« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 [Fe] Les Jeux sont Faits - Evénement #37

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Tara Duncan
Muerte la Mort
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Louise Hollen
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Louise Hollen

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He had beautiful eyes. The kind you could get lost in.. and I guess I did.

| Conte : Les douze fréres / Les cygnes sauvages
| Dans le monde des contes, je suis : : Elisa : la soeur

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________________________________________ 2015-07-16, 21:36



Les Jeux Sont Faits !


Aaron avait il des dons de divination ? La princesse se le demandait tendis qu'il les entrainaient, Tara et elle, vers ... vers la piste de danse. S’arrêtant immédiatement, Louise fixa le demi dieu qui allait rejoindre Jezabel sur la piste. Bon, il avait bu ou quoi ? Elle qu croyait que c'était compliqué a saoulé les demis dieux ...

"Viens danser !"

D'un mouvement brusque, elle recula d'un pas en hochant négativement la tete.

"Hors de questions !" Non non non, elle n'allait pas poser le pieds sur cette piste ! Oui elle savait danser, après tout elle avait eut des frères pour s'entrainer, mais de la a danser avec autant de gens ? Non. Décidément non. Cherchant un peu de soutiens, elle avisa Tara qui ... Venait de finir un grand vere d'alcool visiblement. Oh. La jeune femme laissa Louise sur place pour aller sur la piste de danse. Bon, l'alcool, c'était vraiment a éviter apparemment.

"Si tu rejoins le délire et danse comme moi, tu peux être sûr que je ne craquerai plus jamais pour toi."


Non mais il plaisantant ? Haussant les sourcils, elle le regarda dubitativement quand tout a coup, elle sentie deux mains dans son dos la pousser vers la piste. En équilibre sur une jambe elle sautilla quelques instants, hésitante, prête a se casser la figure ... avant de se redresser. Ouf, on avait évité la catastrophe ... Tout a coup, alors qu'elle regardait autour d'elle pour essayer de s'échapper, Louise aperçut Aaron qui tombait. Par réflexe, elle tendit les bras vers lui et l'aida a maintenir son équilibre. Il avait levé les yeux vers elle et c'était penché, jusqu'a unir leurs lèvres. Totalement tétanisée, la princesse sentit le rouge lui monté aux joues a une vitesse hallucinante. Rapidement, Aaron se détacha et recula avant d'aller embrasser ... Gléne ?

"Merci mec, je te revaudrai ça."


C'était une blague ! Il pensait vraiment lui faire croire que ... Elle n'eut même pas le temps de finir sa pensée que Melody avançait vers elle. Aie aie aie, elle allait passer un sale quart d'heure ... pourtant c'était lui qui avait agit, elle n'avait rien fait elle ! Mais contrairement a ce qu'elle avait pensé, elle l'embrassa a son tour. Totalement perdue, affolée, Louise recula, se passant une main sur les lèvres. Non mais ce n’était pas possible ! Ils allaient arrêter oui ? Entre les garçons de la dernière fois et ca, elle n'allait jamais accepter qu'on la touche a nouveau. Mais le pire fut sans doute pour elle le moment ou Jezabel l'embrassa, "pour voir".

En sentant des mains sur ses épaules la tirer en arrière elle ne put s’empêcher de se dégager avec violence.

"LACHE MOI !"

De base, elle ne supportait pas qu'on la maintienne immobile de force. Alors maintenant, alors qu'on venait en plus de l'embrasser de force trois fois, elle craquait. Les larmes débordants de ses yeux, elle les fixa tour a tour, furieuse, terrorisée et bléssée.

"Je vous INTERDIT DE ME TOUCHER ! Je ne le revivrai pas c'est compris ? Je. Ne. Le. Revivrai. PAS ! Alors vous RESTEZ LOIN DE MOI !"


Reculant lentement, elle finit par se détourner et descendit de la scène avant de s'éloigner en courant. Slalomant entre les badauds qui c'étaient rassemblés elle finit par atteindre la porte, qu'elle poussa brutalement en ignorant le portier. Les bras serré contre elle, elle tentait de maitriser les tremblements violents qui avaient pris possession de son être, son cœur qui battait de manière désordonnée, totalement affolé, ses jambes, quoi lui donnaient l'impression qu'elle allait tombée au moindre pas.

Elle avançait au milieu de ses inconnus et tourna a droite, avant d'appercevoir une petite place vers laquelle elle se dirigea pour se poser sur un banc. La, les jambes repliées sous le menton, elle regarda un groupe de musiciens de rue jouer, laissant la musique la calmée. Ils étaient tous si .;.. idiots ! On embrassait pas les gens comme ca non mais ! Peut etre que pour eux cela ne signifiait rien, mais pour elle, c'était important. Elle avait déja eut a subir trop de baisers forcés, trop de gestes envers elle qu n'auraient jamais du être. Ok, ils ne le savaient pas, mais ce n'était pas une raison pour agir comme ca. Ils n'en avaient visiblement rien a faire de ce qu'elle pouvait ressentir elle.

Louise passa une main dans ses cheveux et remercia le ciel d'avoir créé le maquillage résistant a l'eau. Puis elle se redressa et se dirigea vers le groupe de musique face a elle. Avisant une bouteille de vodka entamée a coté d'eux, elle la désigna rapidement du menton, quémandant leur accord. D'un geste rapide, l'un d'eux lui tendit et portant la bouteille a la bouche, Louise en but de longues gorgées brulantes, manquant de s'étouffer avec.


Puis, alors qu'ils entamaient une nouvelle musique, elle se mit a danser.

L'alcool l'aidant a se lâcher, elle commença a doucement onduler du bassin en rythme, les yeux clos, avant de commencer a bouger les pieds. D'un geste, elle retira ses sandales et tournoya sur elle même les bras au ciel, tournant et ondulant. ses mains, ses bras, ses chevilles, tout bougeait gracieusement, jusqu’à ce que la musique ne ralentisse un peu pour repartir de plus belle. Se rendant compte qu'elle attirait du monde, elle se donna a fond, faisant tournoyé sa robe, sautillant d'un pieds sur l'autre par des mouvements fluides. Souple, elle n'hésitait pas a laisser son dos se cambrer, sa jambe se relevée, .Puis elle mettait ses bras au dessus de sa tête, le regard vers le sol, et ondulait du ventre, ses mains entamant une chorégraphie de toute beauté. Elle se mouvait au rythme de la musique, appréciant son tempo rapide et doux en même temps.

Et tout a coup, alors qu'elle levait les yeux, elle aperçut une voiture noire qui se gara juste a coté du casino. Normalement, elle aurait continué de danser, mais curieuse, elle s’arrêta et la fixa avant de voir plusieurs hommes tous de noir vêtus en descendre. Gants, chapeaux, lunettes de soleil ... Ils n'avaient même pas besoin de porter de panneau "Gens louches" pour que tout le monde sache qu'ils l'étaient. Louise salua les musiciens, attrapa ses sandales et s'éloigna sous leurs applaudissements. Discrètement, elle s’appuya contre une fontaine et se rechaussa tout en fixant les hommes du regard.

Ils avaient jeté des regards autour d'eux pour voir si personne ne les suivaient avant de sortir de leur voiture une grosse boite en fer forgé. Rapidement, ils se dirigèrent vers le coté du Casino et s’arrêtèrent devant une petite porte en fer. Rapidement, l'homme qui était devant le groupe sortit de sa poche un petit appareil qui éclaira la porte pendant quelques instants avant de l'ouvrir. Ils regardèrent derrière eux une dernière fois et et pénétrèrent dans le bâtiment.

Louise jeta un regard vers l'entrée du Luxor avant de s'approcher de la porte l'air de rien. Du bout du doigt, elle poussa le battant.... qui pivota ! Retenant un petit cri de joie, la princesse s’avança et reposa la porte dans sa position d'origine. Le couloir longeait le casino. Curieuse, Louise s’avança et remarqua que de petites gouttelettes parsemaient le sol. Cette situation lui rappelait étrangement l’aventure qui avait eut lieu dans le manoir d'Egéon. Méfiante et totalement lucide, Louise s’avança a pas de loups, pour finir par arriver devant une nouvelle porte, légèrement entre ouverte. Elle s’arrêta quelques instants, mais n'entendant rien, jeta un coup d'oeil avant d'entrer dans la pièce.

Il s'agissait d'une petite sale, peu meublée avec une bibliothèque. Quelqu'un vivait visiblement la ... La princesse remarqua alors deux autres portes. La première, fermée, et la seconde, légèrement ouverte et d'ou elle entendait provenir des voix. Doucement, avançant le plus silencieusement possible, la princesse se rapprocha du battant, et aperçut un vieux salon, sur le tapis duquel reposait la fameuse mâle en fer. Les meubles étaient âgés, tous comme les canapés. Face a elle se trouvait Mr Le Verrier.

Mais qu'est ce qu'il fait la lui ?


Face au directeur se trouvaient les trois hommes en noir qu'elle avait vue entrer et qui lui tournaient dos.

"...comprenez bien que ça m'importe peu de savoir quel prix vous demandez du moment que j'ai cet objet."
déclara Mr le Verrier.

L'un des homme s'approcha du coffre et l'ouvrit montrant son contenue au viel homme, avant de le refermer. Apparemment, ce qu'il avait vue lui avait plus puisque le Verrier eut un sourire plus que satisfais. Une fois le coffre fermé, l'homme en noir lâcha :

"Notre maître souhaite que l'affaire soit conclue au plus vite. Vous avez ce que l'on souhaite, nous avons ce que vous souhaitez."

Notre maitre ? Il n'y avait que peu de personne qui parlaient de cette manière, et de ce qu'elle savait, elles étaient liées soit au dieux, soit a Storybrook. Et la, son méfiancomètre était au maximum et avait déclenché une alarme dans sa tête. Louise s'aperçut que le groupe bougeait. Ils allaient visiblement partir, et elle risquait de se faire repérer ! Mas si elle voulait savoir de quoi il était question. Si ca ne la concernait pas, tant pis, mais si c'était en rapport avec Sotrybrook elle devait savoir. elle savait qu'Egeon préparait son armée et ne prenait pas ce genre de choses a la légère.

L'homme du milieu, le chef visiblement des Men in Black, prit soudain la parole, faisant sourire le directeur.

"Je veux la sirène."


La bouche de Louise faillit se décrochée sous la surprise. Pardon ? La sirène ? Melody ? Et zut c'est un piège ! ... ... Encore ... Le directeur eut un sourire et entraina le groupe a sa suite, sortant par une autre porte. Lentement, Louise se laissa glisser au sol, la tête entre les mains. Bon sang de bonsoir de ...Elle devait les prévenir. Même si Melody était une sale peste, elle ne méritait pas de se faire vendre. Mais avant, elle devait encore se renseigner. Il y avait trop dde mysteres autour e cette histoire ... Le coffre, la porte close, ...... La fuite serait pour plus tard.
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GOOD FRIEND ARE LIKE STARS
YOU DON'T ALWAYS SEE THEM
BUT YOU KNOW THERE'RE ALWAYS THERE

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Adoratrice auto proclamée des cochons
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| Conte : Tara Duncan
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________________________________________ 2015-07-17, 19:34

Louise avait opté pour un autre jeu de chance. Une sorte de roulette tout aussi aléatoire que celle d’avant. Je l’avais suivis, amusée de voir ce qu’il y avait d’autre dans ce petit casino. Enfin… Petit, tout était relatif. Par ma plus grande surprise, la jeune femme avait décroché le gros lot. Ecarquillant les yeux, je regardais l’argent tomber à flot. « Toi, on peut dire que tu as de la chance.. » Et dire que je n’avais même pas réussis à gagner sur la roulette alors que je n’avais qu’une chance sur deux de perdre… Louise plongea une première main dans la cascade de pièce, les yeux pleins d’étoiles. La situation vira rapidement au vinaigre quand une canne s’abattit sur les bras de la jeune femme. Surprise, je sursautais en levant les yeux vers la vielle femme qui réclamait la totalité des gains. Elle avait l’air furieuse et déterminé à récupérer l’intégralité des pièces. Dans ces cas là, mieux vaut laisser tomber. Même si le gain devait être conséquent, ce n’était pas non plus le loto. Je sentis la main de Louise se glisser dans la mienne pour nous tirer, Aaron et moi, loin de cette harpie.

Nous sommes ensuite retourné vers une table de jeu. N’ayant définitivement plus d’argent sur moi, j’avais laissé tombé les paries risqués pour la soirée. Aaron arriva quelques secondes après nous, conseillant Louise. Surprise par ces pronostiques justes, je regardais les autres membres s’énerver légèrement. Tiens… Ca m’aurait été utile tout à l’heure… Mais apparemment, seule Louise en profitait. Tant mieux pour elle, elle pourrait récupérer ce que la vieille femme lui avait à moitié arraché des mains. Aaron s’était d’ailleurs lancé dans des explications un peu trop réalistes à mon goût. D’accord, ils ne croiraient surement pas les révélations du garçon, mais quand même ! C’était risqué. Heureusement, son regard avait dévié sur la piste de danse qui avait l’air de bien plus l’intéresser.

Me demandant ce qui s’était passé pour que la situation change autant, je regardais l’autre groupe que nous venions de retrouver se déhancher sur la piste de danse. Je jetais un coup d’œil à Louise, persuadée d’halluciner. « Je vois la même chose que toi là ? » Un sourire amusé sur le visage, je regardais le spectacle assez ridicule se dérouler devant moi. Ils avaient l’air de bien s’amuser en tout cas. Louise fut attrapé par Aaron, me laissant seule devant le groupe. Bousculée, je me retournais vers ce qui semblait être un serveur. Il me fit un grand sourire, me proposant une boisson. « Désolé ! Tiens, c’est pour toi, c’est un nouveau cocktail, essaye le ! » Je baissais les yeux vers la boisson qui avait une couleur assez étrange. Ce n’était pas moche, mais ça ne me donnait pas vraiment envie de le boire. « Non merci… Je ne tiens pas très bien l’alcool.. » Continuant de remuer le verre devant mon nez, il sourit. « Y’a presque rien là dedans, allez vas y ! J’ai besoin que quelqu’un le goûte pour le servir ensuite. C’est gratuit. » Comprenant que l’homme n’allait pas me lâcher de ci-tôt, je pris le verre pour le porter à mes lèvres. Une première gorgée me brula la gorge, m’arrachant une grimace. « Tu rigoles, c’est super fort ton truc ! » Toussotant, l’homme rapprocha une nouvelle fois le verre en insistant. « Non non vas y, c’est juste le goût qui est fort ! » Juste le goût, juste le goût, il était marrant lui. Je finissais difficilement le verre, laissant simplement un fond. Content, l’homme repartit en criant à ses collègues que j’avais réussis à le boire et que, par conséquent, ça ne pouvait pas être si mauvais que ça. Je souhaite bonne chance au prochain qui goutera cette mixture. Ma gorge chauffait toujours alors que je levais les yeux vers le petit groupe, toujours aussi enflammé.

