« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Le concours approchait à grand pas, d'ici la fin du mois, j'aurais peut-être enfin, mon diplôme, en poche, prête, à prendre en main mon nouvel avenir. Comme, s'il n'avait s'agit, que d'un mauvais rêve, les traces de griffures, suite à mon combat, avec mon ex beau frère, avaient totalement, disparu. Et pour moi, c'était ce que c'était, un mauvais rêve. Je, n'avais pas reparlé de lui, ni même, pris en compte, le fait, qu'il était ce qu'il était. C'était finit, point barre, fin de l'histoire. Quoi qu'il en soit. Aujourd'hui, était, un jour, pour moi. Enfin, un jour, où je pourrais, m'occuper, d'autre chose, que de ma famille. Même, si j’aimais les lions, et que, j'étais, toujours, prête, à m'occuper de leur problème. Il, ne fallait pas oublier, que j'avais, aussi, un foyer, à tenir, et des factures, à payer. Ça, plus, le fait, que, je devais, m'occuper des courses, il, n'y avait quasiment, plus rien, dans le frigo, et j'avais, plus ou moins, laissé, tomber, l'idée, de faire, manger, quelque chose, ne contenant, pas un minimum, de viande à Tama (sauf pour les sucreries, ça, elle avait l'air de plutôt bien aimer).
Mon programme, de la journée, était établit : d'abord, faire, les courses, ensuite, se rendre, au centre d'accueil de la ville. Le foyer sociale, de Storybrooke, regroupait, de nombreux jeunes. Je, me demandait, si, c'était dût à la malédiction, et qu'ils n'avaient, pas encore, pu, bien retrouvé, leurs proches. Rien, que d'y penser, un frisson, d'horreur me parcourut, l'échine.
Le foyer, n'était pas une prison, loin de là, je m'y étais rendu, une ou deux fois, en compagnie, du docteur Hopper, lorsque j'étais encore dépressive. Il, voulait, me changer, les idées, me mettre au contacte de jeune. Et, il participait, régulièrement, à la vie du foyer. C'était, juste, mon instinct, de mère, qui prenaient le dessus. L'instinct, de mère, de lionne, de celle qui gère une grande famille. Bref, c'était, ce côté, de ma personnalité, qui avait, du mal avec ça.
J'avais, encore le temps, pour une spécialisation, je devais, d'abord, passer mon diplôme, et travailler, minimum, un an, en tant qu’assistante juridique, lambda, après, seulement, je pourrais, m'orienter, vers une spécialisation, et la mienne était toute trouvée. Les affaires, familiales. J'avais, vu de nombreuses, familles, se déchirer, pour diverses raisons, mais quoi qu'il se passe, cela finissait, immanquablement, par retomber sur les enfants, c'était, toujours, eux, qui payaient, les pots cassés, des bêtises des adultes. J'en avais, faite l'amère expérience, dans mon ancienne vie.
C'était Simba, qui avait subit, la haine de Scar, et le fait, que son père, ai toujours, préféré Mufasa à lui. Je suppose, qu'une fois né, mon ex beau frère, a vu toutes ses chances, d'accéder, au trône, partir en fumée. Ça, et le fait, que Simba, fils unique, avait tout l'amour de ses deux parents, a je suppose, attisée, encore plus, sa haine et sa jalousie, envers nous.
Je, ne ressassais, pas le passé, puisqu'il ne représentait plus rien, à mes yeux. Ma vie, ici, prenait, un nouveau tournant, et j'en savourais, chaque instant. Parce que j'étais heureuse, tout simplement, heureuse, et épanouie. J'avais, retrouvée, ma meilleure amie, j'avais mon fils, j'avais Tama, mes sœurs, et tous les lionceaux, à qui j'avais servit, de professeur. J'étais, heureuse, tout simplement, heureuse.
Attrapant, un foulard, ainsi, qu'une veste légère, je pris, mon sac, et mes clés, au passage, tout en me dirigeant, vers la voiture. J'avais, l'intention, de passer à l'épicerie, plutôt, qu'au super marché, et puis, peut-être, même, rendrais-je visite, à Amélia. Elle, n'était, jamais, contre de la visite, dans sa boutique, elle adorait, discuter, je lui disais, d'ailleurs, souvent, qu'elle était aussi bavarde et curieuse qu'une pie. Mais, elle se contentait, de sourire.
J'aimais, ma petite sœur, c'était indéniable, ça aussi.
En revanche, j'évitais, de passer voir Faith, pas que je m'entende moins, avec elle, qu'avec, Amélia, mais, elle avait un poste à haute responsabilité, et je préférais, la laisser, travailler, tranquillement. Si, je voulais, la voir, je passais, chez elle, ou l'invitais, à la maison, voir à sortir. C'était, plus conviviale, que de se voir, entre la réception, de deux articles, du journal de la ville.
Quoi qu'il en soit, je me dirigeais, rapidement, vers le centre, et après, m'être garé, j'entrais, dans l'épicerie, reprendre, de quoi nous avions, besoin, pour remplir le frigo à la maison. Une fois, tout ceci, fait, et placé, dans la glacière, je pris, la route, du centre d'accueil, et y entrait, mon pc, portable, dans sa sacoche. Je tentais, ma première expérience, en vu d'une spécialisation, et quoi de mieux, que le contre d'accueil pour cela ?
Je m'installais, donc, à une table, tout en discutant, avec des jeunes jusqu'à ce que quelque chose, ne m'interpelle, une odeur, pour être exacte, celle d'un lion, et l'odeur, ne m'étais pas inconnu, pour être honnête.
