« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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"Alors Annachou, et les amours ? Ca fait un moment que tu ne me racontes plus rien sur ta vie sentimentale. Quoi ? Comment ça tu m'as jamais rien raconté ? Mais si je me souviens... Ah non, c'était pas toi."
"Je te jure Héra, j'ai pas touché à ta cave à vin personnelle. Tu me prends pour qui, sérieusement ?"
| Conte : ➹ Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : ✲ Dyonisos, dieu de la vigne, du vin et de ses excès, de la folie et de la démesure. Rien que ça ! ^.^
La première minute, je l'avais passée à l'observer comme si de rien était, avec juste un peu de surprise dans le regard. La minute qui avait suivie, je n'avais pas pu m'empêcher de rire. Elle s'exprimait d'une manière vraiment particulière, comme si elle était d'un autre temps. Elle me rappelait une jeune femme, voir même plusieurs que j'avais rencontré par le passé. Et quand je disais le passé, je voulais dire que ça remontait à très très loin. Elle ne semblait pas aussi vieille que cela. Bien qu'avec les gens de Storybrooke, il fallait s'attendre à absolument tout. Quel âge se cachait derrière tant de grâce et de beauté ?
"Rien fait ? Hum... Je ne suis pas sûr. A dire vrai je ne me souviens plus trop de ce qui s'est réellement passé. Je dois être le seul dieu qui peut tout oublier d'un claquement de doigts."
J'avais claqué des doigts pour mimer mes dires.
"Mais no stress, le vieil homme est partit. Du moins tant que je ne le referai pas revenir. C'est moi qui contrôle mon corps, je ne suis pas comme Hadès qui ne sait jamais si il est jeune ou vieux. Tu te rends compte qu'il est capable de passer d'un comportement de psychopathe à celui d'un imbécile obsédé en moins de quelques secondes ? Il prétend qu'il n'est pas le même quand il est Elijah, mais très putain je suis sûr qu'il se fou de nous !"
J'avais secoué la tête avant de m'approcher de la jeune femme et de me passer une main dans les cheveux tout en la contemplant de haut en bas.
"Va falloir qu'on te refasse une garde robe, car tes vêtements sont tout tachés par le vin. Ici, là, et encore là." avais-je dit en pointant plusieurs endroits de sa robe avec le doigt.
"Je dois avoir des choses qui devraient t'aller dans ma garde robe."
Après avoir hoché la tête d'un air sûr de moi, je m'étais éclipsé, me dirigeant vers la sois disant garde robe et revenant quelques minutes après avec deux ou trois robes qui pourraient lui aller, ainsi qu'une tenue un peu plus cool composé d'un jeans, un pull rouge et une veste en cuir noire.
"Essaye peut-être ça, ça serait mieux que les robes. Aphrodite l'a laissé ici, ça devrait t'aller."
C'était Aphrodite ? J'avais un doute, car les habits semblaient bien plus grand que la déesse et beaucoup plus serré au niveau des hanches, chose qu'elle n'aurait pas pu porter sans y apporter quelques améliorations. C'était pas qu'elle avait de grandes hanches, mais... on va dire qu'elle était une déesse un peu particulière à ce niveau là.
"Pour le mariage, c'était un vrai de vrai. Je le sais, je me suis déjà marié à Las Vegas."
Puis, tout m'était revenu au visage de plein fouet.
"PUTAIN ! ET MERDE !"
C'était atroce, comment j'avais pu faire ça ? J'étais en train de faire les cent pas, tout en pensant à l'atrocité de la chose et en me tapant le front plusieurs fois.
"J'en reviens pas d'avoir merdé à ce point ! Maintenant c'est sûr, je ne pourrai plus lui refuser le divorce !"
Je m'étais tourné vers la femme de glace tout en secouant plusieurs fois la tête et en passant une nouvelle fois une main dans mes cheveux pour les ramener en arrière.
"C'est pas grave, t'inquiète. J'ai juste trompé la déesse Aphrodite avec toi. Et en plus c'est ma femme, t'imagines ? J'en ai eux maintenant, ou alors t'as pris sa place. Je ne suis pas sûr de comment que ça fonctionne quand on épouse une femme alors qu'on est déjà marié."
Fallait que je me renseigne...
Elsa White
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C'était un soulagement de savoir qu'il ne s'était rien passé entre nous. Rien... d'intime, je veux dire par là. Si il ne s'en souvenait pas, c'était qu'il ne s'était réellement rien passé. Je ne pense pas que l'on puisse oublier ce genre d'acte. Ce n'est pas anodin, ce n'est pas quelque chose que l'on oublie si facilement. Du moins normalement. Je m'étais inquiétée pour rien.
