peau avec le galet, jusqu'à en faire saigner l'animal.
La vue du sang, de la peau, des veines, et de l'os ne lui fit ni chaud ni froid. C'était un pirate. Honte serait de reculer devant cette vue rebutante. Il n'était pas certains que ce léopard leurs procurait des vêtements entier, mais c'était mieux que rien. L'odeur de l'animal le répugnait au plus au point, et au bout d'un moment, Bemy laissa tomber l'affaire pour laisser Jack avec son chef d'oeuvre. Il était pas cuisiner, ni même styliste ! Le feu, c'était quelque chose dont il pourrait s'occuper. Il s'éloigna de Jack qui continuait de bavasser comme une fillette ( bon sang, ce qu'il avait de la parole à revendre …) et s'aventura dans les profondeurs de la forêt pour ramasser du bois. Il ramassa quelque branche, les plus secs, et revint vers la berge alors que Jack avait presque finit de ce dépatouiller avec sa précieuse carcasse. Il laissa tomber les bout de bois sur le sol, en prit un qu'il frotta entre ses mains en le faisant tourner de gauche à droite, sur un confrère au sol. Une fumé finit par s'échapper et Bemy ce pencha pour souffler un peu d'oyxgène sur le feu.
▬ « Elle a finit son tricot la diva ? » ricana t-il de mauvaise fois en jetant un regard espiègle à Jack. Il ne pouvait s'empêcher de dépasser cette barrière. Celle de la moquerie. De l'élargir jusqu'à ce que la victime en soit complétement irradié. Il avait ce besoin constant de pousser les autres au delà de leurs limites. Notamment la patience. Bemy ajouta quelque herbes sèches dans le feu, qui finit par prendre forme. La chaleur de l'île était déjà accablante. Alors avec un feu en plus, bonjour les moustiques. Jack avait finit par ce dépatouiller avec son léopard. Au final, il ne c'était pas si mal débrouiller que ca. Mais pourquoi l'admettre ? Ce serait cruel de sa part et frustrant. Le dénie est bien plus amusant. Il attrapa une partie de la fourrure, dans laquelle il put cacher ses bijoux de familles en toute impunité. La fourrure du léopard lui faisait comme culotte de protection. C'était toujours mieux que rien. Mais cela ne les aidaient pas pour autant à savoir où ils ce trouvaient, et qui avait osé ce foutre de leurs gueules. Où alors, ils étaient tellement dénoué de cerveau qu'ils c'étaient mis dans cette galère tout seul comme des grands.
▬ « Je vais tenter quelque chose. Je te laisse faire la cuisine, t'as l'air à l'aise avec ce genre d'activité ! » railla t-il, d'un humour noir et tranchant. Bemy ce dirigea vers la berge qui les avaient cueillie en bas de la falaise. Après avoir appris une ou certaine chose à son sujet, et au sujet de sa sœur Bekah, il ce demandait si les gènes de son père coulait bien dans ses veines. Il trempa la mains dans l'eau froide, et entreprit de ce concentrer. Il ne savait pas trop ce qu'il cherchait à faire. Mais il sentait beaucoup de chose. Ce contact était une nouvelle horizon qui s'offrait à lui. Son esprits s'élargis pour ce perdre dans les méandres des vagues. Il sentait le déchainement de la mer non loin de lui. Elle était particulièrement en colère, aujourd'hui. Les êtres vivants c'étaient réfugiés au fond de l'eau, là ou c'était davantage plus calme et paisible. Il sentait chaque recoins, chaque présence dans cette eau bleu et profonde, qui ruisselet de secret de trésors. Un contact particulièrement familier le saisie. C'était comme une douce caresse chaleureuse qui réchauffait l'organisme. Un sourire mutin étirait ses lèvres. Il sentait la présence de sa sœur. Il ce contenta de relever les yeux au ciel, désabusé. Il cherchait juste Neverland. Ce n'était pas la première fois qu'il arrivait à capter les rivages de l'île tout en étant loin, ou sur la mer.
