« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe]

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-10-07, 12:14

Anya était trop gentille. Je sentais mon cœur battre un peu trop fort d'excitation. Non mais elle est giga cool quoi. C'est Anastasia les gens. Faut ce réveiller un peu ! Et puis j'avais un anniversaire sur les bras ! Je remontais des sous sol, m'extasiant au passage de la décoration – parce que oui, bon, je les détestais mais la déco ...- Bah elle était géniale ! Je reviens vers le Rez de chaussez, avant qu'on m'attrape par le bras. Je lâchais un couinement sans comprendre, alors qu'une femme un peu à l'attitude sévère me tirais vers elle. Oui c'est pourquoi ? Je dois organiser une bal. Par hasard elle savait pas ou ce trouvait le salle de bal ? Ah beh. C'est gentil de sa part de m'y guider. Le personnel est très obeissant par ici. Vous croyez qu'ils lisent dans les pensées ? Ou punaise, pense pas Malfy, pense surtout pas. Je regardais la salle de bal avec des paillettes dans les yeux. Beaucoup de gens s'affairaient par ci et par là.

« Coordonnez moi tous ses muselés ! Vous êtes une princesse non ? Vous êtes là pour ca ! » Grogna t-elle avant de s'éloigner. Je tournais la tête.

▬ « Oui je suis une princesse c'est vrai. C'est moi la princesse ici. Donc c'est le rôle d'une princesse de ...Bon d'accord on y va ! » Déclarais-je en secouant la tête pour me reprendre. Ca me faisait de la peine de voir mon peuple lécher les bottes des princesses comme ca. Mais je devais garder ma couvertue en vie ! Mes yeux tournèrent vers chaque recoins de la pièce pour analyser les choses. Wouh loulou, on va avoir du pain sur la planche les gars. « Bon Alors toi, toi toi et toi vous vous occupez de la déco. Vous avez des prénoms ? » Demandais-je en caressant mon menton avec réfléxion. Ils hochèrent la tête et commencèrent à débiter tout un tas de prénom dont j'avais à peine retenu la moitié. « C'est pas grave, je vais vous appelez Un, deux, trois et quatre. Donc quatre, tu t'occupe d'accrocher des ballons un peu partout. Un, les rideaux ! Ta vue leur tronche ? Laisse ton coté effiminé prendre le pas. » Expliquais-je.

▬ « Numéro Deux, tu sera prier d'arrêter de lécher la cuillière de la pâte à gâteau, merci. » Non mais c'est quoi ses manières ? « Numéro Douze ! Oui toi là bas ! Ce sera douze. Si tu porte les assiètes comme ca, on sera partie pour un anniversaire en carton ! ALORS TU ME PORTE MIEUX QUE CA LES VAISELLES D'ARGENT ! » Grondais-je. Je tournais la tête vers Hazel et Hobo qui me dévisageait du regard. Bah quoi ? « Je suis une princesse, non ? » Leurs dit-je d'un sourire commerciale. Je fus en suite assaillis de question pour la couleur de la pièce, les goûts de la nourriture, les habits, le choix de la musique. Je sentais la tête me tourner tellement c'était du boulot de coordonnée tout ca. « Mais non on va pas mettre des guirlandes. C'est pas Noël bande d'abrutie ! » Les insultait-je. J'aimais pas les insulter. Ils n'avaient pas le droit à ce genre de traitement de faveur. Moi même je me détestais. Mais je ne pouvais pas griller ma couverture. J'avais même fait d'Hobo et Hazel mes serviteurs !

▬ « Arrête de ronchonner ! On montre pas les crocs j'ai dis ! » grondais-je sur cette dernière avec une pointe d'amusement.

Je fixais Raspoutine qui prenait son temps comme un papy et son déambulateur. Je croisais les bras avec insatisfaction.

▬ « EH LE VIEUX DEBRIS BOUGE TOI ! TU SERA DANS LE CERCEUIL AVANT MEME QUE LA FETE COMMENCE ! » lui hurlais-je. Je me tournais vers Anastasia, un air innocent. « Bah quoi ? Il est hors de question qu'il s'en tire à si bon compte ! » maugreais-je.

Quelques heures après...

C'est chiant. Non sérieusement. C'est très très naze. Je restais dans mon coin, un verre d'alcool. Les gens dansaient et s'amusaient. Elle est ou la bonne musique là ? On dirait une berceuse pour s'endormir ! Ils sont ou les gens qui crient, qui font n'importe quoi et qui danse sur un rythme endiablé ? C'est ca les anniversaires au château ? Mais c'est moche ! Autant aller à une vrai fête, chez les muselés ! Je ressentais un profond sentiment de lassitude et d'ennuie. Qui me rongeait minute par minute. Peu être que j'allais en mourir. Ce serait pas si mal. Funbutter, la princesse morte, terasser par l'ennuie. Ouai non on va pas abuser non plus. Voir cette calomnie ennuyant finissait même par me mettre dans un état somnolant. J'avais pas dormis depuis ...Bah je me souvenais plus en fait ! Je lâchais un nouveau soupire, avant de me diriger au centre de la pièce. On va réveiller un peu tout ca et secouer le charnières !

Je prenais la louche du ponch pour frapper sur la table, avec un rythme qui ne laissais personne indifférent. Bientôt, leurs mains joignèrent le rythme, et un sourire étirait mes lèvres de satisfaction. Je laissais tomber la louche pour sauter au milieu de l'assemblée.

WE WILL ROCK YOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !
Buddy you're a boy
make a big noise
Playin' in the street
gonna be a big man some day
You got mud on yo' face
You big disgrace
Kickin' your can
all over the place
Singin'

We will rock you !


Je tapais des mains, chantant avec une voix grave et déchainé. L'ambiance ce réchauffait très vite comme je l'entendais. Après quelque petit pas de danse bien effrenée, la fatigue finissait par me mettre hors d'état de nuir. Malgrès que la fête battait mieux son plein, je fixais un à un les personnes que j'avais emmener avec moi. Je me demandais si j'en avais pas fais un peu trop...J'allais faire comment pour me dépiétré de tous ca maintenant ? Une angoisse animait mon cœur. J'avais des remords d'avoir embarquer tout le monde juste pour ca. Je lâchais un soupire. Va dormir Malfy. Ta besoin d'un peu de repos sinon ton cerveau va surchauffer. Je m'éclipsais de la fête en douce, quittant cette affreuse atmosphère qui était revenu à l'ennuie. Comme quoi, chassez le naturel et il revient au galop ! Tchaos les potos, Malfy va faire dodo !

Je cherchais une chambre dans laquelle me reposer. En fait, j'ai pris la première qui venait. J'entrais dedans et m'enfouie dans le lit moelleux. C'était tellement bon, je finis par somnoler. Jusqu'a ce que j'entende un sifflement, assez rythmé et qui ce terminait en chanson.

Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Elle se dessine sous une robe mal foutue
Et je devine des histoires défendues
C'est comme ça
Tellement si belle quand elle mord
Tellement si belle je l'aime tellement si fort

Elle a les yeux revolver
Elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première
M'a touché, c'est foutu


J'ouvris les yeux pour voir Petit Ami, qui retirait ses chaussures et sa veste en chantant avec ferveur. Il fait quoi ? Pourquoi il retire ses vêtements le monsieur ? Pourquoi mon cœur il tambourine comme sa dans ma cage thoracique ? Je lui ai pas demander de faire de l'athétisme ! Il ce tourna et finit par me voir. Il m'avait réveillée alors que j'allais m'endormir. C'était bien ma veine !

«  Je sais pas quel genre de princesses tu es, Funbutter, mais les princesses d'ici elles font trop la fête à mon gout. » Dit t-il en me souriant. Ouh. Il m'a sourit. Il m'a sourit. Attendez on va retenir ca juste dans la boite à mémoire. Voilà. Parfait. Alors ca ! Non seulement elles font trop la fête, mais en plus, elle ne SAVENT PAS faire la fête ! Pourquoi c'est juste une cérémonie, pas une fête !


▬ «  J'ai connu des fêtes plus attractive que celles là ! » Me plaignis-je. Comme les fêtes dans les bar Muselés ! Au moins on s'amusait pour de vrai ! Là, c'était juste une cruelle blague. Les princesses savent pas faire la fête.

«  Mouais... peut-être. C'est la 7e cette semaine, honnêtement je sature. Je suis persuadée qu'Ambrosia n'est pas si mauvaise que ça... enfin, je veux croire qu'elle ne l'est pas mais en tout cas elle fait trop la fête pour moi. C'est un mariage arrangé. Je l'aime pas vraiment ... Elle par contre elle aime m'avoir avec elle. Mais je l'ai pas encore épousée et elle est trop occupée à boire pour me chercher. » Je le fixais en clignant des yeux. Allons bon. Il devait être sacrément aveugle pour ne pas voir comment Ambrosia le traitait. Si il y'a bien une chose que j'étais contente d'avoir, c'était ma liberté conjugale ! Moi, je pouvais ma marier à qui je le souhaitais. J'avais de la peine pour Petit Ami. Je tapotais la place vide dans le lit, à coté de moi.

▬ « Dans ce cas viens dormir avec moi,on dors toujours mieux à deux ! » Répondit-je d'un petit sourire. Mais je fou quoi là ? Je venais de me rendre compte de ma bourde, et j'avais envie de me cacher un peu. Il haussa les épaules et ce glissa sous la couette à mes cotés, habillé. Et heureusement ! La fatigue finit par l'emporté, et m'emporté. Ca faisait un bien fou de ce reposer !


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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-10-08, 08:19



Too much royal

Malfalia avait gagné, ce qui était une bonne chose. Pour leur couverture et leur droit de présence à Hazel, Hobo, Ali, Greg et elle même. Mais plus important, cela avait rempli le cœur de Malfalia d'une grande joie. Greg eut une sourire devant son enthousiasme, il était donc encore possible, si on s'en donnait les moyens, d'accomplir quelques rêves dans cet univers totalitaire.
S'il aurait voulu être mieux considéré par celle-ci, bien sûr. Mais certaines choses étaient gravés dans l'ardoise du temps, et l'ardoise du temps était faite de marbre. Il glissa un regard vers Anastasia. Il avait mis du temps également avant de pouvoir lui parler. Ce n'était pas la grande amitié, loin de là, mais Greg considérait avoir déjà fait un pas dans leur relation. Mais le voir avec la couronne de son père avait assombri cela.

Gêné, il la remis en place sur sa tête. Il aurait aimé l'enlever, il continuait de se persuader qu'elle n'avait pas sa place sur lui, comme elle ne l'aurait sur aucun autre homme de Nicolas II. Il craignait pour sa couverture cependant, et s'était résolu de la garder. Les princesses avaient déjà son visage lorsqu'elles étaient venues la première fois faire ce mauvais coup à Malfalia, il ne pouvait pas prendre le risque de tout gâcher.

Il avait donc rejoint "1, 2, 3 et 4", sévèrement nommés par Malfalia, pour l'organisation de la fête. Ca lui avait fait plaisir, mais Greg ne pouvait s'empêcher de penser que la placer là, à la tête de l'anniversaire de leur puissance, était également un signe de mépris. Elles l'acceptaient à peine, la laissant se débrouiller pour l'organisation de l’événement. Ce n'était que le symbole de leur dédain. Il s'était évidemment retenu de le dire à "Funbutter". Elle méritait un peu de bonheur, après tout.

Il s'écoula ensuite plusieurs heures, pendant lesquels il avait aidé à mettre en place la logistique comme la décoration avec les muselés qui en étaient chargés, quelques heures également après que la fête ait commencé. Greg s'était contenté pendant un long moment de rester en arrière, réfléchissant sur la situation actuelle de leur aventure : ils avaient fait un premier pas, et étaient dans la zone de confort maintenant qu'elles avaient plus ou moins confiance en eux. Plus ou moins. Mais ce premier pas était loin derrière le dernier à accomplir.

Il reconnu ensuite la voix de Malfalia au chant, sur une chanson qu'il n'avait pas eu le loisir de connaitre qui avait animé la foule d'un entrain joyeux et rythmé, qui avait ravivé la flamme d'une soirée qui commençait à être ennuyante. Puis, lorsqu'elle s'arrêta de chanter, pour quitter le milieu de la pièce, si la salle gardait de la nouvelle ambiance qu'elle venait de souffler à la salle, Greg craignait pendant un instant que ça ne retombe.

Il s'avança alors, pour souffler quelques instructions aux musiciens qui se trouvaient là. Et lorsque l'air familier s'installait, il commença donc le travail de Malfalia : réveiller la salle.

When I had you to myself, I didn't want you around
Those pretty faces always made you stand out in a crowd
But someone picked you from the bunch, one glance was all it took
Now it's much too late for me to take a second look

Oh baby, give me one more chance
Won't you please let me back in your heart
Oh darlin', I was blind to let you go
But now since I see you in his arms
I want you back
Yes I do now
I want you back
Ooh ooh baby
I want you back
Yeah yeah yeah yeah
I want you back
Na na na na


Il avait choisi cette chanson, qui semblait d'ailleurs fonctionner sur l'entrain générale, pour le titre : s'étant arrêter sur I want you Back, il s'était résolu de chanter pour le retour des jours meilleurs au Royaume d'Or, où la dictature n'était pas, et où peut être d'anciens rois ou princes bien plus dignes régnaient.
Mais les paroles, dont il se souvenait au fil de la chanson, lui faisait monter les souvenirs de Sasha. Il rougissait à cette pensée. Il portait déjà la couronne de Nicolas, penser à Sasha désormais était... inapproprié. Ne serait-ce par respect pour Anastasia, il les chassa bien vite.


Trying to live without your love is one long sleepless night
Let me show you, girl, that I know wrong from right
Every street you walk on, I leave tear stains on the ground
Following the girl I didn't even want around

Oh baby, all I need is one more chance
Won't you please let me back in your heart
Oh darlin', I was blind to let you go
But now since I see you in his arms


Les paroles se prêtaient vraiment à penser à la reine. Il commençait à regretter d'avoir choisi une telle chanson, et aurait aimé se souvenir de son sens avant de choisir le titre. Il ne fut pas mécontent lorsqu'il eut finit la chanson, pouvant mettre un terme à tout l'embarras que lui faisaient ses pensées. Il semblait toutefois avoir réussi ce que Malfalia avait commencé, un regain d'ambiance, puisque déjà l'on se pressait pour chanter après lui.

