« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Je, ne pouvais pas rester toute ma vie, comme ça. Mon frère avait raison. Petit à petit, j'allais devoir revenir à la vie. Et même, si ma colère envers les autres, ne s'était pas encore totalement dissipé, le faire indirectement payer aux filles, alors qu'elles n'y étaient pour rien. Louise, était fraîchement rentré de sa mission depuis quelques jours. Je savais, qu'Apo' avait souhaité l'envoyer pour s'assurer qu'Hadès revienne bien avec les réponses souhaité. Je m'étais contenté d'un reniflement méprisant en guise de réponse reflétant tout le bien que j'avais pensé de cette idée. Louise, avait une patience d'ange mais j'aurais souhaité qu'ils ne se rencontre jamais. Ma « famille » contenait suffisamment d'abruti comme ça, pas besoin qu'elle les rencontres tous. Ô, elle était au courant, des « relations » que j’entrerais avec « Juju », je ne lui avait pas caché que c'était un con. C'était justement, pour ça que je n'avais pas très envie qu'il s'en prenne à elle. Il était de ceux qui n'appréciaient pas que les mortels leur tienne tête. Moi, je pouvais le baffer ou lui mettre mon poing dans la figure, sans craindre grand chose. Louise, c'était une autre histoire. Et quelque chose me disait que malgré toute la patience dont elle était doté...Ça c'était quand même mal passé avec lui. Mon frère, s'était esclaffé, dès que j'avais franchit le pas de la porte, avec Hippolyte, pour me raconter une histoire de rideau, ou plutôt me la dire de vive voix, j'avais eu besoin de toute ma concentration, tout à l'heure et l'entendre ricaner comme un idiot dans ma tête, ne m'avait hélas pas réellement aidé. C'est pourquoi, je lui avais demandé d'arrêter et de me le raconter dès que je serais de retour.
Quoi qu'il en soit, il était plus que temps pour moi de remettre définitivement le nez dehors. Je remontais, la pente, et j'avais envie de prendre un peu de temps pour moi. Entre toutes les expéditions divines dont j'avais fait partis depuis plus d'un an, je n'avais jamais réellement eu cette occasion. Mais actuellement, c'était l'occasion de le faire, Apollon m'avait déjà convaincu de voir Lily il n'y a pas longtemps, et j'admettais qu'il avait eu raison. Pas question, de le lui avouer à voix haute en revanche, il était bien trop égocentrique pour cela. Notre dernier sujet de chamaillerie en date, était le nom de mon fils. Apo', était sur que j'avais voulu lui rendre hommage en l’appelant Phobos, parce que ça se rapprochait de Phoebus. Même si, techniquement, j'ignorais totalement, d'où sortait son nom. Il avait été crée par Elliot, et j'avais découvert son existence un peu en même temps que tout le monde. Je ne savais donc pas du tout, d'où sortait son nom, ni même qui l'avait nommé comme cela. Même, si la symbolique était plus proche, de son père que de son oncle, j'avais eu beau le répéter, à mon frère, j'ignore combien de fois, il n'écoutait pas, et partait du principe que mon fils avait été nommé en son honneur. Je le laissais faire, si ça l'amusait après tout...
Mais aujourd'hui, les chamailleries avec mon frère, n'étaient pas à l'ordre du jour. Il fallait, que je m'occupe un peu des miens, avant que nous commencions tous notre vie dans notre coin. Je savais, que ce n'était pas la fin de nos relations. Juste, un nouveau départ pour chacun de nous. J'avais encore beaucoup de choses à apprendre, et la première sur ma liste : était d'apprendre à moins compter sur Apollon. Et, en cela je remerciais Phobos. Sans lui, je crois que ma relation avec son père, n'aurait pas autant avancé. Mon attachement, envers Pitch était irréfutable, je l'aimais comme je n'avais jamais aimé aucun homme, et j'étais prête à réellement faire ma vie avec lui.
Mais puisque l'on parlait des miens, j'avais promis à Peggy, une journée toutes les deux et en consultant son emploie du temps, j'avais pu remarqué qu'elle n'avait cours que jusqu'à onze heure aujourd'hui. De quoi grandement arrangé mes affaires. Et puis, nous étions au printemps, ma saison favorite et pourtant, je n'avais pas encore arpenté ces bois que j'aimais tant. Il était sans doute temps pour moi, de revenir à la vie. Même, si je ne me sentais pas encore totalement prête à reprendre contact avec le monde divin. Je souhaitais en rester le plus éloignée possible. Si mon frère, avait besoin de moi, bien sur je m'empresserais d'accomplir mon devoir. Je lui avait promit d'être toujours présente, et de le soutenir. Pas de secret entre nous, c'était notre accord pour être son second. Et puisqu'on parlait de secret, il y en avait un qui n'avait pas lieu d'être avec une autre personne également : Hippolyte. Athéna, devait être mise au courant. Elle culpabilisait suffisamment comme cela, aussi me promis-je au retour de ma journée avec Peggy de lui demander de me rejoindre à la fin du monde, pour que l'on en discute toutes les deux.
