« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Derek & Duncan avaient suivi l'enchaînement des événements avec une fascination non-dissimulée. Si tout d’abord ils s’étaient inquiétés qu’un tétanos tombe par terre parce qu’ils avaient les mains trop prises pour l’attraper comme Amelia leur avait demandé, ils avaient rapidement eu les pensées habitées par d’autres préoccupations. L’oreille de Derek soigneusement pansementée, si tant est que le mot existe (non), ils avaient désormais en tête de rencontrer chaque personnage de films qui, comme le répétait la déesse de la nourriture sucrée, seraient de sortie à Storybrooke, comme les deux viles personnes qui avaient envahi impunément leur maison.
C’était donc en ce sens qu’ils regardaient ce personnage, Commode, avec admiration.
Pourquoi vous appelle-t-on Commode ? Est-ce une passion pour ce meuble noble taillé dans un bois noble ? Est-ce parce que vous être commode ? Est-ce parce que vous ne l'êtes pas ? Est-ce parce que vous êtes la réincarnation d’un arbre qui a été tué pour la conception d’une commode ? Woaaa, vous étiez donc une commode dans votre ancienne vie !
Mais ce fut lorsque Amelia utilisa de la magie pour amener deux nouveaux personnages télévisés dans la réalité que les jumeaux avaient changé de centre d'intérêt : c’était la première fois que la déesse leur faisait l’honneur de faire une démonstration de ces pouvoirs divins en leur présence. Honorés, fascinés, touchés, et excités, ils durent cependant vite se reprendre en voyant que chacun se montrait utile.
Et nous ! On veut nous battre aussi ! Nous servons et protégeons la reine de notre pays, des plus grands dangers et des plus grandes guerres ! Nous avons été soldats policiers de ce monde dans la police et comblons désormais nos jours comme héros des flammes le jour, et inventeurs robotiques la nuit ! Nous sommes les héros qu’il vous faut !
Ils avaient annoncé le tout d’un ton héroique, étant plus que fiers de montrer à tout le monde ce qu’ils étaient et de quoi ils étaient capable. Et enfin, cassant le ton de fierté, ils rajoutèrent d’un ton particulièrement hâtif :
Et on a trooop envie de rencontrer le démon chez Regina ! Peut-être qu’il faut finir notre tache pour libérer Amelia de cette vile télévision piégée. Alors nous, on s’occupe du démon, d’accord ?!
A leur remarque, Cole eut une mine soudainement énervée, formant une boule de feu dans sa main. Si vous voulez voir un démon de près, je peux arranger ça, hein ! Géant ! On est partant !
Prue intervint alors pour calmer le jeu.
C’est peut-être pas le moment, dit-elle simplement avant de se tourner vers les jumeaux. Vous parlez de quel démon au juste ? Aucune idée. Apparemment Regina a un démon chez elle. Faut trop voir ça ! Vous ne rentrerez pas tous seuls chez moi, finit par indiquer Regina. Y’a un charme de protection depuis le cambriolage, je fais attention.
Cela ne découragea pas le moins du monde les jumeaux.
Alors viens avec nous ! S’écrièrent-ils, tout autant excités. La sorcière sourit alors en les regardant. On y va par mon propre moyen alors !
Et l’instant d’après, une nuage violet les entoura, pour se dissiper une fois que le trio fut dans un tout autre lieu. Les jumeaux connaissaient, pour être venus quelques fois, l’endroit, c’était le hall d’entrée aussi grand que classe du manoir de Regina. Ils s’étaient toujours dit que ça avait des avantages d’être une ancienne méchante : tu lances ta petite malédiction pour avoir ton petit manoir tranquille, puis tu t’excuses auprès des gens. Les jumeaux n’étaient pas sarcastiques, ils le pensaient vraiment : ils avaient un grand respect pour Regina pour cela. Trop classe.
Cependant, cette fois-ci, c’était différent. L’ambiance était étrange, l’atmosphère était pesante. Du coin de l’oeil, les rouquins observèrent Regina, se disant qu’elle devait très certainement ressentir quelque chose de mauvais chez elle. Pour en avoir été victime un peu plus tôt, ils savaient que ce n’était pas du tout agréable de voir un ou des intrus chez soi, mais ils ne purent s’empêcher de trouver ça trop cool de se trouver dans un film d’horreur dans la vraie vie. Et puis, l’endroit sans lumière plongé dans l’obscurité dans la nuit rajoutait beaucoup pour ce résultat mystérieux et flippant.
Tout à coup, des petites notes de piano enfantin comblèrent ce silence lourd, les faisant presque sursauter. Et finalement, des voix d’enfants innocents et joyeux s’ajoutèrent.
[i]Un jour un homme tordu, sur un sentier tout tordu A trouvé une pièce tordue, sur une pierre tordue ! Achète un chat tordu, prend une souris tordue Tous ensemble ils ont vécu Dans une petite maison tordue ![/b]
Des pas s’ajoutaient, d’abord très faibles, presque inaudibles, que les jumeaux n’avaient pas perçu tout de suite, puis, au fil de la comptine, de plus en plus fort, au point, au bout d’un moment, de faire trembler le plancher.
Finalement, ils purent voir ce qui arrivait. Sortant du couloir, l’homme tordu lui-même fit l’honneur de sa présence en marchant de ses pieds et jambes tordues vers eux. Une boule de feu éclairait alors soudainement l’obscurité, les jumeaux se tournant vers Regina qui venait de l’allumer dans le creux de sa main.
Dégage de chez moi ! Hurla-t-elle en lançant la boule de feu vers le démon qui eut à peine mal.
Ca me rappelle quelque chose Fit Duncan à son frère, songeur, alors que tous deux s’élancèrent, sur la même lancée et la même idée vers le salon afin de prendre deux tisons près de la cheminée pour s’armer.
En revenant aux côtés de Regina qui était toujours déterminée avec ses flammes, les rouquins ne se firent pas prier pour foncer vers la créature difforme pour la frapper au visage. L’homme tordu ne perdit même pas son chapeau, se semblait même pas réagir à la douleur.
Moi aussi, ça me rappelle quelque chose, mais je vois pas quoi, souffla Derek alors qu’ils reculaient, voyant bien que ça ne servait à rien. Tout autour d’eux, les portes se fermaient une à une, la porte d’entrée fut bloquée avec une commode (l’ancêtre de… non rien).