Montant après Louise, j’eu seulement le temps de me pousser pour éviter Aaron qui tombait sur la jeune femme. Il avait définitivement trop bu. Amusée, je regardais le garçon se relever avec difficulté avant d’embrasser Louise. Avant de quoi ?! Scotché, je m’étais stoppé pour regarder les deux jeunes gens. D’un œil prudent, je détournais la tête vers Melody qui avait l’air aussi étonnée que moi et plutôt dégoutée. La pauvre… Aaron, se rendant surement compte de sa bêtise, se tourna vers le pauvre Glène qui se fit embrasser à son tour. J’explosais de rire en voyant la tête du garçon, mi dégouté et mi choqué. Melody venait de passer en furie devant moi pour rejoindre Louise. Ah non ! Pas de meurtre maintenant s’il vous plait ! Contre toute attente, la brune embrassa Louise à son tour. D’accord… Donc, tout cela allait finir en partouze générale ? Très peu pour moi, je préférai encore aller seule dans mon lit. J’allais m’approcher de Louise pour lui demander si tout allait bien, vu sa tête. Mais Jezabel à son tour vint tester la qualité des baisers de la jeune femme. J’avais l’impression de voir des enfants autour d’une bête de foire. Ne comprenant pas le but de chacun, je pouvais imaginé le mal-être que ressentais la jeune femme, timide de base. Réagissant finalement, elle envoya bouler la brune, se précipitant loin des autres. « Louise attend ! Louise ! » C’était malin ça… Je m’élançais à la suite de la brune, espérant la rattraper avant de la perdre de vue.

Malheureusement pour moi, en plus d’être rapide, le casino était bondé et je m’étais rapidement retrouvé noyé sous le flot de personnes. Ralentissant le pas, j’avais finis par lâcher l’affaire, ne la trouvant plus nul part. Génial… Je ne sois pas sûre que resté seule dans ce grand casino était la meilleure des solutions. Elle était peut être rentrée à la chambre après tout. Je l’espérais en tout cas. Faisant demi tour, je zigzaguais une nouvelle fois entre les joueurs de poker pour retourner vers le groupe. Je semblais être la seule à avoir suivis Louise. Tant mieux, au moins, personne d’autre ne se perdrait. En parlant de ça… Je regardais autour de moi pour voir si Melody était toujours dans les parages. Elle avait beau ne pas m’aimer, ce n’est pas pour ça que je voulais qu’elle se perde dans cet endroit. Il y a plus d’un type louche qui y traine. Je finis par la voir, accoudé au bar. Bon, elle n’était pas loin au moins. Je détournais le regard vers les autres, inquiète. « J’ai pas retrouvé Louise… Je ne sais pas où elle est… C’est sûr ici hein ? »
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________________________________________ 2015-07-18, 19:26


The game is made
Welcome to Las Vegas ..
.



Mais c'est que ça bougeait vite, ces petites lumières ! En face de moi l’écran me montrait ma silhouette en train de galérer. Ce n'est pas de ma faute, j'ai eu un accident de voiture et j'avais la cheville en compote-moi ! Mes pieds frappaient le petit podium de toute part, tandis que je continuais de me déhancher en même temps. Je risquais un coup d'œil à gauche pour remarquer que le gamin se débrouillait carrément mieux que moi. Même pas en rêve petit, Jez est dans la place, elle va gagner ! Je redoublais l'allure, suivis la petite flèche à droite, puis à gauche, puis devant, derrière. Elle m'incita à faire un saut, ce que je fis. Cela m'arrache presque un cri de douleur par rapport à ma cheville. Si seulement je pouvais utiliser ma super vitesse… J'aurais déjà gagné depuis longtemps ! Mais Aaron a été clair : pas de super pouvoir. Pis avec ma cheville en compote, je doute que je puisse réussir à courir normalement pendant un temps. On va dire que j'utiliserais ma super vitesse en cas de réel besoin. Je voyais que le gamin commençait à gagner, la silhouette de son personnage sur le grand écran recevait plein d'étoiles. Et moi, je n'en avais que trois. La musique continuait de bouger, m’entraînant dans un nouveau déhanchée tout en faisant danser mes pieds sur les cases qui s'allumaient. Un bruit de perdant retentit dans la machine et me disqualifia. Le gamin sauta du jeu pour venir à côté de moi.

« Looseuse ! » Me lança-t-il d'un ton moqueur. Il tandit la main pour que je lui donne l'argent. Oh, tu voulais jouer petit ? Pas de problème ! Je sautais à mon tour pour me rapprocher de lui. Je tentais l'air supérieur de la fille plus âgée que lui et positionnai mes mains sur mes hanches en le dévisageant.

▬ « Attends, ça s'était qu'un échauffement ! » Répondis-je, un sourire aux lèvres. Une idée derrière la tête ? Non, à peine. « Tu vois le gros podium là-bas ? Je te défis d'aller y danser ! On fait un concours de celui qui danse le mieux ! » Déclarais-je en désignant la grande scène où il n'y avait absolument personne qui dansait. Le gamin réfléchit un moment, je le toisais avec détermination, une lueur de défi dans le regard. Comme j'aimais les défis ! Je vous jure ! C'est trop bien. Les défis, les paris. Je suis la meilleure à tout ça ! Le gamin hocha finalement la tête et se dirigea vers le podium. Quant à moi, j'avais besoin d'un petit remontant avant. Comment s'amuse sans alcool, franchement ? Avec l'alcool, la fête est plus folle ! Je zigzaguais entre les gens et me dénichais un serveur avec un plateau rempli de cocktail. J'en pris un dans mes mains que je portais à mes lèvres. Je bu le liquide à pleine gorgée, effectuant un cul sec incendiaire. Ma gorge me brûlait affreusement. Je retins encore le serveur par le bras qui protesta, et prit la coupe la plus grande et la plus grosse. Puis avec mon petit fardeau, je me dirigeais vers la scène en commençant à onduler sur le chemin. Je portais de nouveau l'alcool à mes lèvres, bien décidé à ce qu'il me monte à la tête rapidement. Deuxième énorme cul sec, ma gorge avait complètement explosé. Je sentais le liquide venir me brûler de l'intérieur.

Je voyais la pièce qui tourbillonnait un peu autour de moi. J'hésitais à mettre un pas devant l'autre, de risque de me déséquilibrer. Mais voir le gamin effectuer une magnifique danse sans moi me revigora de toute part. Je devais gagner se parie ! Alors je grimpais sur la scène, manquant de me casser la tronche par terre. Puis je me mis à danser en ondulant mon corps, en donnant des coups de pied, de bras, tournant sur moi-même. J'entamais une danse à la Sexy Dance. Et peu importe si j'avais l'air ridicule ! Je passais devant le gosse et me laissais glisser sur les jambes en hurlant et en arrivant à la fin du podium. Je levais le bras en l'air et en donnant un coup de tête. Puis je me relevais en reculant et en ondulant. "Bouge pas chéri, on arrive !" Cria Aaron. Oui viens plus on est de fous plus on rit ! Je lançais mon doigt dans sa direction en criant avec un cri de vainqueur. Je jetais un regard aux gosses en levant les sourcils l'air de dire " Ta vue ça ? Essaye de faire mieux !'' Aaron finit par me rejoindre, et je remuais des pieds, des bras, de la tête avec un regard entendu avec lui. "On peut dire que tu sais bouger ton corps ! On leur montre de quoi on est capable ?"

▬ « Et comment ! Je fais que m'échauffer là ! » Répondis-je en reculant et en entamant une danse avec lui. Je reculais, pris mon élan et m'élançais sur les genoux en passant juste en dessous de ces jambes. Je me relevais en sautant et en continuant de me bouger à fond. Je ne sais pas ce que ça donnait, surement des pingouins qui remuaient des bras et des jambes pour marcher sur la banquise. Le gosse continua de danser et se positionna pile devant moi pour me faire de l'ombre. Je le dégageais d'un coup de fesse en faisant un petit twerk. [i]""Je te rends les 500 dollars que tu vas perdre avec ton pari si tu continues à danser comme si de rien était"

▬ «  Hé ! Je vais le gagner ce pari moi ! » M'écriais-je.


Aaron finit par inviter le reste de l'équipe à danser. J'aperçus même Glène au loin. Sans demander quoique se soit, je me précipitais vers lui et lui pris le bras pour l'entraîner dans la danse. Je le regardais avec un grand sourire béa, toute joueuse. Oui, j'étais bourrée aussi, il ne faut pas m'en vouloir ! Aaron tomba sur Louise, et posa alors ces lèvres sur les siennes. Je les regardais faire sans comprendre. Ma vision n'arrêtait pas de sauter, je voyait un peu flou et j'avais un puissant mal de crâne. Et je me sentais bien aussi. J'avais envie de bouger. Généralement quand je suis bourrée, je fais un peu bille de flipper entre les meubles, mais là, je ne pouvais pas. Aaron se recula de Louise et sans comprendre encore quoique se soit, il me piqua Glène et l'embrassa aussi. Je m'arrêtais de danser en faisant un air choqué.

▬ « Wouah ! Sont puissants ces cocktails… » Déclarais-je. Oui parce que, pour qu'Aaron embrasse Glène, ça ne pouvait venir que de mon imagination, et donc de l'alcool que je venais de boire. Mais c'est bizarre quand même que dans ma tête, je vois Aaron et Glène s'embrasser non ? Mélody s'avança et prit la tête de Louise entre ses mains et l'embrassa aussi. C'est un concours ? C'est ça ? Elle recula et dit que Louise embrassait comme un requin. Attendez, je voyais des drôles de choses là. Je suis sûre qu'il y avait de la drogue dans ces verres !

▬ « C'est un concours ? Parce que moi aussi j'embrasse bien, tenez regardez ! » Lançais-je avant de prendre moi aussi la tête de Louise et de l'embrasser. La brune se débattit et me repoussa avant de hurler que personne ne l'approche, et de partir en courant. Mince. C'était pas Louise que je venais d'embrasser ? Je ne sais pas. Je sais plus. Je jetais un coup d'œil aux autres, Melody avait déjà disparu aussi et Tara se lançait à sa suite. J'observais le casino, et repérais quelque chose qui m'attira l'œil. Un taureau. Un taureau mécanique qui faisait voler les gens. Toute excitée, je sautais de la scène et couru dans sa direction. Je courais normalement, ce qui me donnait une forte impression de lenteur, c'était presque horrible. Je m'arrêtais pour apercevoir que des hommes avec des chopes de bières. Ils trinquaient tous en criant avec joie. Moi aussi, je veux jouer au cow-boy ! Toute excitée, je m'avançais vers le taureau, quand les hommes se retournèrent tous vers moi.

« Ce n'est pas un jeu pour les femmes, petite ! » Oh ! Je vois, ils se sont tout donné le mot pour m'empêcher de jouer ou quoi ? Je m'avançais vers eux avec un air déterminé, pris le chapeau de cow-boy du monsieur qui venait de parler ainsi que sa chope de bière. Je bu à toute gorgée l'énorme tasse, effectuant un nouveau cul sec. Je mis le chapeau sur ma tête et reposais brusquement la chope sur la table, sous leurs oeil impressionnés. Je leur fis un petit signe de la main et m'avançais vers la grosse bête mécanique. Je positionnais mon pied sur la petite marche et m’essayai à Cali fourchons dessus. Je serrais fortement la poignée et pris une position de jockey pour pouvoir tenir. Le taureau commença à remuer doucement et je pris le chapeau que je remuais dans les airs en criant des "' Yihaaaaa'' ". Les hommes me regardaient faire avec amusement. Le taureau commença à remuer rapidement. Mais la vitesse, c'était mon truc, non ? Je me tenais fermement à l'animal, qui bougeait dans tous les sens. Je me sentais partir un peu partout, alors que j'étais toujours assise. Je voyais la pièce tourner à une lueur folle autour de moi, alors que mon corps subissait des sous bressaut terrible. Mais j'avais l'habitude de la vitesse, et j'entendais les cris de joie et d'encouragement des hommes. Ils étaient impressionnés par ma performance. Voyant que j'étais toujours agrippée au taureau, il appuya sur la vitesse maximum. Je ne voyais plus rien, tout était trop flou. Une énorme secousse me fit basculer vers l'avant. Je pris le tapis en pleine poire, des étoiles dans les yeux. J'avais la tête qui tournait, la pièce tourbillonnait devant moi et j'arrivais pas à me relever tellement j'avais des haut-le-cœur. L'un des hommes était hyper baraqué et vint me remettre sur pied avec une incroyable force.

« Bravo petite ! Tu es impressionnante ! Aller viens, c'est moi qui paye la tournée ! » Il m'emmena vers le groupe qui poussait des exclamations de joie. Je luttais pour rester debout convenablement, bien que je me sentis tomber à chaque fois et que le monsieur me rattrapait. Il me laissa s'asseoir avec eux, et je les regardais tour à tour trinquer avec leur chope de bière. Je repositionnais le chapeau de cow-boy sur ma tête avec un gros sourire. Je pris la chope de bière et trinquais avec eux. Tout était normal, je trinquais avec des inconnus. Un homme se présenta alors sur une piste avec un micro et proposa de faire un karaoké. Alors là. C'est me faire une déclaration d'amour ! Je sautais de mon perchoir et couru jusqu'à la scène. Quand il me vit arriver, il sourit et m'aida à grimper sur le podium. Il me demanda comment je m'appelais. Je lui répondis et lui glissai la chanson que je souhaitais chanter. J'avais précisément la chanson que je voulais. C'était notre chanson préférée avec Callio et on se déchaînait souvent Dessus. Je pris le micro entre mes mains, tandis que des paires d'yeux m'observaient de toute part. Puis la musique se mit à retentir. Je bougeais dessus avec un gros sourire.

