« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Des gouttes de sueurs je vous jure coule de mon front. J’accepte avec joie la main d’Emma. Ça me rassure. Au début… Jusqu’à ce que la machine en acier commence à avancer, là je crois que je suis en train de broyer la main de la pauvre Sauveuse… Je ferme les yeux et serre les dents en broyant les doigts d’Emma un peu plus – comme si c’était possible – quand l’avion commence à s’élever dans le ciel. En plus la femme qui semble folle à dis des choses qui sont loin de me rassurer… Jefferson ne me rassure pas non plus… Je suis entouré de dingue je crois. D’après Emma je peux retirer ma ceinture maintenant. « Non mais ça va pas ?! Je me détache pas. Hors de question. »
Je peux avoir un cachet… ? Je vais attendre un peu, ça va peut-être passer. Un jeune homme vient à notre rencontre avec des tasses de thé fumante, en donnant une à Jefferson. Et nous on a rien ? Je lui souris quand il nous demande si on désiré quelque chose. Ah bah quand même !
« Du rhum serait parfait ! »
Je fronce le nez quand Jefferson présente la tasse devant moi. Arrête mate, ça va me faire vomir là… J’ai le mal des transports je crois. Et je tiens la main d’Emma comment tu veux que j’me saisisse de ta tasse ? Il est fou ou quoi ? Comme si j’allais lâcher Emma ! Je sursaute de peur, oui de peur, quand Jefferson se révolte à propos de son thé… Je me décale le plus possible de lui, le scrutant comme s’il était fou. En même temps c’est le cas. Allez voir le pilote… Bonne idée dis-donc. Je réfléchis à cette proposition quand un autre homme du nom de Duncan vient se présenter à nous. Ils font aussi partie de l’expédition alors, très bien. Oh un livre, c’est mignon de sa part.
« Killian enchanté. Merci pour le livre ! Si je ne meurs pas avant la fin du voyage, je le lirais. »
Après quelques minutes de bavardage il retourne à sa place. Je passe ma main sur mon menton en réfléchissant… On peut donc se lever et se balader hein ? C’est sans risque… Après une très grande hésitation, je déboucle ma ceinture en lançant un regard à Jefferson. Le genre de regard qui prédit des conneries. Je me lève en titubant légèrement au début, sous le coup de l’émotion surement. Allez du courage ! T’es un capitaine bon sang ! J’enjambe Emma, dis comme ça c’est très sexy, pour me dégourdir les jambes dans le couloir de l’avion. Agréable. Une hôtesse vient à ma rencontre, me demandant si je désirais quelque chose.
« Du rhum je vous prie. Rhum ambré bien corsé bien entendu. Et j’ai bien envie d’une noix de coco. Je vous remercie ma belle. »
Quoi ? Pas de rhum ?! Pas de noix de coco ?! Mon sourire se fane, mon cœur se brise… Je fronce les sourcils et mon visage transcrit la colère qui m’anime. C’est un scandale… C’est une honte. Je me retourne vers Jefferson encore assis.
« Chapelier ! Je crois qu’il est temps d’aller dire deux mots à ce pilote ! »
Je commence à aller vers la queue de l’avion, pensant y trouver le pilote avant de réfléchir… On ne doit pas conduire un avion comme un bateau… je crois avoir vu des fenêtres à l’avant de l’appareil, ça doit être par là. Je m’arrête quand j’entends une voix de femme résonnaient dans l’appareil, comme lors des instructions du début. Des turbulences ? Ça veut dire quoi ? Je le découvre rapidement quand je sens l’appareil tremblé comme mon navire lors des pires tempêtes… pris de peur je me retourne pour… aller dans les bras de Jefferson me tenant à lui de toute mes forces cachant ma tête dans son cou… Ça fait très viril… C’était instinctif. Quand les secousses se terminent je me détache de Jefferson, un peu gêné. Enfin, beaucoup. Mais faut pas le montrer ! Je vois des tas de regard sur nous… Ils ne peuvent pas se mêler de leurs fesses ceux-là ?! J’enlace un homme si je veux !
« Un problème ?! » Je leur crache ses mots avant qu’ils ne baissent le regard pour retourner à leur occupation précédente. « Personne ne doit jamais savoir ce qui s’est passé, tu m’entends ? »
J’adresse un grand sourire à Emma par-dessus l’épaule de Jefferson avant de repartir à la quête du pilote ! Quand nous arrivons dans une autre partie de l’avion fermé par un rideau, une jolie demoiselle joliment vêtue nous accueil. Je vais demander à Diana de s’habiller comme ça. J’aime.
« On doit parler au pilote c’est urgent ! »
« Désolez messieurs, mais c’est impossible. »
« Comment ça impossible ?! On doit lui parler je vous dis. Vous vous rendez compte que vous n’avais même pas de rhum dans cet engin volant ?! Et d’après mon ami ci-présent votre thé est immonde ! C’est un scandale vous m’entendez ! En plus vous m’avez dépouillé de mes affaires avant de monter dans cet engin de torture ! Jamais on ne me sépare de mon crochet ! »
« Je vais vous demandez de retourner à vos places s’il vous plait. Ne m’obligez pas à employer la manière forte. »
La manière forte, sérieusement ? Elle aussi maigre qu’un clou elle croit me faire peur ? On est deux hommes bien baraqué, oui ok sur moi ça ne se voit pas ! Elle ne va rien nous faire. Je passe à côté d’elle dans le but d’ouvrir la porte qui mène au pilote quand je sens une pression sur mon bras. Je n’ai même pas le temps de réagir que déjà je me retrouve plaqué contre la porte dans un gémissement de douleur. Je n’y crois pas. Une fillette vient de me plaquer contre un mur en quelques secondes.
