« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Le ponds était entrain de lâcher alors que j'étais dessus, je détestais les construction humaine, c'était pas solide ! Quelqu'un m'aida, à l'odeur une lionne, Naanda ! J'étais heureuse de la revoir ! Bon ça ne faisait pas longtemps qu'on s'était quitté, mais j'étais heureuse. Sentir sa chaleur près de moi, ça me rappelait quand on était dans nos vrais corps et qu'on se frottait les uns contre les autres. Tout ça me manquait. Même si bon, là, c'était pour éviter de mourir écraser sur le sol en bas. Ma vie avait bien faillit se terminer ici, ça me fit un choc de m'imaginer comme le reste de se pond, en miette par terre. Tout ça à cause de quoi ? De ses sales humains et leurs idées stupides, comme je les haïssais.
« Oui … Je crois. »
Mais impossible de détacher mes yeux des morceaux de bois. C'était impressionnant, je venais réellement de prendre conscience de la mort, du faite que j'aurai pu mourir, mais surtout mourir dans ce corps humain, dans ce monde qui n'était pas le mien. Ça m'effrayait. Mourir en lionne c'était une chose, mourir ainsi en était une autre. Sarabi arriva avec l'autre, celui qui voulait aussi s'en prendre au cheval, je leur avais jeter un rapide coup d'œil avant d'observer de nouveau le vide en dessous de nous. J'avais juste hocher la tête pour confirmer que j'allais bien.
La voix des présentateurs me sortis de mes songes, j'avais tellement envie de planter mes griffes dans leur gorge. Trouver un adversaire ? Un défis ? Ils commençaient sérieusement à me taper sur le système avec leurs conneries, l'affrontement simple avec le cheval était visiblement à l'eau … En plus ils étaient bien gentils, mais comment on trouvait un adversaire en cinq minutes ? J'étais même pas sûres de faire la différences entre les membres de leurs équipes et ceux de la miennes, dans la mienne j'en avais que deux en tête, les autres … Rien, ils étaient là c'est tout.
Sarabi était tenté de me les laisser les manger ? Pourquoi juste tenter ? Allons jusqu'au bouts de l'idée non ? Ça serait sympa ! Mais ce qu'elle me dit ensuite illumina mon regard, j'en avais plus rien à faire du vide, du pond cassé et tout, rien du tout, j'étais bien trop contente. Et en plus dans tout ça, j'avais eut le droit à un câlin, ça faisait longtemps que j'en avais pas eut. Je commençais vraiment à regretter de ne pas être plus souvent à la maison ...
« C'est vrai ? Je veux ?! Autant que je veux ?! T'en fais pas ! Pour ce qu'il avait osé me dire, je vais me venger ! Le sale poney ! »
Puisqu'on se séparait, bien que je ne le voulais pas, j'étais partie dans une direction, suivant les branches, faisant bien attention à ne pas tomber, et surtout : ne toucher aucune infrastructure humaines ! Soudain une odeur, une odeur que je connaissais bien, une odeur que je reconnaitrais parmi toute celle du monde, c'était lui. J'avais qu'une envie me jeter sur lui, et alors que je me cachais pour mieux lui sauter à la gorge, les deux imbéciles nous lancèrent un défis. Bravo, maintenant il savait que j'étais là ! On avait une minute pour grimper à un arbre. Trop facile non ?
« Sérieusement ? On doit faire ça ? Et notre combat ? »
Mais là le combat risquerait plus de virer non pas à sauver notre honneur, mais savoir lequel de nous deux étaient plus apte à être un singe non ? Je lui jetais un coup d'œil, avant de regarder l'arbre attendant le compte à rebours. J'étais gonflé à bloc, les deux idiots m'avaient suffisamment irrité. On avait une minute pour grimper et on pouvait déstabilisés l'autre. Ah pour une fois, ils étaient pas con. À la fin du compte à rebours je m'étais jeter sur l'arbre, grimpant du mieux que je le pouvais, envoyant sur Darshkan une pomme de pain, ce dont j'étais très fière sur le moment, avant de me dire que je ferai mieux de me jeter sur lui pour le ralentir en le faisant tomber … Le mordre c'était aussi déstabilisant non ?
L'arbre décida de le laisser enfin tranquille. Faust était sur le sol. Il s'était relevé, se massant les fesses et passant sa main sur le visqge. Quelle entrée en matière. Il avait oublié qu'il ne venait pas du livre de la jungle ou de Tarzan. Lui de base volait, s'était déjà beaucoup plus facile , du moins plus pratique dans ce genre de situation. Mais maintenant il flottait plus qu'il cotoyait les nuages. Cela lui manquait un peu. Ca avait apporté beaucoup d'aide dans son ancienne vie.
Il s'était fait une raison aujourd'hui. Ca ne servait a rien de vivre dans le passer. Il sortie de derrière son ex végétal. Entendant du bruit il mit son arme en position. En revanche il ne tira point reconnaissang un de ses alliés. Il lui semblait le reconnaitre. L'homme cheval qui avait tout de suite pris les choses en main. Ca l'avait fait sourire Il était vraiment ici par force, s'investissant avec légereté. Faust ne put que se présenter. Il ne pouvait répondre à ces autres questions puisque l'étalon semblait vouloir faire trop de choses à la fois.
Alors Faust l'écoutait surveillant ses arrières tout de même. Heureusement que la patience et son calme légendaire étaient une forte partie en lui. Il servait de pause pour les personnes dù à ka maladie de la pile électrique des personnes. Ca lui rappelait tellement une personne. Jack. Cette manie de partir dans un flot de paroles sans laisser le temps aux gens de répondre. Mais Faust n'en tint pas rigueur. Cela l'amusait et il commençait à l'apmrécier.
Il hocha simplement de la tête plusieurs fois. Lui disant juste -au moins une parole dite- qu'il y avait pas mal d'ennemis qui les entouraient.
Ils tombèreng d'accord. De toute manière ca lui importait peu. Un mélange de paint branche pourquoi pas, ils essaient d'inover. Mais sans la lave ca aurait mieux. Était-il mort l'homme buisson celui qu'il avait sauver. Il n'espérait pas. C'était chaud , c'est le cas de le dire.
Faust entendit les voix des soient disant organisateurs. Non mais ...il n'était pas venu pour cela. Ils sont fous. Il ne voulait paq se retrouver à la morgue. S'était son boulot pas un patient décédé. Ils fallaient qu'ils arrêtent la fumette et l'alcool. Faust qimait bien bouger parfois mais là s'était foutrement n'importe quoi. Il pouvait dire que sa journée était un fiasco. Ils voulaient vraiment qu'on lise ses émotions....
Ils jouaient avec leur vie. Surtout avec le grognement qu'il venait d'entendre. Cela ne présageait rien de bon pour eux. Tant mieux ca lui fera un peu plus de boulot.
Il s'était déplacer sur le parcours, tombant nez à nez avev une lionne, lui semble t-il. Devait-il dire qu'il avait de la chance? Peut-être.