Si je m'étais attendue à des reproches, concernant le fait de ne pas vouloir de contact avec le monde divin, il n'en était rien. Apollon avait toujours été un frère attentionné, et il respectait mon vœu actuel, de ne pas entrer en contacte avec le restant de notre « famille ». Il, n'y avait pas grand chose, d'après lui en ce moment. Il, se contentait de poursuivre ses recherches au sujet des prophétesses et de s'occuper de moi. Je lui avait plus ou moins reproché de négliger ses fonctions au profit de son idiote de sœur, mais il les avait balayé d'un revers de main. Si j'avais, été dans mon état normal, sans doute l'aurais-je trouvé extrêmement envahissant. Mais vu l'état actuel des choses, il pouvait m'envahir autant qu'il le voulait, je trouvais sa présence réconfortante. J'étais en colère, j'étais triste et il m'aidait si ce n'est pas à faire disparaître ces deux sentiments, tout au moins à les atténuer.
J'avais accepté de visionner un Disney avec Peggy hier, elle était monté dans ma chambre, on s'était installé toutes les deux sur mon lit, une tasse de chocolat chaud et un bol remplie de cochonnerie entre nous. Elle avait voulu visionner Lilo et Stitch son favoris. Je n'avais pas osé lui avouer que ça m'avait filé le cafard, mais elle avait vu mon visage se fermer. C'était en partie pour cela, que je souhaitais passer la journée avec elle. Pour me faire pardonner. Ce n'était pas, de sa faute et je ne souhaitais en aucun cas qu'elle le pense.
Assise devant ma coiffeuse, je contemplais les restants de mon bracelet à breloque. La plupart avaient été enlevé, il fallait dire que ça faisait des mois, que je ne le portais plus. A mon poignet, se trouvait à présent plusieurs bracelets d'argent que j'avais acheté il y a longtemps, lors d'un séjour en Afrique. Ils étaient fait de manière artisanale, et je les avaient trouvé magnifique dès le premier regard. Celui à breloque, lui avait séjourné pendant longtemps dans ma boite à bijoux, il y a deux semaines, j'avais enlevé celles de pas mal, de gens afin de tenter quelque chose. J'étais allé voir un bijoutier avec celle de Peggy et lui avait demandé de me la monter en pendentif. Le résultat, avait été au delà de mes espoirs.
Doucement, je refermais l'écrin contenant le collier, et le glissait dans mon sac, avant de mettre ce dernier sur mon épaule. Il ne me fallut que peu de temps, grâce à la téléportation, afin de me retrouver devant le lycée. Un sourire naquit sur mon visage, tandis-que je regardais l'heure sur mon téléphone. La cloche sonnerait dans une petite minute. Timing parfait.
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"- Ho mes cheveux, moui, tu n'imagines pas la tête de Diane quand elle m'a vue ont les cheveux mauves. Apple? Tu es toujours là? APPPEUHEUUUUUL ! Pomme Dapi ! Appolineuuuuuuh ! Zut."
Je détachais mon téléphone de l'oreille, tirant une grimace, tout en regardant si c'était le réseau qui avait coupé ou si ça venait plutôt d'Apple. Je soupirais, de toute façon, les cours de la journée n'allaient pas non plus tarder à me terminer, j'avais encore une heure de cours. Je tournai la tête, croisant Siana qui faisait son possible pour ne pas se faire remarquer.
"SIANA ! ATTENDS-MOI !"
Je courus à travers le couloir pour arriver à sa hauteur.
"Ho...hummm...il fallait peut-être pas que je me fasse remarquer hein? Tu as vu? tu ne remarques rien? Dis un grand sourire en passant une main dans ma chevelure blonde. -Tes cheveux... -Mes cheveux ! Je suis redevenue blonde? Toi aussi tu préfères? -Peggy, un peu moins fort...on vient de rentrer en classe...et...nous ne sommes pas dans le même cours d'habitude."