« Jeff ! Aide moi bon sang ! C’est une diablesse ! »
J’essaie de me retourner pour voir deux hommes très baraqués s’avancer vers nous deux munis d’une espèce de seringue… J’essaie de me débattre mais impossible avec la prise de cette femme… Trop tard pour s’enfuir je sens l’aiguille se planter dans mon épaule. Houla ça tourne. Et ensuite le noir total.
Quand je me réveille je me retrouve sur un siège bien moins confortable que précédemment à coté de Jefferson se réveillant lui aussi. Ils l’ont eu aussi ses sauvages… J’essaie de me lever quand je constate que j’ai la main et le support en cuir menotté au siège… Deux mecs baraqués comme des bêtes nous surveillent sur des sièges en face de nous.
« Je sais pas si c’était une bonne idée, mate... Nos dames vont nous tuer. »
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Emma Swan*
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Je détachais ma ceinture d'une main vue que l'autre était encore tenue par Killian qui l'avais tellement serrer que je me demandais comment il m'avais pas briser les os,en tout les cas il avait de la force le pirate,ma main gauche s'en souviendra pendant longtemps.Je remarque que le jeune garçon appeler Fuyuki se dirige vers nous avec deux tasse de thé fumante avant d'en tendre une a Jefferson,le thé des avions n'étais pas spécialement bon,mais je laissais le Chapelier en faire la découverte tout seul."Non merci ,mais c'est gentil de proposer.Je sourie a Fuyuki avant de lever les yeux au ciel quand la réaction du Chapelier a propos du thé se fait entendre,je l'avais attendue celle-la.
Je poussais un soupire mais ne dit rien,tournant la tête en direction de Duncan qui venait de se déplacer vers nous,je lui adressais un grand sourire quand il me fit la révérence,un vrai gentleman comme on en faisait plus,un peut comme mon père,je me rappelais parfaitement de lui,ayant la mémoire des visages,il était venue me voir durant la malédiction pour reporter le vol de sa moto ,que j'avais finit par retrouver.
"Vous ne nous interrompez pas du tout Mr Aileas, ravis de vous revoir."J'adressais un signe de tête polie a la dénommer Heather ,Killian en profita pour attraper le livre que Duncan avait prêter a Fuyuki.Je continuais de discuter avec Duncan avant que celui-ci ne retourne s'asseoir,je sortait mon portable que j'avais oublié de couper avant de le mettre en mode avion,Killian m'enjambe pour surement allez se dégourdir les jambes,suivis de près par le Chapelier,je me prépare déjà a la prochaine connerie qui nous attend.
Une des hôtesse signala via le micro qu'apparemment on allait subir des turbulences,je fermais les yeux,je n'étais pas spécialement fan des turbulences,quand les secousses passèrent ,je tournais la tête pour remarquer que les deux autres sont enlacer,j'arque un sourcil quand Killian me souris avant qu'ils ne se dirigent tout les deux en direction de la cabine du pilote,surement pour parler avec celui-ci ,mais bien sur l'hôtesse ne les laissa pas passer et sa se finit avec les deux attacher et sous sédatif,je roulais des yeux avant de me lever pour marcher dans leur direction.
"Désolé pour tout ce dérangement."J'adressais un sourire polie au deux stewart avant de me tourner vers les deux idiots ,mon sourire se faisant plus faux."Tu peut être sur que quand on arrive sur Paris ,Diana recevra un coup de fil de ma part ...Je fixais mon regard sur le Chapelier."Quand a toi si tu prévoie d'enchainer avec une plus grosse connerie ,tu peut être sur qu'a côté du téléscope ,se que tu subira sera pire...si j'avais voulue que se voyage se transforme en colonie de vacance ,j'aurais embarquer ta fille,maintenant vous rester tout les deux bien sage ,jusqu'à se qu'on arrive sur Paris,sinon je vous garantis que sa va chauffer."Mon sourire disparue ,j'attrapais le chapeau du Chapelier avant de tourner les talons pour retourner m'asseoir sur mon siège,je sortais un livre de mon sac avant de l'ouvrir pour le lire,le chapeau a présent sur le siège vide du pirate.
Emma & Killian & Jefferson & Fuyuki & Duncan & Heather
« Mais puisque je vous dis qu'on va s'écraser ! Je l'ai vu dans une vision ! Je suis médium moi, madame ! Il est hors de question que je reste à bord de cette engin de torture... Ouvrez cette maudite porte ! Ouvrez la porte ! »
L'avion avait à peine quitté le sol que les ennuis commençaient. Cette pauvre femme au foulard vert qui s'époumonait de terreur attira l'attention de tous les passagers. Moi y compris. Je n'étais ni superstitieuse ni une adepte des diseuses de bonne aventure, mais cette Madame Irma semblait sincère dans sa frayeur. Ou alors elle jouait très bien la comédie. La voix de Duncan me sortit de mes pensées :
« Heather, dis-moi, que comptes-tu faire à Paris ? Tu as déjà ton programme ? »
Je souris. La vie m'avait rendue assez organisée et méthodique, cependant, mon naturel impulsif revenait souvent au galop. J'aurais dû faire une liste, un plan de tout ce que je voulais voir. J'aurais dû préparer mon parcours dans la capitale française. J'aurais dû. Toutefois, le plaisir de découvrir à l'improviste, au détour d'une ruelle, une magnifique demeure ou une imposante fontaine était un plaisir que je ne pouvais pas m'enlever.