Vite Regina !
Ils passèrent la dernière porte encore ouverte avant qu’elle ne se ferme à son tour, pour échapper au démon tordu. Ils montèrent les marches des escaliers quatre à quatre, alors qu’ils entendaient derrière eux leur ennemi rouvrir la porte et les suivres dans une vitesse folle. Leur course les piégea dans la chambre de Regina, il n’y avait plus d’issu, la téléportation de celle-ci ne fonctionnait pas, bloquée par le pouvoir de l’entité.
Prête ? Pour l’affrontement final !
Les jumeaux se mirent en position défensive, attendant de pied ferme que la chose ne revienne. L’homme tordu s’arrêta alors sur le pas de la porte, Regina fit apparaitre une nouvelle boule de feu dans sa main. Le démon se métamorphosa alors, au fur et à mesure qu’il s’approchait d’eux. Et, tout près, juste quand les rouquins allaient frapper, la chose acheva sa transformation pour adopter sa forme réelle, celle d’une none lugubre aux yeux lumineux
Les jumeaux sourirent alors, content de voir qu’ils se souvenaient enfin à quoi ils pensaient un peu plus tôt.
La situation devenait de plus en plus étrange, la jeune femme voudrait tant que tout ça ne soit qu'un rêve et de se réveiller dans son lit près de son conjoint. La situation était tout autre... Iris se retrouve donc chez la pâtissière avec quelques habitants de Storybrook comme sa mère de coeur ou bien les deux rouquins. On pourrait penser que tout est normal, détrompez vous... car oui d'autres personnages les avaient rejoins, plus exactement une femme brune du nom de Prue et d'un homme du nom de Cole si elle a bien suivit. coeur ou bien les deux rouquins. On pourrait penser que tout est normal, détrompez vous... car oui d'autres personnages les avaient rejoins, plus exactement une femme brune du nom de Prue et d'un homme du no Alors qu'elle était dans ses pensées, la lionne subitement à elle quand elle remarque aussi qu'Amélia s'est retrouvé dans sa télévision... De plus en plus bizarre enfin, il ne fallait pas traîner.. Ce fut la fameuse Prue qui constitue les équipes pour partir à la recherche des fugueurs de films ou de séries. Le mieux, c'est qu'on se sépare afin d'être plus efficaces, elle désigne la jeune lionne qui était un peu paniqué de se retrouver en face à face avec Face de serpent junior (et oui cette phrase est complexe.. ), Toi, tu viens avec moi et vous deux, en désignant Anita & Cole, ensemble. Vous en désignant April, ce serait bien que vous restiez ici et attendiez que la sorcière et les deux roux ne reviennent. Et toi... Amelia... manifestement tu vas pas aller très loin.
Par la suite, le groupe s'est enfin décidé à partir à la recherche des méchants qui erraient dans les rues. Par la suite, elle décide d'entamer la conversation au sujet du fameux Cole en qui elle n'avait pas trop confiance en lui surtout qu'il était avec sa mère d'adoption et donc demande au personnage de Charmed : -Tout d'abord tu es sur qu'il ne fera pas de mal à Anita ?? et deuxièmement as tu un plan ???La pauvre stressait et s"inquiétait pour ses enfants, elle voulait que tout ça se règle rapidement. - Vu le nombre de problèmes que vous avez, je pense que Cole n'est vraiment pas votre priorité. Ca va aller. Le plan c'est de retrouver les méchants et de les tuer comme dans les films. Ce n'est pas en restant dans le salon d'Amelia qu'on va réussir.
Intérieurement la brune n'était pas du tout heureuse de retrouver ce reptile, inconsciemment elle passe sa main sur sa blessure qui commençait un peu à suinter -Oui c'est vrai tu as raison. il est temps de les ramener pour éviter le chaos.
Donc... on cherche quelles créatures exactement ? Apparemment d'autres se sont déjà occupés ou sont en train de s'occuper de celle qui hante Regina. J'ai vu un Jumanji sur la table basse donc je suppose qu'on a affaire à quelqu'un de là-bas aussi et nous avions Commode. Il nous en manque ?
On doit retrouver un serpent de 5 m nommée Nagini qui vient d'harry Potter... c'est lui qui m'a fait cette maudite blessure lui montre son bras On doit la tuer avec une épée en lui tranchant la tête..
- Ah oui... C'est pas très joli, en effet. Et où pourrait-on trouver une épée ? -C'était en voulant protéger mes enfants... Et c'est une bonne question... Dans le film cette épée sort du Choixpeau en prouvant son courage... elle avait en peu de mal à rester calme en parlant du film
- Ouais sauf que moi j'ai pas de Choixpeau sous la... Iris remarque que Prue se fige, elle s'arrête par la suite pour en connaître la raison qui était plutôt inconfortable si personne ne possède de sabre laser... Devant les deux femmes, il a Dark Vador avec son sabre laser sous la main. - Je crois qu'on s'occupera de ton serpent une autre fois. Tu as vu le film ? Oh non pas Monsieur l'asthmatique.... grimace la brune je pense que c'est une bonne idée... et j'ai du voir des petites parties des films, j'avoue que ce n'est pas trop mon truc les Star Wars.... - Moi non plus mais si tu as vu la partie où il meurt ou si tu as une idée de son point faible c'est le moment !
Elle est marrante celle ci.... de plus Dark Vador remarque les jeunes femmes... - Vous n'êtes pas la jeune padawan souffleuse de texte de tout à l'heure mais je pense que vous pourrez faire l'affaire. Pour vous briefer : on fait comme d'hab. Combat de sabres lasers, je vous tue, je suis le vilain méchant pas beau et je m'en vais. Et merde, elles n'étaient pas équiper pour se battre, il faut absolument trouver une solution.... Sous le stresse, elle ricane en essayant de réfléchir à une idée, elle s'adresse pas la suite à l'asthmatique Vous n'avez jamais pensé à consulter un psy pour vos problème de violence ??? Juste une question comme ça... Elle tentait à gagner du temps bien entendu, mais manque de chance, le psychopathe des jeux de lumière ne s'arrête pas. Réfléchis Iris Bordel.... Parle lui de ses enfants, il doit quand même avoir un coeur sous cette carcasse qui ressemble à mauvais remix de sentinelles... -Je me souviens vous avez des enfants, des jumeaux vous aussi... Luke et Leila.... Je suis sur qu'au fond de vous vous avez encore de la bonté en vous pour rejoindre le bon côté de la force...