En parlant des proies, leur défi fut lancé. Faust n'attendit pas plus qu'il s'élança sur le fil se laissant descendre. Enfin pas sans encombre. Des feuilles le genèrent à cause du vent, des insectes vinrent lui chatouiller son petit corps longitudinal, le faisant manquer de tomber. Cependant il tint bon. Il ne regardait même pas son adversaire. Trop concentré, il aimait le travail bien fait
D'un coup il vit un oiseau arriver rapidement vers lui. Il le fixa et le laissa passer bien gentiment à travers la figure, heureux d'avoir réussit, ses pieds lui indiquèrent le sol, atterrissant, se retenant à son amant l'arbre.
Faust se rappela de la situation tournant la tête vers la féline. Elle était assez loin de lui. Une direction opposée. Mais il eut sa réponse lorsque les deux drogués donnèrent les résultats. Il avait gagné.
Il ne se sentait pas heureux pour autant. S'était tellement bête ce qui se produisait. Aucun sens du jeu. Pour le moment il arrivait encore à prendre sur lui. Même si son énervement était déjà bien présent depuis ce midi.
Je regarde la meilleur amie de ma lionne, Anita ne semble pas lui avoir dit ce qu'i c'était passé avec monosourcil. Je réponda alors.
- " Ils étaient amis durant la malédictione, les meilleurs amis du monde, puis la malédiction a été rompue... "
Je me tais et je suis ses indications nous nous lançons dans une course et sautons au dessus du vide à l'aide de corde. Quand nous retrouvons Krystal elle est face à une femme de l'équipe adverse. J'écoute les femmes discuter entre elles. Les organisateurs donnent de nouvelles instruction et je grogne. April me dit une chose et je réplique instantanéménent.
- " C'est à Anita de vous expliquer ce qui c'est passé en suivant la malédiction April. Je vous respecte énormément, mais Nita' n'aimerai pas que je parle de ça à sa place..."
Je m'élançais alors à la recherche d'un adversaire, tout en pensant que ma Lionne devrait elle même parler de Monosourcil à sa reine. Je n'avais fait qu'exprimer la partie avant la malédiction. Il était hors de question que je parle du comportement égoïste du canasson quand il avait appris la nature féline de ma compagne. Il était hors de question aussi que je ne lui exprime pas ma façon de penser. Nita avait réglé le souci, mais je comptais bien faire comprendre au canasson que s'il recommençait il allait prendre très cher. Perdu dans ce genre de réflexion je ne vis que trop tardivement mon adversaire et alors que la bille de peinture me frappa, je gromelais.
- "Et merde, ça fait mal cette connerie à force!"
Non mais franchement on venait de me tirer exactement au même endroit que la première fois...
Vous connaissez l'effet kiss cool ? Ah non mais ça je vous l'ai déjà raconté. Attendez euuuuh… Ah oui, j'ai un aveu à vous faire. Un petit mystère qui plane sur moi et que je n'ai pas envie d'aborder dans un lieu aussi… public ? Bah oui, il y a des gens avec des flingues partout, et j'ai un secret. Un secret… embarrassant. Un secret orange pâle que j'ai ramené d'un monde que tout le monde connaît et beaucoup regarde avec un plaisir coupable. Un monde qui s'appelle… le monde des Petits Poneys. Je suis Pégase. Ah non, je vous arrête tout de suite hein, je suis pas le Pégase blanc et majestueux que vous connaissez des mythes et des légendes, avec les grandes ailes aux plumes blanches et joyeuses, au corps voluptueux et gracieux, au hennissement mielleux qui fait fondre les plus cruels ennemis -dans quel délire je suis parti, moi ?!-. Non non, moi je vous parle d'un… léger dommage collatéral. Que j'ai toujours pas fait retirer. Regardez mon dos, là. Vous voyez les bosses à peine perceptibles sous l'équipement ? Vala. Bah ça c'est des ailes. Des ailes de la taille d'ailes de pigeon et dotées de petites plumes oranges pâles. Vous comprenez l'embarras ? Bref. Je pousse un soupir, installé sur mon arbre, cherchant désespérément un adversaire à combattre. Mon regard se promène à gauche à droite, tandis qu'une grimace d'inconfort envahi mon visage. Quelque chose m'empêche de me sentir complètement libre de mes mouvements. Mon équipement, bien sûr ; je me suis débrouillé pour cacher mon dommage collatéral en dessous. En fait, depuis que j'ai ces machins, je porte sans cesse de grosses chemises amples qui font passer ces horreurs oranges pour simplement mon dos courbé par les années de travail dans la forêt -MUAHAHAHAH mais quelle blague.-. Et puis, de toute manière, je passe les trois quarts de mon existence dans ma petite maison dans la forêt, alors c'est pas comme si quelqu'un allait remarquer… Mais là ça commence à me démanger. Alors, brandissant un magnifique doigt d'honneur en direction du ciel comme pour insulter les Organisateurs -que j'emmerde cordialement, d'ailleurs-, je me mets à retirer mon équipement pour soulager l'inconfort…
« Hop hop hop mon coco, c'est pas l'heure du strip-tease ! T'en penses quoi mon cher ? » Je m'arrête en plein mouvement, affichant l'expression la plus blasée du monde. Oh putain, ces types mériteraient bien quelques billes de peinture où je pense. « Mais oui mon cher ! Même que t'as ta lionne derrière toi. Oui oui, fait pas cette tête, c'est ta lionne, on t'as vu arriver avec elle et elle a une tête de lionne alors… c'est la tienne ! Tu crois pas mon cher ? » « Mais oui mon cher ! Tout ça pour dire que voici votre défi tiens. Elle a tellement l'air d'avoir envie de te bouffer que vous devrez… grimper jusqu'en haut de l'arbre, armés seulement de pommes de pin ! »
La lionne est juste derrière moi. D'un seul coup, en entendant ces mots, mon sang se glace. Merde. La connaissant, elle va pas se contenter d'utiliser des billes de peinture pour m'achever. Non non, on parle de Krystal, là. Je vais probablement souffrir. À coups de griffes. Surtout qu'elle m'en veut cette tourte… J'ai rien fait ! Mais vraiment rien en plus ! Mais alors que je me retourne avec une lenteur religieuse, je réalise avec soulagement que la demoiselle n'a pas l'intention de me bouffer. Ouf. Manquait plus que ça. Tiens, elle a l'air en forme depuis la dernière fois. Je lui lance un petit sourire qui se veut méprisant mais qui ressemble plus à un rictus de douleur. Patate...
« On s'en fout du combat, ce sera pour plus tard ma grande. Aller go ! »
Je me jette à mon tour sur l'arbre le plus proche, grimpant comme je peux même si c'est absolument pas mon truc. Eh, moi j'ai l'habitude d'aller tout droit sur une plaine avec seulement des sabots, je suis pas un singe ou un félin, ou les deux comme l'autre là… Merde ! Elle est presque en haut ! Merde si je perds maintenant tous mes plans seront foutus ! Et… je rêve où elle vient de me balancer une pomme de pin ? Non mais c'est quoi ces manières ?!