Cependant, elle demeurait loin. Très loin. Il arrivait à la situer parfaitement dans son esprit. Le rideau du spectacle ce levait pour qu'il puisse voir clair sur son publique. L'orientation et sa deduction surnaturel lui indiquait clairement les coordonnées et leurs présences. Ils étaient loin de Neverland. Ils ne savaient pas comment il allait rentrer. Mais il savait à présent ou ils ce trouvaient. Bemy rompa le contact avec l'eau pour revenir vers Jack, dont une odeur délicieuse s'élevait du feu. Il attrapa une espèce de brochette qu'il avait fabriqué avec la viande du léopard et s'intalla sur un rocher, de sorte d'avoir vue sur son environnement. On ne sait jamais ce qui traine un peu trop par ici. Quelque fois qu'une tribu sauvage, ou d'autres pirates voudraient leurs peaux. Remarques, Bemy n'était pas prêt d'y laisser la sienne.
▬ « Nous sommes un peu prêt à quatre îles avant Neverland. Cela constitue à une semaine pour rentrer. » Affirma t-il. Une semaine pour rentrer … Un sourire carnassier étirait les lèvres de Bellamy, faisant jouer cette lueur lugubre au creux de son regard. « Voilà ce qu'on va faire : On dérobe un navire et on met les voiles. » lui expliqua t-il, croquant dans cette viande pas du tout désagréable et à l'odeur alléchante. Le léopard, finalement, c'était bon. Bemy était certain qu'un port devait trainer dans les environs. Voir même une ville. Ce n'était pas de la déduction qui faisait partie de ses pouvoirs, mais plutôt une intuition. Tient, d'ailleurs, maintenant qu'il y pense, il aurait peu être du interroger sa sœur. Mais il ne savait pas si il en avait les capacités. Déjà que ca l'étonnait déjà de pouvoir sentir sa présence. Bemy était tellement absorder à ce débattre avec son bout de viande, qu'il ne remarqua pas tout de suite qu'ils n'étaient pas seul.
« rumbatka ! » s'eleva une voix sauvage et brusque. Bemy leva les yeux pour aperçevoir une tribu de ...Primate avec des lances pointés dans leurs directions. Bah quoi ? Des sauvages, c'est des primates pour lui. Un point c'est tout. C'était pas des personnes assez civilisé pour les qualifiés d'humain. Bemy lâcha un soupire. Bon. Pour le navire, ca allait attendre apparemment. Il n'avait pas d'arme, et il ne ce voyait pas transformer l'un de ses hommes en or. Au risque de les énervers tous. Cependant, sa force était plus décuplé que la moyenne. Mais là encore, c'était risqué parce qu'ils possédaient des arcs et des flèches. A contre cœur, et de mauvaise foi, Bemy lâcha son bout de viande pour rejoindre Jack dans son mouvement : Lever les mains en l'air. Ils auraient quand même pu attendre qu'il finisse son repas. C'était trop demandé un instant de répit dans ce foutue pays ?!
▬ « Je peux au moins ...Non ? Allez vous faire foutre. » les insultat-ils, bien qu'ils ne comprenaient pas uns tricte mot de ce qu'avait dit Bellamy. Il avait seulement voulu récupérer sa viande, parce que la nourriture c'est sacré et que ca lui faisait un mal de chien de l'abandonner. Mais apparemment, un primate, en plus de s'exprimer comme un beau sauvage, bah ca négocie pas. Il jeta un dernier coups d'oeil à sa viande qui s'évanouie sous un tas de feuille lorsqu'ils furent obligé de s'enfoncer dans la forêt. Il grommela dans sa barbe naissante, cherchant mentalement un moyens de leurs en coller une ou deux et de retourner manger sa viande. De toute façon, quand ils auront lâcher leurs arcs qui étaient le seul rempart entre eux et Bemy, il pourrait en cogner un ou deux. Et en transformer d'autre en or. Tiens. D'ailleurs. Ca croit pas en des dieux ses trucs là ? Si Bemy pouvait ce faire passer pour un dieux vivant ...Il disait clairement pas non. « Fais chier. » ce plaignit-il à Jack.