▬ « Oh don't you dare look back
Just keep your eyes on me
I said you're holding back,
She said shut up and dance with me!
This woman is my destiny
She said oh oh oh,
Shut up and dance with me »


Je chantais à pleine voix, on m'a toujours dit que j'avais une belle voix. Mais après je ne sais pas ce que ça donnait bourrée… Je me déhanchais sur la musique pendant que je chantais, lançant mes pieds dans tous les sens et mes mains vers le haut.

▬ « She took my arm,
I don't know how it happened
We took the floor and she said


Oh don't you dare look back
Just keep your eyes on me.
I said you're holding back,
She said shut up and dance with me!
This woman is my destiny
She said oh oh oh
Shut up and dance with me »


Les gens avaient l'air d'adorer ma chanson et pour cause, ils dansaient tous en applaudissant et en hurlant de joie. Je me suis mise à sauter sur scène un bras levé vers le ciel. Puis je repérais Glène dans le public. En continuant de chanter et de danser, je sautais du podium et me dirigeais vers lui. Je le pris par la main et le pris avec moi sur scène à mes côtés. Puis je me tournais vers lui, avec une lueur brillante dans les yeux et un sourire tout mignon aux lèvres.

▬ « Shut up and danse with me » finis-je en baissant le micro. Je me dandinais sur place et m'approchais de lui avec un air étrange dans le regard. Avant qui dise quoique se soit, je me saisissais de ces lèvres pour poser les miennes et l'embrassais devant tout le monde. Mes mains agrippais ça nuque, une explosion de sentiments brûlait mon corps. Les gens poussèrent des hurlements d'amusement. Je reculais ma tête, sentant mon ventre papillonner. On en parle du pourquoi du comment j'ai faits ça ou pas ? Je pense pas que l'excuse du " Je suis soule " ne marche pas. J'avais juste eu envie de l'embrasser et c'est tout. Toute timide, je me dirigeais vers l'homme et lui rendais le micro. Je descendais en suite de la scène en essayant de ne pas trop me casser la figure. Le gamin de tout à l'heure vint me rejoindre en croisant les bras.

« Eh, la folle dingue ! 500 dollars si tu lances des pétards partout ! » Me dit-il. Des pétards ? Bien sur que j'étais partante ! Je vais faire tout péter.

▬ « Vendu ! » Répondis-je. Je le suivis dans la foule, ignorant si Glène me suivait ou pas. J'arrivais vers un monsieur avec un stand rempli de pétard. Oh bon sang ! Y avait même un chapeau avec des bougies dessus ! Sentant l'excitation me monter à la tête, je sautillais de joie sur place et m'en saisie en le positionnant sur ma tête. Ça ressemblait pas à mon ancien chapeau qui était énorme avec des grandes chandelles dessus, mais ça me rendait quand même nostalgique. Je pris quelque pétard dans mes mains et partis du stand. Je regardais autour de moi et décidais de prendre des allumettes pour les allumer. Bien que je n'en aie strictement pas besoin. Je repérais Melody au loin qui avait l'air de déprimer. Je m'approchais d'elle, elle était en train de parler avec un drôle de type… J'arrivais toute joyeuse et toute contente vers elle et brandit mes pétards pour lui montrer.

▬ « Viens on va faire péter les pimbêches ! » Dis-je en sautant sur place, une lueur de gamine dans le regard. Je la saisis par le poignet et la conduis un peu plus loin du bar. Je repérais un groupe de filles très bien maquillées, avec un gros décolleté et des minis shorts jusqu'aux fesses. Elle draguait des types baraqués. Je pris un pétard dans mes mains et l'allumais. La flamme crépita et je le lançais sous le siège d'une des filles. Un son sourd retentit et le pétard explosa en dessus d'elle. La fille hurla et dégringola de sa chaise. Je me suis mis à rigoler et tournais la tête vers Melody. Je lui mis plusieurs pétards dans les mains et le conduisais ailleurs. Vers des gros bras bien potelés qui buvaient de la bière. J'allumais l'un des pétards et le glissais juste en dessous d'eux. L'explosion suivante retentit et le mec hurla en nous regardant. Il se fit craquer les doigts et venu dans notre direction. Et merde. En plus, j'avais mon chapeau bougie sur la tête, j'étais facilement repérable ! Mais je l'aimais bien alors je le laissais.

▬ « Oh oh... Suis-moi ! » Je pris de nouveaux Melody et l'emmenais loin du monsieur qui nous poursuivaient dans la foule. On zigzaguait entre les gens qui dansaient, jusqu'à atteindre une foule assez danse pour le perdre. Je repérais très vite Aaron qui faisait signe de monter vers l'hôtel. Ah non pas déjà ! Une moue au visage, j'entrepris de m'éloigner vers la foule pour ne pas rentrer à la chambre, mais quand j'allais m'élancer, une poigne de fer se resserrait sur mon poignet et me tirait en arrière avec les autres.

▬ « Je veux pas ! Je ne veux pas rentrer ! Je veux tout faire péter ! » Me plaignis-je en gardant mes pétards dans les mains, tandis qu'on continuait de me traîner. Boudeuse, je me dégageais et rejoignis Aaron. Je lui sautais sur le dos et m'accrochais à lui, un gros sourire aux lèvres.

▬ « Yihaaaaaaaaaaaaaa! Huuuu Cowboy ! » M'écriais-je perché sur son dos et en pointant le doigt vers l'avant. Je lui fourrais le chapeau de Cow boy sur la tête que je récupérais au passage. On montait dans les chambres et rejoignit très vite la suite. Je descendais de son dos, et me retenais à la poignée de la porte, perdant mon équilibre. J'avançais vers ma chambre, c'est fou ce que ça tanguait d'un coup… J'avais du mal à marcher convenablement.

▬ « Hissez oh, santianoooooo » Chantonnais-je, en m'accrochant à tout ce que je pouvais pour rentrer dans la chambre. Une fois arrivée, je m'écroulais sur le lit. Bon sang ce que ça faisait du bien ! Je relevais la tête avec un papier accroché au front. Avec un grondement, je le dégageais et plongeais mes yeux dans les lignes illisibles.

▬ « Y vait te chatouiller… Ah non ce n'est pas ça. Euh … Y vais te rigolé ? Non plus ... Ah, ces cocktail, ils sont puissants ... » J'essayais de déchiffrer le message. Il est clair que si j'étais sobre, je l'aurais lu sans aucun souci. Mais là les lettres dansaient devant mes yeux et je dus faire un effort considérable pour lire.

''"Y va Ti tuer ! Ti n'y échappera pas ! Signé... In inconnu !"

Un rire s’échappa de ma gorge. Il voulait me tuer ! Qu'il essaye tiens ! Je me relevais et m'avançais vers la fenêtre en lançant le mot dehors.

▬ « Y bat j'y attends ! » Hurlais-je, me demandant si Muerte m'avait entendu. Je me tournais ensuite vers Glène et sautais sur lui, tombant sur le lit avec. Je n'étais pas du tout moi-même, c'était sûr.


Alexis E. Child
« Allez dans la Lumière.
C'est au détour d'une Ombre
que nous attends le Mal. »


Alexis E. Child

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Tu es comme tu es... mais malgré les erreurs, tu me rends parfois la vie de maman célibataire plus douce...


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Edition Octobre-Novembre 2020

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________________________________________ 2015-07-19, 14:20 « Allez dans la Lumière. C'est au détour d'une Ombre que nous attends le Mal. »




Las Vegas Baby



Et j’avais fini par ouvrir les yeux… Merde… il était quelle heure au juste ? Deux heures du matin… ben ça va, j’avais dormi que quelques heures… Mais alors le réveil devait déconner parce qu’il indiquait pas le lendemain mais… le surlendemain… J’avais quand même pas dormi toute une journée !! Si… ? Je me relevais brusquement, l’expression bougonne. Punaise ils auraient quand même pu me réveiller ! Quoi que… vu le cirque que je leur avais fait… A peine sortie de la douche, mes habits enfilés, j’étais retournée dans le salon et sans vraiment comprendre comment, je m’étais effondrée, perte de connaissance pendant quelques secondes. J’étais épuisée, exténuée, tout ce remue-ménage ne m’avait pas vraiment fait le meilleur bien… Et je suis pas une petite chose fragile, compris ? C’est juste que… Ben voilà, essayez de subir tout ce que j’ai subis et on en reparle ! Avec l’aide de deux personnes, qui je n’en sais rien, j’avais retrouvé mon lit. Mes cuisses étaient en feu, une douleur fulgurante que je ne pouvais arrêter. Heureusement que je portais une jupe ! J’y avait découvert un peu en dessous de l’entrejambe de vilaine tâches rouges qui ne ressemblaient à rien… ça avait du s’infecte… mais comment ? Pourquoi ? J’avais jamais vu un truc pareil de ma vie… y’a qu’à moi que ça pouvait arriver ce genre de chose…. Et je ne me sentais toujours pas bien… J’étais parvenue à m’enfiler une chemise de nuit et je m’étais effondrée dans les couvertures.

Et me voilà à présent ! En regardant à côté de moi, je pouvais voir que Louise n’était pas rentrée. Les veinards… ils devaient s’éclater à mort et moi j’étais là, dans mon lit, la tête en vrac. J’étais à Las Vegas bon sang, moi aussi je voulais sortir ! Je m’étais remise en position assise brusquement et tout aussi violemment avait écarté les jambes et baissé la tête pour observer mes cuisses. Y’avait pratiquement plus rien… Cool… ça ne me faisait plus mal et au touché, le pouvais sentir quelque chose de visqueux là où les traces étaient avant bien présentes. on avait dut m’aposer une pommade, ou de l’onguent, un truc du genre… ça sentait pas mauvais, une odeur fraîche de plantes… de menthe poivrée peut-être… Qui était le sauveur en question ? ou le vicieux ? Parce que les blessures étaient assez hautes quand même… Mais enfin bon, vu que je sentais plus rien, il allait pas se prendre une baffe…

Je m’étais dirigée vers la salle de bain pour boire au robinet, j’étais assoiffée. Puis je m’étais lavé les dents (je devais avoir une haleine de chameau), je m’étais brossé les cheveux, maquillée vite fait, habillé et en voiture Simone ! J’avais entendu du bruit dans la chambre d’à côté… Glène était rentré visiblement ! C’était celui que je connaissais le plus dans l’aventure, un vrai bon pote, aussi, ce fut le premier à qui je pensais pour ma petite visite nocturne. J’ouvrais lentement la porte pour voir un spectacle… que j’aurais pas dû voir. Glène était torse nu, Jezabel sur lui et tous deux se débattait fougueusement lui enlever son haut. La chaleur me monta aux joues immédiatement et je me sentis rougir. Ma voix se perdit quelque peu :

- Euh… LesLes gars ? Ça vous dit… visite… Vegas… nuit… oui… non… Laissez tomber.

J’avais refermé la porte aussi vite était restée plantée là, les yeux écarquillés. Remets-toi Alexis… C’est la nature, c’est l’amour, c’est l’envie… c’est normal… C’est cool… TOUT va bien… J'étais persuadée qu’ils ne m’avaient même pas entendu entrer ni vu, trop absorbé par leurs ébats. Bon… ben au moins Glène c’était trouvé une copine… et ils passaient plutôt du bon temps… j'espérais juste qu’ils faisaient ça en leur âme et conscience et pas sous l’effet d’alcool ou autre… J'avais pas envie d’un Very Bad Trip ou d’un Britney/Jesaisplusqui avec mariage bidon à la clé… D’un geste vif, je rouvris la porte :

- Vous êtes sûrs que… ?

Leur fougue était sans limite. Je levais les bras comme si je me rendais, dodelinant de la tête :

- Ok ok ! Mais venez pas vous plaindre demain et j’espère que vous vous protégez au moins !

Je refermais la porte, toujours pas convaincu qu’ils m’aient entendu. Je partis à la recherche de quelqu’un d’autre et découvrit Melody, seule, dans la chambre d’à côté. On s’était pas vraiment parlées jusque là, je ne savais pas quoi penser d’elle mais une chose était sûre, la brunette au moins, m’avait entendu arriver puisqu’elle me fixait droit dans les yeux. Un peu gênée, je se jetais à l’eau (sans mauvais jeu de mot).

- Euh… Salut !

Je levait une main en signe de salut.

- Je… euh… Je voulais savoir si ça te dirait d’aller te faire une virée dans Las Vegas avec moi ? Je viens juste de me réveiller, j’ai encore rien vu… Donc si ça te dit de venir avec…

Je savais pas trop comment l’autre allait réagir, elle allait peut-être m’envoyer bouler, mais au moins elle ne pourrait pas dire qu’on ne lui avait pas proposé…


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________________________________________ 2015-07-20, 14:21



Les Jeux sont Faits


    Le premier devoir du magicien sera toujours d'être le plus malin dans la salle. J'avais appris de très nombreux tours et j'avais organisé cette sortie dans le but de passer un agréable moment entre amis et futurs amis. La seule chose que je n'avais pas anticipé, était que le magicien n'était pas celui qu'on croyait. A Vegas, personne pouvait faire le poids face à la ville. Elle était remplie de magie et nous surpassait tous. On venait toujours ici dans le but d'y gagner quelque chose, mais on finissait souvent par tout y perdre. C'était cette ville qui avait une longueur d'avance sur nous et que quand on croyait pouvoir la dompter, elle était déjà loin devant, à nous narguer. Elle était le véritable magicien et je venais juste de me rendre compte qu'elle avait fait abracadabra et j'avais tout perdu.

    Quand Tara était revenue de dehors pour nous dire qu'elle n'avait pas trouvée Louise, je m'étais contenté de hocher la tête. Quand ce fut au tour de Melody de revenir après être allée boire un verre pour se changer les idées, j'avais hoché une nouvelle fois la tête. Glène et Jezabel avaient été les premiers à remonter dans la chambre. Alexis devait sans doute s'être réveillée. Au final, on était tous remonté et je m'étais arrêté dans le couloir, ne sachant pas exactement si ma place était encore avec eux. Quelques heures avant, j'avais croisé un vieil homme dans ce couloir, le directeur du casino, qui m'avait fait retrouver courage en moi. Je n'étais pas partit, alors que j'aurai dû le faire. Si maintenant je partais, ça ne servirait plus à rien. Tout était déjà loin derrière moi, plus rien ne pouvait être sauvé.

    "Je ne pensais pas tomber sur ton répondeur... Je crois que... Enfin c'est peut être le bon moment pour te le dire, mais je pensais qu'à Vegas ça serait différent, que j'arriverai à oublier certaines choses et à faire le point sur tout ça, mais à dire vrai c'est pire maintenant... J'aurai préféré te le dire de face à face, mais... Je vais partir."

