« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
« Tu dois apprendre à oublier la douleur, ignorer les regrets et continuer à avancer. »
« No stress l'amie, on fera ça la prochaine fois ! Tiens, donne ta main, je vais te filer mon numéro et on s'appelle. »
Sans laisser à Anna le temps de réagir, Rebekah avait sortie un stylo et elle avait agrippée la main de la jeune femme pour lui noter un numéro dessus. C'était pratique courante quand on n'avait pas de papier à disposition. Je m'étais retenu de sourire, voyant que ça agaçait sans doute Anna ce genre de comportement. Elle avait déjà fait grise mine quand Rebekah avait passée une main dans ses cheveux. Quoi qu'il en soit, tout ça allait être bientôt loin derrière nous, vue qu'on avait refusé de passer la soirée avec elle. Et c'était tant mieux.
« Enfin seuls. » laissai-je échapper, avant de me rendre compte que ça pouvait être interprété de diverses manières et que ça pouvait aussi paraître méchant vis à vis de Rebekah, même si elle était déjà loin et qu'elle ne pouvait plus nous entendre. « Je l'aime bien, mais comme tu dis, je devais te faire visiter la plage et... voilà. »
J'avais mis mes mains en poche avant de me diriger à sa suite en direction de la plage. C'était mieux de se mettre en route que de continuer à parler pour rien dire, car je trouvais absolument rien de censé à dire. Pourquoi elle avait eu envie de se balader avec moi ? Rebekah aurait sans doute trouvée bien plus de sujets de conversations que de lui demander si elle avait trouvée un nom pour sa peluche.
« Tu dors bien ? » demandai-je toujours avec des sujets de conversations digne des plus grands... idiots. « A l'hôtel, le soir. »
Parce que la journée c'est rarement à ce moment à qu'on dort...
« Tu sais qu'ils autorisent à dormir sur la plage ? » dis-je en hochant la tête et en me rendant compte une nouvelle fois que je racontais des choses totalement inutiles et ennuyeuses. « Il y a beaucoup de touristes qui aiment dormir à la belle étoile. Ou qui vont se baigner à minuit. Il parait que l'eau est bien plus chaude. »
Le seul hic c'était qu'on avait beau m'apprendre à nager, je m'en sortais toujours aussi mal. La dernière fois où j'avais réussi à nager un peu correctement, c'était avec Louise. L'eau c'était plus le domaine de Melody et... ça remontait à loin. Je m'étais arrêté devant le rivage pour regarder au loin.
« On a une vue magnifique d'ici. » avouai-je en regardant l'horizon. « Je me dis parfois que si je prenais une barque et que je ramais jusque aussi loin que me porterait la mer, j'y trouverai une île tranquille et paisible pour y vivre à la Robinson. Ca serait bien loin de tout ce qui est arnaque pour touristes et les gros soucis. » achevai-je en soupirant.
« Tu avais besoin de t'éloigner de Storybrooke ? »
Anna D'Arendelle
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J'avais même pas eu le temps d'en placer une que déjà elle m'inscrivait son numéro sur la main. Si en me douchant ça s'effaçait est-ce que ça serait vraiment une grande perte ? Je grimaçais, et fit des signes de main excessivement joyeux, quand elle partis rejoindre ses amis. Bon débarras. Comme ça, plus de main dans les cheveux ni de gribouillis sur ma main. Et de toute façon, j'avais dès le départ, forcé la joie. J'avais les zygomatiques en bouillit à force de sourire comme une idiote. Là, je pouvais à nouveau être plus naturelle.
« Tu dors bien ? A l'hôtel, le soir. »
- Heu eh bien, je ne suis arrivé qu'hier donc je suppose que oui, étant donné que j'étais en pleine forme aujourd'hui répondis amusée.
Je l'écoutais parler de la plage, du fait qu'ils autorisaient les gens à y dormir. Ça devait être vraiment génial. Je n'ai jamais dormit à la belle étoile. J'ai voulu le faire quand j'étais enfant, j'étais sortie en douce avec ma couverture et mon oreiller, mais mon père m'a surpris et m'a ramené vite fait dans ma chambre. Comme pour se faire pardonner, le lendemain il avait prit un grand drap à la blanchisserie dans les sous sols du palais et m'avait aidé à le colorer en bleu foncé, avant d'y peindre des étoiles. Puis, il l'avait accroché au dessus de mon lit :
- Ça doit être génial, de dormir juste sur la plage, à la belle étoile dis-je. J'aurais adoré faire du camping en forêt, mais Jack est une chochotte, il a pas osé venir et toute seule c'est pas drôle alors je passe mes nuits dans ma chambre en compagnie de mes peluches.
Je souris et me perdit dans la contemplation de l'horizon. C'est vrai que la vue était magnifique, j'adorerais vivre dans un endroit avec une aussi jolie vue. Ou dans une cabane sur l'eau comme on en voit dans les reportages à la télé. Je me dit, que loin de la « civilisation » et tous ses soucis, je serais sans doute plus heureuse. Sauf, que je ne pouvais pas me résoudre à laisser Elsa toute seule à Storybrooke. Ne serait-ce que pour le bien de la ville et de ses habitants c'était une mauvaise idée. Et puis, elle restait ma sœur, même si elle me tapait souvent sur le système.
