« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Mes menaces étaient vaines. Quand à Jack, il n'avait rien trouvé de mieux que de lui demander de l'épouser. A dire vrai j'aurai peut être dû faire pareil. J'avais tourné la tête vers Hippolyte. Accepterait-elle de m'épouser ? Est ce que c'était le bon moment, juste maintenant avant de peut-être mourir ? Si en plus on mourrait ensemble ça serait tellement romantique.
"Hippolyte ? Ma belle Hippolyte ? Je me demandais... Est ce que tu accepterais de..."
Non! C'était pas le bon moment. Je devais rester concentrer sur Anna. Il fallait lui sauver la vie et penser ensuite à son propre bonheur. Pour le moment je devais absolument réagir, faire quelque chose qui pourrait changer la donne. Je m'étais concentré au maximum histoire de trouver une solution, quand tout à coup j'avais repensé à ce que Melody disait sur le grand amour. On avait tous quelque part quelqu'un qui nous attendait et cette personne était même parfois plus proche qu'on l'imaginait. Elle parlait bien sûr d'elle et de Egéon, mais je savais que Aphrodite aussi avait trouvée chaussure à son pied.
Je devais le contacter, lui demander de l'aider, car lui, il pourrait la faire réagir. C'était le seul moyen, peut être même la seule personne qu'elle écouterait. Je n'avais pas mon portable sur moi, mais c'était pas un soucis, car je savais comment le contacter d'une autre manière. J'avais simplement fermé très fort les yeux et j'avais pensé à lui. Beaucoup de dieux entraient en communication entre eux de cette manière. Je ne savais pas à quelle vitesse allait leur modem cérébrale, mais j'espérais que le signal passerait vite cette fois ci.
"La déesse Aphrodite a perdue le contrôle, elle est sur le point de tuer Anna d'Arendelle. Il faut absolument la sauver et j'ai besoin d'un moyen de stopper la déesse. Vous pourriez peut être me dire comment faire ? A moins que vous puissiez venir vous même et..."
J'avais l'impression d'entendre une voix par dessus la mienne.
"C'est vous qui pensez par dessus mes pensées, dans ma propre tête ? Je ne sais pas trop comment ça marche, mais j'ai vraiment besoin de votre aide et..."
S'il pensait ou parlait en même temps que moi, comme là, ça n'allait pas être facile.
"Il faudrait qu'on pense ou parle à tour de rôle pour réussir à se comprendre."
Après ma dernière pensée, j'avais dû attendre quelques secondes dans un silence total avant d'entendre le son de sa voix me dire que c'était moi qui n'arrêtait pas de parler et que du coup je n'entendais pas ce qu'il me disait. Pourquoi tout le monde avait tendance à me dire que je parlais trop ? Quoi qu'il en soit, je l'avais laissé parler, mais voilà qu'il me disait plus que des mots sans sens entre eux. Qu'est ce qu'il voulait que je fasse avec ça ?
"Ca ne veut rien dire !"
Il me disait que je devais les dire à voix haute. Mais quel intérêt ? Je devais tout de même essayer pour sauver Anna. Tant pis si j'allais me ridiculiser et si ça n'allait pas marcher. J'avais fait un pas vers Aphrodite tandis que Hippolyte et Jack allaient sans doute en venir aux mains entre eux.
"Pascal ? Caméléon ? Pas beau ? Tapette ? Tête de..."
"Non mais vraiment, ça sert à rien de dire tout ça, c'est du n'importe quoi. Et je ne veux pas dire ces grossiertés devant tout le monde."
Je n'allais pas donner suite aux indications de ce type. Cela dit il insistait pour que je continue et cette fois ci le mot qu'il répétait en boucle me semblait ne pas vouloir désigner une insulte en particulière.
"M&m's ? M&m's ? M&m's? Pascal? Caméléon? M&m's?"
J'avais répété ça plusieurs fois juste avant de voir la main de Aphrodite relâcher la pression sur le cou de Anna. Mieux encore, elle s'était même écartée de la jeune femme. Ca avait marché !!! Ca avait marché !!!! Mais comment c'était possible ? Sans plus attendre, je m'étais approché de Anna et je l'avais prise par la main pour l'éloigner de la déesse.
"Viens, dépêche toi, il faut te mettre à l'abri!"
C'était plus facile à dire qu'à faire, car elle suffoquait encore. La pression avait été bien trop grande. Mais je ne pouvais pas m'occuper d'elle pour le moment. Il me restait une dernière chose à faire. J'avais fait face à la déesse qui à ce que j'imaginais, était en train de reprendre ses esprits, mais il ne fallait pas prendre de risques.
"Je suis navré, vraiment, mais je ne peux pas prendre de risques. Je dois être sûre que vous ne recommencerez pas..."
J'étais décidé. Je ne savais pas si elle avait totalement retrouvée ses esprits, mais une chose était sûre, elle était encore totalement imbibée d'alcool. J'avais rallumé mon briquet que j'avais jeté sur elle, la voyant prendre feu tel un brasier ardent qui dégageait une chaleur si intense, si forte, qui me rappela à quel point c'était bon de jouer les héros devant la femme qu'on aimait. J'avais tourné la tête vers Anna pour vérifier qu'elle allait bien, avant de faire un grand sourire fier de moi à Hippolyte, tout en lui faisant un petit clin d'oeil.
"Quand Aaron passe, l'Amour trépasse."
Je pensais que ma réplique sonnerait mieux, vue que par Amour j'entendais la déesse de l'Amour, mais à dire vrai, je crois que je m'étais totalement planté...
Aaron : 75%
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Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
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Your love is most generous where it is most hurtful.
Un bruit de verre cassé, une forte odeur de whisky, le liquide qui ruisselait sur ma peau. On ne pouvait pas dire qu'Aaron manquait de cran. Cependant, il ne comprenait pas. Il avait beau me menacer avec le briquet, je ne m'arrêterais pas en si bon chemin. Rien ne me ferait reculer.
Je voyais la peur et la douleur se mêler dans les yeux d'Anna. Je sentais ses petites mains agripper la mienne serrée autour de sa gorge, dans une tentative bien dérisoire de me faire lâcher prise. Elle me griffait, mais la douleur n'était guère plus qu'une caresse. Ma détermination était à l'épreuve de tout. Le temps qui s'écoulait la faisait souffrir, et je ne le souhaitais pas. Je lui avais promis une mort rapide. Je tenais toujours mes promesses.
Cependant, comme je m'y attendais, Jack se mêla de toute cette histoire. "S'il te plaît, ne rends pas la chose plus pénible. Détourne les yeux, ça te sera plus facile." lui conseillai-je.
C'était toujours douloureux de voir mourir son amour, mais je lui offrais ma personne en compensation. Il oublierait vite cette jeune fille sans envergure. Sa demande en mariage me fit détourner les yeux une fraction de seconde. La bague était en glace, aussi étincelante qu'un diamant. Un frémissement me parcourut. Puis je reportai toute mon attention sur Anna, resserrant mon emprise sur sa gorge. Elle émit un drôle de gargouillis et ses yeux se remplirent de larmes. Pour que le mariage soit réussi, il fallait supprimer la seule personne qui pouvait empêcher le futur époux de se rétracter. Les paroles de Jack renforcèrent mes convictions de tuer Anna pour le plus grand bien.