L'air qui suivit, rapide, et entrainant, menait tout le monde vers la piste de danse, dans un mouvement dans lequel s'était fait entraîner Greg.

She's into superstitions black cats and voodoo dolls.
I feel a premonition that girl's gonna make me fall.


Il s'était retrouvé, en un rien de temps, avec une partenaire au bras, dans une danse aussi rapide que la musique. Il fallait avouer que c'était amusant, autant que c'était sportif, mais Greg fut forcé à apprendre vite, en regardant autour de lui, une danse qu'il n'a pas l'habitude de mener.

She's into new sensations new kicks in the candle light.
She's got a new addiction for every day and night.

She'll make you take your clothes off and go dancing in the rain.
She'll make you live her crazy life but she'll take away your pain
like a bullet to your brain. Come On!


La danse avait de nombreux mouvements variés, et l'un d'entre eux était le changement de partenaire. Il lui avait suffit d'un tour pour se retrouver dans un élan général qui guidait la danse vers quelqu'un d'autre.

Upside, inside out she's livin la vida loca
She'll push and pull you down, livin la vida loca


Il la personne sur laquelle se bras se refermèrent l'avait surpris, ne s'attendant pas à la voir.

Oh c'est vous. Quelle joie. Je savais bien que j'aurais pas dû danser, parla Anastasia la première.
Elle ne semblait avoir guère le choix, si elle ne voulait pas casser la danse et la fièvre générale pour celle-ci. La situation fut embarrassante, mais Greg vit alors l'opportunité de pouvoir lui parler, opportunité qui s'était fait rare.

Et bien, la situation est particulière pour moi aussi.

Her lips are devil red and her skin's the color mocha
She will wear you out livin la vida loca Come On!


S'il vous plait, Anastasia, cette couronne, je n'avais pas envie de la porter et faire déshonneur à votre père, puis-je espérer que ça n'assombrisse pas davantage votre jugement à mon égard ? Reprit-il.

Je suggère qu'on en reparle plus tard, Prince Poutine.

Livin la vida loca, Come on!
Anastasia et Grigori se séparèrent, le temps d'un tour, avant que la première ne revienne dans les bras du second.
She's livin la vida loca.

Elle vous a permis d'apprendre quelque chose d'intéressant ou pas ?
Je crains d'en savoir très peu. Kida a également essayé de mener son enquête, il semblerait que personne ne soit en mesure d'expliquer notre venue dans ce monde. Ou la venue de... la couronne.

Un nouveau tour avant de pouvoir prendre la parole.
Woke up in New York City in a funky cheap hotel
She took my heart and she took my money
she must've slipped me a sleeping pill


De toute façon on ne peut pas repartir sans avoir réglé cette histoire, n'est ce pas ?
Si je devais pointer une faiblesse, je dirai leur attrait pour la supériorité qu'elles ont. Comment l'utiliser... je ne sais pas vraiment. Chanter tous ensemble contre elles ? Si Carlisle veut bien se joindre à nous. Soulever tout le peuple pour chanter ?

She never drinks the water and makes you order French Champagne
Once you've had a taste of her you'll never be the same
Yeah, she'll make you go insane.

Un nouveau tour.

Je dois admettre que ce n'est pas une mauvaise idée.
Le chant... est sans doute un vaisseau efficace des émotions. Ce qu'elles expriment, c'est du mépris. Si nous pouvions contrer cela avec nos voix combinées, le chant qui signerait la révolution pourrait être assez fort pour les vaincre. Peut-être alors, une fois tout cela fini, il serait possible d'utiliser nos couronnes pour rentrer. D'ailleurs, en avez-vous reçu une également ?

Upside, inside out she's livin la vida loca
She'll push and pull you down, livin la vida loca

Un nouveau tour.

Oui j'en ai une, fit-elle simplement, désinvolte. Elle est dans ma chambre.

Her lips are devil red and her skin's the color mocha
She will wear you out livin la vida loca Come On!

Un nouveau tour.

Trop lourde. Peu pratique. Et puis ils savent tous que je suis Anastasia. Vous par contre, ils ne vous reconnaissent pas.

Livin la vida loca, Come on!
She's livin la vida loca.

Un nouveau tour.

Aux yeux de ces princesses, il suffirait d'enfiler des lunettes pour passer inaperçu, fit Greg, sarcastique. Votre couronne... vous est-elle familière également ?

Un nouveau tour.
She'll make you take your clothes off and go dancing in the rain.
She'll make you live her crazy life
but she'll take away your pain like a bullet to your brain. Come On!


Oui. Je l'ai portée une fois. Avant. Elle était méfiante, peu encline à en dire davantage. Cela suffisait pour que Greg comprenne de quoi il s'agissait, et qu'il comprenne qu'il ne fallait pas continuer sur le sujet.

Un nouveau tour.
Upside, inside out she's livin la vida loca
She'll push and pull you down, livin la vida loca


Et votre princesse, au fait ? Funbutter ? Elle est passée où ?
Elle est...

Her lips are devil red and her skin's the color mocha
She will wear you out livin la vida loca Come On!


Il réfléchit, observant la salle au rythme des mouvements de la danse, sans le savoir ou la trouver.
Je ne sais pas à vrai dire. J'espère qu'elle n'est pas trop loin, sa volonté et sa force peuvent être de grands atouts pour l'affrontement. Je parlais du soutien du peuple, peut-être a-t-elle l'éloquence nécessaire. Kida a également une force admirable de sentiments, une pureté non négligeable. Peut-être ne voudra-t-elle pas d'affrontement ? Ce qui est honorable, mais pour mettre un terme à l'autorité de ces dictatrices, nous aurons besoins de toutes nos forces.

Livin la vida loca, Come on!
She's livin la vida loca.


On devrait réunir les troupes et discuter de votre idée. Ils ont tous l'air suffisamment occupé pour le moment. Allons déjà chercher Malfalia ? Manifestement elle n'est pas ici. Les autres muselés non plus.
Excellente idée, fit-il alors que la chanson se terminait.

Ils se dirigèrent alors vers la sortie, Greg remarquant une distance notable et voulue entre lui et Anastasia, qui la devançait, celle-ci ayant toujours besoin de prendre ses distances en sa présence. Il mit les mains dans les poches, soupirant, avant de la suivre dehors.
L'horloge qu'il put observer l'avait surpris. 6H50. La fête avait déjà duré toute la nuit, et les voilà déjà au matin, ce qu'il n'avait pas remarqué. En réfléchissant, c'est vrai qu'il avait un peu mal aux pieds.

Je ne m'attendais pas à ce que l'on y passe autant de temps. Nous devrions aller chercher là où Malfalia a pu se reposer durant la nuit ?

Ils montèrent alors.

Greg : 95%




Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

| Avatar : Ashley Clements

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| Conte : Anastasia
| Dans le monde des contes, je suis : : Anastasia Romanov

| Cadavres : 7142



Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-10-08, 16:52 « Men are such babies »

Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 5 667537bannsingon2

Anastasia était d'accord avec elle-même sur un point : Dimitri ne saurait jamais qu'elle avait, bon gré mal gré, dû accorder une danse à Raspoutine, tout comme il ne saurait pas que - et cela lui arrachait la bouche de le dire - leur ancienne Némésis était un plutôt bon danseur. En fait, la rouquine préférait chasser ce souvenir de sa mémoire et agir comme s'il ne s'était rien passé, se focalisant cependant sur les avancées que cette conversation dansante permettait. Car avoir le début d'un plan en dépit de cette nuit particulièrement frivole, ce n'était vraiment pas du luxe, même s'il était le fruit de la réflexion de Raspoutine.
Il fallait bien reconnaître que l'ancien mage n'avait rien perdu de ses capacités intellectuelles qui, si elles avaient pu être dérangeantes du temps où ils n'évoluaient pas dans le même camp, s'avéraient précieuses à ce moment-là. Mais ça, Anastasia se garda pas bien de le préciser, avançant en silence dans les étages endormis du château.
Anya et Grigori avaient déjà ouvert plusieurs portes sans succès et continuaient leurs recherches en silence quand, au détour d'un couloir, ils aperçurent Ambrosia, Hazel et Hobo. Un bien étrange trio, nota la rouquine en poussant Raspoutine dans un renfoncement du bâtiment afin de suivre la conversation sans trahir leur présence tout en tâchant de ne pas prêter attention au peu d'espace dont ils disposaient.
La princesse venait, semble-t-il, d'arriver à hauteur du duo menotté et claqua des doigts en leur direction.
- Un peu de nerf, les Muselés... Et pour l'amour des licornes, où est Petit Ami ?
Sans réellement attendre de réponse de la part des esclaves, Ambrosia arpenta le couloir, en pleine réflexion. Elle manqua de découvrir la cachette d'Anastasia et Raspoutine (ce qui aurait été le comble de l'embarras) mais tourna les talons juste à temps. Elle manqua également la discussion silencieuse, faites de signes probablement empruntés à la langue du même nom, entre Hobo et Hazel.
De ce qu'Anya pouvait en juger, Hazel était furieuse et Hobo tâchait de la tempérer. A propos de quoi, telle était la question. Tout ce qu'Anastasia pouvait dire, c'était qu'ils avaient interrompus leur conversation muette et enflammée juste avant qu'Ambrosia ne revienne vers eux pour demander, d'un ton mielleux et agacé :
- Est-ce que ça ferait mal à faces hideuses de Muselés de sourire ?
Si Hobo s'exécuta docilement, le visage de Hazel demeura impassible, ce qui irrita grandement Ambrosia. De sa main gauche, elle attrapa la mâchoire de la jeune fille pour y forcer un sourire. Mais dès que ses dents pointues furent à l'air libre, Hazel en profita pour...
- Elle lui a réellement mordu le poignet ? chuchota Anya, surprise, si ce n'est choquée.
- J'avais compris qu'Hazel était farouche, je n'avais pas saisi à quel point, répondit Grigori dans un murmure similaire.
De son côté, Ambrosia avait vivement retiré sa main et déclarait :
- Je le savais ! Vous ne valez pas mieux que ça !
Et elle non plus, sans doute.
En quelques vocalises, ses yeux avaient pris une couleur anormalement rose fluo et la princesse dirigea bientôt son regard sur les deux Muselés qui tombèrent au sol, inertes. Elle claqua ensuite des doigts pour faire apparaitre Michael Caine (qui ne broncha pas en constatant les deux corps inanimés à ses pieds) et ordonna :
- Emmenez-les à leur juste place. Je dois aller faire mon rappel antirabique, ajouta-t-elle outrageusement théâtrale.
Une fois le couloir désert, Anya et Raspoutine sortirent de leur cachette, ce dont la première n'était pas mécontente.
- Si je récapitule, cela nous donne une Malfalia aux abonnés absents, deux Muselés "à leur juste place", peut-être un troisième avec Ali, une Thalia du côté obscur de la Force, un Carlisle qui ne croit pas à tout ça, une Kida qui veut éviter une violence qu'on évitera a priori pas et nous deux. Et un peuple à libérer et des crimes à punir...

Le grand jour
Une autre vie une autre destinée
Les délivrer de fuir à perpétuité
Car aujourd'hui jugement ultime
Chaque Homme doit révéler ses crimes
Au grand jour

Le grand jour pour ce matin
Il faut trouver où elle les envoie
Cessons toute cette mascarade
Suivons nos frères au combat
Le grand jour se lève enfin
Mais comment faire, avons nous le droit ?
Et les Droits de l'Homme s'écrivent
Les Muselés s'éveillent, demain arrive

Le grand jour patriotique
Le progrès commence sa marche
Compagnon de l'avenir ressurgit de ton linceul
Plein d'espérances magnifiques, à la volonté du peuple


Anya marqua une pause, surprise par son propre lyrisme. Puis elle reprit :
- Maintenant que ça c'est dit on devrait passer à l'action.
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t5617-terminee-once-upon-a-r


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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-10-09, 00:27


I wanna dance with somebody !

À force de grincer des dents, j'en avais mal à la machoîre. Imbécile d'Aladdin. Il aurait dû demander comme voeu à son tout aussi idiot de génie un cerveau, plutôt que de se prendre pour un prince. J'espérai de tout mon cœur que le massacre était terminé de bon. Car sinon, la prochaine fois qu'il se croirait le roi des séducteurs, je laisserai tranquille Michael Caine et je me chargerai personnellement de lui. Il serait bien déçu, je ne lui avais pas prévu de baiser. La princesse n'était pas toujours obligée d'embrasser la grenouille pour finir un bon conte de fée.

Heureusement, la fête battait son plein et m'aidait à chasser ces désagréables et vilaines pensées. Rien de mieux que la musique, la danse et surtout beaucoup, beaucoup, beaucoup de cocktails pour se changer les idées. L'ambiance était incroyable. Électrisante. Impossible de s'arrêter de hurler, de lever les bras en l'air pour éclater les grosses bulles de savon colorisés de rose qui flottaient au dessus de nos têtes ou de se déhancher entre les bras de parfaits inconnus qui sentaient l'eau de Cologne de luxe. Je ne voulais pas que ça s'arrête, de toute façon. Du moins pas maintenant. Pas alors qu'une partie de blind test venait de commencer.

Je restais avec mon groupe de princesses, applaudissant quand nous trouvions la bonne réponse, chantant quand la chanson nous plaisait ou huant les équipes adverses quand elles obtenaient le point. J'étais contente que Anya soit présente, d'ailleurs. À nous deux, nous avions trouvé un bon paquet de titre et de nom de chanteur. Ce qui donna une mine boudeuse à Ambrosia. Elle prenait un peu trop à cœur le jeu.

C'était pareil pour le karaoké géant qui suivit. Elle voulait toujours avoir le micro, se prendre pour une rock star, être la chef de la bande quand l'écran afficha les paroles de "Wannabe", des Spice Girls. Je réussi quand même à faire entendre ma voix sur "Dancing Queen", un verre de coktail violet à la main, en compagnie d'Allegro qui se déchaînait sur la scène comme si elle était Meryl Streep dans "Mama Mia!".