Je demandais, aux jeunes, avec qui j'étais, de m'excuser, un petit moment, tandis que, je me mettais, en recherche, de la personne, qui fut un de mes congénères, dans son autre vie. Après, un petit moment, je tombais, sur un jeune homme, isolé dans un coin. Je, ne savais, pas trop comment, m'y prendre, pour être honnête, alors, doucement, comme hésitante, je pris la parole :
- Malka ?
Si, c'était, réellement, lui, la question qui se posait était : que faisait-il là ? Et surtout, les autres étaient-ils au courant qu'il était à Storybrooke ?
J'avoue qu'attendre que quelqu'un vienne me chercher, c'est très long. Ca me rappelle les longs moments passés à chercher maman et les autres lions. Presque seuls sans aucun signe de vie. J'ai eu très peur et je pensais que là, je pourrais enfin retrouver ma famille. Mais non. La situation est la même. C'est pire plutôt. Le gardien vient me voir tous les jours dans le dortoir pour discuter avec moi. Il s'est battu plein de fois avec moi parce que je voulais manger des gens autour. A la place, il me ramenait de la viande. Ca compensait et à force, j'ai intégré le truc. Ne pas manger des gens car ça se fait pas. A force, je m'étais même super bien lié d'amitié avec ce garde-manger. J'ai protégé les femelles, aidé les vieux. Je trouvais ça cool. Jusqu'à ce que je vois de nouveau les autres comme de la bouffe à force de les regarder droit dans les yeux. Du coup, je n'ai pas arrêté de me réfugier dans mon placard aux côtés des balais et des serpillères pour être seul. Et fallait que le gardien surgisse à chaque fois pour me dire de sortir et d'aller voir du monde. Mais je veux pas voir du monde! Sinon je vais finir par me battre avec quelqu'un et je vais me faire disputer!
Là, j'ai les pattes devant moi, à attendre que ma tête se calme. J'arrête pas de sentir des odeurs partout. Surtout celle des animaux. Et il y en a plein! Un tas d'odeur qui réveille le lion en moi. Rah! Je ne peux pas être sur la Terre des Lions en train de chasser et je dois subir ce corps! Je suis vraiment paumé... Il me faut un lion, sinon je vais finir par faire quelque chose d'horrible envers le garde-manger. La porte du placard s'ouvre. J'allais crier sur le gardien mais c'est une femelle humaine. Elle sent pas la nourriture donc ça va. "Tu veux pas jouer avec nous?" Si je sais dire non au gardien, je ne peux pas le faire avec une femelle. C'est idiot mais c'est comme ça. J'hésite un peu à y aller avec elle. Mais bon, je suis censé être calmé là non? Allez, ça va pas me faire du mal! Je la suis donc dehors, voyant qu'il y avait plein de gens pour jouer au football, un jeu bizarre où les humains prennent un ballon pour le mettre dans un filet. Je demande si on pourrait faire pareil avec un corps de lion? Je commence à jouer avec tous le monde. Puis... mes problèmes reprennent. Les odeurs, mes instincts de félins. Tout revient sur le tapis. Et c'est violent ce truc! Mon odorat me gène tellement je sens plein de choses. Mes instincts de prédateur n'arrêtent pas de s'enclencher quand je vois plein de gens. Faut que je sois assis. Faut que je fasse ça sinon ça va pas aller là.
Je m'assois par terre dans un coin en attendant que tout se calme. Allez, allez, j'ai pas envie de manger là, j'ai pas le droit de faire ça. En plus ce sont des amis alors je peux pas me permettre de faire ça. J'essaye d'ignorer tout ce qu'il se passe autour de moi. Mais quelqu'un m'appelle par mon nom de lion. Pas par "Jayden". C'est quoi ce cirque? Un lion? Je relève la tête. L'odeur me frappe tout de suite."Sara..... SARABI?"Ouais, c'est vraiment elle! Cool! Je vais bouffer personne! Je suis sauvé. Je saute sur place tellement la voir me transporte de joie. J'ai attendu si longtemps punaise! Je me retiens de la prendre dans mes bras. Vaut mieux, c'est une reine alors je sais pas si je peux vraiment me permettre ça. "Le gardien a bien fait de me dire de patienter alors! Comment ça va? Ca veut dire que j'ai plus à rester au centre hein? J'espère parce que je suis tenté tous les jours de manger le garde-manger et ça me saoule! C'est comme mettre un steak devant moi sans que je puisse le croquer!" J'avoue par contre que j'aurais bien aimé la voir en lionne et qu'elle me dise: "On peut enfin rentrer dans la Terre des Lions!" Mais c'est qu'un rêve là. Elle est dans un autre corps.
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C'était étrange, de voir, comme la situation, me paraissait, familière, comme si, le scénario, semblait, inlassablement, se répéter, après Tama, il y a eu Tojo, et maintenant, presque un an plus tard, Malka était là. Très, certainement, arrivé, en même temps que les autres, et personne n'en avait rien su, pas même moi. Mais, il, n'était vraiment pas temps, d'avoir des remords, et de la culpabilité, non, il y avait vraiment, beaucoup plus urgent que ça :
- Rassure toi, je vais m'occuper de ce qu'il faut, pour que tu sorte d'ici, dis-je à Malka, mais d'abord il y a quelques petites questions, que je souhaiterais te poser si tu n'y vois pas d'inconvénient bien sur.