« Eh les amis ! Euuuh… Finalement euh, on va s'arrêter là pour les défis. Oui parce que euuuuh… quelque chose s'est introduit sur le terrain. Rien de grave hein, des… animatronics, c'est ça mon cher ? » Oh putain encore ces deux là… « Non non, mon cher, tu as trop joué à « Cinq Nuit chez Freddy », je crois. C'est pas bon pour la santé tu sais ? Non non, on sait pas encore exactement ce que c'est. » « Ah oui ! Voilà nous avons des… problèmes techniques sur le terrain de paintball. Maiiiis ne vous faîtes pas de sou... »
La communication fut soudainement coupée. Tout ce qu'on entendait, c'était le grésillement des interférences. Agrippé au tronc d'arbre, je laisse un regard mi-interrogateur, mi-terrifié en direction de Krystal. Doooonc, nous sommes livrés à nous-même dans un terrain fermé où le sol a été changé en lave. Je suis face à des lions qui n'ont rien perdu de leur férocité d'antan. Il y a potentiellement quelque chose de non-identifiable qui a pénétré le terrain et qui semble être à l'origine de tout ce bordel… et les Organisateurs ne peuvent plus nous contacter. Fantastique ! Qu'est-ce qu'on se marre ! Bon, c'est pas tout ça, mais faut que je trouve un point de fuite moi. Pas envie de me faire bouffer tout de suite. Faisant un petit sourire à Krystal, puis un geste de la main comme pour dire « Hasta la Vista », je grimpe encore quelques mètres avant de me laisser descendre le long d'une longue tyrolienne. Je parie qu'elle utilise pas les installations humaines de toute manière… mais dans le doute, autant me planquer !..
Jauge de vie : 90% Figurant adverse éliminé ? : 0 Figurant utilisé ? : 0 Indice trouvé ? : 0
Je commençais à en avoir marre. Une partie de Paintball c'était drôle en théorie, mais là ça commençais à ne pas vraiment m'amuser. Je ne sais pas ce que les organisateurs ont pris dans leur café ce matin, mais je ne pense pas que c'est du sucre ordinaire si vous voyez ce que je veux dire. Ils parlent pour nous donner une information mais la transmission est coupé. Mon instinct prend le dessus alors. C'est pas normal. Je me met à courrir me contrefichant de cette fichue parti de Paintball. Je dois retrouver April, et les autres, tous les autres même ceux de l'équipe adverses. Non je ne suis pas suicidaire, mais il faut pas être débile non plus. La guéguerre entre la lionne et le canasson, n'est pas plus important que la sécurité de tous. Et mon instinct me dit que nous somme en danger. Alors que je prend une tyrolienne, je me prend une salve de peinture sur le visage, ça fait mal puta*n! Peu importe, je continue à rechercher April. Pourquoi April, car c'est la meilleure amie de Nita, et que si on est vraiment en danger, je dois la protéger. Apellé ça du machisme si ça vous amuse, mais ce n'est pas le cas. Je suis parfaitement conscient qu'elle peut se débrouiller seule, mais c'est instinctif, je protège les gens que j'aime ou les gens proche des gens que j'aime. J'étais et je demeure un chien après tout. J'arrive près d'April et je lui dit doucement.
- " Y a un truc qui cloche, je sais pas comment l'expliquer, mais j'ai le sentiment que nous sommes en danger. "
Si mon instinct se trompe peu importe, il vaut mieux être trop méfiant que courrir vers le danger sans le voir... Je plonge mes yeux bleu-gris dans les yeux bruns de la reine des lions. J'ai presque envie dans son regard de voir de l'agacement parceque je me trompe... Nita a du lui dire que j'agissais par instinct, j'espère que ce trait de mon caractère ne sera pas un obstacle pour bien m'entendre avec April...
Le défi consistait, à arriver au bout des tyroliennes, sans rien se prendre dans la figure, et autant, dire qu'ils étaient, inspirés, je ne sais pas d'où sortaient, les obstacles, mais ils avaient clairement, rien à faire ici. Est-ce que j'étais énervée ? Nooon pas du tout voyons, tout allait parfaitement, bien. J'avais, juste envie, de² réduire, en pièce, à coup de griffes, les deux organisateurs, voir de laisser, Tama en faire son quatre heure au choix. Et pourtant, j'étais calme d'habitude, mais eux, ils me sortaient littéralement, par les trous de nez.
Me prenant, un oiseau en pleine tête, je secouais, la tête de droite à gauche, pour le faire partir, tout en arrivant, finalement, en bas de la tyrolienne. Attrapant, un élastique, j'attachais, mes cheveux, en une queue de cheval pour évité, à l'avenir d'être gênée par eux. Quoi qu'il en soit, les animateurs, reprirent la paroles pour annoncer, que l'on laissait les défis de côté, oui apparemment, un truc non identifié s'était introduit, sur le terrain. Merveilleux, vraiment. Mais, quoi qu'il en soit, mon instinct animal, reprit totalement le dessus. Et, la première chose, qu'il me dictait, c'était de retrouver, Tama et Faith, ainsi que William. La famille d'abord, c'était tout ce qui comptait. Et, William, était inclus dans le lot, parce qu'il était le compagnon de Safi, et qu'il était hors de question, qu'il lui arrive quelque chose alors, qu'elle commençait, à reprendre goût à la vie, et à être à nouveau heureuse.
Vivement, je remerciais, mon adversaire, pour le défit, et m'élançait, le long d'une corde, afin de rejoindre, une nouvelle plateforme. J'aurais aimé, retrouver, mon corps, de lionne à l'heure actuellement, ça aurait été largement, plus pratique, pour courir, et bondir. Bien, que plus, souple, que la moyenne, mon corps humain, ne valait, pas mon corps animal.
J'appercus, William, qui s'approcha de moi, lui non plus, n'était pas tranquille, avec cette histoire, de machin non identifié qui s'était introduit sur le terrain, et des organisateurs, qui étaient à présent injoignable. Pour une fois, on aurait bien aimé, qu'ils continuent de nous enquiquiner, ces deux casse pompe :
- Je, ne sais pas ce que c'est, quoi qu'il en soit, à l'heure actuel, je préfère écouter, mon instinct animale, plutôt que mon instinct humain, et mon instinct de lionne, me dit, de retrouver, Tama et ma sœur au plus vite. Quant, à ce truc, s'il s'approche un peu trop prêt, il va déguster.
D'un geste, extrêmement calculé, je fit apparaître mes griffes. J'avais affronté, des zombies, en Novembre dernier, alors peu importe ce qu'était ce machin, il ferait mieux de se méfier.
Je fermais, les yeux, comme pour mieux, me concentrer sur les sons, et les odeurs, qui nous entouraient. Rapidement, j'arrivais, à distinguer celle de Naanda. Faisant, signe à William, de me suivre, j’attrapais, à nouveau une tyrolienne, et m'élançait vers une nouvelle plateforme, l'odeur, se rapprochait, de plus en plus, sauf qu'au moment, où je me rapprochais, un type surgit brusquement, devant moi, et me bombarda de peinture. C'était tout à fait le moment, aucun doute, on voyait bien le sens des priorités de chacun.
Sans, un mot, extrêmement, calmement, je relevais, la tête vers lui, lui jetant un regard noire, il dût sentir, ce qui allait suivre, puisque je l'entendis déglutir difficilement. Toujours, aussi calmement, je plantais, mon regard dans le sien, et me mit à rugir. Autant dire, qu'il ne fit pas de vieux os, et prit ses jambes à son cou. Pour ma part, je levais les yeux au ciel, agacée par la bêtises de certains. Ma sœur, avait dût être alerté par mon rugissement, parce qu'elle apparut, juste après, inquiète :
- Tout va bien Naandie t'en fais pas, la rassurais-je,j'ai juste fait fuir un crétin. Tu as entendu l'annonce non ? Un truc c'est introduit sur le terrain. J'aimerais, qu'on retrouve Krystal, et qu'on reste groupé. Actuellement, j'en ai absolument, rien à faire, des histoires avec le cheval, tout ce qui m’intéresse, c'est d'avoir ma famille, à proximité.
