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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Marre il y en a marre

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Anna D'Arendelle
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Marre il y en a marre  _



________________________________________ 2016-01-09, 03:04





Marre Il y en a Marre

Ou comment enguirlander sa soeur en 10 leçons

La première chose que j'avais faite en revenant de Neverland, ç'eu été, de me réfugier sous ma couette, bien au chaud dans mon lit. J'avais l'impression débile d'être toujours, protégé, quand j'étais dedans. A vrai dire, j'avais surtout, besoin de digérer un peu, ce qui m'était arrivé. Plus, que jamais, l'impression, d'avoir été prise, pour une idiote, se faisait oppressante. Vraiment, j'avais cru, pouvoir, trouver une amie en Melody, mais j'avais tort une fois de plus. Oh oui, gentille Anna, naïve Anna. Celle à qui, l'on pouvait tout faire croire. J'en avais marre ok ? Marre, d'être toujours, la bonne poire de service, celle à qui l'on peu tout faire croire. Qu'on l'aime, qu'on est son amie. J'avais envie, de pleurer, et en même temps, j'avais envie d'hurler. Je me sentais pathétique, j'avais envie de prendre Gram, et de l'enfoncer dans mon oreiller juste pour me défouler.

Mais, la vie avait dût reprendre son cour, Jack était passé, me voir pendant ma période de déprime. Il, était le seule à pouvoir, réellement, me redonner le sourire. Quand, je disais, qu'il était mon meilleur ami, ce n'était pas pour rien. J'avais prit sur moi, à nouveau. Mais, une chose était sure, je revenais à jamais changé, de mon voyage là-bas. Certains, pouvaient penser, que je devenais, parano. Moi, je dirais simplement, que j'avais appris de mes erreurs. Je, n'accorderais, plus jamais, ma confiance aussi facilement, à qui que ce soit.

Mes nouvelles résolutions en tête, j'avais repris le chemin du travail, toujours sur ma bicyclette. Généralement, c'était en Hiver, que je regrettais, de ne pas avoir le permis. J'avais jamais tenté, de le passer. J'étais suffisamment, une catastrophe ambulante en générale, pas besoin d'en rajouter avec une voiture. Et en plus, conduire m'effrayait. Alors même, si j'avais besoin d'une bonne couche de vêtement supplémentaire, je gardais ma bicyclette. Il, m'arrivait parfois de pester intérieurement contre Jack, il faisait un peu trop bien son boulot, nous étions début Janvier, et la ville, était recouverte de neige. Je faisais, d'ailleurs très attention. Il, avait le dont pour me surprendre au détour d'une ruelle, avec une boule de neige lancé en pleine figure. Je, ne me laissais pas faire évidemment, et j'étais fière de pouvoir tenir tête à l'esprit de l'hiver en personne, lors d'une bataille acharnée.

Mais, si la vie semblait avoir reprit son cours, quelque chose au fond de moi, me faisait toujours, me sentir vide. J'avais pensé, qu'après ce qu'il c'était passé il y a plus d'un an, Elsa, arrêterait de me fuir. Sauf, qu'évidement, il n'en était rien. Nous en étions, toujours au même point, moi à la chercher elle à me fuir. Et, les paroles de Jezabel, me revenaient en mémoire. Elle, l'avait vu. Elle, avait vu ma sœur. Au fond, oui, j'étais en colère, blessée, triste, et un peu jalouse aussi. C'était MA sœur, et elle préférait, voir d'autres personnes, le voyage à Neverland, m'avait sérieusement éprouvée, et je ruminais depuis un certain temps, l'idée d'aller lui dire très clairement ma façon de pensée. Pour autant, je ne l'avais pas fait, pas encore du moins. On était surchargé à la boutique en ce moment, c'était affreux. Je soupçonnais Aster, de m'exploiter d'ailleurs. Mais, comme il m'effrayait, et m’intimidait tout autant ben...Disons, que je me contentais de le penser en fait.

Et aujourd'hui, encore je bravais le froid, emmitouflé dans mon écharpe, pour aller travailler. Je pédalais à vive allure, appuyant toujours un peu plus sur mes jambes, accélérant toujours un peu plus, pour faire le vide. Ainsi, je ne pensais plus à rien, si ce n'est au vent, qui fouettait mes joues. J'arrivais finalement, droit devant la boutique, et en profitait pour « garer » mon vélo, dans la remise, avant de taper mes bottes pleines de neiges, et de pousser la porte de derrière, afin d'entrer :

- Ah te voilà enfin rouquine pas trop tôt !

Je retins de justesse le hurlement de terreur, Aster venait de surgir de je ne sais où droit devant moi. Mon cœur battait à la chamade, tout juste remit de la trouille que je venais d'avoir. Je me contentais, de déglutir, pendant qu'il me donnait mes instructions, pour la matinée. Après quoi, je filais sans demander mon reste pour bosser. Généralement, quand je le faisais je me focalisais sur ma tâche. Mais aujourd'hui, bah encore une fois je ruminais, et j'étais pas DU TOUT, concentré. Autant dire, que c'était un véritable fiasco. Je savais, parfaitement, ce qui allait pas. Et, je savais également, comment le régler. Prenant, une grande inspiration, je sortais de l'attelier, pour me diriger en mode boulet de canon droit sur Aster. Après avoir manqué de lui foncer dedans -et de renverser une livraison de cacao- je prit mon courage à deux mains. Quand faut y aller faut y aller :

- Je pars retrouver ma sœur et heu c'est pas négociable !
M'empressais-je de rajouter devant le regard qu'il me jetait. Pitié faites qu'il dise oui, je sentais mon courage fondre comme neige au soleil

Aster se contenta de continuer, son chemin, jetant un coup d'oeil prudent, vers la réserve où il avait disparu. Je supposais, que ça voulait dire oui. Sans demander mon reste, j'enfilais rapidement, le combo gant/écharpe/bonnet/veste d'hiver, et partis droit vers la remise où était ma bicyclette. Enfourchant, mon moyen de transport, je pédalais encore plus vite que d'habitude direction la forêt. Trouver Elsa allait être assez facile. Ok, il avait neigé partout, mais ma sœur, avait tendance, à laisser une trainée de glace derrière elle, quand elle se déplaçait. J'avais pu en remarquer à divers reprises, quand j'allais du côté des bois, avec Jack.

Plissant, les yeux à chaque fois que je m'enfonçais un peu plus loin des chemins de randonnée. Je finit, par remarquer ce dont je parlais, et elle était comme de par hasard récente. Elsa, était dans le coin. Je décidais de ralentir l'allure, afin de suivre le tout sans me faire repérer. Fallait garder l'effet de surprise, sinon on allait encore jouer à « suis mois je te fuis, fuis moi je te suis » et ça allait très vite me gonfler, je le sentais mais alors gros comme une maison.

Enfin, au bout de minutes qui me parurent interminables, j'appercu une silhouette familière entre les arbres. Faut dire qu'avec sa robe bleu à paillette, elle passait pas franchement inaperçue, même dans le paysage. Pied sur la pédale, je fonçais littéralement, sur ma sœur en hurlant un « CHAUD DEVANT ! » qui avait sûrement, dût faire s'envoler les oiseaux s'il y en avait à proximité. Elle s'écarta au dernier, moment pour m'éviter -elle avait pas utilisé ses pouvoirs, bien on progressait- quant à moi je garais mon vélo droit devant elle, et en descendit pour me planter également devant elle, les bras croisé sur ma poitrine :