Je lui donnais une petite tape affective, sur la tête, un peu comme au temps où nous étions des lions, j'ignorais comment je devais me comporter avec lui. Avec Tama, je devais me comporter comme une lionne, et non comme une humaine, contrairement à Tojo, avec qui, je pouvais faire les deux. Mais, comme l'avait si bien dit Sarafina, Tama est restée très lionne dans sa tête, et n'accepte pas son corps d'humaine, c'était pour cette raison, qu'elle ne se comportait pas en tant que tel, c'était bien là, tout le problème :
- Je pense qu'on sera bien mieux, assis à l'une des tables, tu en dit quoi ?
Il, ne sembla pas être contre, aussi, me dirigeais-je, vers une table non occupé, et m'y installais, attendant qu'il fasse de même :
Bien, on va commencer par le début : ça fait combien de temps que tu es là ?
Pour être honnête, je me doutais, de la réponse, mais, je voulais simplement, le vérifier par moi même. Je connaissais, bien la mère de Malka, Kijamini, elle faisait partis de la troupe de chasse de la terre des lions, nous avions, donc souvent été amené à nous côtoyer toutes les deux. De plus, elle, était également, une amie proche. Le problème, étant, qu'entre la malédiction, et ma dépression, je n'avais pas vraiment, eu l'occasion, de la revoir, et j'ignorais, donc un peu ce qu'il en était aujourd'hui pour elle. En, y réfléchissant bien, je, n'avais, pas vraiment, eu l'occasion, de revoir beaucoup de monde, depuis, ma sortie de dépression. J'avais revu, Sarafina, mes sœurs, et Scar, bien que ce dernier, je me serais très largement, passé de le revoir.
Mais, Malka, n'avait toujours, pas répondu à ma question, il semblait hésitant, et quelque peu agité, bon, je pense, qu'il était temps de le rassurer :
- Malka, si tu es effectivement, là depuis un an, comme je le pense, tu n'as pas à t'en vouloir, tu n'y es strictement pour rien. Tu as dût passé un portail toi aussi ? Comme Tama et Tojo ? Ils, sont ici, eux aussi, je les aient revus, et je les vois assez souvent d'ailleurs. Tama, vie chez moi, tout comme Simba. La question, que je me pose est : qu'est qu'il c'est passé, pour que tu te retrouve ici, et surtout, est-ce que quelqu'un est au courant que tu es ici ?
Je notais mentalement, de devoir informer Sarafina, au plus vite de la situation, même si quelque chose, me disait, que nous n'en avions, pas finit, avec les petits problèmes, interne à notre famille. Qu'à cela ne tienne, j'y était largement préparé, c'était une partie du devoir de reine, Uru, m'avait très bien formée, lorsque j'étais jeune souveraine, je n'aurais pas pu avoir, meilleur guide, pour me préparer à cette tâche.
Quant à Malka, il se décida enfin, à parler, je l'écoutais donc, me raconter, ce qu'il s'était passé. Aussi, eu-je plus ou moins confirmation, de ce que je pensais : personne, n'était au courant, qu'il était ici, ça s'annonçait plutôt mal. Je me mordit, légèrement, la lèvre, tout en tapotant, nerveusement, les doigts sur la table, j'essayais, de réfléchir à une solution, qui arrangerait tout le monde.
Finalement, je me décidais à appeler, Archie Hopper, je pense, que lui pourrait m'aider, ne serait-ce que pour faire sortir Malka, de là, et l'emmener chez sa mère, parce que c'était ce que j'avais la ferme intetion de faire. Je, ne pouvais, pas l’amener chez moi, je n'avais pas assez de place, pour trois jeunes, dont deux, encore très lions. Indiquant, à Malka, de m'attendre un moment, je m'isolais, pour discuter avec celui qui m'avait suivit tout le long de ma dépression. Puis finalement, retournait, vers Malka :
- Bonne nouvelle, je t'emmène avec moi, on va allé, chez ta mère, je pense, que ça lui fera plaisir, de te revoir
Je retournais, au près des jeunes, avec qui, j'étais tout à l'heure, m'excusant, car j'avais un imprévus, faisant, que je, ne pouvais, pas rester. Et, c'est avec la promesse, de bientôt, revenir les voir, que j’attrapais, mon pc portable, ainsi que le reste de mes affaires, dont mes clés, de voiture, et que je fis signe à Malka, de me suivre
J'arrive pas à croire que j'avais enfin un lion en face de moi, en chair et en os mais pas en crocs! Sarabi me rassure tout de suite sur mon cas, du coup je me sens beaucoup mieux maintenant. J'ai toujours mes instincts de prédateur envers le garde-manger mais tout va bien! Sarabi est là. Je crois que j'ai plein d'étoiles dans les yeux maintenant. Et que je vais presque pleurer. Je regarde les autres. Non faut pas que je pleure ils risquent de ne plus me prendre pour le mâle du groupe après! Sarabi me propose de m'assoir à une table. Je vois pas le soucis mais j'aimerais surtout pouvoir sortir d'ici au plus vite. Il y a trop d'odeur et je n'arrive pas à gérer ça alors que dans la Terre des Lions ce serait pas un problème. Quoi que. Maintenant que j'ai sympathisé avec la bouffe, je pourrais sans doute plus manger de viande? L'horreur! Tama va me prendre pour un imbécile. Enfin, c'est déjà fait depuis la fois où je l'ai embrassé comme un humain pour lui avouer ce que je ressens pour elle. Franchement, vive le flop total! Je m'assois sur une table en face de ma sauveuse. Puis elle commence à me poser la question sacrée: Comment je me suis retrouvé ici? Je suis pas trop fier en fait. Parce que bon, se faire choper par le garde manger c'est pas top mais en plus de ça, je ne comprends toujours à ce qu'il m'arrive ici. Vous trouvez ça normal vous un humain qui sent le piaf à longueur de temps? Et si Sarabi se mettait en colère si je lui apprends que je me suis battu avec des gens pour pas venir ici? Non je peux pas lui dire!