Je lançais un regard à William, pour lui signifier, que je le comptais, également dedans. Depuis, qu'elle le fréquentait, Safi, était beaucoup plus heureuse. Elle souriait, bien plus souvent, et avait retrouvé, son côté taquin. Alors, rien que pour l'aimer et prendre soin d'elle, il avait toute mon estime.
L'odeur de Tama, arriva subitement, jusqu'à mes narines, elle aussi, n'était pas loin. Traversant, un pont, avec Faith et William, je pu apercevoir, cette dernière, qui ne semblait pas être des plus heureuses. Pas besoin d'avoir bac + 7 pour savoir, ce qu'il c'était passé, elle n'avait pas pu, se défouler, sur Darshkan :
- Tu auras d'autres, occasion, l'encourageais-je
On était au complet, par mesure de précaution, je fit sortir les griffes, de mon autre main. Peu, importe ce que cette choses était, elle risquait de ne pas apprécier, si elle croisait notre chemin. Une lionne, en colère, c'est suffisamment dangereux, alors trois...
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April : 50% Figurant Eliminé : Niet Figurant Utilisé : Niet Indice trouvé : 1
Krystal Oliver
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Ashley Benson
| Conte : Le roi lion | Dans le monde des contes, je suis : : Tama
On s'en fou du combat ?! Il en avait de bonne lui ! Ce qu'il pouvait m'irriter quand il s'y mettait, j'allais lui montrer moi de quoi j'étais capable, c'était pas un arbre qui allait me faire perdre contre un cheval, ça non, ça serait la honte, l'humiliation. De toutes mes forces je grimpais, le sourire aux lèvres, j'étais en avance sur lui, et j'avais prit une pomme de pin sur les branches pour lui jeter. C'était idiot, mais ça m'avait amuser, du coup j'avais recommencer, une petite deuxième c'était pas bien méchant non ? Il en faut peu parfois pour être heureux. En plus là, j'allais bientôt gagner, je n'étais plus qu'à quelque branche du sommet quand …
Quand il fallut que les organisateurs se la ramène de nouveau. Attendez là, comment ça on laisse tomber les défis ? Ils veulent dire que là, je viens de grimper à un arbre pour en mettre plein la vu à Darhskan … POUR RIEN ?! Je ne calculais même plus le nombre de raison que j'avais de les égorger. Ils ne le savaient pas, mais ils étaient déjà mort. Je regardais le cheval plus bas, visiblement lui non plus ne semblait pas très rassurer à cette annonce, en même temps le sol avait été changer en lave, c'était déjà pas bien rassurant, mais on avait en plus un autre problème sur le terrain. La prochaine fois que je voudrais me battre avec lui, on ferait ça à la barbare, purement et simplement.
Soudain il me sourit, comment ça il sourit ? Ça voulait dire quoi ça ? Et pourquoi il me faisait signe il … Il me faussait compagnie. Comme ça d'un coup, sans prévenir, non mais il était pas vrai celui-là ! Le lâche !!! D'ailleurs je lui avait hurler ce mot en le voyant fuir en utilisant une installation humaine. Je serrais les dents, impossible de le poursuivre, après mon expérience avec le pond, hors de question que j'en utilise un de nouveau, ou une autre installation de l'homme, c'était un coup à mourir. Rah ! J'enrageais de le voir déguerpir sans pouvoir rien y faire !!!
Me voilà seule au milieu des branches, sans avoir où aller, n'osant pas prendre les infrastructures, regardant le vide avec angoisse, et me demandant ce qui allait encore nous arriver. Les organisateurs n'avaient pas eut l'air rassuré, et du coup moi non plus, petit à petit je me sentais pas très bien, qu'est-ce qui avait pu faire qu'ils coupent la communication ? Ils étaient mort ? On les avait tué avant que je ne le fasse ? Quoiqu'il en soit, une certaine forme de panique s'empara de moi et je réagis, me jetant sur une liane pour une raison qui m'échappait encore, mais rester parmi les branche n'était de toute façon pas une meilleure option.
Sauf qu'elle céda et m'envoyant dans les branchages de l'arbre d'en face. Aie. Au moins je n'étais pas tombé plus bas, mais j'avais mal au dos. Sur la plus grosse branche je m'installais avec une moue boudeuse, réfléchissant à quoi faire pour la suite lorsque des odeurs vinrent jusqu'à moi. Sarabi, Naanda et le chien arrivaient ! Mais j'avais toujours pas pu avoir Darshkan … Vraiment j'étais contrariée.
« Je l'espère, le lâche m'a fuit alors que j'allais gagner le défis ... »
J'avais donné un coup sur l'arbre quand le sol se mit à tremblé violemment, impossible de tenir sur les branches s'en s'y cramponner de toutes ses forces. D'ailleurs j'avais même agrippé Sarabi par la même occasion. Oups, c'était quand même notre reine … Après un long moment où l'on eut l'impression d'être prit dans un tremblement de terre, je réalise qu'il fait soudain plus sombre, on y voyait moins bien, ou plutôt la lave en dessous de nous, nous brûlait les yeux. En levant la tête pour remettre ma vue, je vis que le ciel était noir.
« Euh … Parce qu'en plus maintenant ils font le jour et la nuit ? Alors qu'il y avait un problème sur le terrain ? »
Ses types étaient vraiment stupide non ? Ou ils comptaient sur nos facultés nocturnes pour mieux nous y retrouver ? Car là, avec la lave qui pétait les yeux, ça allait pas être évident, le contraste était assez violent. Mais bon, l'ambiance était quand même plus sympa, des sons étranges qui résonnaient de partout autour de nous, des bruissements de feuilles qui semblaient plus fort qu'auparavant, et le doux murmure du vent … Ah on se croirait dans la vie sauvage.
Faust soupira, lui qui voulait simplement faire un petit tour et après dormir, vu sa longue nuit et matinée passée,, cela était raté. Rencontrer de nouvelles personnes cela le gênait pas, mais dans ces circonstances, s'était tout autre, surtout que ça en devenait vraiment n'importe quoi. Il aimait jouer, certes, mais à cet instant ce n'était pas son impression. Il n'avait aucunement envie de décéder brûler par la lave. Quoique il pourrait s'en sortir face à celle-ci, si il se concentrait bien. Enfin quand tu tombes, pas sur que ça soit si facile que cela de rester normal quand tu risques ta vie et une mort certaine. Faust réfléchissait, il était bête, ça lui était déjà arrivé, et fort heureusement il avait garder ton son sefl contrôle et son calme, ce qu'il lui a valut d'être en vie. En conclusion gardons son calme valait mieux.