Ensuite... eh bien la suite... fut très flou. Il y eu des cocktails. Beaucoup trop de cocktails, même. D'autres karaokés, aussi. Des jeux à boire divers et variés qui réussirent à engluer mon cerveau dans une protection pâteuse mais pourtant énergique qui m'empêcha de dormir malgré la durée des festivités, qui débutèrent à 20h pour "seulement" se terminer à 6h du matin. Il y avait eu les shots à vider à chaque fois qu'on voyait quelqu'un habillé en bottines à talons. À chaque fois que quelqu'un chantait du Justin Bieber. À chaque fois que quelqu'un prononçait le mot "licorne". Tout était prétexte à boire. Encore. Et encore.

Le summem de la fête fut la soirée mousse. Tout le monde se jetta dans des bassins, dans des fontaines, finissant recouvert d'une mousse savoneuse aux délicieuses odeurs sucrées, tapant dans des balons géants en forme de couronnes ou d'animaux mignons. Je m'en donnais à coeur joie, créais quelques coiffures mousseusses sur la tête des autres princesses et me laissais porter par les bras musclés d'un bel homme au torse dénudé et au sourire princier. Je n'aimais pas les clichés, mais à ce moment là, je l'avais totalement oublié. Surtout quand il se mit à chanter comme tout bon prince qui se respècte.

"I wasn't jealous before we met
Now every man I see is a potential threat
And I'm possessive, it isn't nice
You've heard me saying that singing was my only vice
But now it isn't true
Now everything is new
And all I've learned has overturned
I beg of you...
Don't go wasting your emotion
Lay all your love on me"


ABBA... Il me chantait du ABBA... C'était comme ça que je m'étais rendue compte que c'était James. Ce bellâtre chantant qui m'avait déjà eu par les sentiments avec le même groupe. Il était doué. Très doué. Ses paroles firent aussi disparaître le groupe d'hommes qui s'était regroupé autour de moi et qui ne cessaient de gonfler leurs muscles pour démontrer tout le potentiel de gonflette de leur biceps.

C'était comme ça que je m'étais retrouvée au bras de James, accompagnée de Opal et Allegro. Plus de deux inconnus qui semblaient avoir eu la chance exceptionnelle d'avoir attirés les faveurs des deux princesses qui ne cessaient de glousser de la manière la plus niaise qui soit. À moins que ça soit moi qui fasse ces bruits là? Je n'étais pas sûre. Je n'étais plus sûre de grand chose, en fait.

Nous avions finalement quittés la fête, fatigués tous mais surtout grisés par le potentiel des événements à venir. La fête n'était pas encore terminée pour nous. Mais pour qu'elle continue, il fallait trouver une chambre disponible... Voir même plusieurs, idéalement. J'étais peut être saoule, mais je ne tenais pas non plus à ce que tout ceci se termine en orgie. Il y avait des limites à mon ouverture d'esprit, même quand j'avais du mal à aligner deux pensées correctes.

Surtout quand James m'attirait contre lui pour m'embrasser, tandis que je cherchais à tâtons la poignée d'une porte qui pourrait potentiellement révéler une chambre avec lit King Size et...

Je me figeais dans les bras de mon prince d'un soir (Matin?), alors que la porte venait de s'ouvrir sur une vision... des plus surprenantes. Je restais ainsi à fixer Petit Ami, allongé dans un lit de taille respectable, aux côtés de princesse Funbutter qui dormait comme une bien heureuse. J'en étais bouche bée. Et pas tout à fait certaine de comprendre ce qui se passait. L'alcool faisait toujours son effet. Même si ça faisait plus d'une demi heure que je n'avais pas touché à un verre de cocktail parfumé à la cerise.

- Est-ce que... c'est normal? Vous deux, je veux dire.

Peut être que ça ne servait à rien de s'inquiéter. Ou d'imaginer le pire. Mais étant donné le regard paniqué qu'adressa Petit Ami à Opal et Allegro tandis qu'il se redressait, il avait fait une très grosse bêtise.

- C'est pas du tout ce que vous croyez, on avait juste sommeil. Je suis épuisé.

Les princesses n'avaient pas l'air d'en avoir quelque chose à faire de ses excuses. Elles étaient plutôt trop occupées à observer la perruque de Funbutter qui avait glissé et qui révélait des cheveux noirs et courts...

- Tiens, tiens, tiens... ça ne serait pas la fille de la Matrone Noire qui se cache derrière Funbutter? Ambrosia va pas être contente du tout...

Oh non. Même si je ne la connaissais pas depuis très longtemps, j'avais plutôt bien saisi le personnage. Et nul doute qu'elle se montrerait impitoyable si elle apprenait l'identité de cette soit disant princesse. J'en avais bien conscience, malgré la gueule de bois qui commençait à lentement pointer le bout de son horrible petit nez pointu. Déjà?

- Que ce qui vous fait croire que ce n'est pas Funbutter? Vous savez qu'on a toutes un peu trop bu et que nos merveilleux cerveaux ne fonctionnent pas aussi correctement d'habitude? Personnellement je vois juste que Petit Ami s'amuse à tromper Ambrosia. Et qu'il devrait être puni pour ça. Après tout, c'est toujours de la faute des hommes...

Après avoir penché la tête pour observer Funbutter qui semblait lentement se réveiller, j'adressais un sourire complice aux princesses, en faisant un mouvement de tête en direction du terrible mâle qui avait cédé à ses pulsions animales. Du moins, c'est que les deux filles devaient croire.

- Mmh... alors ça veut dire qu'il faut le tuer. Quel dommage. Ambrosia va être tellement triste... Mais elle serait peut être suffisamment triste pour faire agrandir le spa!

Opal ne perdait pas le sens des priorités, dit donc...

- Le tuer? Tout de suite? Pourquoi pas d'abord le torturer un peu, lui rappeler qu'il n'est rien qu'un Petit Ami facilement remplaçable, avant de devoir lui ôter la vie. Ambrosia nous en serait sûrement encore plus reconnaissante si nous nous donnons à fond pour défendre son honneur bafoué.

Je n'étais pas certaine de ce que je disais, ou si c'était un bon plan. Je n'avais pas encore dormi et l'alcool me tenait toujours éveillée mais je me sentais commencer à fatiguer. Ce n'était pas le moment de faire preuve de faiblesse.

- T'es futée, Jasmine.

- J'avoue, j'y aurais jamais pensé, je l'aurais tué direct.

- Mais faut aussi s'occuper de Funbutter si elle convoite Petit Ami...

- Mais on a pas...

- Je vais le savoir, les faits parlent d'eux-même. On va à la salle de torture? Tous ensemble dans la joie, la chanson et la bonne humeur?

La question était pour moi et Allegro. Je me forçais à sourire avec enthousiasme, hochant la tête pour acquiescer à sa proposition. J'avais apprécié qu'elle me trouve futée, mais ça ne m'empêchait pas de trouver mon bout de plan quelque peu bancal.

- Eh bien allons-y! Petit Ami? Princesse Dévergondée? Veuillez faire taire vos vilaines pensées pour nous suivre en chanson et sans faire de vague.

Adossée contre l'encadrement de la porte, j'attendis avec un sourire que tout les deux se lèvent, maintenant que Funbutter était bien réveillée. Comme ils ne semblaient pas prendre conscience de la gravité de la situation, je tapotais du pied, agacée, en roulant les yeux de manière exaspérée.

- Allez! On a d'autres fêtes qui nous attendent! Hop hop hop! Assumez vos actes un peu! Vous voulez prendre le temps de nous chanter une dernière mélodie?

Sans me départir de mon air hautain, je plantais mon regard dans celui de Funbutter et essayais de lui faire comprendre sans articuler un mot que j'étais de son côté. La télépathie aurait été un don très appréciable, dans cette aventure.

Mais étant donné le regard qu'elle me lança en retour, je compris qu'elle savait ce que j'aurai aimé pouvoir lui dire à voix haute. Elle s'empressa de baisser la tête, faisant profil bas, pendant que nous quittions la chambre, escortée elle et Petit Ami par Opal et Allegro. Je fermais la marche, en me rendant compte au passage que James et les autres inconnus avaient disparus. Est-ce qu'ils avaient entendus? Ou ils étaient simplement partis en voyant que nous n'allions pas nous amuser plus? J'adressais une prière silencieuse à qui voudrait bien l'entendre pour qu'ils n'aient rien entendus et surtout qu'ils ne soient pas allés voir Ambrosia.

Je chassais ces pensées négatives et me mis à chanter en choeur avec les deux autres princesses, qui semblaient prendre un plaisir malsain à rabaisser le "couple".

"Trahison
Disgrâce
L'esprit du mal est marqué sur leur face
Trahison
Quel outrage
Disgrâce
Ils ne sont...
"

Notre chant cessa au moment où Anya et le soit disant prince Poutine apparurent au détour d'un couloir. Soulagée, je fermais les yeux quelques secondes, en remerciant cette bonne étoile qui m'avait envoyé mon amie russe et rousse.

- C'est quoi votre petite sauterie?

Avec un grand sourire, je fis quelques pas vers Anya, en battant très fort des cils de manière qui devait paraître un peu étrange et tout en essayant de faire encore une fois passer un message par mon regard.

- Nous avons surpris Princesse Machine en train de se taper Petit Ami. Nous avons donc décidé de les emmener en salle de torture souffrir un peu. Pourquoi cette question? Tu n'es quand même pas contre la violence, Princesse Anastasia?

- Eh bien... je suis contre l'adultère. Et justement, Prince Poutine s'étonnait de ne pas trouver sa princesse. On vous suit.

Et elle me fit un clin d'oeil. Une simple paupière qui s'abaissa rapidement. J'aurais pu la serrer dans mes bras tant j'étais soulagée. Je ne doutais pas qu'elle comprendrait, mais j'étais plus que ravie qu'elle sache que je continuais à jouer le jeu et que j'avais besoin d'elle.

C'est ainsi que notre petit groupe s'entassa dans l'ascenseur, pour rejoindre la fameuse salle de torture qui se trouvait au sous-sol. Comme le duo de coupables était bien gardé, j'en profitais pour appuyer sur un étrange bouton nommé "DJ", juste à côté de celui, cerclé de lumière, qui indiquait le sous-sol. Je sursautais quand une voix masculine s'éleva dans la cabine.

- Que voulez vous comme musique d'ambiance?

Difficile était ce dilemme. Les possibilités étaient tellement multiples et variées que j'en avais mal à la tête rien qu'à y réfléchir. À moins que ça ne soit simplement les effets de la beuverie de cette nuit. Je finis par choisir une musique qui me semblait bien coller avec la situation et surtout mettre tout le monde un peu plus dans l'ambiance.

- La Marche Funèbre de Chopin. Et si possible, n'ouvre pas les portes tant que la musique ne s'est pas terminée.

- Vos désirs sont des ordres, Princesse.

Aussitôt que la voix s'éteignit, une musique qui voulait tout dire emplit l'ascenseur. J'adressais un regard à Anya, avec un sourire en coin, plutôt fière de mon choix. Si le ton était funèbre, le morceau durait plus de sept minutes. Ce qui nous laissait le temps, peut être, d'élaborer un bout de plan un peu plus sophistiqué que le mien avant que les portes ne s'ouvrent sur la salle de torture.


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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 5 Original

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-10-09, 23:12


Sing On


La fête... encore et toujours la fête. Kida les regardait d'un air blasé bien qu'elle s'efforçait de garder le sourire. Ces gens fêtaient tellement qu'ils ne savaient plus pourquoi ils le faisaient. Les Atlantes avaient toujours aimé la fête, c'était une chose très importante dans leur culture mais elle était toujours été synonyme de célébration. Encore une fois, la vie se devait d'avoir un sens, c'était le plus beau cadeau de Mère Nature, l'ultime cadeau et il était hors de question de le gâcher en futilité et en excès. Le regard posé dans le flou sur la foule, la blonde argentée n'avait pas vu Thalia qui avait su se faufiler parmi l masse et lui tendait désormais un cocktail bleu. La jeune femme sursauta légèrement avant de regarder le verre d'un air surpris. Ce truc était fortement bleu, des glaçons y flottaient et des paillettes argentées formaient les lettres "rêve bleu" dans le cocktail. La demoiselle se demandait si les cocktails étaient comestibles quand une jeune fille plutôt proche de l'explosion dûe à son alcoolémie lui attrapa le bras, manquant de renverser son verre par brusquerie :

- Ouaaaaouh tu as un Rêve Bleu ? C’est un des meilleurs cocktail du monde !!

C’était donc ça le rêve bleu d’Ali… elle l’avait pensé empli d’amour et non pas d’alcool… A moins qu’elle n’avait pas encore saisi cette tournure de phrase également ? Un jeune homme aux yeux fortement paillettes et au rouge à lèvre argenté s’approcha à son tour avec des manières plutôt exagéré. Il lança d’une voix précieuse :

- Un zeste de citron, du curaçao, de la pulpe de framboise, du jus de pomme, beauuuuuuucoup de vodka et des paillettes, je VA-LIDE-GRAVE !

Avant de s’en aller un peu plus loin avec une sortie de groupe digne d’une diva. Un peu déboussolée par les deux énergumènes qui venaient de l’agresser, Kida regarda son verre puis Jasmine.

- C’était bien pour moi ce cocktail ? C’est gentil mais… je préfère éviter l’alcool…
- Pourquoi ? Tu es contre l’alcool ? Tu n’aimes pas ça ? Ou c’est juste que tu as peur de finir par chanter du Céline Dion en compagnie d’un groupe exclusivement composé de princesses qui se maquillent avec des paillettes ?

La blonde platine éclata de rire avant de reprendre avec un sourire malicieux :

- La dernière option… Je ne suis pas très habituée à l’alcool… la dernière fois que j’en ai pris était aussi ma première… disons que la soirée a été plutôt… mouvementée du coup.

