« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Rien de tel qu'une matinée au centre commercial pour se changer les idées, non ? Eh bien non. Ce n'est pas évident de se trouver une occupation quand on a cinq millions d'années de souvenirs en tête. J'avais instamment besoin de changement dans ma vie. Ainsi, j'avais eu une idée : une fête ! Pour résumer, je voulais organiser une sorte de fiesta dans ma maison, avec tout ce que ça incluait. J'avais déjà contacté Lily et Elliot, je comptais faire de même avec Judah et Dionysos (même si revoir ce dernier risquait de créer des tensions avec pas mal de monde). Bien évidemment, j'avais pensé à Arès. La lettre était déjà rédigée. Je n'osais pas le prévenir par télépathie, je craignais un peu sa réaction étant donné notre dernière entrevue. Je me demandais si un jour je pourrais entretenir des rapports "normaux" avec les autres. J'aurais aimé qu'Artemis vienne. Il fallait que je trouve un moyen de crever l'abcès avec elle. Quant à Apollon et Athéna, je ne savais trop quoi penser d'eux. L'idée de les recevoir chez moi me semblait étrange. Pour en finir avec toutes ces interrogations, j'avais placardé des affiches un peu partout en ville, indiquant très "sobrement" :
FIESTA CHEZ APHRODITE Sérieux s'abstenir !
J'avais précisé la date (ce soir même) ainsi que l'heure. Il était temps que les dieux se mêlent véritablement aux habitants de Storybrooke, et quoi de mieux que de faire connaissance grâce à une fête légère ? J'imaginais déjà la tête d'Arès lorsqu'il apprendrait que ce n'était en aucun cas un repas guindé, mais plutôt une sorte de "boum".
Pour que tout soit réussi, j'avais déjà décoré ma demeure. Par contre, je m'étais rendue au centre commercial pour la nourriture et la boisson. J'avais envie de me mettre en condition réelle. Mon chariot était déjà rempli de paquets de bonbons en tous genres : Haribo, Arlequins, Carambars, Fraises Tagada... mais songeant à retardement que je n'allais pas organiser un goûter d'enfant, je m'étais dirigée vers le rayon alcool. J'avais placé une trentaine de bouteilles dans le chariot. A présent, je me trouvais dans le rayon des produits apéritifs. "Chips ou Chipsters ?" me demandai-je à voix haute. "Où est la différence ?"
Je soupesai les deux paquets avant de soupirer. Décidément, faire les courses était vraiment éreintant. J'aurais dû tout faire apparaître directement chez moi. Agacée, j'attrapai plusieurs paquets sans vérifier que ce c'était et les fourrai dans le chariot, avant de pousser ce dernier jusqu'à l'allée principale. Comme je ne regardais pas où j'allais, je sentis brusquement un choc violent, comme une résistance. Je poussai davantage et tournant la tête, m'aperçus que quelqu'un venait de tomber dans mon chariot. Il était coincé dedans, les jambes et les bras en l'air dans une posture de contorsionniste. Il venait de crier à retardement. "Aaron, c'est ça ?" fis-je, quelque peu étonnée de le trouver là.
Observant enfin l'allée centrale dans son intégralité, je m'aperçus que Hippolyte était un peu plus loin, un paquet de spaghettis sous le bras. Elle stoppa net en me voyant. Je levai les yeux au ciel. Le destin était vraiment railleur...
Je m'efforçai d'esquisser un sourire sympathique, bien que je ne savais pas trop comment me comporter avec elle. On se vouait une inimitié réciproque. C'est alors que je remarquai un détail troublant.
"Ton oreille a repoussé."
Les mots s'échappèrent tout seuls de ma bouche. Je la fixai effrontément, me demandant comment elle avait fait pour parvenir à ce prodige. La magie pouvait-elle reconstruire une oreille ? Etait-elle plus forte que le divin, en fin de compte ? Je mettais cette question de côté pour l'instant. Remarquant qu'Aaron ne parvenait pas à s'extirper du chariot, je l'attrapai énergiquement par le bras pour l'en sortir. Et sans réfléchir, j'enchaînai :
"J'organise une fête ce soir chez moi. Est-ce que tu voudrais venir ?"
Oui, je n'avais pas proposé à Hippolyte. J'étais certaine qu'Aaron serait un très bon hôte et puis j'ignorais pour quelle raison, mais j'adorais provoquer ma nièce. C'était une sorte de sport. Pour en ajouter juste un peu, je dégainai une affiche de mon sac à main et la collai dans les bras d'une fille rousse qui passait juste à côté de moi.
"Ce soir, dix-huit heures." lui dis-je en plantant mon regard dans le sien.