- Faut qu'on cause. Alors voilà, ce qu'on va faire JE parle et TU m'écoute ok ? Je veux pas de « Anna tu es folle j'aurais pu te faire du mal avec mes pouvoirs » dis-je dans une très mauvaise imitation de ma sœur sur un ton affreusement larmoyant. Parce que j'ai peut-être des choses à dire. T'as pas pensé 30 secondes, que j'en avais peut-être ras le bol que tu passe ton temps à me fuir. Tu crois franchement, que ça va régler tout tes soucis ? Parce que moi, franchement j'ai de sérieux doute là tu vois. Honnêtement, j'ai pas besoin de toi, pour être à deux doigt d'y passer croit moi, je m'en sors très bien toute seule. Et d'ailleurs, tu t'es jamais dit que ces machins ça se contrôlait dis-je faisant référence à ses pouvoirs. Ça t'as jamais effleuré l'esprit que bah tiens, ça se bossait. Forcément, si tu passe ton temps en mode « je suis un moooooonstre » ça va pas faire avancer le schmilblick. Tu sais, ce dont j'ai besoin depuis que je suis toute petite c'est d'une grande sœur, une VRAI grande sœur, pas un fantôme qui passe son temps à me rejeter. J'avais besoin de toi Elsa. Je crois pas t'en avoir demandé beaucoup, j'ai arrêté de venir frapper à ta porte, quand j'ai vu que tu n'ouvrais pas. Mais, j'avais juste besoin de ma grande sœur, pour me soutenir, lorsque nos parents sont morts. Et toi, tu n'as rien fait. Tu as préféré resté enfermé. Je les enterré toute seule Elsa, t'entends TOUTE SEULE ! et c'est toujours ce que j'ai été seule

Je m'arrêtais essoufflée, mon discours me semblait totalement, décousu, mais en fait, c'était parce que toute la rancœur que j'avais éprouvé pour elle était en train de sortir. J'étais en train de tout lâcher, et ça faisait du bien. En revanche vu la tronche que tirait Elsa, elle s'était pas attendu à ça. Bah ouais, bah fallait y penser avant, et faire fonctionner ses neurones et se dire que bah tiens, peut-être que ma solution de fuir ma petite sœur elle est naze.



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________________________________________ 2016-01-13, 22:29

Suis moi, je te fuis

MAIS ANNAAAAAA! C'EST POUR TON BIIIEN!


Depuis ce qu'il s'était passé la dernière fois, je fuyais avec encore plus d'ardeur la ville. Je préférais marcher inlassablement entre les arbres aux branches nues, plutôt que de retourner dans les rues où la civilisation grouillait. J'avais tenté de faire des efforts. J'essayais, même si c'était particulièrement difficile. J'avais peur des monstrueuses voitures, de geler accidentellement quelqu'un ou quelque chose, à cause d'une seconde d’inattention. La prudence me poussait à rester cachée. J'étais apeurée, mais je l'assumais. C'était pour le bien de tous.

Et désormais, surtout mes principes. On m'avait embarqué dans de folles aventures, à la dangerosité qui m'avait laissé tremblante et recouverte de sang. Ces femmes m'avaient enlevées, m'avaient forcé à me rendre dans des lieux de débauches, m'avaient forcé à retirer ma robe et à montrer mes genoux. Mes genoux. Montrer ses chevilles était déjà en soit le comble de la vulgarité. Je m'étais sentie comme une de ces filles de joie qui montrait sa chair sans aucune pudeur, à se tortiller telle une démone devant les hommes fous de désir. Je me sentais dégoûtante, souillée. J'aurai dû lutter avec plus de témérité, tenter de fuir dès le début. Elles m'avaient ensorcelées avec leur sorcellerie, me forçant à faire des choses qu'aucune femme bien élevée ne devrait faire.

Dès que j'avais réussi à m'en aller loin d'elles, j'étais retournée dans les bois et j'avais troqué les bouts de tissus à peine couvrant pour ma robe bleue que je portais tout le temps. J'étais tellement plus à l'aise habillée ainsi. Elle était légèrement provocante, sans trop en montrer. Je me sentais royale, comme cette femme qui avait osé fuir son couronnement pour s'installer dans la montagne, préférant rejoindre la solitude que blesser une nouvelle fois son peuple et sa sœur. Je faisais ce que je devais faire. Toujours. C'était pour le bien de tous. C'est cela qu'il fallait que je me dise. La fuite était une solution. La meilleure de toutes, même.

J'étais donc, comme à mon habitude, à me promener dans la forêt pour la sixième fois. Je connaissais maintenant chaque arbre de cette partie du bois. Je n'avais pas encore tout visité, j'étais bien trop effrayée rien qu'à l'idée de tomber sur une maison habitée ou bien un groupe de personnes. Il semblerait que les gens aiment courir ou se promener. Comme si il n'était plus question de survie. Personne n'aimait se promener, à Arendelle. C'était bien trop dangereux avec les loups et les mercenaires.

Quelque chose était soudainement apparu, une forme étrange, à l'allure humaine. Je m'étais retournée en entendant le cri qui me semblait familier, paralysée par la surprise et la peur de cette chose inconnue. La bouche légèrement entrouverte, je m'écartais au dernier moment, alors que je chancelais sur mes jambes, avec l'impression d'avoir pris un coup. Je n'avais même pas pensé à lever mes mains pour me défendre. Reconnaître la chevelure flamboyante de ma sœur m'avait coupé le souffle. Anna... Je n'étais pas censée la voir, je ne voulais pas... Pas maintenant, pas tant que je ne pourrais pas... la protéger...

Je restais là, pendant qu'elle me disait tout ce qu'elle avait sur le cœur. Je n'arrivais pas à la regarder dans les yeux, ses paroles mordant mon cœur. Je serrais les poings le long de mon corps, en agrippant le tissus bleu entre mes doigts. J'avais l'impression de trembler devant la détresse de ma petite sœur. Je lui faisais tellement de mal. Depuis toujours. Elle souffrait depuis notre enfance, depuis que je l'avais accidentellement gelé. Comment est-ce qu'elle pouvait rester devant moi, certes en colère, mais sans crainte que je lui fasse de nouveau du mal ? Elle n'avait pas l'air de comprendre que tout cela était pour elle. Je me devais de partir à chaque fois, de la laisser seule. C'était obligé. C'était ce qu'il fallait faire. Toujours.

- Anna... Je suis tellement désolée...

Je savais que ce n'était pas ce qu'elle voulait entendre. Mais je l'étais. Cela m'avait toujours brisé le cœur de ne pas lui ouvrir. Mais nos parents m'avaient dis de m'éloigner le plus possible d'elle. Je ne pouvais pas jouer avec elle. Ils ne voulaient pas que je la blesse. Pas une nouvelle fois.

- Je ne voulais pas te laisser seule. Je t'aime Anna, mais ce n'est pas si facile. Je ne peux pas me maîtriser, je n'y arrive pas. C'est toujours bien trop dangereux pour toi.

J'essayais. Mais j'avais découvert que j'étais liés aux dieux, et même si on m'avait envoyé Horace pour m'aider, je ne faisais pas d'efforts. C'était même bien pire avec lui dans ma vie. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu, il fallait que je le retrouve pour avoir des explications. Je baissais les yeux sur le sol recouvert de givre, et les fermais longuement, la lèvre tremblante. L'avoir face à moi, après tout ce temps passé depuis la dernière fois, cela me faisait souffrir. Je comprenais sa colère, mais malgré tout, je ne pouvais pas faire ce qu'elle voulait.

- Tu es mieux loin de moi. C'est ce que nos parents auraient voulus. Ils voulaient ta protection, c'était le plus important à leurs yeux. Je ne peux pas laisser mes sentiments prendre le dessus, je me dois de te protéger. T'éloigner de moi. Je ne veux pas te blesser encore. C'est trop douloureux.

Je sentie une larme brûlante sur ma peau constamment froide couler le long de ma joue. Je papillonnais des cils pour chasser les larmes qui commençaient à embuer mes yeux. Je ne voulais pas pleurer. Je devais être forte. Rester de glace. Si elle me détestait, elle n'essayerait plus de me retrouver. C'était toujours la seule solution pour moi. Je ne voyais rien d'autre. Encore et toujours la même chose.