« Tu avais besoin de t'éloigner de Storybrooke ? »
- Storybrooke est une chouette ville, mais ça serait mentir de dire que j'y suis tout le temps très à l'aise. J'ai pas beaucoup de connaissance, en dehors de Jack, d'Aster mon patron et de ma sœur. Alors, il m'arrive de ressentir ce besoin de prendre le large, de partir à l'aventure. J'aurais adoré voyager. J'ai visité un royaume du monde des contes d'ailleurs, c’était celui de ma cousine. J'y ai fait la connaissance de mon oncle et ma tante, le roi et la reine. Ils étaient très gentil. Mais quelque part, ça me rappelle que mes propres parents ne sont plus là, et qu'on est toute seule avec Elsa. Et cette tête de pioche, ne veut pas entendre raison sur le fait, qu'à force d'être tout le temps flippé avec ses pouvoirs elle arrivera ni à les contrôler ni à faire quoi que ce soit. Alors oui, j'avais besoin de m'éloigner et j'avais des congé à prendre donc j'en ai profité.
Je restais encore quelque secondes à regarder l'horizon, laissant la légère brise s’engouffrer dans mes cheveux. Puis, je m'accroupis pour défaire les lacets de mes chaussures et enlevé mes chaussettes que je laissais dedans. Pied nu je me dirigeais vers le bord de l'eau, profitant de la légère marée qui imposait un mouvement de va et viens à l'eau afin d'y tremper les pied. Puis sans crier gare, j'envoyais une giclée droit vers Aaron avec un rire :
- Allez tu sais quoi, ce soir on met nos soucis de côté et on s'amuse. Et si tu continue à tirer cette tête je continue à t'éclabousser. Alors ? Le défiais-je
Aaron McAdams
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Anna évoquait Storybrooke et les connaissances qu'elle y avait. Pendant ce temps, j'essayais de mettre un nom à côté de chaque prénom qu'elle prononçait. Jack... Ca devait être Jack Frost, n'est ce pas ? Je l'avais déjà croisé et il était un peu spécial. Cela dit, c'était quelqu'un d'agréable, de blond, de musclé, de pas très grand ni trop petit et... bref, c'était quelqu'un de sympathique. Aster j'avais aucune idée de qui il était question. Elle avait ajoutée qu'il s'agissait de son patron, mais ça ne me disait pas plus qui il était. Je ne l'avais jamais croisé et Melody et Egéon ne l'avaient jamais évoqués. Quand à sa soeur, je savais très bien de qui il s'agissait. C'était Elsa, la reine des neiges et aussi une des déesses magiques. Elle avait un pouvoir impressionnant et vachement cool.
« Un Royaume ? » demandai-je tandis qu'elle me contait à quoi ressemblait celui de son oncle et de sa tante. Ca signifiait qu'ils avaient trouvés un moyen de se rendre dans le monde des contes et qu'ils y allaient fréquemment ? La seule fois où j'avais quitté cet univers pour l'autre, ça ne m'avait pas vraiment réussi. Je sentais encore la douleur des poings de Melody sur mon visage. Bon sang qu'est ce qu'on avait été loin ce jour là. Et j'aurai pu perdre beaucoup de choses, dont ma vie.
C'était invraisemblable d'imaginer qu'il y avait quelques mois, ma vie était totalement différente et surtout dangereuse. Aujourd'hui, je travaillais dans un centre de jeux pour adultes et enfants dont le seul risque était de se faire virer, en faisant gagner bien trop de grandes peluches. Comparé à une attaque des dieux ou de Poséidon, c'était absolument rien. J'étais là, aux côtés d'Anna, à regarder le vent s'engouffrer dans ses longs cheveux et à contempler sa mèche blanche. Je me demandais si ça lui avait fait mal quand elle était apparue. En tout cas ça lui allait bien. Ca avait son petit effet, pensai-je en souriant, avant de secouer la tête et de regarder l'horizon.
Anna s'était accroupie afin de défaire ses lacets et de retirer ses chaussures et chaussettes. Elle s'était retrouvée pieds nus et elle avait fait route en direction de l'eau. J'aurai pu me contenter de l'observer et de la laisser faire, si elle n'en avait pas profité pour m'envoyer une giclée d'eau dessus.
« C'est pas du jeu ! J'étais pas préparé ! » m'exclamai-je, tandis qu'elle était en train de remettre ça sous prétexte que je tirai une tête qui ne lui convenait pas. Elle pensait que je ne savais pas m'amuser ? J'étais simplement pas préparé. D'ailleurs, je venais de m'asseoir sur le sable fin.