Et merde.... ce n'est pas vrai!!!! Comment il meurt déjà.... pourquoi n'est elle pas attentif devant un film.. même si celui-ci ne lui branche pas.... Brancher donc égal électricité... Mais oui!!! L'illumination, comme Newton quand il a découvert la gravité quand il s'est reçu une pomme sur la tête sous ce pommier. Sans attendre, Iris se tourne vers la sorcière pour lui annoncer : -Tu vas surement me prendre pour une tarée mais est-ce que tu as un moyen de l'électrocuter avant que je lui saute dessus..
Sans attendre Prue aperçoit des jeunes qui faisaient tranquillement leur footing, qui dit footing dit bouteille d'eau comme E=mc2, mon dieu que ça cogite. Elle se dirige vers eux en prenant cette fameuse bouteille en disant: C'est pour la bonne cause, croyez moi. Par la suite Iris récupère la bouteille qu'elle vide sur Dark Vador . Une fois réalisé, Iris a eu le temps de s'écarter qu'un pilonne tombe sur lui par les bons soins de Prue. Elle grimace en entendant les hurlements du méchant de Star Wars. Alors qu'Iris s'approche du corps, son accompagnatrice lui fait remarquer : Il n'est pas mort, juste affaiblit.. Elle acquiesce avant de se précipiter vers le corps étendu du méchant avant de lui retirer le masque à celui-ci qui ne possédait plus sa vie...Pauvre homme rongé par le désespoir et corrompu par le mal.. Iris rejoint donc par la suite Prue qui lui sort :
C'était bien joué. Si on allait chercher ton épée maintenant ? La mère acquiesce et elles se remettent en route pour rechercher les autres en espérant que les autres y arrivent également.
Anita Jones
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April : Quand je le retrouve, je le met en pièce. Anita : Vraiment ?
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Les choses avaient pris une tournure inédite… Prue et Cole, de la série Charmed, avaient été appelés par Amelia qui n’avait pourtant pas une once de magie en elle… Pendant que les pros de la magie discutaient entre eux, la lionne en profita pour mater Cole. Elle avait toujours apprécié ce personnage dans la série et avait regretté sa mort, même si Coop, sa véritable âme sœur n’était pas mal du tout… La blonde devait être un peu comme Phoebe, attirée par les mauvais garçons.
Bref, après qu’Amelia fut prise au piège dans la télévision avec Commode, Prue prit les choses en main en faisant des équipes. Iris s’inquiéta immédiatement de voir Anita en duo avec Cole, ce qui agaça la lionne plus âgée qui leva les yeux au ciel. Franchement, elle n’avait pas vu la série ? Cole n’était pas si méchant que ça en réalité… En tout cas, ça arrangeait bien Anita… Ils partirent donc de leur côté de façon assez rapide et la quarantenaire ne mit pas longtemps avant d’entamer la discussion.
- Démon, c'est une situation qui paye bien ?
« Ça dépend de la série, j'imagine. Dans Charmed on est là pour se faire péter la tronche au final. » Dit-il d'un ton décontracté. « Après moi je suis plutôt puissant - sans me vanter. » Cole lui fit un clin d’œil complice, ce qui fit sourire la lionne. « J'ai encore de beaux jours devant moi. Et vous ? Je veux dire... vous êtes dans quoi d'habitude ? Pas la chasse aux personnages de films, je suppose. »
- Moi ? Lionne devenue humaine et maintenant secrétaire médicale. Bien loin de votre secteur d'activité. D'ailleurs, en parlant de ça, on fait comment pour Commode ? Vous avez une épée ?
Même si l’Empereur était coincé dans la télé, il fallait penser à un moyen de le renvoyer définitivement dans son film d’origine. Tout en libérant Amelia de là…
« Bougez pas, je reviens. » Lui dit-il avant de se téléporter puis de revenir avec une épée dans les mains. « Le modèle vous convient ? »
Si ça lui convenait ? Il était sérieux ? Il avait trouvé une réplique de l’épée d’Aragorn, Anduril ! Anita prit l’épée avec émerveillement, ravie d’avoir une telle opportunité.
- Parfait. On va chercher Commode ?
Après tout, c’était à elle de faire face à l’Empereur non ? En plus, armée d’Anduril, ça pourrait faire un combat épique !
« Vous aussi vous voulez aller dans la télé ? » Demanda-t-il, l’air surpris.
- Pas des masses non… Soupira-t-elle. Vous ne savez pas comment nous faire aller dans la télé nous aussi ?
Le duo fit donc demi-tour. Et tomba sur Nagini. Elle l’avait oublié celui-là !
- Oh. Faut lui trancher la tête.
« On va peut-être d'abord s'occuper de celui-là, hein. » Fit Cole, tandis qu’Anita répondait par un hochement de tête en donnant l’épée au démon.
Cole tenta donc de décapiter le serpent favori de Voldemort. Mais la bestiole n’avait pas l’air de vouloir se laisser faire puisqu’elle tenta de dévorer Cole vivant. Avant de s’apercevoir que ça ne fonctionnait pas… Les gens venus de la télé étaient immunisés ? C’était cool… Sauf que ça voulait dire qu’elle pouvait craindre des blessures elle ! De dépit, Nagini jeta Cole à l’autre bout de la rue, lui faisant perdre l’épée au passage.
S’armant de courage, Anita courut vers l’épée puis se jeta sur Nagini, levant l’épée pour l’abattre avec force sur le cou du reptile. Même si elle avait réussi, la bestiole était parvenue à la toucher aussi : la blonde avait un croc de Nagini planté dans le bras droit. La quarantenaire releva la tête en sentant l’odeur âcre de la pellicule brûlée pour voir que Nagini avait disparu. Quant à Cole, il s’était manifestement réveillé et l’avait rejoint, l’aidant à se remettre debout car la lionne était tombée au sol une fois sa tâche accomplie.
