« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 C'est de l'injustice injustement injuste! ▼ Les mères indignes

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C'est de l'injustice injustement injuste! ▼ Les mères indignes _



________________________________________ 2016-06-15, 21:38


Vous êtes trop méchantes !

Cette sale gosse va nous tuer...

- Tu préfères la robe rose ou la combinaison en cuir ?

Je me tournais pour présenter à mon grand frère les deux tenus que je venais de sortir de mon placard pour qu'il puisse me donner son avis. Il était toujours de bon conseil, et je savais que lui, il ne critiquerait pas mes choix vestimentaires. Pas comme Maman et Maman qui en ce moment poussaient des hurlements à chaque fois que je leur montrais comment j'allais sortir. Jezio était de mon côté au moins. Tonton Jamie n'osait jamais rien dire parce qu'il avait peur de la réaction de mes mamans. Je comprenais mieux pourquoi Tata Robyn le traitait toujours de cocker. Les cockers sont des chiens. Ils obéissent donc et sont soumis. Et il ne faut pas les tuer, parce que les gens normaux aiment les chiens. Donc moi aussi je dois aimer les chiens. Même si Maman me dit toujours que les chiens servent à rien et que les chats, c'est mieux. Tonton Chat est d'accord avec elle.

- La robe rose, d'accord ! J'aurai l'air d'une fraise tagada comme ça ! Hum... sens, elle a vraiment l'odeur de la fraise Tagada en plus !

Je me laissais tomber sur lit pour faire sentir la robe à Jezio, qui sorti sa langue pour apprécier l'odeur sucrée. Ça sentait bon. J'avais caché des fraises Tagada partout dans ma chambre pour que tout sente vraiment bon. C'était ma petite technique secrète. Et comme ça, je pouvais en manger aussi comme je voulais. Je n'avais pas peur de ces méchantes appelées Caries. Moi, je n'avais peur de rien. Si elle voulait faire du mal à mes dents, alors je leur exploserais le crâne d'un gros coup de poing ! Tant pis si mes Mamans n'étaient pas d'accord. Elles n'étaient d'accord pour rien, de toute façon.

Une fois que mon frère serpent eu fini son inspection, je me relevais et enfilais la robe sur mon corps nue. Je me regardais dans le grand miroir accroché à la porte de mon placard, en tournant sur moi même pour admirer mes « attributions ». J'avais l'air d'une poupée barbie. Et moi, j'aimais les poupées Barbies. J'en avais même pleins assisses sur le rebord de la fenêtre, avec leurs belles coupes de cheveux. Certaines avaient leur tête posée sur leurs jambes et d'autres plus de jambes du tout. J'aimais bien mâchouiller leurs mains, ça me faisait du bien aux dents. Bien plus que l'horrible dentartirice qu'on me forçait à frotter dans ma bouche tout les soirs. Moi j'aimais sentir le goût de ma nourriture pendant plusieurs jours ! Comme ça, ça me faisait des réserves ! C'était normal pour une batte de baseball de faire des réserves ! J'en faisais pleins quand Negan et moi, on explosait des têtes ensemble. Comme ça, j'avais des morceaux de cuir chevelu accrochés à mon barbelé pendant longtemps !

- Non mais je rêve ! Lucille ! C'est quoi... ça !

Je levais les yeux au ciel, en croisant les bras. C'était comme ça à chaque fois que je sortais de ma chambre. Maman Callio était assise sur le canapé, devant une boîte en papier de chinois à emporté, des baguettes à la main, et elle avait les yeux tellement écarquillés que c'était comme si ils allaient tomber de ses orbites. C'était drôle d'ailleurs, des yeux qui tombent d'une tête. Est-ce que si ça lui arrivait, elle pourrait les remettre dans son crâne ?

- C'est Lucille, maman. Tu sais... Lucille ! Moi !