Quelqu'un d'autre s'approchait. Sans le regarder, je me saisis d'une autre affiche et la glissai dans ses mains. Le froid me saisit aussitôt. Avec un mauvais pressentiment, je levai les yeux vers lui. Une touffe de cheveux blonds, un sourire narquois... oh non. "Tu n'es pas invité." corrigeai-je en voulant reprendre l'affiche que je lui avais donnée. "J'ai déjà tout ce qu'il me faut en glaçons."
Je désignai mon chariot qui contenait des paquets de cônes et d'eskimos en tous genres, avant de lui lancer un regard éloquent.
Arya : 100%
Anna D'Arendelle
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Soso Turner :love:
HERE WE GO AGAIN
| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Anna
Je, n'étais pas franchement, au top, depuis ma visite nocturne au musée, et ma rencontre avec Melody, pour être honnête, c'était loin d'être la grande forme. Au travail, je faisais toujours comme si, tout allait bien, servant les clients avec le sourire, n'hésitant pas à discuter avec eux, mais au fond, tout ceci, n'était encore une fois, qu'une apparence, un « genre » que je me donnais. Quand, tout, allait mal, je faisais comme si tout allait bien, j'avais toujours agit ainsi, ce n'était donc, pas nouveau. Déjà, petite, quand Elsa, m'avait fermée sa porte, pour ne l'ouvrir que le jour de son couronnement, j'avais choisis, de toujours être heureuse, comme ça, je le serais aussi pour ma sœur. Et même, après que nos parents soient morts, j'avais continué d'être ainsi.
Pour autant, pour certaine personnes, cela se remarquait, que j'étais un peu distraite, enfin quand je dis certaine personne, c'était surtout Aster en fait, et étrangement, ça ne me rassurait, pas du tout, il continuait, malgré tout, à me faire peur, alors, de sentir, son regard braqué, sur mon dos, me donnait, une pression monstre. J'avais toujours l'impression, qu'il était, là à analyser et décrypter mes moindres, faits et gestes, pour voir, si, je ne faisais pas de gaffe supplémentaires. C'est bon, je savais, que j'étais maladroite, et un peu naïve, mais, ce n'était pas une raison, pour passer son temps à me surveiller. Je, n'allais pas rendre 50 dollars alors que je ne devais en rendre que 20. Les mathématiques, n'avaient jamais, réellement, été mon fort, mais tout de même, je savais, compter, merci, j'avais un cerveau et je savais m'en servir.
Mais, si les premiers jours, avaient été comme ça, il avait bien vite arrêté, une histoire de « sale gosse » apparemment, je n'avais pas cherché plus loin, moins, je le côtoyais, mieux, je me portais, et surtout, moins j'étais sous pression, à essayer de faire toujours, très attention, à ce que je faisais, ou disait, enfin surtout ce que je faisais. La preuve, l'autre jour, je m'étais prit, les pieds, dans un carton, qui trainait parterre -qu'est qu'il faisait là aussi ? Et, avait renversé, la boite d'assortiment, de chocolat, qu'il avait faite pour une commande. Fort heureusement, ça avait plutôt joué, en ma faveur, parce qu'au final, les clients avaient changés d'avis et voulaient une autre composition, aussi, n'avait-il jamais rien, su de cet incident et c'était tant mieux.
J'avais voulu revoir Elsa, aussi, sauf que je ne l'avais, pas trouvée, et ça m'avait mit un coup au morale, ça plus le fait, que mes amies, avaient mit en place, une sorte de jeux un peu débile, depuis, le levée, de la malédiction, celui, d'aller regarder, les films, disney qui sortaient, au cinéma, et d'essayer, de deviner, qui en étaient les représentants, en ville. Je, n'avais, jamais, vraiment, adhéré à cette idée, peut-être était-ce, parce que c'était mon histoire, qui avait été, la première, désigné, pour ce jeu. Le fait de voir, que dans leur version, Elsa, finissait par dégeler mon cœur, et à ramener l'été sur le pays entier, m'avait donné le cafard, pour une semaine au moins.
Mais, à nouveau, je n'en avais, rien montrée, j'étais restée souriante, comme à mon habitude. Il, y avait suffisamment, de gens, qui déprimaient, comme ça, alors, j'avais pris, sur moi, et je m'étais forcée, à oublier, cette histoire, ou tout du moins, à ne pas la ressasser, encore et encore.
Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, c'était mon jour, de congé, et j'étais bien déterminée, à essayer de trouver Elsa, c'est bon à un moment, il y en a marre, qu'elle passe son temps, à me fuir, « je pourrais, te faire du mal Anna, je maitrise pas mes pouvoirs » et blablabla. Bon, c'est bon, elle m'a gelée le cœur une fois, et je lui ai déjà dit, que je lui en voulait, pas, on allait, quand même, pas en faire tout un flan de cette histoire. A un moment, ça commençait à un bien faire.