- Est-ce réellement... une robe ?
J'avais froncé les sourcils, alors que je tenais du bout des doigts devant moi l'un des vêtements qu'il m'avait rapporté. Ou plutôt, un bout de tissus. Il n'y avait pas de manches, pas de longues traînes, tout semblait être dévoilé si je portais cette tenue légère, qui ne laisserait aucune place à l'imagination. J'étais sûre que si je portais une telle chose, mes jambes seraient exposées jusqu'aux cuisses. Qui donc veut montrer au reste du monde ses cuisses ? C'est une partie de l'anatomie d'une femme très intime, comme certaines autres zones. Il fallait être d'une vulgarité pour oser se montrer habillée d'une pareille tenue...
- Que voulez vous dire ? Vous n'êtes tout de même pas encore marié avec... Oh non.
J'avais écarquillé les yeux en me rendant réellement compte de ce qu'il venait de dire, une main plaqué contre mes lèvres. Déjà, il semblerait que notre mariage soit réel. Mais de plus, il était toujours marié avec une autre. Nous étions mariés. Mais il avait déjà une autre femme. Il venait de bafouer son premier mariage avec moi. J'étais... Par tout les dieux d'Arendelle.
- Non non non... Oh non ! Vous avez fait de moi une... une catin ! Vous êtes horrible ! Comment est-ce que vous pouvez faire cela à votre femme ? Je refuse d'être votre épouse plus longtemps. J'exige que vous arrangiez cela ! Peu importe comment, mais annulez ce mariage !
Je m'étais levée d'un bond du canapé, malgré ma tête qui tournait, et j'avais pointé le doigt vers lui, furieuse. Il était hors de question que je sois embarquée dans une telle histoire. J'étais respectueuse des liens du mariage, et je ne voulais en rien être mêlée à lui. Bien que les pouvoirs de la déesse Aphrodite m'effrayait, j'étais désolée pour elle d'être mariée à une telle personne aussi peu respectueuse de son épouse.
- Je vais me changer. Profitez-en pour trouver une solution, ou au moins y réfléchir, si vous en êtes capable.
J'avais attrapé les vêtements posés sur le fauteuil et j'avais ouvert une porte qui se trouvait au fond de la pièce, tête haute et sans me tourner vers lui. J'étais effectivement tâchée de vin, et c'était désagréable d'être ainsi salie. Je voulais quitter l'endroit au plus vite, mais je ne voulais tout de même pas être vue aussi négligée. Déjà que si une telle histoire était ébruitée... François avait plutôt intérêt à ne parler à personne de tout ce qui s'était passé. J'avais une réputation à garder.
Je m'engouffrais dans la nouvelle pièce et fermais la porte derrière moi... avant de me figer. J'étais désormais dans ce qui semblait être une salle d'eau. Mais la luminosité était terriblement basse, et colorée. L'ambiance changeait environ toutes les dix secondes, faisant refléter une lumière rose, qui devenait bleu, puis verte, sur les grands miroirs accrochés aux murs. Au centre, il y avait ce qui semblait-être une baignoire. Mais elle était carrée, et l'eau bouillonnait étrangement, comme si elle était bouillante. Une musique plongeait le tout dans une atmosphère lourde et qui ne me donnait envie de grimacer. Je n'aimais pas cette architecture, je n'aimais pas cette musique au son agressif. Je n'aimais pas devoir porter les vêtements d'une autre femme. Mais avais-je réellement le choix ?
Je retirais ma robe, tournant le dos aux miroirs pour ne pas affronter la vue de mon corps aussi peu vêtu. Je portais pourtant encore un corset et un bas léger, mais je me sentais tout de même nue, ainsi exposée. Avec un homme dans la pièce d'à côté, de plus. Je laissais sur le bord de l'évier les robes, bien trop vulgaires pour moi, et tentais d'enfiler le bas bleu foncé. Le faire glisser sur mes jambes n'était pas si difficile. Fermer le bouton non plus. Mais quel était cette chose qui ressemblait à une dentition de bronze ? Je passais par dessus mon corset le haut de laine rouge, et enfilait la veste de cuir. Encore les dents de métal. Je passais un doigt dessus, sans comprendre. À quoi cela était-il censé servir ? Si c'était une quelconque mode, quelle horreur ! Rien que cette tenue que je portais... Je me tournais vers le miroir, frissonnant en voyant à quoi je ressemblais. Les baleines de mon corset s’apercevaient sous mon haut, et le pantalon collait à mes jambes comme une seconde peau. Je détestais cette sensation. Je détestais être habillée ainsi.
