« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Point de couture - Pv Sally

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Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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| Conte : Anastasia
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Point de couture - Pv Sally - Page 2 _



________________________________________ 2016-10-29, 19:40 « Men are such babies »

Sally avait saisi l'invitation d'Anastasia à poursuivre pour satisfaire la curiosité de la jeune femme russe à l'esprit rêveur. C'était dommage qu'Abigaëlle n'ait pas encore l'âge de comprendre cette folle et magique histoire d'un Noël à Halloween Town, monde a priori peu destiné à ce type des festivités. Anya était curieuse de savoir comment ce Noël si particulier avait bien pu faire... Nul doute que cela aurait donné lieu à un conte digne de la petite tête rousse qui coloriait tranquillement entre les deux femmes.
Anya n'avait pu se résoudre tout de suite à aborder qui elle était, à se livrer autant que Sally. La distraction de son aventure en septembre dernier était toute trouvée pour combler la conversation. L'aventure était à la fois personnelle et surprenante, de quoi contrebalancer cette étrange affaire de Noël.
Sally avait eut la réaction espérée :
- Aspirée dans un livre ? Mais lequel ? voulut-elle savoir, curieuse à son tour.
- Dans Notre-Dame de Paris, répondit Anya d'un ton décontracté. Depuis que c'est arrivé j'évite de lire dans les lieux publics, sait-on jamais. Il se trouve en fait que j'y avais malgré moi entraîné d'autres personnes. Des inconnus, en plus. Croyez-moi, ça vous fait vite nouer des liens, ce genre d'aventure !
La jeune femme essayait de prendre cette aventure du bon côté, presque de manière légère... pourtant, ils avaient tous cru, à un moment ou l'autre, qu'ils n'en reviendraient pas entiers. Certains plus que d'autres, peut-être parce qu'Anastasia n'avait pas - ou plus - l'âme d'une aventurière.
Elle avait mûri mais surtout, elle était devenue mère, phénomène qui avait radicalement modifié sa façon d'envisager le monde. Dorénavant, Abigaëlle passait avant tout le reste - y compris avant les aventures, qu'il s'agisse d'un train qui déraille ou d'un bateau cauchemardesque.
Sally semblait le ressentir. Du moins, la jeune femme avait l'impression d'avoir fait sentir à la couturière combien sa famille lui important. Et bientôt, cette dernière de poursuivre :
- Je ne suis pas sûre que mon ancien monde me manque. C'est juste différent sur les formes, mais ma vie n'a jamais vraiment changé. Il est peut-être temps d'ailleurs... Elle est mignonne votre fille. C'est très joli Abigaëlle comme prénom. Vous devez être plus tôt contente de votre changement de vie, non ? Je veux dire... Une famille, c'est la clé du bonheur, à ce qu'on dit.
Ses derniers mots firent sourire Anastasia. Si seulement Sally pouvait comprendre à quel point elle avait visé juste... Abigaëlle était le monde d'Anastasia. Elle et Dimitri, et leur tripotée d'amis à poils plus ou moins longs.
- Merci, reprit-elle en désignant Abigaëlle d'un mouvement du menton. Une idée de Monsieur, ajouta t-elle simplement sans se confier sur comment Monsieur avait fui la grossesse et son implication en tant que père jusqu'au dernier moment.
Elle ne cherchait pas à lui vendre du rêve en barre, bien au contraire. Elle cherchait simplement à protéger sa fille et se protéger. Protéger les siens. Un instinct presque primaire qui surgissait sans qu'elle n'y fasse réellement attention.
- Vous savez, reprit néanmoins Anastasia pour ne pas avoir non plus l'air d'une menteuse, c'est pas si simple que ça de devenir parent. En dehors des nausées et des vergetures hideuses, j'entends. C'est... un sacré changement, on peut le dire. Mais oui, je rêvais d'une famille. Toutes les orphelines en rêvent, je crois que c'est vendu avec le statut. Dans l'autre monde, j'ai passé ma vie à chercher ma famille. Et à cause du sort noir j'ai repassé ma vie à la rechercher - sans savoir que c'était du déjà fait. Enfin, pas au début, du moins. Et je les ai retrouvés. Je ne compte plus rien laisser nous séparer. En fin de compte ça ne m'a pas beaucoup changé. Dans ce monde comme dans l'ancien je suis l'orpheline qui retrouve ce qui lui reste de famille... et qui en crée une.
Anya marqua une pause, tâchant, une fois n'est pas coutume, de peser ses mots.
- Je ne veux pas me mêler de ce qui me regarde pas - même si c'est clairement ce que je fais en ce moment - mais... tout a l'air possible ici. On a presque une seconde chance et je pense que c'est assez rare pour la regarder nous filer sous le nez. Si vous voulez changer de vie, faites-le. Vous en avez sans doute les moyens. Regardez moi ! J'ai traversé la moitié d'un monde pour retrouver ma famille, sans le sou, juste avec de l'espoir ! Vous pouvez le faire, quitte à coudre la bouche de ceux qui vous diront que non, conclut résolument la rouquine.
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________________________________________ 2016-11-02, 15:17