« Interdiction de m'éclabousser tant que je ne suis pas préparé. »
J'avais à mon tour défait mes chaussures et je les avais retirés, puis je m'étais relevé juste après avoir mis mes chaussettes dans mes chaussures. Une fois debout, j'avais ôté mon tshirt, restant torse nue et j'étais en train de déboutonner mon pantalon, juste avant de me rendre compte que je n'avais peut-être pas bien compris ce qu'elle entendait par s'amuser. Parce qu'à ma connaissance, ça signifiait qu'on allait entre dans l'eau et tenter de se faire boire la tasse. Mais peut-être qu'elle pensait simplement à s'éclabousser.
« Tu comptais entrer dans l'eau ou tu parlais de juste... enfin... »
Maintenant que le tshirt était retiré, ça aurait fait bizarre de le remettre. J'avais grattouillé mes pieds contre le sable fin, avant de poser mon tshirt sur mes chaussures et de m'approcher de l'eau.
« Faut déjà voir si elle est bonne. » dis-je en me penchant et en prenant un peu d'eau dans mes mains. Puis, j'en avais passé sur ma nuque. C'était dangereux d'entre trop rapidement dans l'eau. Bien qu'avec mon bas, je ne comptais pas aller bien loin, sauf si je voulais totalement le mouiller.
« Ah mince ! Attends ! Ne bouge pas... » ajoutai-je en tentant de chercher dans l'eau ce que j'y avais perdu. Quand elle avait tentée de m'aider et de comprendre de quoi il s'agissait, j'en avais profité pour relever mes mains rapidement, avec suffisamment d'eau dedans et de tout envoyer en direction d'Anna.
« On est à égalité maintenant. » dis-je tout en m'éloignant d'elle. On ne savait jamais, si elle comptait prendre sa revanche...
Anna D'Arendelle
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Je m'amusais de l'indignation d'Aaron. C'était justement ça le but quand on éclaboussait quelqu'un, qu'il ne soit pas préparé. Si il savait à l'avance que j'avais l'intention de faire ça aurait été beaucoup moins amusant. Je levais les deux mains, devant moi, de manière innocente pour lui montrer que je ne l'éclabousserait pas plus pour le moment.
« Tu comptais entrer dans l'eau ou tu parlais de juste... enfin... »
- Si tu parle d'aller se baigner, c'était un peu l'idée répondis-je amusée
Je l'observais faire, je savais plus ou moins qu'il ne fallait jamais entrer dans l'eau d'un coup. Même à la piscine -qui était grosso modo le seule endroit où l'on pouvait se baigner à Storybrooke- on prenait toujours soin de faire attention. Mais, je n'étais encore jamais vraiment venu à la mer. Il était assez difficile de se baigner à Arendelle, quand on savait que le thermomètre dépassait rarement la barre des vingt degrés même en été. Et encore, si l'on avait vingt degrés, c'était que nous étions chanceux. Mais même si son climat était plutôt rude, mon royaume natal me manquait. J'avais parfois le mal du pays, même si je m'étais bien adapté à Storybrooke. Et la visite à Corona, n'avait malheureusement, fait qu'attiser mon envie d'y retourner. Pas pour longtemps, un ou deux jours me suffirait. Mais si je voulais définitivement tirer un trait sur le passé, il fallait que j'aille là-bas. Et que je retrouve Olaf, et m'excuse au prêt de Kristoff également ça serait pas mal.
Je secouais la tête, ah non ! Pas question de broyer du noir aujourd'hui. J'avais dit qu'on allait s'amuser. Et ça valait aussi pour moi. Je m'étais « moquée » de la tête que tirait Aaron, alors si je tirais la même, ça n'allait pas le faire. D'ailleurs il semblait avoir perdu quelque chose. Intriguée, je fit ce qu'il me demandait lui proposant tout de même mon aide pour chercher. Ce à quoi je ne m'étais pas attendu en revanche fut sa vengeance pour l'avoir éclaboussé tout à l'heure :
- Heeeey ! m'exclamais-je indignée
Je croisais les bras sur ma poitrine, et fronçait les sourcils dans une attitude courroucée. Ça ne dura d'ailleurs pas trente seconde avant que je n'éclate de rire. Je n'étais pas mauvaise perdante, et il me fallait saluer l'ingéniosité d'Aaron, je ne m'étais absolument pas méfié :
- D'accord tu m'as bien eu reconnus-je mais j'ai pas dit mon dernier mot
J'enlevais ma veste, la posant à côté de mes chaussure, et répétais l'action avec le reste de mes affaires, me retrouvant en maillot de bain pour entrer doucement dans l'eau qui me parût dans un premier temps glacial. Mais d'un côté, c'est toujours l'effet que ça fait quand on rentre dedans. On a beau dire que ça va l'eau est bonne, on la trouve toujours froide quand on rentre dedans. J'attendis donc quelques secondes toujours à la même place. Me mouillant régulièrement la nuque, pour m'y habituer, puis sans crier gare plongeait la tête la première sous l'eau. Je remerciais d'ailleurs Skunk pour m'avoir apprit à bien respirer en apnée car cela me permet de tenir le temps que je souhaitais. Je reparus à environ un mettre d'Aaron pour lui renvoyer une nouvelle giclée d'eau :
- Ça fait deux pour moi lançais-je en tirant la langue comme une gamine
Vu sa tête, quelque chose me disait qu'il n'allait pas se laisser faire aussi facilement. C'était peut-être le temps d'effectuer un replis stratégique non ?