« C'est bien joué. Le croc aussi ça faisait partie du plan ? »
- Pas vraiment non... Vous n'avez pas de potion pour contrer son poison hein ? Demanda-t-elle sans trop d’espoir.
« Absolument pas. Et je suis pas un de ces gentils Etre de Lumière. C'est pas de bol. On devrait rentrer chez votre copine qui ressemble à la mienne. Y avait au moins deux sorcières par là-bas, elles sauront quoi faire. Et on a un Commode a démonté. Maintenant vous avez pris le pli, ce sera facile. »
Ouais bien sûr… Regina savait toujours quoi faire pour emmerder les autres, Anita avait beaucoup de mal à croire qu’elle parviendrait à l’aider hein… Mais elle préféra ne rien dire, parce que franchement, elle avait autre chose à faire qu’à penser à cette garce.
- Ah vous croyez ? Encore faut-il que je survive au venin de ce fichu serpent…
« Tu vas pas mourir, les jolies filles courageuses et intelligentes meurent pas dans les films. »
Malgré la douleur du venin dans ses veines, Anita eut un petit rire.
- Rappelle-moi combien de fois les Sœurs sont mortes déjà ?
« Un certain nombre de fois mais jamais toutes en même temps ! Si ça peut aider. »
- J'ai pas de sœur, donc je suis toute seule, y a vraiment des chances tu crois ? Répliqua-t-elle avec ironie.
« Je ferai le nécessaire pour que ça n'arrive pas. » Dit-il après l’avoir regardé intensément. Puis il se remit en route. « Au pire j'ai des relations aux enfers. »
- Ah ouais ? Tu connais Hadès ? Demanda-t-elle, mais Cole la regarda, sans comprendre.
« Non, lui je le connais pas. Je devrais ? »
- Bah, c'est le grand patron des Enfers...
« Pas dans les miennes ! » Répondit-il avec un clin d'œil de dragueur.
- Ah... Dis... J'ai plus de force, c'est normal ?
En effet, Anita se sentait de plus en plus faible. Et son corps s’était fait de plus en plus douloureux… Le venin faisait vraiment un bon travail, elle comprenait pourquoi Voldy-mini avait gardé le serpent avec lui toute sa vie…
Cole la prit alors dans ses bras, façon Autant en emporte le vent et dit : « Suffisait de demander. Alors, la maison de ta copine, c'est laquelle déjà ? Histoire qu'on se mette au chaud avant de trouver quoi faire pour toi et ton meuble. »
Anita lui montra la maison d’Amelia d’un faible signe de la main. Ils s’y dirigèrent donc et pénétrèrent à l’intérieur, personne n’ayant pensé à fermer à clé apparemment.
"Elle est pas morte, hein ??" Demanda Amelia au travers de la télé.
- Amochée mais pas morte ! Pour l'instant. T'as de l'anti-venin ?
"O...oui, dans l'armoire à pharmacie. C'est à l'étage dans le meuble en dessous du lavabo. J'irai bien le chercher hein mais je suis toujours dans Jumanji et... Oh je reviens quand on aura réussi à pas mourir dans les sables mouvants !"
Sur ces mots, Amelia partit de l’écran, la laissant seule entrain de mourir. Sérieux ?
Regina Mills
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| Avatar : lana parrilla
Mirror mirror on the wall, who the baddest of them all ?
| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
Pendant que tout le monde discutait, j’en avais profité pour chercher l’anti venin dans l’armoire à pharmacie. Beaucoup plus efficace, que de s’amuser à jouer a plouf plouf pour savoir qui se dévouerait. A ce tarif là, Anita allait passer l’arme à gauche avant que l’on ai eu le temps de dire « ouf ». Je revins donc avec tout le matériel nécessaire dans le salon. Entre temps, Cole avait installé ma meilleure amie sur le canapé. Délicatement, j’attrapais son bras afin d’y injecter le sérum. Comme cela risquait de ne pas être un moment très agréable pour elle, je m’employais à la distraire du mieux que je pouvais :
- Ça me rappelle, une aventure qui nous était arrivé quand on était gamins. Pas dans cette vie, l’autre précisais-je. Mufasa nous avait encore entraîné je ne sais où et on s’était retrouvé face à un gros serpent venimeux tu te souviens ?
« Ah... Oui... Je me souviens. On peut dire que ton fils a de qui tenir en ce qui concerne les bêtises... Heureusement qu'on ne racontera jamais tout ça à Simba et Nala, sinon on en entendrait parler... »
J’eus un léger rire, suite à sa réponse. C’est vrai que lorsqu’il était lionceau, Simba était le portrait de son père au même âge. Surtout pour les bêtises. Heureusement, Mufasa s’était assagit avec l’âge. Pour mon fils…C’était une autre histoire on allait dire. Le jour où il se prendrait enfin en main, ne semblait pas prêt d’arriver
- Je t’avoue que j’ai volontairement zappé la partie « souvenir d’enfances » dans son éducation. Même si je lui aurais probablement répondu qu’il verrait le jour où il aurait des enfants s’il m’avait fait un quelconque reproche.
Disons que comme tout le monde, nous avions été jeune un jour. Et partir aux quatre coins de la terre des lions, sans autorisation ça nous était déjà arrivé. C’est sans doute pour cela, d’ailleurs que l’on avait tendance à se montrer moins tendre avec nos enfants quand ils le faisaient. Parce que nous étions déjà passé par là, et que nous savions que ce n’était pas toujours ce qu’il y avait de mieux pour la sécurité. On avait tendance à radicalement changer une fois devenu parents. Simba et Nala le comprendraient un jour….Même si le plus tard serait le mieux je pense. Et qu’il faudrait déjà qu’ils règlent leurs soucis entre eux. Je profitais d’ailleurs de la conversation, pour cette fois-ci utiliser la seringue
« Aie ! Ça fait mal ! Tu pourrais faire infirmière tiens, elles sont aussi douces que toi à l'hôpital... Remarque, ça serait drôle de travailler de nouveau ensemble... »
- A ton avis ? Pourquoi est-ce que tu crois que j’essayais de te distraire ? Lui demandais-je avec un sourire amusé. Je suis meilleure avocate qu’infirmière. Même si, je t’avoue qu’en ce moment je me demande pourquoi j’ai choisi les affaires familiales.