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Jack s’affaira à sa basse besogne. Il avait déjà dépeusser des bêtes avec son père pour survivre dans la jungle. C’était une habitude, et il remercia interireuement ce dernier pour son éducation sans failles. L’idée c’était surtout de bien suivre la peau pour laisser le moins possible de viande sur cette dernière. C’était une tâche délicate qui demandait beaucoup de tacte. Aussi, quand Bellamy arriva avec ses grands sabots pour faire ça comme un goret, il lui répliqua d’un ton cinglant : “ Va t’en tu vois bien que tu fais absolument, n’importe quoi !”
Et il agita les bras en l’air pour appuyer ces mots : “n’importe quoi!”. Laissant Bellamy s’occuper du feu, il se dirigea vers la rivière, il commença alors à papotter : “Tu sais, t’as d’la chance d’être ici avce le Pirate le plus vénard de tout Neverland. Je pense que d’ailleurs, sans moi tu serais mort tout à l’heure! C’est moi qui t’es incité à pousser, mais le truc c’est que tu n’l’as pas r’marqué!”
Lorsqu’il se détourna pour lui annoncer qu’il allait faire “Un truc” Jack grimaça et se redressa les mains encore en sang. Se vêtissant de la peau de bête en son intégralité, il en découpa un tout petit bout et le jeta avec férocité à Bellamy. Souriant sadiquement, il pencha la tête sur le côté et déclara d’un ton cassant et ironique : “Oh, bien sûr, sauf que je te signale que je suis aussi Capitaine. D’ailleurs, quand on aura retrouvé nos navires, je te pari un coffre d’or que tu perds sur une course de plusieurs noeuds. Et en parlant d’noeuds. Couvre moi ton p’tit paquet.”
Lui jetant avec force la peau en plein visage, il le laissa aller faire son “truc”. Se dépêchant de faire cuire la viande, il se mit de côté les meilleurs morceaux et laissa tout le reste à Bellamy. Un sourire sadique sur le visage, il lui tendit la partie la plus nerveuse de la bête. “Bon appétit, Capitaine.” déclara-t-il à nouveau plein d’ironie.
Puis il poursuivit : “Bien évidemment ! On vole un navire, et on met les voiles. Je me demande comment tu as pu devenir Capitaine avec des plans aussi simples! A moi d’en avoir un dans ton nouveau petit slibard tâcheté, je ne sais pas où tu vas pouvoir trouver un bâteau sur cette île de sauv...”
Mais il fut couper par les dit sauvages. Une tribue commença alors à l’encerclé. Jack leva les mains en l’air quand il vit les arcs et fit un sourire confiant à Bellamy. “Ne t’en fais pas, j’ai l’habitude!”
Un des sauvageons lui plata légèrement une pique dans les cotes pour le faire taire. Jack grimaça puis analysa leur langage et leurs tatouages. Souriant en coin, il savait exactement ce qu’il devait faire. Soudain, il leva alors les bras au ciel et se mit à parler avec une voix rude, exagéré et d’outre-tombe : “ Lakaté, Pokoyani, maratcha kikouli ! Venikita, huji loua louo poke ta tuki vinika loubara viliko nagati vrianata Ukuku ! “
Sans plus attendre, il attrapa la lance de l’homme qui lui avait enfoncé cette dernière légèrement dans les cottes pour le faire taire, la retourna contre son propriétaire et lui enfonça dans la glotte à une vitesse fulgurante. Aussitôt, l’ensemble de la tribu se mit genou et commença à chantonner.
“Voilà, maintenant ils me considèrent comme leur Dieu. C’était simple, se faire passer pour leur divinité Ukuku, bluffé en annonçant que si on n’était pas libre, je tuerai leur chef, trouver leur chef, le tuer. Bienvenue dans mon monde gamin. Et si tu veux mon avis, tu devrais toi aussi t’agenouiller...”