Ses joues avaient rosies sous l’effet de la gêne. Elle pris encore quelques secondes pour regarder le cocktail que Thalia lui avait donné mais elle n’y trempa pas les lèvres pour autant.

- Oh tu deviens incontrôlable ? Rassure-toi, ça arrive à tout le monde. Et ça pourrait nous être utile ce soir.

Thalia fixa le verre comme pour l’inviter à tenter et Kida consenti à en prendre une gorgée… C’était plutôt bon… très bon même. Sucré et fort à la fois… La douceur mélangée à la brise d’un feu étrange qui revenait en arrière-goût, une fois que le liquide avait coulé dans sa gorge. La jeune Atlante se mit alors à regarder autour d’elle et constata qu’il y avait tout de même moins de garçon que de fille, à quoi que les princes existaient moins, que les princesses invitées étaient toutes célibataires ou qu’Ambrosia appréciait moins leur compagnie…

- Tu ne trouvas pas qu’il y a peu de garçon ? Généralement dans des fêtes, on s’arrange pour avoir un nombre égal de personne de chaque sexe, non ?
- Je trouve au contraire qu’il y en a trop.

Oui, Thalia n’était clairement pas de son avis. Elle avait l’amertume qui lui dévorait le visage et elle avait levé les yeux au ciel, signe de sa véritable impatience sur ce sujet.

- Donc… ce n’est pas que contre Ali que tu es en colère.


Une fois de plus, c’était l’une des constatations gênantes dont Kida avait le secret, une petite phrase placée en toute innocence mais à laquelle il était parfois bien difficile de répondre et sur laquelle le rebond n’était pas toujours souhaité. La demoiselle repris une gorgée de son cocktail tandis que Thalia trouvait ses mots :

- Je suis toujours entourée d’hommes qui ne posent que des problèmes. J’ai appris à moins les aimer. Quoi que… tant qu’ils ne sont pas trop idiots ou qu’ils ne se prennent pas pour des pseudos maître du monde, ils me dérangent pas tant que ça... Mais la femme reste supérieur à eux. C'est logique.


Elle n’était pas tellement d’accord avec l’idée qu’un sexe était supérieur à un autre mais elle livrait déjà trop de bataille sur la tolérance et l’égalité pour mener encore celui-ci contre cette princesse qui lui semblait sympathique somme tout. Elle se contenta donc de boire une nouvelle gorgée tandis que le reflet de Milo passa devant ses yeux. Une fois que son pincement au cœur fut passé, elle finit par lui dire :

- Tu sais… Un homme pas trop idiot peut le devenir complétement avec une femme.

Les regards des deux jeunes femmes se croisèrent alors et chacune pu lire dans l’expression faciale de l’autre qu’elles semblaient soudainement très bien se comprendre, toutes deux victimes d’un cœur brisé une ou plusieurs fois…


Il était quelle heure déjà ? Kida n’en avait plus aucune idée, elle ne savait même plus comment elle en était arrivée là, à monter sur cette scène pour attraper le micro d’une main, faire bras dessus, bras dessous avec Thalia qui avait son propre micro à beugler la chanson d’un Disney dont la princesse ne semblait pas s’être déplacée. Jasmine était clairement plus mal en point qu’elle car la blonde aux cheveux d’argent avait un organisme d’Atlante, légèrement plus résistant. Il n’empêchait que la gravité avait pris un tout autre sens pour elle et que sa tête tournait beaucoup trop si elle bougeait ne serait-ce qu’un tout petit peu brusquement.

Nous serons enseeeeeeeemble à jamaiiiiiiiis
Même si un jour il m'oubliiiiiiiiie
Il est ma raison d'être
Il était la vie de ce châteauuuuuuuuuu
Maiiiiiis je n'ai plus que mes remoooooords
Et je pleure sur mon sooooooort

Je sais bien que j'espère en vain
C'est le début d'une nuit sans fin
L'histoire pourtant commençait bien
J'attendrais jusqu'à ma moooooooort


A n’en pas douté qu’elles avaient chanté comme des casseroles, à moitié dû à l’alcool, l’autre moitié étant de la responsabilité de leurs amours déchus. Le mot « mort » s’était prolongé un certain moment avec une voix d’outre-tombe pour les deux jeunes femmes et soudain, Thalia tituba tellement qu’elle dut se raccrocher au pied du micro. Kida avait eu un pouffement de rire stupide… Elle n’aurait sans doute jamais dû prendre 2 rêve bleus, 1 un jour mon prince viendra et 3 je t’ai vu au beau milieu d’un rêve, et 6 Bobidiboo et le résultat était là. Elle s’approcha en titubant légèrement de Jasmine qu’elle jugea sur son épaule et elle descendit de la scène. Elle alla la poser sur une chaise et attendit qu’elle se sente mieux pour lui dire qu’elle devait vraiment aller se coucher. Elle monta tant bien que mal les marches menant à sa chambre, oubliant le majordome et sa téléportation magique et s’effondra sur son lit, tandis que la scène sombrait dans le chaos en un instant…

Ce fut le duo de Malfalia et Petit Ami qui la sortie lentement de son coma. Elle entendit d’abord la voix de loin puis de plus en plus distinctement et constata que cela était en train de lui créer une migraine plutôt spectaculaire. Sa tête pesait 10 tonnes et elle eut du mal à la relever. Elle avait bavé pendant sa nuit, une énorme tâche en témoignait ainsi que les restes liquides qui collaient à sa joue. Elle se ressuya alors d’un revers de manche et se tourna pour s’allonger sur le dos en grognant, observant le plafond. Son état commençait doucement à s’améliorer. Elle entendit du mouvement mais n’y prêta pas attention. Lorsqu’elle sentit que le seul problème qui persistait était sa gorge sèche, elle prit le temps de se lever et d’analyser son environnement. L’avantage d’être une Atlante était que son corps se remettait bien plus rapidement d’une gueule de bois. Elle aperçut au loin l’ascenseur qui pointait vers le -1. Tout était calme. Elle se leva et se dirigea dans le couloir à la recherche du reste du groupe. Personne dans aucune chambre. Après un nouveau regard vers la cage d’ascenseur, elle s’y rendit et appuya sur le bouton pour l’appeler.

L’attente lui sembla interminable. Cela devait bien faire 6 minutes qu’elle attendait… pourquoi diable cela prenait-il autant de temps ? Comme en réponse à sa question, une voix digitale retentit de nulle part :

- C’est long, hein ?
- Oui… Un peu… je peux savoir ce qu’il se passe ?
- L'ascenseur est actuellement retenu au sous-sol. Cause : la chanson de princesses Jasmine n'est pas terminée. Veuillez patienter ou emprunter les escaliers.

Kida pouffa d’un rire moqueur en secouant la tête de gauche à droite comme si elle n’en revenait pas. Elle ignorait si c’était une demande de Thalia ou du groupe mais une chose était sûre, cette action lui rappelait parfaitement dans le monde dans lequel elle avait atterri.

- Je peux appeler Michael Caine aussi ?
- Affirmatif.

Le majordome apparu instantanément. Elle lui demanda de la téléporter au -1, ce qu’il fit avant de prendre congé d’elle. Kida dû donc attendre 2 minutes que les princesses arrivent à leur tour sur le lieu de rendez-vous. Lorsque les portes s’ouvrirent, Allegro la regarda d’un air surpris :

- Kidaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !! Mais qu'est-ce que tu fais toute seule ici ?
- Je n'ai pas été seule longtemps... à mon réveil, vous étiez tous dans l'ascenseur... j'ai tenté de l'appeler mais quelqu'un le retenait pour pouvoir entendre la fin de sa musique préférée.. (elle coula un regard amusé vers Jasmine). Du coup... j'ai demandé à Michael Caine de me téléporter.
- T'es maligne ! Tu tombes bien du coup, on allait torturer Petit Ami et" Funbutter".

Kida se figea instantanément :

- Comment ça ?
- Bah... Petit Ami a trompé Ambrosia avec "Funbutter" c'est la moindre des choses, non ? Puis c'est une idée de Jasmine et je la trouve bonne.
- Et… vous comptez les torturer comment ?

Elle regardait tout le groupe comme s’ils étaient tous tombés sur la tête.

- Oh mais parce que tu crois qu'on a déjà décidé ? On verra avec le Krampus. L'important c'est qu'ils payent. Et avouent leurs fautes. A commencer par cette perruque (elle enleve celle de Malfalia). Moi je trouve que sans elle a une tête de Muselée.

Au fond de l’ascenseur, Anya articula en silence tout en exagérant chaque mot : « Fais nous confiance on laissera pas faire. » Le silence s’installa entre le groupe et Kida et cela en devint gênant, palpable. Kida semblait comme bloquée, à moins qu’elle réfléchissait. Au bout de 2 minutes pleines et entières de silence, elle haussa brusquement les épaules en lançant un petit « ok !» d’approbation à l’idée de torturer les deux coupables. Cherchant un moyen de faire disparaître les soupçons qui peser sur Malfalia, elle décida de reprendre son rôle de princesse et eu un sourire mauvais en coin :

- Et c’est PAS une Muselée… Une Muselée, ça se reconnaît à l’odeur.


Apparemment convaincu par cette explication, les deux imbéciles qu’étaient Opal et Allegro se mirent à renifler Malfalia pendant quelques secondes avant de dire :

- T'as raison, elle sent bon. (Préjugé quand tu nous tiens…) Mais elle a quand même couché avec Petit Ami.

Le jeune homme en question voulut protester mais Opal lui colla une main sur la bouche.

- Bon ben qu'est-ce qu'on attend alors ? On va pas y passer le réveillon !


Elle lança la marche mais ralenti l’allure pour que les deux princesses lui passent devant. Arrivée à la hauteur d’Anastasia, elle lui chuchota rapidement :

- C’est quoi déjà le Krampus?
- C'est l'homme qui chantait quand je me suis réveillée ici.

Anya avait réflechi avant de répondre, cherchant dans sa mémoire la solution. Kida hocha la tête en silence… très bien… mais il était où cet homme qui chantait à présent, pourquoi ne l’avait-elle pas revu depuis ? Ceci était une certitude, sinon elle n’aurait pas eu un temps de réflexion aussi long. Le groupe poursuivit sa procession jusqu’aux coulisses du studio de I stole your Voice où ils marchèrent jusqu’à une étrange porte rouge qui était fermée. Le Krampus devait être derrière.





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• Franchement Slo', on a pas besoin de se retrouver dans un parking glauque pour que tu m'annonces que tu me prends comme ton témoin de mariage !
• Ssssssh discrétion Al' discrétion !

♨️

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• Sloan ? Tu m'écoutes ? Lui là ... je peux le tuer quand tu veux !
• Hum oui oui Dew' ... oui oui


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________________________________________ 2017-10-10, 18:47

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Impossible n'est pas une déclaration; c'est un défi.

Si il l’eut pu, Carlisle se serait retirer dès l’instant où il entendit les baffles surdimensionnées de cette fichue salle de bal cracher en un mélange des plus douteux une mixture éléctro-pop qui se voulait être de la musique. Tout à ses pensées, il n’avait pas vu le temps filer au fil des notes, jouant aléatoirement de grandes compositions. Wagner, Chopin, Debussy… Il s’attarda particulièrement sur ce dernier, jouant inlassablement ‘La Fille aux Cheveux de Lin’, perdu dans un enchaînement de souvenirs qu’il ne maîtrisa ni ne convoqua. Il jouait simplement. Jusqu’à ce qu’un destin fort peu aimable ne vienne l’en tirer, de la manière la moins ‘subtile’ du monde.

-Ah enfin un peu d'air fait! s’écria une nouvelle princesse, tout habillée de vert et de jaune, en arrivant sur la petite véranda.

Dès qu’il entendit son défaut de langage, Carlisle ne put retenir un haussement de sourcils des plus méprisant. C’était fou tout de même, comme dans ce royaume, l’élégance ne venait guère avec le titre… Qu’il s’agisse de la Princesse Ambrosia, dénuée de goût et de prestance, ou de cette princesse aux cheveux ébouriffés, Carlisle ne pouvait s’empêcher de toutes les haïr. Viscéralement. Si lui n’avait pas de titre, au moins avait-il un peu de ce qu’il était censé exigé.

-Oh? fit-elle en se retournant, réduisant à néant la moindre chance qu’eut pu espérer Carlisle de n’avoir qu’un bref aperçut de ce nouveau visage. C'est toi qui joue cette mêle en col 'I'?

Des mains, elle mima la lettre, et cette fois, ce fût de pur embarras que Carlisle fixa la jeune femme. N’avait-elle donc pas la moindre éducation ?!

-Qu’est-ce que c’est que cette muse-hic?

-La Fille aux Cheveux de Lin, répondit Carlisle, contraint et forcé.

Quelle idée avait-il de se prétendre inférieur ? Certes, la chose était prudente, puisqu’on l’avait tatoué à son insu, tel un vulgaire bestiaux, et telle chose ne pouvait passer inaperçu. Si son école militaire lui avait bien enseigné une chose, c’était de toujours utilisé le maximum d’information véritable face à l’ennemi. Celui-ci possédait souvent une longueur d’avance sur vous. Le jeu étant de renverser la tendance…

-Oh quelle lisse poire cela doit être! s’exclama la Princesse de Motordus, plaçant ses mains sous son menton dans une expression qui horrifia Carlisle jusqu’au tréfonds de son âme. Mais c’est un peu étrange, non ? Une fille aux chevaux de l’un, et que fait-elle de ceux de l’autre?

Visiblement en intense réflexion, elle eue une moue pincée, et Carlisle fit claquer sa langue d’exaspération. Mauvaise idée, puisque cela ramena la simplette sur Terre, et elle tendit les mains pour agripper le coude de Carlisle.

-N’est-ce pas fabulleux ! Autant de Princesses réunies, oh, j’en perds mon Lapin ! Où es-il d’ailleurs ? Tu ne l’aurais pas vu?

-Je ne crois pas, navré, fit-il sèchement, se relevant du piano dans l’espoir de fuir cette folle à liée…

-Oh mais attends voir… Tu es le maître à Panser de Princesse Anastasia pas vrai ! Elles ne parlent toutes que de toi là-bas ! Tu as ton diplôme de secourisme du coup ?