Je secouais la tête en soupirant, exaspérée. Elle m'avait déjà oublié, alors que ça faisait pleins de jours que j'étais sa petite fille batte ? Que je vivais ici depuis autant de jours ? La boîte aux images avait dû lui faire fondre son crâne. Je savais depuis le début que c'était une arme pour transformer les gens en Rôdeurs ! C'était donc pour ça que j'avais quitté la chaleur de mes vestiaires où les enfants s'amusaient à frapper des balles en se servant de mon corps ?

- Je parle pas de toi, je parle de la tenue de prostituée qui montre quasiment tes fesses. Hors de question que tu sortes habillée comme ça ! Hors de question que tu sortes tout court ! Je te rappelle que tu es punie pour avoir mordue la voisine. Ça fait que deux jours de punition, alors tu retournes mettre ton pyjama Charlotte aux fraises. À moins que tu ais trouvé un moyen de faire repousser le doigt de la voisine ?

Elle me défia du regard, tout en attrapant un carton de nouilles chinoises qu'elle aspira sans même me quitter des yeux. Pourquoi est-ce qu'elle me reparlait de la voisine ? Elle n'aimait même pas la voisine ! C'était une dame très moche, et en plus, elle sentait pas bon. Son doigt avait eu très mauvais goût, je ne méritai pas une punition !

- C'est même pas vrai ! On voit pas mes fesses ! Des fesses, c'est le bas du dos quand on est tout nu ! Et là, je porte une robe qui montre pas mon bas du dos ! Je ressemble pas à une postichée ! Je veux pas mettre mon pyjama Charlotte aux fraises ! Je veux sortir d'ici ! Je veux retrouver le garçon qui essaie de mettre sa langue dans ma bouche et qui a une moto ! Et ici, y a pas de garçon, de langue ou de moto ! Je veux sortir ! Je veux sortiiiiiir ! Sortiiiiiir !

Je me jetai au sol et me mis à frapper le parquet de mes poings serrés, en lui donnant des coups de pieds et en roulant sur moi même. Elle était trop pas gentille ! C'était trop pas juste ! J'étais une grande petite batte ! J'avais le droit ! Raaah !

- Jez, alerte Tagada en colère. Elle est encore entrain de mordre le pied du canapé.

Elle avait dit ça d'un ton lassé. Mais moi, j'allais le re-tuer, ce canapé ! J'allais jamais le lâcher tant qu'elles me laisseraient pas sortir ! Et mes dents étaient très solides !


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C'est de l'injustice injustement injuste! ▼ Les mères indignes _



________________________________________ 2016-07-13, 14:37


C'est de l'injustice injustement injuste !


J'étais en train de dormir, quand je sentis un énorme poid tomber sur mon ventre. J'ai ouvert subitement les yeux en hurlant au cambriolage. Avant de me rendre compte qu'on était le matin. Je fixais d'un regard noir Le Chat qui venait de s'asseoir et ce léchait la patte avec un regard mesquin. J'espère qu'il avait une bonne raison de me reveiller, ou je le donnais à la folle au fourrure flippante ! J'étaiss sérieuse ! Il ne put s'empêcher de ricané en voyant mon pyjama de cookies. Oui bon ca va, ta bien ris sale chapardeur ?

▬ « J'espère que ta une bonne raison de me reveiller, je te préviens je suis décidé à t'emmener entre le griffes de la cinglée au peau de toutou ! »
crachais-je en le fusillant du regard. Il me regarda avec frustration, comme ci je venais d'insulter sa mère. On en était pas loin, remarque. Le chat me toisa d'un drôle de regard avant de sauter sur lit pour ce dirigé vers la porte et s'arrêté sur le bas de l'entrée. C'est bien, t'es content ta bousillé mon précieux sommeil...

« Va voir la salle à mangée au lieu de jacasser comme une pie. » Lacha t-il, avant de s'éloigner d'un bon. Quoi la salle à mangé ? Quoi la pie ? C'était moi la pie ? Oh mon dieu ! Je renfonçais ma tête dans l'oreiller, espérant du mieux que je pouvais que mon sommeil revienne aussi vite qu'il était partit. - Jez, alerte Tagada en colère. Elle est encore entrain de mordre le pied du canapé. je lachais une plainte, constatant que non, visiblement je ne pouvais vraiment pas dormir. Je relevais la tête en murmurant des paroles intélligibles. Qu'es qu'elle avait encore fait la mère Lucille ? Je soupirais d'un air lasse, me laissant tomber du lit et me mangeant le sol lamentablement. Ah mais si, quand je vous dis que je me laisse tomber je le fais vraiment hein, c'est pas des paroles en l'air. J'entendis le chat ricané sur le seuil. Je pris mon oreiller d'une mains et lui lançait en plein dans la poire, alors qu'un miaulement effrayé s'en suivie.