Note : Je suis désolée, mais elle est vraiment trèèèèèèès bornée, c'est très agaçant Marre il y en a marre  563794906 Désolée, mais va va vraiment falloir la secouer plus pour qu'elle réagisse Marre il y en a marre  920691004


crackle bones
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t8708-sortez-les-manteaux-les-echarpes-les-gants-frozen-is-coming


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________________________________________ 2016-01-22, 22:51





Marre Il y en a Marre

Ou comment enguirlander sa soeur en 10 leçons

Rohlala mais qu'est qu'elle me faisait ? On avait droit à du grand Elsa, c'était partis pour un quart d'heure de tragique « je t'aime Anna mais je ne peux pas rester prêt de toi, je ne maîtrise pas mes pouvoirs » et blabla. Autrement, dit j'allais devoir faire preuve de beauuuucoup de patience, pendant son petit discours. J'aimais ma sœur, mais là j'avais qu'une envie c'était de l'étrangler. Bon sang ce qu'elle était bornée. Ah ça, on avait clairement les même gênes. Mais qu'elle rêve pas hein, je l'étais beaucoup plus qu'elle. J'allais pas la laisser gagner cette fois. Pas question. Je ne repartirais pas, tant qu'Elsa se sera pas réchauffé un peu le cerveau. Non, parce que ou la solitude lui pesait, ou son cerveau avait gelé. Dans les deux cas je savais quelle était la meilleure solution. Je la laissais continuer son petit discours la mine de plus en plus blasée :

- C'est bon t'as finit ? lui demandais-je

Ah vu sa tête, elle s'attendait à nouveau pas à ça. Bah oui bah écoute, si tu pensais que j'allais gentiment dire « oui Elsa d'accord je comprends » c'est râpé. Je me doutais bien, que nos parents y étaient pour quelque chose. A eux aussi, je leur en voulais. Ils lui avaient fait du mal. Ils, n'avaient pas cherché à la comprendre, ils l'avaient traité comme un monstre, et n'avaient pas pensé, qu'elle ferait de même. Je sentais mes poings se crisper tandis-que tout mon corps fut prit de tremblement. Je sentais la rage s'insinuer peu à peu en moi. Je devais me calmer, je devais me contenir, pas question de faire d'esclandre. Même ici, au beau milieu de nul part. Voilà, cool, zen Anna :

- Évidemment, que tu les maîtrise pas ! T'es en mode flippé à chaque fois qu'on t'en parle. Tu t'es pas dit, que la maîtrise ça commençait d'abord par l'acceptation. Tu t'accepte pas toi même ! Comment tu veux réussir à maîtriser tes pouvoirs, si tu ne rêve que d'une chose qu'ils partent. Ce ne sont pas de mauvaises choses Elsa. Ils font partis intégrante de toi. Ils te rendent spéciale.

C'était ce qu'on aurait dût lui dire, dès le début. Au lieu de la confiner dans sa chambre, et de lui filer une perd de gants pour dissimuler ses pouvoirs. Elle a pas du tout, apprit à les maîtriser, mais à les cacher. Évidemment, qu'elle flippe pour un rien. Alors, oui il fallait lui mettre un bon coup de pied là où je pensais. Mais, j'étais tenace comme fille. Pas question, de la laisser filer. C'est bon hein, à un moment, ça commençait à bien faire. On allait pas s'amuser à jouer à « suit moi, je te fuis, fuis moi, je te suis » toute notre vie non plus. Je veux pas dire, mais ça allait très vite devenir gonflant. Déjà, que ça l'était déjà pas mal là....

- Donc, si j'ai bien compris repris-je, tu vas passer ta vie entière à fuir les problèmes, sans même chercher à les affronter. Bravo Elsa, c'est digne d'une reine ça dis-je d'un ton emplit de sarcasme tu sais ce que tu es en fait ? Une lâche, parfaitement. Ce sont les lâche qui fuient devant les problèmes.

Par tous les dieux d'Arendelle, j'espérais VRAIMENT, que ce qui allait suivre, la secouerait un peu. Il était temps, de lui faire comprendre les choses clairement. Elle voulait me protéger. C'était tout à son honneur, mais pour être franche, ses pouvoirs étaient vraiment, la dernière choses dont je m'inquiéterais. Déjà...parce que j'étais un aimant à ennuie. Si si, c'était limite marqué sur mon front « j'attire les ennuies ». Et qu'après franchement, après ce que j'avais vécus ces derniers temps, je pouvais clairement dire que ses pouvoirs c'était de la gnognotte à côté. Je croisais mes bras sur ma poitrine, la toisant du regard. Est-ce que je lui balançais tout maintenant ou est-ce que j'attendais. J'avais tendance à me poser la question, avec ma sœur. Je veux dire, tout lâcher, permettrait sûrement de la secouer un peu, mais elle pourrait tout aussi bien, faire l'autruche. Elsa, était très douée pour pratiquer cette politique. Ce, qui avait bien souvent tendance à réellement m'agacer.

- Franchement Elsa, tes pouvoirs et ce qu'ils peuvent me faire c'est le cadet de mes soucis. Tu crois quoi ? Que j'ai passé un an totalement recluse dans mon apart' minable ? En un an j'ai faillit me faire tuer par une déesse incontrôlable à cause de sa propre ceinture, me suis retrouvé confronté à des rousses totalement cinglée avec sûrement une bonne dizaine de case en moins, j'ai faillit finir écrabouillé sous des rochets à cause d'une grotte ou je sais pas quoi qui s’effondrait à Neverland, et avant ça j'ai finit faillir dans l'estomac d'un Kraken, et avant ça, j'ai atterrit sur un bateau en train de se faire mettre en pièce par le dit Kraken. Quant à la seconde fois où je suis allé là-bas, on s'est fait attaqué par un lézard géant. Oh et je me suis aussi fait prendre pour une andouille pour la seconde fois de ma vie. Donc honnêtement, Elsa, tes pouvoirs encore une fois, je le répète : c'est le cadet de mes soucis concernant ma sécurité.

Bon sang, ce que ça faisait du bien. J'aurais dût la retrouver il y a un moment déjà, non parce que vraiment. Vider son sac comme ça, je m'étais pas attendue à ce que ça me fasse me sentir aussi bien. Ouais, ok j'étais un peu mauvaise. Mais, je crois qu'il fallait de ça, pour réveiller ma sœur. J'adorais Jack, vraiment. Mais, il y a certains trucs que j'aurais aimé partager avec Elsa. Je veux dire, j'avais pas réellement de meilleure amie. Enfin, de personne de sexe féminin, que je pouvais considérer comme une réelle amie. Pour être honnête, je n'avais même aucune amie « fille ». Enfin du moins, ici à Storybrooke. Mon seul et unique véritable ami, c'était Jack. C'est pourquoi, il y a des trucs, que je préfère pas partager avec lui. Comme par exemple...Le jour où je serais véritablement amoureuse, et que le type ne me prendra pas pour une poire. Bon, d'accord, c'était pas prêt d'arriver, je commençais à me méfier des gens, qu'avaient l'air trop sympa. Même des gens en général. Melody, n'ayant jamais été super sympa. Elle était Melody quoi. Mais, le jour où potentiellement, ça arrivera que j'ai quelqu'un. Eh ben, je préférerais que ma sœur soit la première à le savoir. Jack...Était horriblement possessif. Et serait capable d'aller faire subir un interrogatoire au pauvre type, juste pour être sur qu'il ne se fichait pas de moi. C'était tout à son honneur. Faut dire, qu'il avait pas réellement, apprécié l'histoire avec Melody. Parce que c'était lui, qui avait dût me ramasser à la petite cuillère, aussi un peu. Ça devait sûrement jouer :

- Je crois qu'il y a un truc que t'as pas bien saisit Elsa. Tant que tu me repousseras, tant que tu me fuiras, moi je n'arrêterais jamais, de tenter d'arranger les choses. Je, n'arrêterais jamais de te chercher. Même si je dois remuer ciel et terre pour ça. Je aussi bornée que toi. Alors, on a clairement un soucis. Et, je crois qu'il serait réellement temps de le régler.