« Oh, il faudrait que je reste des mois à Paris pour que je puisse tout visiter ! Le Louvre, la tour Eiffel, les Champs-Elysées... Bien sûr que je les ferai, mais avant tout, j'ai envie de me plonger dans la vie parisienne. Manger où mange les parisiens, dormir où ils dorment, marcher où ils marchent. L'espace d'une journée, je veux être une véritable parisienne ! »
Mon regard sombre et intense était illuminé d'étoiles alors que je m'imaginait cette ville de lumière. J'étais une grande amatrice d'art et d'histoire, donc vous pensez bien que le mot Paris m'inspirait énormément. Cette cité était si riche, et pouvait tellement m'offrir ! Je n'avais qu'à tendre les bras. Si j'avais le temps, je passerais volontiers du côté du château de Versailles. Je me doutais que mon mentor aussi avait hâte de fouler le sol français. L'Histoire avec un grand H, c'était sa passion de toujours. Si vous voyiez comme ses yeux brillent lorsqu'on lui parle de Jeanne d'Arc, Louis XIV ou Napoléon... Il vous entraîne dans son amour pour la vie de l'Humanité. Je n'avais jamais assisté à un de ses cours, néanmoins j'étais persuadée qu'il était un excellent professeur. Duncan me quitta un moment plus tard pour aller se présenter à nos compagnons de voyage, quelques sièges plus loin. Quant à moi, je me mis à farfouiller dans mes affaires, après avoir poliment salué de la tête les autres Storybrookiens (oui, je suis quelqu'un de très sociable, j'adooore aller taper la discut' avec des gens que je connais à peine). J'avais la dalle, et je ne pouvais décemment pas attendre que l'hôtesse me propose un "sucré ou salé ?". Ma main finit par saisir ce que je croyais être un sachet quelconque, mais quand je la sortis, je découvris avec stupeur que ce que je tenais était beaucoup moins innocent qu'un paquet de biscuits. Je renfonçai immédiatement ma main au fond de mon sac, les yeux écarquillés de stupeur. Qu'est-ce que des préservatifs foutent dans mon sac ?! J'en ai même pas chez moi ! Un petit mot manuscrit accompagnait la fameuse boîte :
Il fait froid en Suisse, alors sors couverte ! Et rapporte-moi un tailleur Chaneldes Louboutinun sac Louis Vuittonun foulard Hermèsun bijou Cartierla tour Eiffel un p'tit truc ♥ Mure, ton associée qui t'oublie pas (et surtout pas son cadeau).
Je poussai un soupir, levant les yeux au ciel. J'y crois pas, elle a osé. Elle est pas possible c'te fille. Un léger sourire étira pourtant mes lèvres. Au moins je savais que quelqu'un à Storybrooke m'attendait... Enfin, attendait surtout ce que je rapporterai. Mais c'était mieux que rien. Je sortis mon téléphone et mes écouteurs, m'enfermant dans ma bulle musicale. Duncan me rejoignis peu de temps après. Et les ennuis reprirent. Apparemment, le Chapelier et le pirate étaient plus qu'insatisfaits du service de restauration. En même temps, on était dans un avion les gars, fallait pas s'attendre à du grand luxe, hein. Les deux compères firent un tel remue-ménage qu'ils se retrouvèrent sous sédatifs. Heureusement, Emma vint à leur secours, et les sortit du pétrin dans lequel ils s'étaient mis. Le voyage allait être long. Je décidai donc de me dégourdir les pattes. Me faufilant entre mon voisin et le siège de devant, je remontai l'allée jusqu'aux toilettes (y a un peu que ça à visiter dans un avion...). En passant devant une rangée, j'entendis un sifflement admiratif. Je ne pris même pas la peine de me retourner. Les gens n'ont décidément plus aucune éducation. Ils ne savent plus se tenir. Comme le commandant de bord annonça des turbulences, je dus faire demi-tour. Et cette fois-ci, le bonhomme impoli se permit de m'aborder :
« Hey ma jolie, ça te dit que j'aille te faire visiter Paris ? J'connais un coin sympa où on pourra finir la nuit... »
Il était sérieux, lui ? M'appuyant au repose-tête, je me penchai à son niveau, dévoilant innocemment la crosse de l'arme que je portais sous ma veste.
« Si tu veux pas que j'te fasse un troisième œil, t'as intérêt à t'la fermer. J'me répèterai pas. »
Sans attendre la réaction de l'autre débile profond, je continuai mon chemin. Je croisai alors la medium qui avait fait scandale au décollage. En me voyant, elle fut prise de stupeur. Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai un truc sur le front ? Tu veux ma photo p't'être ? Elle parla à voix basse, et je crus discerner sur ses lèvres les mots "maudit", "mort", "monstre". Charmant. Il était grand temps que je regagne ma place. Une fois installée dans mon fauteuil, je trouvai enfin mes gâteaux, et je me mis à regarder un film pris au hasard : La Fiancée de Frankenstein. Pourquoi pas ? Plus que cinq heures.
Emi Burton
Jefferson Hyde
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Aaaah ! Apparemment, Captain Lapin se montrait moins barbant que Jefferson commençait à le croire. En même temps, vu l'ambiance qu'ils avaient mis durant le bal de Noël, que le Capitaine Non-Crochet soit barbant aurait été une réelle surprise en soi… Mais c'est avec un grand sourire que Jefferson rejoint Killian dans sa révolution, hurlant aux stewardesses qu'ils devaient absolument parler au pilote. Bien sûr ! Le pilote ne pouvait qu'être une solution dans ce problème de thé imbuvable !.. sauf que Killian pris la direction de la queue de l'avion, et Jefferson s'immobilisa, bras croisés et sourcil haussé, gardant un silence perplexe le temps que le pirate se rende compte de sa bourde. Puis, éclatant de rire, il suivit les traces de l'homme maquillé, avant que celui-ci n'ait un haut-le-coeur et… ne s'effondre -bon, pas tout à fait mais presque- dans les bras du Chapelier avec la virilité d'un calamar sous extasie. Il sentait la respiration du capitaine dans son cou, et, prit d'une folle envie de pousser le bouchon un peu plus loin, Jefferson lui administra un bisou sonore sur le front, non sans se retenir violemment de rire.