Je me dirigeais, vers mes placards, histoire de prendre, de quoi manger, sauf qu'en fouillant, je me rendis compte, que je n'avais plus grand chose, et mon estomac, lui ne semblait pas d'accord. Bon, je suppose, que j'allais devoir, faire, les courses.
Attrapant, rapidement, une feuille, je griffonnais, dessus à la va vite, une pseudo liste des courses, sur ce qu'il me fallait, puis, j’attrapais, mon sac à dos, dans lequel, se trouvait toujours mon épée. Oui, c'était bête, mais, je ne voulais, pas la déplacer, j'en avais, trop bavé, pour la récupérer, je n'avais, pas spécialement, envie, qu'elle ne disparaisse à nouveau on ne sais où.
Le sac, sur mes épaules, je descendis, quatre à quatre, les marches menant, de mon petit appartement, à dehors, et détachait, le cadenas, de ma bicyclette, pour l'enfourcher, avant, de pédaler, à vive allure, vers le super marché, et freinait, arrivé à destination, remettant, son cadenas à ma bicyclette, pour franchir les portes automatiques, du super marché.
Je déambulais, dans les rayons, trainant, l'un des gros paniers en plastique rouge, que l'on trouvait à l'entrée, derrière moi, tout, en prenant machinalement, ce dont, j'avais besoin, chocolat en poudre, céréales, gâteaux, bref ce que je mangeais, en général, pour le petit déjeuner.
Je m'apprêtais, à prendre, la direction des caisses, quand une femme blonde, me colla une affiche, dans les mains, avant de me dire que c'était ce soire à dix huit heure : - Heu...
Oui Heu, je comprenais, pas très bien de quoi elle parlait, aussi, me mis-je à parcourir, l'affiche du regard avant de reposer, mon regard sur elle, j'avais l'impression, de la connaître, enfin son visage, me disait quelque chose. Faisant un effort de mémoire, je mit finalement, le doigt sur pourquoi, elle me disait quelque chose, c'était une déesse elle aussi, enfin, il me semblait, on l'avait vu au temple, quand le type bizarre, avait dit qu'Elsa et Emma étaient des déesses, Pa..quelque chose. Mais, allez savoir, pourquoi, elle me semblait bien plus intimidante, qu'Arès, et pourtant, je n'en avais pas mené large, quand je lui avais crié dessus, après qu'il nous ai enfermé dans des cages. Enfin, quoi qu'il, en soit, elle organisait, une fête, j'étais pas certaine, de vouloir m'y rendre. C'est vrai, quoi, après tout, je la connaissais, pas, et elle m'intimidait, moi dans ces cas là, je suis plutôt, le genre, à faire demi tour, et à partir vite fait :
- Merci, je...j'y réfléchirais
Bah quoi, ça n'empêche pas d'être polie, et de répondre, même, si me fourrer, une affiche dans les mains, en mode « t'es la première personne que je vois, donc tiens », était assez originale, comme manière de faire.
Quoi, qu'il en soit, je m'apprêtais, à tourner, les talons, pour payer mes achats, mais je fut soudainement, prise d'une bouffée chaleur, il m'arrivait quoi là ? Pourtant, j'avais, pas mit 35 mille épaisseur, j'avais juste ma veste, par dessus mon débardeur, rien, d'autres.
J'aimais, pas vraiment, la sensation, que ça procurait, je me retournais, vers les autres personne, présentes, pour leur demander, si eux aussi, avaient la même sensation, ou si c'était juste moi, mais mon regard, s'attarda, sur le brun qui s'était, retrouvé dans le caddie.
- Oh non Anna pas encore murmurais-je plaintivement
Non mais, c'est vrai, pourquoi, dès que je voyais, un représentant, du sexe opposé, pour la première fois, je me mettais, à me sentir attirée par lui ? Oui, bon, ça ne m'était arrivée, qu'une fois, avec Hans, mais, on a bien, vu, comment, ça c'était terminé.
Il, fallait, que je parte, et le plus vite serait le mieux, je, n'avais, pas vraiment, envie, de retenter, l'expérience.
code by Silver Lungs
Jack Overland
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Lucas Till
| Conte : Les 5 légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Jack Frost
J'avais refermé le frigos et poussé un long soupir plaintif. Je n'avais plus rien. Littéralement. Pourquoi avais je oublié de faire les courses déjà ? Bon, la glacerie n'allait pas tournée toute seule, et bien que je puisse manipuler la glace, je ne pensais pas que mes clients apprécieraient de manger des glaces nature. Je ne voulais pas risquer une émeute de toute façon. Bon, le terme émeute était peut être un peu exagéré mais mes glaces étaient vraiment appréciées !