Parce qu'on allait pas non plus, continuer comme ça tout notre vie. Je veux pas dire, mais ça allait rapidement devenir gonflant. Je me demandais, même comment elle faisait pour pas être saoulé par la situation. Ok question, débile c'était Elsa. Celle qui avait peur de tout, même de son ombre. Donc, non elle se rendait pas compte, que la situation était totalement bloqué. Peut-être que mon petit secours aurait de l'effet. Ou peut-être pas, aussi, parce que j'étais paré à toutes les éventualité. Elle, m'avait jamais vu m'énerver au point d'avoir envie de lui coller deux tartes dans la figure. Mais si elle continuait dans cette voix là. C'était ce qui risquait fortement de ce passer. J'estimerais les chances à 99% rien que ça.

- Est-ce que t'as au moins cherché à comprendre ce truc de « déesse magique » ? Demandais-je

Oui, ça aussi c'était bon de s'en informer. Pourquoi ? Parce que c'était toujours lié à la même question : les pouvoirs d'Elsa. Et que par la même occasion, ça se répercutait sur moi, et notre relation. Donc, j'y connaissais peut-être absolument quedalle. Je savais peut-être même pas à quoi ça servait en fait une « déesse magique », mais si ma sœur s'était pas bougé, non plus à ce sujet là. J'avais comme qui dirait, l'impression, qu'il allait falloir, que je la secoue aussi un peu, pour tenter de retrouver la personne qui avait toujours, été la plus importante pour moi. Non, parce que soyons honnête, je m'en tamponnais un peu de ces histoires divines. J'étais clairement, totalement larguée à ce sujet. Et puis, ça me passait large au dessus de la tête. Non, moi en fait tout ce qui m'intéressait, c'était de réussir à faire en sorte, d'avoir une grande sœur. Et s'il fallait, en savoir plus à ce sujet, et voir si elle s'était bougé ou pas ben....Ouais pourquoi pas. Si, ça me permettait moi, en échange d'avoir ma sœur, j'allais pas cracher dessus non plus. En attendant, je la laissais encaisser tout ce que je lui avais balancé. En priant très, très fort, pour qu'il y ai ne serait-ce qu'une minuscule avancée, par pitié.



HJ : Attention, Anna part totalement en live là j'ai même pas cherché à la maitriser Marre il y en a marre  453450723 et elle est tout aussi bornée que sa soeur, et sacrement énervée aussi Marre il y en a marre  563794906


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________________________________________ 2016-02-24, 19:01

Suis moi, je te fuis

MAIS ANNAAAAAA! C'EST POUR TON BIIIEN!


Je regardais ma sœur avec de grands yeux ronds, surprise. Puis mon visage s'était lentement décomposé, au fur et à mesure de ses paroles. C'était comme si je venais de prendre un coup. Qu'Anna m'avait frappé, en plein visage mais aussi en plein cœur. Je me sentais terriblement mal, les bras le long du corps, les yeux grands ouverts pour tenter de ne pas laisser le flot de larmes couler. Jamais nous n'avions eu une discussion aussi franche. Du moins de sa part. Je la fuyais tellement que je ne prenais jamais le temps de lui parler. Tout ce qu'elle venait de me dire... C'était violent. C'était sincère. C'est cela qui faisait si mal. D'être confrontée à cette réalité, loin de ce mur de glace qui m'entourait pour mieux me protéger de ces relations que je savais dangereuses et de ce monde extérieur qui était un trop plein de doutes et de peur. Anna avait raison, j'étais une lâche. Pas une reine. Je n'en serais jamais une.

- Je...

Ce n'était qu'un filet de voix qui s'échappait de ma gorge serrée. Je n'arrivais pas à aligner mes pensées. C'était un tourbillon de mots qui se fracassaient contre mon crâne, tel les vagues s'écrasant contre les falaises avec violence. Elle voulait que l'on se parle. Que je sois cette grande sœur qui l'avait abandonné lorsque nous étions des enfants. Mais ce n'était pas quelque chose que je pouvais faire en un claquement de doigts. Elle disait ne pas avoir peur de mes pouvoirs, mais je sentais toujours cette menace qui planerait à jamais sur elle. Cette mèche de cheveux blancs, ce cœur gelé. Comment voulait-elle que j'oublie tout cela ? Toutes ces années à la fuir pour mieux la protéger. Cette solution était à mes yeux la seule. Que voyait-elle d'autre ? Tant que je ne me maîtriserais pas, je ne pourrais pas être celle dont elle avait besoin. N'avait-elle pas des amies pour pouvoir remplacer cette sœur qu'elle ne voyait jamais ? Parfois, je préférerai qu'elle oublie pour de bon mon existence. Mes pouvoirs ne me rendaient pas spéciales, ils étaient dangereux. Il m'était impossible de les voir autrement. Je vivais avec ce fardeau que je ne pouvais pas fuir, et désormais ils me liaient à quelque chose d'encore plus important. Anna n'avait pas à être mêlée à tout cela.

- Je n'ai pas eu plus d'informations concernant ce détail. J'ai peu de contact avec les divinités.

Et je les fuyais du mieux que je pouvais. J'avais rencontré Arès, qui m'avait envoyé Horace. Une idée que je regrettais amèrement. J'avais aussi été confrontée à la ceinture de la déesse Aphrodite, mais cela s'arrêtait là. Et c'était tant mieux. Ces êtres dégageaient une puissance impressionnante, et je n'avais pas confiance en eux. Jusqu'ici, leur soit disant aide m'avait emporté dans un tourbillon d'ennuis.

- Mais au moins, cela m'a appris que mes pouvoirs avaient quelques choses de divins. C'est une petite avancée.

Je lui offris un petit sourire. Juste les coins des lèvres qui se soulèvent, quelque chose de timide. Mais je n'allais pas me jeter au cou de ma sœur, la prendre dans mes bras, alors que mes mains en contact avec sa peau pourrait la changer en statue de glace. J'allais lui parler. Lui faire plaisir. Lui montrer un peu d'attention. Pour ensuite trouver un moyen de partir de nouveau. Ses discours ne changeaient rien pour moi. J'avais certes de la peine, à voir Anna ainsi. Elle était ma petite sœur, je ne voulais que son bonheur. Mais comment effacer des dizaines d'années de fuites et de peur ? Je lissais ma robe bleue, en prenant une inspiration légère, mal à l'aise. Je sentais son regard braqué sur moi. Je n'osais pas l'affronter, pas directement. Mes yeux restaient posés sur le sol, tentant d'échapper à ses reproches et à sa colère.

- Pourquoi n'as-tu pas peur de moi, Anna ? Tu devrais avoir peur, tu devrais m'en vouloir. Mais pas pour t'avoir abandonné. Pour t'avoir blessé autant de fois, de t'avoir fais souffrir à cause de mes pouvoirs. J'aurai pu te tuer... Et toi tu continues à m'aimer ?

Je ne comprenais pas. Ma sœur avait toujours été une optimiste, je l'avais bien remarqué. Mais là, nous parlions de la mort. J'avais réellement failli la tuer. Quand elle était enfant, quand je m'étais laissé aller à la colère... Toutes les raisons étaient réunis pour qu'elle ne veuille plus me voir, qu'elle me fuit de son plein gré. Mais non. À la place, elle faisait tout pour me retrouver.

- Ta vie n'est-elle pas meilleure sans moi ?

J'avais réussi à poser mon regard bleu sur elle. Je pensais que tout serait bien mieux sans que je sois là. Certes nous avions perdues nos parents, mais j'étais partie pour la protéger, pour qu'elle est la vie qu'elle mérite. Elle se disait amoureuse, j'espérais que de ce côté là tout se passe bien pour elle, qu'elle est des amis et qu'elle puisse faire la fête comme elle voulait. Exactement ce qu'elle espérait tant alors que nous vivions recluses dans notre château à Arendelle.

- Et bien entendu tu plaisantais concernant toutes ces histoires de Kraken et autres dangers... N'est-ce pas ?

Je venais d'avoir un doute. J'imaginais mal ma petite sœur être confrontée à ce genre de créature. Et les Krakens n'étaient-ils pas des inventions tout droit sortis de l'imagination d'auteurs ? Impossible que toutes ces aventures ne soient vraies. Je l’espérais.