"Pascal ? Caméléon ? Pas beau ? Tapette ? Tête de..."
Je battis des cils, perturbée par ces mots. Dans mon esprit, des images se succédaient, comme des flashs incompréhensibles.
"M&m's ? M&m's ? M&m's? Pascal? Caméléon? M&m's?"
Aaron, tais-toi ! Ces images me rendaient folles. Je ne parvenais pas à les comprendre. Je voyais un jeune homme avec une cicatrice sur la joue, le cri d'un aigle, des battements de plumes... et des M&M's. Puis les sensations suivirent. Je me souvins de ses mains, de ses baisers, puis de la fin de l'histoire. Cette fin qui m'avait laissée une plaie béante à la place du coeur.
Déstabilisée par ces brusques réminiscences, je lâchai Anna. Je titubai légèrement, clignant des yeux. L'espace de quelques secondes, j'oubliai où je me trouvais. Je n'arrivais pas à séparer ce que j'éprouvais pour Jack, qui était tellement vivace, et ce que je ressentais pour l'autre, cette douleur si intense...
A cela s'ajouta une autre forme de souffrance. Au début, je sentis une forte chaleur, mais bientôt, la brûlure devint insupportable. J'ouvris les yeux, terrorisée : je me trouvais au coeur d'un brasier. Je poussai un hurlement abominable, me tordant dans les flammes. Cela me rappelait l'an 1032, lorsque j'avais été jugé sorcière et brûlée en place publique d'un village médiéval. Autant dire que je n'aurais pas voulu réitérer cette expérience déplaisante.
Subitement, tout devint blanc. Les flammes furent étouffées brusquement par une chose compacte et glacée qui m'engloba totalement. De la neige. J'étouffai un grognement, car si j'ouvrais la bouche, j'en aurais avalé. Jack... pour la première fois depuis le début de toute cette histoire, je ressentis une haine très brève à son égard. C'était infiniment plus douloureux que de brûler car s'il avait laissé la combustion se terminer, j'en serais morte. Or, stopper le brasier me laissait couverte de brûlures de la tête aux pieds.
Je me secouai vivement pour dégager la neige et chancelai. Je devais être horrible à voir. Sans doute défigurée, avec peut-être encore trois mèches de cheveux sur le crâne, ma chair calcinée coulant par endroits... J'étouffai un cri et sentis mes jambes se dérober sous moi. Je me rattrapai à un guéridon. "Jack... je refuse... ta demande..." balbutiai-je d'une voix faible.
Toutes mes forces m'abandonnaient. Il allait falloir attendre plusieurs minutes avant que je rende mon dernier souffle, mais je venais de trouver de quoi précipiter ma mort. Mes doigts se refermèrent sur un coupe-papier posé sur le guéridon. Sans attendre, je le dirigeai vers ma gorge et le plantai dedans. Tiens, voilà comment j'aurais dû tuer Anna vite et bien. On a les bonnes idées toujours trop tard.
C'est sur ces dernières paroles que je tombais en cendres.
Une voix résonna aussitôt dans les haut-parleurs, la même que celle du tueur.
"Elle est morte ! Elle est MORTE ! Bravo jeune homme, finalement vous n'êtes pas aussi godiche que ce que je croyais ! Vous avez un emploi ? Parce que je recrute actuellement... Hum, on en reparlera plus tard. C'était très bien joué, mais évitez de mettre le feu à ma résidence secondaire, la prochaine fois ! Je viens de prévenir les pompiers de ne pas se déplacer, parce que les détecteurs de fumée se sont enclenchés !"
La personne s'éclaircit la gorge avant de poursuivre :
"Dommage, j'aurais bien aimé qu'elle achève la petite rousse avant. Totalement inutile, celle-là. Elle fait honte aux roux. Bref, le point important, c'est qu'on arrive au dernier round. Vous allez devoir vous entretuer pour devoir sortir de cette maison !"
La voix éclata d'un rire sadique tandis que soudainement, des volets blindés s'abattaient devant chaque porte et fenêtre dans un bruit de ferraille implacable.
"Cette fois-ci, pas de vitre à exploser, n'est-ce pas Hippopotame ?" fit la voix d'un ton sarcastique. "Le vainqueur, celui qui aura abattu tous les autres, se verra le grand honneur de rejoindre mes troupes ! Oh, et celui qui balayera le tas de cendres juste à côté du guéridon aura un point bonus. Ca fait vraiment trop désordre. Je déteste le désordre. Allez, c'est partiiii ! Faites-moi rêver avec vos combats ! Et si vous ne vous entretuez pas, je vous donnerai de quoi vous inspirer !"
Brusquement, un gant de boxe jaillit d'une ouverture du mur et donna un coup de poing à Hippolyte dans les côtes, avant de repartir dans la paroi.
"J'ai beaucoup d'autres surprises." promit la voix.
Arya : 0% :ohhh:
Anna D'Arendelle
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HERE WE GO AGAIN
| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Anna
Si c'est cela l'amour alors je n'en veux pas. Et toi ?
Il suffisait, de quatre mot, quatre petit mot, pour briser le cœur d'une fille, pour me briser le cœur « je ne t'aime pas ». J'aurais voulu, réagir, j'aurais voulu, lui dire qu'Hippolyte, ne voyait qu'Aryana, alors, que moi, je l'aimais de tout mon cœur, mais, j'étais sans doute, trop bouleversée, pour réagir, Jack s'approcha de moi, faisant glisser le brun sur de la glace, je le fusillais du regard, avant de voir, qu'il souhaitait manifestement, enterrer la hache de guerre :
- J'accepte, si tu laisse Aaron tranquille lâchais-je platement, en lui tendant, ma main, pour une poignée de main
Il, n'avait plus besoin, de s'en préoccuper de toute façon, mais, il n'obtiendrait pas non plus, mon affection, on m'avait brisée le cœur, encore une fois, une fois de plus, une fois de trop. L'amour, ça ne sert à rien au finale. Je, n'avais pas besoin, de tomber amoureuse pour vivre, après tout.
Et puis, tout s’accéléra, nous, nous étions téléportés, grâce à Aryana, totalement ailleurs, et avant, que je n'ai eu le temps, de lâcher, sa main, je me retrouvais, avec une main serré autour de ma gorge. Je, n'écoutais, pas ce qui ce passait, mes oreilles, bourdonnaient, tandis que je sentais, l'air s'échapper, petit à petit, de mes poumons. J'avais toujours, cru, que je ne haïrais, personne dans ma vie, que j'en étais bien incapable, mais ça, c'était avant de rencontrer Hans, mais à présent, Hans, était bien la dernière de mes préoccupations, si je devais, partir, je partirais, en haïssant, Aryana, Aphrodite la déesse de l'amour. J'aimerais, beaucoup voir la tête de ton frère, déesse de l'amour, quand il saura ce que tu as fait.
Et, puis au moment, où je commençais à ne plus sentir d'oxygène, la pression, autour de ma gorge, se relâcha brutalement, je chancelais, tandis que, je me mis à tousser, et essayer de reprendre, ma respiration. Aaron, me prit, par la main, pour m'éloigner, et je le remerciais, d'un regard. Je, n'étais, pas ingrate, même s'il m'avait brisé le cœur, il m'avait sauvé la vie, je lui devais, au moins, ma reconnaissance.