Battant éperdument des yeux, elle fixait Carlisle avec un intérêt tout ingénu, et Carlisle retint à grand peine une furieuse expression de haine. Plus que d’être simplette, cette fille était une idiote finie.

-A danser, corrigea-t-il, sec, la toisant du regard, ce qui n’amoindrit en rien le trépignement qui la prit soudain.

-Oooooooh tu danses ?! C’est génial alors !! Viens!!

Et sans plus de cérémonie, elle attrapa son poignet, avant de le tirer en avant. Pour une rustre, elle avait une sacrée poigne et Carlisle ne pût s’en défaire sans prendre le risque de déclencher un incident diplomatique. Aussi fût-il contraint de suivre l’insolente dans son cheminement, en maudissant à tout vent ces principes de bienséance fort mal usité en l’occasion…

La musique vulgaire était craché dans une foule endiablée, bougeant reins et bras en rythme, sans entrain cependant. Visiblement, et pour le plus grand soulagement de Carlisle, la soirée semblait battre un tempo moue, précédant la finalité d’une soirée déjà par trop longue. Cela n’empêcha pas la Princesse de l’emmener jusqu’au centre de la piste de danse, où de nombreux regards féminins se posèrent sur lui en glissant jusqu’à ses reins… Il l’espéra, sans se faire d’illusions. La vulgarité semblait l’apanage de ce maudit royaume.

-Alors, Maître à Lancer, que fait-on?!

Raide comme rarement, Carlisle se remémora l’inintérêt manifeste qu’avait eue la Princesse Ambrosia pour la valse et, dans des gestes guindés, il entreprit de réitérer l’exploit, dans l’espoir de faire taire tout l’entrain de la jeune femme. Ce qu’il finit par parvenir, après de multiples faux-pas écrasant ses pieds avec la délicatesse d’une jument. Ave un soupir, elle conclut que cela n’était ‘pas drôle’ et elle se désintéressa totalement de lui. Trop soulagé pour en être vexé, Carlisle soupira à son tour, passant une main dans ses cheveux quand soudain, une main revint agripper son bras. Un instant, il craignit que l’énergie de la bécasse ne lui soit revenu mais l’agression de rose qui déchira ses pupilles l’en détrompa très vite.

-Chante, exigea sobrement la nouvelle princesse, plantant un micro entre ses mains, avant de le pousser vers une estrade sur-élevé, à la vue de tous. Et maintenant, annonça-t-elle avec vigueur, il va nous chanter Womanizer de Britney Spears !

Aussitôt, Carlisle pâlit, et la foule endormie sembla revenir d’entre les morts. Dans des acclamations joyeuses, accompagnée d’applaudissements, elle se pressa devant la scène, et Carlisle se sentit aussitôt déshabillé par une vingtaine de regard différent. C’était affreusement gênant, et il eue un frisson malgré lui, serrant ses doigts contre le micro à s’en rompre les phalanges. Pourtant, l’idée même de chanter une… Telle chose le révolta suffisement pour ne pas perdre totalement ses moyens.

Après tout, il était Carlisle Evil.

-N'y aurait-il pas une chanson plus...Récente?, demanda-t-il d’une voix charmeuse, un sourire aux coins des lèvres. Britney Spears c'est si... 2006? tenta-t-il, avec une moue.

La princesse rose l’observa avec une expression de surprise, avant d’ouvrir grand -très grand- la bouche, son visage prenant un air horrifié. L’espace d’une demi-seconde,  Carlisle cru qu’il était aller trop loin, qu’il avait outre-passé ses droits de ‘Muselés’. Lui même aurait-il toléré qu’un domestique ne le corrige ?… Probablement pas. Mais après un léger silence, durant lequel la foule s’était approchée de la scène, la Princesse Tamara finit par lâché un son strident.

-COMMENT T'AS TROP RAISON EN FAIT !!! Tu veux chanter quoi beau gosse ?

Ayant raisonnablement perdu 30 % d’audition à chaque oreille, Carlisle ne put s’empêcher de grimacer. Chose qui fut parfaitement dissimuler par la soudaine pose lascive que prit la jeune femme, s’appuyant contre son torse, jambe pliée en arrière.

-Pourquoi ne pas laisser le hasard choisir? murmura-t-il d’une voix caverneuse, que les hauts-parleurs eurent tôt fait de faire résonner dans toute la pièce.

Aussitôt, de nombreux petits gémissements d’aise et de petits couinements se firent entendre, glaçant Carlisle jusqu’à la moelle, et la Princesse Tamara se mit à trépigner de bonheur, ce que Carlisle décida de prendre pour un oui. S’écartant d’elle, il pu cependant la voir très nettement s’éventer avec sa main, en s’adressant à une comparse dans la foule, achevant de le mettre dans une gêne déplacé. Il était habitué à être un objet de convoitise. Mais pas un morceau de viande grotesquement agréable au regard. Raide, il traversa donc la petite scène vers un appareil où un énorme bouton nommé ‘HASARD’ était gravé. De lassitude, Carlisle leva les yeux au ciel. Tout cet univers était d’un ridicule consommé. Mais il n’était pas au bout de ses peines…

Dès qu’il eue effleuré le bouton, une musique se mit en route, que Carlisle reconnut dès la deuxième note. Ses doigts se crispèrent d’avantage encore, et l’espace d’un instant, il songea à traverser la scène et s’enfuir, loin de cette mascarade, mais dès qu’il l’eut penser, Carlisle se rebiffa. Il était Carlisle Evil, fils de la dynastie Evile, nettoyeur de rang mondial, millionnaire et ancien mercenaire dans un univers réfuté mais empli d’Ogre et de mécréant.

Il n’allait pas fuir devant une chanson, même réalisée par Antropy.

-It’s late in the evening
Glass on the side now
I’ve been sat with you
For most of the night
Ignoring everybody here
We wish they would disappear
So maybe we could get down now
I don’t wanna know
If you’re getting ahead of the program
I want you to be mine, lady
To hold your body close
Take another step into the no-man’s land
For the longest time lady...


Dès qu’il commença à chanter, sa gorge se prit d’épines, et sa voix lui sembla une flamme passant à travers elle. Chaque syllabe écorchait sa bouche, rendu intolérable par le tatouage infligé à sa peau. Pourtant, à cet instant, Carlisle n’eut su dire si la plus grande douleur qu’il ressentait était celle de sa gorge, de son coeur, ou de sa pudeur, face à la frénésie qui prit les jeunes femmes devant lui.

Saint Georges lui même n’aurait su endiguer tel flot d’indécence.

-I need you darling
Come on set the tone
If you feel you’re falling
Won’t you let me know, oh
Oh ooh...
If you love me come on get involved


Ce qui lui valut un nombre de ‘tout de suite beau gosse’ des plus abérant…

-Feel it rushing through you from your head to toe, oh
Oh ooh
Sing!

Brusquement, l’énergie perdue revint à la charge, et toute la foule reprit en coeur les paroles, provoquant ça et là des événements… Spontanés.

-Louder !Sing !

Quelques deux minutes plus tard, Carlisle fut enfin libéré de son épreuve, descendant de scène tout en se massant la gorge avec humeur. Le gros de la foule s’en était allé dès son chat terminé, et ne demeurait ça et là que quelques ivrognes et autres princesses endormies, sans que Carlisle ne parvienne à localisé le moindre des ‘compagnons’ de son aventure maladroite. Prudemment, Carlisle résolu de les chercher, sentant encore dans sa nuque un nombre important de regard… Explicite. L’alcool aidant, il se rappela qu’il ne connaissait guère les mœurs en matière ‘de prêt et échange de jouet’ et préféra grandement demeurer dans l’ignorance cette fois.

Poussant la lourde porte, il passa dans le couloir, s’apprêtant à chercher quand soudain, une musique, incongrue en un tel endroit, mais douce à ses oreilles, attira son attention. Se dirigeant à sa droite, il eue l’infini bonheur de retomber face aux grandes portes métalliques de l’ascenseur, d’où s’échappait des notes de Chopin. Notes des plus caractéristiques… Et de fort mauvaises augures.

- Aimez-vous cette musique ?

Malgré lui, Carlisle se crispa. Ainsi, on ne lui épargnerait rien. Pas même un ascenseur parlant.

-Chopin est un maître du Classique, répondit-il, sèchement, agacé de devoir avoir affaire àun objet doté d’une conscience. Evidemment.

-Vous avez du goût. Voulez-vous aussi descendre ? L'ascenseur n'est à présent plus bloqué.

-Descendre? releva-t-il, agacé. Où cela?

-Au sous-sol en écoutant Chopin.

-Qui était dans l'ascenseur? demanda-t-il prudemment.

- Princesses Allegro, Opal, Anastasia, Jasmine, Funbutter et le prince Poutine.

-Alors je souhaite les rejoindre.

Dans un son caractéristique, les portes de métal s’ouvrirent, et dès que Carlisle s’y engouffra, la Marche Funèbres reprit depuis son commencement.

- Souhaitez-vous aussi écouter tout le morceau avant d'arriver à destination ?

-Non. Cela ira. En revanche, du Debussy est-il possible, le temps de la descente?

Le morceau ‘Rêveries’ s’enclencha, et l’espace de quelques étages, Carlisle parvint presque à se détendre, se laissant aller aux douces notes du Maître. Trop rapidement cependant, les portes se rouvrirent, et Carlisle retrouva avec délice les couloirs de cette fichue damnée émission de télévision. D’instinct, il prit la direction du plateau, déduisant que la compagnie l’ayant précédant n’avait pas choisi cet étage dans un autre but que de s’y rendre.

A peine eut-il passé l’immense porte rouge qu’il les rattrapa enfin. Du moins, reconnut-il la lonue chevelure de la princesse… Opal ? Etait-ce bien cela ?

-Anastasia ! se mit-elle aussitôt à piailler, en apercevant Carlisle. Y a ton jouet qui vient d'arriver ! Tu veux le torturer lui aussi ?

A peine eut-il le temps de se composer un visage neutre face à une telle proposition, qu’Anastasia revint sur ses pas.

-Euh... non, ça ira.

Elle même eut l’air, sinon choquée, troublée d’une telle demande. Dans un regard lourd de sens, Carlisle l’interrogea. Que signifiait donc ce ‘lui aussi’ ?

-Carlisle ! s’exclama-t-elle, en s’avançant vers lui dans un sourire candide. Je savais bien que vous aviez eu ma colombe disant de venir au sous-sol ! Vous n'auriez manqué cette séance pour rien au monde. Les filles ont un planvraiment digne de confiance.

Dès qu’elle eue dépassé Opal, la jeune brune lui fit de gros yeux, comme pour rendre plus explicite son message. Carlisle, avec un sourire, se courba aussitôt pour apposer un baisemain à sa ‘maîtresse’.

-Je n'aurais dérogé à vos ordres pour rien au monde, Princesse.

-Bon on y va ? soupira bruyamment Opal, avec une moue typique. On a des adultér... reux? à torturer pour venger Ambrosia !

A ce mot, Carlisle se figea, ses yeux se tournant vers Opal, qui sortit cependant de la pièce. Malgré lui, Carlisle serra les mâchoires, une moue hideuse prenant possession de ses traits un instant. Anastasia eue pour lui un regard doux, mais plein d’interrogations auxquelles Carlisle ne consentit à donner ni explication, ni justification. D’un geste raide, il lui offrit son bras, avant de s’avancer vers  la scène, un relent de douleur au creux du coeur.
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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-10-11, 04:51

Je ferais n'importe quoi pour toi , Princess!
Je me ferais tatouer ton prénom, pour me souvenir que je suis le pire des petits amis .85 % de vie


Ou est ma place ? Certainement pas à cette fête trop bruyante ou l'alcool coulait à flot. Là ou ma princesse était sans doute en train se laisser aller, en profitant de sa liberté. Qu'elle n'avait eu dans son ancienne vie de Princesse.Cette liberté que je ne voudrais jamais lui enlever. J' avais simplement envie qu'elle s'envole avec moi  voir le monde.  Quelle soit complice de mes aventures.  Elle était sans doute en train de saouler avec ses petites copines les princesses, car je l'avais remarquée elle était un peu pompette, car j'étais arrivé au moment ou elle était en train de boire son cocktail. Comme quand je suis arrivé dans la demeure, elle avait encore un verre la main.  Était-elle si perturbée par ma présence ? Elle avait décidée de boire ses émotions, au lieu de manger de la crème glacée.   Est-ce que j'avais eu le gout de boire avec elle ? Non, car la boisson était pour moi plus un échappatoire a mes soucis que pour m'amuser. Finir bourré, ça aurait pu très mal se terminer comme la dernière fois, ou je m'étais retrouvé mourant sur une plage. 

 Ce que j'aurais aimer de cette soirée, c'était être l'homme qui la ramènerait  à la maison et qui resterait à coucher pour prendre soin d'elle. Celui qui relève sa crinière noire au dessus de la toilette, quand elle vomirait. Je lui donnerais même la permission de gerber sur moi, si ça pouvait lui faire plaisir.  Je voulais être celui qui la prendrait dans ses bras, quand elle ne sera plus marcher.  Celui qui allait la border dans son lit et qui la regarderait dormir toute la nuit.   J'avais envie d'être à ses côtés. Veiller sur elle.

Tout ce que je regretterais de cette fête, c'est que je voudrais tant voulu c'est qu'elle m'accorde une valse.  Une occasion de lui que je ferais tout pour me faire pardonner et avoir cette seconde chance. Que je serais prêt même à me mettre ses pieds, la suppliant.  Parce que cet erreur me coûtait cher, elle m'empêchait de m'épanouir.   Au lieu de cela, je me retrouvais dans une pièce de tatouage, pour me graver son prénom à tout jamais.. Pour me souvenir que j'avais été le pire des '' petits amis ''.