Je sortis de la salle de réserve et refermais le tout. Bon, quand faut y aller, faut y aller. Et puis les courses c'était marrant, je pouvais lancer le caddie a pleine vitesse dans les rayons et grimper dessus. Ca m'avait toujours fait rire.
J’attrapais ma carte bleu et mon bâton avant d'aller au entre commerciale. Comme d'habitude, je portais un sweat bleu et un jean. Et je n'avais pas de chaussures. Les gens trouvaient ca marrant ou désopilant, moi je ne supportais pas d'avoir les pieds enfermés. Non mais pourquoi tant de haine envers eux ? Bondissant de toits en toits, j'arrivais rapidement a destination, en méditant sur le malheur des pieds.
J'avais pris un caddie et avait commencé a le remplir de fruits. J'avais grimpé sur les armatures en fer au dessus des roues du chariot, et m'amusait a le raire rouler en m'accrochant, un sourire idiot aux lèvres. Mangues, pommes, poires, bananes ... et du chocolat ! Bon, c'était certainement moins bon que celui d'Aster mais je me voyais mal lui demander de devenir mon fournisseur. De toute façon, il n'aurait jamais accepté.
J'avais commencé a bien le remplir quand tout a coup j'apperçut une chevelure que je connaissait bien. Aryana semblait distribuer des tracts et ... elle avait un type dans son chariot. Elle voulait l'acheter ou quoi ? Je m'étais approché sans bruit d'elle et elle me fourra un papier dans les mains. J'eus a peine eut le temps d'en lire le titre qu'elle tentait de s'en emparer. FIESTA CHEZ APHRODITE Sérieux s'abstenir !
D'un geste rapide je mis le papier hors de sa portée.
"C'est pas très gentils ca Choupette" lâchais je avec un grand sourire. Ooooh elle n'aimait pas ce surnom ... ça c'était sur. Je jetais un coup d’œil a son caddie. Ouais, des glaces de secondes zones. Je lui fis mon regard du tu-plaisante-j'espère ? Elle allait prendre ces glace de secondes zone alors qu'elle avait le meilleur glacier de la ville a disposition ? J'allais devoir lui apprendre comment on faisait une fête réussie ou quoi ? Je passais un bras autour de ses épaules pour la ramener contre moi en déclarant :
"Allez, je sais que tu ne peut pas te passer de moi. Je suis sympa, je vais venir ! Je ne peut décemment pas laisser ma déesse préférée toute seule pour une fête ! Je sais que tu t'ennuie sans moi."
Je lui fit mon sourire le plus éblouissant en lui ébouriffant gentiment les cheveux. Brave petite. J'avisais en suite les autres personnes autour de nous. Un gars, une brune qui regardait salement Aryana, et une rouquine plus tôt mignonne. J'avais toujours mon bras autour des épaules d'Aryana, - je n'allais pas la laisser partir comme ça, je savais qu'elle n'aimait pas ca - et les saluait.
"Salut ! Pour ceux qui ne me connaissent pas, c'est a dire tout le monde, je suis Jack Frost, gardien de son état. Je veille sur les enfants avec le père Noël, le lapin de pâques, la fée des dents et le marchand de sable."
Une petite courbette et le tour était joué. J'avais pris l'habitude de me présenter entièrement pour que les gens sachent que j'existe. Qu'ils croient en moi. Bon, ca faisait un peu long mais je voulais être sur qu'ils ne m'oublient pas. Mon regard revint sur la rousse. Elle était jolie C'était bizarre, je me sentait ... étrange. Je sentais une douce chaleur se rependre dans mon ventre. C'était quoi ca ?
Rapidement je lâchais Aphro' pour m’approcher d'elle. Je lui fit une courbette en lui attrapant la main pour y déposer un baiser léger. Jaaack ? Jaaack tu fais quoiiii ???? Non tu recules ! TU RECULES !
« Mademoiselle ? »
Trop tard. Je sentais mon cœur battre a une vitesse folle, je ne savais pas pourquoi mais a simple idée de lui parler me donnait des nœuds dans l'estomac. Elle tourna les yeux vers moi et je me sentis soudain minuscule. Allez, je peux le faire ! Bon sang j'étais Jack Frost, j'avais battu Pitch, je n'allais pas me laisser vaincre par une paire de yeux bruns.
"Excusez moi de vous importuner, mais je dois absolument vous dire que vous êtes aussi radieuse et ravissante qu'un lever de soleil sur les lac des montagnes du nord. "
C'était vrai, ce spectacle était tout simplement magnifique, il me coupait le souffle a chaque fois. D'un geste je fis apparaître une rose de glace et la lui tendit, avant de me redresser. Les mains dans le dos je me balançais sur mes pieds ne sachant trop que dire, mal a l'aise. Bon sang je n'avais jamais au grand jamais manqué de répartie ! Pourquoi je n'arrivais pas a sortir un mot en sentant ses yeux posé sur moi ? Je me raclais la gorge, mal a l'aise pour me reprendre.