« Voyons, Captain Lapin, tu es si douillet quand tu t'y mets ! »
Et pendant que le capitaine crachait son venin aux passagers trop curieux, Jefferson continua sa route avec une indifférence visible à l'égard de l'opinion d'autrui. À peine quelques secondes plus tard, les deux partenaires du crime -exagération, vous avez compris le principe, bienvenue dans la tête du Chapelier !- étaient arrivés près des hôtesses de l'air, et Jefferson prit un air de gangster en quête de bagarre, tandis que le capitaine prit la parole pour accéder au pilote -enfin, à la cabine du pilote, ça ça s'appelle une métonymie, ce monologue s'est transformé en cours de français… mais passons ! Et il ne fallut que quelques secondes de plus pour que le Capitaine Crochet et Le Chapelier -CCLC, Comité Contre Les Chats, un classique, même si Jeff est en réalité un amoureux des félins… on allait où avec ça en fait ?- ne se retrouvent à se battre contre les hôtesses -et les deux mecs barraqués qui surgirent un peu plus loin, à croire qu'ils attendaient dans l'armoire que quelqu'un fasse du grabuge pour en sortir. Jefferson poussa un cri de guerre façon film western, bien que la situation l'amusait plus qu'autre chose. Enfin un peu d'ambiance dans cette machine infernale ! Mais il ne put se réjouir longtemps car après seulement quelques coups donnés, Jefferson sentit ses capacités de combat l'abandonner lorsqu'une vilaine seringue vint le piquer dans le coup. Vision qui se brouille, faiblesse de corps, noir total.
« Je sais pas si c'était une bonne idée, mate… nos dames vont nous tuer. » Sortant d'une torpeur forcée, Jefferson jeta un œil aux alentours, répondant à la remarque du Capitaine par un sourire tout aussi forcé. « Je ne te le fais pas dire, maïté… » Il se tourna ensuite vers les deux armoires à glace, leur adressant un sourire enjôleur façon Cheshire Cat, mais moins cool quand même. « Vous êtes ravissants aujourd'hui… ça vous dirait de me détacher et qu'on aille boire un verre après l'atterrissage ? »
Mauvaise technique. C'est vrai que cette technique là marchait mieux sur les terriennes que les terriens. Et bon, le Chapelier avait la subtilité d'un lapin mort, aussi. Jefferson glapit quand il vit que les deux camionnettes humaines se rapprochaient avec un air peu commode sur le visage. Heureusement, miss Swan intervint, pour le plus grand plaisir de Jefferson, qui adressa un énorme sourire à sa belle. Bien sûr qu'elle allait le tirer de là ! Ils serait toujours là pour se tirer d'affaires, non ? Non.. ? Non. À la place, Emma adressa un sourire poli aux deux terreurs, s'excusant pour le dérangement. Mais quel dérangement ? Mais nom d'un poney à plumes fluos personne ne savait s'amuser sur Terre ?! Le sourire du Chapelier se fit crispé quand Emma lui balança un long discours sur son comportement, avant de doucement s'évaporer. Elle saisit son chapeau, et Jefferson poussa un petit cri indigné.
« Mais Emma ! Pas le chapeau ! J'ai jamais pris un en otage un objet aussi précieux à tes yeux ! Enfin à part ta ma… oui bon d'accord je suis pas un exemple mais quand même ! Emma, je voulais juste s'amuser un peu, mais fais pas de mal au chapeau ! »
Implorant ? Mépadutou. Pfff… Il allait vraiment falloir que les deux amoureux apprennent à fonctionner l'un avec la personnalité de l'autre ; ils semblaient former le Jour et la Nuit, le Yin et le Yang ; Emma avec sa personnalité forte, fragile, réaliste et raisonnable, et Jefferson avec son caractère déjanté et qui lui aurait valu plusieurs séjours dans les soins intensifs d'un asile. Oui, décidément, ces deux-là avaient certes franchis plusieurs étapes ensemble, ils avaient encore du boulot pour apprendre à fonctionner à deux sans nuire à l'autre… Et même si Jefferson prit un air boudeur et renfrogné après que Emma l'ait superbement ignoré, il se réjouissait d'avance de cette nouvelle aventure, de cette nouvelle découverte. Prochaine étape ? Paris ! Et sans faire de conneries… presque !..
Il sourit à Duncan, grand homme aux manières élégantes, lorsque celui ci lui tendit un livre. Il avait lu dans ses pensées, c'est exactement ce dont il avait envie ! Il tendit le bras pour prendre le recueil lorsque Killian prit le livre à sa place. Il leva les sourcils, surpris, mais ne réagit pas.
Fuyuki pencha la tête sur le côté, intrigué par la commande du pirate. Du rhum ? Ils servaient du rhum dans un avion ? De toute façon il n'eut pas le temps d'aller voir, que Jefferson se leva scandalisé par son thé. Le renard regarda sa tasse et la posa discrètement sur le plateau de quelqu'un non loin. Tout en retenant sa promesse -il l'avait dit, maintenant il attendrait son thé-, Fuyuki recula du chapelier qui était rentré dans une fureur folle à propos du thé. Entre Katerina qu'il avait rencontré sur la plage et Jefferson, Fuyuki ne sut dire qui était le plus étrange -et la jeune femme amnésique en nuisette ensanglantée avait été des plus étrange-. Killian se joint au Chapelier et tous deux se mirent en quête du pilote.
Fuyuki préféra s'éloigner pour éviter les ennuis et retourner à son siège qui était à l'écart du groupe, lorsque les turbulences s'annoncèrent. Le renard fut quelque peu mal à l'aise avec les secousses mais heureusement elles passèrent rapidement. Il jeta un coup d'œil devant. Il y avait eu du mouvement, l'hôtesse qui lui avait servit son thé immonde avait maitrisé Killian d'une main experte.
-Chouette ! On va se bagarrer, un peu de sang ça manquait ! -Vous n'allez faire couler aucun sang et participer à aucune bagarre, rendormez vous ! Ordonna Fuyuki à ses démons.