Je, n'étais pas naïve, ou tout du moins, je ne l'étais plus autant qu'avant, les expériences, que je vivais, me façonnaient, et je perdais, en naïveté, en innocence, je grandissais, je murissais, dirons nous. Alors, je savais, qu'il en faudrait plus, pour se débarrasser, définitivement, de la déesse, mais, la voir bruler, était je l'admet, une vision, vraiment satisfaisante. Je, n'avais, jamais, souhaité, la mort de personne, hormis Hans bien sur, j'avais toujours, rêvé, de le retrouver, pour lui planter mon épée entre les deux omoplates, mais, là, en ce qui concernait Aphrodite, j'étais bien heureuse, de la voir disparaître, même momentanément.
Une voix, retentit, me faisant ouvrir les yeux, cette personne, ce tueur fou, souhaitait, que l'on s'entretue, pour rejoindre, ses rangs, il en était hors de question. Je, me dirigeais, vers Hippolyte, pour la relever, en lui tendant ma main, dès qu'elle l'accepta, je parcourus, la pièce du regard, avant de m'attarder, sur le visage, de chacun, de mes compagnons, d'infortune, j'allais, devoir, les empêcher (surtout Hippolyte), de se jeter, les uns sur les autres, et j'avais déjà, ma petite idée, sur comment faire
- Jack, je ne t'aime pas, dis-je brusquement, Aaron, Hippolyte ne t'aime pas, Hippolyte, Aryana ne t'aime pas. Mais, ce n'est pas de leurs fautes. A votre avis, qui souhaite que nous, nous entretuions : le tueur fou. A cause de qui, tout ceci est arrivé ? Le tueur fou, on est dans sa résidence, secondaire, non ? Alors, c'était qu'il avait déjà tout planifié, à l'avance. Hippolyte, ce n'est pas la faute, de Jack, si Aryana l'aime, et Aaron, ce n'est pas la faute d'Hippolyte, si elle ne t'aime pas. C'est la faute de cette ceinture. Le tueur la voulait depuis, le début. Qui nous amit sur la piste d'Horace, et donc d'Hydranos, pour finalement, arriver ici ? Encore, une fois la même personne. Tout, nous ramène, à ce tueur, c'est de sa faute, si Aryana est morte, et maintenant, il souhaite que l'on s'entretue pour son bon plaisir ? Vous allez vraiment, le laissé faire ? Moi, j'ai une autre proposition, pour une fois, on unis nos forces, pour sortir, d'ici, et trouver le tueur, on lui règle son compte, et...Après, tu pourras régler celui de Jack et Aaron si tu veux Hipp'
J'espérais, juste qu'elle accepte le compromis. Jack, ne serait, à mon avis, pas trop difficile, à convaincre, Aaron, je ne connaissais, pas grand chose de lui, mais Hippolyte, j'avais vite, cerné son caractère, c'est pourquoi, je priais, de toutes mes forces, pour que ça marche.
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Jack Overland
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| Avatar : Lucas Till
| Conte : Les 5 légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Jack Frost
Je la regardais, suppliant. Comme si je pouvais ignorer le fait qu'elle voulait mettre fin aux jours de ma bien aimée... Elle n'était pas comme ca, ce n'était pas Aryana. Elle ne pouvait pas tuer Anna comme ça, ca ne pouvait pas se finir de cette façon, ce n'était pas possible... J'avais besoin qu'elle vive, qu'elle respire ... Besoin de savoir qu'elle était la, quelque part, heureuse et en vie. Tout a coup, Aaron se mit déblatérer une suite de mots apparemment sans queue ni tête, et qui pour moi n'avaient aucuns liens entre eux. Mais ils avaient clairement un impact sur Aryana.
La déesse lâcha Anna qui s'éloigna vers Aaron. Moi, je ne bougeai pas. J'avais donné ma parole, j'allais m'y tenir quoi qu'il m'en coute. Ma bien aimée était en vie, c'était tout ce que j'avais besoin de savoir pour être heureux. Elle était avec Aaron pour l'instant, elle serait en sécurité, il la protégerai. Sans que je comprenne pourquoi, je vis soudain Aryana prendre feu. Jetant un regard paniqué derrière moi, il ne me fallut que quelques instant pour comprendre que c'était la faute d'Aaron. Le hurlement d'Aryana me ramena a la réalité et sans perdre un instant j'ouvris les bras et la couvrai de neige de la tête aux pieds pou étouffer les flammes. Elle allait certainement me haïr, elle serait défigurée mais au moins, elle serait en vie ....
La jeune femme faillit s'écrouler et je fis un pas vers elle pour l'aider a se redresser. Je devais l'emmener a l'hopital de toute urgence ! Mais les paroles qu'elle prononça lorsqu'elle ouvrit la bouche me clouèrent sur place. Comment ca elle refusait ? Ce n'était vraiment pas le moment de penser a ca ! Mais elle n'avait vraiment rien dans le crane ou quoi ? Je n'eut pas le temps de m'interroger plus qu'elle se plantait sous mes yeux un couteau dans la gorge.
NOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!
J'avais bondit vers elle pour l’empêcher de s'écrouler sur le sol mais mes doigts ne se refermèrent que sur du vide. Mes genoux percutèrent le sol et je sentis les larmes me monter aux yeux tendis que je fixait le petit tas de cendres devant moi. Non, elle n'avait pas pu faire cela ... ce n'était pas possible, pourquoi ? Sans que je puisse m'en empêcher je sentis les goutes salées déborder de mes yeux et rouler sur mes joues. Je ne la reverrai plus jamais.
Nous n'avions pas été spécialement proches mais je la considérait comme une amie a part entière depuis notre première rencontre. Et voila qu'elle venait de disparaitre devant moi pou de bon .... Je n'aurai plus l'occasion de rien ... Les dents serrées a me les briser, j'entendis le tueur nous parler a travers le haut parleur, remplaçant peu a peu le désespoir que j'éprouvais par une colère et une haine que je n'avais jusque la ressenti que pour Nightmare.
Lentement j'agrippais mon bâton et me redressai, le visage au sol, totalement inconscient de l'endroit ou j'étais. La température de la pièce chuta brutalement, de petits nuages marquant les respirations des gens présents. Autour de moi, tout commençait a geler. Le sol, les meubles, les murs .... je me sentais moi même devenir plus froid que d'habitude. De gros flocons se mirent a tomber de nul part et se posèrent silencieusement sur le sol. Mes mains étaient gelées. Je fis un pas vers le centre de la pièce, puis un autre, ignorant mes compagnons qui s'écartaient de moi pour éviter le plus possible de sentir le froid que je dégageais. Il était si intense qu'une partie de moi savait que si ils me touchaient ils risquaient de perdre un doigt. J'accellerai le mouvement et me mis soudain a courir avant de bondir sur le mur en face de moi et de mette un grand coup de pieds dedans.