Aaron McAdams
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Même si je m'étais dit qu'il fallait mieux se reculer un peu pour éviter d'être à nouveau pris pour la cible de la jeune femme, elle avait optée pour me laisser tranquille. Du coup, j'avais baissé ma garde et j'avais attendu qu'elle me rejoigne. Elle avait commencée par retirer sa veste, la posant à côté de ses chaussures, puis petit à petit, elle avait ôtée le reste de ses habits, laissant entrevoir un maillot de bain deux pièces, éclairé par la faible lumière de la nuit qui commençait à tomber. Si Melody était là, on aurait pu me comparer à elle, car j'étais resté quelques secondes la bouche grande ouverte, comme un poisson hors de l'eau. Bon d'accord, la sirène n'était pas un poisson, mais il lui arrivait souvent d'ouvrir la bouche et de la maintenir ouverte quand quelque chose la choquait ou la surprenait. Ca nous faisait souvent partir dans des fou rires avec Egéon. C'était la bonne époque.
Tandis que je reprenais mes esprits, Anna avait poursuivi son entrée dans l'eau, en se mouillant à plusieurs reprises la nuque. Je devais vraiment regarder ailleurs pour arrêter de bugger toutes les trente secondes. L'eau était à la température idéale, et au loin on pouvait y voir l'horizon et le coucher de soleil, ou alors de l'autre côté, la plage qui s'étendait à perte de vue. Il n'y avait pratiquement personne à cette heure ci, ce qui rendait l'ambiance calme, détendue et roman... enfin normale quoi. J'avais entendu un bruit dans l'eau et en me retournant, Anna avait disparue. Elle avait sans doute plongée, tête la première pour se mouiller intégralement. Si j'avais vue le coup venir, je me serai éloigné, mais il était trop tard. Elle était déjà ré apparu et une nouvelle giclée d'eau me venait droit dessus.
« Tu cherches la guerre ? » l'interrogeai-je en m’avançant vers elle d'un pas difficile, vue que l'eau me retenait. Quand à Anna, elle tentait de s'éloigner, mais c'était peine perdue, car plus elle s'éloignait, moins on avait pied et... je m'étais stoppé. J'avais observé l'eau quelques instants et la moitié de mon torse mouillé. Si je continuais à avancer, je devrai nager et autant éviter de se ridiculiser de suite. Louise m'avait appris quelque petites trucs, ainsi que Melody, mais je n'étais vraiment pas à l'aise dans l'eau. Surtout quand il s'agissait de la mer qui était bien plus impressionnante qu'une piscine ou un petit bassin.
« Ok, tu as gagnée cette manche. » Il valait mieux se montrer prudent. « Ca te dit qu'on marche dans l'eau ? » ajoutai-je en commençant à m'avancer en ligne droite le long du rivage. C'était amusant de marcher dans l'eau, car il fallait faire beaucoup plus d'efforts vue que l'eau nous retenait. Mais ça donnait une sensation véritablement agréable.
« Tu sais, je pense souvent à ... » à quoi ? A quand tu étais folle amoureuse de moi ? Non, mais j'étais vraiment en train de dire un truc pareil ? Pourtant à ce moment précis, je pensais à cet événement qu'on avait vécu tous les deux et qui me mettait mal à l'aise à chaque fois. Je n'avais aucune idée de pourquoi j'allais lui dire ça. « ... à Storybrooke. Et au zoo. » Hum... oui, le zoo, c'est pas mal, même si j'y ai jamais mis les pieds. « A tout ce qui est là bas. Certains choses me manquent. »
J'avais observé l'eau remuer sous mes pieds. Les vagues étaient petites à cette heure ci, ce qui rendait l'avancée bien plus facile pour nous. Ce qui était dommage, c'était de ne pas voir l'eau bleue comme durant la journée. Quand le ciel se reflétait dessus, c'était agréable.
« Je me disais que... » me stoppai-je en entendant un sifflement au loin. J'avais tourné la tête en direction de la plage et on pouvait y voir deux jeunes gens prendre nos vêtements et nous faire de grands signes de la main. Signes auquel je venais de répondre, avant de me rendre compte qu'ils étaient en train de nous voler nos affaires.
« Sapristi ! » m'exclamai-je en tentant de rejoindre le plus rapidement la plage. Mais une fois encore, l'eau ralentissait nos pas et les jeunes gens avaient déjà pris la fuite. « C'est pas vrai ! Ils nous ont pris nos vêtements ! Qui fait ça de nos jours ? » demandai-je sans attendre réellement de réponse. On allait se retrouver en maillot de bain ici ? D'un côté c'était à la plage, il n'y avait rien de grave, mais on venait de nous voler nos affaires. C'était pas croyable. « On peut suivre leur traces de pas dans le sable ! » m'exclamai-je en me mettant en route tout en jetant un coup d'oeil vers Anna pour voir si elle était partante ou non. J'avais de l'argent dans mes poches...