Un sourire mauvais s’étira alors sur les lèvres de Jack.
Bellamy regarda les sauvages d'un œil méfiant. De beaux spécimens non civilisés. Il détestait ces créatures. Elles n'avaient rien à faire là. Elles n'avaient qu'a ce civiliser comme tout le monde. En plus, c'était hargneux et horriblement sensible. Oh, pas que d'être prisonnier l'effrayait. Il savait parfaitement comment cette histoire risquait de ce finir. Pour lui, ce n'était qu'une question de temps. Sauf qu'il ce trouvait que son compagnon de route, Sparrow, c'était pas un des plus ...aidé.
Il le regarda lâcher des mots dont il n'arrivait pas à en saisir le sens. Il ce demandait juste ce qu'il était en train de fabriquer. Et si il était sérieux dans cette démonstration des plus honteuses. Il fallait croire que oui. Bemy leva un sourcil, son visage marqué par la moquerie que cela attisait chez lui. Il était complétement ridicule. Et ce beau spectacle ne manquerait pas d'être ravivé par sa parole. Hilare, il du cependant avouer qu'il était impressionné par la performance de son allié. Enfin, allié... Qui ce trouvait être fait de la même trempe que lui.
▬ « Bravo. Je vois que l'on me vole mes combines. » déclara t-il, un œil fourbe alors que le chef venait de trépassé sous la lance. Bemy ne daigna pas s'incliner. Non mais puis quoi encore ? Il a une tête de soumis, de sous -fifre peu être ? Il toisa Jack d'un œil ardent, la tête légérement incliné. Il mesurait le spécimen qui lui faisait face. Il analysait sa position. Donc c'était bien maintenant que ca avait lieu. Bemy pensait sincèrement qu'il allait l'abandonner dans un coin, mais pas aussi précipitement. Et encore moins que la situation ce retourne contre lui aussi vite.
Mais franchement, si il pensait qu'il venait de le bloquer, de le coincer ...Alors c'était à s'y méprendre. Son sourire mutin animait une lueur mesquine dans son regard. Au contraire. Il venait tout simplement de lui remporter un ticket au loto. Et un beau. Bemy ce saisit de la lance de Jack en usant de a force surhumaine pour la lui dérober. Alors que la surprise ce peignait sur son visage, lui, il en ricana grandement parce pur geste simple.
▬ « Bel arme. Un peu trop primitive. » fit-il remarquer avec une pointe de désapprobation. Il leva l'arme vers le ciel, et un or immaculé s'échappa de ses doigts pour venir la transformer de toute part. Bientôt, la lance était coloré d'un doré pur, et les rayons du soleil perçait sur sa dorure, illuminant la végétations. Les créatures primitives lachèrent un murmure admirative, leurs yeux c'étaient posés sur l'arme durant sa transformation. Maintenant, ils étaient tellement admiratif, qu'il s'inclinait jusqu'à toucher la tête au sol. Bellamy était devenu un espèce de dieu vivant. Il fixa Jack, malicieux.
▬ « Je crois que c'est toi, qui ferait mieux de t'incliner. Attend, bouge pas, je vais te montrer comment on fait ! » lança t-il, en donnant un coup de lance dans ses côtes. Alors que le pirate s'attrapait le ventre avec douleur, il en profita pour donner un second coup derrière ses genoux. Il ce trouva aussitôt à terre. Bemy plaqua le baton sur le sol, tel un souverain tenant son sceptre.
▬ « Bon. C'est par où la maison ? » Demanda Bemy. C'est pas tout, mais cette gueule de bois lui donnait faim. Les sauvages ce relevèrent, et il leurs ordonna d'attacher Jack. On sait jamais, c'est vicieux ce genre de petite créature. Les sauvages s'occupèrent de le ficelés sur l'un des bouts de bois, et de le soulever comme un port prêt à l'étalage. Bellamy dégageait une expression particulièrement hautaine. Il était le roi. Et les sauvages venaient de le sacré. Il entreprit de suivre l'une de ses créatures qui lui servirait bientôt d'esclave à travers la jungle. Reprenant une marche tranquille. Il gardait sa lance en or, on ne sait jamais si l'un d'eux était apte à la révolte. Un roi devait toujours garder quelque cartes dans ses manches. Puis si jamais ca ce rebellait un peu trop, un coup bien placé et l'affaire serait réglé.