    J'avais enlevé quelques secondes mon portable de contre mon oreille, pour laisser retomber ma tête sur le mur d'en face. Ca avait fait un petit boom, mais j'avais la tête solide. Surtout après le coup de poêle que j'avais pris un peu plus tôt dans la journée. Le bleu était d'ailleurs déjà partit. J'avais relevé le portable jusqu'à mon oreille, laissant ma tête reposée contre le mur.

    "J'ai totalement merdé avec Mel et avec Louise aussi. Elle n'aurait pas dû être là, mais ça n'aurait rien changé de toute façon. Et j'ai déçu ceux qui sont venus avec. Je les ai même mis tous en danger. T'as pas idée à quel point tout a dérapé et..."


Fin du message.
Pour écouter votre message, faites le 1, pour l'effa...

    J'avais raccroché avant de décoller ma tête de contre le mur. A proximité d'une poubelle, j'avais laissé tomber le portable dedans. J'en aurai plus besoin désormais. Je m'étais dirigé vers la porte menant aux escaliers et j'étais descendu jusqu'au rez de chaussé. Tout en bas des marches, il y avait encore une flaque d'eau. Ca nous poursuivait, où qu'on allait. Pour une fois, au lieu de faire comme si je n'avais rien vue, je m'étais arrêté devant la flaque et je m'étais accroupis.

    J'avais posé mon doigt dessus. C'était de l'eau, tout ce qu'il y avait de plus ordinaire, si ce n'était qu'elle était bien froide. Je l'avais portée à mes lèvres, avant de prendre un air de dégoût. C'était de l'eau salée. Qu'est ce que ça faisait là ? Je n'étais pas sûr de vouloir véritablement le savoir, mais allez savoir pourquoi, l'espace d'un instant, je m'étais demandé ce qu'en aurait déduis Loulou. Elle était du genre à fouiner de partout, à toujours chercher la petite bête.

    Le fait de voir ces flaques d'eau partout où on s'était rendu et de voir aussi ces buissons bouger, elle en aurait surement déduis quelque chose du genre que quelqu'un devait nous suivre. Elle aurait sans doute eu raison, car on était d'abord tombé sur Louise et ce Muerte, avant de rencontrer Alexis et Woody. Dans le cas de Louise c'était peu surprenant, vue qu'on venait de décoller de l'aéroport de Storybrooke, mais pour ce qui était de Alexis et Woody, ça n'avait plus rien à voir avec la ville. On les avait retrouvés bien plus tard, comme s'ils savaient qu'on allait passer par là.

    D'ailleurs Alexis m'avait frappée. Elle aurait pu taper sur n'importe lequel d'entre nous, mais ça avait été sur moi, comme si elle savait que ça me ferait rien. Et si... C'était peut être stupide de penser que quelque chose se préparait et qu'elle était mêlée à tout ça. Elle semblait si gentille, si...

    J'avais songé qu'elle était restée toute seule dans la chambre. Pourquoi ? Elle semblait fatiguée, c'était un fait, mais en même temps elle était restée volontairement à l'écart du groupe. Elle aurait eu largement le temps de descendre, mettre de l'eau en bas des marches et de... De faire quoi ? Embrasser Louise ? C'était pas elle qui avait merdé mais moi. Je me faisais des idées. Aucun coup se préparait. Elle devait sans doute être encore en train de dormir et Louise avait certainement quitté les lieux pour retourner chez elle. Mais il restait un doute... Un minuscule doute...

    J'étais resté quelques secondes, songeur, devant cette flaque d'eau, avant de remonter les marches le plus rapidement possible et de rejoindre la poubelle où j'avait jeté mon portable. J'avais feuilleté toutes les photos qui se trouvaient dedans, avant de trouver la bonne et de descendre une nouvelle fois les escaliers quatre à quatre. La flaque était toujours là. Cette fois ci j'étais passé devant elle sans me soucier. La poignée de la porte de l'escalier d'en bas était également mouillée, mais étrangement de l'intérieur. Comme si quelqu'un avec les mains mouillés n'était pas entré dans ces escaliers, mais les avait quitté. Fallait que j'arrête de penser à cette flaque d'eau et que je me concentre sur mon objectif.

    J'avais couru à travers le casino pour me rendre à l'extérieur. Une fois fait, j'avais regardé autour de moi. Il y avait des groupes de gens un peu de partout. Des chanteurs, des sdf, des vendeurs de divers objets. Il fallait que j'en ai le coeur net. J'avais pris mon portable et je l'avais tendu vers le premier groupe venu.

    "Vous l'avez vue ? Vous avez vue une fille brune sortir du casino ?"

    J'avais enchaîné les groupes en donnant le plus d'informations possibles que j'avais sur elle. Mais bien entendu, personne l'avait vue. Je me remémorais la phrase qu'elle avait dit. Comme quoi elle interdisait aux autres de la toucher, qu'elle ne voulait pas revivre ce genre de choses. Qu'est ce qui lui était arrivé ? Je l'avais faite souffrir sans doute plus que quiconque et à cause de moi elle avait revécue une très mauvaise période de son existence. Je ne voulais pas la voir partir sans m'excuser avant, sans lui dire que j'étais désolé et que je m'en voulais terriblement. Elle était peut être déjà loin d'ici ou peut être encore à proximité. Je devais la retrouver.

    "Plutôt petite, avec des arlequins souvent sur elle. Personne s'est approché de vous en vous proposant des arlequins ?"

    Personne avait reçu ce genre de propositions. Peut être qu'elle n'en avait plus sur elle.

    "...oui, elle n'a pas arrêtée de danser. Elle s'est donnée à fond."

    "Vous êtes sérieux ? Vous l'avez vraiment vue ? Et elle allait dans quelle direction après avoir quitté le casino ?"

    "Bien sûr mon petit gars que je suis sérieux! C'est exactement la même jeune femme que sur la photo! Elle a même retirée ses sandales pour mieux danser. Par contre, elle ne quittait pas le casino. Elle s'est plutôt dirigé vers lui juste après."

    "Vers le casino ? Vous êtes sûr ?"

    "Ouais, bien sûr ! Elle donnait l'impression d'être intriguée par quelque chose. Avec les amis on a trouvé ça bizarre, mais ça arrive souvent les gens qui viennent, ils dansent, ils vont ensuite boire un verre et..."

    "Ok ok, merci beaucoup ! Vers le casino alors !"

    Je m'étais dirigé une nouvelle fois vers le casino. Mais au lieu de rentrer dedans, j'étais resté au dehors à observer l'immeuble de bas en haut. Elle était peut être rentrée dans la suite, mais on l'aurait vue. Ou alors elle avait pris une autre chambre rien que pour elle ? Cela dit, vue qu'elle s'était fait kidnappée par ce Muerte, elle n'avait sans doute pas beaucoup d'argent sur elle, voir même pas du tout. Je n'avais pas prêté attention à si elle avait achetée un truc ou pas. Elle n'aurait pas pu payer une chambre dans cet hôtel, ce soir. Peut être qu'elle s'était juste assise autour de l'hôtel, quelque part, mais l'homme avait dit qu'elle était intriguée. Intriguée par quelque chose, mais quoi ?

    J'avais fait des aller et retour devant la façade du casino. Rien me paraissait suspect. La seule chose qui aurait pu l'intriguée, comme ça m'intriguait à moi même, c'était ces symboles sur la façade. Il y en avait de chaque côté. Un à proximité de la porte à gauche de l'entrée et l'autre à droite. J'en avais déjà vue des comme ça au manoir Blackstorm. Egéon m'avait dit que c'était des symboles qu'on trouvait un peu de partout sur les vieux monuments. Ceux là représentaient un homme debout sur une proue de bateau avec un objet que je n'arrivais pas à décrire et une sorte de trompette dans l'autre main. Il y avait un animal au loin, une sorte de dauphin et derrière une étoile à 8 traits. Des inscriptions étaient annotés, mais je ne savais pas lire le grec.

    Je me tenais debout devant l'un de ces deux symboles, quand en penchant un peu la tête, je m'étais demandé où menait cette porte. J'avais posé ma main sur l'un des battants et après une hésitation je l'avais ouverte. Elle n'était pas fermée. Je m'étais aventuré à l'intérieur. Il s'agissait d'un couloir qui menait à une autre pièce au fond. Un peu partout autour de moi, quelques gouttelettes parsemaient le sol. Ca y est, voilà que ça recommençait. Il ne pleuvait tout de même pas à l'intérieur à Vegas ?

    Une fois devant la porte, je l'avais ouverte. Je me trouvais désormais dans une sorte de salon, avec de très vieux meubles et une bibliothèque. J'essayais de faire le moins de bruit possible, tout en zieutant ce qui se trouvait là, quand mon attention fut attirée par un objet se trouvant dans la bibliothèque vitrée. Je m'en étais approché et je l'avais vue, ce qui m'avait fait sursauter !

    "Bon sang ! ... c'est toi..."
    dis-je en me tournant vers la jeune femme. Car une fois devant la bibliothèque vitrée, son reflet m'était apparu dessus. Mais que faisait elle là ?

    "Tu fais quoi ici Louise ?"

    Ca faisait tout bizarre de l'appeler par son prénom. J'avais tellement l'habitude de l'appeler Loulou, mais fallait revenir aux bases. En tout cas je l'avais retrouvée. Elle n'était pas partie. Mais une question se posait à moi : que faisait elle là ? Cherchait t'elle, elle aussi quelqu'un ?


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________________________________________ 2015-07-21, 03:26



Les Jeux Sont Faits !


Louise se redressa. ce n'était pas le moment. L'oreille tendue, silencieuse comme une sourie, elle se dirigea vers la porte que les hommes venaient de prendre pour coller son oreille contre le battant. Pas un bruit. Doucement, elle se mit a quatre pattes et regarda entre le sol et le battant pour voir si un garde n'était pas posté la. Rien. Louise poussa un soupire de soulagement et se redressa en époussetant ses genoux. Au moins elle était tranquille. Revenant dans la "bibliothèque", elle poussa la seconde porte et n'y trouva a son grand désespoir qu'une pièce tout a fait ... normale.
Elle revint dans la pièce principale quand tout a coup, un bruit se fit entendre sur la porte donnant sur l'extérieur. D'un bond, la princesse se plaça derrière la porte et se colla au mur en retenant sa respiration. Rapidement, quelqu'un apparut et s’avança dans la pièce avant de se tourner vers la bibliothèque. Reconnaissant Aaron, elle se détendit un peu, mais n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu'il se retournait.

D'un geste brusque, elle plaqua une main sur sa bouche.

"Chuuuuuuuuuuuuuut ... soit plus discret bon sang !"


Regardant autour d'elle, les oreilles grandes ouverte, elle resta quelques secondes immobile avant de se relâcher. Tsss ... on voyait bien qu'il n'avait jamais fait d’espionnage. Elle fronça les sourcils et le regarda le jeune homme d'un air sévère, lui faisant comprendre qu'il devait la laisser faire. Rapidement elle se dirigea vers la bibliothèque et en poussa la glace de verre pour attraper ce qui semblait tant avoir troubler le jeune homme.

"J'ai entendu le directeur discuter avec des types hyper louches, tot en noir. mais ils avaient de bons chapeaux. Bref, tout ca pour dire qu'ils lui ont dit que leur maitre voulait la sirène en échange d'un objet qu'ils avaient dans leur bac. Lui il a juste hocher la tête. Faut qu'on reste sur nos gardes."


La jeune femme, qui avait commencé a fouiller dans la bibliothèque, s’arrêta une seconde et se retourna vers Aaron.Dans ses mains : une boite a musique représentant une sirène dessus, et le demi dieu semblait clairement la connaitre.

"Tu sais d'ou ca viens ?"


Devant l'air qu'il affichait, elle soupira et observa la boite. C'était un coquillage surmonté d'une sirène. D'un geste doux, elle remonta le mécanisme et laissa quelques notes s'élever dans les aires avant de la ramener contre elle et de se re tourner vers la bibliothèque. Passant un doigts sur les couvertures, elle constata rapidement que toutes traitaient de sirènes. Elle en ouvrit un au hasard, puis un autre, constatant rapidement qu'ils étaient tous annotés. Repoussant les livres, elle en décala quelques un pour ... Bingo ! D'un geste triomphant, elle retira un carnet a l'air fatigué qu'elle ouvrit précipitamment. Yes ! Il était remplis de croquis, de notes dans une langue qu'elle ne comprenait pas, de ... Son regard s’arrêta sur les deux pyramides qui étaient dessinés sur les feuilles jaunies. Comme celles qu'ils avaient vue au temple ...

"Regarde ca" fit elle en se plaçant a coté du jeune homme. "C'est comme celles qu'on a vue au temple ... Tu comprends la langue ?"
"Non..."

"Ecoute, tu vas remonter, et prévenir les autres de ce qu'on a découvert. Faut absolument les mettre au courant ok ? Même si Melody est ... infernale, elle ne mérite pas de se faire vendre. Ils vont avoir besoin de toi, moi je reste la, j'ai encore des trucs a voir .... On se retrouvera dans la suite."


Il allait obéir. Il fallait les mettre au courant c'était vital. Si l'un d'eux était attaqué pendant qu'ils discutaient ici ...

"Pas sans toi."


Pardon ? La jeune femme le regarda les yeux ronds, avant de froncer les sourcils, l'air mécontente.

"Il faut qu'on reste ensemble, qu'on remonte tous les deux retrouver les autres et qu'on parte d'ici. Maintenant."
Dit il d'une vois gentille mais autoritaire.

Louise haussa un sourcil. Il essayait de lui donner un ordre ? Elle se mordit la levre une seconde, avant de planter ses yeux dans les siens, calme et apaisante.

"Je remonterai tout a l'heure, et les autres ont plus besoin de toi que moi. Je serai prudente promis. Je veux savoir."


Malgré son visage doux, son ton était sans appel. Elle ne bougerait pas d'ici tant qu'elle n'aurait pas toutes les réponses a ses questions. Trop de choses étaient en jeu, et si elle pouvait se montrer un tout petit peut utile, toute faible humaine qu'elle était, elle le ferait, même si ca la mettait en danger. Apres tout, elle s'en sortirai. Elle s'en sortait toujours de toute façon. Et puis elle était plus résistante que les autres non ? Mais le demi dieu ne 'entendait visiblement pas de cette oreille. Il la fixa, hésitant, avant de lâcher :

"Je ne vais pas m'excuser pour t'avoir embrassé."