"Puis je savoir a qui j'ai l'honneur ?"
Aaron McAdams
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jesse Eisenberg ♥
« J'avais bien dit qu'il
faisait froid... ! »
| Conte : Hercule ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Aaron ☣ un demi dieu. ϟ
Est ce que j'avais déjà aimé quelqu'un aussi fort que j'arrivais à peine à respirer quand elle était à côté de moi ? En regardant Mel allongée sur le canapé, tout en m'amusant à lancer et relancer ma balle de base ball contre le mur, je me disais qu'elle avait déjà dû ressentir ça. Elle le vivait sans doute encore, mais pour une personne qui ne pouvait pas être avec elle.
C'était dur de voir ses meilleurs amis aller aussi mal quand ils étaient l'un sans l'autre et ne pas pouvoir être ensemble comme ils le souhaitaient. Je connaissais Mel mieux que personne, je savais qu'elle souffrait de cette absence. Quand à Egéon, je me doutais qu'il l'aimait bien plus qu'une soeur, mais qu'il s'empêchait d'être avec elle.
Je souffrais souvent de l'absence de mon père, ou de la perte de ma mère. Je souffrais de ne pas avoir eu de véritable frère ou soeur, tout comme je souffrais de ne pas trouver la personne parfaite avec qui partager ma vie. Mais c'était rien comparé à ce qu'endurait cette jeune femme allongée sur le canapé.
J'avais stoppé mon petit jeu et je m'étais levé, avec un peu de mal... Pourquoi j'étais resté aussi longtemps assis par terre dans une aussi mauvaise posture ? C'était ironique pour un demi dieu d'avoir des problèmes de dos. Je tenais sans doute ça de mon père, qui lui aussi était sans le doute le moins parfait de tous les dieux.
Je m'étais approché du canapé, et je m'étais accroupis. Encore une idée stupide, car mes genoux aussi me faisaient souffrir. Puis, j'avais posé une main sur le bras de Mel et je l'avai regardée bien droit dans les yeux avec un petit sourire compatissant. Elle se doutait sans doute de ce que j'allais lui dire, car d'après elle je trouvais toujours les mots qu'il fallait. Elle m'avait déjà dit que je me comportais parfois comme une fille. Mais cette fois ci, ce que je voulais, c'était lui montrer que j'étais un véritable mec. Je cherchais le mot viril qui pouvait résumer tellement de choses. Puis, j'avais pris un air plus sérieux et en lui serrant un peu le bras je l'avais prononcé...
"Merde."
C'était sans doute la chose la plus stupide et tellement vrai que j'avais dite. Elle résumait bien ce qui nous arrivait. Que des merdes, constamment. Je m'étais approché pour enfuir ma tête dans le cou de la jeune femme, tout en passant mon bras autour d'elle. Elle devait avoir besoin d'un bon câlin et moi aussi. Puis au bout de quelques minutes, je m'étais recule et relevé... avec à nouveau un peu de mal. Fichus genoux.
"On va se faire une soirée d'enfer ! Tu vas voir ! Pizza maison, chips, supplément de bacon et faisons une folie, achetant des bières ! Je vais aller prendre tout ça au centre commercial et je reviens. Quand à toi, je veux que tu te lèves de ce canapé, que tu files sous la douche, que t'arrêtes de te morfondre et que quand je revienne, il y ait une table de dressée devant la télé pour qu'on puisse voir ensemble Aquamarine !"
J'avais achevé ma phrase avec un petit soulèvement de sourcil. Je voulais lui faire la surprise pour son anniversaire en lui offrant ce film, mais tout compte fait, c'était le bon moment. Surtout qu'il trainait dans mon armoire et que j'étais pas quelqu'un qui aimait attendre le jour j pour offrir un cadeau. Pour ça que ceux à qui j'en offrais en recevaient souvent bien plus qu'ils ne devaient.
Je m'étais donc dirigé vers le centre commercial de Portland, mais en route, j'avais songé à quelque chose de différent... Et si je faisais une folie ? Et si je poussais le vice encore plus loin ? Si en plus de l'alcool, j'allais carrément acheter tout ça à Storybrooke ? Je me sentais l'âme d'un aventurier aujourd'hui ! J'avais donc fait route vers la grande ville, celle qui nous était normalement interdite d'après les dires de Egéon et j'avais envoyé un petit texto à Mel pour lui dire que j'aurai un peu de retard, du coup qu'elle pouvait même prendre une bain !
Une fois au centre commercial, je n'avais pas pris de caddie et je m'étais dirigé directement au rayon de pâte fraîche. C'était une pizza maison qu'on voulait pour notre soirée, pas ces surgelés qui vous donnait mal au ventre et à la tête. J'étais pas friand du froid. J'avais bousculé quelqu'un sans faire exprès et un courant d'air frais m'avait parcouru.