Note : Elle a fichu un coup à Elsa, c'est parfait Marre il y en a marre  453450723 C'est ce qu'il faut Marre il y en a marre  2852471132 Marre il y en a marre  563794906


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________________________________________ 2016-04-11, 18:03





Marre Il y en a Marre

Ou comment enguirlander sa soeur en 10 leçons

Que l'on m'apporte un flingue par pitié que je me tire une bonne balle dans le crâne. Elle n'avait pas eu d'informations à ce sujet, parce qu'elle fuyait les divins. Bon d'accord, j'avais pas tellement le droit de lui faire la morale à ce sujet parce que moi aussi je les fuyais...Quoi que si ! Si j'avais le droit de la lui faire. Parce que moi, je pouvais les fuir, j'en avais le droit. J'avais quand même faillit me faire buter par une déesse ! Elsa, elle en avait pas le droit, elle était lié à eux qu'elle le veuille ou non. Zut de flut ! Je la fusillais largement du regard lorsqu'elle me dit qu'elle savait « au moins » que ses pouvoirs étaient divins, et que c'était déjà une avancé. Trop cool, ça faisait plus d'un an qu'on le savait ça. J'étais là aux dernières nouvelles, je m'en souviens parfaitement. J'étais sacrément remonté, contre ma sœur. Aussi pris-je une grande inspiration, lorsque le sujet « mèche blanche » et « cœur gelé » furent abordé :

- D'abord parce que je l'aime bien moi cette mèche blanche. Je trouve ça cool. Juste roux, c'est pas intéressant, c'est banale comme couleur de cheveux roux, il y a plein de gens qui en ont. Ça fait partit de ma personnalité et je suis fière de l'avoir moi c'te mèche. Après, ce qui m'a fait le plus mal, c'est d'avoir un cœur gelé. T'étais pas là, quand ça c'est passé, mais on est allé voir les trolls avec Kristoff -c'est le type qui m'accompagnait- l'un deux, leur chef a dit qu'il y avait un remède à cela : l'amour sincère. Alors on m'a ramené au palais. Pour que mon « fiancé » s'en occupe. Mais, tu sais ce qu'il a fait ? Il m'a avoué qu'il ne m'avait jamais aimé. Tout ce qu'il a fait c'était pour pouvoir être roi. Au début c'est toi qu'il visait. Forcément t'étais la reine. Sauf qu'il s'est vite rendu compte qu'il n'avait aucune chance. Alors qui est-ce qu'on vient voir ? Anna ! Oh oui pauvre, pauvre petite Anna, si gentille, si naïve dans ses rêves de prince charmant. Tes pouvoirs l'arrangeait. Ainsi tu ne reviendrais jamais, et c'est moi qu'on nommerait pour gouverner à la tête du royaume. Et après, roooh un accident est si vite arrive. Hop ! Plus d'Anna et lui il aurait le trône. J'étais mourante Elsa, et il a fait croire à tout le monde que ma dernière volonté était qu'on se mari. Si Kristoff n'était pas arrivé à temps....Je n'ai plus de cœur gelé Elsa. C'est finit. Mais, je me sens mal parce que je ne pourrais jamais aimer Kristoff comme il m'aime. Je, ne veux plus être amoureuse. Une fois ça m'a suffit.

Je m'étais dit qu'après ça, elle comprendrait. Bah non ! Quedalle. La voilà qui embraye sur autre chose. J'avoue que mon regard se fit franchement blasé, quand elle me demanda si ma vie n'était pas meilleure sans elle. Est-ce que je l'étranglais tout de suite ou bien j'attendais ? Non mais cool Anna, zen respire voilà c'est mieux :

- T'as pas plus con comme question ? Le froid ça congèle aussi les neurones ? Réfléchit. Imaginons, un instant que la situation soit inversé. Réfléchit je te dit repris-je sèchement voyant qu'elle allait protester. Je me met à ta place. J'ai des pouvoirs, et je blesse involontairement ma petite sœur avec. Fatalement, je panique et le premier truc que je veux faire c'est la protéger. Du coup, je me dit que le mieux c'est de m'éloigner d'elle. Ca part d'un bon sentiment. Maintenant, met toi à ma place. Du jour, au lendemain je vois ma grande sœur, avec qui je m'amusais et de qui j'étais super proche. Me fermer sa porte, et refuser de me la rouvrir. Mes souvenirs ont été effacé, fatalement je ne comprend PAS, ce qui ce passe. Moi, tout ce que je vois, c'est que la personne la plus importante pour moi me rejette et fatalement ça fait mal. Donc NON Elsa. Ma vie n'est pas « meilleure » sans toi. Je ne t'en veux pas pour m'avoir blessé avec tes pouvoirs parce que c'était involontaire. Mais je t'en veux, pour m'avoir rejeté parce que c'est ce qui m'a le plus blessé. C'est pire que n'importe quelle mèche blanche ou n'importe quel cœur gelé. Parce que ça, ça Elsa même si ça partait de base d'un bon sentiment, c'était volontaire

- Et bien entendu tu plaisantais concernant toutes ces histoires de Kraken et autres dangers... N'est-ce pas ?

Haha...Si tu savais. Comment te dire que nope. Je plaisantais absolument pas. Ah ça se voyait, qu'elle avait un doute. Il était peut-être temps, de lui montrer qu'il y avait bien plus dangereux qu'elle et ses fichus pouvoirs. Aussi, enlevais-je mon sac à dos noir de mes épaules, avant de farfouiller dedans à la recherche de l'objet que je voulais lui montrer. Je finit par l'attraper, et la sortir entièrement de mon sac :

- Tadaaaam annonçais-je fièrement en brandissant mon épée dans son fourreau, je te présente Gram.

Alors là, franchement si j'avais pu prendre une photo je me serais pas gênée. La tête d'Elsa valait son pesant d'or. C'était épique. Je retins de justesse un léger gloussement moqueur. Ok, c'était pas charitable de ma part. Mais, n'empêche elle tirait une de ces têtes...

- T'as cru quoi ? Que je passais mon temps à me morfondre dans ma chambre ? Figure toi que pendant, toutes ces années où j'étais recluse à l'intérieur du palais, avec comme seule distraction les leçons de protocole, de maintiens, de politique et j'en passe. J'ai appris à me battre. Père, a finalement consentis à ce que le maître d'arme du château m'apprenne le maniement de l'épée. Et, toutes ces histoires de Kraken et compagnie sont bien réelle. Neverland tu connais ? J'y ai fait deux « voyages » on va dire. C'est là où j'ai rencontré les Kraken, les pirates et autres dieux des océans mégalo.

Je grimaçais. J'avais pas gardé un mega bon souvenir de la dernière fois où j'y étais allé. Sûrement, parce que je m'étais fait prendre pour une andouille par Melody. Je secouais la tête, inutile d'y penser. On, ne se voyait plus et c'était très bien comme ça. Néanmoins, j'eus une pensée pour Aaron. Je me demandais bien ce qu'il lui était arrivé à lui. Je l'aimais bien, on faisait un beau duo de paumé. J'espérais que si un jour l'occasion m'en était donné, je pourrais le revoir.

- Donc tu vois repris-je il y a beaucoup plus dangereux que toi. Même en ville. J'ai faillit me faire butté par une déesse de l'amour sous l'emprise de sa propre ceinture. Niveau traumatisme, je crois qu'on peu pas faire pire.




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________________________________________ 2016-05-05, 16:57

Suis moi, je te fuis

MAIS ANNAAAAAA! C'EST POUR TON BIIIEN!


Une... épée. Ma sœur avait une épée. Ma sœur. Anna. Avait une épée. Une épée. Une arme. Que l'on utilise pour tuer les gens. Ou les démembrés. Ou les décapiter. Une épée. Entre les mains de ma petite sœur. Comment père avait-il pu accepter de la laisser manipuler un objet aussi dangereux ! Avait-il été totalement inconscient ? On ne met pas une telle arme entre les mains d'une jeune fille, enfin ! Elle n'aurait même pas dû y toucher un jour. C'était dangereux. C'était...

- Je ne me sens pas bien. Il faut... que je me pose.