Je sursautais quand on frappa contre la porte. Avant de pousser un soupire, agacée. On ne dérange pas une dame qui se prépare, il faut savoir faire preuve d'un minimum de galanterie. Mais j'avais eu la preuve que cela n'existait plus depuis longtemps. J'allais ouvrir, pour qu'il puisse rentrer à son tour.
- Ce n'était pas la peine de frapper avec autant de violence, je vous aurai tout de même entendu si vous y aviez été plus délicatement, vous savez. Mais puisque vous êtes là, vous allez pouvoir m'expliquer pourquoi votre baignoire bouillonne ainsi. Et à quoi sert ces étranges ornements sur les vêtements. Est-ce comme des bijoux ?
J'avais posé mes mains sur mes hanches, en retenant une grimace à cause du contact du tissus rugueux. Qui avait inventé ces habits ? Ce n'était vraiment pas décent. J'avais l'impression que cette tenue épousait mon corps et mes formes, dévoilant tout ce qui était à dévoilé. Mais au moins, je n'avais pas les jambes et les bras nus. Il ne me restait plus qu'à me refaire une tresse correcte, et je serais prête à sortir. Et partir loin d'ici, et surtout de lui. Pourquoi n'ai-je jamais de chance avec les hommes ?
crackle bones
François Sandman
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"Alors Annachou, et les amours ? Ca fait un moment que tu ne me racontes plus rien sur ta vie sentimentale. Quoi ? Comment ça tu m'as jamais rien raconté ? Mais si je me souviens... Ah non, c'était pas toi."
"Je te jure Héra, j'ai pas touché à ta cave à vin personnelle. Tu me prends pour qui, sérieusement ?"
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Je n'avais pas frappé avec beaucoup de violences, j'avais simplement donné deux petits coups contre la porte. Ce n'était pas ma faute si elle avait l'ouïe fine et qu'elle entendait dix fois mieux que n'importe qui. Peut-être qu'elle se nettoyait les oreilles chaque matin avec un coton tige glacé, ce qui lui refroidirait aussi le cerveau ? Parce qu'on ne pouvait pas dire qu'elle se comportait comme la femme parfaite pour une jeune mariée. Généralement c'était à ce moment là du mariage qu'elles étaient les plus dociles. D'ailleurs Aphrodite l'avait été pendant une très longue période et... il allait falloir que j'arrête de penser à elle constamment.
« Je n'ai pas frappé fort ! » lui dis-je d'une voix un peu trop forte. « Et je suis quelqu'un de très délicat. »
Pour lui prouver, j'avais attrapé une serviette que je lui avais tendu, avant de me rendre compte qu'elle était déjà habillée. A dire vrai elle ne portait plus du tout sa robe, ce qui la changeait totalement. On aurait dit une toute autre personne. Elle avait un bas bleu foncé qui mettait ses jambes en valeur. Quand au haut, c'était une veste en cuir qui lui donnait un petit côté rockeuse terriblement sexy. Je m'étais appuyé contre l’embrasure de la porte, sans trop m'en rendre compte, tout en la contemplant quelques instants. Au moment où elle, elle s'en était rendue compte, je m'étais remis droit et j'avais fait comme si de rien était.
« Magnifique veste. Elle met très en valeur tes... »
J'avais mimé ce qui se trouvait au niveau de son buste avant de me rendre compte que je fixais un peu trop sa poitrine, qui devait être remontée par un corset.
« Enfin je veux dire que la veste te va bien. Pas que la veste d'ailleurs. Ce que tu as en bas aussi. Ce... bleu foncé, rappelle le bleu clair que tu portais, mais en plus... foncé. »
J'avais la vague sensation que je m'enfonçais. Pendant ce temps, j'en avais profité pour reprendre la serviette que je lui avais tendu précédemment, et me la passer sur le visage. Je commençais à suer. Sans doute parce qu'il faisait chaud dans cette salle de bain.
« J'ai eu un appel. Un truc où je dois me rendre pour prendre des photos. C'est pour la prochaine compagne. Enfin tu vois le topo ? »
Je l'avais observé bien droit dans les yeux, tentant de capter son attention et de voir si elle comprenait de quoi je parlais.
« Bon ok, tu ne vois pas. C'est le showbiz, c'est important. Enfin bref. T'as du vin dans le frigo et... y'a le numéro d'une pizzeria dans l'entrée avec de l'argent qui doit traîner dans les tiroirs. Je repasse dans la soirée ou plus tard. Fait comme chez toi. De toute façon c'est un peu chez toi, vue qu'on est marié. »
Et avant de lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, sentant qu'elle allait encore parler pour me dire qu'on devait divorcer et etc... j'avais disparu, me retrouvant dans un nouveau studio où on allait prendre des photos de moi et de ces glaces que j'adorais tant.