C’était déprimant, il n’y avait pas d’autre mot. Souvent les choses se passaient à l’amiable. Mais ces derniers temps, c’était loin d’être la situation qui primait. Je me demandais comment des personnes qui s’étaient aimés pouvaient à se point se déchirer. Et bien évidemment, c’était les enfants qui en pâtissait le plus. C’était en voyant cela, que je me disais que j’étais bien en tant que célibataire. Et ce quoi qu’en dise Amelia. Je ne me souvenais plus du nombre de conversations que nous avions eu où elle essayait « subtilement » de se renseigner sur ma situation amoureuse. La dernière fois, elle m’avait même proposé de m’inscrire dans une agence de rencontre. Autant dire que mon refus avait été net et ce peu importe la moue qu’elle avait esquissé pour essayer de me convaincre. Petite sœur ou pas, il n’était pas question que je m’inscrive dans un tel endroit. Anita me tira toutefois de mes pensées en me tirant la langue :
« Parce que tu aimes te torturer ! Et parce que tu es toute aussi maternelle que moi. Nos petits ont grandis, il faut bien s'occuper autrement... »
Oui, un jour ils quitteraient le domicile familial. Même si l’on ne voulait pas encore y penser l’une comme l’autre, c’était une réalité qui finirait tôt ou tard par se réaliser
- Et voilà, madame douillette plaisantais-je après avoir nettoyé la plaie et installé un bandage tu es définitivement hors de danger.
Anita se contenta de me presser le bras en souriant. Parfois, il n’y avait pas besoin de mots. Nous, nous connaissions depuis suffisamment longtemps toutes les deux pour savoir que c’était sa manière de me remercier. Malheureusement, ce léger break à jouer les infirmières pour ma meilleure amie et à se remémorer des souvenirs d’enfances fut de courte durée. Voilà que Regina venait de revenir en catastrophe avec une nouvelle tout sauf bonne.
« On a un….problème appelé Van Pelt ! »
Et effectivement, la porte d’entrée s’ouvrit à la volée, laissant apparaître un chasseur avec une arme tout ce qu’il y a de plus chargée étant donné la manière qu’il avait de la pointer dans notre direction.
« April ? pourquoi t'as l'air plus pâle tout d'un coup ? »
Avec tout ça, j’avais presque oublié qu’Amelia était dans la télé, et donc fatalement ne voyait pas ce qu’il était en train de se passer dans son salon. Cela dit, ce n’était peut-être une mauvaise chose à bien y réfléchir :
- Oh trois fois rien on a "juste" retrouvé Van Pelt. Ou plutôt c'est lui qui nous a retrouvé
« Ah c'est pas de chance ça... Le jeu est toujours sur la table basse de mon salon ? »
Comme je m’étais entre temps redressé afin de faire face à l’ennemi, je pu jeter un rapide coup d’œil sur ladite table, afin de constater qu’effectivement, le jeu y était toujours. Ce qui était une excellente chose, étant donné que cela nous laissait une chance de nous débarrasser au moins de Van Pelt :
- Toujours, tu as une idée ?
« Ouvre-le ! Faut qu'on joue ! Enfin que tu joues parce que nous on est pas dans le même monde »
Sans prêter plus d’attention à ce qu’il se passait, je me dirigeais d’un pas rapide vers la table et ouvrit rapidement le jeu, tandis-que je pouvais sentir le regard du chasseur dans mon dos. Etait-il en train de comprendre ce qu’il se passait ? Peu importe, parce que j’étais fermement résolu à me débarrasser de lui une bonne fois pour toute.
« Et on peut savoir ce qu'elle fait la ptite dame avec son jeu de plateau ? Affronte la mort en face si t'es un homme !!! » il marqua une pause avant de reprendre «si t'es une femme !!! »
Eh bah, manifestement ils étaient tous aussi « brillants » que Dark Vador. Clairement, on n’allait pas avoir trop de mal à les occuper à ce tarif-là. J’avoue que je ne me privais pas de rouler des yeux.
- Merci mais non merci, vous êtes bien sympa mais j'ai d'autres plans concernant ma mort rétorquais-je simplement d’un ton faussement désinvolte.
Le fait est qu’effectivement, j’avais d’autres plans concernant la manière dont je mourrais. Et ils n’incluaient aucunement un chasseur tout droit sorti d’un film. Alors, il pourrait bien faire ce qu’il voulait, ses menaces ne me faisaient pour l’instant ni chaud ni froid. Je commençais à en avoir marre de tout ça, et il était temps de mettre un terme à toute cette histoire. Le pire, étant que mon avis de passer un savon à Amelia pour s’être amusé avec de la magie m’était complètement passé avec toutes ces histoires. Il y avait des jours où j’aimerais bien être Faith. Ne serait-ce que pour ce genre de choses par exemple.
- J'suis à 12 cases de la fin ! Enfin normalement à ce moment du film c'est le cas ! si vous pouviez trouvez une façon de me faire jouer puis de faire 12 avant qu'il ne vous mette une balle dans la tête... ce serait cool. Cria Alan Parrish depuis la télé.
J’étais volontiers prête à l’aider, l’ennuie c’est que notre « ami » Van Pelt lui, ne semblait pas du tout du même avis, étant donné sa manière de fixer la télé et d’orienter son fusil dans sa direction -ce qui me fit sérieusement demander s’il avait pas besoin de compenser un truc à force-
- Si quelqu'un avait l'extrême amabilité de l'occuper, le temps que je joue, afin qu'il évite de péter notre seul moyen de nous en sortir, il aurait toute ma reconnaissance ! Lançais-je à la Cantonnade.
Sait-on jamais, quelqu’un allait peut-être se bouger et enfin réagir. Non parce que si on restait tous, à le fixer avec des yeux de merlans frits la situation ne risquait pas de beaucoup se débloquer. Sans parler du fait, que je tenais à récupérer ma petite sœur saine et sauve de cette télé. Accessoirement, ce serait bien aussi. Heureusement, Cole finit par se dévouer me faisant silencieusement remercier les ancêtres.