Anna D'Arendelle
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Chercher la guerre qui ça ? Moi ? Mais nooooon voyons. Juste un tout petit peu. J'arborais un air angélique, qui ne devait tromper absolument personne. L'air de dire, que je ne voyais pas du tout de quoi est-ce qu'il parlait. D'accord, des fois je me comportais comme une gamine de cinq ans plutôt que comme une jeune femme de vingt cinq ans mais ça avait toujours plus ou moins fait partis de ma personnalité. J'étais un peu espiègle sur les bords. Ça avait juste tendance à plus ressortir quand je me sentais parfaitement à l'aise et en confiance avec la personne que je fréquentais. D'un côté, les événements de Décembre dernier m'avaient rendu un brin plus méfiante, achevant ce que Hans avait déjà commencé. J'ignorais où se trouvait Melody, et je ne cherchais pas à en savoir plus. Elle s'était fichu de moi, tout comme Hans l'avait fait et il n'y avait pas de place pour les manipulateurs dans ma vie.
Je hochais positivement la tête à la proposition d'Aaron. De toute façon, je préférais éviter de nager alors qu'il commençait tout doucement à faire de plus en plus sombre. C'était rarement conseillé. Donc marcher dans l'eau me convenait parfaitement. Aussi me rapprochais-je un peu plus de l'endroit où il était. Si je continuais à m'éloigner ça allait devenir plus profond et pour marcher c'était pas le top. Nous marchâmes un petit moment comme ça, avec simplement le bruit provoqué par l'avancement des corps dans l'eau quand Aaron décida d'y mettre fin parlant de Storybrooke et du zoo. J'ignorais qu'il y était déjà venus. Bon d'un côté j'ignorais pas mal de choses à son sujet donc c'était pas tellement étonnant. Mais s'il aimait tellement le zoo, je pourrais peut-être lui proposer de rentrer à Storybrooke avec moi quand j'y retournerais. Peut-être qu'il pourrait trouver un emploie là-bas. Animateur à Coney Island avait pas l'air d'être une vocation apparemment. Il avait d'ailleurs commencé une phrase avant de s'interrompre en plein milieu et de faire de grands signes à des types. Heeeu j'étais pas sur qu'ils soient là pour taper la discut' en toute honnêteté.
« Sapristi ! C'est pas vrai ! Ils nous ont pris nos vêtements ! Qui fait ça de nos jours ? »
Sapristi ? Sapristi ? Je dût me mordre la lèvre pour ne pas sourire, heureusement qu'il faisait noire. Mais qui disait encore ça de nos jours ? C'était trop....Le premier mot qui me venait à l'esprit fût « adorable » mais j'étais pas sure que de dire à Aaron qu'il était adorable lui plairait beaucoup. D'une manière générale c'était paraît-il le genre de truc qu'on évite de dire à un homme. Enfin d'après Jack. Mais à bien y réfléchir il était pas franchement une référence en la matière. C'était un gamin dans la corps d'un type de vingt ans.
- Eh bien de nos jours c'est des gens qui trouvent ça hyper marrant de prendre les vêtements des autres, parce que leur Q.I est proche de celui d'une amibe.
J'aurais bien dit huître mais j'étais sur qu'une Huître était plus intelligente que ces petits malins. Quoi qu'il en soit, la lune venait de se lever, ce qui nous donnait un peu d'éclairage pour suivre leurs empruntes dans le sol. Quand on est intelligent on évite de prendre les vêtements sur une plage. Si je les retrouvais, j'allais leur mettre une bonne raclée histoire qu'ils comprennent :
- Suivons leur trace approuvais-je ça serait bien qu'on ai pas à rentré sans vêtements et en plus j'aimerais éviter de racheter un second portable. Un portable par an ça fait un peu beaucoup.
D'après les traces ils se dirigeaient de l'autre côté de la plage, avec un peu de chance on arriverait à les rattraper. Ils ne devaient pas avoir prit autant d'avance que ça
Aaron McAdams
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« Tu dois apprendre à oublier la douleur, ignorer les regrets et continuer à avancer. »
Je me sentais bête, stupide et inutile. Anna m'avait demandée de l'accompagner sur la plage pour me promener à ses côtés et lui faire découvrir les alentours et de sales garnements avaient réussi à nous voler nos vêtements. Tout ça pourquoi ? Parce que monsieur voulait marcher le long de l'eau au lieu de nager. D'un côté, si on avait nageait, je pense qu'ils auraient également pu nous prendre nos habits, mais ça venait tout de même d'une de mes stupides idées. A cause de moi, on venait de se retrouver pieds nus, avec juste nos maillots de bains et rien d'autre.
« Je retrouverai ton portable, je te le promet. » dis-je en la regardant avec un air grave tout en continuant de marcher. Il m'avait fallu que quelque pas avant de rire faiblement. « Qu'est ce que je suis bête... » murmurai-je en secouant la tête, sans regarder si Anna confirmait mes dires ou pas. « Le côté épique du chevalier qui va se battre jusqu'à la mort pour retrouver ton portable, c'était un peu exagéré... Mais on va le retrouver. Je te le promet. »
Voilà que j'en remettais une couche, mais cette fois ci en la faisant moins épique. On avait marché un petit moment en continuant à suivre les traces de pas, juste avant de voir au loin de la lumière. Quelqu'un avait fait un feu de camps sur le bord de plage. La seule chose que j'espérais, c'était qu'on n'y trouverait pas Rebekah et ses amis. La perte des vêtements suffisait pour ce soir.