Ho
J'ai fermé ma bouche alors que j'allais ajouter quelque chose. Je me tournais vers le professeur, qui me regardait. Il semblait sourire, le reste de la classe se mis à rire aussi et Siana devint rouge écarlate avant de foncer à sa place.
"Ho désolé monsieur."
Je fis volte-face avant de sortir de la classe. La mienne était quelque part à l'étage du dessus. Mathématiques. Je fis une petite grimace. C'était quelque chose de vraiment compliquer pour moi. Je rejoignis la salle et m'y installai, à coté de la fenêtre, vers le milieu de la salle. Je fronçais les sourcils, essayant de comprendre la logique scientifique, questionnant à de multiples reprises mes voisins de devant et de droite.
La sonnerie retentit enfin.
Libérée ! Délivrée !
J'exagérais à peine, ma journée de cours était terminée. Il était onze heure. Je sortis mon téléphone, pianotant un message à Apple, un autre à Siana et puis un autre à Octavia. Elle me répondit rapidement, un sourire se dessina sur mes lèvres. Octavia et moi on était comme...personne. On était la mini-police. Pour moi c'était plus...officieux. J'allais passer le restant de la journée avec Diane. Elle devrait être à la coloc, si elle n'était pas chez Pitch. Depuis qu'elle s'était absenté la dernière fois, Diane était...différente. Et pas qu'un peu, s'en était alarmant. Je ne savais toujours pas pourquoi, mais à mon avis, c'était quelque chose de très fort. Apollon était toujours là donc, déjà, c'était une hypothèse d'écarter. Je n'avais pas posé de questions. Si Diane voulait partager ce qui la mettait dans un tel état, elle le ferait, ça ne servait à rien d'essayer d'aller de l'avant. L'autre truc dingue arrivé récemment c'était Hippolyte. La revoir en chair et en os ça avait été bouleversant. C'était le mot juste, elle aussi parlait quand elle le voulait, et la pauvre elle e avait plein sur le coeur aussi. Nous ne savions toujours pas où se trouvait Arès. Je m'embrouillais encore dans l'explication qu'elle avait tenté de me donner, ce n'était franchement pas commun.
Je traversais le couloir rapidement pour rejoindre la sortie. Le printemps, c'était une saison absolument magnifique, pleine d'odeurs délicieuses et d'images chaleureuses. Vous avez remarqué le nombre de gens qui se mettent en couple au printemps? J'aperçus Diane, un large sourire se dessina sur mes lèvres. Ce n'était pas prévu, du coup ça me rendait encore plus heureuse. Elle avait l'air mieux. Sa présence titillait ma curiosité, elle aurait pu attendre que je la rejoigne, mais elle était là.
"Diane !" Dis-je tout en la rejoignant, un large sourire aux lèvres.[b] "Tu es venue pour qu'on aille manger une glace? On va se prommener? Ou ça?" Maintenant, j'était impatiente de savoir.
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Diane Moon
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Voir Peggy, me met du baume au cœur. Un sourire s'étale sur mes lèvres, alors que mon regard prend une teinte plus malicieuse lorsqu'elle évoque la raison de ma présence, par la possibilité d'aller manger une glace. A cet instant, la ressemblance avec mon frère, n'aurait pu être plus flagrante. Nos mimiques, étaient sensiblement les mêmes, bien que plus rare chez moi. Il était le côté lumineux, et moi le côté obscur de notre duo. Parfaite incarnation du soleil et de la lune :
- Une glace ? Effectivement, j'y ai pensé dis-je en tapotement doucement mon indexe contre mon menton, alors que je fis mine de réfléchir, je pouvais sentir l'impatience de ma nièce grandir de plus en plus. Avec un sourire, je mis finalement fin au suspens lui révélant mes intentions Tu avais parlé de la France, avant que je ne m'en aille pour la dernière fois. Eh bien, c'est ton jour de chance jeune fille, puisque c'est notre destination du jour.