C'est alors qu'elle se mit à me rassurer. Que tout ira bien, que je peux tout lui dire. Alors comme ça on appelle le truc bizarre un portail? Première nouvelle. Mais ouais, si elle me fait un grand sourire, il faut que je lui dise. Je la regarde deux secondes puis je finis par parler. "En gros... Je vous cherchais partout sur la terre des Lions. Puis j'ai un truc bizarre dans les herbes. Je me suis approché. Et j'ai atterrit en plein milieu d'un endroit remplit de... Ah oui! Vêtement! J'avais plus de poils, enfin à part là." Je lui montre ma crinière et les autres zones. Mais je suis idiot elle sait où c'est tout ça elle! Je suis vraiment bête! Mais je le montre pas et je fait genre que je lui apprends des choses en essayant de détourner le sujet. "Après plein de difficulté, j'ai réussi à marcher sur deux pattes, à mettre des vêtements puis à m'enfuir dans la forêt. C'est là que des humains m'ont choppé et amené ici. Le gardien est gentil mais... J'avais vraiment du mal à pas m'en prendre au garde-manger. Mais à force, après plein de bosses, j'ai pigé. J'ai le droit de protéger les femelles et les vieux mais pas de les croquer... Mais ça me démange tu peux pas savoir. Mais bon, le garde-manger est sympa finalement. Et les femelles aussi. Je leur apprends des trucs... Mais je me sentais horriblement seul tu peux pas imaginer. Entre la bouffe qui circule devant moi et le fait que je n'ai vu aucun lion, c'était horrible!" Maman me manque surtout. Depuis que papa est mort, je me suis promit que je la laisserais pas seule. Et là.... Je manque à mon devoir de fils. Punaise, elle me manque tellement! J'attends quelques temps et je vois Sarabi en train de réfléchir. Elle veut me faire sortir d'ici? J'avoue que je n'y connait rien ici. J'ai vu des gens sortir du centre mais j'ai jamais comprit pourquoi. À chaque fois par contre ils avaient l'air heureux. Et ça, ça me faisait mal. Ils avaient retrouvés quelqu'un. Je suis sûr que c'est pour ça qu'ils pouvaient partir même si je vois pas le sens de tout ces papiers à remplir. Finalement, elle revient après avoir prit sa boîte à son puis elle me fit un sourire. Maman? On va aller voir maman? Je sais pas pourquoi, j'ai prit Sarabi dans mes bras. Là je vais pleurer. C'est clair, je vais me lâcher et ça ne va pas être beau pour les autres. Adieu le mâle, je revois enfin maman! "Désolé" dis-je en me dégageant un peu. "Merci Sarabi"
Finalement, je vint voir le gardien pour prendre mes affaires et lui dire au revoir et de surtout prendre soin du centre. Il me fit un grand sourire et m'offrit un steak en cadeau d'adieu. Ah... Il connait mon péché mignon lui! Puis je me tourne vers Sarabi qui m'emmena... Dans une voiture. Oh non! C'est le genre de trucs qui explose! J'ai vu ça plein de fois à la télé. Ou alors ils font des trucs bizarres dedans. Dans tous les cas j'ai vraiment peur de cet engin! Et si Sarabi venait à mourir là-dedans on sait jamais? Et je serais responsable vu que je ne l'ai pas prévenu! "Sarabi, tu sais que ça explose ce genre de trucs? Tu veux vraiment essayer de monter dedans?" Je lorgne sur un vélo à côté. C'est plus sûr comme ça. Je le montre du regard à Sarabi, l'air implorant. S'il te plait. Faut sauver les lions en voie de disparition.
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Je, ne m'attendais, pas, à ce que Malka me sert dans ses bras, d'un côté, je m'étais surtout, occupé de Tojo et Tama, ignorant totalement, si lui avait passé le portail ou non. Et, manifestement, Tama, ne m'avait rien dit. Tama...Plus, le temps, passait, et plus, j'avais l'impression, que nous, nous éloignions, elle et moi. Je, ne pouvais, pas empêcher, une boule de se former dans ma gorge. Elle, avait toujours, été comme ma fille. J'entretenais, une relation, différente, avec chacun des lionceaux, à qui j'avais servit de professeur, je les avait vu grandir, je les avait vu évolués, et chacun, me resservaient son lot de surprise. Mais, Tama...Comment dire, elle avait toujours, été comme la fille, que je n'avais jamais eu. J'aimais Simba, bien sur, c'était mon fils, et même, si par moment, je râlais, parce que je ne le trouvais pas très dégourdit, il restait quand même mon fils. Mais, j'avais toujours, voulu avoir une fille, à qui j'apprendrais à chasser, sauf que le destin en a avait décidé autrement, en me prenant celui que j'aimais.
C'était, du passé tout ça, aujourd'hui, je remettais, ma vie sur les rails, et j'étais de nouveau amoureuse, même, si je n'avais pas vraiment osé, re contacté, la personne, il faudrait peut-être que je me décide à le faire, un de ces jours. Anita, me l'avait fortement, conseillé, et elle était, toujours, de bon conseil, j'avais largement, eu le temps de l'apprendre, dans notre jeunesse, et après encore, lorsque nous étions, sur la terre des lions. Et, c'était également, pour cette raison, que je lui avais demandé, de me seconder, dans la régence de notre famille. Toutes, les deux, je savais, que nous y arriverions.