Fuyuki tourna la tête deux rangées plus loin. La jeune femme du nom de Heather regardait un étrange film. Son regard et son ouïe perçant la distance, il se concentra pour suivre les premières minutes du film, mais cela le désintéressa rapidement. Il vit le livre qu'avait voulu lui donner Duncan. Il alla le prendre avant de retourner à sa place. Il commença à lire mais... mais il avait soif, il n'avait pas eu son thé en fin de compte. Il se leva de nouveau, et partit en direction des hôtesses de l'air, quand un homme baraqué lui bloqua la route. Réflexes animaliers, Fuyuki grogna avant de se reprendre.
Oh je ne viens pas chercher les même hostilités -bien que c'est assez désagréable cette histoire de thé infecte-. Je viens vous demander un verre d'eau s'il vous plaît !
Rasseyez vous s'il vous plaît !
Mais...
Les deux drôles d'hommes ayant fait du grabuge, le groupe n'avait plus le droit à des privilèges.
Il attendit alors que le personnel eut le dos tourné pour aller voler une bouteille d'eau et une de jus de fruit dans la réserve, qu'il cacha sous son siège.
-Pourquoi vous avez fait ça ?! hurla le renard intérieurement à ses démons.
-Oh pitié, tu vas pas te laisser faire parce qu'on te refuse de l'eau ! En tout cas nous on se laisse pas faire. Donc si tu as soif, ou l'un de ses hommes étranges et les autres qui nous accompagnent en veulent, et bien on a de l'eau et du jus !
Fuyuki soupira d'exaspération, et ouvrit son livre, préférant passez outre cette histoire.
Duncan était dans un de ses livres. Il était bien content d'emmener Heather avec lui, surtout la destination et l'escale, ça ne pouvait que lui plaire. Seulement, il savait que ça allait être dangereux. Il savait qu'elle savait se défendre, ils s'entraînaient beaucoup ensemble, mais il ne voulait pas l'emmener à une mort certaine. Alors il se promit de faire tout pour la protéger. Lui, il voulait revoir Paris, cela faisait si longtemps qu'il ne l'avait pas, d'autres histoires à découvrir. Vivre déjà quelques centaines d'années, lui avait permis de découvrir en direct les choses. Que de mieux pour raconter à ses élèves que d'avoir été témoin, sans qu'il le sache.
Il n'avait même pas besoin de relever la tête, pour savoir tout ce qui se passait dans cet avion. Il s'était présenté au reste de ses coéquipiers et il devait dire, que chacun avait sa propre personnalité bien à lui. ça allait être fort intéressant. Il avait apprécié l'échange de tout à l'heure. Heather s'était levé. Il avait entendu les deux garçons, qu'il avait rencontré un peu plus tôt faire...des siennes. Oui ça promettait. Il ne pouvait que soutenir Emma. Il n'allait pas avoir le temps de les baby sitter dans ce voyage. Enfin s'était pas son rôle mais la sauveuse pouvait compter sur lui au cas où si ça allait trop loin. Il ferma son livre et se leva, interceptant Mlle Swan.
"Ils ont l'air d'aimer l'action vos deux compères" disait-il sarcastiquement et d'un ton très neutre à la jeune femme, l'invitant quelques minutes à s'asseoir à ses côté si elle le souhait. "Cela promet...mais si vous avez besoin de quoique ce soit n'hésitez pas, je me ferais un plaisir de vous apportez mon aider" sourit-il inclinant légèrement de la tête. Il respectait cette femme. Il ne l'avait vu qu'une seule fois et s'était pendant la malédiction, pour son vol de moto, qu'elle avait retrouvé sans difficulté. Mais il la connaissait, car s'était la sauveuse et puis, elle était juste et si on a avait de quelque chose, on pouvait compter sur elle. Malgré qu'elle ne soit plus shérif -ce qui était fort dommage- elle restait la même quoiqu'il arrive. Ils s'échangèrent quelques points de vues sur ce qu'ils pourraient trouver à leur venu en Suisse. Ils riaient également et elle regagna sa place, l'ayant présenté au préalable un peu mieux à Heather. Il fallait qu'elle rencontre des gens, ça ne pouvait pas faire de mal.
Il put constater que le jeune homme avait récupérer le livre. Il se leva un instant passant à travers tout l'appareil. Il s'adressa à une jeune femme, lui parlant calmement. Quand il se décida à regagner sa place, cette dernière se jeta de tout son long sur un homme qui n'arrivait pas à s'empêcher de draguer, quel mal propre. Cougnafier.
Il s'assit et se pencha regardant le film de sa voisine. C'était un univers qu'il pouvait bien connaître. Il lui sourit et se reporta sur sa lecture.
Le voyage semblait long mais ils arrivèrent à bon port, les garçons avaient été libéré pour les deux dernières heures, les services de boissons ou repas avaient été fait. Heather et lui avait également papoter de leur petit programme, qu'il soumettrait à la petite clic une fois arrivé. Une sortie ensemble pour apprendre à se connaître pourquoi pas. Même si il avouait que ce n'était pas vraiment son genre.
L'annonce de l'atterrissage arriva. Il aurait pu y aller par ses propres moyens, mais il n'était pas seul et préférait faire comme tout le monde au lieu de se la jouer cerf volant...surtout qu'il faisait un peu trop jour à son goût. Ils arrivèrent sur la terre ferme, rejoignant le terminal, récupérant tout leurs effets personnels. Emma leur annonça qu'une limousine devait les attendre. Alors, nous la suivons jusqu'au point de chute de où elle était garé. Un homme avec un panneau écrit "Emma Swan" attendait devant...une monospace...ça ce n'était pas une limousine à son sens. Emma fit la même réflexion.
"Il y a eu erreur sur la réservation...." fit-elle avec un regard suspicieux. Le chauffeur les accueillis, les saluant, mettant sa main sur son torse, s'inclinant très légèrement. Il portait une casquette de chauffeur et des lunettes de soleil. La nuit tombait bien vite. Duncan regarda l'homme un instant, quelque chose l'intriguait chez celui-ci.