La jeune femme se crispa. Il devait s'excuser la politesse l'exigeait. Et puis même, non pas que c'eut été désagréable, loin de la, mais par simple preuve de respect, il devait s'excuser. Aaron se mordit les lèvres avant d'ajouter, tendis que la princesse sentait l'agacement la gagner :

"Mais par contre je suis vraiment désolé, mais tu ne me laisses pas le choix."

D'un geste brusque il attrapa un presse papier sur le bureau et le balança avec violence dans la bibliothèque, faisant voler la vitre en éclats dans un fracas du tonner. Totalement pétrifiée, Louise fixa le désastre les yeux ronds et la bouche ouverte avant de suivre le jeune homme. Elle avança sur quelques pas pour lui faire croire qu'elle le suivait avant de s’arrêter brutalement et de faire demis tour. D'un geste brusque, elle plongea derrière la porte de la salle "fermée" entendant le battant de la porte extérieure qui claquait. rapidement elle passa la pièce au peigne fin, scrutant le moindre endroit pour y chercher une cachette. Entendant des ps dans la sale adjacente, elle n'hésita pas et plongea entre le canapé et le mur, la boite a musique et le carnet serrés contre elle.

Aussi silencieuse que possible,, le coeur battant a tout rompre, elle entendit les hommes fouiller les pièces avec soin, et aperçut plus d'une fois leur chaussures. Elle constata avec surprise qu'il s'agissait d'employés du casino et non des hommes en noir. Au bout de longues minutes qui lui parurent interminable, ils partirent. Louise resta immobile encore un long moment, s'attendant a ce qu'ils reviennent d'un instant a l'autre. Mais au bout d'un moment, il fut claire que personne ne viendrait. Saisissant sa chance, elle se redressa et avança a pas de loups vers le mystérieux couloir, ses trésors dans la main. Elle poussa doucement la porte qui était au fond et ... arriva au beau milieu du casino.

"Quoi ?!" Elle s'attendait aune piece secrète, un nouveau bureau, n'importe quoi qu lui permettrai de comprendre un peu mieux ! Elle avait pris tous ces risque pour rien et maintenant, il était hors de question d'y retourner, c'était trop dangereux. Rapidement elle regarda le sol et constata avec un certain agacement qu'il n'y avait pas la moindre trace d'eau dessus. Tsss... La princesse se dirigea vers la réception d'un pas vif, et alors qu'elle s'approchait d'eux, son visage se plus plus détendue, plus calme, plus joyeux. une véritable métamorphose.

"Bonjour, excusez moi de vous déranger, mais je voudrai louer un ordinateur portable s'il vous plait ..."


A peine eut elle prononcé le numéro de a chambre qu'on la servit avec une rapidité folle. Mr le Verrier avait du faire passer le mot. C'est avec une certaine amertume qu'elle monta a son étage, le cerveau en ébullition. Levant les yeux, elle aperçut Aaron qui l'attendait, appuyé contre la porte de la suite. Il ne dit rien, se contenta de la fixer avant de faire demis tour pour rentrer. Mais Louise ne le laissa pas faire. D'un geste brusque elle l'attrapa par le col et le plaqua au mur, ses yeux lançant des éclaires, avant de lui taper sur le torse avec son doigt, furieuse.

"T'avais pas le droit de faire ca ! C'était hyper dangereux bon sang ! Et si ils nous avaient chopés hein ? Qui aurait prévenue les autres ? Tu te rends compte de ce que tu as fait ?"


La jeune femme passa une main dans ses cheveux et croisa le bras, fixant le demi dieu d'un regard noire.

" Je sais parfaitement me débrouiller toute seule c'est compris ? Ne recommence JAMAIS a essayer de me forcer a faire quoi que ce soit. Jamais. "


C'était peut être ca qui l'avait le plus blesser. Qu'il ait encore voulu l'obliger a faire quelque chose. Ne pouvait il pas comprendre qu'elle ne voulait pas ? il ne pouvait pas au moins la laisser décider seule pour elle même ? Il ne lui faisait pas confiance ? Surement. mais quand bien même, elle ne laisserai personne décider pour elle.

"Ok."


Ok. C'était tout ce qu'il disait ? Ils ne se lâchaient pas du regard, tentants l'un et l'autre de vaincre. Lui voulait qu'elle comprenne qu'il avait fait ca pour son bien, tendis qu'elle ne lâchait pas car elle voulait que ca rentre dans sa caboche : On ne la forçait a rien. Les secondes s’enchainèrent dans un silence de mort, puis les minutes, seulement troublés par leurs respirations. Tout a coup, Aaron glissa une main dans sa poche et en sortit un arlequin. Qu'il lui tendit. Avec un petit sourire en prime.
Louise plissa les yeux et gonfla les joues avant de souffler. Sa main se posa sur celle du jeune homme.

"Tu triches..." lacha elle une seconde plus tard avec un micro-sourire avant de refermer ses doigts sur le bonbon pour le ramener a elle.

"Allez faut prévenir les autres.".

Aaron ouvrit la porte et Louise la passa, posant son ordinateur sur la table du salon pour l'allumer. Puis elle se dirigea vers les différentes chambres et frappa dans chacune d'elles en disant "Réunion stratégique ! Maintenant."
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________________________________________ 2015-07-21, 19:27





special trip to Las Vegas...

the closer you look, the less you see...



Glène recula, surpris par la réaction de Louise qui prit aussitôt la fuite. Glène voulut la suivre, mais Tara s'en chargea.
Il se retourna alors et vit Jézabel sur le podium du casino, en train de chanter une chanson que Glène ne connaissait pas -à vrai dire il ne connaissait aucune chanson moderne, ça ne l'aidait pas-. Au même moment Jézabel croisa son regard, avant que celle-ci ne s'approche de lui, pour l'emmener sur la scène avec elle.
Danser était d'ordinaire très gênant pour lui. Sur une scène ? Il n'osait même pas.

Glène tourna sur lui même pour continuer à regarder Jézabel, un léger sourire amusé, en levant tout de même les sourcils pour lui indiquer qu'elle devrait un peu se calmer, avec l'alcool qu'elle avait dans le sang.

Puis, après un dernier vers, elle prit son visage entre ses mains et l'embrassa. Elle était saoule, qui sait si elle était consciente de ce qu'elle faisait ou pas ? Mais pour Glène... C'était une énième explosion dans son coeur, qui rendait l'amour qu'il ressentait pour elle insoutenable, comme une souffrance trop lourde à porter en plus... Enviable.

Presque envouté, il ne put déloger son regard de la jeune femme, qu'il observa sans faire attention à qui que ce soit.
Il ne put s'empêcher de rire devant la petite blonde qui s'écroula violemment suite au pétard placé par Jézabel sous sa chaise. Il ne devrait pas, mais le spectacle avait été amusant, contre le gré de Glène.

Elle s'attaqua à un mec, ce qui le fit moins rire lorsqu'il suivit Melody et Jézabel, menaçant les filles en faisant craquer son poing dans son autre main. Glène s'empressa de les suivre jusqu'à l'extérieur du casino, et suivit le petit groupe jusque dans les chambres, réceptionnant Jézabel avant qu'elle ne s'écroule alors qu'elle descendait du dos du pauvre Aaron.

Elle tangua et s'accrocha à la première chose qui lui passa sous la main -ce qui fut à ce moment là les cheveux de l'arabe- avant de s'écrouler sur le lit et de se relever en ayant trouver un message.

Jézabel balbutia, ayant une grande difficulté à lire le papier. Glène s'approcha d'elle et lit par dessus son épaule, reconnaissant tout de suite l'accent du psychopathe qui les accompagnait depuis le début.

Muerte... s'énerva-t-il tandis que Jézabel hurlait à la fenêtre.

Puis, sans prévenir, celle-ci lui tomba dessus, tombant sur le lit.

Ouf !laissa échapper Glène qui se réceptionna une jambe en plein ventre. Jézabel arrête, tu...

La jeune femme essaya de lui retirer sa chemise, tandis que Glène crut entendre quelqu'un entrer. Il se débattit, mais le temps qu'il réussisse à se dégager, il n'y avait plus personne à l'entrée de la chambre.
Il se retourna sur Jézabel, la maintenant fermement par les épaules pour qu'elle cesse de bouger dans tous les sens.

Jézabel, tu es saoule, tu es fatiguée, tu ne peux pas faire ça, il faut que tu dorme, tu comprends ?

Glène était clairement amoureux d'elle, et le baiser du casino l'avait laissé dans tous ses états, mais ses sentiments pour elle l'empêchaient de faire ça. Il se sentit responsable d'elle, il refusa de profiter d'elle dans son état. Il tenait à elle et ne ferai pas ça.
En insistant du regard, Jézabel finit par s'écrouler de sommeil.

Calmée, Glène se releva et s'approcha de la fenêtre en refermant sa chemise. Il s'appuya, et prit une grande aspiration de l'air extérieur, ce qui lui fit à la fois du bien et qui lui arracha à la fois les bronches avec toutes cette activité automobile.

Il resta ainsi à contempler les lumières de la ville pendant de longues minutes, réfléchissant sur la situation, sur Jézabel, sur lui...
Tout ça devenait trop pesant. Il n'était pas prêt à tout dévoiler, mais il avait besoin de laisser tout ça sortir. Il profita alors du sommeil de Jézabel pour s'assoir à côté d'elle et lui souffler doucement, d'une voix fluide et basse, les mots qui serraient son coeur, tandis qu'il jouait avec son pendentif de crâne mexicain avec ses doigts, fixant tantôt le visage de Jézabel, tantot le bijou.

Je sais que je ne devrai pas... L'amour ne m'a jamais réussi. J'ai essayé pourtant. Mais j'ai pas pu lutter contre mes sentiments et me voilà de nouveau amoureux. C'est peut être fou... Mais je t'aime Jézabel.

Il lâcha le collier pour finalement passer la main sur son visage, le caressant tout doucement, fixant ses yeux endormis.

Ça me fait peur... Tout ça, c'est au dessus de moi. J'ai toujours perdu en amour, et te perdre toi, je ne le supporterai pas. C'est sûrement pour ça que je te fais ce dialogue de sourd. Pour me préparer. Ou pour me convaincre que tout ça est vrai. Raa, c'est fou, mais c'est tellement... Différent avec toi. Je... Je saurai pas dire ce que c'est, c'est tellement spécial, tellement fort. Peut-être qu'un jour, j'aurai le courage de te le dire vraiment, en face. J'aimerai savoir le faire. Ce me fait trop peur. Je t'aime et j'ai peur.... Pathétique n'est-ce pas ? Ouais... Je suis pathétique. Qu'est-ce qui pourrai te plaire de toute façon chez moi ? C'est sans doute pour ça, que je n'aurai jamais assez de courage...

Réunion stratégique ! Maintenant !Fit la voix de Louise à travers la porte.

Il regarda Jézabel. Elle était endormie, et quoiqu'elle pouvait entendre, elle l'oublierait sûrement le lendemain. Alors il posa un léger baiser discret sur ses lèvres avant de quitter la pièce à contre coeur, mais tout de même quelque peu soulagé.

Il entra donc dans la chambre dans laquelle tout le monde s'était réunit. Aaron et Louise affichaient un air grave, l'heure n'était plus à la rigolade. Alors qu'ils s'apprêtaient à commencer, Jézabel, qui avait entendu du bruit, entra difficilement dans la pièce, rétorquant quelque chose d'absurde pour s'assoir sur une chaise.
Pourvu qu'elle vient de se réveiller, se dit Glène.

Louise fut rapide lorsqu'elle fit son récit. Glène fronça les sourcils.

Si le directeur de l'hôtel veut la peau de Melody, on a qu'a partir de son hôtel, tout simplement.

Puis il se souvint d'un détail.

Oh, et Muerte nous a retrouvé, il est en ville. Melody et Jézabel s'étaient bien occupée de lui, mais il s'est délivré de son lampadaire et a réussi à donner un message à Jézabel. Une menace de mort. C'est d'ailleurs étonnant qu'il ai reporté son accent à l'écrit quand on y pense.

ATCHA ! Scuzi !

Surpris, le groupe regarda tous vers l'origine de l'éternuement, pour découvrir un bras dépasser de derrière le rideau. Glène soupira d'exaspération avant d'échapper un Boulet !.

Retenez le.

Tandis que les filles dégagèrent le rideau pour le prendre par les épaules, Glène tenta de le désarmer en lui tordant le bras.

Scuzi ! Ça fi mal ! Ça fi mal !

Glène lui tordit alors le bras dans l'autre sens.

Nooon ! Pas l'autre sens! Pas l'autre!

Après un second gémissement de douleur, il lâcha le couteau, que l'arabe ramassa pour le menacer. Il ne s'en servirait pas, mais Muerte n'était pas obligé de le savoir.

Qu'est-ce que tu nous veux ? Et pour qui tu travaille ? Interrogea-t-il alors.

Pour ki-ki je travaille ? bégailla le meurtrier.


Kiki ? C'est qui ça Kiki ?

Un pirate, d'après les autres. Mais Muette se reprit.

Pir personne ! J'y travaille pour mi ! Uniquement pour mi ! Et touah ! Ji vais t'y touai !

Il dit ça en levant le bras vers Jézabel, mais Glène le retint en lui donnant un coup de coude dans l'épaule.




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« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

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❝ Eau trouble ne fait pas de miroir...
Alors pourquoi je me reflète si bien en toi ? ❞


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| Conte : La Petite Sirène 2
| Dans le monde des contes, je suis : : Melody, la fille de Poséidon

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| Cadavres : 2082



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________________________________________ 2015-07-22, 13:24


Les Jeux sont Faits

So I wanna know... What's the name of the game? Does it mean anything to you?

Je comatais devant mon verre auquel je n'avais pas touché. Le cerveau en vrac, je tentai de repousser le flot de mes pensées incohérentes. J'aurais eu besoin d'une bonne nuit de sommeil, mais j'étais trop sur les nerfs pour dormir. Tara vint brusquement vers moi.

« J’ai pas retrouvé Louise… Je ne sais pas où elle est… C’est sûr ici hein ? »

Je lui décochai un regard en biais, à mi-chemin entre l'étonnement et l'irritation. Qu'est-ce qu'elle voulait que ça me fasse ? Louise a disparu, et alors ? Qu'elle crève... Que tout le monde crève et me fiche la paix.