Dans un nuage rose bonbon j'apparaissais dans une pièce aux murs rouges, comme la pomme que je venais d'offrir à Jasmine.  Le majordome ne s'était pas s'attardée sans doute trop occuper à faire les petits caprices des Princesses. Il avait de la chance, moi j'aurais fait n'importe quoi  pour être le larbin de ma Princesse, si ça me permettait d'avoir son pardon. J'observais la pièce quand mon regard chocolaté se posait sur une table de billard. Vous allez me dire que c'est bien ordinaire non ?  Que j'aurais pu me jouer une partie avec moi-même, vu que je suis un solitaire, et que c'était toujours mieux que de se faire rejeté par la princesse. Sur cette table, au lieu d'avoir des boules chiffrées. Il avait des accessoires un peu étranges.  Je fronçais les sourcils, ou est-ce que la Princesse m'avait envoyé  ? Je prenais entre les mains une paire de menotte, les observant. Déçus, il n'avait pas de petites fourrures autour. Il avait d'autres objets un peu louche, comme des chaines , un fouet et tout ce que vous pouvez imaginer.  Intrigué par la situation je me demandais  pourquoi  elle m'envoyait  dans une pièce comme celle-ci . Elle voulait me torturer pour l'avoir abandonné le jour de notre mariage ?  Elle voulait  jouer a des petits jeux coquins avec moi ? Peu importe !  Je suis partant pour les deux.  Ce que j' espérais c'est quelle  surgit  devant moi  en petite tenue sexy ou déguiser en Catwoman dans une tenue moulante de cuir . C'est beau rêver , surtout quand tu as une imagination aussi fertile que la mienne!  Je déposais ce qui m'appartenait pas sur la table. Toute façon je préférais me faire ligoter par de jolis voiles, qui me rappellerait sa tenue de Princesse.  Par contre la princesse commençait à être longue. Elle se faisait attendre ! 

Alors que je m'apprêtais sortir de la pièce, parce que Catwoman n'était pas arrivée. Je fonçais dans un homme brusquement. Un homme plus imposant que moi.   Avec une allure un peu étrange, une allure un peu gothique : un teint porcelaine, une longue barbiche une moustache. Mais j'approuvais sa chevelure brune qui me rappelait la mienne.  Il avait une particularité, il avait des petites cornes sur la tête. Je haussais un sourcil. Il était prêt à l'avance pour l'Halloween lui.  Il me rappelait un peu mon tatoueur,  J'ai un tatoueur moi ? Oui je possède un tatoo, par contre seulement la Princesse pourra savoir la cachette.  Là je ne parle pas de ma petite note de musique le long de mon cou.  Par contre, je m'attendais a voir Thala en catwoman moi ! Pas une chèvre gothique . 

Il me regardait en tripotant le fouet en main. Est-ce qu'il m'intimait avec son fouet, pas du tout parce que je me suis déjà fait fouetter.  C'est pas ce que vous croyez.  Dans ma vie passée, j'avais sauvé deux jeunes enfants qui allaient se faire frapper à coup de fouet par un Prince qui venait demander en mariage ma princesse.  Je m'étais interposé pour prendre le coup.  Il me demandait : C'est pour quoi ?  

Il veut rire de moi ? J'ai pas demandé à être ici, sauf si la princesse finissait par venir me rejoindre pour sa petite séance de torture.  Est-ce que ce monsieur pourrait me laisser passer, parce que je dois aller dire quelques mots à cette Princesse en tête à tête. Parce que je lui avais chanter mes ressentis , mais une bonne discussion s'imposait. Je devais avoir une réponse et lui dire..  Je répondais donc à l'inconnu :  -  Je dois reconquérir le cœur d'une princesse, elle a demandée au majordome de m'envoyer à ma place.. Donc ma place n'est pas ici c'est un erreur.

   La chèvre tatoueuse , arqua un sourcil.  Je soupirais exaspéré, parce que tout ce que je voulais c'était de la  compréhension et de la de compassion. La seule personne qui en avait , c'était ma nouvelle amie : Kida .  La seule qui pourrait m'aider à mon souci en essayant de convaincre Jasmine que  JE NE SUIS PAS L'HOMME QU'ELLE CROIT QUE JE SUIS .  Lui faire comprendre qu'il faut plus qu'un jour pour oublier l'amour.  Puis il me disait :  Michael Caine  ne se  trompe jamais. Et puis tu as un joli tatouage.   Il pointait de son gros doigt ma petite note de musique.  Je sais exactement quoi faire de toi.  Surpris et à la fois intrigué, il allait faire quoi au juste.  Un joli tatouage?  C'était pas vraiment mon style. Moi je suis le genre de type à faire tatouer le prénom de son ex. Pas un symbole de musique!  
Soudainement, et je m'attendais vraiment pas à ça.  Il  me prenait  par les épaules et me disait : Si tu ne te laisses pas faire ça fera encore plus mal.  Mon corps se raidit sous la surprise.  Il  avait une expression qui n'allait pas du tout son geste.  Son regard était doux , il n'avait pas aucune méchanceté dans celui-ci . Mais alors pourquoi il me disait qu'il fallait que je me laisse faire. La dernière fois que je m'étais laissé faire. Ma colocataire avait essayée me  tuer a plusieurs reprises. 

Être un gentil garçon c'était dangereux !  Qu'est-ce que je devais faire pour qu'on cesse de me faire mal ?  Être un voyou, Être le Prince prétentieux qui se la créait comme ses petites princesses de ce royaume  ou devenir celui qu'une sorcière voulait que je sois : Celui qui se fait ronger par les ténèbres à cause de l'amour, en devenant Badass.  Je lui demandais  parce que je n'étais toujours pas rassuré par son regard de bébé chèvre : Qu'est-ce que vous allez me faire ? Est-ce que c'est Princesse Jasmine qui vous a ordonner de me punir ?  

Le tatoueur me soulevaient pour m'allonger sur la table de billard.  Il avait de la force le monsieur pour prendre un homme qui mesurait  : 1, 80 mètres et pesait 147, 71 livres. (75-76kg) Je me tortillais dans tous les sens sur la table, comme un poisson sorti de l'eau.  le type m 'enfonçait ses ongles dans ma peau de mon épaule  s'en faire  exprès . Je poussais un gémissement de douleur.  Heureusement, il avait eu le tissus entre ses ongles et ma peau pour me protéger de griffures, d'un inconnu, qui se permettait de mettre ses mains sur moi. 

 Mais il m'attachait les poignets, mais aussi les mains. Il me privait du plus bel atout de mon corps, mes mains. À cause de cela, je ne pouvais pas pouvoir me libérer. Pourquoi c'est toujours moi qu'il finit ligoter ?  Je sais que vous aimez ma présence, mais il suffisait de demander de rester, ou simplement à m' apprivoiser avec une gâterie qui s'appelle princesse.  J'aurais fait le beau ! Je m'aurais même assis sagement , en attendant mon bonbon. 

Il me mettait un oreiller sous la tête. Au moins, il m'étouffait pas avec ! Donc son intention n'était pas que je meurs toute suite.  Puis il me demandait : Ca va ? C'est tout confort ? On peut commencer ? J'ai pas reçu de brief donc je pensais y aller au feeling.  Je lui disais : Vous voulez mon opinion ? Je préférais le confort de mon lit là ou je suis libre de mes mouvements, et ou je peux avoir de la compagnie.   Mais ceci était un mensonge, car il était toujours seul sous la couette, attendant la bonne. Mais c'était quand même le seul feeling que je voulais ressentir, celui de partager ma vie, mes draps avec une princesse.  Par contre si je dois être torturer j'ai le droit de faire un dernier vœu ? Je veux que Princesse Jasmine soit présente et me dise '' Oui je te veux''.  Parce que je vous laisse me torturer ou même me tuer pour elle.   Il me regardait bizarrement comme si j'étais fou, mais au moins lui ne pensait que j'avais la peste, parce qu'il me touchait sans mouchoir.  Il me disait sans doute pour me rassurer : Ah mais je vais pas te tuer ! C'est pas dans mon contrat. Le Krampus tue pas les gens. Quelle idée !  Contrat . Donc il obéissait bien aux ordres des princesses. Donc m'envoyer dans cette salle de torture et me faire allonger ligoter sur une table c'était l'idée de la princesse turquoise.  Je lui demandais :  -  Un Krampus c'est quoi un petit surnom intime que vous donne la Princesse Jasmine ?  Votre contrat c'est quoi ? Torturer les petits amis idiots des Princesses ?  Il me  répondait par la suite à sa réplique , parce que avant de me faire torturer , j'avais le droit a une explication.  - Krampus c'est mon prénom, je t'interdis de juger. J'arrache des organes mais je tue pas, j'aime pas ça. Je ne connais pas princesse Jasmine. Et de toute façon...


Je n'étais pas du genre à juger un prénom, car je connaissais l'importance d'avoir un prénom.  Parce que j'aurais pu naître sans prénom, parce que mes parents m'ont abandonné à mon triste sort . Me laissant qu'une dague et un prénom en héritage.  ll arrachait des organes. Quelqu'un qui aurait entendu cela. Serait pris de panique, mais pas moi. 
Pourquoi ? Parce que si il pouvait enlever le coeur de ma poitrine. J'aurais sans doute moins le mal d'elles.  Je pourrais m'empêcher de tomber amoureux.  Je pourrais ne plus ressentir cette peine qui était lourde sur la conscience.   Il pourrait offrir mon coeur à mon premier amour pour qu'elle puisse l'écraser et me laisser m'endormir à tout jamais.. Vivre une dernière le rêve bleu. Mourir de la main de l'amour était la plus belle mort que je pouvais avoir , car aimer quelqu'un c'est lui donner le pouvoir de te détruire. 

 Une sonnette retentit. C'était sans doute surement un petit ami idiot qui avait souffert une princesse.  Je regardais le plafond, me perdait dans mes pensées.  Je fermais doucement les yeux, car je me sentais épuisé par cette journée épuisante a essayer de conquérir le coeur de la Princesse.  Après tout il était très tard et j'allais sans doute passer la nuit là..Mais je regrettais encore cette nuit comme toutes les autres. Parce que j'aurais voulu m'endormir auprès d'elle. La serrer dans mes bras. Me laisser bercer par notre rêve bleu.  Au lieu de cela, je rêvais qu'elle était à moi, tandis que la réalité, elle n'était qu'un rêve.  

Puis Krampys me disait sans doute pour me rassurer de cette solitude  -Je suis demandé ailleurs. Je te laisse te reposer et on reprendra plus tard. Il me resserrait les liens, pour m'empêcher de m'échapper, si l'idée me passait par la tête.  Puis il allait chercher une petite poupée sans tête, pour la mettre a mes côtés. Malheureusement je n'avais pas de couverture, pour ma petite sieste. Parce qu'après tout j'avais héritier du surnom de prétendant endormant.  Une poupée sans tête ?  Certains auraient flipper, mais pas moi je trouvais ça vraiment adorable, qu'il me donne une poupée vêtue d'une petite robe scintillante de princesses.  En plus, elle n'avait pas de tête. Comme mon âme soeur qu'il n'avait pas de visage.  Je ne savais même pas de quelle couleur serait mon rêve.  J'étais heureux d'avoir cette petite poupée. Est-ce que je vais pouvoir la ramener à la maison ? Pour la mettre dans ma collection d'objets un peu spéciaux. Je l'espérais ! Je pourrais la rajouter a côté de copain, mon petit singe en peluche qui m'attendait sagement à la maison. J'aimais les ''toutous''.  Si un jour, j'ai enfin une petite amie. Elle aurait le droit que je la comble en cadeau avec quelques petits cadeaux de ce genre. Et une peluche ça dure plus longtemps qu'une fleur ou une pomme.  Je finis par m'assoupir avec Jasmilena, c'était le prénom que j'avais choisis pour ma princesse sans tête.  

Quelques heures plus tard, alors que j'étais en train de rêver..Rêver à quoi ? Sans doute à des nombreuses aventures à Agrabah en train de sauver des princesses.  Je l'entendais pas Krampus qui était de retour dans ma chambre a couché temporaire.  Tout ce qu'on entendait dans la pièce était mon ronflement.  Chaque homme à ses petits défauts.  Il se mettait à taper forts dans ses mains.  Je murmurais dans mon sommeil :   T'affole pas Jasmine je me leve bientôt, pour changer la litière de Rajah.  Je rajoutais : Reviens te coucher, notre bébé fait encore dodo donc cesse ton bruit.  Krampus continuait de taper des mains. J'ouvris soudainement les yeux, pour devenir à la réalité.  Je prenais quelques secondes, pendant qu'il me posait une question sur ma vie personnelle : T'es prêt ? Au fait, c'est quoi ton petit nom ?  

Prêt à quoi ? Je ne savais pas toujours pas, mais oui j'étais prêt à m'engager et a devenir le meilleur petit ami du monde.  J'étais prêt même à me faire arrancher le coeur pour cette princesse.  Pourquoi il voulait savoir mon prénom ?  C'était étrange de demander le prénom d'une personne qu'on va faire souffrir.  Mais je ne voyais pas d'inconvénients à lui dire mon petit nom de cette manière il pourrait dire à Jasmine qu'Aladdin à souffert rien que pour elle. 
Appel moi Ali et ne juge pas mon prénom . Malgré la situation je lui faisais un clin d'oeil.   Sinon tu vas finir par me dire que je dois prêt à quoi ? Parce que maintenant qu'on a fait connaissance, tu vas pouvoir me détacher si te plait.  Krampus ricanait quelques instants, puis il me disait : - T'es vraiment un drôle de bonhomme toi ! 