Malgré tout ils montèrent dans cette voiture et ils se mirent en route. Heather regardait par la fenêtre, contente d'y être, d'autres fit de même, d'autres s'occupaient autrement. Duncan avait certains souvenirs qui défilaient dans sa mémoire. Il les chassa. Ils étaient arrivés.
Duncan sourit à la vue de cette hôtel. "Bienvenue aux champs Elysées Plaza!" leur annonça t-on. Ils prirent leur bagage et entra dans celui-ci. Il avait un grand hall, il était très lumineux, luxueux. Il pourrait donner le tourni à quelqu'un qui n'était pas habitué à voir cela. L'accueil ne fut que chaleureuse. Un homme porta nos bagages jusqu'à nos chambres. Il y avait trois chambres à notre disposition et en entrant dans chacune d'elle, s'était le luxe assuré. Il y avait tout pour le confort, le room service de plus était gratuit.
Duncan s'installa et mit ses bouteilles aux frais. Ils avaient décidé de manger tous ensemble à l'hôtel. ça allait être épique ce repas. Il savait ce que s'était, il n'était pas dépaysé même si cela faisait longtemps. Il aimait observer Heather, la voir sourire, le ravissait.
Fuyuki releva la tête de son livre déjà bientôt bfini lorsqu'on lui donna à manger. Il mangeait rarement autre chose que du japonais, mais ça arrivait. Et pour cette fois il aurait préféré manger un truc gras d'un faste-fois plutôt que ce poulet mal cuisiné et pas apétissant du tout. Mais il fit avec finit son plateau avec la bouteille de jus volée avant de se replonger dans son livre. Il le finit un peu avant l'arrivé à Paris.
Il sortit de l'avion et l'espace plus grand dans lequel il pouvait marcher ainsi que l'air frais lui fit un bien fou. Il ne s'était pas plaint de l'avion, mais ce n'était pas la meilleure des situations.
Il se colla à ma vitre de ce qui aurait du être une limousine -mais qui devait sûrement être un peu plus petit, Fuyuki se savait pas vraiment ce que s'était mais la déception s'était lue sur le visage d'Emma- pour fermer les yeux pendant deux minutes.
Il regarda l'hôtel dans lequel ils allaient dormir.Lorsque Fuyuki était Sugahara, mariée a l'empereur, son château semblait moins luxueux encore. Il fit un tour de tête pour regarder le hall dans chaque recoins, ébahi par l'immensité de la chose. Ouaip, ça changeait de sa petite maison de bois dans la foret. Il observa l'homme prendre sa valise. Il y a erreur, je ne suis plus la femme de l'empereur ! se dit-il se souvenant des hommes à ses services qui étaient à ses petits soins uniquement grâce à son titre. Fuyuki laissa faire tout de même et les suivit jusqu'aux chambres, de nouveau étonné.
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Killian Jones-Swan
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Team Noix de Coco
| Conte : Peter Pan | Once Upon A Time | Dans le monde des contes, je suis : : Captain James Hook
C’était une mauvaise idée. Très mauvaise idée ! Mon sourire de petit gamin innocent devant Emma se fane très vite quand elle m’assure qu’elle appellera ma fiancée une fois au sol… Je suis certain que mon visage vire au blanc. En plus elle prend le chapeau de mon mate en otage ?! Ok, on a dépassé les bornes. Je ne sais pas si je dois m’excuser auprès d’elle. Dur dilemme. Je vais y réfléchir pour les heures qui me restent à bord de cet engin de métal. Les armoires à glace nous libèrent pour les dernières heures de vols, c’est sans me faire remarquer d’avantage que je retourne à ma place fermant mon clapet.
Je me réveille en sursaut quand je sens des vibrations, comme lors des turbulences mais en plus légers. On atterrit ? Enfin ! Vite, vite je veux quitter ce monstre. On doit encore passer récupérer nos affaires… Je n’arrive pas à comprendre le fonctionnement de ses tapis roulants. Je demanderais à Diana en rentrant. Alors si j’ai tout compris on est à Paris, en France. En bon marin j’ai étudié les cartes du monde je sais où cette ville se trouve, un peu prêt. C’est à coté de notre destination final je crois. On va devoir reprendre un avion après je crois, mais ne pas penser à ça maintenant. Je suis le reste du groupe mon sac à mon épaule, j’ai hâte d’arriver à leur hôtel pour enfin remettre ma prothèse et savourer mon rhum en paix. Je lève un sourcil quand on arrive devant l’homme au panneau Emma Swan et sa… limousine ce truc ? Je suis déçu.
« Ça une limousine? Je voyais ça plus... luxueux. »
Une erreur dans la réservation, mais bien sûr. C’est avant de monter dans la voiture que je me mets à fouiller mon sac en quatrième vitesse juste pour rattacher mon crochet à ma prothèse. Je soupire d’apaisement. Le voyage en voiture se fait en silence aussi. Trop de silence tue le silence quand même… J’astique mon crochet durant la durée du voyage, le limant au maximum. Si jamais quelqu’un me cherche des noises, il sera servi. J’essaie aussi de mémoriser les nouveaux noms et visages du groupe. Ce n’est pas très compliqué, la jolie fille Heather ; le gamin Fuyuki et le doyen du groupe Duncan. Bon c’est enregistré.
A peine un pas dans cet hôtel que ma mâchoire se détache, observant le plafond et chaque détail de ce hall des plus luxurieux. Les français ne se fichent pas de nous. Déjà en arrivant ils nous prennent nos affaires pour les monter directement dans nos chambres et maintenant ça ? C’est royal.