 
Un point de couture
 J'ai plus envie d'me battre. J'ai plus envie d'courir
 
 


 


- Dans Notre-Dame de Paris. ... Croyez-moi, ça vous fait vite nouer des liens, ce genre d'aventure !
▬ Ca doit être vraiment passionnant tout de même. J'aimerais bien moi, vivre une aventure. Vous n'avez pas eu trop peur? Vous avez rencontré Esméralda alors?

Se voulant être à l'aise, Anastasia semblait se rappeler de cette aventure comme un plein de souvenirs, bons et mauvais. Je n'avais jamais eu le droit à ce genre de choses. Je l'imaginais comme un vrai événement, quelque chose qui pourrait forger mon caractère, dévoiler qui j'étais. En réalité, j'en étais presque jalouse. L'idée folle de parcourir le temps pour vivre une intrigue sensationnelle avec de parfaits inconnus m'attirait bien plus qu'il n'aurait dû. Je me persuadais que le destin en viendrait un jour à me faire vivre quelque chose de ce type. Le regard rivé vers le plafond, prête à l'imaginer sombre et incrusté de myriades d'étoiles scintillantes, je ne pouvais m'empêcher de rêver de ce moment. Moment qui me semblait pourtant encore si lointain. Une boule au ventre saisit mon attention, et l'envie fut forte de vomir à mes pieds tout ces espoirs qui me semblaient idiots. Dans le monde des contes, j'aurais regardé de ma tour la fenêtre où s'élançait fébrilement la silhouette Jack, et j'aurais chanté sous le clair de lune un chant désespéré. A Storybooke, je me contentais de rêver en silence, sous un plafond sale et dans une salle obscure devant une femme dont le bonheur m'éclaboussait de toute part. Je me sentais éclaboussée, presque salie. Cette femme ne pouvait pas comprendre, et ce malgré ce qu'elle avait pu endurer. Moi qui pensais être comprise avais la nette impression de ne plus l'être. J'étais loin de mon idylle avec l'épouvantail. Anastasia m'indiquant sa fille d'un bref geste du visage expliquait qu'il s'agissait une idée de son probable mari. Je ne pouvais m'empêcher d'imaginer son âme soeur. Un homme beau, fort, robuste et charismatique, c'était certain. Un homme qui convenait parfaitement à ma cliente dont j'enviais chaque trait.

Puis, elle vint me conter ses peines de femme mère et mariée. J'aurais donné beaucoup pour avoir cette chance. Je me réconfortais, en me rappelant que j'étais de toute façon bien trop jeune pour ces choses là, mais je voulais de ce bonheur moi aussi. Je voulais des enfants, je voulais de l'amour. Je manquais d'amour. Je voulais l'amour doux, voir même passionnel. Je voulais avoir une raison de vivre, et je le savais bien que ce n'était pas bien, que je devais savoir être indépendante. Mais j'en avais besoin. Maintenant plus qu'hier et moins que demain. Le temps d'un instant, Anastasia dont j'ignorais encore le prénom, marqua une pause. Une pause lourde d'émotions, une pause qui voulait dire bien plus que la suite de ses propos. Une pause qui signifiait que les mots suivants pourraient être durs, mais qu'ils étaient sincères. Une pause qui signifiait que j'allais devoir affronter la sincérité de cette inconnue, et si je rêvais de pouvoir dire que cela ne m'atteindrait pas, j'étais persuadée du contraire. Alors, tout en cherchant soigneusement chaque mot pour ne pas le rendre blessant, elle entreprit son explication périlleuse:

- Je ne veux pas me mêler de ce qui me regarde pas - même si c'est clairement ce que je fais en ce moment - mais... tout a l'air possible ici. On a presque une seconde chance et je pense que c'est assez rare pour la regarder nous filer sous le nez. Si vous voulez changer de vie, faites-le. Vous en avez sans doute les moyens. Regardez moi ! J'ai traversé la moitié d'un monde pour retrouver ma famille, sans le sou, juste avec de l'espoir ! Vous pouvez le faire, quitte à coudre la bouche de ceux qui vous diront que non.