Une main plaquée contre ma poitrine qui se soulevait rapidement au rythme de ma respiration paniquée, je m'approchais en titubant sur mes jambes d'un arbre pour m'accrocher à son tronc. Je fermais les yeux, les bras enlaçant le bois pour ne pas tomber, et tentais de me faire à l'idée. Mais je n'arrivais pas à soulever mes paupières. Je n'étais pas encore prête à revoir ma sœur tenant une épée. Il me fallait du temps. Beaucoup de temps. Cela faisait beaucoup trop d'un coup. Je n'avais pas été préparée à tout cela. J'avais su qu'un confrontation serait inévitable. Je n'avais par contre pas imaginé que la vie d'Anna était aussi peu... royale.

- Tu as une épée. Ce qui veut dire que tu t'es déjà battue ? Non. Ne réponds pas. Je ne veux pas savoir. Ni t'imaginer sur le champ de bataille, à taillader des corps et trancher des membres.

Je refusais d'y penser. Avait-elle déjà combattu des personnes ? Avait-elle laissé des cadavres, des blessés derrière elle? Je secouais la tête, l'écorce rugueuse irritant ma joue, les paupières toujours closes. Elle n'était pas une guerrière. C'était mon adorable petite sœur, qui aimait jouer avec des poupées et s'amuser avec les chatons qui se cachaient dans les écuries. Le danger, c'était moi. Pas elle et... « Gram ». Elle lui avait donné un nom, comme si c'était un animal de compagnie. J'étais horrifiée.

- La ceinture de la déesse de l'amour ?

Cette fois, j'ouvris les yeux. Pour river un regard plein d'inquiétude sur Anna. La ceinture. Aphrodite. Cette même ceinture qui m'avait forcée à faire des choses que je regretterai à jamais. Si elle aussi avait-été confrontée à cet objet... Mes yeux s'écarquillèrent d'effroi, alors que je plaquais ma main contre ma bouche. Elle n'avait tout de même pas...

- Anna ? Il ne s'est rien passé... d'étrange, avec cette ceinture, n'est-ce pas ? Je veux dire... Tu n'as pas fait de bêtises alors que tu ne pouvais plus te maîtriser ?

J'avais une petite voix apeurée, alors que je posais de nouveau ma main contre l'arbre, sentant mes jambes trembler, comme si elles étaient prêtes à céder. Elle pouvait se battre. Mais elle était bien trop jeune pour... Faire des choses d'adultes. Elle n'était rien censée savoir du sujet. Absolument rien.

- Tu n'as plus de fiancé. Alors non. Tu es assez raisonnable pour ne pas traîner avec n'importe quel garçon. Il n'y avait pas de garçons lorsque tu t'es retrouvée face à Aphrodite et sa ceinture, n'est-ce pas ?

Pitié. Non. Faîtes que la réponse soit non. Il fallait qu'elle garde encore son innocence, qu'elle ne fasse pas de bêtises... Pas comme sa grande sœur. Elle m'avait dit qu'elle ne voulait plus être amoureuse. C'était parfait. Je n'avais jamais apprécié ce Hans. De toute façon, si il avait osé faire du mal à ma sœur, cela voulait sans doute dire qu'il était mort depuis bien longtemps. Il valait mieux pour lui, en tout cas. Je ne me voyais pas consoler Anna concernant ses amours maudits, je n'étais moi-même pas douée avec les relations sentimentales, c'était un principe qui m'échappait. Mais il était bien clair que personne n'avait le droit de briser le cœur de ma sœur. Personne. Dans notre famille, j'ai l'impression que nous ne sommes pas doués pour la romance. J'avais déjà du mal à renouer mon lien avec ma sœur. Je n'avais pas le temps d'ouvrir mon cœur à un homme.

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________________________________________ 2016-05-25, 02:45





Marre Il y en a Marre

Ou comment enguirlander sa soeur en 10 leçons

Changement de programme, que l'on m'apporte un flingue mais pour que je me tire une balle, non, non pour que je tire sur Elsa. J'avais jamais, autant eu d'envies de meurtre, et pourtant j'avais quand même envie de planter mon épée entre les deux omoplates d'Hans. Mais là, Elsa battait tous les records. Elle arrivait à m'énerver encore plus que lui. Non mais sérieux un champ de bataille ? Taillader des corps en pièce ? Elle vivait dans quoi une grotte ? Non parce que là c'était bienvenue à préjugé land.

- Évidemment, que je me suis déjà battus dis-je sèchement j'ai une épée c'est pas pour faire jolie. Et non, pas sur un champ de bataille. Non mais t'as pas finit d'être bourré de préjugé ? Tu sais où on est là ? A Storybrooke aka la ville la moins calme et sans doute la plus dangereuse du monde. Fourre-y tous les habitants du monde des contes, saupoudre de divin et t'as droit à un cocktail Molotov maison. Gram me sert à me défendre, parce que ouais je suis qu'une petite mortelle lambda sans pouvoir, donc faut que je sache me battre un minimum. Et non j'ai jamais tué personne dis-je en levant les yeux au ciel profondément exaspéré. De plus je t'aurais cru un peu plus calé en mythologie. Notre mythologie dis-je d'un ton accusateur.

Gram était l'épée du héros légendaire Siegfried, avec laquelle il avait pourfendue le dragon Fafnir. Etais-je donc la seule à m'intéresser aux légendes d'Arendelle ? De toute façon, elle décida de changer de sujet pour embrayer sur l'histoire de la ceinture d'Aphrodite. Si j'avais pas déjà épuisé mon quotta de regard blasé, nul doute que je lui en aurais jeté un. Non à la place, une idée germa dans mon esprit. Oui c'était pas cool du tout, mais honnêtement, elle l'avait un peu mérité ce qui allait suivre :

- Des garçons ? Ah tu parle d'Aaron et Jack. Oh on va bientôt emménager ensemble avec Jack d'ailleurs à ce sujet, non parce qu'il fallait bien qu'on se décide à sauter le pas à un moment, hein il fallait un endroit plus confortable pour nos triplets.


Alors là, je jubilais intérieurement, la tête d'Elsa était épique, magistrale, ce que vous voulez. Mais bon sang ce que ça faisait du bien. Ouais c'était pas cool, ouais c'était petit et sans doute un chouilla mesquin, mais puisqu'elle voulait du préjugé autant lui en donner. Je la laissais hyper ventilé pendant plusieurs secondes, avant de croiser les bras sur ma poitrine et de prendre un air goguenard :

- Non mais ça va c'est bon je déconne relax. Jack est juste un pote, sortir avec lui ça serait comme si je sortais avec toi, ce qui est affreusement flippant et me file des frissons d'horreur rien que d'y penser. En revanche, on emménage bien ensemble. Mais ça va il est reglo, et je pense qu'il en pince pour une autre fille, même s'il veut pas l'admettre. Quand à Aaron, on s'est pas revus pendant des mois après cette aventure, et lui aussi c'est juste un pote, il est à fond sur une autre fille également. Mes relations avec le sexe opposé sont purement platonique, rassure toi. Même si je te ferais aimablement remarquer que je vais sur mes 25 ans et que je ne suis donc plus une petite fille.

C'était normal à quasi 25 ans d'avoir un petit ami. Même si dans le cas présent, je ne le souhaitais pas. Je m'étais suffisamment fait briser le coeur pour le restant de ma vie . Je poussais un profond soupire d'exaspération. C'était pas gagné tout ça. Elsa, était encore plus coincé qu'avant. J'aurais cru qu'elle se serait un minimum acclimaté au monde moderne mais non, quedalle rien à faire. Ça en devenait franchement lourdingue à force. Elle était encore plus flippé qu'avant et il y avait manifestement rien à faire de ce côté là quoi que... Je fronçais légèrement les sourcils signe de réflexion, tentant de me remémorer les paroles de Jack, au sujet d'un type dont le job était justement de faire peur aux gens, apparemment il était pas fréquentable même s'il prétendait avoir changé. Peut-être pourrait-il aider Elsa, avec ses nombreuses phobies et névroses :

- Jack connaît un type dont la peur est justement la spécialité, tu devrais pt'être allé le voir des fois qu'il puisse t'aider on sait jamais. Moi, je jette l'éponge. Si tu veux rester toute seule, reste toute seule mais c'est pas comme ça que tu régleras les choses

La solitude n'amenait que de la douleur, et de la tristesse. J'étais bien placé pour le savoir. Et j'étais pour ma part, bien trop impliqué affectivement parlant pour rester totalement neutre, et ne pas avoir envie de lui faire rentrer dans la caboche de manière plutôt violente. J'adorais Elsa, c'était ma soeur, mais par tous les dieux d'Arendelle ce qu'elle pouvait être pénible quand elle s'y mettait...