A l'annonce des organisateurs et la perte de communication, il se demandait encore comment il faisait pour ne pas paniquer. Là en effet, ce n'était plus du tout un jeu, il avait la mauvaise impression que ça allait être une course contre leur vie et non plus un jeu de rôle avec de la peinture. Il salua son adversaire. Il sentait sa colère et ne pouvait qu'être avec elle sur ce coup là. Heureusement qu'il n'avait pas d'amis très cher dans cet endroit, mais sa conscience ne voulait pas que quelqu'un perde la vie non plus, même si ça lui ferait du boulot, il ne le souhaitait pas, même à son collègue qu'il ne remerciera pas de l'avoir emmener ici. Pour cela, il ne pouvait plus compter sur une amitié ou autre futur. Et puis quoi encore.
Il reprit sa route, il avait trouvé une piste, il fallait au moins qu'il fasse prendre conscience aux autres, que s'était devenu quelque chose de sérieux et que les équipes n'étaient plus d'actualité, enfin en quelque sorte. Qu'ils se protègent les uns et les autres. Faust se demandait pourquoi, il avait envie de faire cela, Lui, il pouvait faire sa vie, mais au fond il n'était pas égoïste.
C'est alors qu'il repéra plusieurs adversaires, les suivant, si il trouvait le drapeau peut-être que ça se terminera, un mécanisme peut être lié à cela, ça pouvait être une possibilité. Ou alors les organisateurs avaient vraiment perdu tout contrôle. Ils ont voulu jouer et voilà ce qu'il se passait. Ils étaient vraiment pas doué.
A peine le temps de relever le visage, qu'une rafale de tire vint se précipiter vers lui, il eut de justesse le temps de se cacher derrière un arbre. Non mais ils sont sérieux, la seule chose que ça prouvait pour qu'ils soient aussi nombreux, c'était que leur QG n'était pas très loin mais là ce n'était plus le moment.
« Vous avez entendu l'annonce, les organisateurs n'ont plus de contact avec nous, ce n'est plus le moment de jouer là ! » Cria Faust à leur attention.
« Fausty, voyons c'est juste pour rajouter un peu plus de fun, arrêtes d'être aussi sérieux et laisse toi un peu aller à cette adrénaline », répondit une voix, qu'il reconnaîtrait dans le mille. Son collègue...sa mâchoire se serra et son poings se referma. Il était inutile de discuter avec eux, ils pensaient cela, tant pis pour eux. Surtout avec un boulet qui s'y croyait un peu trop comme chef, s'était un vrai cas lui.
Faust se sentit obligé de reprendre le chemin inverse, il grimpa un peu plus. Il remarquait très vite, que la nuit commençait à tomber. Il râla intérieurement, là ça en devenait grave, il n'avait pas envie de mourir ici, surtout à un endroit qu'il n'avait pas choisi. Il avait envie de les torturer eux aussi, voir comment ils réagissaient à leur place. Il venait d'un monde où il savait comment s'y prendre pour faire peur aux gens, s'était leur Dada quotidien. Il n'était pas infaillible non plus, il a déjà eu peur, malgré le monde d'où il vient. Noël en était une raison, un nouveau mon pour eux, étrange et son ami avait faillit y passer, alors oui ça lui avait fait peur car il avait faillit le perdre. Il était vrai que certains de ses sentiments, il ne voulait pas en entendre parler, peut-être est-ce qui compliquait les choses avec son copain.
Il souffla, il n'en savait rien et ce n'était guère le moment. Là tout ce qu'il savait, c'était qu'il voulait sortir d'ici et rentrer dormir. Les autres ne voulaient pas entendre raison et continuer à tirer, grand bien qu'il leur fasse. Peut-être que les lionnes et ceux qu'ils avaient croiser dont leur « chef », étaient bien plus raisonnable que les autres.
Il avait traversé un petit pont, mais quelque chose le fit ralentir, plusieurs bruites se faisaient entendre. Il se concentra un peu plus, son instinct lui disant de fuir et se trouver un abri. Chose difficile vu l'endroit. Le vent était quasi absent, alors ça ne pouvait être la cause de ce qu'il entendait. Des craquements le fit se tourner était-ce une personne de son équipe ou de l'autre, ou encore autre chose, il le traversa, marchant le plus discrètement possible, ça s'était quelque chose qu'il savait faire. Il s'approchait de plus en plus vers des buissons qui entouraient un arbre.
La seule chose qui pourrait être positive à cet instant, c'était la lave qui éclairait un peu l'environnement. Il regardait chaque détail, se rappelant si quelque chose avait changer depuis qu'il était passé par là. Il avait laissé une petite croix sur le tronc pour s'y retrouver. Pourquoi s'était-il retrouver dans se pétrin.
Un bruit plus qu'étrangle que les autres l'interpella, comme un grincement, quelque chose de mécanique, ...Il sentit quelque chose qui ne présageait rien de bon. Il se tourna rapidement et vit comme une silhouette, ou un œil en ressortait surgir de devant lui . Le faisant reculer par réflexe et bondissant son arme également pour se défendre. Mais avait-il a peine cligné des yeux que la personne, ou la chose avait disparut. Il ne savait même pas si ce qu'il avait vu était vraiment un œil.
Il recula trop rapidement, perdant l'équilibre, passant à travers le plancher. Il attrapa le rebord du bois suivant d'une main. Il ne fallait pas qu'il regarde en bas surtout pas. Il souffla, inspirant, expirant. Il ne pouvait pas crier non plus, au cas où ce qu'il avait vu ou entraperçut, reviendrait. Il était un peu coincé et essayait de trouver une solution avant qu'il ne glisse et ne se fasse carboniser par la lave, sentant sa chaleur l'envahir. Merde !
Il essaya avec son autre main de s'accrocher pour se soulever, mais celle-ci glissa de trop. Il voulut se balancer pour sauter dessus et s'aider. Même la lévitation ne marchait pas, il savait qu'à l'intérieur s'était chaotique, il râla contre lui-même, toujours pas là quand il en a vraiment le plus besoin et toujours là quand il faut pas.
Il se sentait désespéré, se faisant clairement une raison, même pas paniqué, juste raisonné. Sa main s'en alla du sol, soufflant et son unique destin était sa seule solution. Il se sentit partir, fermant les yeux. En revanche, son corps s'était suspendu, ne bougeant plus . Il rencontra le sol. Il releva son visage et remarqua la présence de l'étalon. Il se releva tant bien que mal et lui sourit, le remerciant. Son destin était avec lui aujourd'hui.
« merci infiniment ! Je crois qu'il est temps qu'on découvre ce qu'il se passe nous même, vous ne pensez pas ? » demanda t-il, voulant savoir ce qu'il en pensait. Il ne perdit pas pied, cela ne servait à rien.