Ma main sur ma bouche, je dissimulais un rire, devant l'enthousiasme qu'elle manifesta. J'aimais faire des surprises, encore plus quand elles plaisaient comme dans le cas présent. Je savais que Peggy, dévorait les livres de nos bibliothèques respectives, à mon frère et moi sur la France. Elle en rêvait, et ne cesser de nous en parler. Hélas, avec tout ce qu'il s'était passé l'an dernier, je n'avais pas pu exaucer son souhait d'y aller. Bien sûr, elle aurait sans doute pu le faire seule. Mais, je savais qu'elle n'en ressentait pas l'envie. Elle voulait que ce soit l'un de nous qui l'y accompagne. Que l'on se fasse une sortie familiale en quelque sorte. Doucement, j'agitais mes doigts, l'encourageant à me prendre la main, tandis-que je l'amenais vers un endroit plus propice à la téléportation. Certes, nous étions à Storybrooke, et ce n'était un secret pour personne, que nous autres dieux y habitions, néanmoins, je restais contrairement à Aphrodite ou Hadès, relativement inconnue du grand publique et cela me convenait parfaitement. J'appréciais la discrétion. Aussi, faisais-je toujours en sorte, de trouver une ruelle exempte de tout passant afin d'effectuer une téléportation.
La main de ma nièce, toujours dans la mienne, nous nous retrouvions en très peu de temps dans un décor bien différent de celui de Storybrooke :
- Tu ne m'en voudras pas, j'espère d'avoir préféré Paris à Strasbourg. Mais, j'ai bien plus de repaires ici, que dans la capitale européenne dans laquelle je n'ai, je l'avoue jamais mit les pieds tout au long de ma très longue existence.
Mais, Peggy ne semble pas s'en formaliser loin de là, et dès que nous sortons de notre ruelle, embrasse la ville d'un regard émerveillé m'arrachant à nouveau un sourire. J'étais heureuse de passer cette journée en sa compagnie. C'est comme si tous mes soucis, s'étaient envolés, emporté par le vent. Tout, était au rendez-vous afin de passer un agréable moment. Il y avait tant de choses à lui montrer, tant d’anecdotes à raconter. Par quoi allais-je commencer ? J'avais bien ma petite idée :
- Nous allons commencer par le Louvres, j'ai...Quelques petites choses à te montrer là-bas qui valent le coup d'oeil. Et puis, je te promet une visite guidée bien plus intéressante que celle de n'importe quel guide ou audio guide que l'on peu trouver dans le musée.
Lui faisant signe, de me suivre, nous, nous dirigeâmes bientôt vers la grande pyramide de verre, qui gardait l'entrée du plus célèbre musée de France. Dire qu'à l'époque de sa construction, elle avait été tant critiquée, et accusé d'être un furoncle dans la cour de l'ancien palais des rois. Aujourd'hui, peu de gens devaient connaître cet épisode, habitué depuis toujours à la voir trôner au milieu de la dite cour, depuis des années. Elle faisait partie du paysage en somme.
D'un œil toujours quelque peu inquiet, je faisais en sorte de garder Peggy au prêt de moi, tandis-que nous, nous mêlions à la foule des badauds. Si, je n'étais déjà moi pas très grande, bien que je trichasse de par les cinq centimètres de talon que je me rajoutais toujours pour ne pas paraître trop naine aux côtés du géant me servant de jumeau, Peggy, elle était encore plus petite, si bien que je craignais de la perdre avec tout ce monde. Bien sur, je pourrais toujours « sentir » son aura, et l'identifier en tant que Pégase, mais je préférais la savoir à mes côtés. Arrivé, au guichet, je payais nos places, avant de l'orienter vers la partie des sculptures. Arrivé au détour d'un couloir, je plaçais subitement mes deux mains sur ses yeux. Me doutant bien qu'elle eût dû être surprise par ce geste, je me penchais doucement pour lui parler :
- Tu me fais confiance ? Il y a là, une des choses que je souhaite te montrer, c'est un peu comme une surprise. Alors, je vais te guider, et à trois, j’enlèverais mes mains de tes yeux.
Un mouvement de tête de ma nièce, m'informa de son approbation. Alors, tout doucement, je la guidais, avant de souffler le compte à rebours et de lui enlever mes mains des yeux :
- Je te présente Mercure sur Pégase, annonçais-je cérémonieusement. Mercure, qui se trouve être le nom Romain de ton créateur. Je me suis dit que ça te ferait plaisir de voir une représentation de vous deux.
J'espérais tout de même ne pas avoir commis de bévue, à trop vouloir bien faire les choses, j'avais hélas tendance à mettre les pieds dans le plat.