« Je suis l'homme de la situation ! »
Il avait peut-être pas besoin d’en faire autant des caisses, et d’enlever sa veste d’un air théâtral mais bon. Au moins, il s’occupait de Van Pelt, alors je n’allais pas m’en plaindre. Je supposais, que c’était un effet de style propre au monde télévisuel. Qui étais-je après tout pour juger ? Le seul truc qui m’ennuyait, c’était la manière de régler les choses à coup de boule de feu. Les photos de familles d’Amelia n’y auront pas survécu, étant donné le fracas engendré par les cadres quand ils heurtèrent le sol pour se briser en mille morceaux. Heureusement, que les photos en elle-même n’étaient pas touchés. En revanche, l’on ne pouvait pas en dire autant du téléphone qui lui était totalement hors d’usage. Néanmoins, pas le temps de m’attarder sur les dégâts. Attrapant rapidement le jeu sous le bras, je me dirigeais vers la télé, pour le faire passer à Alan de manière à ce qu’il puisse jouer. Ce dernier lança les dés, mais ils roulèrent hors du plateau pour finir sous le canapé. Avant toute chose, je regardais s’il se passait quelque chose et effectivement, le pion bougea. Il semblerait même qu’il ait fait le nombre voulu puisqu’il était sur la dernière case.
« C'est bon, je peux dire ma réplique ? » Demanda d’ailleurs Alan depuis la télé
- Faites-vous plaisir dis-je simplement
Il se tourna face camera, pour faire comme s’il regardait Van Pelt qui entre temps s’était désintéressé des boules de feu du démon étant donné que cela ne lui faisait rien. Au moins, j’avais eu le temps de donner le jeu à Alan c’était déjà ça de gagner je n’allais pas me plaindre.
« Jumanji » dit Alan
Et…absolument rien ne se passa. Et quand je dis rien, c’est vraiment rien. Alan eu beau recommencer sa réplique, le crier plusieurs fois de suite, cela n’eu strictement aucun effet. Excepté d’intriguer Van Pelt qui se tourna vers moi comme si je pouvais lui apporter la solution
« Juman... quoi ? »
C’est à cet instant précis que cela fit « tilt » dans mon esprit. Alan était dans la télé, et Van Pelt ici. C’était probablement pour cette raison que cela n’avait aucun effet. Aussi, avec un silence calculé je me tournais à mon tour vers le chasseur échappé du jeu et prononçait distinctement le mot magique :
- Jumanji
Et cela fonctionna. Il fût aspiré dans le jeu, et je le vis disparaître non sans soulagement. Forte de ce succès, Amelia couru dans notre direction très certainement pour sortir de la télé, mais se cassa magistralement la figure c’est tout ce qui se passa.
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Zach Zuzio
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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Zach s’était assis sur un fauteuil près de lui et avait observé tout se dérouler, un peu démuni. Et toujours un peu admiratif de Prue. Il l’avait observé lorsqu’elle avait lancé sa formule avec Regina, puis lorsqu’elle avait fait les différentes équipes. Ah, quelle femme ! Tout s’était enchainé rapidement, Amelia dans la télé, tout le monde parti, puis revenu, le crochet de serpent dans le bras d’Anita, April face à Van Pelt… Zach restait en observateur, ne sachant pas vraiment quoi faire ni où se positionner. Il entendit des toc au loin, puis se tourna vers la télé. Amelia essayait de communiquer avec eux. Il se rapprocha de la télé. Le film Jumanji en était à son épilogue ; les personnages étaient réunis pour une réception de Noël. Zach observa un instant la scène, il aimait toujours observer les coutumes de ce monde. Il se fit rappeler par Amelia, qui toqua de nouveau sur la vitre du téléviseur. Ohé ! Oups excuse-moi Amelia, je suis confus. Que disais-tu ? Pourquoi je ne peux pas sortir alors que Van Pelt est parti ? Juste, il fallait trouver un moyen de sortir Amelia de là.
Zach mit ses mains derrière le dos, baissa la tête, puis fit quelques pas dans le salon, en tournant en rond. Il cogitait, se passait les évènements en boucle. Mmmmm… Après réflexion, il se remit face à la télé. Je pense que ce n'est pas lié...après tout tu ne t'es pas retrouvée dans la télé à cause du jeu Jumanji ! Tu es juste sur la chaîne du film, parce qu’on a zappé… Il réfléchit de nouveau, jusqu’à trouver l’explication qui lui paraissait la plus logique. Voyons...tu es dans la télé à cause de la formule de Prue et Régina. Je pense donc qu’il faudrait sûrement une formule inverse pour te sortir de là ! EN s'assurant que toi et toi seule va sortir de l'écran ?
Oui c’était bien cela, de la magie ! Heureusement, Régina et Prue étaient maintenant revenues dans la maison. Zach appela donc Prue, pour lui expliquer son raisonnement, tout fier que celle-ci l’écoute. On va essayer de créer une porte. Elle s'avança vers la télé et énonça sa formule. Quand sur ta route, un espace te bloque Tu n'as qu'à faire : toc, toc ! Et soudain une porte se matérialisa sur l’écran. Zach jubila. Oui, ça foncti… La joie fut de courte durée, car la porte se cadenassa soudain, avant de disparaître. Il se renfrogna. Mmmmrfff.... Ah c’est pas vrai !
Regina s’était rapprochée de la scène. Zach se tourna alors vers elle, attendant de voir sa stratégie. On peut peut-être compter sur l’intérêt qu’avait ma mère à rompre des boucliers. Je ne sais pas si ça va marcher mais je vais le tenter. Elle fit alors apparaître dans ses mains un livre magique, avec une écriture étrange. Fascinant. L’écriture n’était pas réellement lisible, Zach brûlait d’envie de savoir l’origine de ces mots, mais il ne voulait pas interrompre la concentration de Regina. Celle-ci souffla sur une des pages du livre, et un petit nuage de poudre voleta jusque l’écran de télé. Il y eu quelques grésillements, l’image d’Amelia sautilla légèrement, avant de revenir à la normale. Toujours coincée derrière l’écran…
Ma pauvre Amelia, je ne sais ce qu’on va faire de toi ! Je me sens démuni, affaibli, inutile… Zach se désolait. Mais Amelia eut soudain une bonne idée. Elle s’exclama d’une voix incertaine. C'est peut-être parce que Commode est encore en vie. Zach, est-ce que tu peux me zapper sur la bonne chaine s'il te plait ? Elle avait vu juste. Hum oui tu as sans doute raison. J’allais y penser, évidemment. Non il n’était pas vexé. Juste un poil. Il prit donc la télécommande en main, pour zapper. Il ne tomba pas tout de suite sur le film, mais sur un pub pour un anti-moustique. Aïe ! Il n’avait pas fallu longtemps avant qu’Amelia ne se fasse piquer. Oups, je change ! Amelia se trouva alors dans une navette spatiale, que Zach reconnut directement. Wooo, Star Wars ! Hé Chewbacca et Han Solo ! Regarde Amelia ! Prend moi un autographe !! MmmmmoooOOOooouah! Bonjour charmante créature. Han Solo, à votre service, à qui avons-nous l’honneur ?