« Voici un hôtel digne de votre rang, Votre Altesse. »
J’imite une révérence à Emma avant de retourner à mon exploration. Comme un gamin je me presse d’aller jusqu’à ma chambre après avoir récupérer la clef encore plus émerveillé par l’intérieur. C’est sûr que ce n’est pas les chambres de chez Granny’s et je ne parle même pas des auberges que j’ai pu visiter. Si je comprends bien on est 2 part chambre hein ? Intéressant. Je ressors dans le couloir pour rejoindre Emma.
« Swan cette chambre ! Elle est trois fois plus grande que ma cabine sur le Jolly Roger. C’est dingue ! »
Je sors ma célèbre flasque de rhum que j’ai récupérer avant de sortir du palace qu’étais ma chambre buvant une gorgé. Je ferme les yeux de pur bonheur quand l’alcool coule dans ma gorge. Ça m’avait manqué. Je propose l’alcool aux autres. Qu’ils en profitent. J’espère qu’on pourra visiter un peu avant de repartir. J’aime bien ce lieu. Je sors mon téléphone parlant pour essayer d’envoyer un message texto à Diana. J’ai dû mettre une heure avant de trouver comment l’envoyé. Je ne suis vraiment pas fan de la technologie…
« Et maintenant ? »
J’attends la suite. C’est quoi le prochain point sur le programme ? Petit diner à l’hôtel et ensuite ? Je trainerai bien dans la ville personnellement. La ville lumière quand-même.
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Killian/90%
Jefferson Hyde
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
Jefferson avait passé le reste du temps du vol à soupirer et à bouder, la mine sombre, d'abord en fixant un point juste entre les deux têtes des armoires à glace qui les surveillait, puis observant le paysage lorsque lesdites armoires à glace les avait libéré. Le Chapelier en avait profité pour leur lancer son sourire le plus courtois possible, bien qu'il était clairement empli de sournoiserie par la même occasion, se promettant de… leur faire savoir sa façon de penser. Pas que Jefferson soit particulièrement rancunier -bon, d'accord, il avait fait de sacré sales coups pour moins que ça- mais ce n'était pas de sa faute, c'était juste par amour de la connerie ! L'anti-conformisme, c'était le must. La meilleure manière de vivre. À quoi bon suivre les règles quand ne pas les suivre était beaucoup plus amusant ? Enfin ! Soupirant toujours, de plus en plus fort au point que les autres passagers se retournaient de temps à autre pour se prendre son fameux sourire colgate en pleine poire, le Chapelier ne prêta pas attention à ce qui se passait autour de lui, lorgnant parfois sur son précieux couvre-chef qui reposait sur les genoux de Emma. Finalement ! L'avion atterrit, et Jefferson se précipita comme il put au dehors, les yeux brillants façon enfant de cinq ans devant des cadeaux de Noël. Ça prenait un de ces temps pour voyager dans ces machins ! Avec son chapeau ils seraient déjà arrivés en Suisse depuis belle lurette ! Enfin ! Ne devrions-nous pas voir la tour Eiffel depuis là ? Étrange ; Jefferson avait toujours pensé que la tour Eiffel était visible depuis partout à partir du moment où on est à Paris. Nul ! Nul ! Le petit groupe passa récupérer leurs valises respectives, et Jefferson continuait de se taire de manière catégorique, se contentant d'observer le paysage avec de grands yeux brillants. Il aimait toujours autant l'aventure, et cet amour qu'il espérait réciproque n'était pas près de s'arrêter !
« En tout cas à Paris, ils aiment leurs rectangles et leurs triangles… »
Random, inattendu, efficace. Le Chapelier n'avait pas même prêté attention au véhicule, alors que tout le monde semblait déçu de ne pas se retrouver dans un véhicule de rêve façon film Hollywoodien. Ça ne valait pas les voyages en chapeau de toute façon ! Ils parvinrent finalement à l'hôtel, et le visage boudeur de Jefferson avait laissé sa place à une tête émerveillée par le luxe et le confort. Après tout, il avait beau être un gamin, le Chapelier n'était pas moins un grand amoureux d'or et d'argent, et tout ce que pouvait acheter l'or et l'argent, il adorait automatiquement. C'était quand même un comble que la Méchante Reine ait fait de lui un homme riche jusqu'au bout des ongles !..
« Magnifique ! Oui, magnifique ! Et s'ils nous attaquent, on les clignotera à mort ! Oh shérif, regarde-moi toutes ces richesses ! On a vraiment les fonds illimités ? Il faut que je songe à redécorer le manoir… Carrément ouais ! Je vais le faire exploser et reconstruire une bâtisse comme celle-ci par-dessus ! Tout le monde se perdra, on jouera à cache-cache et on prendre des bains dans des tonnes et des tonnes d'or ! Par là, par là, allons voir ce qu'il se passe ! Ah non attends, suivons d'abord les stewards -c'est ça le mot ?- histoire de voir à quoi peut bien ressembler notre chambre !.. »
Le Chapelier se saisit de la main d'Emma en l'emportant dans son sillage, impatient de tout voir. Le petit groupe se dirigea du côté des chambres, et le Captain Lapin partageait la même fascination pour ces lieux enchanteurs. Emma et Jefferson n'eurent pas même le temps de constater la beauté de leur chambre qu'il revenait déjà, des rubis à la place des yeux, clamant que c'était bien plus grand que sa cabine dans le Jolly Roger.