Une fois, sortit du centre, je me dirigeais, tout naturellement, vers ma voiture, afin de nous rendre, chez la mère, de Malka. Mais, ce dernier, ne semblait, manifestement, pas du même avis. Non, sérieusement, qu'est qu'ils avaient tous, avec ma voiture ? Elle, allait pas les manger, aux dernières nouvelles. Je, me rappelais, du fiasco que ça avait, été avec Tama, je crois, honnêtement, que ça, n'aurait pas pu être pire, elle s'était crispé, comme pas permit, si bien, que le trajet, avait, été un vrai calvaire, autant pour l'une que pour l'autre.
Pour Tojo, ça avait, encore été une autre paire de manche, ça avait, un peu mieux, pas le top, mais mieux. Même, s'il avait, finit par se blesser, et saigner, si bien que j'avais dût, moi même m'occuper, de ses blessures, à coup de désinfectant. Il, n'avait pas vraiment, apprécié, mais au moins, avec lui, aujourd'hui, je pouvais, le transporter, avec moi, sans qu'il n'y ai d'incident. C'était reposant. Pour, Tama, j'avais littéralement, laissé tombé, pas question, de revivre ça une seconde fois. Ça faisait, presque un an, qu'elle était, là, et elle ne s'était, toujours, pas habitué, à son corps d'humaine. Oui, elle voulait, retourner sur la terre des lions, on le voulait tous, mais, pour le moment, on ne le pouvait, pas. C'était, ce que je me tuais, à lui expliquer, sauf qu'elle ne voulait, enregistrer l'information. J'avais l'image d'un ordinateur, avec écrit « fatal error », à chaque fois, que j'essayais, de lui en parler.
Poussant, un grand soupire, je me tournais vers Malka, essayant, de retenir l'exaspération, qui me tenait, doucement, Sarabi, tu es une reine, tu es leur reine, tu te dois, d'agir, en tant que tel, tu laisse, tes sentiments, personnels, de côté, et tu t'occupe de leur bien, avant tout, c'était ça être reine, c'était, savoir faire, des sacrifices, et savoir faire passer le bien des autres avant le sien :
- Malka, ma voiture, ne va pas te manger dis-je, Tojo et Tama, sont monté dedans, et ils sont toujours, là. Tiens, d'ailleurs, Tojo, monte régulièrement, dedans. Et, Simba aussi, ça lui arrive de monter dedans, et il est toujours là également. Alors, tu vois, tu n'as rien à craindre d'elle.
Je plissais, légèrement, les yeux, lorsqu'il me parla « d'exploser », ma voiture, était très sure, et n'allait, pas exploser comme ça. A moins, que Scar n'ai subitement, décidé de placer une bombe, quelque part sous le capot -ce qui entre nous soit dit, m'étonnerait fortement :
- Toutes les voitures n'explosent pas Malka, la mienne encore moins, ça fait, presque 30 ans que je l'ai, et elle ne l'a jamais fait, alors s'il te plait, installe toi dedans.
Je venais, de monter légèrement, le ton de ma voix, pour la rendre un poile plus autoritaire, c'était, généralement, le genre de ton, que j'utilisais, avec Samuel, lorsqu'il avait fait quelque chose, qu'il ne fallait pas, et qu'il essayait de me le cacher. Finalement, je vis, le jeune lion obtempéré, bien, c'était déjà ça, de prit, je lui attachais, donc, la ceinture, comme j'avais fait auparavant, avec Tama et Tojo, et m'installais, moi du côté, conducteur, avant de démarrer, la voiture en douceur, tout en guettant, les réactions de Malka, bon il semblait crispé, mais à une moindre mesure que Tama, et Tojo. J'avais, donc, je l'espérais, la chance de faire un trajet, sans problème.
Kijamini, avait été prévenu, de la situation, actuelle, et même, si j'étais resté, quelque peu, perplexe, devant notre entretient, elle semblait avoir hâte, de revoir son fils. C'était une bonne chose. Il, faudrait, également, que je m'occupe des parents de Tama. Que, je les cherche. Ils, ne faisaient, pas partis de notre clan, mais peut-être pourraient-ils m'aider avec elle.
Je laissais, ces pensées, de côté, regardant, fréquemment, Malka, à côté de moi, le trajet, n'était pas « tranquille », mais il était déjà moins usant, qu'avec les deux autres, bien, on progressait. C'était, une bonne chose : - Détends, toi, elle ne va pas exploser, répetais-je, en le voyant soudainement, se crisper un peu plus. Par pitié, faites que je n'ai pas un remake, de ma rencontre avec Tama.
J'arrivais, finalement, à bon port, avec Malka. Sa mère nous attendait, sur le pallier. Peut-être, devrais-je les laisser, seules tous les deux, pour leurs retrouvailles ?
Je n'étais pas encore tout à fait convaincu mais étant donné qu'il s'agit de la reine, je lui fait confiance et monte dans sa voiture non sans une certaine gène. Lorsque la ceinture m'enveloppa la poitrine, je m'attendis à quelque chose mais rien. Bon, il faut tout de même que je veille au grain, on sait jamais. Ainsi, je suis resté tout le long du trajet à regarder avec étonnement tout objet présent, me demandant si je devais en avoir peur ou si je devais laisser tomber. Oui, je suis crispé, mais faut me comprendre. Un moment, j'ai vu à la télé qu'un humain pouvait cacher des trucs qui explose dans un ours en peluche. D'ailleurs, j'espère qu'il n'y en a pas un derrière. Je résiste à la tentation de regarder derrière. A la place, j'admire notre reine qui malgré sa forme humaine reste noble en cette circonstance. Simba devrait en prendre de la graine. Enfin, je dis ça mais de toutes façons, peu importe ce que fait Simba, c'est lui le roi. Pas Scar. Et même si la majorité des lions sont pas de mon avis pour Simba, je pense qu'il peut le faire. Il doit juste être paumé, je sais pas. Mais il a forcément une excuse.