Zach s’était installé, prêt à regarder cette version modifiée de ce film. Jusqu’à ce qu’Amelia lui jette un regard noir, avec un raclement de gorge. Ok…non mais ça aurait pu être drôle non ? Apparemment non. Prue et Regina aussi commençaient à s’impatienter. Zach zappa une nouvelle fois, et tomba enfin sur Gladiator. C’était une scène de bataille, et Commode était en pleine action. Oui on est bon ! Et maintenant quel est le plan Amelia ?
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Amelia Peters
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Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !
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Un plan ? Comment ça "un plan" ? Amelia fronça les sourcils. C'était pas elle la préposée aux plans en principe ! De toute façon, Amelia n'avait pas spécialement le temps de rester devant l'écran pour papoter. Elle était tombée au beau milieu de l'arène et y rester les bras ballants n'allaient sans doute pas aider. D'ailleurs, un soldat (ou, en tout cas, un type habillé en Romain) s'approcha d'elle l'air particulièrement mécontent : - Non mais tu vois pas que t'es en plein dans le champ, là ! On a une scène culte à tourner, nous ! L'air penaud, Amelia ouvrit tout de même la bouche pour s'expliquer mais elle n'en eut guère le temps. Déjà le centurion l'entraînait sur le côté et tous deux manquèrent de se faire bousculer par Maximus et Commode en plein combat. - C'est encore plus épique vu de l'intérieur, commenta la jeune femme en regardant en arrière. - Ouais, on leur dit souvent, confirma le Romain, qui avait vraisemblablement calmé sa colère. Amelia y vit une opportunité. - Dites moi, Monsieur le Romain... comment on sort d'ici ? - Alors c'est très simple. Là-bas, vous avez l'entrée des esclaves. Ca peut aussi servir de sortie. Et sinon, remontez dans les gradins et descendez les escaliers. Il allait tourner les talons et laisser Amelia en plan sur le bord de piste quand elle osa lui signifier qu'il avait mal compris la question. Ou plutôt qu'elle l'avait mal posée (car jamais elle n'aurait insinué qu'il ne comprenait pas). - Merci mais... Je voulais dire comment on fait pour sortir de la télé ? Je suis pas actrice moi. - Ah. Le Romain se gratta le menton, pensif. - Désolé, je sais pas, répondit-il finalement en haussant les épaules avant de partir. Amelia adressa un regard triste à la caméra. Puis elle sursauta quand le glaive de Maximus vola dans sa direction et manqua de lui trancher un bout d'oreille (décidément, elle avait souscrit un abonnement). La pâtissière observa l'épée puis leva les yeux vers Commode et Maximus. Il avait beau être fort, une épée pouvait s'avérer utile. Alors sans réfléchir l'ancienne lionne attrapa l'épée et courut au centre de la piste pour la rendre à son propriétaire. La quadragénaire ne s'y attarda pas, laissant aux stars du film le soin de faire ce qu'elles avaient à faire, de sorte que le film se termina comme toutes les autres fois. Commode tomba le premier mais Maximus s'effondra juste après, mortellement touché sous son armure avant le combat. - Non mais pourquoi ça tombe sur moi aussi cette scène ! geignit Amelia en oubliant un moment ses propres ennuis. Ca me fait toujours pleurer, c'est pas juste. Elle s'assit sur le sable de l'arène et fouilla ses poches à la recherche d'un kleenex. Par chance, elle en avait un. Alors Amelia se moucha bruyamment. Il lui fallut ensuite toute la scène d'adieux déchirants pour se remettre et oser s'approcher d'un vieux qui avait l'air sage. Elle lui reposa sa question et il répondit : - Il faut trouver une porte de sortie. - Ca pourrait être un conseil de Dumbledore, ça, bouda Amelia. Elle se tourna néanmoins vers les autres (enfin, dans la direction où elle pensait trouver son salon) et demanda : - Un volontaire pour me zapper devant une porte ? Ou tenter un truc ? En sa qualité de grande sœur super géniale quoique manquant parfois d'humour, April se dévoua. Amelia se retrouva d'abord dans une publicité pour les serviettes Nana et fut aspergée du fameux liquide bleu. Puis elle atterrit au beau milieu d'un match de hockey et manqua de se prendre un méchant coup de crosse. Elle atterrit aussi dans un documentaire animalier sur les panthères et manqua de finir en casse croûte mais April eut le réflexe de zapper très vite, ce qui donna le tournis à sa petite sœur qui venait d'atterrir dans le manoir Halliwell ! - Dieu merci, s'écria Amelia, soulagée. Piper et Léo ne tardèrent pas à arriver dans le champ et la première s'étonna de la voir : - Phoebe ? T'es pas censée être dans cette scène d'habitude ! Ou alors j'ai mal lu le script ? L'intéressée se prit la tête entre les mains. Il allait encore falloir tout expliquer. A son air dépité, Piper commença à s'inquiéter. - Je suis pas Phoebe, je suis pas une sorcière, je suis juste une pâtissière coincée dans son poste télévisé et j'aimerais bien sortir mais le vieux sage romain - ou sénateur, peut-être - a dit qu'il me fallait une porte et je sais pas où en trouver une donc je suis coincée, se lamenta Amelia. Je suis pas très très douée, je m'attire que des ennuis. Vous allez me croire ? Vous allez me trouver une porte magique ? hasarda-t-elle tout de même. Piper et Léo échangèrent un regard. L'Etre de Lumière finit par lui adresser un sourire encourageant et déclarer : - J'ai peut-être une idée. Léo tendit sa main à Amelia qui, après une petite hésitation, la saisit. - J'espère que tu as déjà fait ça sinon ça risque de te donner le tournis, se contenta-t-il de dire avant de se téléporter. Deux lumières bleutées s'envolèrent. Mais tandis que l'une disparaissait entièrement hors champ, l'autre se cogna au plafond et redescendit dans le salon Halliwell. Amelia, elle, venait d'atterrir, chancelante, dans son salon.