« En même temps c'est un rafiot, ton véhicule à côté d'ici… tu n'as jamais essayé de voyager en chapeau ? Les chapeaux c'est le bien ! Tu devrais le savoir ! »
Bah quoi ? Jefferson n'aimait aucune forme de véhicule en dehors du chaportail, c'était normal pour lui que les avions soient d'immondes inventions et que les bateaux ne soient que de piètres rafiots ! Il ne voulait pas paraître désobligeant. Enfin si ; enfin non, c'était surtout qu'il s'en fichait, ce n'était qu'une boutade comme une autre. Si Killian avait envie de s'offusquer, qu'il le fasse ; mais il monterait encore un peu plus haut dans l'estime de Jefferson s'il prenait la chose à a rigolade et savait surenchérir plutôt que faire une tête de gamin vexé. Après tout, le duo était bien parti pour faire de cette aventure une exploration particulièrement inoubliable…
« Non merci pour le rhum, tu sais bien que je préfère le thé… »
Et d'ailleurs, il était où son thé ? N'y avait-il pas un thermos dans l'avion ?! Bougre d'âne en tutu ! Serrant un peu plus la main d'Emma, qu'il rapprocha en douceur de lui, il l'entraîna à sa suite, partant à la recherche d'un nécessaire à thé. C'était en France ou en Grande-Bretagne qu'ils avaient des trucs comme ça dans toutes les chambres ?..
Emma Swan*
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jennifer Morrison
| Conte : Once upon a time | Dans le monde des contes, je suis : : la fille de Blanche et Charmant
"C'est surtout que l'un entraîne l'autre dans ses bêtises,de vrai gamins."Informais-je Duncan avec un sourire ,chapeau toujours en main,je savait que les menaces ne servirais surement a rien avec le Chapelier alors j'avais décider de lui confisquer son chapeau pour le moment,il le récupérais plus tard."Merci."Nous continuions notre conversation pendant encore quelque minute ,discutant aussi avec Heather avant que je tourne les talons pour retourner m'asseoir,déposant le chapeau sur mes genoux,je jetais parfois un coup d’œil en direction de Jefferson et de Killian avant de démarrer un film,il me restait encore du temps avant que l'avion n'arrive en France.
Quelque temps plus tard l'avion atterrie a l'aéroport Charle de Gaulle,on allait enfin pouvoir prendre l'air et se relaxer a l’hôtel avant de manger et d'explorer un peut la capitale française,je savait que ma mission étais importante et que nous courrions surement tous un grave danger,mais je préférait que nous nous amusions avant d'arriver en Suisse."Le dernier repas des condamnés"Murmurais-je avant de secouer la tête ,c'était un peut trop glauque de penser comme cela.Je récupérais mon sac de voyage,il était hors de question que je me trimbale une valise,surtout si le manoir se trouvais au milieu de nulle part comme j'avais pu découvrir sur internet.
"Une limousine nous conduira a l’hôtel."Déclarais-je une fois a l'extérieur,je remarquais un homme avec une casquette,des lunettes de soleil devant un monospace,plutôt bizarre d'avoir un chauffeur pour un monospace,je baissais les yeux pour remarquer le panneaux avec mon nom dessus ,plissant des yeux."Il doit y avoir erreur sur la réservation.Mon ton était suspicieux,mais le chauffeur se contenta d'afficher un grand sourire."Fräulein Swan ! Vous êtes enfin arriver ! gut ,sehr gut ! je vous conduis l’hôtel ,ja ? parfait ! Lass uns gehen !"L'homme frappa des mains trois fois avant de nous prendre nos bagage ,les jetant sans plus de cérémonie dans le coffre,je l'observais faire avant qu'il ne sautille en direction de sa place de chauffeur,j'espérais que le type ne soit pas bourré ,sinon on finirais tous a l’hôpital avant même d'avoir pu profiter de Paris.Je grimpais a l'arrière et nous quittions enfin l'aéroport a toute vitesse pour rejoindre la ville.Le chauffeur avait tourner la radio,chantant le plus fort possible ,une vrai torture pour les oreilles.
Une fois arriver a l’hôtel,je sortais rapidement du véhicule tout en me retenant de frapper le chauffeur,je ne savais pas d'ou il sortait celui la,mais sa devait être le pire chauffeur dans cette ville."Je vient vous chercher plus tard pour le restaurant ,ja ? Wunderbar !"Il me fit un signe de la main avant de partir encore une fois a toute allure dans les rues de Paris,je secouais la tête avant de me tourner vers le palace .J'entre a mon tour et tout de suite,je ne peut m’empêcher d'ouvrir de grand yeux,c'est tellement beau et luxueux,je remercierais encore une fois Arès de m'avoir laisser avoir des fonds illimités pour cette missions,comme sa nous pourrions tous en profiter.Je souriait a Killian quand il me fit une révérence avant d'être entraîner par le Chapelier en direction de l'ascenseur pour que nous puissions allez a notre étages."Vous pouvez faire se que vous voulez jusqu'à 20h puis après on ira manger au restaurant avant de faire un peut le tour de la capitale de nuit."Je disait a l'intention des autres avant d'entrer dans la chambre que je partageais avec Jefferson,je déposait le chapeau sur le lit."C'est très jolie."
Je lâchais un petit rire quand Killian débarqua."Tout sera toujours plus grand que ta cabine Jones."J'attrapais la flasque de rhum avant d'en boire une gorgée,la re-donnant a son propriétaire avant d'être entraîner encore une fois par le Chapelier plus loin dans la chambre."Tu peut te reposer prendre une douche avant qu'on aille manger,ta encore deux heures devant toi...tu devrait être appeler par Diana bientôt ,je lui ai envoyer un mail pour lui rappeler de manger tout en la prévenant de se qui c'est passer dans l'avion."Mon sourire se transforma en un rictus moqueur.
"Si tu veut du thé ,il faut que tu appelle le room service,ils t'apporterons sa."J'indiquais le téléphone d'un signe de la tête,le laissant se charger de sa commande avant que je n'ouvre mon sac pour récupérer ma trousse de toilette que je déposais dans la salle de bain ,avant de retourner dans la chambre ,m'asseyant sur le lit tout en sortant une pair de console 3DS ,j'en déposais une a côté de moi avant d'allumer la mienne."Tu veut que je te montre comment on joue a Mario Kart ? Après on jouera en multijoueurs si tu veut."J'agitais la 3DS en direction de Jeff avec un grand sourire.