"Désolé. Pardon." avais-je dit au jeune homme avant de me rendre dans un autre rayon. Il me fallait de la sauce tomate et des tomates fraîches et aussi du bacon. J'avais promis un supplément de bacon. Mais au moment où j'allais entrer dans le rayon, un employé de la sécurité était passé devant moi en courant. J'avais reculé pour l'éviter, mais mes pieds s'étaient pris dans quelque chose et allez savoir comment, j'avais atterris dans un caddie. Mais je m'étais carrément retrouvé intégralement coincé dedans. Comment je faisais pour me retrouver dans des situations pas possibles ?
"Merci..." avais-je dit en acceptant l'aide d'une jeune femme qui une fois devant elle, s'avéra être... Oh mon déesse. Enfin... Aphrodite... Je m'étais passé une main dans le dos pour me retirer un truc qui avait dû resté coller à moi quand j'avais quitté le caddie. Oh...
"Des Arlequins !" m'étais-je exclamé en les regardant attentivement avant de les remettre dans le caddie. Aphrodite avait Louise chez elle ou elle aimait aussi les Arlequins ? J'avais secoué la tête. Je devais me sortir Louise de mon esprit. Egéon me l'avait dit, elle n'éprouvait rien pour moi, c'était juste de la gentillesse. Je devais passer à autre chose, comme je le faisais à chaque fois.
"Euh... 18H ? Fête ? Ok..."
Pourquoi moi ? Est ce que je pouvais amener Mel avec moi ? Ca lui changerait les idées et ça lui ferait du bien. Le jeune garçon frais d'avant, venait d'arriver. Il connaissait Aphrodite lui aussi ? Il y avait aussi une jeune femme rousse avec un petit Mickey vraiment très charmant et...
"Hippolyte ?"
Un grand sourire s'était dessiné sur mon visage. Qu'est ce qu'elle faisait là ? Je m'étais approché d'elle pour la prendre dans mes bras.
"Comment tu vas ? Et ton oreille ? Non mais ton oreille quoi ! Comment t'as fait ? C'est magnifique. Elle est encore plus réussie qu'avant. Bien qu'elle était déjà parfaite. Oh t'es trop choupi comme ça ! Tu vas faire des pâtes ?" avais-je dit en voyant son paquet en me reculant pour écouter ce qu'on me disait. Mais à dire vrai, ce n'était pas à moi que Aphrodite parlait. Je l'avais tout de même écoutée, sait on jamais.
Puis tout à coup, je sentais comme si quelque chose de très chaud s'emparait de moi. J'avais passé une main sur mon front, sentant que de la sueur perlait. Qu'est ce qui m'arrivait ? Je n'étais pas sensible au chaud, c'était le froid qui me perturbait. Peut être que je devrais toucher à nouveau la main de ce garçon pour avoir à nouveau froid ? Mais lui aussi ne semblait pas être totalement dans son assiette. J'avais tourné la tête vers Hippolyte;
"Dit, tu vas bien toi ? J'ai comme la sensation que... Enfin j'ai chaud, très chaud et..."
J'avais jamais remarqué qu'elle avait un visage très symétrique. Vraiment agréable à regarder et pas mal envoutant. C'était pour ça que Egéon avait craqué pour elle ?
"Tu sais, je voulais te dire, tu as vraiment un très jolie visage et j'ai de la pâte quelque part ainsi que de la sauce tomate et du bacon."
Je ne savais plus où j'avais mis mes affaires. Sans doute qu'ils étaient tombés avec moi dans le caddie et qu'ils s'y trouvaient encore. Je ne savais pas non plus pourquoi j'en parlais à Hippolyte. Je m'étais résigné à simplement lui sourire, sans ouvrir la bouche. Qu'est ce qu'elle était jolie. Une véritable poupée.
"Tu sais Egéon, il t'aime bien. Et pourtant c'est pas facile pour lui de choisir entre Mel et toi. Mais moi j'aurai fait le même choix que lui, car tu es vraiment très jolie et tu as deux oreilles."
D'ailleurs, j'avais approché ma main pour toucher son oreille refaites. Ohhh c'était tout doux... Je me sentais partir loin, très loin.