La voix venait du camps et une jeune femme, ressemblant trait pour trait à Rebekah, c'était approchée de nous avec deux de ses amies.
« Alors lui c'est Aaron. Je vous en ai déjà parlé. Et elle c'est Anna. C'est ma meilleure amie ! » s'exclama t'elle, tandis qu'une autre de ses amies lui demandait depuis quand elle la connaissait et que Rebekah n'avait rien trouvée de mieux à dire que... : « Même pas une heure ! C'est dingue, hein ? Mais la vie est faite de surprise. Allez venez, je vous offre à boire. »
Elle avait passée ses bras autour de nos épaules, pour nous conduire vers le feu. C'était également là où se trouvait un groupe de trois garçons, qui montraient des vêtements à d'autres personnes.
« C'est eux... » murmurai-je en me détachant de Rebekah pour rejoindre le groupe. Ils allaient voir ce que ça faisait de voler nos vêtements. Tout en marchant je me demandais justement ce que je voulais dire par là. Car je ne comptais pas les frapper, même si je possédais une force surhumaine. Ca n'aurait pas été fair play. A moins de les avertir avant et de leur laisser une chance de pouvoir tout stopper. Mais ça voudrait dire qu'il faudrait également leur expliquer ce qu'était un demi dieu. A dire vrai, mieux valait faire les choses simplement.
« Ce sont nos vêtements. » dis-je catégorique en indiquant les vêtements qui se trouvaient là et en faisant face le plus calmement possible à l'un des trois jeunes, le plus costaud, qui s'était approché de moi.
« Ah oué ? Dix dollars et ils sont à toi. »
Il se moquait de moi ? Je n'allais pas payer mes propres vêtements. J'étais à deux doigts d'ouvrir la bouche, quand celle de Rebekah était venue se mélanger à celle du type. Elle était en train de l'embrasser ?
« Y'a un soucis Romuald ? » demanda t'elle à son sois disant copain, qui avait indiqué qu'on l'embêtait. J'avais risposté en précisant qu'il avait pris nos vêtements et Rebekah avait tout réglé avec un autre coup de langue. J'aurai préférée lui laisser les vêtements que de revoir ça. Quoi qu'il en soit, ils avaient consentis à nous les rendre. J'en avais profité pour entraîner Anna avec moi et m'éloigner de ce camps des plus bizarres.
« Tiens, ton portable. Ils l'ont mis dans mon pantalon. » dis-je en le sortant de la poche du pantalon que j'étais en train de remettre et en lui tendant. « Ils ne sont pas si méchant que ça. Juste un peu écœurant. »
Est ce qu'on allait continuer notre promenade ? Ca ne l'avait pas trop dégoûtée de Coney Island et de ma compagnie ?
Anna D'Arendelle
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J'avais sourit amusée à la remarque d'Aaron. Je trouvais pas ça bête, je trouvais même plutôt ça amusant. Et puis, ça avait le don de temporisé un peu mon énervement envers les débiles qui nous avaient chipé nos vêtements. D'ailleurs, quelque chose me disait que le fin mot de toute cette histoire, n'était pas loin tandis-que nous arrivions à proximité d'un feu de camp. Et effectivement, Rebekah et sa ribambelle de pote étaient là. Je fronçais les sourcils énervée. Ça ne m'étonnerait même pas qu'elle soit derrière tout ça. D'ailleurs, je grinçais légèrement des dents lorsqu'elle me présenta comme sa « meilleure amie ». On n'était pas pote aux dernières nouvelles, j'avais « un » et non « une » meilleur ami. Et on n'était pas devenue comme cul et chemise juste après l'histoire de la ceinture. On s'était revus par hasard, on avait bien accroché, et on a continué jusqu'à tisser une véritable amitié. Sans compter que j'avais horreur des gens qui me forçaient la main et par dessus tout : je n'avais pas soif ! C'était quoi ces préjugés à deux balles comme quoi il faut forcément boire de l'alcool pour s'amuser.
Je refusais poliment mais fermement la bouteille de bierre qu'on me tendit, le tout en faisant de gros efforts pour canaliser mon impulsivité. On allait pas provoquer un incident diplomatique alors qu'on était en sous effectif avec Aaron. Et puis, j'avais pas amené mon épée à Coney Island. Donc impossible d'en assommer un ou deux avec son pommeau. Dommage, j'aurais bien aimé voir quel bruit ça produisait le contact avec leurs crânes. A mon humble avis, ça devait sonner creux. J'avais observé d'un œil méfiant Aaron tenter de récupérer nos fringues avec le gros balourd. De là où j'étais, arriverais-je à le prendre par surprise et à lui balancer un bon coup de genou dans le point sensible pour laisser le temps à mon compagnon de galère de reprendre ce qui nous appartenait ? Je ne le saurais jamais puisque Rebekah décida de régler la situation par elle même. Ouais heu si on avait pu éviter ce genre de truc ça aurait été cool aussi.