J'aurais voulu sourire, mais aussi pleurer parce que tout cela me semblait trop vrai, parce que je rêvais de coudre ces bouches qui dans ma tête faisaient résonner les doutes que j'éprouvais chaque nuit. Mais je n'étais pas Anastasia. Je n'étais pas cette intrépide femme qui me narrait tout ces exploits. Je n'avais fait qu'une chose dans une vie passée pour me valoir un baiser. J'haussai les épaules avant de rétorquer sur un ton qui contre mon gré fut sec:

▬ Je ne suis pas vous, et je ne vous permets pas. J'ai fini votre manteau.

Nouant le fil une dernière fois, je rangeais mes aiguilles dans leur boîte. Je ne me levais pas encore, j'observais cette doublure. Tout était modestement recousu, mais le fil se fondait avec aisance dans le tissu bien que même moi, je peinais à retrouver mon ouvrage. Mon regard fut de nouveau attiré par les prunelles miroitantes de la jeune femme. De charmantes prunelles vertes brillant de bonheur. Je baissai de nouveau les yeux. Je pouvais pas. Je ne pouvais pas affronter ce bonheur.

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________________________________________ 2016-11-02, 17:57 « Men are such babies »

Anastasia avait brièvement conté son aventure au fil des pages de Hugo, mentionnant Esmeralda, qu'elle avait effectivement croisé, ainsi que Sally l'avait deviné, et les autres personnages. Elle se garda bien de préciser toutefois que Gringoire avait demandé à sortir du livre et que son souhait avait été accordé par la plume de l'auteur pour une raison encore inconnue de la rouquine et manifestement espiègle.
Cette affaire restait compliquée. Il fallait peut-être le voir pour le croire. Du moins, c'était l'impression qu'elle avait depuis son retour quoiqu'au final, Dimitri ait plutôt bien pris les choses. Mieux qu'elle s'y était attendue, en tout cas. On la croyait. Personne ne l'avait encore enfermée et Sally semblait même rêveuse face à ce récit.
Avec ces récits et ces confidences, Anya en avait presque oublié ce pour quoi elle était véritablement là : la doublure déchirée de son manteau que les mains habiles de Sally recousaient, minutes après minutes. Elle parlait et cousait en même temps, si bien qu'Anastasia ne prêtait plus attention à l'aiguille et au fil entre ses mains. Elle avait presque l'impression de se retrouver face à une amie, ou du moins une proche, oubliant sans doute qu'elle n'était que la cliente et Sally que la couturière et qu'elles deux ne se connaissaient pas ou trop peu.
Le naturel avait repris le dessus. Anya était franche. Trop sans doute pour être une bonne diplomate mais suffisamment pour ne pas être une politicienne véreuse ou menteuse. En fin de compte c'était peut-être une bonne chose qu'elle n'ait pas eu à régner. Elle avait clairement manqué de tact, ne sachant pas voir la sensibilité de Sally, voire sa susceptibilité.
▬ Je ne suis pas vous, et je ne vous permets pas, déclara-t-elle sèchement, confirmant qu'Anastasia était peut-être allée un peu loin. J'ai fini votre manteau, ajouta-t-elle.
On faisait difficilement plus clair mais Anya en avait vu d'autres. Elle connaissait son tempérament et savait qu'elle pouvait parfois en faire les frais. Sally avait raison, elle n'aurait pas dû s'imposer conseillère quand elle ne lui avait rien demandé et se contenter de mener sa petite vie à elle, de s'occuper de son nombril.
Mais voir cette fille de son âge enfermée dans cette chambre froide et lugubre avec des rêves qu'elle n'osait pas saisir la révoltait. Anya était sans doute une féministe qui s'ignorait. L'un dans l'autre, pour n'avoir été qu'une orpheline qui couchait sur un lit de paille dans une pièce à peu de choses près aussi accueillante que celle-ci, elle savait qu'elle ne devait rien attendre des autres et que c'était à elle d'écrire son destin. Ou de le tisser. Peu importe.
- Vous avez raison, se contenta de reprendre Anastasia pour briser le silence.
Sally avait rangé son matériel mais ne lui avait pas encore rendu le manteau. IL était néanmoins temps de songer à payer son travail et de s'en aller, avant que cette sympathique rencontre ne vire au désastre.
Anastasia ouvrit son sac à main noir et élimé puis sortit son porte-monnaie. Le bruit sembla attirer le regard d'Abigaëlle qui avait réussi l'exploit de se barbouiller les joues de feutres. Une vraie artiste en devenir, c'était certain.
- Vous prenez la carte ? Je n'ai que 20 dollars en liquide plus quelques petites pièces plus bonnes à faire du bruit qu'à réellement payer quelque chose, je ne sais pas si ça va suffire... Très franchement, je suis traductrice, je ne connais que les tarifs de ma profession pas de la vôtre mais de ce que je peux voir de votre travail ça a l'air parfait. Merci. Vous me rendez un fier service. C'est promis, je ne ferai plus jamais de commentaire sur ce qui ne me regarde pas. D'ailleurs, je ne vais peut-être pas tarder, vous aviez l'air occupée quand je suis arrivée et puis... Abigaëlle va vraiment finir par colorier quelque chose qu'elle ne devrait pas.
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________________________________________ 2016-11-06, 15:07