La jungle laissait place à une vallée dégagé. Des maisons étaient éparpillés en contrebas, faite de terre et de feuilles de palmier. Ainsi que de bout de bois pour faire tenir la toiture. Bellamy exprimait un vive dégout. Il aurait aimé avoir un temple. Ou un château. Ils vivaient sincérement comme des rats là dedans ? Fin calculateur, il suivit silencieusement le sauvage qui le guidait vers sa nouvelle demeure. Avant d'oublier un détail cruciale. Il ce tourna vers le Jack saucissoné comme une viande. Il avait tenté de le doubler, sauf qu'il était difficile de doubler Bemy. La seule personne à avoir réussit à le faire tourner en bourrique était sa sœur. Cet épisode irritait encore son esprit. Il ce demandait si la vue était sympa, de là haut, perché comme un lémurien.
▬ « La prochaine fois que tu essaye de me doubler, tu y réfléchiras à deux fois. » Lui dit-il. En réalité, il ce moquait de ses sauvages qui l'adulait comme un dieu. Lui, il voulait simplement revoir son bateau. Pourquoi était-ce si compliquer à comprendre ? Un regard ardent sur le pirate, il fit signe à ses disciples de le mettre en prison. Ou du moins, dans les choses qui leurs servait de prison. Puis, il suivit avec hâte l'un des espèces d'indien qui le guidait vers une grande maison, plus grande que les autres. Ah. La sienne.
C'était déplaisant au plus haut point. Mais si il pouvait grapiller un peu de nourriture et d'affaire avant de repartir – parce qu'il ne comptait pas rester ici- il ne dirait pas non. Il entra dans la pénombre, pour y deceler un lit, et un espèce de trône ou des plumes s'en échappait au niveau de la tête. En parlant de tête, les accoudoirs étaient fait en serpent, dont la collerette était en plumes. Bellamy haussa un sourcil. les Aztèques. Cela n'annonçait rien de bon. Ils étaient connues pour les sacrifices. Forte heureusement, etant leurs chef, il ne risquait rien. Jack en revanche …
▬ « Quetzacoalt, hein ? Il m'a envoyé ici. » déclara Bemy en désignant le serpent, et en ce désignant lui même par la suite. Cela paru monter plus vite que prévu au cerveau du sauvage, qui s'inclina de plus belle. Le sourire de Bellamy s'embellie, et il lui mimait la nourriture. Puisqu'il ne parlait pas un traitre mot, il fallait bien trouver un moyen de communiquer avec eux. Son petit larbin préféré hocha la tête, et lui fit signe d'attendre. Bemy en profita pour ce glisser sur son trône, et regarda le village avec un air impérial. Il était fait pour être roi, et dominer sa population par ses pouvoirs ...divin ? Non, il ne les tenaient que de lui même. Il n'avait à remercier personne. Le petit Aztèques réapparu avec toute une corbeille de fruit, et un plateau ou figurait une cuisse de poulets. L'estomac de Bemy réagit aussitôt, et il s'empara de cette délicieuse entremet qu'il avalait de bon cœur.