Grimaçante, je me laissais bien volontiers entraîner au loin par Aaron. Tandis-qu'il me tendait mon portable :
- Rajoute casse pied après écœurant dis-je ils sont écœurant et casse pied.
J'en profitais pour renfiler mes vêtements avant que quelqu'un d'autres n'ai la brillante idée de les piquer à nouveau. Sait-on jamais. Peut-être qu'on allait ENFIN pouvoir continuer cette ballade tranquillement, sans que Rebekah n'active à nouveau son mode pot de colle super glue. Encore une fois, j'avais rien contre les nouvelles rencontres. Mais j'aimais pas qu'on me force la main, et qu'on m'oblige à faire des choses que je ne veuille pas faire. En règle générale ça se finissait très mal :
- C'est pas après toi qu'en j'en ai préférais-je rassurer Aaron c'est juste Rebekah and co qui me court un peu sur le haricot
Aucun doute, elle avait rien à voir avec ma Bekah. D'ailleurs, rien que les souvenirs de la partie de Karting me redonnèrent le sourire. J'espère que ça irait bien pour elles avec Scampi.
- Dit j'ai pensé à une chose. Si Storybrooke te manque tu pourrais peut-être venir avec moi, en fin de semaine quand j'y repars. Ça sera peut-être plus sympa que tout seule à Coney Island. Je t'oblige à rien hein dis-je précipitamment. Mais si ça te tente ben on peu faire la réservation pour le bus et l'avion. Ça se bouscule pas tellement pour allé dans le Maine.
Et je pouvais pas franchement leur en vouloir, on était très connus pour passer notre temps sous des trombes d'eau. Même si parfois on avait droit à du soleil et des températures au dessus de 20 degrés.
Aaron McAdams
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faisait froid... ! »
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« Tu dois apprendre à oublier la douleur, ignorer les regrets et continuer à avancer. »
Sa proposition m'avait donnée à matière à réfléchir. Est ce que j'avais envie de retourner à Storybrooke ? Il y avait bien trop de souvenirs là bas et à dire vrai, même si je ne partageais pas l'avis de Melody quand elle disait que Storybrooke nous avait tout pris, elle n'avait peut-être pas totalement tord. C'est quand on avait penché sur cette ville pour la première fois que les malheurs étaient arrivés. Mais je gardais la tête sur les épaules en songeant au fait que si Egéon n'avait pas rejoins ce Dragon et tenté de faire revenir son père, peut-être qu'on serait encore au manoir Blackstorm à couler des jours heureux. Il n'y aurait pas eu de ceintures, ni de coups de poings sur le visage et encore moins de pertes.
« Je... Je ne sais pas. Je ne pense pas être encore prêt à revenir à Storybrooke. Et pour être totalement franc, je n'ai pas l'impression que ma vie est là bas. »
Ce qui ne signifiait pas qu'elle était ici. Je me sentais à l'aise ni à Storybrooke, ni ailleurs. Tout ce que j'avais appris ces dernières années ne m'avaient servis qu'à m'attirer des ennuis. Même Ariel, la mère des jumeaux n'était pas celle que je croyais. D'ailleurs elle avait disparue après notre retour. Je me demandais si elle était là bas, de l'autre côté, avec Poséidon. Car tout portait à croire qu'il n'était pas mort. Egéon aussi devait se trouver là bas. J'espérais juste qu'ils n'avaient pas abandonnés Melody et qu'un jour on apprendrait qu'ils avaient tentés de la retrouver. Car si ils l'avaient abandonnés une fois encore, je ne sais pas ce que je leur ferai. Même si je n'aimerai pas qu'elle parte avec eux.
« Je ne viens pas des autres mondes. A Storybrooke, il y a pratiquement que des gens de là bas. Et on ne peut pas dire que ça m'a beaucoup porté chance cette ville. En plus j'ai un contrat jusqu'à la fin de l'été ici. Et même si c'est pas ce qu'il y a de mieux, c'est tout de même bien payé et ça permet de voir venir. »
Je n'avais aucune idée de ce que je ferai ensuite. Le parc avait moins d'employés le restant de l'année, du coup mon contrat ne sera pas renouvelé. Du moins pas avant le prochain été. Il me restait la possibilité de rentrer à Londres et à dire vrai c'était pour cela que j'étais ici. Je voulais gagner et économiser le plus d'argent possible pour rentrer à la maison. Ma vie était à Londres et non ici. Et je n'avais vraiment pas envie de demander à mon père qui ne s'était jamais occupé de moi, de l'argent. Même si pour lui ça serait facile d'en faire apparaître. Je n'avais pas spécialement envie de le revoir.