Sous l'impact, le bois se fissura et gonfla a cause du froid avant de se fendre de toutes parts. Sans attendre, je me propulsait vers le plafond en hurlant. J'étais fou de rage. D'un geste je tournais sur moi même et envoyais des pics de glace se planter dans le haut parleur que j'avais repérer et qui explosa en grésillant. Arrivé sur le plafond, je me propulsai a nouveau, ignorant la plaque de glace qui venait de s'y former pour aller contre un autre mur. Je vit un poing semblable a celui qui avait frappé Hippolyte foncer vers moi et, prenant mon élan, je frappais dedans, le réduisant en mille morceaux qui s’éparpillèrent sur le sol.
Une second plus tard, j'étais a l'autre bout de la piece pour frapper dans un lance fléchettes, puis ce fut un filet et une buche qui essayèrent de me frapper. Sans pitier je les explosai, allant d'un bout a l'autre de la pièce aune vitesse fulgurante, avant de m'accroupir sur un mur et de poser une main sur le mécanisme avant d'envoyer mon pouvoir geler les circuits électriques qui permettaient au tueur de nous attaquer. La machinerie poussa comme un crie d'agonie et je retirais d'un geste brusque ma main des décombres. Qu'est ce qu'il comptait faire a présent ?
Mais ca ne me suffisait pas. Je sentais encore cette rage bouillonner en moi. Mon regard se porta sur le mur. Il voulait nous enfermer ? Enfermer l'esprit de l'Hivers ? Enfermer mes amis ? Mais pour qui se prenait il ? Je pointais mon bâton sur le mur et me concentrai au maximum. Le bâton prit une teinte bleue lumineuse et d'un coup, je fonçais vers le mur et envoyais charges de glace sur charges de glaces en hurlant ma peine et ma colere. Le volet ne résista pas bien longtemps, se tordant sous les vagues de glace et la puissance des vents d'hivers que je lui envoyais avant d'exploser et de s'envoler a l’extérieur avec quelques briques. Le soleil entra a flot dans la pièce tendis que je tournais mon visage vers le ciel.
Qu'est ce que tu comptes faire maintenant hein ? lançais je a cet inconnue.
Je m'éloignais pour me trouver au centre de la pièce et observer les dégâts, essoufflé, la main crispée sur mon bâton. On aurait dit qu'une tempête avait eut lieu ici. Elle reflétait bien ce que je vivais intérieurement. Il y eut un craquement et sur ma droite, une armoire s’effondra sur le sol avec fracas. Il y eut comme un toussotement et je me tournais lentement avant d’apercevoir les autres. Mes yeux se posèrent soudain sur Aaron et je sentis ma colere faire a nouveau surface. Lui ! Il l'avait faite brulée !
Sans réfléchir je bondis sur lui a pleine puissance et lui envoyait une vague de gel qui l'envoya s'écraser contre le mur.
"TU L AS TUEE !!!" M'écriais je avant de lui sauter dessus a nouveau. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je l'attrapais par le col et mis mon poing en arrriere avant de l'approcher a pleine puissance de son visage. Il ne le toucha jamais. Je m'étais arrêter une seconde avant de le toucher, le fixant, l'air perdu. Ma respiration était saccadée, et j'avais la main qui tremblait tant l'effort que je faisais pour ne pas l’assommer était fort.
"Tu l'as tuée ...." repettais je avant de baisser la tête. Mon bras se détendis et dans le silence qui nous entourait, je le repoussais brusquement loin de moi et m'éloignais. Je n'étais pas ce genre de type. Et le frapper ne m'aiderai pas a me sentir mieux ou ne la ramènerai pas.
Je flottais jusqu’à un coin de la pièce et mit ma capuche sur la tête avant de m'adosser a un mur et de rapprocher mes jambes de mon torse. Qu'ils sortent donc ... j'avais une amie a pleurer.
Jack : 75% :snowball:
Aaron McAdams
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| Avatar : Jesse Eisenberg ♥
« J'avais bien dit qu'il
faisait froid... ! »
| Conte : Hercule ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Aaron ☣ un demi dieu. ϟ
Anna avait raison, tout ceci n'était qu'une mise en scène. On nous avait forcé à en arriver là. Une simple ceinture pouvait faire de très nombreux dégâts. La seule chose qui m'importait maintenant, était de rentrer chez moi et de me poser sur le lit pour réfléchir à tout ça. Mais ça signifiait quoi au juste ? Que je n'aimais pas Hippolyte ? Je l'avais observée quelques instants. Elle était si magnifique, si belle, si... extra ordinaire. Mais elle était aussi avec mon meilleur ami. Qu'est ce qui m'avait pris de tomber amoureux d'elle ?
Je crois qu'une fois tout ça fini, il faudra vraiment que je fasse un break, que je quitte la ville, même si je venais à peine d'y arriver. A dire vrai, je crois qu'il faudrait que je trouve ma place, tout simplement. Que je prenne un nouveau départ loin de cette ville, loin de cet état, loin de Egéon, Melody et loin de Loulou. Hippolyte n'était pas la femme que j'aimais et à l'heure actuelle, je crois que je n'aimais plus personne. Un break, c'était tout ce qu'il me fallait pour aller mieux.
Une voix avait raisonnée. Elle m'avait félicitée d'avoir tué Aphrodite. Ca montrait que cette voix n'avait aucune idée de qui était Aphrodite. C'était une déesse ! Je ne l'avais pas tuée, je m'étais simplement contentée de la faire disparaître quelques minutes, car c'était évident qu'elle allait revenir. Je ne savais pas ce qui allait m'attendre et ni si on allait se retrouver face à une Aphrodite qui aurait encore des envies de meurtres, mais quoi qu'il en soit, s'il fallait le refaire pour protéger Anna ou n'importe qui d'autre, je le referai. Il n'était pas question qu'un dieu tue qui que ce soit aujourd'hui!
"Il n'est pas question qu'on..."
J'avais été coupé par le jeune garçon qui avait littéralement pété un câble. Je pouvais le comprendre, il pensait qu'il venait de perdre la femme qu'il aimait. Il n'avait pas encore retrouvé toute sa tête. C'était un blond, ça venait peut être plus de là. J'avais déjà entendu pas mal de fois que les gens comme eux, il fallait leur laisser plus de temps pour mieux comprendre les choses... ( )
Je l'avais laissé briser une bonne partie de la pièce et me mettre une droite s'il le voulait, car de toute façon je n'allais pas entrer dans le jeu de la sorcière et attaquer cet être de glace. J'espérais juste que son âme ne soit pas aussi gelée que son coeur et qu'il arriverait très vite à reprendre le dessus. J'avais fermé les yeux en voyant son poing s'orienter vers ma tête. Il s'était retenu juste à temps. Il m'avait lâché et il s'était éloigné.
"Wouah..." avais-je dit en le voyant flotter. Comment qu'il arrivait à faire ça ? C'était...
BOOOM !
Je n'avais pas vue le poing arrivé. Pas celui qui aurait dû m'atteindre et provenant de la main de Jack, mais celui qui avait touché Hippolyte quelques minutes auparavant. Ce poing était sortit du mur et m'avait donné un coup, avant de se rétracter et de recommencer. En voulant m'écarter la troisième fois, je m'étais pris les pieds dans un fil et j'étais tombé par terre, tête la première.
"Aïe..."
C'est fou ce que ça faisait mal. Le poing s'était dégagé une bonne fois pour toute, mais trop tard, car j'étais déjà à terre et je sentais que mon dos en avait pris un coup. Je m'étais massé la tête et en ramenant ma main devant moi, j'avais vue un peu de sang.