« Peuple voir vous ... » laissa échapper le petit Aztèques. Bemy haussa un sourcil. Donc ce truc le comprenait et voilà seulement qu'il ce manifestait ? Il analysa son larbin avec impérialité. Elle lui voulait quoi, la plèbe ? Il termina sa cuisse de poulet, parce que la nourriture ca ne ce gâchait pas et ca ce dégustait, puis il ce leva. Sauf que son disciple lui fit signe d'attendre. « Habit royal ... » lui indiqua t-il. Bellamy tourna la tête pour apercevoir une coiffe à plumes. Un serre tête avec le symbole d'une tête de serpent trônait en son centre. Et la coiffe de plumes rejetais plusieurs couleurs non violente pour sa rétine. Il lâcha un soupire. Jusqu'a quand allait durer cette plaisanterie ? Il prit la coiffe et la positionna sur sa tête. Il s'attendait à ce qu'elle lui pèse, mais nullement. Puis il mit les différents collier et bracelet. Genial. Il avait l'air d'un beau sauvage. Si sa sœur le voyait, il était foutu.
▬ « Moi pouvoir sortir maintenant ? » ironisa t-il en imitant l'Aztèques. Il hocha la tête, et lorsqu'il sortit, ce fut une panoplies de villageois qui s'inclina. Le pouvoir qu'il dégageait en faisait vibrer son organisme de plaisir. Il lâcha un sourire de convoitise. Tout ces gens étaient à lui. Ils lui obeissaient aveuglément juste parce qu'il pouvait faire de l'or. Si ca c'était pas magnifique. Il croisa les bras sur son torse, un shéma ce dessinait dans sa tête. Dommage qu'il ne pouvait pas rester. Il aurait adorer rester le roi. Mais il reviendrait très vite. Une armée d'Aztèques, c'était utile. Il appela son domestique qui s'inclina à ses pieds avant de ce relever. « Emmène moi voir mon prisonnier. » lui demanda t-il. Celui ci inclina respectueusement la tête, et lui fit signe de le suivre à travers la vallée. Il parcouru les rangés de maisons, avant de déboucher sur une rivière. Il la traversa sans soucis – heureusement, sinon il ne mériterait pas ses capacités- et continua de suivre le chemin qu'on lui traçait.
Il s'aventura dans la forêt, qui finit par déboucher sur un précipice. Bemy haussa un sourcil. Il avait bien compris le mot prisonnier quand même ? L'Aztèque lui fit signe de regarder en bas. Bemy ce pencha, pour découvrir une prison ...Insolite. Une cage suspendu dans la vide. Une grosse boule géante à hamstère. Un sourire railleur ornait ses lèvres lorsqu'il reconnu le visage de son ancien compagnon de fortune.
▬ « Tout va bien en bas ? Tu veux un peu de foin ? » railla t-il, hilare, ce moquant sans vergogne de sa situation. Il faut dire qu'il était vraiment prit au piège dans cette boule géante. Et à moins d'avoir une cervelle qui fonctionne correctement, il ne sortirait pas d'ici de si tôt. Bellamy était même tentée de couper la corde pour voir si dans sa chute, la cage allait rebondir ou s'écraser. Jack lui était d'aucune utilisé. Il avait rompu leurs marché le premier. Il n'avait qu'a pas jouer avec le feu. On ce brûle.
Isaac Ormebrun
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Jack s’était retrouvé aussitôt emprisonné. Il avait alors observé la scène de la lance avec une grande attention. Il avait également subit ses attaques avec surprise, ne s’attendant pas du tout à être autant soumis. Surpris donc, il se laissa emporté par les sauvages sans dire un mot, ce qui n’était pas réellement une habitude chez lui. Bellamy s’éloigna et il se retrouva bientôt aux prises avec plusieurs sauvages qui le fixèrent avec intensité. Jack Sparrow, habitué à être enfermé, se laissa faire et dit dans leur langage, en parfait Azthèque : « Evidemment… Mais vous savez, je suis le Capitaine Jack Sparrow, je vais me sortir d’ici rapidement... »
Même si il parlait sa langue, l’homme le fixa dans les yeux et le força à rentrer dans la cage. Soupirant, il y consentit et poursuivit dans son langage qui parlait parfaitement : « Quand vous comprendrez que le malade à enfermer est votre chef, vous vous plaindrez moins... »
Le sauvage le fixa, et fit rouler la cage. Jack suivit le mouvement sans broncher, alors qu’il l’attachait à la falaise face à la mer. Au dessous, des roches et des arbustes solides accrochés à la paroi lui faisait face. Le sauvage lui répondit d’un air renfrogné. « C’est un Dieu. Et nous traitons les Dieux comme les rois... »
Jack se mit alors à rire, d’un rire puissant et cristallin. Souriant à son interlocuteur avant qu’il ne le balance dans le vide, il déclara : « Bien sur. Cortès aussi était un Dieu pour ton peuple… Et regarde où cela vous a mené. Vous n’êtes plus que l’ombre de vous même… Mais c’est pas grave l’ami ! Tu n’sais pas s’que tu fais ! » Avant de tomber, il se saisit d’un caillou tranchant discrètement alors que l’homme en face de lui était ommnubilé par ses paroles.