Je crois qu'on est dans la merde. Non sérieux, vous feriez quoi à ma place ? Vu les circonstances, c'était pas le moment de rester trop longtemps sous le nez d'une famille de lions. Surtout que plus j'y réfléchis, et plus j'ai l'impression que tous les participants de l'équipe adverse ont une raison de vouloir ma mort. Comment se faire des ennemis en dix leçons aux dents pointues… Résumé : on est dans la merde. Compte-rendu : on est dans la merde. Problème : on est dans la merde. Je scrute l'horizon, dissimulé derrière des branches d'arbre, bien qu'il y a peu de chance pour que l'on me remarque dans la nuit noire. En bas, la lave coule le long des troncs comme une immense rivière tranquille, et là, je me demande pourquoi les arbres ne brûlent pas… avant de réaliser que les Organisateurs ont quand même réussi à amener de la lave dans une ville où il n'y a pas le moindre volcan, alors je crois que les questions à la con ce sera pour plus tard. Au-dessus de moi, il n'y a rien, juste le ciel étoilé. Apparemment, c'est un soir de nouvelle lune ; ou alors les Organisateurs ont supprimé la lune, il sont plus à ça près après tout… Des craquements, à quelques mètres en-dessous, juste au-dessus de la lave mortelle. Comme si on frappait un tronc, brièvement, juste assez pour donner froid dans le dos à tous les individus à portée d'oreilles. C'est d'ailleurs exactement ce qui m'arrive ; un frisson parcoure mon échine, et je m'immobilise totalement, respirant aussi silencieusement que je suis capable en laissant la chose s'éloigner dans la nuit. Durant un instant, je suis presque sûr de voir une silhouette bondir sur l'arbre d'à côté sur ma droite, puis le calme revient, autant dans l'air que dans mon corps. Poussant un léger soupir tout en restant dissimulé, j'agite nerveusement mes petites ailes, du mieux que je peux à l'intérieur de mon équipement, tout du moins. Mais à peine ais-je le temps de reprendre mes esprits qu'un rugissement féroce retentit dans le lointain… Merde. Krystal ? Après le coup de me balancer des pommes de pin, ça m'étonnerait pas qu'elle a fait une conneire. Roh bordel j'espère qu'elle s'est pas fourré dans une situation pas possible. Je veux dire, elle est très douée pour ça et je suis pas là pour l'en sortir sans qu'elle tue des gens alors… Enfin voilà quoi ! J'ai pas envie d'avoir des vrais morts sur le dos ! D'accord, cette partie de paintball est à prendre très au sérieux, mais là… c'est un peu TROP sérieux ! Me relevant, je cherche quelque chose dans l'horizon, n'importe quoi, une silhouette, un mouvement, un son qui proviendrait de quelqu'un, n'importe qui, un autre joueur victime de ces espèces d'abrutis d'Organisateurs, qui vont entendre parler de moi après ces conneries. Mais rien ; rien du tout. Je suis tout seul de ce côté-ci, apparemment. Dangereusement seul. Il est temps de bouger. Je commence à parcourir le décor, du moins aussi bien que je le peux, étant donné que le contraste nuit/lave me pète plus les yeux que l'idée d'avoir Tama dans mon champ de vision. Quoi ? C'est méchant, d'accord, mais j'y peux rien. Quelque chose en elle me donne envie d'être excessivement agressif, ok ?! Bordel, j'espère que tout ce bazar s'est pas étendu sur Storybrooke, ou pire, sur le reste de la forêt. Il y a Spiky et Jolly dans le reste de cette forêt… et Spiky et Jolly sont beaucoup trop importants pour moi pour que je laisse une querelle à la con avec l'autre folle aux longues dents passer devant dans l'ordre des priorités. Oui, c'est ça. Il faut que l'on se regroupe ; il faut que les abrutis qui sont (SERIEUSEMENT?!) encore en train de jouer arrêtent leurs conneries, et qu'on se retrouve tous à un endroit stratégique afin de discuter d'un moyen de se sortir de ce bordel. Si possible dans un coin où j'ai planqué des bouteilles de vin, parce qu'il faut pas déconner non plus…
« Fausty, voyons c'est juste pour rajouter un peu plus de fun, arrêtes d'être aussi sérieux et laisse toi un peu aller à cette adrénaline »
Oh putain mais ils sont sérieux là ?! Je me planque illico derrière un tronc en entendant ces paroles. Fausty, c'est l'un des gars de mon équipe je crois bien, celui que j'ai croisé un peu plus tôt, et ces types ont l'air sérieux, alors vaut mieux que je sois encore en course pour les convaincre de cesser le feu plutôt que de me faire éliminer et risquer de ne plus avoir suffisamment de pouvoir pour… pour… oh vous avez compris le principe, merde ! Par contre, je dirais pas non, niveau suivre Faust. Après tout, vaut mieux pas rester tout seul dans les circonstances… et bon, d'accooooord mon instinct grégaire équin est en train de faire de taper mon cerveau comme Panpan tape le sol -violemment. Bah quoi ? Il y en a qui récupère leur rugissement, moi je récupère une envie profonde et irrésistible de coller tout être vivant qui n'est pas sur le point de mettre fin à ma vie. Et dans cette compétition, le seul qui correspond au descriptif, c'est Faust, alors merde. Même si bon, c'est quand même moins classe, comme particularité récupérée. Moving on ! Arrivant trop vite du côté d'un regroupement de branches, je me baisse au dernier moment en étouffant un juron, avant de m'immobiliser, prenant le temps d'analyser mon environnement. Avec tout ce qui s'est passé, je ne sais pas où sont la plupart des membres de mon équipe ; en fait, je ne sais pas où ils sont tout court. Pfff. J'étouffe un rire sarcastique ; tu parles d'un commandant. Mais quelle blague. Même une putain de partie de paintball, je suis pas foutue de la terminer sans que ça parte en catastrophe. Ou alors c'est l'autre qui me porte malheur là. J'en sais rien. Bref. C'est à cet instant-là que je l'ai trouvé ; il pendouillait tel un pendule au bord d'un pont de bois derrière moi. Je ne voyais pas grand-chose dans la nuit noire, mais j'avais comme cet étrange impression qu'il avait accepté sa destinée, comme s'il était sur le point de lâcher prise pour se laisser aller aux aléas de l'existence. Il allait se laisser tomber dans la lave dans un ultime sacrifice, dans un dernier geste de contrôle sur sa propre vie. Mais il est complètement con ?! Me précipitant dans sa direction, je me jette sur le sol en position couché, attrapant sa main au moment où il lâche. Grmph ! Le contre-coup m'arrache un soupir, mais je tiens bon.
« Bordel mais si t'as envie de te tuer tu peux faire ça quand t'es pas sous ma responsabilité espèce d'abruti fini ?! »
Connard. Dégénéré mental. Sombre bouse. Immonde… immonde quoi ? Sous ma responsabilité ? Attend depuis quand ? C'est pas parce que je me suis autoproclamé chef d'équipe qu'il est sous ma responsabilité… je veux dire, ce type est un adulte raisonné -enfin c'est relatif, surtout dans une ville comme Storybrooke-, alors pourquoi est-ce que je devrais en avoir quelque chose à foutre que monsieur joue au pendule à aussi basse altitude, juste en dessus des laves ? Je sais pas. Merde ! Il dirait quoi le psy ? Imaginons Aloysius. « Il semblerait que vous faîtes un transfert sur les membres de votre équipe » ouais, mais un transfert de quoi ? « Vous étiez un étalon dominant, non ? Les instincts de leader sont rarement perdus, même en changeant de monde. Et maintenant installez-vous sur la table et mettez vous un peu de sel, j'ai faim. » Bah oui, c'est un lion, ça doit être aussi timbré que Krykry, la version masculine de la folle aux longues dents. Et puis c'est mon imagination, je fais ce que je veux ! Mais merde, je suis plus un étalon dominant moi ! Je suis… rien ! Je ne suis qu'un type lambda, je ne suis pas important, je suis un… dommage collatéral ! À la force de la colère que me procure cette pensée, je tire sur le bras de Faust de toutes mes forces, grinçant des dents, grimaçant, ayant du mal à prendre appui ou que ce soit sur le pont de bois qui tremblotait. Au moins, il était pas trop lourd ce Faust ; et je pousse un petit cri victorieux lorsqu'il se retrouve couché à côté de moi. Je respire à toute vitesse, restant immobile dans cette position, maudissant le ciel et priant les Dieux qui se baladent comme les Mortels de m'envoyer une caisse de vin blanc. J'ai plus envie là. J'ai juste envie de me poser sur une terrasse et boire tout mon soûl. C'est tout ce qui compte. Enfin presque. Ça et… mon équipe. Même la lionne ; mais je m'inquiètes pas trop pour elle. Vu l'urgence de la situation, elle a déjà dû rejoindre sa famille, et pour l'instant, c'est mieux comme ça. De rester en deux groupes. Juste le temps de faire le point.