"Saperlipopette!" avais-je dit en me redressant et en m'appuyant sur les coudes. Je saignais ! Je saignais de la tête ! J'étais résistant en temps ordinaire, mais là je saignais. Enfin c'était que quelques gouttes, mais quand même.
Je m'étais totalement redressé, même si je sentais que ma tête tournée un peu. J'avais pris la main qu'on me tendait ( ) et je m'étais relevé, toujours en titubant un peu.
"Merci... Mais aïeee !!"
Pendant que je tentais de reprendre mes esprits, j'avais entendu une voix résonner.
"Mais qu'il est débile ! Vous pouvez aussi vous tuer vous même si ça vous amuse ! Enfin je préfèrerai un vrai combat, histoire de ne pas avoir acheté un écran plat pour rien !"
Elle croyait être la plus forte ? Elle se trompait ! Qui que ce soit qu'elle était, on allait la battre et on allait le faire maintenant !
"Écoute... Elle n'est pas morte. C'est une déesse. Elle peut mourir, mais elle finie toujours par revenir. Demande à Hippolyte, elle te le confirmera. Quoi qu'il en soit, faut se serrer les coudes et tenter de démasquer le tueur avant le retour d'Aphrodite. Car au moins on sera sûr que la ceinture n'aura plus d'effets."
Je m'étais approché du coin où il était, en m'appuyant contre le mur une fois à proximité. J'avais levé la tête pour le voir en entier. Il avait la tête baissée, la cagoule recouvrait son visage. Je m'étais détaché du mur et j'avais tendu ma main vers lui.
"Tu marches avec ?"
Aaron : 30%
Aryana Cloud-Sandman
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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Aphrodite
Je réapparus, fraîche comme une rose, dans une petite robe blanche à fines bretelles. Je passai une main dans mes cheveux et observai le paysage autour de moi. Un jardin élégant et extrêmement bien entretenu. Je pris quelques minutes à l'explorer avant de tourner la tête vers la petite maison dont les volets blindés la faisaient ressembler à un bunker. Je secouai lentement la tête avant de m'en approcher. J'entendais du bruit et des voix à l'intérieur. Brusquement, je m'aperçus d'un trou dans l'un des volets. Eh bien... quelqu'un avait tenté une percée héroïque.
Je plongeai les mains dedans et écartai les bords en métal qui se gondolèrent comme du plastique mou sous la seule force de ma volonté. Lorsque l'ouverture fut suffisamment large, je passai au travers. Je regardai brièvement tout le monde. Hippolyte se redressa aussitôt, son regard brûlant rencontrant le mien. Je levai les yeux au ciel et m'attardai quelques secondes sur le demi-dieu qui m'avait enflammée de la tête aux pieds. "Merci Aaron. Tu m'as remis à peu près les idées en place." lui dis-je avec reconnaissance.
Une voix grésilla subitement dans un haut-parleur qui se balançait dans le vide, seulement retenu par un câble :
"QUOI ?" aboya-t-elle. "Mais elle devrait être morte !" "Vous êtes vraiment très bien renseigné, à ce que je constate !" soupirai-je. "Cette autre maison est à vous aussi, je suppose ?"
Aucune réponse. J'esquissai un léger sourire avant de me tourner vers Anna. Embarrassée, je plaçai les mains dans mon dos tout en dansant d'un pied sur l'autre. J'aurais aimé trouver les mots justes, en tous cas quelque chose de mieux que "Désolée d'avoir essayer de te tuer." Rien ne me semblait suffisamment percutant. "Tu as bonne mine." déclarai-je finalement avant de me détourner d'elle en vitesse.
Absolument ridicule. Je me dirigeai ensuite vers Jack qui avait levé la tête dans ma direction et qui m'offrait un regard éberlué sous sa capuche. Il était recroquevillé contre le mur. Ma mort l'avait-elle bouleversé à ce point ? Je peinais à le croire. Pourtant, il avait l'air réellement chamboulé. Le voir ainsi me donna l'envie presque incontrôlable de le serrer dans mes bras et de l'embrasser avec douceur, mais je me contrôlai. Le moment était venu d'être plus forte que la Ceinture. J'avais failli faire perdre la vie à une innocente pour ses beaux yeux.
Je me penchai vers lui et posai une main sur les siennes, plongeant mon regard dans le sien.
"Jack ? Aaron a raison, il faut en finir. Regarde, c'est bien moi. Je pensais que tu savais que les gens comme moi peuvent... revenir. J'admets que c'est impressionnant, la première fois."
Je lui souris légèrement et l'aidai à se relever, puis je déclarai à toute le monde :
"Venez voir dehors. Il y a quelque chose de très intéressant."
Ouvrant la marche, je traversai de nouveau l'ouverture dans le volet blindé et retrouvai la douce chaleur du soleil sur ma peau. Nous nous trouvions dans un jardin parsemé de sculptures en verdure représentant une jeune femme. Une fontaine se dressait non loin d'une seconde demeure honteusement luxueuse, au bout d'une allée de graviers. Sur la façade de cette villa était peint le visage de la propriétaire des lieux, sans aucun doute. Rousse, le regard inquiétant, les traits fins, le sourire sardonique. Je ne la connaissais pas. J'aurais dû m'intéresser davantage aux habitants de Storybrooke. A présent, je le regrettais. "Vous savez qui elle est ?" demandai-je aux autres.
Non loin de la double porte d'entrée grandiloquente, un lama attaché à un piquet broutait l'herbe tranquillement. Je haussai un sourcil sur ce détail surprenant.
"Allons frapper à la porte." proposai-je avec un sourire sans joie. "J'ai l'impression que nous touchons enfin au but."
Arya : 90% :ohhh:
Anna D'Arendelle
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HERE WE GO AGAIN
| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Anna
Je, passais pour l'écervelée, de la famille, à côté, d'Elsa, toujours, si calme, et si noble, et pourtant, j'étais, celle qui avait eu le plus de jugeote, actuellement. J'avais, essayé, de parlementé, d'argumenter, mais, manifestement, ça ne semblait, pas suffire, à Jack. Et, lorsque je le vis, légèrement, pêter les plombs, suite à la mort d'Aryana, je vis, qu'il n'avait strictement, rien écouté, de ce que j'avais dit : « c'est une déesse triple buse ! Dégèle un peu ton cerveau et réfléchit ! Tu crois franchement, qu'être transformé en torche vivante, ça suffit à l’anéantir ? » j'avais envie, de le lui hurler. Je commençais, à en avoir marre de tout ça. J'étais, pas extrêmement, violente, à la base. Je, ne me servais, de mon épée, que si ce n'était, nécessaire, et encore, juste, pour me défendre. Je, n'étais, généralement, pas celle, qui attaquait, en premier. Mais, là, j'avais, envie de prendre, le pommeau, et de mettre, un bon coup avec sur la tête, de Jack, histoire de lui remettre les idées en place.