Et moi dans tout ça? Je me la pète pour attirer du monde et pour ne pas avouer à tous le monde que je suis perdu. Bah quoi? C'est comme ça que ça fonctionne ici dans ce monde non? Il y a que Simba qui est vraiment au courant de ça. Les autres? Je pense pas que Tama soit au courant. Et heureusement, déjà que j'ai l'air d'un boulet pour elle alors autant ne pas en rajouter. Je me demande comment elle va d'ailleurs? Bref, perdu dans mes pensées, je vois une femelle humaine devant une de ses maisons. April m'aide à enlever la ceinture puis je descend de la voiture. Ouf! Ca fait vraiment du bien de se retrouver sur la terre ferme!
Une fois à l'air libre, je peux sentir pleinement l'odeur de maman. "Malka? Malka!" C'est cette femelle? En deux secondes, j'ai couru dans ses bras. Je vais pleurer. Oui, je vais vraiment pleurer. Maman le fait déjà donc j'ai le droit non? "Enfin je te retrouve Malka, tu m'as tellement manqué... mon fils..." me dit-elle en frottant ma crinière et en pleurant. "Je suis ton lionceau, je vais pas t'abandonner comme ça..." C'est bon je pleure. Je suis vraiment heureux d'avoir enfin retrouvé maman. Enfin un lion dans la famille! Tout à coup, mon ventre se met à faire du bruit. J'ai vraiment faim. La viande! Elle est dans mon sac faut vite la manger avant qu'elle ne pourrisse et ne soit bonne qu'à manger que pour les hyènes! "Tu as faim à ce que j'entends mon chéri. J'allais commencer à faire à manger. Sarabi, vous voulez manger avec nous? C'est ma manière de vous remercier de m'avoir rendu mon fils!" Malgré ses larmes, elle sourit à la reine qui nous a laissés un peu seul. Je jette une sorte de regard implorant à la reine. J'aurais bien envie qu'elle reste un peu moi aussi.
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Je restais, un peu en retrait, observant, les retrouvailles, non sans un léger sourire attendrie aux lèvres. Au moins, Malka avait-il retrouvé sa famille, et sa mère semblait réellement, heureuse de le voir. Je relevais, légèrement la tête, lorsque Kijamini, m'invita à rester pour déjeuner. C'était sa manière de me remercier :
- Ca sera avec plaisir, et de rien pour Malka, je pense qu'il était temps, que vous, vous retrouviez.
Serrant, toujours, son fils, elle l'encouragea à la suivre, en lui passant, la main dans les cheveux, les ébouriffant. A nouveau, un sourire, s'afficha sur mes lèvres. Tama, avait beau dire, lui au moins, avait gardé sa « crinière ». Et, c'était vrai que ses cheveux, étaient nettemment, plus long que ceux de Tojo ou même Simba. C'était amusant, quelque part. Je suppose, qu'il le faisait exprès, comme pour garder encore, un côté « lion »
Quant à moi, je leur emboittais, un peu en retrait, les laissant, profiter l'un de l'autre. Finalement, Kijamini, s'eclipsa dans la cuisine, nous laissant, tous les deux assis, sur le canapé du salon, attendant, les rafraichissement, qu'elle était allé chercher :
- Alors ? Ca te fait quoi de retrouver ta mère ? Lui demandais-je
Je l'observais, alors qu'il semblait pensif, attendant sa réponse, qui ne vint pas, puisque Kijamini, ramena les boissons. Son fils, sembla hésiter, lorsqu'il vit la cannette de soda :
- Ça, ne va pas te faire de mal tu sais ? Lui dis-je, ce n'est pas empoisonné. Simba, en bois, régulièrement, et il est toujours là.
Je lui adressais, un sourire taquin, tandis qu'il regardait, la canette avec apréhension. Il, finit finalement, par la prendre, et à verser le contenue dans son verre. Sa mère, commença, à lui poser, de nombreuses, questions, tandis que je les observais, d'un œil bienveillant. Ca faisait, chaud au cœur, ce genre de choses. On, voyait à quel point, il avait manqué à sa mère. Cela, me rappellait, un peu ma propre histoire par moment. Je, n'avais retrouvé mon fils qu'après de nombreuses années, en l'ayant cru mort pendant tout ce temps. Par moment, je m'en voulais. Même, si encore une fois, ce qui est fait, est fait, impossible de revenir en arrière.