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La France. Je ne cachais pas mon enthousiasme à cette nouvelle, ni mon amour pour ce pays. La France c'était un pays qui faisait rêver, il en ressortait un certain romantisme. J'aimais beaucoup ce pays, depuis qu'Hermès m'en avait parler la première fois. Je rêvais de découvrir ce pays. Alors j'avais commencé à me renseigner sur ce pays, à commencer par la bibliothèque. Et puis au lycée, j'avais pris l'option troisième langue Française. J'aimais beaucoup ses écrivains et ses poètes, certains de ces chanteurs si on se donnait la peine d'écouter les paroles. Et puis des auteurs comme Victor Hugo qui faisait rêver. Sans parler des couturiers. J'aimais beaucoup le stylisme aussi et les Français faisaient des robes magnifiques. J'aurais bien aimé rencontre Monsieur St Laurent. Et puis j'en avais beaucoup parler à Apollon et Diane. De façon directe ou non d'ailleurs. Quand l'envie m'en prenait parfois, je glissais quelques mots de français à Apollon comme à un appel qu'il ne comprenait peut-être pas toujours. Ou un livre de victor Hugo laissait volontairement sur la table du salon. Quand je ne posais pas directement la question.
Je glissais ma main dans celle de Diane, toute souriante. Le coeur remplit de joie. Je le sentais s'enflammer rien qu'à la pensée d'être en France. Nous marchions jusqu'à un endroit moins exposé avant de nous téléporter...à Paris
"- Tu ne m'en voudras pas, j'espère d'avoir préféré Paris à Strasbourg. Mais, j'ai bien plus de repaires ici, que dans la capitale européenne dans laquelle je n'ai, je l'avoue jamais mis les pieds tout au long de ma très longue existence. -Absolument pas, c'est parfait."
Tous m'émerveillaient. C'était la première fois que je voyais Paris. C'était comme une flamme qui venait de naitre en moi. Curieuse et impatiente de découvrir de nouvelles choses. Et j'avais une accompagnatrice de choix, ce n'était pas avec n'importe qui, avec Diane.
"- Nous allons commencer par le Louvres, j'ai...Quelques petites choses à te montrer là-bas qui valent le coup d'oeil. Et puis, je te promet une visite guidée bien plus intéressante que celle de n'importe quel guide ou audio guide que l'on peu trouver dans le musée. -Tu as vécu à Paris? Longtemps? "
Je la suivais, posant un regard émerveillée sur tous ce qui se trouvait là. Même sur les pigeons qui avaient l'air très habitués aux habitants. Ils se contentaient de courir quand nous marchions derrière eux. Fascinant. Ho le Louvre, le fameux musée. On avait le temps de tout voir en une journée? Je la laissais me guider. Les yeux pleins d'étoiles. Le Louvre paraissait si grand. Je ne l'avais vu qu'en film jusqu'ici. Alors le voir en vrai c'était quelque chose de grandiose et d'étourdissant.
"- Tu me fais confiance . Il y a là, une des choses que je souhaite te montrer, c'est un peu comme une surprise. Alors, je vais te guider, et à trois, j’enlèverais mes mains de tes yeux."
Je lui fis un petit signe de tête. J'étais prête, je lui faisais confiance. Il ne pouvait rien m'arrivée avec elle. Elle enleva soudainement ses mains, juste après avoir compté.
Je te présente Mercure sur Pégase, annonçais-je cérémonieusement. Mercure, qui se trouve être le nom Romain de ton créateur. Je me suis dit que ça te ferait plaisir de voir une représentation de vous deux.
Je ne dis rien pour commencer, trop émerveillée par cette sculpture. Hermès. J'eut un sourire plus tendre celui-là. On se retrouve en France toi et moi. D'une certaine façon, il avait tenu sa promesse. Je l'avais juste sous un autre aspect. Il était à la fois la statue, avec moi, enfin un autre moi. Et dans mon coeur, je le sentais toujours là. Je n'avais jamais voulu croire qu'il n'était plus là. Je l'attendais, je l'attendrais, même si cela prend du temps, un jour ou l'autre je le retrouverais. Je me tournai vers Artemis, un large sourire aux lèvres.
"Merci." Dis-je dans un bon français.
C'était un tout petit mot mais il voulait tellement dire pour moi.
"Ils ont fait cette sculpture quand? Il y en a d'autres? Et Apollon et toi vous y etes aussi?"
Je lui fis un nouveau sourire.
"Je suis contente d'être ici avec toi. Il m'avait dit qu'on irait ensemble lui et moi mais...avec cette statue, c'est comme s'il était là, en quelque sorte. Alors merci."