Heureusement, Aaron, s'en chargea, je me retins, de lever les mains, au ciel tout en lâchant un « enfin », oui enfin, quelqu'un qui avait un peu de jugeote. J'ignorais, superbement, la voix, du haut parleur, elle n'aurait qu'à utilisé, son écran plat, à des fins plus intelligente, ça lui ferait pas de mal tiens. Je me retournais, entendant, le bruit des volets, en plastique, qui se gondolaient, pour me retrouver, comme tout le monde, face à Aryana. Elle, tombait, bien, elle, pour une fois. Elle, pourrait, ainsi, prouver les dires d'Aaron, et peut-être, que Jack, connecteraient, ses petites cellules grises.
- « Tu as bonne mine » me dit-elle
Je levais, légèrement, les yeux au ciel, je ne répondrais, pas, même, si la réplique, me brulait, les lèvres : « c'est sur que quand, on essaye pas de me tuer, je ne vire pas au bleu schtroumpf ». Mais, je me retins. Ce, n'était, vraiment, pas le moment, de se chercher des poux dans la tête, et de jouer à règlement, de compte à OK Corral. Je, pense, qu'elle, en avait, aussi marre que nous. Aussi, étais-je, prête à enterrer, la hache de guerre, pour le temps, qu'il nous restait. La, priorité, était, de trouver, le tueur, aussi emboitais-je le pas, de la déesse, et, en passant par le trou, qu'elle s'était chargée, d'agrandir, me retrouvait, dans le jardin, face à une villa. Au premier coup d'oeil, je reconnu, la personne, qui était peinte sur la façade, d'un côté, il y avait vraiment qu'elle ou Llama Groove, pour faire un truc pareille :
- C'est Yzma Popochimalt, dis-je en guise de réponse à la question, d'Aryana, elle est...Assez orignal, terminais-je, tout en faisant, le signe que ça ne tournait en réalité pas très rond dans sa caboche.
Original, c'était pour rester gentille, totalement, cinglée, aurait été plus approprié. Ils, se valaient, bien elle et Llama, aussi barge l'un que l'autre. Je, savais qu'on avait des cas à Storybrooke, mais, l'on pouvait, à mon humble avis, difficilement, faire pire que ces deux là. Ils, avaient, un sérieux, grain.
Je m'avançais, sur la pallier, de la villa, posant, la main, sur la poignée, pour entrer, sauf que je, n'en eu pas le temps, le lama, qui était attaché, quelques instants, plus tôt, ne l'était étrangement, plus du tout, et il fonçait droit, sur moi. Je l'esquivais, au dernier moment, roulant dans l'herbe.
Je, venais, tout juste, de récupérer, mes esprits, que déjà, il se mit à charger, de nouveau. Quand, je disais, qu'elle avait trois cases, en moins. Non, mais franchement, qui dresse un lama, pour attaquer les gens ? Quand, on est normal, on utilise, un chien. Genre, un doberman. Cette, pensée, m'arracha, une grimace, elle venait, de me faire penser, à cette nuit là, au musée. J'ignorais, ce qu'il c'était, passé, pour le gardien, et son chien. Je, n'avais lu, aucune, information, de ce genre dans la gazette, de la ville.
Je m'apprêtais, à nouveaux, à esquiver, mais, la sale bête, réussit à m'arracher un bout de mon pantalon. Clairement, c'était, pas Yzma qui bossait, pour gagner sa vie. Non, elle, elle se contentait, de faire des coups fourrés, aux habitants, qu'avaient rien demandé à personne :
- Hé Aaron ! ou n'importe qui d'autres, vous n'auriez pas une carotte par hasard ?
C'était un lama, c'était herbivore, donc ça devait aimer les carottes, on arriverait peut-être à s'en débarrasser, en lui en donnant une
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Anna : 70%
Hippolyte Sherman
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| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
« NOOOOOOOOOON ! » Mais son cri n’avait pas le don d’empêcher les flammes de réduire en cendre la femme qu’elle aimait. Hippolyte observait l’horrible scène qui se déroulait sous ses yeux. La magnifique déesse était en train de brûler. Et le meurtrier faisait son fier devant l’étudiante en histoire. Avait-il craqué ? Pensait-il sérieusement que cela lui faisait plaisir ? Il avait juste signé son arrêt de mort. Hippolyte ne savait pas quoi faire. D’ailleurs, elle était paniquée face à ça. Les cris de souffrance de sa bien-aimée n’arrangeaient rien. La demi-déesse courrait à droite, à gauche, en quête d’un moyen d’enlever ce brasier. Fort heureusement ou pas, Jack fut plus rapide. Encore lui. Pourquoi fallait-il qu’il sauve lui-même Aryana ? Voulait-il s’accorder ses faveurs ? Hippolyte se stoppa, lançant des regards noirs à Aaron et Jack à tour de rôle. Mais d’un côté, Jack venait de sauver Aryana. Certes, elle était divine donc immortelle ou presque, mais elle souffrait. Et maintenant c’était fini. Hippolyte était soulagée. Mais cela ne permettait pas d’atténuer la colère qui avait bouillonnée en elle. Aryana se releva doucement. Elle était en piteuse état. D’ailleurs, Hippo prit peur en voyant la belle déesse. Elle ne ressemblait clairement à plusieurs. Tout d’un coup, cela lui fit penser à son oreille charcuté par le caméléon. Maintenant elle savait ce que ça faisait. Puis Aphrodite se donna la mort, sans prévenir. Elle avait juste décliné l’offre de Jack, ce qui eut le don de faire la faire sourire. Mais son sourire s’était vite fait la malle lorsqu’elle assista au suicide de la déesse. Hippolyte avait failli tourner de l’œil. Finalement non. La colère fut bien trop importante. Elle allait venger la mort de sa belle. Hippolyte resserra le manche de son épée puis observa Aaron et Jack. « Assassins !! » Oui. Hippo rendait Jack tout aussi responsable qu’Aaron. Ce n’était pas très logique. Il ne fallait pas en chercher, il n’y en avait pas. La colère avait aveuglé la jeune femme qui n’avait qu’une envie : tuer ! Mais son envie fut retardée par la voix de l’inconnu(e). Son discours était inadmissible. Et cela lui avait donné un plan. Dommage, elle aimait bien Anna…Mais pour réussir son plan il fallait suivre ce que venait de dire la voix. Tuer Aaron et Jack serait facile et même plaisant…Anna, ça serait juste facile. Mais Hippolyte semblait partir avec un léger handicap puisqu’un poing sorti du mur venait de la toucher en plein dans les côtes. Surprise et sous la douleur, Hippolyte se plia en deux, manquant une inspiration. Il avait de la force cet objet ! Après quelques secondes, Hip se redressa. C’était le moment. Il fallait en finir, venger ce qui venait d’arriver à la belle Aryana. Mais Anna décida de jouer à l’obstacle ambulant. Voulait-elle mourir en première ? C’était pas forcément prévu…Mais si elle insistait ! Cependant ce n’était pas l’intention d’Anna. Cette dernière semblait être toute à fait sérieuse dans son discours. Malheureusement, Hippolyte était quelqu’un de têtue. Elle avait une idée en tête et ça serait très difficile de lui enlever. En plus, Jack et Aaron se battaient, enfin mimait une bagarre. Sérieusement ? Ils se battaient (ou presque) entre eux alors qu’ils étaient tous les deux coupables ? Hippolyte