"Ouais, c'est sûr ici." répondis-je d'un ton grinçant tout en passant le doigt autour du haut de mon verre. "C'est le monde des Bisounours, personne n'est méchant. Sérieux, tu fais exprès d'être aussi conne ou c'est un genre que tu te donnes ?"

Je ne mâchais plus mes mots. Quelle importance ? Je ne les reverrai plus jamais, tous autant qu'ils étaient. Je n'eus pas le temps de savourer l'expression à la fois révoltée et peinée de Tara que Jezabel surgit et me prit par le bras. Elle portait un chapeau vraiment hideux sur la tête, une sorte de faux gâteau d'anniversaire avec des bougies en coton. Je clignai des yeux et tentai de trouver tout ceci parfaitement normal.

"Péter les pimbêches ? Je suis !"

Elle m'entraîna à sa suite dans le tumulte du bar. Je ne savais pas en quoi ça consistait vraiment, mais je le compris très vite quand je la vis allumer un pétard qu'elle avait en main pour le placer sous le siège d'une jeune femme au look vulgaire. Ce dernier explosa en la faisant hurler. Elle avait des marques rouges au niveau des fesses, sous son mini short. Un ricanement joyeux s'échappa de ma gorge. Je croisai le regard complice de Jezabel qui me confia plusieurs pétards allumés. Prestement, je les lançai en l'air ou les jetai sur les autres nanas qui poussaient des couinements de souris terrifiées. C'était tellement... amusant. J'avais presque oublié ce que c'était. Bien entendu, des vigiles voulurent jouer les trouble-fêtes, mais c'était sans compter la rapidité de Jezabel. Elle nous mena hors de portée, vers Aaron qui nous faisait signe de monter dans les chambres. Je n'avais pas envie de mettre fin à ce jeu, mais avec tout le grabuge que nous venions de faire, mieux valait se faire oublier le temps d'une nuit. Je jetai un coup d'oeil par-dessus mon épaule et m'esclaffai discrètement en voyant les gardiens et autres barmans éteindre quelques flammes avec des extincteurs.

Je montai l'escalier quatre à quatre pour rejoindre Jezabel qui zigzaguait, complètement éméchée. La plus allumée de la soirée, c'était elle. Sans prévenir, elle sauta sur le dos d'Aaron qui manqua de tomber en arrière. Juste avant que nos chemins se séparent, je faillis lui demander si je pouvais dormir dans la même chambre qu'elle, mais je me ravisai. Elle avait son Minet, ils avaient sûrement des choses à faire tous les deux.

Un instant, je faillis redescendre. J'esquissai quelques pas en direction de l'escalier. Allais-je me risquer seule dans Vegas, en pleine nuit ? Un noeud me noua l'estomac. Cette ville ne me faisait pas peur. J'en avais déjà arpenté bien d'autres sans personne. Cependant, je me sentais lasse. J'avais besoin de repos.

Je retournai dans le couloir et me dirigeai jusqu'à la porte de ma chambre. Au moment d'abaisser la poignée, je frémis. Je craignais de trouver Aaron ou Tara de l'autre côté. Si j'avais eu de l'argent sur moi, je me serais prise une autre chambre, afin d'être sûre d'être seule.

La porte claqua contre le mur. Personne. Aucun bruit hormis le léger roulis du climatiseur. Je laissai échapper un léger soupir et entrai à l'intérieur. Là, je me laissai tomber sur le lit et m'enroulai dans le drap. Je m'assis en tailleur, la main refermée sur le médaillon en forme de coquillage que j'avais trouvé dans le temple de mon Père. C'était un tout petit coquillage doré sur lequel était écrit mon prénom en lettres élégantes. Je l'ouvris et contemplai la bulle qui venait d'apparaître au-dessus du médaillon, dans laquelle une sirène nageait devant les contours d'un palais aquatique. C'était chez moi. Là où je ne pourrais plus jamais retourner.

Brusquement, j'entendis du bruit. Je refermai le médaillon dans un claquement sec et le remis autour de mon cou, alors que la porte s'ouvrait sur Alexis. Elle me fixa avec de gros yeux, comme un poisson hors de l'eau. Que voulait-elle ?

" Je… euh… Je voulais savoir si ça te dirait d’aller te faire une virée dans Las Vegas avec moi ? Je viens juste de me réveiller, j’ai encore rien vu… Donc si ça te dit de venir avec…"

"Le prends pas mal, mais je suis un peu claquée. Et puis... j'ai déjà fait un tour en ville, y a pas grand-chose à voir."

J'espérais qu'elle n'allait pas prendre racine et vouloir qu'on parle de nos shampoings respectifs et de soins gommants pour le visage, car je n'avais vraiment pas la tête à ça. Peut-être que quelqu'un d'autre serait partant pour lui faire visiter Vegas.

C'est alors que Louise tambourina à la porte.

"Réunion stratégique ! Maintenant !"

"Depuis quand elle sonne la cavalerie, celle-là ?"
maugréai-je.

A contrecoeur, je repoussai le drap et me levai pour suivre Alexis jusqu'au salon de la suite. Louise était assise à table, face à un ordinateur. Aaron était plus loin, appuyé contre la large fenêtre. Tout le monde avait répondu présent. Je fronçai les sourcils. L'heure était grave ou quoi ? Tara avait besoin qu'on lui change sa couche et personne n'avait envie de s'y coller ?

Puis, Louise raconta ce qu'elle avait découvert. Je soutins son regard tout du long. Je me mordis les ongles et réfléchis à tout ça. C'était trop surréaliste. Pourquoi quelqu'un à Vegas voudrait une sirène ? Comment pouvaient-ils savoir ce que j'étais ? Je repensai à ma rencontre avec M. Le Verrier. Son air intense et avide, la façon dont il tournait la boite d'allumettes entre ses doigts pendant qu'il me parlait. Je frissonnai, mal à l'aise. Il savait déjà. Il m'avait adressée la parole comme un prédateur apprend à connaître sa proie pour mieux l'amadouer.

Le Minet proposa une idée mais je secouai la tête. Je n'eus pas le temps de m'expliquer qu'un drôle d'éternuement retentit. Je me tournai vers l'origine du bruit et vis un bras dépasser d'un rideau. Je roulai des yeux et envoyai un regard complice à Jezabel, qui était la plus près de moi. D'un même élan, on dégagea Muerte du rideau et le Minet me surpris en envoyant valser le petit poignard que le "meurtrier" avait en main. C'est qu'il avait de la ressource ! Muerte certifia qu'il travaillait à son compte. Je le fixai intensément et déclarai :

"Il dit la vérité. Il a bien trop peur pour mentir."

"Ji n'ai pas peur ! Ji suis Muerte ! Ji vais té touer aussi !"

Comme Glène l'immobilisait toujours, il leva les jambes dans ma direction pour me donner un coup de pied, sauf qu'il leva les deux en même temps. Résultat : il tomba sur les fesses et entraîna le Minet dans sa chute. Je secouai la tête et les laissai s'amuser tous les deux pour me tourner vers Louise et Aaron. Détectives, enquêteurs et duo de choc. J'avalai ma salive et tentai de rester de marbre tout en disant :

"Ca ne sert à rien de partir. A mon avis, si on essaie, le directeur et ses employés nous en empêcheront. Ce n'est pas ce qu'il a déjà fait, Aaron ?"

Ce dernier avait mentionné son entrevue avec M. Le Verrier devant l'ascenseur, quand il avait souhaité abandonner l'idée de ce voyage.

"Nous sommes pris au piège.
" conclus-je avec une moue soucieuse.

Je portai une main à mon médaillon et passai le pouce contre les reliefs du coquillage doré. Ca m'aidait à me concentrer, même si ce n'était pas évident de le faire avec les couinements de Muerte en bruit de fond.

Je m'approchai de la table sur laquelle était posée la boite à musique. Je l'effleurai du bout des doigts. Puis, sans un mot, j'enlevai mon médaillon pour l'ouvrir dans ma main et leur laisser voir la bulle dans laquelle nageait la sirène avec le palais aquatique. Ces deux objets venaient du même créateur, c'était certain. Les mêmes notes de musique s'en échappaient. Ma mélodie.

"Père laisse son empreinte partout où je me rends pour que je puisse le retrouver..."
murmurai-je à moi-même.

Une vague d'anxiété et d'excitation me parcourut. Je ne savais pas si j'étais bouleversée ou angoissée. Sans doute un peu des deux. Je caressai la boite à musique avant de refermer mon médaillon.

"On ne peut pas partir, alors on va découvrir ce qu'ils me veulent."

Mon attention fut subitement attirée par un carnet usé qui traînait sur la table. Au moment de m'en saisir, je sentis Louise se raidir sur sa chaise et me lancer un regard méfiant.

"Ca va, je vais pas le bouffer !"
fis-je sèchement.

Je le feuilletai lentement, découvrant des annotations en grec incompréhensibles. Mon sang se figea dans mes veines en voyant les silhouettes jumelles des pyramides. Celles qui se trouvaient devant le temple du Triangle des Bermudes, sous l'océan.

"Les pyramides en cristal."
murmurai-je.

Je refermai le carnet et le reposai, après avoir jeté un regard suffisant à Louise. Puis je me tournai vers les autres, les mains appuyées contre la table derrière moi.

"Si je sers d'appât, on saura ce qu'ils me veulent. On découvrira le fin mot de l'histoire. C'est risqué mais... dans tous les cas on est déjà dans le filet du pêcheur."

Muerte avait la tête appuyée contre la moquette, et marmonnai des menaces sans aucun sens. Je lui donnai un petit coup de pied pour me détendre un peu.

"Vous pourrez me sauver si jamais ça tourne mal. Enfin... si vous en avez envie."

J'avais chuchoté les derniers mots tout en baissant la tête. Je savais que je ne méritais pas leur aide. Ils pouvaient se contenter de découvrir le pot aux roses et me laisser à la merci de M. Le Verrier. Je n'avais absolument rien fait pour mériter leur soutien. Bizarrement, je ne regrettais rien. Je ne pouvais tout simplement pas jouer à l'hypocrite.

A cet instant, quelqu'un frappa à la porte. Je sursautai et les mains crispées contre la table, je laissai échapper dans un souffle :

"C'est eux..."
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________________________________________ 2015-07-23, 02:46


The game is made
Welcome to Las Vegas ..
.



Qu'est-ce que je fabriquais déjà ? Je ne sais pas, j'avais la vision vague et je sentais de bouffer de chaleur me monter à la tête. Et en cet instant, tout ce que je voulais, c'était Glène pour moi toute seule. Alors je tombais sur lui dans le lit, et mes mains vinrent se balader sur son tee-shirt. J'agrippais le tissu et le remontais vers le haut avec un gros sourire. Mais il ne semblait pas d'accord, et il me prit les poignets pour rabaisser son tee-shirt. Ah non pas question ! J'essayais de chercher ces lèvres pour poser les miennes, désireuses d'aller plus loin, mais il écarta la tête, et j'embrassais lamentablement l'oreiller. Je tournais un regard stupéfait vers lui. Je n'avais pas dit mon dernier mot ! Me relevant un peu trop rapidement, je le saisis par la colle et tombais de nouveau sur le lit avec lui à Cali fourchons sur moi. Je laissais des plaintes envahir ma bouche, attrapant de nouveau son tee-shirt que je remontais encore et toujours vers le haut. Il se débattit, il avait de la force quand même ! Je crus entendre la porte s'ouvrir et une voix s'élever. Mais à vrai dire j'étais tellement dans les vapes, que voir un lutin traverser la pièce ne m'aurait pas étonné. Il tentait d'abaisser son tee-shirt, alors que moi, j'essayais de le remonter. Pendant ce temps-là, une belle vue pas du tôt déplaisante me fit roucouler : Il avait de ses abdos ! Vraiment, mais alors bien dessiner. Trop fasciner par son corps, je lâchais son tee-shirt pour toucher les tablettes de chocolat Milka qu'il possédait.

On était maintenant à genoux sur le lit l'un en face de l'autre, mais ses mains vinrent brusquement me prendre les épaules fermement. Je sursautais en le regardant abasourdis. Ces yeux expliquaient clairement qu'il ne voulait pas. Jézabel, tu es saoule, tu es fatiguée, tu ne peux pas faire ça, il faut que tu dormes, tu comprends ? Non, je ne comprends pas. Moi je te veux toi et toi, tu ne veux pas. Je fis une petite moue et dégageais ses mains d'un geste impulsif. Je lui jetais un regard noir avant de m'allonger sur le lit. le pire, c'est que je l'écoutais quand même. Je sentais de la rage me brûler l'esprit, tandis que des flammes flambaient dans mes pupilles. De toute manière, quand j'étais en colère ou énerver ça se voyait : y avait toujours des flammes qui dansaient dans mes yeux, des vrai. Et pour le coup plus je ruminais, plus je les sentais intenses. Je ne sais pas pourquoi mes yeux s'enflamment toujours quand je ne suis pas contente. Ça devait être lié à mon pouvoir de maîtriser le feu. Croisant les bras comme une petite fille, j'entrepris de bouder en faisant la moue. Quand j'étais soûle je me jetais sur tout ce qui bougeait, C'était juste l’influence de l'alcool parce que sobre, jamais de la vie je coucherais avec n'importe qui.

▬ « D'accord j'ai compris. Je suis qu'une idiote et toi t'est clairement pas intéressé. C'est parce que je suis morte, c'est ça ? C'est sûr que je vaux moins qu'une vivante, de toute manière.» Piquante, vexante, je le fixais un bon moment, les yeux toujours flamboyants de flamme. L'alcool me rendait méchante et avide de luxure. S'en était presque qu'atroce, sachant que j'allais regretter mes paroles une fois décuvée. Je me tournais dos à lui, en marmonnant des mots intelligibles. Quand j'étais en colère, je disais aussi des choses méchantes. Mais c'était que la colère qui parlait, rien d'autre. Et comme il ne voulait pas de moi, cela me vexa profondément. Assez, pour que je ne veuille plus lui parler. Mais que les garçons sont stupides ! Je me tournais à lui, saisie l'oreiller et lui balançais en pleine tête, mécontente. Après un regard qui en disait long, mes mains attrapèrent l'autre et je calais ma tête dessus. En fait, ça me rendait presque triste qu'on me rejette comme ça. Parce que j'étais morte, on ne voulait pas de moi. Mais qu'est-ce que je vaux de plus qu'une vivante ? C'est pareil, la différence, c'est un cœur qui bat ! Même si maintenant j'en possédais un. Avant personne ne me résistait.