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Diane Moon
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La joie de Peggy, se manifestait par une multitude de question. Si bien, que j'en venais à me demander si ça lui arrivait de respirer. Mais je souris tout de même, lorsqu'elle me remercia, réfléchissant à sa demande. Il y avait plein de représentation de la famille divine, que ce soit au Louvres ou ailleurs. Mais, je savais qu'il y avait deux status sensé représenter mon frère. Si pour les traits du visage ça n'avait rien à voir, les deux le représentait intégralement nu. Comme quoi, ils l'avaient plutôt bien cerné cette andouille. Quant à moi, il y avait la « Artémis à la biche » ou « Diane de Versailles ». Bien, que « Artémis au cerf » aurait été bien plus juste comme nom, étant donné que ce n'est pas une biche mais un cerf représenté à mes côté. Encore une fois, si les traits du visage n'avaient rien à voir, la statu était plutôt fidèle.
Tandis-que je réfléchissais un sourire fourbe se dessina sur mon visage, et mes yeux se mirent à pétiller d'amusement. Une petite visite guidée du Louvres, par les représentation des dieux, et puis par la même occasion, ça me permettrait de lui montrer les œuvres d'artistes que nous avions côtoyé avec Apollon.
- Suis moi dis-je en tapant dans mes mains, on va changer d'endroit. Les status de ton oncle et de moi, sont dans la zone d'antiquité Grecque et Etrusque.
Et puis, cela me permettrait de lui parler sur le chemin. Elle m'avait posé une question, il était temps que je lui réponde. Peggy, était curieuse et j'avais décidé d'être un petit peu plus ouverte concernant mon passé. Alors, autant commencé par là. Sans compter, que raconter une anecdote ou deux, ne nous ferait de mal ni à l'une ni à l'autre :
- On y a vécus à plusieurs périodes, notamment le règne de Louis XIV enfin on y est resté jusqu'aux deux premières années de vie à Versailles, après quoi on a immigré en Louisiane. On a d'ailleurs passé beaucoup de temps là-bas. C'est la seule de nos propriété que j'ai gardé dans un excellent état de conservation. Il faut dire que j'y ai vécus pendant dix ans juste après la guerre. Après quoi, je suis allé à San Francisco pour les onze dernières années et ce jusqu'à Storybrooke.
On s'était également établit en France, deux ans juste après avec quitté la Nouvelles Orléans. J'avais sentie un trouble arriver. La guerre de Secession avait éclaté peu de temps après notre départ, et je m'étais félicité de nous avoir éloigné de ce potentiel danger. Après quoi, nous avions parcourut l’Europe et le monde pour finalement rentrer chez nous en 1919. Les années folles, resteraient toujours ma période favorite. Et les avoirs vécu en Louisiane, me faisait me dire que nous avions eu beaucoup de chance. Je me souviens encore du bar où nous allions danser sur un air de Jazz avec Apollon.
- Si ça t'intéresse on ira voir les peintures après il y a aussi des représentation, de nous mais c'est autre chose que je souhaite te montrer là-bas
J'adressais un clin d'oeil mystérieux à Peggy, tandis-que nous descendions à l'étage des status. Nous marchâmes un petit moment, avant que je ne lui montre la première statue de mon frère :
Comme tu peux le constater dis-je d'un air consterné ton oncle est...Fidèle à lui même. Je me demande d'ailleurs s'il n'y est pas vraiment pour quelque chose enfin bon...Ne nous attardons pas sur ces petits détails. Tu voulais tes anecdotes ? Figure toi que la première fois qu'il a vu la statu il s'est mit à bouder parce qu'il lui manquait un bras.
Mes yeux se mirent à pétiller d'amusement à l'évocation de ce souvenir, et avec un sourire en coin, je jetais un regard à ma nièce avant de croiser les bras sur ma poitrine et d'afficher une moue boudeuse, en jetant des regards indigné à la statue et de me mettre à ronchonner :
- Inadmissible...M'ont abîmé...Me manque un bras...Indigne de la perfection que je suis
Je continuais ainsi pendant un petit moment, avant de plisser les yeux et de conclure en affichant un air hautain :
- Pfeuh de toute façon même avec un bras en moins je suis toujours aussi beau
Je secouais la tête en voyant que Peggy avait beaucoup apprécié mon imitation d'Apollon, puisqu'elle semblait à avoir du mal à s'arrêter de rire. Mais d'un côté je la comprenais, c'était vraiment drôle de se moquer de lui. Il démarrait au quart de tour :
- Voilà, ça c'était ton oncle la première fois qu'il a vu la statue. Personnellement, j'étais juste à côté en train de lui très sérieusement que effectivement il avait raison c'était un crime. Aujourd'hui encore il n'a toujours pas compris que j'étais en train de me moquer de lui. Enfin, c'est Apollon que veux-tu on ne le changera pas je le crains