allait terminer cette petite scène de ménage dans un bain de sang, c’était sûr ! Soudain les paroles d’Aaron fit un déclic chez la demi-déesse. Mais oui ! Elle n’était pas morte. Elle reviendrait sans doute. Mais quand ? Même si cette nouvelle mettait du baume au cœur, Hippolyte était toujours énervé au point de vouloir commettre un meurtre. Mais petit à petit, le sort d’Aphrodite importait peu. Qu’est-ce qui se passait dans ses émotions, dans ses sentiments ? Est-ce qu’elle l’aimait ? Est-ce qu’elle la détestait ? Quoi qu’il en soit, Hippolyte avait emmagasiné trop de colère, trop d’émotion en elle. A tout moment elle risquait d’exploser. En plus, elle ne comprenait pas du tout ce qui se passait. Et elle détestait ça. La fille d’Arès observa à tour de rôle Anna, Jack, Aaron. Puis son regard se porta vers un petit trou qui devint rapidement une porte de sortie, créée par Aryana ! Elle était revenue ! Et pourtant Hippolyte n’arrivait pas à savoir si elle était être heureuse ou le contraire. C’était le fouillis dans son esprit, dans son cœur. Est-ce que c’était la ceinture ? Fichue ceinture ! La jeune femme essaya de rester calme, elle en lâcha même son épée. Pourtant c’était dur. Il était plus prudent qu’elle reste éloignée du groupe. Aussi, la demi-déesse fut la dernière sortie de l’endroit où ils étaient prisonniers. Dehors, le soleil était au beau fixe. Le vent apportait une touche de fraicheur. Ils se trouvaient dans un jardin avec d’horrible sculpture de femmes et en face d’eux se trouvait une maison à l’allure très étrange ! En fait, c’était la façade qui était bizarre. Il y avait une rouquine peinte dessus. Ça va, la personne pas trop narcissique ! Hippolyte leva les yeux au ciel. Ce comportement l’exaspérait. Et c’était une goutte d’eau de plus dans le vase émotionnel déjà trop plein d’Hip. Elle suivit le groupe qui voulait entrer dans la demeure. Apparemment, la Ceinture se trouverait là-dedans. Il était tant que tout cela finisse ! Hippo ne fit même pas attention au lama. C’est uniquement lorsqu’il s’attaqua à Anna qu’elle prit conscience de sa présence. Au pire, ça, ce n’était pas très grave pour Hippolyte. Mais lorsqu’elle se reçut un cracha de la part du lama, là c’était trop. La réplique d’Anna était complètement débile et Hippolyte en avait ras le bol. Et il fallait qu’elle explose. « Tu crois sérieusement qu’on se balade avec des carottes pleins les poches ? Réfléchis un peu ! » Pauvre Anna. Elle était innocente dans l’histoire. Malheureusement elle était sur le chemin de la colère d’Hip. Mais la cible principale était le lama. Dommage pour lui, il allait devenir le punching-ball de la jeune femme. « Pas besoin de carotte pour qu’il se taise à jamais. » C’est qu’elle ferait presque peur la petite. Mais elle était arrivée à un point de non-retour. Malheureusement, Hippolyte avait oublié sa réplique d’épée dans le bunker. Tant pis, elle n’utiliserait aucune arme. Hippo mit un crochet droit au lama qui cracha sur la personne la plus proche. Ce n’était pas une si bonne solution. Surtout que le lama semblait énervé. La jeune femme était prête à un petit combat. Ça lui ferait du bien. Elle mit un nouveau coup dans le lama qui tomba au sol. Bah oui, elle avait de la force la petite. Mais le lama ne semblait pas avoir dit son dernier mot et il ne les laisserait certainement pas rentrer dans la maison. Il fallait alors le supprimer. D’un côté elle en avait follement envie, mais d’un côté, tuer un animal était ignoble. Ça ne se faisait pas. Mais il y a des pulsions qui ne se contrôlent pas. Aussi, elle remit le lama au sol, dans une position qui rendait la suite plus facile. De la force de ses bras elle serra autour du cou du lama, lui coupant la respiration. Hippolyte ferma les yeux, ne voulant pas voir ce qu’elle faisait. Il ne fallut qu’une grosse minute avant que le lama rende son dernier souffle. Au moins il ne serait plus un obstacle pour la suite. Hippolyte ouvrit les yeux. Elle était triste et soulagée. Sa colère était partie. Mais elle avait laissé place à un sentiment de culpabilité. Elle se releva et observa, presque honteusement ses acolytes. « On peut rentrer dans la demeure sans problème. » Sentant le regard insistant d’Aaron et Jack, Hippolyte reprit du poil de la bête. « C’était soit lui, soit vous deux, alors arrêtez avant que je change d’avis ! » S’ils continuaient elle allait vraiment les tuer !
love.disaster
Hippolyte : 75%
Yzma Popochimalt
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| Avatar : Emma Stone
Ils ont l'air un peu trop contents...
Je vais en tuer quelques uns, ça va les calmer.
On s'éclate à Rio avec le robot !
| Conte : Kuzco ღ | Dans le monde des contes, je suis : : Yzma ϟ
"Mais... ce sont des malades !" couinai-je dans mon micro.
Je pianotai nerveusement sur les boutons face à moi, mais aucun ne réagit. Le blond avait vandalisé tout mon intérieur ! Il avait réduit en miettes les haut-parleurs, ainsi que les gants de boxes et autres objets qui sortaient des murs pour les inciter à se battre !
Révoltée, je tapai avec plus de hargne sur mon tableau de commandes, et finis par enfoncer mon petit poing dessus. Rien ne se produisit, bien entendu. J'avais très peu de force même si je faisais deux heures de Pilates par jour. Il fallait s'entretenir, surtout à mon âge. L'arthrose était vraiment sans pitié.
J'enlevai rageusement mon casque et mon micro que je jetai à travers la pièce dans un grognement strident.
"Ils ne vont pas s'en tirer comme ça !" explosai-je.
Je battis des jambes pour faire glisser mon siège à roulettes jusqu'aux écrans qui me montraient l'intérieur de ma maison de vacances. Certaines caméras avaient rendu l'âme, mais deux fonctionnaient encore. J'écarquillai les yeux en m'apercevant qu'un trou avait perforé un des volets blindés. "Comment ont-ils...? Non ! Je refuse ! Ce n'est pas... fair-play !" balbutiai-je, mes ongles recourbés pianotant fiévreusement contre le tableau de commandes.
Il ne s'écoulerait que quelques minutes avant qu'ils ne parviennent à agrandir le trou et qu'ils sortent. Ils découvriraient alors mon autre demeure, celle dans laquelle je me trouvais présentement.
"Je suis mal. Mais que...?"
Ebahie, j'aperçus la déesse blondasse se tenir devant eux. "QUOI ? Elle devrait être MORTE !" m'écriai-je d'un ton courroucé et apeuré.
Il fallait que j'enclenche la phase d'évacuation. Cette histoire commençait à me dépasser. J'enlevai mon oreillette que j'avais oubliée et la réduisis en miettes dans mes doigts.
"Et je n'ai même pas de Kronk pour les occuper !" marmonnai-je.
Je réfléchis à toute allure, mes cils allongés par le mascara battant follement, quand la caméra extérieure, dévoilant mon jardin, attira mon attention. Le lama que j'avais dressé -à grand renfort de potions de mon propre crû- avait pris la rouquine en chasse.