▬ « Bah alors ? Je croyais que les chats avaient un sixième sens. »
Fis-je en levant les yeux au ciel d'un regard amusé. Il me toisa de nouveau et prit place sur mon oreiller. Je me relevais avec un air amusée, entendant d'ici Lucille hurler qu'on était méchantes, et qu'elle allait appeler le numéro des enfants battu. Beh voyons ! Quand ils allaient débarqué ici, ils penseront que ce sont nous, les mères battu ! J'arrivais en quelque seconde dans la salle à mangée, hurlant des '' Quoi quoi ?'' à tout vas avant de découvrir Lucille en train de mordre le bas du canapé. Quand elle était petite, elle aimait bien mordre ce coin là pour ce rassurer. Mais maintenant qu'on l'avait refait, elle recommençait pour nous ennuyer oui ! Je m'avançais vers Callio, tournant un regard blasée vers elle. Bon, c'est quoi l'étendu des dégats ? »« Demandais-je. Oh punaise la robe. Oh mon dieu la robe. Non c'est pas possible.

▬ « NON MAIS TA VUE CETTE ROBE ???? » M'ecriais-je à Callio, avant de me tourner vers Lucille, les bras croisés et les sourcils méchamment froncé. «  Tu vas te changée illico presto, jeune fille ! Pas de garçon, pas de langue, juste des peluches ! » Et j'étais prête à aller la chercher, quitte à sortir le kit de survie pour évité des morsures. Ou bien …Mon visage s'illumina d'une idée. Je regardais Callio avec un gros sourire narquois. « Attend je reviens. » je filais la seconde qui suivait, arrivant dans la chambre de Maria à vive allure. Elle dormait encore. Oui, parce que j'ai pas ouvert la porte, je suis juste passée à travers …

« Tsss, et après on me traite de chapardeur. » Fis le chat à mes cotés. Mais comment il était arrivé là lui ?! Je fis un bond sur le coté, manquant d'hurler. «  Va y, libère toi, c'est pas comme ci c'était enfin la première fois que Maria puisse dormir. » Me gronda t-il. Oui bon j'avais saisie, il avait sauté au moment ou je suis passé pour passer à travers avec moi. Je devrais me méfier des chats moi maintenant. J'entendis remuer sous la couette. Je m'approchais en balayant des yeux la chambre. Elle était ou perfide ? J'inclinais la tête, cherchant la lame luisante d'une lueur verte. Je finis par la trouver prêt du lit de Maria. Ah, la sale garce, elle la lachait jamais ! Je m'approchais, tendant la mains, avant de me rappeler un détail intentinet chiant. « Mais fais gaffe ! Ta oublier que cette chose est maléfique ? » Fis le chat en ecarquillant les yeux et en sautant sur ma mains qui ce rabattu sur le sol avec moi même. Je me pris le pied du lit en pleine poire, sentant des étoiles percer ma vision. La machette arriva soudainement dans ma direction, pointé vers ma gorge, à deux doigt de me toucher. Je levais les yeux vers le visage d'une Maria en colère.

« Non mais c'est quoi vos problèmes à tous ? »
Gronda t-elle, aussi aiguisée qu'une vipère.

▬ « Gentille Maria, baisse Perfide, gentille...voilàààà doucement ! » elle me toisa d'un regard dur, si j'aurais mur me heurter à un mur sa aurait été la même chose ! Elle baissa perfide dans un soupire lassé, les yeux encore ensommeillées.

« Qu'es ce que tu veux ? » lacha t-elle.