La jeune mère commençait à ne plus supporter la situation, ce quel voulait absolument c'est de pouvoir rentrer chez elle pour retrouver sa famille et vérifier que ses enfants se portent bien.. Tout etait régler avec dark vador, avec une pointe de folie, iris réussit à régler le compte de ce fou. Ce qui restait à faire maintenant c'était de se rendre de nouveau chez Amelia, tout en espérant qu'elle soit sorti de de l'endroit où elle a été emprisonnée en quelque sorte. En arrivant chez la pâtissière, iris se rendit compte que tous les méchants qui sont sortis de leur film ou bien série. Elle fut rassuré quand elle aperçut dans le salon la soeur d'April. Sa mère de coeur n'était pas encore présente. Elle remercie du regard Prue de les avoir aidé dans cette mésaventure. Son bras était encore un peu douloureux. Elle entend son téléphone sonner. Avant de décrocher, elle s'excuse au pres des autres pour prendre l'appel. C'était dale qui s'inquiète de ne pas la voir à la maison. -je... je vais bien Dale.. c'est difficile a t'expliquer au téléphone.. tu pourrais me préparer la trousse de secours.lui annonce avant de l entendre grogner, elle tente bien que demal a le rassurer. -Dale, je suis chez Amélia je suis là d'ici 3 minutes, elle n'a pas pu lui dire quoi que ce soit que son téléphone s'éteint. -génial.. plus de batterie... elle s'adresse a Amélia, je suis desolé je dois y aller Dale est pire qu'un lion en cage... l'ironie vu que c'est un ancien chien, tenta d'ironiser la lionne. Elle ne peut s'empêcher d'inquiéter pour sa mère de coeur, mais ne pouvait pas rester... elle parti rapidement rejoindre son compagnon
Zach Zuzio
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Zach avait suivi toute la scène d’Amelia dans Gladiator, qui avait eu un final très émouvant, il avait laissé couler une petite larme. Puis ça avait de nouveau zappé, avant qu’Amelia revienne finalement parmi eux dans le salon. Tout semblait maintenant rentré dans l’ordre. Presque du moins, Prue et Cole devaient encore repartir dans leur série. Il se dit qu’il ne fallait pas qu’il rate l’occasion avant que ce soit fini, il fallait qu’il profite de parler une dernière fois avec Prue, ce n’était pas quelque chose qui risquait de se produire de nouveau.
Il se rapprocha donc de la sorcière, avec un grand sourire, et toussota. Kof kof…euh bravo, merci pour toute l’aide, vous avez été vraiment formidable ! Aussi palpitant que dans un épisode de Charmed vraiment ! Les pouvoirs, l’action, les formules, votre présence, tout waouh ! Prue lui souriait légèrement, mais elle avait l’air plus ennuyée que ravie. Zach ne sembla pas le remarquer, et poursuivit. Du coup je voulais savoir, avant que vous repartir, ce serait possible une photo ? Prue sembla vouloir dire non, Zach insista. Allez, ce sera rapide, une petite photo, et hop je vous embête plus ! Je ne suis pas sûre que c'est dans mon contrat, ça. Elle restait courtoise, mais affichait un sourire forcé. Elle regarda autour d’elle pour chercher de l’aide, et aperçut Amelia, qui était dans le dos de Zach, et qui faisait un geste à la sorcière pour lui faire comprendre qu’il ne lâcherait pas. Il avait par ailleurs déjà dégainé le téléphone, et se rapprochait de Prue. Celle-ci soupira, et finit par accepter. Très bien. Entendu. Mais rapidement. Ouh oui merci beaucoup vraiment, je vous en suis très reconnaissant ! Allez, un, deux, trois....oustitiiiiii !! Un sourire, un clic plus tard, c’était fait.
Puis Zach sentit quelqu’un l’attraper par le bras. Amelia entrainait Zach vers la porte d’entrée, il salua alors de la main Prue, qui ne le regardait déjà plus. Ils arrivèrent dans l’entrée, et Amelia se pencha pour dire au revoir à Zach. C'est tellement gentil à toi de nous avoir aidés, Zazu ! Merci beaucoup mais maintenant je suis sûre que tu as plein de trucs à faire alors bonne soirée ! Hop hop attends ! On ne va pas se quitter comme cela jeune fille ! Avant qu’on se dise en revoir, je voulais juste te dire de bien faire attention la prochaine fois ! Fais attention à toi, la magie ce n’est pas quelque chose à prendre à la légère ! Ne recommence pas sans conseil ou supervision de quelqu’un vraiment pro ! Ce n’est pas sérieux de se prendre pour ce qu’on n’est pas et… T'inquiète bien j'ai bien saisi, maintenant tu devrais vraiment y aller, tu as plein de choses à faire je pense. Allez, à bientôt. Puis elle le poussa dehors, sans qu’il pu finir sa remontrance. Il se retrouva face à la porte d’entrée, qui se referma sur lui. Bon…ok à la prochaine alors ! Il se mit ainsi en route pour chez lui, après cette longue journée et cette soirée très étrange.
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Regina Mills
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Mirror mirror on the wall, who the baddest of them all ?
| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
Je n'avais pas compris tout ce qui s'était passé, pour tout dire, c'était beaucoup trop d'un coup, même pour Storybrooke mais à présent, c'était terminé. Amelia était de retour dans notre monde et une fois qu'elle avait retraversé la télé, je l'avais éteint d'un mouvement de main avant de sourire à Amelia, me rendant rapidement compte qu'il fallait mieux que je rentre rapidement, pour me remettre de mes émotions et surtout pour aller chercher Daniel.
-Je dois filer Amelia, promets moi de ne plus tenter quoi que ce soit de magique hein ?
Je lui souris et salue tous les autres personnes présentes avant de disparaître dans un nuage de fumée violet, direction chez Robin pour y récupérer Daniel.