 Je lui répondis à mon tour: -  Si seulement Jasmine était ton avis, pourrait me trouver drôle, au lieu de me bouder. Ta une petite amie toi ?  Une bonne conversation avec son tatoueur ça faisait du bien. Et peut-être discuter ça allait me faire du bien et moins me faire penser à la souffrance. Parce que finalement Krampus était gentil il venait de me faire un joli compliment. - Par   contre c'est pas que je t' aime pas Krampus,  J'adore ta  compagnie. J'aimerais bien que tu me tatoue le nom de ma princesse sur l'emplacement de mon coeur  mais je dois aller me  faire pardonner a tout prix auprès d'elle, tu pourrais m'aider si tu veux 

La sonnette retentit de nouveau. C'était qui encore ? Encore une princesse qui venait se plaindre a propos de son prince charmant ou d'un muselé d'obéissant.  Je commençais a impatienter moi. J'ai passé toute la nuit ligoté a rêver de ma Princesse.Tout ça pour souffrir pour me faire tatouer, le prénom de cette demoiselle.  Krampus n'avait pas eu le temps de répondre à ma demande de libération, car il allait ouvrir de nouveau à porte. C'était le majordome : Michael Caine. Il apportait d'autres petits muselés qui avaient le gout de se faire dédicacer le prénom de leur grand amour.  Je m'étirais le cou, pour apercevoir nos visiteurs. C'étaient mes meilleurs amis : Hazel la croqueuse de princesses et Hobo le ti-gars dévoué à la rouquine. 

 Tous les deux étaient menottés avec des chaines. On devrait s'ouvrir un fanclub pour Muselés qui veulent se faire tatouer et qui sont enchaînés. Krampus les observaient.  Moi j'étais tout heureux de les voir, surtout Hazel . C'est sur j'aurais aimer que ça soit Jasmine qui vienne se faire tatouer mon prénom : Aladdin dans un beau petit coeur. Mais je vais contenter de la rouquine, parce qu'elle était un peu comme ma princesse. Elle était orgueilleuse, farouche et elle aimait me montrer ses dents et en plus elle avait une envie folle de me mordre. Le portrait crachée de ma Princesse.  Je haussais la voix pour qu'elle m'entend : Coucou ma croqueuse de Princesses je t 'ai manqué ?  Hazel m'ignorait. Vous voyez encore un point en commun avec Thalia. Elle me fait du snobisme.  La rouquine se focalisait sur Krampus.  

Je disais Krampus :   Vous pouvez les laisser entrer c'est des amis à moi ! À cet instant , Hazel demandait à mon nouvel ami :  Vous êtes le Krampus ? Celui ci opinait . Puis Hazel rajoutait :  Celui qui a arraché un ventricule au Roi d'Argent ? Le Krampus ?Pour répondre à la question de la rouquine qui semblait trop fasciné par l'homme barbu et cornu . Krampus disait : Ouais... c'est moi.

Hazel  se tournait  vers  Hobo et tous les deux   commençaient  à trépigner comme des fous. Ils semblaient  super heureux  d'être là. Leurs comportements me faisaient rire. On aurait dit deux enfants le jour de Noel. Puis Hazel s'exclamait avec un sourire. Quoi elle savait sourire ? Incroyable je viens d'assister à un miracle !  

On dirait une fan en convention  parce qu'elle lui demandait :- Tu veux bien signer mes menottes ? Elle tendait ses poignets à Krampus. Le chanceux, moi aussi je veux signer des autographes, Je suis le Prince Ali.  Krampus va devoir me dévoiler  ses secrets de comment il faisait pour qu'une demoiselle  dans le genre d'Hazel et Jasmine soit en admiration et se faire aimer. Krampus  sortait  un feutre  de sa veste et dédicaçait les menottes d'Hazel.  Sur son visage on voyait qu'elle était émerveillée. 

Pendant ce temps, Hobo me remarquait. J'étais toujours allongé sur la table, ligoté avec ma petite Jamilena à mes côtés. Il  n'avait  pas trop l air de savoir comment agir vis à vis la situation. Pour briser la glace envers Hobo qui s'approchait de moi. -  T'es venu te faire torturer un peu.. Ta finalement décidé  de te tatouer le prénom Hazel . Sinon,   Vous savez ce qui se passe ? Moi je suis un perdu !   Hobo commençait a parler fort et tout excité : IL SE PASSE QU ON VIENT DE RENCONTRER LE KRAMPUS !!!! T'as tellement de chance d'être avec lui depuis... t'es là depuis quand ? 


J'éclatais de rire. Parce que malgré le fait que j'avais hâte d'être libre de mes gestes et tout le reste. Je trouvais la situation amusante. Krampus était célèbre ! Puis je répondis à mon ami : - Je ne sais pas , je me suis endormi avant de demander l'heure.  Et je suis là depuis un petit moment à cause de Princesse Jasmine, qui désire que je sois marquée à vie de son prénom. Mais c'est plutôt cool, comme ça je suis sa propriété.  Hobo m'avait dit quelque chose qui avait attiré toute mon attention. J'avais de la chance d'être avec la chèvre gothique. C'était quoi une créature comme les farfadets ? Ça apportait de la chance.  Mes yeux étaient devenus tout scintillants à cette pensée.  Je pourrais peut-être lui demander de m'offrir son pouvoir de chance, ou l'apporter à Storybrooke comme porte bonheur. Grâce à sa chance, je vais pouvoir me faire pardonner , rompre la malédiction qui pèse sur moi et trouver l'amour. Et qui sait avoir une seconde chance avec Jasmine..

Pour avoir plus de précision , je demandais à Hobo. - Krampus apporte la chance ? Puis il me répondait : Krampus apporte tellement plus ! J'ai hâte de voir ce qu'il va nous faire ! Étonné, mais satisfait de sa réponse. Krampus était donc une créature magique qui pourrait m'apporter ce que je voulais. Il pourrait donc m'offrir mon rêve bleu à trois.  Une Princesse, mini-Princesse et moi.  Nous pourrions vivre heureux à tout jamais dans un palace.  Une maison luxueuse payé par le beau papa.   Krampus était donc une sorte de génie sans limite! Qu'est-ce qu'il allait faire ?  La réponse était simple, il allait nous tatouer les prénoms de nos âmes soeurs.  J'espère que tu es prêt Hobo d'avoir le prénom de Hazel sur ta peau..Mais il me fallait encore une précision.  Je posais donc une dernière question à mon camarade : : Il va nous faire quoi , nous tatouer? Si c'est le cas, je veux le prénom de Jasmine sur ma peau à Jamais.  Krampus s'exclamait : On commence quand vous voulez.  Hobo répondit en même temps à ma question : Krampus fait beaucoup de choses mais il  tatoue .. Pas .. Je n'avais pas eu le temps d'entendre le dernier mot d'Hobo parce que..

Soudainement la porte s'ouvrait.  Qui osait me déranger pendant je discutais et que je méditais sur quelle écriture et texture que  je désirais de mon futur tatouage. Est-ce que je voulais un tatouage noir et blanc ou en couleur ?  Je soupirais. C'était quoi leur problème a embarquer de cette manière , en plus sans cogner. 

 Je m'étirais le cou pour essayer de voir si Jasmine était présente.. Mais il avait beaucoup trop de monde en avant de la porte.  Sérieusement, ça vous tentait pas de mettre Jasmine en premier plan pour me faire plaisir. J'ai passée toute la nuit à l'attendre moi.. C'était surtout pour voir, si elle allait bien ou si elle avait encore un verre à la main. Parce que j'ai vraiment envie de terminer les heures qui restent de la nuit a veiller sur une princesse pompette.  Je me porte même volontaire, si elle a envie de me vomir dessus.. Et aussi parce que je n'ai  pas inviter tout ce beau monde à mon party tatouage. C'était sans doute encore un sale coup du Majordome pour m'empêcher d'avoir mon rencart bleu en tête à tête.  Donc retourner à votre fête !  Et toute façon la pièce était trop petite pour acceuillir tout ce beau monde ! 

Mais non la fête ou je n'étais  même pas été invité était terminée ? C'était pas mon problème !  Une chance que j'étais respectueux et poli , parce que je leur aurais de sortir  de ma chambre à coucher. Trouvez vous une autre chambre !  Les seules qui pouvaient  rester c'était Jasmine , Kida si elle avait de tenir la chandelle . Toutes les deux avaient une passe vip pour la chambre de tatouages ! Un petit tatoo ça vous tente les filles ?  En plus comme bonus Krampus le confort et des jouets.   

Il avait aussi :  Hazel et Hobo qui pouvaient rester parce qu'ils doivent se faire tatouer leur amour.  Et parce que c'est des fans de Krampus !  Et bien sûr Krampus le tatoueur avait sa place. Maintenant partez ou j'appel le Majordome..


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________________________________________ 2017-10-12, 00:21

Coucher avec Petit Ami. Cette suposition me laissait rouge de mal aise ! C'était ...Non en fait je voulais pas m'imaginer, parce que j'avais rien fais avec lui ! Même si ...Non mais oh mais c'est pas vrai ! J'aurais pas été contre le fait de me dissimuler juste quelque instant. Je déviais mon regard sur le prince Ali qui était attaché à la table. Je savais pas vraiment ce qu'ils allaient lui faire, mais ca me disait pas quelque chose de très sympathique là tout de suite et maintenant. En tout cas, je trouve qu'il y avait beaucoup de monde pour nous torturer. Je bénissais intérieurement Anastasia et les autres d'essayer de trouver un moyen de nous sauver la vie. De toute façon j'avais pas peur d'eux ! J'étais pas une pétocharde ! J'allais leurs montrer de quoi je me chauffais, mais un nuage rose nous enveloppa. Ma vision ce coupa de la salle de torture, pour n'y voir qu'un brouillard rosâtre.

Le brouillard ce dissipa pour nous matérialiser dans le hall. Une voix chantonnante pris fin, et mes yeux ce posèrent sur Ambrosia. Enfin la partie commençait ! Un bruit me fit détourner la tête. La table avec Aladdin était apparu derrière moi. J'haussais un sourcil en me disant qu'il fallait quand même détacher ce pauvre garçon non ? Ca devait pas être très confortable quand même. Sauf si il avait l'habitude...Mais mes yeux ce reposèrent automatiquement sur Ambrosia. Je voulais plus que tout gagner cette partie, et faire du peuple muselé un peuple libre. Ma haine était intacte. Je ressentais juste un profond dégout et une envie combattive animer ma colère. Elle n'était pas contente.

«  Quelqu'un peut me dire ce qui se passe ? Pourquoi mes meilleures copines ont soudain disparu ? Il est même pas encore 8 heures du matin ! » Grogna t-elle.

« On est désolés Ambrosia mais elle a couché avec Petit Ami ! » S'ecria Opal en me pointant du doigt. MAIS LAISSE MOI TRANQUILLE CREDIGIOU. J''ai rien fais ! Si j'avais fais des choses, je le saurais hein ? Ou alors on peut faire des choses dans son sommeil sans s'en rendre compte ? Oh mon dieu. Oh mon dieu. J'espère que lui aussi n'avait pas fais des choses dans son sommeil sans s'en rendre compte! C'était donc comme ca que naissait les bébés pas voulue ? Il était temps de mettre un terme à ce manège. Il avait assez duré ! J'étais pas une fleur de trottoire ! Je m'avançais vers Ambrosia, la dominant d'un regard emprunt de méprise et levant la tête avec dignité et honneur. Je m'arrêtais à quelque centimètre de son visage pour continuer ce regard plein de défis.

▬ « Je suis Malfalia, fille de la matronne Noir. Et je peu chanter. » Assurais-je, les mots tombant comme des rocs. Une légère menace imprégnait l'air. Je fixais Ambrosia, ne quittant pas son regard animé d'un brasier ardent. « Et je n'ai couchée avec personne. Nous avons fait que dormir car vos fêtes déprimante l'épuisent ! » Ajoutais-je en montrant Petit Ami du doigt. Si je pouvais être délégué des syndicats Muselés, je pense que je saurais parfaitement remplir ce rôle. Ambrosia fusilla Petit Ami du regard. Ah, comme c'était facile de s'en prendre à plus faible que soi.

« C'est un peu vrai quand même. »
répondit celui-ci.
« JE SAVAIS BIEN QUE POUR UNE FOIS ON AVAIT PAS TROP BU » S'ecria Opal et Allegro. Je me tournais vers elle, surprise de cette synchronisation effrayante. Je suis sur que c'est des sœurs siamoises au cerveaux séparés. Ce qui explique leurs débilité et cette agaçante manie d'agir l'une avec l'autre. Ambrosia prit un air hautain, ce que je ne quittais pas des yeux. La persévérence habritait mon regard.

« Je m'occuperai de ton cas plus tard. D'abord notre petite muselée qui veut chanter, comme c'est mignon. Tu crois vraiment que tu peux quelque chose contre nous ? » Lâcha t-elle avec cynisme.Je serrais les dents, un horrible sentiment de colère deferlait dans ma poitrine et me donnait des envies de meutres.

▬ « Je le crois pas. J'en suis certaine ! » affirmais-je avec un ton sombre et plein de conviction. Elles ce mirent à rire toute les trois, ce qui m'énervait mais ...Au contraire, ne faisais que renforcer l'assurance qui émanait de moi. Hazel et Hobo était juste à coté de moi, la table avec le prince Ali n'avait pas bougé de mes arrières. Je jetais un regard sur la princesse Jasmine qui avait rejoint les rends des diablesses faces à moi. Comment avait t-elle pu ? Je me sentais comme trahis, alors que je ne la connaissais même pas. C'est juste que je pensais Jasmine plus intélligente que ca. Les autres étaient placé entre nous, et j'étais rassurer de voir qu'autant de monde me soutenait. Ce qui était nouveau.

« On va voir ce que tu peux contre trois - quatre » dit t-elle en jetant un coup d'oeil à Jasmine. « Pas trop bourrée, petite muselée. » Déclara Allegro. Si le terme petite muselé aurait du me blesser autrefois, je le portais avec fierté aujourd'hui. Oui. J'étais une muselé. Mais je pouvais chanter. Et j'allais les battres et restaurer le chant pour tout le peuple des muselés. Ce ne sont pas des filles potiches avec des statuts de noble qui allait nous dire quoi faire ! Sans leurs châteaux elles ne valaient rien ! Et nous méritions autant qu'elles de chanter. Les trois princesses ce mirent à élever la voix. Un nuage rosâtre magique s'éleva autour d'elle. Non hors de question que ca recommence ! A mon tour, j'elevais la voix, un nuage de magie m'entourant également dans le but de combattre le leur. J'envoyais toute la puissance dans ma voix, la manipulant comme une force. Mon prince Poutine ce joint à moi, et le nuage devint verdâtre.