Hippolyte Sherman
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Alerte Générale !! Il n’y avait plus rien dans le frigo. C’était la crise dans la coloc’ familiale. Il fallait avouer que depuis le retour des Bermudes, Hippolyte essayait d’éviter un peu tout le monde. Pourquoi ? Tout simplement à cause de son oreille. Elle était revenue grâce à un inconnu. Mais Hip avait l’impression qu’il fallait qu’elle garde ça pour elle, comme un secret. Mais comment cacher ça ? C’était juste impossible. Alors pour éviter les questions et les mensonges, Hippolyte avait tout simplement décidé d’éviter ceux avec qui elle avait été dans le temple de Poséidon. Le seul qu’elle avait revu était Egéon. Et malgré la difficulté à lui mentir, elle avait réussi à lui cacher la vérité. Bref, tout ceci pour dire qu’Hippolyte prenait le plus souvent des repas, seule. Et ça tombait bien, ce midi elle était seule. C’est ainsi qu’elle aperçut qu’elle n’avait plus de spaghetti. Une catastrophe ! Elle n’allait pas manger que du gruyère râpé quand même !! La demi-déesse décida donc d’aller faire quelques courses. Elle se nota deux/trois aliments en plus sur une petite liste. Puis sans attendre, Hippolyte se rendit au centre commercial. Elle ne perdit pas de temps à flâner dans les rayons. Elle savait ce qu’elle voulait et ne comptait pas s’éterniser. Imaginez qu’elle se retrouve face à un membre de sa famille ! Et évidemment, il fallait que ça se produise…Alors qu’elle avait son paquet de spaghetti sous le bras, le regard d’Hippolyte croisa celui d’Aphrodite. Elle était en partie coupable du calvaire qu’elle avait vécu ! Et même si la jeune femme avait retrouvé son oreille, elle n’oublierait pas. Elle se vengerait même ! Enfin sa vengeance serait envers Pascal. Mais même si Aryana n’y était pas pour grand-chose, ce qui s’était passé n’avait fait que renforcer la haine qu’elle éprouvait pour elle. La demi-déesse lui lança un regard noir lorsqu’elle lui parla de son oreille. « Oui. Et ce n’est pas grâce à ton lézard ! » Hippolyte essaya de ne pas trop s’attarder sur elle. Elle n’en valait pas la peine ! Le regard d’Hip dériva vers un garçon qui se trouvait à ses côtés. Aaron ? Mais qu’est-ce qu’il foutait là ? Et ce dernier l’avait vu aussi. Il s’était rapproché d’elle, l’avait serré dans ses bras. Hippolyte avait légèrement souri face à ce geste. Aaron était quelqu’un de très tactile. Mais elle se recula rapidement lorsqu’il commença à parler de son oreille. Roh ! Mais ils avaient que ce sujet de conversation à la bouche ou quoi. La demi-déesse força un sourire avant de jouer machinalement avec un de ses mèches de ses cheveux désormais court. « Oui. C’est mieux comme ça. » Elle préféra ne pas répondre grand-chose. Elle ne voulait pas éveiller la curiosité, elle ne voulait pas en parler tout simplement. Puis soudain, une bouffée de chaleur. Est-ce que c’était le fait qu’Aaron en parle ? Pourquoi avait-elle chaud comme ça ? Pourquoi Aaron aussi ? Et surtout pourquoi venait-il se passer en mode « Loulou On ! » ? Hippo n’était pas Louise. Il n’avait aucune raison de se comporter ainsi. Hippolyte posa ses mains sur ses épaules en essayant de le secouer pour le faire changer de comportement. « Je ne suis pas Louise ! Et je vais devenir toute rouge…Il faut que tu arrêtes ! » Non mais sérieusement, que lui prenait-il ? La suite, Hippolyte ne l’écouta qu’à moitié. Etrangement son attention était complètement portée sur la déesse de l’amour. Elle arrivait à sentir son odeur si sucré. Un parfum qui enivrait totalement la demi-déesse. Pourquoi sentait-elle autant de désir pour Aphrodite ? L’état actuel d’Hippolyte ne lui permettait même pas de se poser de question. Sans aucune hésitation, voire même avec de la froideur, Hippolyte chassa la main d’Aaron de son oreille pour se diriger vers Aphrodite, lui caressant les pointes de ses cheveux. « Tes cheveux sont d’une beauté incroyable. » Faire des compliments n’était pas vraiment dans le comportement d’Hippolyte. Pourtant elle ne pouvait pas s’arrêter. Elle avait comme le besoin d’exprimer ce qu’Aryana lui faisait ressentir. Adieu la haine, bonjour l’amour. Comme une citation le dit : L’amour commence par la haine. La demi-déesse arrêta de lui toucher les cheveux, puis prit une grande inspiration, essayant de capter chaque odeur composant son parfum si enivrant ! « Et tu sens tellement bon. » Il y avait tellement de chose positive à dire sur elle. Mais il fallait qu’elle se calme. Il fallait qu’elle calme ses ardeurs. Mais cette sensation était tellement soudaine, tellement étrange. C’était inexplicable et Hippolyte ne pouvait rien faire contre.
love.disaster
Aryana Cloud-Sandman
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Dianna Agron & Charlize Theron
“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Aphrodite
Oops! I did it again. I played with your hearts. Got lost in the game...