"Bien ! Vas-y mon pépère !" hurlai-je en tapant des poings sur la table des commandes. "Bouffe-les !"
Je savais qu'il était capable de dévorer un humain. Je l'avais entraîné à manger des antilopes. Faire changer le régime alimentaire d'un animal était des plus faciles. Mon sourire extatique s'affaissa brusquement en voyant la brune complètement folle boxer la créature qui crachait au hasard dans une dernière volonté.
"Mon lamaaaaaaaaaaaaaaaaa !" criai-je d'un ton déchirant en plaquant mes mains parfaitement manucurées contre mon visage lisse. "Elle a tué Kuzco ! Cette garce a tué KUZCO !"
J'allais lui faire la peau, j'allais lui éplucher les bras et les lui faire manger de force, j'allais... non, je n'allais rien faire ! Elle était bien trop forte ! Tuer un animal à mains nues, c'était affreusement... barbare !
"Etat d'urgence." murmurai-je, mes yeux exorbités rivés sur l'écran.
Ils s'étaient de nouveau tournés vers la porte d'entrée. Plus que quelques instants et ils seraient à l'intérieur. Il fallait que j'agisse, et vite ! D'une main fébrile, je dégainai mon téléphone portable et composai un numéro.
"Mon Kronk de secours !"
Il décrocha au bout de deux tonalités. Serviable, en plus.
"Hydranos ?" marivaudai-je d'un ton doucereux. "Ici Yzma Popochimalt. Des personnes indésirables se trouvent dans mon jardin. J'aimerais beaucoup que vous les chassiez. Vous pouvez leur faire tout ce que vous voudrez, vous serez récompensé, bien entendu. Venez, MAINTENANT, je vous en supplie !"
Il fut très prompt à accepter, j'en fus agréablement surprise. Habituellement, il demandait toujours quelque chose en échange. La Ceinture avait-elle effet sur lui ? A la bonne heure !
Je raccrochai, rangeai mon téléphone et claquai dans mes mains d'un air triomphant. J'avais très envie d'assister au combat de mon Hydranos face à cette équipe de choc, mais si je voulais m'enfuir en toute discrétion, mieux valait s'exécuter de suite.
Je me levai d'un bond, grimaçant en sentant mon dos craquer légèrement, et me saisis de mon sac en peau de crocodile pour filer allègrement, mes talons claquant sur le plancher impeccablement ciré.
J'avais réussi l'attaque la plus scandaleuse de l'histoire ! Même une déesse ne pouvait me résister ! Bon, je fêterai ça au champagne plus tard. Pour l'instant, je devais m'enfuir avant que les choses ne se gâtent.
Hydranos
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J'étais assis sur un banc à penser à elle, mes écouteurs dans les oreilles. J'écoutais des chansons d'amours en ne pensant à elle et seulement à elle. Elle m'obsédait, j'avais énormément chaud depuis quelques jours et je n'arrêtais pas de penser à Yzma. Mon cœur me faisait souffrir chaque minute en me rappelant qu'elle n'était pas là. Je regardais le ciel ma cigarette dans la bouche et mes quelques restes de la mission en Amazonie dans la main. J'écoutais ce cher Stevie Wonder chanter. Isn't she lovely, isn't she wonderfull ... Oh que oui elle l'était. Je ne voulais qu'elle, l'avoir dans mes bras autant que dans mon lit. J'allais lui rendre visite tiens ... mais pour ça il faudrait que je fasse quelques achats.
Je sifflotais l'air de la chanson tout en me promenant dans un centre commercial londonien. Une jolie robe blanche, des bougies, quelques provisions et de la lingerie .... Quoi d'autres ? Un livre sur les plantes pour ses potions et je pense que c'est bon. Ah si ... Je me transporte à l'abri des regards vers un magasin de spiritueux et y achète une bouteille de champagne pour finir chez un fleuriste y acheter une douzaine de roses.
Je me téléportais à mon appartement en plein centre pour Harlem afin d'y trouver ce que je cherchais. Ah le voilà ... mon DVD de Ghost, je le cherchais quoi faire autant le regarder. Après avoir bien posé le sac de courses et le bouquet, je pars me chercher du pop-corn et regardons ce film magnifique.
Deux heures après, les yeux larmoyants je me dirigeais vers l'ordi qui trainait et m'empressait de télécharger Unchained Melody, je voulais danser avec ma rousse sur cette chanson. Elle me tomberait sûrement dans les bras comme ça. Allez dépêche ! L'ordi était lent ... Putain dépêche ! Je lui donnais une petite tapote quand mon téléphone vibra dans mon la poche de mon pantalon. Je regardais qui m'appelait et vit le numéro " Love " s'afficher, c'était Yzma. De sa voix mielleuse elle m'appelle et me demande de venir chasser des intrus. Des violeurs ? Des voleurs ? Des assassins ? Ca sentait le bottage de fessiers de mortels. Personne ne touche à ma rousse ! Personne ! Je passe ma langue mes lèvres et lui répond :
D'accord.
Je raccroche, me frotte vigoureusement les mains et ramasse tout ce qu'il me faut. Sacs de courses ? Fait. Bouquet de roses ? Fait. MP4 et casque ? Fait. Desert Eagle ? Fait. On est parti. Je me transporte dans le jardin avant de faire face à ... ok je m'y attendais pas. Je leur fais face et hausse les épaules :
Ce que je ne ferais pas par Amour ...
Oui je viens de citer Jaime Lannister et alors ? J'aime cette série, j'aime Ghost et ? On a le droit d'être un grand méchant, une créature divine et aimer la pop culture. Je les regarde tous, je sais que au corps à corps vu que l'autre garce est là j'ai aucune chance. Cette s*lope. J'allume ma cigarette puis me transporte derrière Aaron avant de menacer sa gorge de mon ongle devenue une longue griffe empoisonnée. Je chuchote à son oreille :
Je sais que toi et tes potes aviez un poison qui tuaient les demi dieux ... Tu sais comment je le sais ? Parce que ça venait de moi donc un geste et t'es mort ...
Je lui dis ça d'une voix suave avant de parler au groupe entier :
Un geste et ils sont morts !
Oui ils ... Je fais apparaître un de mes clones à côté de moi et un autre derrière Hippolyte menacé elle aussi par une griffe. Je regarde l'autre blondasse :
Un geste et je tue le fils de ton ex et la fille du boss ...
Je souris avant de laisser la gorge à mon clone reprenant les courses qu'il avait gardé et me téléportant vers Yzma qui était debout et proche de la porte. Je lui souris :
Salut ...
Je détourne un peu les yeux puis tends vers elle le sac de courses et le bouquet :
C'est pour toi ...
Je m'approche d'elle, me collant presque à elle :
Yzma tu es si belle
Je souris avant de reculer de quelques pas puis garder l'œil sur la caméra :
Tu as une déesse aux trousses, si elle fait un geste on sera obligé de fuir ... peut être même toute ta vie. Es tu prête à ça ?
Je la regardais sérieusement avant de lui prendre la main et y déposer un doux baiser sur le dos sur celle-ci :
Je ne la laisserais pas t'avoir.
Je lui avais fais un clin d'oeil avant de lui laisser le temps de se préparer. Pour elle j'étais prêt à tout !