▬ « Tu me prête Perfide ? On est en alerte Tagada pas contente ! » Fis-je d'un regard suppliant. Maria porta un regard curieux vers son épée. Enfin machette. Bah, la lame était pareille, sournoise et méléfique. J'entendis un long soupire et de la casse, avec des cris de Callio. J'étais persuader qu'elle l'avait mordu ! Aller, me regarde pas avec tes yeux là et viens avec la machette !

« Ah, vous m'horripiler ! »
s'enerva t-elle. Je levais un doigt dans sa direction.

▬ «  Euh non, en fait le terme moderne c'est énerver, Horripiler c'est dépasser depuis l'an jesus.... » ma voix ce termina dans un oreiller qui fusa dans mon visage, me faisant tomber à renverse. Je la suivis, débarquant dans la salle à manger. C'est moi ou le chat venait d'appuyer sur la radio qui diffusait I'm sexy and i know it ? Je tournais le regard vers lui, comme pour l'incendier sur place.

« Me regarde pas comme ca, les scènes comiques sont toujours accompagné de musique ridicule. » Ce défendit t-il. Je levais les yeux au ciel, alors que maria tendais perfide vers Lucille.

« Lache le canapé, regarde qui est là...Non attend! » Trop tard. Lucille venait de ce saisir de Perfide et elle était maintenant prise de convulsion, mais c'était trop bizarre quand même. Parce que même si elle avait mal, même si ca semblait affecté son esprit, elle semblait heureuse de tenir Perfice, comme ci elle ce fichait de ce que la machette pouvait lui produire. Même si au bout d'un moment, Lucille lacha Perfide tellement la douleur était trop forte. Maria leva les yeux au ciel en la récupérant et en s'en allant. Lucille était allongé sur le dos avec un gros sourire pas rassurant.

▬ « Tu crois qu'elle fait quoi là ? Elle imagine les doigt de la voisine ou la langue du motard ? » Fis à Callio, d'un air discret.

« Ou bien elle ce demande qu'elle goût vous avez. » Ajouta le chat avec sarcasme.

▬ « Oh la ferme. Non, pas la porte, la porte la porte !!! » Trop tard. Lucille venait de sortir à grande enjambée dehors. « ALERTE MAXIMAAAAAAL LA POPULATION EST EN DANGER !!! » M'ecriais-je, passant la porte pour courir à toute vitesse la rattraper.


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________________________________________ 2016-07-18, 22:11


Vous êtes trop méchantes !

Cette sale gosse va nous tuer...

Même Maman Jez était méchante avec moi ! Elle voulait pas que j'aille lécher les garçons, elle préfèrait que je m'amuse avec mes peluches, mais moi je ne les aimais pas ! C'était pour les petites battes ! J'étais une grande maintenant ! J'avais pleins de mois, j'avais le droit de lécher ce que je voulais ! Et de montrer mes fesses si j'en avais envie !

- J'aime pas mes peluches ! Je les déteste ! Je vous déteste ! Vous êtes trop méchantes ! Les plus méchantes des mamans ! Aaaahhh ! Aaahhhhhh ! Aaaaahhhhh !

Je me frappais le front contre le sol, en tenant à deux mains le pied du canapé tout poisseux à cause de ma bave. Si elles voulaient pas me laisser, alors je me ferai saigner très fort comme ça on ira à l'endroit où les gens découpent d'autres gens pas encore morts ! C'était de l'injustice, parce que le monsieur qui voulait toujours vérifier mes dents, il avait le droit d'ouvrir des personnes inconscientes pour leur découper les intestins, mais moi quand j'avais attaqué le facteur pour lui ouvrir le ventre avec des ciseaux, j'avais été punie pendant pleins de minutes !

- Oh mais arrête de nous la jouer à la tragédie grecque ! Tu es punie, un point c'est tout ! Tu obéis, ou je t'enferme dans le placard !

Méchante Maman Callio s'était levée de son fauteuil, et elle avait mis ses poings sur les hanches pour montrer qu'elle était pas contente. Mais moi non plus je n'étais pas contente ! Pas contente du tout même ! Et je n'avais plus peur du placard ! J'avais même caché dedans une réserve de souris mortes pour avoir de quoi me nourrir quand elle m'enfermait dedans !