Assis à côté de Sarabi. J'aurais jamais cru qu'un jour cette situation serait possible. Mais c'est pas ça l'important! L'important c'est que j'ai retrouvé ma maman! Et ça, personne pourra me gâcher ce moment! Ce faisait tellement longtemps que je la cherchais, et maintenant, tout ce travail a finit par payer! Je suis tellement heureux que je pourrais... Faire un câlin à tous le monde? Ouais, même au garde-manger! Je suis vraient heureux de voir qu'il y a des lions pour s'occuper de ceux qui arrive ici en étant paumé, c'est tellement pratique. "Je suis heureux... Je crois que je vais pas m'arrêter de pleurer Sarabi." Ouais, j'avais un sale goût dans ma bouche. Le gardien appelle ça du sel. Ouais, faut dire que je pleurais un peu quand je me suis fait chopé par des humains et que j'ai du dormir au centre. Maman dépose sur une table des chose en métal et me fait un grand sourire avant de sortir la viande du paquet. Je ne sais pas du tout ce que c'est ces petites choses. Même au centre le gardien m'en filait pas. Du coup, j'ai jamais su ce qu'il y avait dedans. Mais comme d'habitude, April est là pour me dire que tout va bien. Elle doit vraiment être une bonne maman avec Simba!
J'hésite un peu quand même. Dans leur boîte, j'ai vu des humains tomber par terre après avoir bu un truc alors... Je jette un oeil à April qui est toujours super rassurante. Bon, je me lance! J'ouvre la chose et commence à boire. Ouah! C'est très bizarre! Il y a plein de bulles! Et un goût... c'est bizarre mais c'est vraiment bon! Je jette un oeil à mon corps et dit: "Ouais, je suis encore vivant!" J'entends des claquements dans la pièce d'à côté. Maman mettait la viande dans un truc bizarre avant d'y mettre le feu en dessous. Faudrait que je tente ça un jour. Comme ça, je pourrais frimer devant Tama et lui montrer que je sais faire des trucs bien!
Après une dizaine de minutes, Maman mit des couverts sur la table avec des assiettes et on pouvait enfin commencer le repas. Il y avait de la viande bien sûr, mais aussi de l'herbe. Pourquoi est-ce qu'un lion mangerait de l'herbe? Je fit des yeux ronds devant le plat et le passa à Sarabi pour qu'elle puisse se servir. Heureusement que le gardien m'avait apprit à me servir d'un couteau et d'une fourchette. Sinon, j'aurais eu l'air fin a manger avec les doigts comme ça. Par contre... étrangement, j'ai rien à dire. Je veux juste profiter de ce moment, être tranquille avec le seul membre de ma famille encore là et Sarabi. C'est pas tous les jours qu'on pouvait manger un morceau avec la reine. Maman n'arrête pas de me regarder comme si j'allais m'enfuir ou disparaître. "C'est bon maman, je ne vais plus partir tu sais?"
Finalement, Maman amena un gâteau que je n'avais jamais vu. Encore un truc sucré? "Pour le retour de mon fils chéri! Ne t'inquiète pas, c'est comestible!" Oui, je confirme. J'ai au moins prit trois part du gâteau! J'ai toujours été gourmand mais là, j'ai vraiment fait fort! "C'était bon! J'en peux plus là... Tu as bien mangé Sarabi?" "Je vais préparer le café April. A moins que Simba ne vous attende chez vous?"
April King
« Long live the queen »
| Avatar : Holly Marie Combs
BENIT SOIT LE FRUIT
And don't tell me what to do
and don't telle me what to say
| Conte : Le Roi Lion | Dans le monde des contes, je suis : : Sarabi
Je laissais, échapper un léger rire, lorsqu'il se réjouit, d'être toujours vivant après, avoir bût, le soda. Ce, n'était pas moqueur, c'était juste de l'amusement. J'étais heureuse, de tous les retrouver, après toutes ces années. Nos cinq petits protégés, à Safi et moi :
- J'y pense ! M'exclamais-je soudainement. Et, si tu rendais visite à Sarafina prochainement ? Je suis sure, qu'elle sera très heureuse de te revoir.
Depuis, les récents évenemment, ma meilleure amie, était passé à la tête des lions, avec moi. Nous, gouvernions, ensemble. Et, je ne lui cachais, plus aucune histoire nous concernant, de près ou de loin. Nous, formions, un excellent duo elle et moi. Quand, j'avais besoin de conseils, je convocais, mes trois sœurs, en plus, et j'écoutais leurs avis, avant de contacter Sarafina, et de lui en faire part, que nous en discutions, ensemble. Et, j'essayais, également, subtilement de former Samuel à ce rôle. Je, n'étais pas éternel, et à un moment, il faudrait bien qu'il passe le cap, et prenne en main, notre famille.
Je chassais ces pensées, Simba avait tout le temps, d'être convenablement, formé à son devoir de monarque, je ferais ce que Mufasa, n'a pas pu faire. Mais, il était encore jeune, et je n'avais que quarante ans après tout, j'avais encore du temps devant moi. Et il faudrait peut-être, que je me décide, avec cette histoire, de numéro. Ca faisait, quand même un bout de temps, que je conservais, le numéro de Connor, sans oser l'appeler. Je savais, ce que ma meilleure amie dirait si elle était là. Elle me rabrouerait surement, pour ainsi attendre plus longtemps, elle serait même capable de l'appeller pour moi. Du Sarafina, tout craché en somme.
Jetant un coup d'oeil du côté de Malka, je pu le voir absorber par les actions de sa mère, qui cuisinait :
- C'est une poêle lui expliquais-je.
Devant son regard, curieux, j'entrepris, de lui expliquer, comme les humains faisaient, la cuisine, et à quoi, correspondait chaque ustensile. Son regard, attentif me fit plaisir. Ce, n'est pas Samuel à qui j'aurais réussis à s'interresser au sujet. Mais, j'aimais assez, détailler ce genre de choses à Malka. Aimant, moi même faire la cuisine, pour Simba et Tama -enfin quand elle était là.