« Mais de rien, touriste. Et ouaiiis, ce serait pas mal, parce qu'à ce stade si on se sort pas de ce pétrin on est tous cuits, très littéralement. »
Mes paroles sont agressives, mais mon expression est un peu plus douce, presque malicieuse, tandis que j'essaie un sourire aussi sincère que j'en suis capable à l'attention de Faust. Bordel, manquerait plus que je devienne… gentil. Mamma Mia. Je me relève assez souplement, malgré l'état de fatigue dans lequel je me trouve. Mes mains tremblent légèrement face au manque et ma gorge est sèche, implorant que je l'arrose du parfum agréable de mon précieux vin blanc. Tout ce que j'ai sur moi, c'est une petite bouteille d'eau ; il reste la moitié.
« Tiens, prends. »
Je tends la bouteille à Faust, tandis que nous rejoignons des passerelles et des plates-formes conçues pour réceptionner les audacieux qui empruntaient lianes et tyroliennes. D'ailleurs, il allait falloir qu'on monte un peu, déjà pour avoir moins chaud, et aussi pour pouvoir avoir un meilleur point de vue sur tout ce bordel. J'en fais la proposition à mon désormais compagnon d'infortune, qui approuve de la tête et nous commençons à monter, toujours plus haut, guettant le moindre bruit, à l'affût de joueurs qui, ayant trop peur d'affronter les faits réels, continuent de jouer, ou alors à l'affût de cette drôle de silhouette que j'avais aperçu un peu plus tôt. Nous nous arrêtons sur l'une des plateformes les plus en hauteur, et je me tourne vers Faust.
« D'après les Organisateurs, il y a quelque chose sur le terrain. Et… je suis sûr d'avoir moi-même aperçu une silhouette. Tu as vu quelque chose, toi ? Ou alors un indice qui pourrait nous sortir de ce pétrin ? »
Je veux dire, comment tout a commencé ? On s'est présenté au terrain, qui proposait une première session gratuite. On nous a donné les équipements, expliqué comment ça fonctionnait. On a fait les équipes avec Krystal -s'tait plutôt marrant d'ailleurs, de voir qui se débrouillerait le mieux-, on est parti explorer le terrain. Il y avait la forêt, et la zone avec les entrepôts. C'était tellement simple ; il faisait jour, on se tirait dessus, l'équipe gagnant repartait avec un sentiment d'honneur absolu sur son espèce. C'était si simple. Et là, on se retrouvait à faire de l'accrobranche au-dessus d'un champ de lave, il fait nuit ce qui pète les yeux à cause du contraste, les Organisateurs ont perdu la communication, et il y a truc qui se balade sur le terrain qui pourrait autant être un lapin innocent qu'un ours mutant tueur. Et tout ça en sachant que les deux équipes sont désormais très désorganisées, certains continuant ce jeu devenu mortel, d'autres comme moi et Faust -et comme les lionnes, j'imagine et au fond de moi, j'espère- se regroupent pour augmenter leurs chances de survie. À quel moment ça a arrêté d'être une partie de paintball, sérieux ? Mais… Et si ceux qui continuent de jouer ont raison ? Enfin je veux dire, bien sûr qu'ils sont cons de jouer encore dans une situation d'urgence. Mais bon, les Organisateurs voulaient juste une partie de paintball mémorable, alors pourquoi est-ce que tout ne s'arrêterait pas quand on retrouverait le drapeau adverse ? Ou encore plus simple… on sort le drapeau et on le file aux ennemis ? Comme ça ils gagnent la partie et tout s'arrête ? Je sais pas, mais c'est tout ce que je sais. On verra bien. Me tournant vers Faust, je lui expose mon plan, et sans hésiter, nous commençons notre voyage de retour du côté des entrepôts...
Jauge de vie : 90% Figurant adverse éliminé ? : 0 Figurant utilisé ? : 0 Indice trouvé ? : 0
April n’avait pas tardé à les rejoindre et Faith n’en était que plus heureuse, elle aimait savoir sa sœur près d’elle dans une situation pareille. Mais bientôt, il fallut se séparer… Quelle idée idiote que de vouloir aller chacune dans une équipe ! Elle s’en mordait les doigts à présent, de sa bêtise ! Mais comment aurait-elle put savoir la tournure que prendrait les événements ? Elle se contenta d’un hochement de tête rigide, la mâchoire crispée, lorsque sa sœur lui proposa d’aller écrabouiller les deux imbéciles qu’étaient les organisateurs. Il y avait bien trop de rancune en elle, elle avait peur d’ouvrir la bouche et que des milliers d’insultes en sorte sans qu’elle ne puisse plus arrêter le flot d’injures. Elle était folle de rage, tout bonnement folle de rage. Il n’y avait pas idée de faire un jeu pareil ! Et ils avaient encore trouvé malin de la ridiculiser, en précisant qu’elle avait aidé Tama, du camp adverse. N’y voyaient-ils donc qu’un jeu ? Elle refuser de laisser mourir quiconque ici ! Et si Darshkan osait lui dire quoi que ce soit, elle allait vraiment lui dire sa façon de penser. Se résignant, pourtant, elle disparut à travers les branchages, dans une direction opposée à celle de Tama et de Sarabi. Il fallait qu’elle retrouve son équipe, vérifié que tout le monde était sain et sauf.