Puis, dans une mimique infâme, il se laissa poussé dans le vide sans rien dire. Alors que Bellamy était en train de se complaire dans son rôle, Jack avait eut largement le temps de réfléchir à un plan d’évasion. Oh, oui, il en avait un. Alors que l’homme l’observait de haut, il fixa ce dernier en ricanant. « Tout va bien en bas ? Tu veux un peu de foin ? »
Le Pirate légendaire continua de ricaner, puis observa l’horizon d’un œil attentif. Réfléchissant avant de parler, il prononça tout de même ses mots : « Intéressant hein, le pouvoir. Il révèle la véritable nature des hommes. Ceux qui s’y complaisent n’ont rien compris, car c’est un manque de liberté et une prison sans barreaux, qui attend celui qui tiens les rennes du pouvoir absolu… Et tu en feras les frais. Combien de temps crois-tu rester roi, à la tête d’un Peuple qui a souffert de l’Or hein ? Pour certains, tu es un Dieu, mais pour d’autres, les plus intelligent, tu es la réincarnation d’Hernan Cortès en personne… Et en plus puissant… Donc à craindre. Tu ne pourras pas partir d’ici sans moi l’ami. D’ailleurs, ta compagnie m’ennuie déjà... »
Il fit une mimique dans le vague, observant toujours l’horizon recouvert d’un brouillard intense. Il était apparu rapidement, en même temps, c’était prévisible, la saison de la mousson approchait à grands pas, et la nuit commençait à tomber.
« Allez, je vais te donner un conseil, avant de te quitter… N’oublie jamais une chose mon grand. Tu pourras être l’être le plus puissant de l’univers, tu n’auras jamais ma liberté. Tu n’auras. Jamais. L’homme. Le plus libre. Le Capitaine, Jack Sparrow ! »
Tout se passa ensuite en un éclair. La corde qu’il avait commencé à rogner avec son caillou céda brutalement dans un mouvement de bassin de Jack. Se rompant, la cage plongea directement sur l’arbuste nichait juste en dessous de lui. La cage rebondit alors sur l’arbuste, et se brisa à moitié. Catapulté par l’inertie, Jack fit une cabriole dans les airs et se retrouva à plonger tête la première dans les embruns. Refaisant surface, il fit un geste obscène à Bellamy et hurla : « La différence entre toi et moi, mon gars, c’est que j’ai confiance en mon équipage ! Ce sont des affranchis ! Des hommes libres ! Et ils viennent chercher leur Capitaine vois-tu ! »
Et il disait vrai. Le Black Pearl perça le brouillard d’un seul coup, ses voiles noires perçant le brouillard comme du beurre fondue. Jack Sparrow nagea rapidement jusqu’à lui. Une corde descendit rapidement, et il se hissa de toutes ses forces sur son bâtiment. Maître Gibbs s’empressa alors de lui remettre son compas et son tricorne. Le remettant sur sa tête, il ricana de bon coeur, en observant le navire de Bellamy qui avait du mal à suivre la cadence faites par le Pearl, navire le plus rapides de tous les océans. « Voilà ta canote » hurla le moineau. « Allez, montre à ton équipage que t’es pas une poule crevée ! Saute l’ami ! »