Tu demanderas à ta mère de te montrer lui dis-je je suis sure qu'elle en sera ravis
C'est bien connus, que nous les maman adorons, cuisiner avec notre progéniture, particulièrement, quand ils sont petits. Je, l'avais fait avec Simba, dans les faux souvenirs, d'avant l'accident. Et puis, j'étais devenu dépressive. Même, si en réalité, j'avais été dépressive, durant vingt huit très longues années. C'était finit tout ça, c'était derrière moi. J'étais plus forte qu'avant.
Kijamini, revint apportant les couverts, le repas n'allait pas tarder à arriver, et en effet, la mère de Malka, revint avec peu de temps après, tandis que nous, nous installions à table. Je ris en voyant Malka, faire une drôle de tête devant la salade, et pendant qu'il me passait le plat avec, je me mit à lui expliquer de quoi il s'agissait :
- C'est de la salade Malka, nous sommes humains à présent, notre alimentation est donc passé de carnivore omnivore. On, ne peu pas manger sans cesse de la viande, notre organisme n'est pas fait pour ça. C'est ce que j'essaye tant bien que mal de faire entendre à Tama d'ailleurs terminais-je avec un soupir dans la voix
Nous terminâmes avec un excellent gâteau, presque aussi bon que ceux de Diku, Malka s'était manifestement régalé :
- Je prendrais bien un café dis-je à l'intention de sa mère après qu'elle me l'ai proposé, Simba est...en voyage actuellement
C'était pas, tout à fait ça. Il, se trouve que nos deux enfants avaient mystérieusement disparus à Sarafina et moi. Pas besoin de sortir de Saint Cyr, pour deviner qu'ils étaient partis tous les deux ensemble, nous laissant morte d'inquiétude elle et moi. J'en connaissais qui allaient se faire souffler dans les bronches à leur retour
- Tu pourras aussi allé voir Chumvi et Kula, tu te souviens d'eux ? Demandais-je à l'intention de mon protégé On a aussi Tojo, qui est ici depuis un an, vous devriez également vous revoir, je pense que ça lui ferait vraiment plaisir.
J'hochais la tête, peut-être devrais-je voir avec Safi, pour une petite réunion tous les sept.
NON? Tojo est là lui aussi! Trop cool! Mon ami de longue date! Mon poto! Celui qui m'a fait passer de bons moments avec Tama! Si tout va bien, il sera au moins l'une des seules personnes à ne pas avoir changé. Et heureusement sinon je m'en sortirais pas. Mais j'espère aussi qu'il va pas prendre la poudre d'escampette comme Simba! Il est partit où lui d'ailleurs? Avec Nala j'en suis sûr! Lui au moins il a réussi à avoir enfin sa lionne. Alors que moi.... Bah! C'est pas un problème! Je vais pas mettre autant de temps que lui vu que je suis plus doué! Elle va voir Tama! Je vais lui montrer quel magnifique mâle je suis! Je fais un grand sourire à ma reine avant de répondre! "C'est une bonne nouvelle ça! Elles s’enchaînent c'est un vrai miracle!" Je me suis ensuite allongé sur le canapé en plein milieu du salon. J'en pouvais plus là, faut vraiment que je me repose. Je regarde maman. Oh punaise ce que ça fait du bien de sentir son odeur de nouveau. Bah oui je me base sur l'odeur parce que pour le physique,c'est pas gagné. Pareil pour Tama. Je dis pas qu'elle est moche en humaine, mais j'aurais vachement aimer rester à quatre pattes avec elle plutôt que de la voir avec sa longue crinière. C'est les lions qui la mérite! Pas les lionnes! Je vous raconte pas comment j'ai été très jaloux d'ailleurs.
"On pourrait pas carrément faire une réunion de famille avec Simba et les autres? Enfin, s'il revient bien sûr..." Où est-ce que l'on pouvait bien aller dans ce monde? Les voitures arrêtent pas d'exploser et il y a un tas de gens qui veulent s'entretuer. C'est pas joli joli tout ça. Et puis avec Scar, j'ai surtout pas envie de m'éloigner des autres lions. Qui sait s'il va pas vouloir nous buter d'un coup, comme ça? "Bon, t'étais quoi maman sous cette... maléditruc?" Elle se mit à rire. Pas ma faute si j'arrive pas à prononcer ça correctement. C'est un mot que j'utilise pas et à force de l'entendre, quelqu'un a dû m'expliquer pour pas que je sois paumé. Maman m'expliqua alors sa fausse vie (j'ai presque pigé le concept je pense) et ensuite son travail et tout ce qu'elle faisait dans des associations comme le centre où j'étais. Mais elle m'avait pas croisé alors j'imagine que c'est la faute à pas de chance. Je pense pas que maman soit capable de m'abandonner. Elle est pas si méchante contrairement aux histoires qu'on voit à la télé.
"Si tu veux, je pourrais t'aider à te trouver un travail en t'apprenant quelques petites choses?" me dit maman avec un grand sourire. Elle alla même jusqu'à me dire que pourrais peut-être l'accompagner si elle a le temps. Je suis vraiment content. Tout semble marcher à merveille donc c'est vraiment top! Je vais enfin pouvoir vivre une vie normale! "Dis Sarabi, c'est facile d'avoir un travail? Ca m'a l'air compliqué ce que tu fait." Parce que oui, j'aime pas l'idée de travailler ici. C'est pas assez lion à mon goût. J'en ai vu un qui se contentait de vider des poissons. Franchement, qui aimerait faire un truc aussi dégueu excepté un humain? Quoi que, le type avait une odeur de rhino alors du coup, il y a de quoi être perdu vous croyez pas?