▬ « Je suis peu être la mort mais je suis normal ! Y aucune différence avec ces stupides mortels en jupe courte ! » Fils-je de nouveau. Puis, j'entrepris de me calmer. Parce que ce n'était pas bien de laisser des flammes brûler dans mes yeux aussi longtemps. Je regardais le mur et tentais de me calmer. Je soupirais et fermais les yeux. Le sommeil me tomba dessus aussitôt, remplaçant la peine et la blessure par un sentiment neutre et rêveur. Pourtant, les rêves ne tardèrent pas à m'assaillir. J'entendais une voix résonner, elle me semblait claire et hésitante, presque réelle. Mais c'était qu'un rêve, non ? Je sais que je ne devrai pas... L'amour ne m'a jamais réussi. J'ai essayé pourtant. Mais je n'ai pas pu lutter contre mes sentiments et me voilà de nouveaux amoureux. C'est peut-être fou... Mais je t'aime Jézabel. Oh mon Dieu, ils étaient forts ces cocktails. Ils me faisaient faire des rêves bizarres. Non parce qu'il était clair que Glène ne m'aimait pas. Il ne m'aurait pas repoussé sinon. Il ne voulait pas de moi, je suis sûre que c'est parce que j'étais la Mort. C'est pour ça que la première fois que j'ai couchée avec lui, j'ai pris une apparence humaine. Pour pas lui faire peur, pour pas qu'il ne me déteste pas la suite. Ça me fait peur... Tout ça, c'est au-dessus de moi. J'ai toujours perdu en amour, et te perdre toi, je ne le supporterai pas. C'est sûrement pour ça que je te fais ce dialogue de sourds. Pour me préparer. Ou pour me convaincre que tout ça est vrai Raa, c'est fou, mais c'est tellement...

Oula, mais ils ont mis quoi dans ces cocktails ? Ça devenait étrange, vraiment étrange. Différent avec toi. Je... Je saurai pas dire ce que c'est, c'est tellement spécial, tellement fort. Peut-être qu'un jour, j'aurai le courage de te le dire vraiment, en face. J'aimerais savoir le faire. Ce me fait trop peur. Je t'aime et j'ai peur... Pathétique n'est-ce pas ? Ouais... Je parierais sûr de la barbe-à-papa et de la vodka. Ou bien du whisky. Je suis pathétique. Qu'est-ce qui pourrait te plaire de toute façon chez moi ? C'est sans doute pour ça, que je n'aurai jamais assez de courage... Et si y avais eu du cannabis ? Et si j'étais droguée et je me mettais à halluciner d'un Glène amoureux ? Oui, je crois qu'ils ont clairement mis du cannabis dans mon verre. Ah, mais non, le cannabis ça se fume… bah, y a des tonnes de drogue dans les cocktails et par moments, on ne les voit pas ! Des lèvres ces posèrent contre les miennes. Un rêve de plus en plus hors de sens. Des portes se claquèrent dans la suite. Si bien que je fis réveiller en sursaut. Je redressais la tête, les yeux alourdis de sommeil. Je posais mes mains sur mes yeux et me les frottais pour évacuer la fatigue qui tentait de me ramener une nouvelle fois dans le pays des rêves. Un mal de crâne me prit sévèrement les neurones, arrachant un juron. Je me sentais un peu mieux. Encore un peu dans les vapes, mais mieux. Je savais que mon organisme n'était pas composé comme celui des autres. Et du coup, mon système évacuait plus rapidement l'alcool que ceux des personnes normal.

Je fis basculer mes pieds sur le sol en grognant. Malheureusement, j'avais la vision de toutes les conneries que j'avais commise. Et comme je n'avais pas encore totalement décuvé, je fis un sourire crétin en me voyant sur le taureau, en train d'exploser les pimbêches et j'en passe. Mais par contre, j'étais encore et toujours en colère contre Glène. Heureusement pour lui, la micro sieste que je venais de faire m'avais totalement calmée. Et le rêve que j'ai fait m'a perturbé au plus au point. Je saurais dire si c'était le cocktail qui m'avait fait rêver d'un pareil truc, ou bien si j'avais tellement été blessé que j'avais rêvé d'un Glène amoureux de moi. Je me frottais de nouveau les yeux, je sentais mon cerveau s'alléger petit à petit, excluant l'alcool dans mon organisme. Et j'avais l'impression qu'on me frappait la tête tellement j'avais mal. Avec un soupiré las, je me relevais et ne bougeais plus. Des tâches noires m'assaillaient la vision et un vertige me prit. Je me tenais à la commode, le temps que ça passe. J'avais l'impression qu'on me serrait le cerveau. Une fois passée, je relâchais la commode et avançais vers la porte. Je crois que j'avais fait fuir Glène après mes propos blessants. Quand j'ouvris la porte, ils étaient tous dans le salon, et ils me regardaient tous. Quoi ? Qu'est-ce que j'ai encore fait ? Quoique, vu la tête des autres ça n'a pas l'air d'être moi le problème… Glène passa un regard sur moi. Toujours en colère – et toujours soûl- je passais devant lui et vint m'installer près de Melody.

Je faisais encore un peu la tête, mais je tentais de le cacher. Je n'avais pas envie que les autres soupçonne quoique se soit. Louise fini par nous raconter qu'elle avait découvert le directeur du casino avec des personnes. Il voulait enlever Melody. Toute trace de colère c'étaient évaporer. Je considérais Melody comme une amie. Et toute personne essayant de faire du mal à mes amies étaient clairement dans la merde. si le directeur de l'hôtel veut la peau de Melody, on a qu'à partir de son hôtel, tout simplement. Totalement absurde. Il nous laissera jamais partir. Puis Glène se mit à raconter ce qu'avec Melody nous avons fait à Muerte. Un sourire de vainqueur étirait mes lèvres. Alors celui-là, que du gâteau pour le vaincre ! Sauf si un jour, il a un pistolet en main. Remarque, avec ma super vitesse, j'aurais largement le temps de partir pendant le coup de feu et arrêter la balle. Eh oui, la super vitesse se sert ! Je vais me transformer en super-héros si ça continue. Flashette ! Ah non, c'est moche. Fleshette ? Oh par pitié, je ne suis pas un jeu de flèche ! Ah bah, je ne sais pas alors, j'étais encore trop dans les vapes pour me trouver un surnom qui tue. Un éternuement sonna dans la pièce. J'observais tous les visages pour voir d'où ça venait. mais ça ne venait clairement pas de là. Muerte apparut derrière le rideau. Quoi ? Mais il fait quoi encore ici celui-là ! Je le pensais pendu à son lampadaire bouffé par des corbeaux ! Bon sang, c'était ma soirée.

Avec un regard complice envers Melody, on le chopait toutes les deux. Moi, je le saisis par le bras et le maintenant fermement. Glène nous dit de le retenir et d'un coup, il lui désarma le bras. Wouah. C'est qu'euh… Bah, il était doué quand même ! Mais bon, il ne m'aimait pas alors je devais arrêter de m’émerveiller devant lui comme une petite fille. Puis il lui tordit le bras dans l'autre sens, faisant de nouveau hurler l'homme. Vous pensiez qu'il était tellement en colère à cause de mes propos qu'il se défoulait sur Muerte ? Je crois que c'était une supposition tout à fait plausible. Glène l'interrogea, lui demandant pour qui il travaillait. Muerte répondit qu'il travaillait pour son propre compte. Avant de se tourner vers moi avec un regard assassin. et touah ! Ji vas-tu-y touais !

▬ « Je ne suis pas clairement pas d'humeur ! » M'écriais-je en lui donnant un coup de pied dans le ventre. L'homme s'effondra en poussant un crie de douleur. Je me tournais vers les autres, les yeux remplit de flammes. Les dévisageant tous, je me jetais sur le canapé, assise, et croisais les bras avec colère. "Il dit la vérité. Il a bien trop peur pour mentir. Muerte tenta de lui donner un coup de pied et se ramassa sur les fesses. Je laissais un ricanement m'emporter. J'avais juste envie d'exploser quelque truc, de libérer la colère qui me rendait furibonde. Et le truc, c'est que tant que je ne serais pas calme, mes yeux seraient toujours autant remplis de flamme. Alors essayé d'imaginer une petite fille assise en train de bouder avec des flammes qui crépitaient dans ces yeux. Oh bah voilà, vous avez l'identification parfaite de moi. "Nous sommes pris au piège." La voix de Melody réussit à me faire redresser la tête, un visage peiné. Elle s'approcha de la boîte à musique et prit son médaillait qu'elle ouvrit. À partir de ce moment, toute trace de colère déserta mes sentiments, consumant les dernières flammes présentes dans le creux de mes pupilles. Je me levais fasciné par l'étrange objet. Il y avait une bulle, avec un magnifique royaume. Une mélodie s'échappa de l'engin, une douce mélodie qui était plaisante à entendre. "Père laisse son empreinte partout où je me rends pour que je puisse le retrouver..." Et je ne sais pas pourquoi, mais je pris Melody dans mes bras. Je ne voulais pas qu'elle soit triste. Même si elle était un peu asociale, tout le monde avait besoin de réconfort à un moment. Qu'il soit méchant ou gentil. Je me reculais avec un petit sourire, un regard compatissant pour lui montrer que j'étais à fond avec elle, quoi qu'elle décide.

"On ne peut pas partir, alors on va découvrir ce qu'ils me veulent." De l'aventure ! Cela réveilla mon excitation, mon envie de creuser du mystère, mon envie avide d'en vouloir plus et toujours plus. Melody se dirigea vers un carnet qu'elle prit dans ses mains. Elle fit une remarque à Louise qui semblait ne pas être d'accord sur le fait qu'elle se saisisse de son carnet. Elle marmonna des choses que je ne comprenais pas. Une histoire de pyramide, quelque chose comme ça. Ça allait trop vite pour moi, et mon pauvre mal de crâne qui me frappait les tempes. "si je sers d'appât, on saura ce qu'ils me veulent. On découvrira le fin mot de l'histoire. C'est risqué, mais... Dans tous les cas, on est déjà dans le filet du pêcheur." Muerte s'asticotât dans son coin, et Melody lui mit un coup de pied dans le ventre. Je laissais échapper un " Ah !" Cynique, les yeux moqueurs. "Vous pourrez me sauver si jamais ça tourne mal. Enfin... Si vous en avez envie."

▬ « Bien sur ! Il est hors de question de laisser ces mollusques te tuer ! Et pis si vous ne voulez pas moi je m'en fiche, j'irais toute seule ! » Déclarais-je en lançant un regard de défi, avertissant que quiconque tentera de m'en empêcher devra me passer sur le corps. Je m'approchais de Melody et mis ma main sur son épaule avec un sourire. « Tu peux compter sur moi ! » Comme c'est mignon. On se croirait dans un film de bisounours avec les héros qui gagne. Des coups s'abattirent contre la porte, faisant sursauter Melody. Je coulais un regard vers les autres. Personne ne semblait vouloir se déplacer pour répondre. Alors, je décidais de prendre l'initiative de le faire. Je n'avais pas peur. Qu'ils viennent tiens ! Je vais les transformer en fromage et les manger un par un. Je fis quelques pas vers la porte. Je préparais ma main qui me démangeait un peu trop depuis quelques minutes. J'étais toujours en colère et terriblement blessée. J'avais juste envie de me faire la main sur quelque personne, évacuée cette colère qui me rongeait l'esprit. La porte s'ouvrit sur un homme habillé en agent de sécurité. Attendez. UN homme ? Ils sont ou les autres ? Mais ce n'est pas bien ça, moi, je veux me battre. J'ai terriblement besoin de me défouler. Quoi, rancunière ? Même pas. Si, en fait. Un peu trop. D'accord, beaucoup ! Irriter, je rebaissais ma main que j'avais commencé à faire chauffer.

"M. Le Verrier tient à informer M. McAdams que la salle pour le show est prête. Si vous voulez bien vous donner la peine de me suivre..."

Je me retournais vers Aaron. Quelle salle ? Je lui lançais un regard interrogateur. Tout le monde semblait méfiant. Je soupirais.

▬ « Faite ce que vous voulez, moi je le suis ! Plus vite on découvrira les choses, mieux on pourra agir ! » Sur ce, je sortis de la suite pour m'aventurer dans le couloir. J'entendais des pas derrière moi, m'indiquant qu'ils suivaient tous. L'agent de sécurité nous fit descendre quelques escaliers. Puis, on revient dans un long couloir avec des serveurs qui portaient des plateaux avec des nouveaux cocktails. Je fus affreusement tentée. Juste parce que j'étais en colère. Je ne suis pas alcoolique, loin de là. C'est juste que des cocktails pareils, je n'en retrouverais pas en arrivant à Storybrooke. Et j'avais envie d'oublier encore une fois la peine qui m'envahissait. Alors, ma main serpenta entre les verres pour saisir une coupette. Mais un claquement s'écrasa sur mes doigts. Je me tournais vers l'auteur qui ne voulait apparemment pas que je me désaltère de nouveau.

▬ « Ehhhh ! » Me plaignit-je. Voyant son regard mauvais, je n'insistais pas et repris mon chemin vers l'homme. On s'arrêta devant un ascenceur. Oh non pas les ascenceur. J'ai peur des ascenceurs. Pire, j'ai horreur de ça. Je m'arrêtais brusquement devant le seuil, en le regardant avec des yeux dilatée de frayeur.

▬ « Ah non ! Il est hors de question que je rentre là-dedans ! C'est tout petit et si ça s'écrase, je ne peux pas me sauver ! » M'écriais-je en faisant des mouvements dans tous les sens. On me tira le bras en insistant. Mes pieds dérapèrent dans l'énorme boite qu'était l'ascenseur, et je me retenais aux portes en hurlant.

▬ « NOOOOON JE VEUX PAAAAAS ! » Hurlais-je paniquer en passant la tête à l'extérieur, essayant de me défaire de l'emprise qui m'attirait dans cette cage. Une deuxième poigne se referma sur mon autre bras et en trois temps mouvement, je me retrouvais entre quatre murs. Terriblement stresser, je m'agrippais à la rembarque le cœur battant à tout rompre.