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________________________________________ 2016-06-05, 00:22

Suis moi, je te fuis

MAIS ANNAAAAAA! C'EST POUR TON BIIIEN!


Elle se moquait encore de moi. Ce n'était que de l'humour. J'avais du mal à saisir les différentes nuances de plaisanteries, mais j'étais certaine qu'elle disait ça pour m'embêter. Je voulais bien qu'elle combatte des créatures monstrueuses armée d'une épée, mais elle ne pouvait pas... Ne pouvait pas... Être enceinte, ou déjà mère. Je n'étais pas prête à devenir tante. Je ne côtoyais jamais d'enfants, ils étaient bien trop fragiles et on m'avait toujours tenu à l'écart des progénitures fragiles des gouvernantes qui résidaient au château. J'avais bien trop peur de blesser Anna pour m'approcher de sa descendance. Et si l'un d'eux héritait de ce mystérieux gêne qui m'avait pourvu de pouvoirs ? Non, il n'y avait aucune raison pour que je m'inquiète. Elle s'amusait de ma panique, c'était tout.

Pourtant, mon cœur s'était de nouveau emballé. Elle était désormais une adulte. Elle avait probablement refait sa vie sans m'attendre. Elle avait rencontré quelqu'un. Elle avait des enfants. C'était bien pour elle. Mais non. Je n'arrivais pas à y voir autre chose qu'une nouvelle horrifiante. Je ne voulais pas qu'on touche à ma sœur, c'était bien trop... révoltant ! C'était ma petite sœur, que je voyais encore à l'âge de l'enfance, coiffée de ses couettes et de ses petites robes vertes.

- Je t'en supplie Anna, cesse donc de te moquer de moi ainsi ! Tu me fais imaginer le pire, et j'ai déjà bien trop d'informations à devoir assimiler. Comme le fait que tu es une épée. Ou que tu vives avec un garçon.

Je m'étais redressée, en relevant le menton, comme si quelques minutes plus tôt, je n'étais pas entrain de me retenir à un arbre pour ne pas m'écrouler, choquée. Je devais prendre sur moi. Ce n'était pas une habitude digne et mâture. Elle avait raison, elle allait bientôt avoir vingt cinq ans, c'était un âge important, et mâture. Je n'arrivais juste pas à comprendre pourquoi à un tel âge, on choisissait de s'installer avec un jeune homme pour qui on ne ressentait aucun sentiment. Le désir ne risquait-il pas d'un jour s'insinuer à un moment ou un autre dans cette relation platonique ? C'était quelque chose qui semblait naturel entre deux jeunes gens de sexes opposés. Je ne voulais tout simplement pas que ma sœur souffre, c'était tout naturel de m'inquiéter.

- Un homme qui pourrait m'aider concernant ma peur ? Allons Anna, penses-tu réellement que quelqu'un pourrait un jour retirer cette crainte qui ne me quitte jamais ? Je n'y crois pas, probablement est-ce un charlatan, comme ces soit-disant devins qui venaient frapper à nos portes pour nous parler de notre monde finissant dans les flammes de l'apocalypse.

Je poussais un soupire agacé en roulant les yeux. Si ils avaient réellement eu le don du troisième œil, ils auraient vu que Arendelle finirait sous la glace et la désolation, tout cela causé par la reine qui était incapable de se maîtriser.

- Je n'ai pas envie d'être seule. Je n'en peux plus. Tu me manques. Réellement. Mais... je n'y arrive pas. À faire des efforts. J'essaie, pourtant. J'essaie de ne plus avoir peur. Mais ce monde... je ne m'y sens pas à ma place. Je ne sais pas comment m'y intégrer. Je sais que je suis faible, mais je n'ai pas trouvé la force pour me relever et affronter tout ça.

Peut être m'aurait-il fallu une épée pour me sentir puissante et dangereuse. Peut être devrais-je m'habiller comme ces femmes au décolleté pigeonnant. Peut être faudrait-il que je rende ma couronne et que j'occupe mes journées en m'investissant dans un emploi, loin des fonctions royales qui ne demandaient que de prendre des choix judicieux et aucuns efforts physiques. Mais des « peut être » n'avaient jamais changés une vie. Si je voulais cesser de vivre seule, perdue dans les bois, je devais sortir de ma zone de confort. Parcourir les rues comme n'importe quel habitant. Monter dans une de ces monstrueuses voitures. Non. Ça, je n'étais vraiment pas prête. Je ne pouvais pas m'empêcher d'imaginer le monstre de métal m'avalant. Les gens en avaient besoin pour se déplacer, mais je préférai les chevaux. Ils n'avaient au moins par l'air de créatures cauchemardesques. Même si je n'en avais monté que quelques fois lorsque j'étais enfant. Je n'avais pas eu envie d'en gelé un depuis.

- Que ce qu'il faut que je fasse ? Réellement, Anna. Que dois-je faire pour ne plus avoir peur et enfin devenir quelqu'un ?

Être Elsa plutôt que la Reine des Neiges. Ce titre pesait lourd sur mes épaules, autant que la couronne de glace qui ne me quittait jamais. Je ne pouvais pas m'en défaire, mais j'avais envie d'avoir la foi. Et je voulais croire que ma sœur serait la clé pour que j'y arrive.

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________________________________________ 2016-06-21, 20:31





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Ou comment enguirlander sa soeur en 10 leçons

Ah, elle venait ENFIN de se rendre compte que je me moquais d'elle depuis tout à l'heure. Eh ben, il était temps. Elle me demandait même d'arrêter. Là dessus je pouvais rien promettre. Si elle continuait à se la jouer reine des préjugés, il y avait de fortes chances pour que moi je continue. Je sais, que c'était pas très sympa mais qui aime bien châtie bien après tout. J'aimais Elsa, c'est juste qu'elle était parfois...difficilement supportable. En particulier quand il s'agissait de tout ce qui ce qu'on appelait l'évolution des mœurs. Sans compter, que le fait qu'on ai grandit chacune de notre côté, a fait qu'elle était apparemment resté bloqué à l'époque où j'avais six ans, et que je jouais encore à la poupée. Ça faisait des années que j'y jouais plus, mais ça elle semblait ne pas s'en être rendu compte :

- Désolée Elsa, mais franchement c'était trop tentant, tu devrais voir ta tête c'était à se tordre de rire. Je sais, que c'est pas très charitable de ma part mais quelque part, tu tends aussi le bâton pour te faire battre. Faudrait que tu te détende un peu. Je n'ai jamais tué personne, même si je rêve de planter mon épée entre les deux omoplates de Hans je ne vais pas te le cacher. En revanche, croiser le fer avec des pirates, ça m'est déjà arrivé. Quant à Jack, honnêtement...On pourra jamais être autre chose qu'ami. Je l'adore, mais je crois qu'on s’entre tuerais si on était pas juste meilleur ami


Je grimaçais rien qu'à cette idée, on parlait quand même de Jack, celui qui oubliait de régler la douche à une température normal, après l'avoir prise, qui pillait toute la réserve de chocolat, et qui trichait quand on fait la course pour la plus grande chambre. Si, c'était mon petit ami je l'aurais déjà foutu à la porte. En revanche, je haussais légèrement un sourcil quand elle embraya sur le sujet de l'homme qui pouvait l'aider concernant sa peur. Venant de la nana qui manipulait de la glace, c'était un peu l'hôpital qui se foutait de la charité je trouvais m'enfin bon, c'était Elsa après tout :

- Pourquoi ? dis-je simplement, toi tu maîtrise bien la glace enfin...t'as des pouvoirs lié à cet élément. Donc pourquoi pas quelqu'un qui pourrait t'aider concernant ta peur. On est à Storybrooke je te le rappelle, pas à Arendelle.