- Jamais ! Ne me touche pas ! Ne me touche paaas !

Je me tortillais dans tout les sens, pendant qu'elle m'attrapait par les chevilles et essayait de me faire glisser sur le sol pour que je lâche le canapé. Mais je me redressais et dès que sa main fut à ma portée, je la mordis violemment, lui faisant pousser un cri de douleur. C'était bien fait pour elle ! Et puis ce n'était qu'une mise en garde, la prochaine fois je la mordrais tellement fort qu'il y aurait du sang qui giclerait partout, comme pour la voisine qui sent la mort !

- La prochaine fois, vous adopterez un hamster.

Tonton Chat était assis sur le rebord du canapé, en se léchant ses bras tout poilus. Lui aussi il était pas gentil avec moi ! En plus, il y avait de la musique très très forte qui me donnait mal à la tête, alors j'avais envie de me lever pour casser la musique, mais il ne fallait surtout pas que je lâche mon fauteuil si je voulais gagner !

- Perfiiiide !

Je le lâchais, parce que Maman Jez la Méchante venait d'arriver avec mon amie arme. Je l'attrapais et la serrais contre moi, pendant que tout mon corps tremblait et que j'avais l'impression qu'à l'intérieur de mon crâne il y avait de la confiture de fraise qui collait partout. Moi je l'aimais Perfide ! C'était ma meilleure amie ! Et puis elle me montrait toujours pleins de choses horribles, et elle me faisait très très mal, mais c'était du mal qui faisait du bien ! Même si ça faisait quand même mal !

- Lucille ! Ramène tes fesses tout de suite !

J'avais lâché Perfide et je m'étais précipitée vers la porte pour m'en aller, en la claquant derrière moi avant de dévaler les escaliers. Je souriais, très contente de moi, tout en poussant un monsieur aussi moche qu'un zombi pour passer. Il poussa un petit cri et il se mit à descendre les escaliers lui aussi, mais en faisant des drôles de roulades. Il essayait de descendre avant moi ! Je lui donnais un coup de pied et sautais par dessus, pour aller pousser la porte de la grande maison où à l'intérieur il y avait ma plus petite maison. J'allais partir très très loin ! Comme ça après, les policiers me chercheront et je pourrai les mordre parce qu'ils me touchent ! Et en plus ils me mettraient dans la cage ! Elle est drôle cette cage, j'aimais bien y aller et en plus j'avais marqué mon territoire en léchant tout les barreaux !

- Aaaahhhhh ! Non lâche moi ! Lâche moi méchante Maman ! Raaah !

Je mordis le bras qui venait de m'agripper, en me débattant comme une tigresse. Maman Jez m'avait rattrapé avec sa super vitesse, et c'était de la triche ! Elle avait pas le droit ! Elle devait courir comme tout le monde au lieu d'aller beaucoup plus vite que moi et m'empêcher de fuir ! J'avais le droit de m'en aller ! J'étais une batte volée, elle était pas ma propriétaire !

- Eh tu vas lâcher la gamine !

J'arrêtais de donner des coups de coudes dans le ventre de Maman Jez, pendant que le garçon avec une moto et qui avait un bon goût de peau s'était rapproché de moi et de mes vilaines mamans qui m'avaient rattrapé. Il y avait ses amis avec lui, et il avait pas l'air content non plus. Ce n'était pas Negan, mais il aimait bien taper les gens comme lui alors ça compensait le temps que je retrouve mon vrai Negan à moi !

- Pitié, dîtes moi que c'est pas ça le mec de Lucille... Il a l'âge d'être son arrière grand-père !

Maman Callio fit une grimace horrifiée en voyant le garçon qui avait une grande langue cachée dans sa bouche. Moi j'aimais bien les langues ! Et puis il avait une moto J'aimais bien les motos aussi ! Alors pourquoi j'avais pas le droit de faire comme elle et de mettre ma langue dans la bouche d'un garçon ?


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