Il avait fallu passer quelques tyroliennes et deux lianes pour parvenir à l’endroit où elle était à présent. Autant dire que le voyage n’avait pas été simple. Elle n’avait jamais fait ça, Giza était déjà allé à l’accrobranche avec Neema mais ell n’avait jamais eu le temps de les accompagner et elle le regretter amèrement. Il lui avait fallu quelques minutes pour comprendre comment marchait la tyrolienne avant d’être sûre de se lancer dans le vide sans aucun risque et une bonne dose de courage pour utiliser les lianes. Du courage, elle en avait, ça oui, mais de l’agilité et de la force… peut-être assez… elle s’épuisait vite… Elle était une lionne, pas un singe bon sang ! Alors qu’elle atterrissait lourdement sur sa plateforme après la seconde liane, elle entendit des branches craquer, des feuilles bruisser. Beaucoup. Beaucoup trop. Des gens venaient…
Elle parvint à se hisser un peu plus sur l’arbre pour les voir arriver. Tenues orange, on les voyait de loin. Trois beaux abrutis. A les entendre, ils étaient toujours obsédés par le jeu. Avaient-ils donc des yeux pour voir ce qui se déroulaient autour d’elle. Ils parlaient de leur drapeau, et Faith jugea bon de se cacher et d’écouter, tant qu’elle le pouvait, à l’abri. Ils s’inquiétaient. L’un disait aux autres qu’il avait dit que la cachette n’était pas si bonne, les autres répliquaient qu’ils « se faisait de la bile pour rien ». Les voilà parlant d’une clairière à présent… et puis soudain…
- Hé ! Une adversaire !! TOI LA, RENDS-TOI ! - D’un autre ton s’il te plaît jeune homme. Non mais vous ne voyez pas ce qui est en train de se passer ? On risque de MOURIR, vous êtes stupides ou quoi ?! Plus question de jouer. - Arrête de bavasser, rends-toi ! - Mais il ne comprend pas quand je parle le primate ?! Je ne joue plus ! - Alors viens, on te tire dessus et c’est réglé. - Je ne veux pas qu’on me tire dessus voyons, je cherche juste à poursuivre mon chemin, c’est pas le moment-là ! - Faut l’encercler !
Elle poussa alors un cri rageur, tout cachée dans son arbre. Que fallait-il faire ? Se rendre et poursuivre la route ? Et si jamais elle se faisait éliminée du jeu, risquait-elle d’en sortir d’une manière ou d’une autre ? Non non, elle devait rester en jeu et veiller à ce que tout le monde en sorte indemne. Pestant, scouant la tête de gauche à droite, elle entreprit de s’allonger sur la grosse branche où elle se trouver, dégaina son arme et se décala un tout petit peu pour tirer. Manqué !
- Hééééé ! Mais elle nous tire dessus ! J’en étais sûre que c’était une ruse, à l’attaque !
Dans son élan d’héroïsme, le jeune homme se décala un peu plus dans son champ de vision, lui permettant une fenêtre de tir plus généreuse. Mais elle n’était tout de même pas sniper ! Elle finit par l’atteindre à son deuxième tir, le touchant au cœur, l’éliminant du jeu. Le second, bien trop benêt, se précipita sur lui pour l’aider, permettant à Faith de réitérer facilement son exploit. Et de deux éliminés. Mais le troisième… où était-il ?! C’est en entendant un bruissement non loin d’elle qu’elle le vit. Il était parvenu à passer sur un autre arme, beaucoup plus proche et elle était désormais à découvert. Ni une ni deux, elle se mit à tirer de plus belle, le plus vite possible pour l’atteindre avant qu’il ne l’atteigne… et de trois. Complétement essoufflée, les mains tremblantes, elle prit quelques secondes pour reprendre son calme. Tout allait bien, elle était toujours dans le jeu, pas même touchée. Elle pouvait continuer sa route en paix… Elle leur avait pourtant dit que ce n’était pas le moment !
Elle s'apprêtait à se remettre en route quand soudain un bruit étrange la coupa dans son mouvement. Elle vit alors une silhouette très mécanique qui s'avançait mais au moment où elle se focalisa un peu plus dessus pour comprendre ce qui se passait, la chose disparut... C'était QUOI ça encore ? Elle allait vraiment tuer ces foutus organisateurs...
Elle finit par retrouver deux de ses compagnons quelques minutes plus tard. Darshkan et le jeune homme avec qui elle avait fait connaissance au début du jeu : Faust si ses souvenirs étaient bon. C’était le moment de vérité, voir si l’étalon était un peu plus intelligent que borné, suffisamment pour se rendre compte que la situation était grave. Elle attrapa une liane et une fois de plus, retomba lourdement sur une plateforme, faisait un bruit assez significatif. Elle vit alors au-dessus de sa tête, à quelque branche de là, les deux visages se plonger vers le bas pour trouver la source du bruit. Elle leur sourit, leur fit un signe de la main et entreprit son ascension pour les rejoindre. Une fois auprès d’elle, elle les dévisagea longuement pour vérifier si tout était en ordre. Darhskan avait de la peinture sur sa combinaison, Faust aussi et elle se félicitait d’autant plus d’être encore immaculée. Mise à part cela, rien n’était vraiment à déplorer.
- Vous allez bien ? Rien de cassé ? Je ne joue plus, la seule chose que je désire, c’est qu’on sorte tous de là vivant et en bonne santé. La prochaine querelle entre toi et Tama se jouera aux fléchettes au Rabbit Hole, t’es d’accord ? C’est plus prudent ! Et si on est tous en vie à la fin de ce calvaire et que vous m’aidez à mettre les deux organisateurs en pièces, je payerai même ma tournée !
Elle leur sourit, tentant de dédramatiser la situation. Elle voyait bien à leurs yeux, à leur expression que eux non plus ne voulait plus jouer, que eux aussi avait compris toute la détresse de la situation, elle ne voulait pas provoquer de mouvement de panique. Il fallait garder la tête froide, s’entraider et réfléchir.
- Bon, vous alliez par où ?
Les deux jeunes gens lui expliquèrent brièvement leur plan et Faith les écouta avec attention. Après un petit moment de réflexion, elle leur proposa son hypothèse.
- Je pense que vous avez une bonne idée en supposant qu’une des deux équipes doit gagner mais je ne pense pas qu’il faut retourner aux entrepôts. Lorsqu’un danger survient, un danger que nous ne pouvons combattre, les lionnes et les lions se regroupent, se terre ensemble, dans leur tanière. Si ma sœur et Tam… Krystal réagissent en lionnes, elles se replieront vers leur drapeau. Si nous faisons de même, nous allons chacun rester bloquer dans notre lieu de départ et le jeu ne terminera jamais. J’ai entendu trois abrutis de l’équipe adversaires qui se voulaient encore complétement dans le jeu dire que leur drapeau se trouvait près de la clairière. L’endroit est vaste, mais cela nous donne déjà une petite précision… J’ai observé la carte à l’entrée du Paintball, la clairière est au Nord-Ouest… Donc…
Elle se releva sur la branche, observa le terrain, le ciel, le soleil, réfléchit un instant puis pointa un endroit du doigt.
- Par là. Une autre théorie m’est venue… Si nous nous tuons tous ensemble, en même temps, il n’y aura plus de joueur en lisse… le jeu sera donc obligé de s’arrêter. Un suicide collectif en quelque sorte : les kakis tirent sur les oranges, les oranges sur les kakis. Quoi qu’il en soit, les deux nous poussent à nous regrouper… Nous trouverons sans doute les lionnes là-bas. Il faudrait ramasser un maximum de gens sur notre route, orange comme kakis, de sorte à ne laisser personne perdu seul dans ce jeu. Nous partons ?
Elle s’était déjà mise en route quand elle s’arrêta brusquement et se retourna vers Darshkan, se souvenant qu’il s’était proclamé chef de leur équipe. Elle ne voulait pas le froisser, avoir un borné ou une dispute dans l’équipe ne les mènerait à rien…
- Si tu es d’accord, bien sûr ?
Jauge de vie : 100% Figurant adverse éliminé ? : 3 Figurant utilisé ? : 0 Indice trouvé ? : 1