En revanche, ce qui suivit, je ne m'y attendais pas. C'était nouveau ça, elle était enfin prête à accepter mon aide est ce que nous avions soudainement basculé dans la quatrième dimension ou bien... Non parce qu'entendre ça quand on y était pas préparé, c'était un peu flippant. Mais, j'allais pas encore me moquer, promis, j'allais resté sage et réfléchir. Parce que ce qu'elle me demandait quelque part, c'était de l'aider à s'intégrer à la ville. Hors, ça c'était un pari....Que même superman ne relèverait pas. Si j'y arrivais, l'équipe de mission impossible pourrait allé se rhabiller c'est moi qui vous le dit.

- Et si tu commençais déjà par tenter de me faire confiance ? Est-ce que tu te souviens, l'an dernier, en Février je crois, quand il y a eu ce dôme qui a recouvert la ville, et que je me suis je ne sais comment retrouvé de l'autre côté avec toi. Tu as pris mes mains, et pour autant que je me souvienne, tu ne portais pas de gants pour bloquer tes pouvoirs. Hors, il ne s'est rien produit, mes mains n'ont pas gelé. Et si tu tentais à nouveau ?

Comme pour prouver que j'étais sérieuse je tendis mes deux mains en avant. Si elle voulait vraiment, que je l'aide le mieux c'était d'y aller tout doucement, et de commencer par l'exercice de confiance. Si elle refusait de faire ça, alors c'était que je ne pouvais rien faire, parce qu'elle refusait de me faire confiance. Je peux faire plein de truc, mais je suis pas Wonder woman. Si on n'a pas confiance en moi, je peux pas réaliser de miracle juste en claquant des doigts.


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'CAUSE WHEN WE'RE TOGETHER, I COULD STAY FOREVER.


| Conte : La Reine des Neiges
| Dans le monde des contes, je suis : : Le glaçon ambulant

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Marre il y en a marre  _



________________________________________ 2016-08-03, 22:13

Suis moi, je te fuis

MAIS ANNAAAAAA! C'EST POUR TON BIIIEN!


Ses mains étaient tendues vers moi, comme si ce geste était naturel. Comme si il n'y avait pas de danger. Je ne bougeais pas, incapable de faire un geste, la gorge serrée, à fixer ces mains. Je me souvenais bien, de ces mains. Quand elles étaient minuscules et qu'elles se tendaient pour me supplier de jouer avec elles ou de faire tomber du ciel la neige. Je n'avais plus que ces souvenirs. Anna, petite fille, ma petite sœur, qui passait son temps à me suivre, à me prendre dans ses bras pour me serrer contre elle et ses réveils joyeux et surexcités parce qu'une autre journée que nous allions passer de nouveau ensemble venait de commencer. Et puis il y avait eu Anna, se mourant sur le sol de la grande salle, parce que mon pouvoir s'en était pris à elle. J'avais simplement voulu la sauver, mais j'en avais été incapable. Comment pouvais-je effacer d'un claquement de doigt de tels souvenirs ? Anna avait grandi, certes, mais moi non. J'étais encore cette enfant qui avait blessé sa sœur et qui jamais ne pourrait se remettre d'un acte aussi monstrueux.

- Tu es folle je... Je n'ai pas réfléchi lors de l'apparition de ce dôme, cela aurait pu t'être mortel ! Je ne peux pas risquer de te geler accidentellement, pas une nouvelle fois...

Je serrais les poings, en secouant la tête sans pour autant pouvoir quitter du regard ses deux mains qui semblaient me supplier. Ses mains qui me poussaient à venir vers elles, à ne plus avoir peur. Mais j'avais peur. J'avais tellement peur. Elle ne me quittait jamais, comme une ombre néfaste suivant chacun de mes pas, à ne pas me laisser en paix.

Pourtant, je fis un pas. Un léger déplacement, sans grande conséquence autre que le fait de me rapprocher d'Anna. J'étais près d'elle, bien trop prêt. Je sentie mon cœur battre de plus en plus fort, de plus en plus vite tandis que je faisais un nouveau pas et que mes mains se levaient. Ce geste, je l'avais souvent fais. Bien trop souvent. Et non pas pour faire le bien autour de moi ou utiliser mes pouvoirs à bon escient. Avais-je réellement usé de la glace sans blesser quelqu'un ou détruire toute chose incapable d'échapper à l'emprise
du gel et du givre ?

J'eus une hésitation, le cœur au bord des lèvres, incapable de bouger plus. Je ne me détachais pas de mon objectif, ces mains qui n'attendaient que les miennes, de peur que mes bras s'affaissent et qu'une nouvelle fois je disparaisse pour m'isoler bien plus et ne jamais revenir. Mes propres mains s'approchèrent un peu plus des siennes, tremblantes de manière incontrôlée, tandis que je tentais de ne pas passer à ce qui pourrait arriver si mon pouvoir s'activait et la transformait cette fois en statue de glace risquant de se briser à chaque bourrasque de vent ou impact trop violent. Sa tête. Son cœur. Je l'avais déjà blessée bien trop souvent pour lâcher prise et prendre sa main comme n'importe quelle personne le ferait.

- Je...

Les mots s'étaient bloqués dans ma gorge quand je vis que ma main était posée dans la sienne et qu'il n'y avait... rien. Aucune lumière bleutée, aucun scintillement annonçant l'hiver, aucune douleur ne s'affichant sur le visage de ma sœur, alors que depuis bien trop longtemps, je la touchais enfin réellement. Ce n'était pas une envie, pas un rêve, c'était un réel contact. J'eus une légère hésitation, avant de refermer mes doigts autour des siens et de serrer cette main qui n'était plus celle d'une enfant.

- Il ne se passe rien. Tu n'as rien. Je ne t'ai rien fais. J'ai... réussi ?

Je n'arrivais pas à réellement le savoir, mais je ne pu retenir mon sourire. Il était teinté d'un espoir que je n'avais pas ressentie depuis bien trop longtemps. Il disparu pendant quelques secondes, pendant que les larmes coulaient le long de mes joues, avant de réapparaître, incapable de contrôler les émotions qui s'emparaient de moi. Je tenais sa main, et elle n'était pas blessée. Mais est-ce que cela voulait réellement dire que j'étais capable de me contrôler ?

- Je ne veux pas défier le sort, il vaut mieux que nous cessions maintenant.

Je la lâchais et reculais précipitamment, en essuyant mes larmes du bout des doigts tout en lui tournant le dos pour qu'elle ne voit pas mon expression. Cette fois, je m'étais maîtrisée. Mais mon pouvoir était lié à mes émotions, et je ne voulais pas que le bouleversement émotionnel que je ressentais l'influence et s'attaque accidentellement à ma sœur. J'avais réussi à lui tenir la main, et c'était déjà beaucoup, n'est-ce pas ? Il fallait que j'y aille étape par étape, que je ne force pas les choses.

Un vent froid se leva tout à coup, et je levais le visage vers le ciel. Il neigeait juste au dessus de nous. Les flocons tombaient lentement, peu mais déjà bien trop nombreux. Je croisais les bras et agrippais mes coudes pour tenter d'occuper mes mains et surtout ne pas risquer de blesser par erreur Anna. La neige était légère et ne tenait pas sur le sol, mais j'avais peur de voir apparaître une tempête.

- Heureusement que j'ai eu la présence d'esprit de lâcher ta main, qui sait ce qu'il aurait pu t'arriver sinon !

Je ne voulais pas fuir de nouveau, mais il y avait toujours un danger important pour elle. J'avais réussi à me rapprocher d'elle, et c'était déjà une étape bien importante. Chaque chose à la fois. Maintenant, la crainte était de retour et je ne comptais pas recommencer avant un certain temps. Il fallait bien que je me remettre d'un tel événement ! Pour l'instant, une distance entre elle et moi était nécessaire. Tout pouvait arriver, et mieux valait prévenir que guérir.

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