« Et toi ? » demandai-je pour changer de conversation. « Tu as des projets ? Enfin, tu travailles, mais... Tu comptes un jour retourner chez toi ? C'est Arendelle, c'est ça ? »
J'étais curieux de savoir si elle songeait à passer sa vie ici, à Storybrooke, ou si un jour elle comptait rentrer chez elle et devenir la Princesse qu'elle était déjà. Est ce que ça lui allait les couronnes ? J'avais jamais vue de réelles Princesses. Enfin de gens avec une couronne sur la tête. Je me demandais à quoi ressemblait son monde.
« Ton chez toi te manque ? »
Anna D'Arendelle
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HERE WE GO AGAIN
| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Anna
Je ne m'étais pas attendus à une réponse positive en toute honnêteté. En revanche, j'admettais être un peu vexé quand au fait que pour lui cette ville ne lui avait pas porté chance. Merci c'est sympa pour moi. Et puis on avait rien demandé nous aux dernières nouvelles, c'était les divins qui avaient du jour au lendemain débarqué chez nous sans prévenir. Je n'étais pas comme la plupart des extrémiste de la ville. A pleurnicher sur le fait que les méchants dieux étaient venus semé la pagaille chez nous, parce que c'était déjà la pagaille avant qu'ils n'arrivent. Et même s'ils n'étaient jamais venus, rien n'indiquait que ça n'aurait pas été pire. Quelque part, ils nous aidaient. Mais là, clairement Storybrooke n'y était pas pour grand chose quand aux soucis d'Aaron. Néanmoins, je n'avais pas envie de me brouiller avec lui, aussi décidais-je de ne rien dire pour le moment, et de réfléchir aux paroles que je pourrais prononcer afin de ne pas agir de manière bête juste sous l'impulsion du moment et du fait que j'étais légèrement vexé :
- Je trouve qu'au contraire, Storybrooke est le parfait exemple du terme « Hétéroclite » elle accueil des gens pratiquant la magie, des gens qui autrefois étaient des animaux des « têtes couronnés », des gens normaux, des divins qu'ils soient dieux, créatures, déesses magiques, demi dieux et j'en passe. L'on y noue des liens que l'on aurait peut-être jamais lié auparavant. Si tu n'avais jamais posé le pied à Storybrooke, on serait pas là à se promener le long de la plage et je sais pas pour toi, mais moi je trouve que ça aurait été dommage.
Mine de rien ça m'avait demandé un sacré effort, mais j'étais plutôt contente. Généralement, j'étais plus le genre j'agis et je réfléchis après. Je laissais mon impulsivité me guider, j'agissais sur le moment. Il, n'y avait qu'à voir ce soir là. J'avais été odieuse avec Elsa, alors qu'au final elle avait eu raison et je ne m'étais même pas excusé au prêt d'elle à bien y réfléchir.
- Je ne sais pas trop avouais-je parfois j'ai envie de retourner pour de bon chez moi, de retrouver ma vie d'avant. Mais à bien y réfléchir, ma vie d'avant n'avait rien de chouette. Dans le dessin animé, je m'interpose entre Elsa et Hans, me transformant en statue de glace et l'empêchant de la tuer. Après quoi, ma sœur me dégèle le cœur, et inverse ce que ses pouvoirs ont provoqué, laissant le printemps revenir sur Arendelle. Sauf que la réalité est très différente. Sans la malédiction, je serais probablement morte à l'heure qu'il est et Hans serait à la tête du royaume.
Sans parler du fait, que les gens avaient vécus presque 31 ans, sans Elsa ni moi. Je l'avais su par Corona. Nous avions disparu, probablement présumé morte l'une comme l'autre. Et même si mon oncle et ma tante, avaient promis de rétablir la vérité, j'ignorais totalement comment se déroulerait notre retour.
- Je suis un peu perdu dis-je finalement. Je ne sais même pas si l'on peu vraiment y retourner pour de bon ou bien si l'on est piégé à Storybrooke pour la fin de nos jours. Corona s'est retrouvé enfermé dans une espèce de brume, de ce que j'ai compris Dun Broch aussi a été touché. Alors, je m'inquiète et je me demande si ce n'est pas déjà le cas d'Arendelle et si c'est le cas. Qu'est-il arrivé à tous ses habitants ? Sans compter que j'aimerais vraiment qu'Elsa assume ses responsabilité. Parce que si elle ne reprends pas sa fonction de reine c'est moi qui vais devoir le faire. Et en toute honnêteté, je n'en ai pas du tout envie. Je suis pas faite pour régner. Moi je rêve d'aventure, de grands espaces, de me battre avec des brigands ou des pirates. D'explorer le monde. La politique c'est pas franchement mon truc.
J'achevais cette dernière phrase avec un léger sourire contrit, un peu comme une enfant prise en faute. Je me confiais rarement sur ce sujet, parce que je savais que ce n'était généralement pas ce que l'on attendait d'une princesse. Mais, j'avais lu tellement de choses, et je m'étais gorgée des récits d'aventure des héros d'Arendelle. Si bien, que j'avais nommé mon épée en hommage à celle de mon héros préféré :
- En tout cas, si jamais un jour tu as envie de passer. N'hésite pas, ça me ferait très plaisir.