▬ « Je vous déteste tous. Je me vengerais. »Fils-je boudeuse, comme une petite fille de huit ans. Je sentis l'engin partir, et la panique me gagna de nouveau. Tremblotant, je serrais la rembarre jusqu'à blanchir mes jointures. Un mouvement bizarre me fit comme une vague dans la tête, comme ci mon cerveau venait de monter et descendre. Puis un ding! Nous indiquâmes qu'on était arrivés. Les portes s'ouvrirent et je me dirigeais à toute vitesse dehors. Je ne vis pas le mur devant moi et je me le pris en pleine poire. Avec un gémissement, je me frottais le nez. Saleté de mur ! Saleté d'ascenseur ! Saleté de situation ! Saleté d'amour ! Voilà, je passais ma rage intérieurement sur tout ce que je pouvais trouver. Je levais la tête et remarquais qu'on était à l'étage -1. -1 ? Ça existe, ça ? Oh, à ce stade, je ne faisais plus attention à rien. Je suivis l'homme et nous arrivions dans une immense salle de spectacle. C'était une grande salle de spectacle en cercle avec des chaises comme dans les théâtres placés tout autour de la scène. J'étais époustouflé par autant de grandeur. La scène se trouvait au milieu. Je notais aussi les chances de sorties : par deux petites portes en bois, par le grand rideau d'où viennent les artistes. Géniale. C'était rassurant, tout ça. Mais cette salle vide ne me disait rien qui vaille. L'éclairage était doux. Je tournais un regard intrigué vers Aaron. Mais il n'avait pas l'air tranquille. Ce qui accentua l'inquiétude qui commençait à me saisir.

▬ « Dis-moi Aaron, pourquoi y a personne dans la salle ? T'as prévu quelque chose ou ça sent le piège ? » Demandais-je, le regard qui arpentait chaque pièce de la salle. Il se tourna vers moi, avec le regard qui voulait dire ''J'en sais pas plus que toi "

"Ben euh... ouais y a personne normalement. Mais euh... je sais pas."

Ah d'accord, tu m'aides beaucoup ! Mes yeux s'arrêtèrent sur une batterie qui dominait la scène. J'avais énormément envie de toucher les baguettes et des frapper avec énergie sur les espèces de tambours. Oh non, je ne devais pas... Après tout, y avais personne ! Regardant de gauche à droite, j'utilisais ma super vitesse pour arriver en deux trois mouvements sur la scène. Elle était énorme et grande. Je pouvais apercevoir les autres au loin. Je m'approchais de l'instrument de musique et pris place sur le siège. Tout excité est le cœur qui faisait des palpitations, je pris les baguettes. Retrouvant ma bonne humeur, j'abattais les bouts de bois sur la surface faite pour. Un bruit retentit dans toute la salle, tandis que je frappais avec énergie, tantôt les petits tambours, tantôt la grosse cloche dorée. J'effectuais des bonds en sautillant, oubliant pendant quelques instants le problème qui nous avait amenés ici. Oui, je faisais de la batterie, et alors ? Une des portes sur la gauche d'Aaron s'ouvrit. Je me stoppais direct, assise sur mon siège. Je dévisageais l'homme qui refermait la porte et qui s'appuya contre le mur. Il était habillé de noir et portait des lunettes de soleil. Soudainement anxieuse, je revins à toute vitesse vers les autres. En face, un nouvel homme apparut, effectuant la même chose que son copain Men in Black. Un Clic! Retentit de la porte par laquelle ont été entrées.

▬ « On nous a enfermés ! » Devinais-je, inquiète. La lumière diminua, à tel point qu'on ne voyait pas beaucoup, mais assez pour distinguer les hommes. J'aimerais créer de la lumière. Mais je n'ai pas le droit d'utiliser mes pouvoirs ici. Même si je l'ai fait plus d'une fois. Mais bon, la prison olympienne ça m'intéresse pas vraiment vous voyez... Sauf si Aaron me le demande, je ne créerai pas de flamme pour éclairer la pièce. Un spot illumina alors la place qu'on occupait. Soudainement aveugler, je portais mon bras devant moi pour me protéger de la lumière, plissant les yeux. Un autre spot s'alluma et éclaira un homme qui venait d'apparaître au rideau. Il descendit de l'estrade et s'approcha de nous. Je le dévisageais, méfiante. Il avait pourtant un air amical, mais je ne sais pas pourquoi je me méfiais.

"Allez-y. N'hésitez pas à commencer. J'aimerais profiter du spectacle avant de vous offrir le mien."

Pardon ? Je fis les gros yeux pendant que monsieur alla s'asseoir sur le siège. Je regardais les autres sans comprendre. Est-ce qu'on devait faire quelque chose ? Ou bien c'était un nouveau piège, une chance de l'impressionner ou de faire un dernier Show avant que l'autre ne nous tue ? Je me mis à réfléchir à toute vitesse. J'avais retrouvé mes esprits.

▬ « Eh bien, si monsieur veut du show ... » Murmurais-je, une lueur pétillante dans le regard. Je jetais un coup d'œil brillant à Aaron l'air de dire " Je peux ?'' Puis je me dirigeais à toute vitesse vers ma batterie. Je repris ma place et claquais mes baguettes sur les pots, effectuant une nouvelle mélodie. Je frappais avec énergie, bondissant de mon siège, frappant tantôt à gauche, tantôt à droite, claquant contre l'espèce de cloche qui retentissait plus que les autres.


Louise Hollen
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Louise Hollen

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He had beautiful eyes. The kind you could get lost in.. and I guess I did.

| Conte : Les douze fréres / Les cygnes sauvages
| Dans le monde des contes, je suis : : Elisa : la soeur

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________________________________________ 2015-07-23, 16:04



Les Jeux Sont Faits !


Elle avait allumé l'ordinateur et leur avait raconté ses découvertes, pianotant sur le clavier, tout en les surveillant du coin de l'oeil, des fois que l'un d'eux aurait encore envie de l'embrasser. A coté d'elle, son sac,qu'elle avait récupéré dans sa chambre. Louise avait posé le carnet et la boite a musique sur la table, et répondit rapidement au mail affolé de Diane.

Hello !

Désolée de mon absence j'ai eut un imprévu. T'en fais pas je suis en vie, je te raconterai en rentrant, promis ! Je suis avec Aaron et un groupe de gens de Storybrook, je crois qu'ils faisaient une petite sortie en groupe. J'ai eut de la chance de tomber sur eux !
Sinon, j'ai découvert un truc intéressant, tu pourrai faire des recherches pour moi s'il te plais ?

Connaissant Diane, mieux valait ne rien dire a propos de Muerte ou de Melody. Elle devait déja se faire un sang d'encre, c'était inutile de l'ennuyer d'avantage. A l'aide de la webcam, elle prit en photos quelques pages du carnet, dont celle des pyramides, quand tout a coup, Muerté apparut de derrière un rideaux. La jeune femme regarda un instant les autres batailler avec lui, mais en voyant qu'ils se débrouillaient bien, elle revint a son activité. Elle avait plus important a faire.

J'ai trouvé ce carnet, j'arrive pas a comprendre un traitre mot de ce qui est écrit. J'ai l'impression que ou que j'aille, il y a les dieux. bref je compte sur toi ! Embrasse tout le monde a la colloc pour moi, faut que j'y aille, bisou !

et ne t'en fais pas pour moi, je m'en sort toujours ;)
Bisou, Louise

La princesse avait écouté la conversation d'une oreille, quand tout a coup Melody apparut a coté d'elle. Le médaillon qu'elle portait était celui qu'ils avaient trouvé dans le temps aux pyramides. Comme d'habitude tout était lié. Lorsqu'elle tendit la main vers le carnet, la princesse se crispa. De plus en plus, elle se disait qu'effectivement, l'idée de Melody selon laquelle son père était en vie n'était pas si absurde que ca. Mais elle n'avait pas confiance en la sirène. Qu'est ce qui lui disait qu'elle n'allait pas décider de garder le carnet pour elle ? Non, elle finit par le reposer. Immédiatement, Louise le fit glisser vers elle. La brune l'avait marqué, elle ne l'oubliait pas.

D'un geste, elle le ramena vers elle, avant de le faire glisser dans son sac, ou reposaient toutes ses affaires, et leva les yeux au ciel en entendant les paroles de la sirène. Comme si elle allait faire ca. La brune avait beau être une peste, ce n'était pas le genre de Louise. Tout a coup on frappa a la porte. D'un geste, Louise attrapa la boite a musique et la fourra dans son sac avant de se tourner vers la porte.

"Mais non," fit elle a Melody tout en observant Jezabel ouvrir la porte. Non, ils n'allaient pas venir la chercher maintenant ce serait beaucoup trop illogique. Et stupide, il y avait des civils partout autour. Et pour autant qu'elle le sache, tout ce qu'elle avait découvert avait été fait de manière le plus discrète possible.

Louise se leva, éteignit l’ordinateur qu'elle posa dans sa chambre. Puis elle s'approcha de Muerte et se pencha vers lui.

"On reparlera plus tard tous les deux, soyez en sur."


Elle fixa les garçons pendant qu'ils attachaient l'homme dans l'une des chambre, après quoi elle se dirigea vers la porte et referma derrière eux. Elle suivit le petit groupe, marchât derrière eux pour tenter de reconnaitre le chemin, ce qui se révéla totalement infructueux. La princesse attrapa l'un des gâteaux de son sac et le grignota tranquillement pour calmer sa faim en observant les murs pour y déceler d'éventuelles caméra. Bingo ! Dans ce genre d’hôtel de toute façon, il y en avait toujours pleins.
Ils pénétrèrent dans l’assesseur tendis que Jezabel les maudissaient tous. Louise aurait bien voulu la calmer, après tout si Mr Le Verrier voulait Melody pour l'échanger, elle devait être vivante non ? Et puis il avait l'air beaucoup trop intelligent pour agire de manière aussi stupide. L'homme les guida jusque dans une salle ou ils se firent enfermer.

Et merde. Louise inspira profondément. Allez, ce n'est pas si terrible !

Elle posa son sac sur une table et s'installa sur une chaise en prenant un arlequin, pour voir Jezabel se déchainer sur la batterie. Bon au moins elle avait ke rythme dans la peau, pas comme Louise qui arrivait a faire une fausse note avec un triangle... De quoi rendre fou de désespoir tous les professeurs qu'elle avait eut.
Tout a coup le noir fut totale et là, la princesse paniqua pour de bon. Son coeur se mit a battre a une vitesse folle et elle s'accrocha a sa chaise comme elle pouvait. Non non non, ne pas paniquer.

Tentant de se maitriser, c'est avec soulagement qu'elle vit les lumières s'allumer, et un homme déscendre de l'estrade pour venir s'assoir sur un siège. Ok. Elle expira profondément et mit sa tête entre se genoux quelques secondes, le temps de faire passer la nausée. Puis elle se redressa, le visage décidé. Elle sortit la petite trousse a maquillage et remis un peu de poudre sur ses joues pour dissimuler la pâleur de son visage. En politique, il ne fallait montrer aucune faiblesse.

Elle se leva, attrapa son sac alourdi par la batte de base bal qu'elle avait toujours, avant d'aller s'installer a coté de l'inconnu. Elle attendit une seconde avant de se tourner vers lui, un sourire aimable sur les lèvres.

"Bonjours, Louise Hollen, enchantée. Vous êtes ?"

"Louise Hollen ?" Fit il en la fixant avec un petit sourire. Il fit mine de réfléchir puis repris : "Vous ne portez pas de chapeau aujourd'hui ? Quand a mon nom, il n'a pas d'importance."

Il se tourna vers le restant du groupe, détendu. Mais la princesse avait remarqua que les deux hommes qui l'accompagnaient avaient tourné la tête vers elle. Elle ne montra rien, se contentant de sourire, comme si elle parlait a une connaissance agréable.

"Et vous vous ne portez pas votre jolie boite a ce que je vois ... Un arlequin ?" ajouta elle en lui tendant son paquet.

Ah la politique. Toujours renchérir sur l'autre. Il savait des choses sur elle ? Elle en savait sur lui, un partout. Il eut l'air surpris, et se re permit un petit sourire.

"Avec plaisir. Alors c'était vous la vitre brisée ? J'aurai dû m'en douter. Vous ne pouvez pas vous empêcher de mettre votre petit nez de partout ? C'est dommage... Vous auriez être très intéressante dans d'autres circonstances."

"Que voulez vous j'ai la curiosité dans le sang."

Elle lui répondit un sourire détendue et haussa les épaules en appercevant Aaron qui rejoignait Jezabel sur l'estrade, armé d'un paquet de cartes.

"Pourquoi vous vous intéressez autant aux sirènes ? Et ... que voulez vous dire par " Vous auriez être très intéressante dans d'autres circonstances ?"
"Aux Sirènes ? Oh... Vous voulez parler de l'échange ? Ce n'est pas pour moi. C'est pour une amie dirons nous."

Une amie rien que ca ? Ils regardèrent Aaron et Jezabel quelques instants avant qu'il ne reprenne, tout en applaudissant avec Louise a l'un des tour du demi dieu.

"Si vous n'en étiez pas une, on aurait pu vous prendre avec nous. Vous auriez eu une vie intéressante et bien remplie. C'est très jouissif de pouvoir servir le Dragon."
"Ma vie est déjà intéressante et bien remplie, je vous assure."


La porte gauche s'ouvrit et deux hommes en noir pénétrèrent dedans, verrouillant les portes derrière eux. Le voisin de la princesse se leva et fit un dernier sourire a Louise, tendis que sur scène, le rideau s'ouvrit pour dévoiler une cuve transparente remplie d'eau claire. Et entourée de deux autres hommes en noir.

"Excusez moi d'interrompre ce magnifique échange, mais... vous comprenez, n'est ce pas ? Il ne faut pas faire attendre son public."

"Je comprends ne vous en faites pas. The show must go on... Quand a ma "candidature", je suppose que c'est parce que je viens d'ailleurs. Une dernière chose toute fois, si vous le permettez. J'imagine que même si je vous le demande gentiment vous ne laisserez pas Melody tranquille, alors avant que nos groupes respectifs ne se mettent a échanger leurs points de vue de manière plus ... musclée, dirons nous, sachez que je suis tout a fait prête a rencontrer votre Dragon si il le souhaite. "

Une seconde, elle avait eut l'idée de leur proposer de les aider a capturer Melody pour pouvoir les accompagner, rencontrer le dragon et libérer la sirène avant de s'enfuir. Mais elle avait chassé ce plan ridicule de sa tête rapidement, en y préférant une solution plus réaliste. L'homme sans nom tourna la tête vers Louise.

"Mais mademoiselle Hollen... vous venez de le faire. Nous sommes tous connectés à lui."

Ses yeux se firent remplacés par deux petites flammes avant de redevenir normaux.
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