 
Un point de couture
 J'ai plus envie d'me battre. J'ai plus envie d'courir
 
 


 

Un silence pesant s'était installé. Cette femme malgré des propos logiques et cohérents m'avait blessé plus que je ne l'aurais imaginé. Ma vie, je n'avais pas le courage de la changer et entendre cette inconnue me le dicter me rappelait une énième fois que je ne faisais qu'écouter et obéir les conseils et ordres donnés. Ca me tuait. Je m'abandonnais donc au silence, vérifiant chaque point de la retouche. Je n'osais plus relever les yeux vers Anastasia qui semblait tout autant gênée d'avoir émis une telle remarque. Alors que sa fille coloriait avec joie chacun de ses gribouillages, je me concentrais sur la tâche ardue qu'était l'inspection de mon propre travail, trouver des défauts à son propre ouvrage. J'hochai finalement la tête, approuvant la réalisation par mes mains. Si la doublure avait un jour été trouée, il était difficile d'imaginer que cela fut vrai. La retouche invisible me fit décrocher un sourire prétentieux, comment ne pas être fière de cela après tout? Son manteau à chaque toucher semblait raconter l'histoire de la pauvre orpheline dont la cliente m'avait fait part. Et ça me touchait. Admirer le passé des vêtements était impossible pour les regards vides, mais je savais que mes pupilles impassibles trouvaient en chaque tissu le morceau d'une histoire vécu et parfois oublié. Si je m'étais tu et qu'Anastasia en avait fait de même après un certain temps de réflexion, elle tint à m'accorder raison de sa voix dont j'entendais désormais un accent lointain:

- Vous avez raison.

Oui, j'avais raison. Je n'avais pas la raison scientifique celle qui prouvait que un et un faisaient deux, ni de raison physique ou mathématique. Non, c'était la raison du coeur et du respect, comme on a raison après une dispute entre amis. J'avais raison dans un sens qui pouvait facilement être bafoué, mais j'avais raison. Et cette simple affirmation suffit à me radoucir. Farfouillant dans son sac noir, et le nez penché vers son portefeuille, Anastasia commençait à évoquer les prix. Chose qui me fit penser qu'à l'heure précédente, je n'avais jamais géré ni la caisse ni même des clients. C'était la première fois que je pouvais prendre tant de soin à coudre un vêtement, et ce car j'en connaissais le propriétaire. On a toujours l'impression que la couture ne se résume qu'au même geste similaire et ce pendant des heures. C'est bien plus. C'est une main, un fil et une aiguille qui en harmonie viennent se mêler et s'entremêler pour redonner vie à un tissu abîmé. A mes yeux, la couture ne fut jamais autre chose qu'une chanson interminable apte à calmer mes pleurs et mes angoisses. Je me relevai enfin du tabouret, brandissant le manteau que je tendais à la jeune femme. Elle le saisit de ses fins bras avant de le rapporter contre sa poitrine. Voir ce sourire heureux ne fit qu'élargir le mien.

- Vous prenez la carte ? Je n'ai que 20 dollars en liquide plus quelques petites pièces plus bonnes à faire du bruit qu'à réellement payer quelque chose, je ne sais pas si ça va suffire... Très franchement, je suis traductrice, je ne connais que les tarifs de ma profession pas de la vôtre mais de ce que je peux voir de votre travail ça a l'air parfait. Merci. Vous me rendez un fier service. C'est promis, je ne ferai plus jamais de commentaire sur ce qui ne me regarde pas. D'ailleurs, je ne vais peut-être pas tarder, vous aviez l'air occupée quand je suis arrivée et puis... Abigaëlle va vraiment finir par colorier quelque chose qu'elle ne devrait pas.
▬ Les 20 dollars suffisent, c'est même le prix exact. Ce doit être un beau domaine que la traduction., puis marquant une brève pause. C'est pardonné, madame.

Je saisis la monnaie puis la coinçais dans la poche de mon tablier avant de me faufiler vers les escaliers, intimant Anastasia à me suivre. Ce ne fut que devant la porte que voir sa silhouette échappée me frappa dans la poitrine. J'avais apprécié sa compagnie, malgré son commentaire déplacé, cette femme était inspirant. Libre, forte, intelligente, et belle. Elle me plaisait. Chaleureusement je lui tendis la main, et lui ouvris la porte.

▬ Au plaisir de vous revoir, madame.

Et voilà, je la laissais filer, bercée par l'espoir de la recroiser un jour.
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