« C'est pas cool les filles c'est vraiment...Pas coooooooooooooooooooooooooooooool » La voix de Petit Ami nous rejoint dans la mélodie, sa voix ce mêlant à la notre pour combattre le nuage voisin de princesses. Ma détermination appuyait ma voix avec rage, jusqu'à ce qu'un condensé de magie ne fasse ...sauter la muselière d'Hobo, Hazel, Prince Ali, le Krampus et Carlisle. J'étais emplis de surprise, mais je ne relâchais rien pour autant. Un sourire de fierté dévorait mes lèvres. J'allais gagner. Plus que jamais. Les princesses avaient l'air choquées. Même krampus.

« La trifecta ! C'est la trifecta ! » s'ecria t-il. Je le regardais sans comprendre. Qu'étais-ce la trifecta ?

▬ « La trifecta ? » Demandais-je, ignorante. On dirait un nom de secte de démon. Pas très jolie.

« La combinaison des harmonies d'au moins une princesse, un muselé et un prince charmant ! Nous sommes... libres. » J'étais abasourdis sous ses révélations. Une monté de joie me poussait à sourire d'excitation. J'avais réussis ! ON avait réussit ! On avait trouvé un moyen de démuselés le peuple ! Je tournais la tête plein de défis vers Ambrosia en déchirant ma robe d'un coup sec avec badassattitude. J'avais garder mes habits de Muselés. Et la provocation était délicieuse, encore plus que son air estomaquée.

« Minutes les papillons. J'ai jamais dit que vous pourriez partir comme ça. Muselés ou pas vous êtes dans mon château donc on va suivre mes règles. » Nous intercepta Ambrosia. Non. Il en était hors de question. Surtout que maintenant que la victoire était à porter de main. La douce vengeance me nourrissait d'un soupçon de plaisir. Voir les personnes ce destituers de tout cette horreur qu'elles avaient installer était ..ravivant.

▬ « Et moi je vais anéantir tes règles. » dis-je d'un ton sec, un vile sourire étirait mes lèvres de-chaque coté. Comme une sourie prise au piège entre les pattes d'un chat. Nikos ce matérialisa sousma pomme en tenue de guerre, un micro à la mains. Ah non mais les journalistes ! Aussi collant que les chaussettes d'une grand mère !

« Nous sommes en direct du château d'Ambrosia où un affrontement inédit se prépare suite à la destruction des Muselières. » Des muselières ? Ca voulait dire que tout le monde était libre ? J'eu un instant d'égarement, un sourire rêveur avait incorporer mes lèvres. Puis mes yeux ce reposait sur Ambrosia pour reprendre cette fougue qui m'habitait. Nikos était venue avec un camméraman. Il s'appelait Michael Caine apparemment. « Nous allons tout faire pour rester au plus près de l'action. » Continua Nikos. Il me tendit le micro. «  Un commentaire ? » .Ah mais il était gentil mais il me barrait la route, je n'avais pas que ca qu'a faire ! Je le repoussais sans être trop brutale

▬ « On degaaaage » M 'écriais-je, afin de me libérer le passage. Il percuta le camméraman, et finit par ce reprendre.

« Comme vous pouvez le voir mes conditions de travail sont excessivement difficiles et les forces en présence sont particulièrement ... disons qu'elles ne plaisantent pas.. » Non mais de quoi il ce permettait lui ? C'est pas de ma faute si il avait un poid de plume ! Et en plus je le maltraitais même pas !


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________________________________________ 2017-10-12, 22:39



Too much royal


Un courant agréable l'avait traversé, comme si on lui avait retiré un lien désagréable qui lui serrait la gorge jusqu'alors. Greg effleura son cou de quelques doigts, sentant la muselière disparue. Il eut un sourire, c'est exactement ce qu'il avait espéré : une force combinée pour vaincre. La guerre n'était pas terminée, mais un combat venait de s'achever, duquel les princesses en étaient sorties perdantes. Ce qui était certain désormais, c'était que nous allons connaitre le cœur de cette guerre qui semblait depuis longtemps déjà inévitable.
Les dictatrices nous faisaient face, alors qu'Ambrosia m'aperçut, pas très loin de Malfalia, ce qui la faisait tiquer.

Prince Poutine, vous êtes du mauvais côté de la salle. Son air suffisant s'accompagna de ses doigts qui claquèrent, lui ordonnant sans grand respect de venir la rejoindre, elle et ses sous-fifres autoritaires.
Greg soutint le regard de la princière, son air était déterminé, alors qu'il levait le front, pour lui faire face dignement. Il n'était ni le prince Poutine, ni au service d'une telle personne. Il fit quelques pas vers elle. En lui vibrait le poids d'un passé qui chaque jour lui criait qui il était, quel homme il était. Un hymne qu'il n'écoute pas assez souvent, se laissant partager dans ses doutes et sa crainte de ce même passé, qu'il sait lointain, car déchiré par des années de noirceur. Mais il ne laisserait pas ces doutes faire de lui un des multiples suiveurs soumis de cette despote.
Si elle n'avait pas compris le sens de ses paroles dans la chanson qu'il avait choisi pendant la battle, cette fois-ci, elle les comprendraient.
Car cette fois-ci, il chercha la mélodie jusqu'au plus profond de lui, de son être, de son âme.

Sais tu qui je suis et d'où je viens ?
d'où je viens...

Je viens d'un monde presque irréel
La neige est notre amie fidèle...


Greg tourna le regard vers Anastasia, qu'il plongea dans ses yeux, exprimant toute la volonté et l'affection qu'il lui portait, sincère, bien qu'elle avait un ressenti bien divergeant. Ce passé sur lequel il chantait, ce n'était le sien. En dépit de tout, c'était le leur, celui de leur pays.

Et elle m'appelle !
Mon Roi, notre chef, était un homme d'honneur,
Nos ancêtres étaient tous des rêveurs,
De grands et vaillants empereurs,
Ils m'appellent !


Il reporta son attention sur Ambrosia, son air fier, fort, déterminé, et sincère, la dominant du regard et de la voix.

Et comme eux j'ai choisi mon destin !
Je suis allé plus loin,
J'ai appris j'ai grandi et pourtant,
Oui je l'entends !


Il se rapprocha d'elle, en portant une main sur son cœur. Et alors, y mettant le plus fort de ses sentiments, il haussa la voix, sans fermer les yeux, ne quittant pas le regard de la princesse.

Elle est là cette petite voix qui ne chante que pour moi !
Tout comme le vent chante et enchante l'océan,
Toi qui sème la haine dans nos cœurs tu me rappelles,
Ce que je sais, je reviendrai !


Et enfin, il ôta la couronne de sa tête dans un geste ferme et décidé.

JE SUIS RASPOUTINE !

Il domina encore la situation, la regardant fièrement, alors que la mélodie de son cœur continuait à retentir en lui. Greg venait d'affirmer qui il était, qui il voulait être, mettant fin à des mois de doutes. Il avait montré à ces dictatrices superficielles ce que c'était qu'être, car elles n'étaient rien. Il leur avait montré d'où venait la réelle puissance, le réel pouvoir, que l'on possède dans la vie : celui du cœur.

Il recula, leur faisant toujours face, vers ceux qui constituaient l'armée de la Révolution, tout en prononçant les quelques derniers mots : Et vous, qu'êtes-vous ?
Il se tenait désormais près de ceux avec qui il voulait être, accomplissant ce qu'il voulait accomplir.

Ambrosia, troublée par cette scène, fut bien surprise. Sans. Déconner. Comme si elle en était furieuse, elle tourna la tête vers Anastasia. Et tu nous as rien dit ?
Manifestement, répondit simplement l’intéressée, ce qui fit sourire Grigori.

Nikos brisa le gêne qui s'installait, en tentant de s'approcher de Greg, pensant être intéressant dans un énième intervention :

Monsieur Raspoutine, dites nous tout. Ca fait quoi d'être le grand méchant que personne n'aime ? Il plaça alors ensuite son micro sous le nez de celui qu'il interrogeait.
Celui-ci leva les yeux vers le ciel, le présentateur n'ayant même pas pris la peine de réfléchir quelques secondes sur le sens de ses paroles.
Vous devez certainement le savoir, vous ne devez pas avoir beaucoup de compagnie pour ne faire rien d'autre que dire des choses que personne n'écoute et qui ennuient tout le monde, lui dit-il simplement, amer, ne souhaitant pas s'attarder davantage sur lui, alors qu'il avait répondu sans quitter Ambrosia des yeux. Il s'écarta donc de Nikos pour de nouveau faire face à la princesse.

Vous êtes les vraies méchantes du conte. Vides d'esprits, simplement animées par le stupide désir de confort et de domination. Je crois qu'à Storybrooke ils appellent ça... oh ! un "spoiler alert". Les méchants ne gagnent jamais à la fin de l'histoire, j'en sais quelque chose.
Greg : 95%




Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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| Conte : Anastasia
| Dans le monde des contes, je suis : : Anastasia Romanov

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________________________________________ 2017-10-12, 23:54 « Men are such babies »

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Anastasia n'aimait pas spécialement l'admettre (d'ailleurs, elle ne fit aucun commentaire à haute voix, gardant bien cette réflexion pour elle) mais Raspoutine s'avérait autrement plus badass, presque héroïque, qu'elle n'aurait pu l'imaginer. De zéro en héros, c'était presque ça, au détail près que le regard plein d'affection de l'ancien sorcier avait quelque chose de dérangeant.
La princesse se tenait pour ainsi dire au centre du hall, observant les équipes - ou bien fallait-il parler d'armées ? - qui se constituaient de part et d'autre de la salle. Il était l'heure de choisir son camp, ou plutôt de dévoiler son jeu. Car tout le monde ici avait déjà fait ses choix depuis longtemps, si bien que l'auteure de ce post vous épargnera un nouveau monologue sur les opinions politiques d'Anastasia.
Et, justement, la rouquine sentait le poids du regard d'Ambrosia sur ses épaules. Elle releva ses grands yeux bleus en direction de la princesse hautaine qui reprenait déjà, mielleuse :
- Tu ne vas quand même pas t'associer à ton pire ennemi, n'est-ce pas ? Ou pire... à ses saletés de Muselés !
Ambrosia lui tendait sa main diaphane et couverte de bijoux dans une attitude qui aurait pu passer pour de l'amitié si cette jeune tête couronnée n'avait pas eu le cœur aussi sec que les pages des livres qu'elle ne lisait pas (a priori).
Anya haussa les épaules puis échangea un regard avec Raspoutine.
- C'est vrai que d'habitude les princesses n'épousent pas les domestiques... Mais... je ne suis pas une princesse ordinaire et si tu as travaillé ton sujet, tu dois savoir qu'à la fin du conte j'ai délaissé la couronne pour le garçon de cuisine.

Avec un sourire mutin, Anastasia fit quelques pas avant d'entonner sa propre explication :

Life's a show and we all play our parts
And when the music starts
We open up our hearts


Tout en poursuivant l'exercice vocal, la jeune femme se tourna vers Malfalia :

It's alright if something comes out wrong
We'll sing a happy song
And you can sing along


ajouta-t-elle avec un ample geste de la main.

Where there’s life, there hope
Every days a gift,
Wishes can come true,
Whistle while you work,
So hard all day…

To be like other girls,
To fit in, in this glittering world.

Don’t give me songs,
Don’t give me songs.
Give me something to sing about.
I need something to sing about.


La rouquine aimait certes chanter mais elle ne voulait pas chanter dans le vide, pour le vent et les murs, particulièrement dans ce monde où mots et harmonies avaient un pouvoir qui les dépassait peut-être tous.

Life’s a song,
You don’t get to rehearse,
And every single verse,
Can make it that mush worse.

So give me something to sing about
Please, give me something to about.


La jeune femme se tut et rejoignit les rangs, prenant grand soin de se placer à côté de Raspoutine, plus pour le message que ce geste enverrait que par amitié.
- Je crois que c'est clair, non ? demanda-t-elle faussement innocente.
- En effet, répliqua Ambrosia d'une voix glaciale.
Elle allait répliquer (et Nikos aussi, d'ailleurs, car il était plus que fasciné par ce qui se jouait sous ses yeux) quand un bruit, pas plus fort qu'un murmure, perturba sa réflexion.
- Qu'est ce que c'est que ça encore ? demanda-t-elle sans s'adresser à personne en particulier.
Puis, sans attendre de réponse, la princesse fit taire tous ceux qui auraient pu voulu émettre une théorie. D'ailleurs, tout le monde, même ceux qui n'avaient pas prévu de lui répondre, se tut et tendit l'oreille.
On entendait effectivementquelque chose :

A la volonté du peuple dont on étouffe jamais la voix
Et dont le chant renaît toujours et dont le chant renaît déjà
Nous voulons que la lumière déchire le masque de la nuit
Pour illuminer notre terre et changer la vie.


Mais d'où pouvait-on donc venir ce chant de plus en plus en plus distinct ? Certains dont Anastasia tournaient leur tête dans tous les sens avec l'espoir d'en trouver l'origine quand soudain, dans une simultanéité, les portes d'entrée mais aussi l'ascenseur s'ouvrirent tandis qu'on voyait débouler dans l'escalier un flot impressionnant de domestique parmi lesquels Michael Caine. Quant à la porte d'entrée, elle laissait à présent entrer ce qui avait l'air d'être tout le royaume, probablement alerté par le direct de Nikos.
Et à présent que la chorale improvisée s'était rapprochée, leurs paroles se faisaient bien plus distinctes :

Est venu le jour glorieux où dans sa marche vers l'idéal
L'Homme alla vers le progrès, mal au bien, du faux au vrai
Un rêve peut mourir mais on n'enterre jamais l'avenir !

Joignez-vous à la croisade de ceux qui croient au genre humain
Pour une seule barricade qui tombe cent autres se sont levées soudain
A la volonté du peuple, un tambour chante dans le lointain
Il vient d'annoncer le grand jour et c'est ce matin !


Ce chant puissant et volontaire avait fait frissonner Anastasia qui ne s'était pas tout de suite aperçue qu'elle avait, elle aussi, entonné avec ferveur ces paroles d'espoir.
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