Hippolyte était absolument "adorable", comme à son habitude. Je n'avais rien répliqué à sa pique concernant Pascal. De toutes façons, ce n'était plus mon problème. A aucun moment je n'avais dirigé le canon de l'arme sur son oreille, même si tout avait été orchestré pour moi, en fin de compte. Je chassai ces sombres pensées de mon esprit, j'avais toute l'éternité pour me morfondre à ce propos. Pour l'instant, mieux valait faire bonne figure, et surtout récupérer cette fichue affiche des mains de Jack. Je lui jetai un regard noir en l'entendant m'appeler Choupette. "Arrête avec ce surnom. Ca m'agace." fis-je entre mes dents.
Bien entendu, il n'en eut rien à faire. Il me prit par les épaules comme si nous étions de vieux amis. Or, je l'avais rencontré deux jours plus tôt et nous étions très loin de partager une relation positive. Comment expliquer en quelques mots ? Il me tapait sur le système avec sa bonne humeur. A mon humble avis, il était foncièrement dépressif et n'osait pas encore se l'avouer. A moins qu'il se dope à quelque chose, ce qui était possible aussi. Mes poings se serrèrent tout seuls quand il me décoiffa. S'il y avait bien une chose à ne pas toucher, c'était ma chevelure. Je mettais un point d'honneur à être toujours impeccablement coiffée. "Si tu viens chez moi, je te transforme en tapis." le menaçai-je en le repoussant.
Le grand idiot se présenta à tout le monde. Je levai les yeux au ciel. C'est ça, fais comme si tu étais sourd...
J'avisai mon reflet sur un rayonnage et me recoiffai rapidement, m'aidant de mes pouvoirs pour que cela soit plus rapide. Puis je reposai les yeux sur le petit groupe. Ils comptaient vraiment discuter autour de mon Caddie ? Allais-je devoir faire une percée héroïque pour terminer mes courses en paix ? J'étais en train de réfléchir là-dessus quand je sentis une violente bouffée de chaleur s'agiter dans mon ventre. Je clignai des yeux et entrouvris légèrement la bouche. Je connaissais cette sensation, elle agissait comme un déclencheur. Mais... ce n'était pas possible !
Aussitôt, j'observai les quatre autres personnes, épiant leurs moindres faits et gestes. Je me mordis la lèvre inférieure tout en espérant que je me sois trompée. Je devais cesser d'être tellement stressée. Une bouffée de chaleur, ce n'était probablement rien. La climatisation avait sûrement eu un défaut... sauf que je n'étais pas sujette aux changements de température, d'ordinaire.
Mes doutes se confirmèrent quand Aaron agita son tee-shirt en avouant qu'il faisait très chaud. Je laissai échapper un soupir avant de plaquer la main contre mon visage. Here we go again...
C'était reparti, comme en 57 avant JC à Rome, et comme en 1969 au festival de Woodstock, quand des milliers de gens s'étaient réveillés dans la boue après plusieurs jours de débauche intégrale. Je m'en souvenais comme si c'était hier. Malgré moi, un faible sourire se dessina sur mes lèvres à ces souvenirs. C'était le bon temps... Je secouai brusquement la tête. Non ! Cette fois-ci, tout allait rentrer dans l'ordre. Je n'avais pas envie de m'occuper de ça. Mais si je ne m'y collais pas, qui le ferait ?
Je lançai un drôle de regard à Aaron qui avait l'air d'en pincer pour Hippolyte. Jack, quand à lui, s'était épris de la petite rousse. Le coup de la rose glacée, tellement cliché... Je soupirai de nouveau, à la fois résignée et blasée, mais Hippolyte me cacha subitement la vue de ce tableau déplorable. Elle glissa une main pour caresser la pointe de mes cheveux. Je la fixai avec un mélange de consternation et de stupeur.
"Oh... non."
Elle venait de me faire deux compliments en moins d'une minute. C'était sûr : l'heure était grave. Il fallait que j'intervienne au plus vite. Tandis qu'elle s'approchait davantage, je posai mes mains sur ses épaules et la fis reculer en douceur. Ne pas rire devant l'air enamouré qu'elle affichait, ne surtout pas rire...
Je poussai mon Caddie contre un rayon pour me placer au centre du groupe, afin d'avoir toute leur attention. Cependant, constatant qu'ils étaient bien trop absorbés par l'objet de leur affection, je m'éclaircis la gorge. "Restez concentrés deux secondes, s'il vous plaît ! Et pas sur les beaux yeux de votre interlocuteur, merci !" dis-je d'un ton cinglant. "Nous avons un réel problème. J'ai le regret de vous annoncer que vous êtes sous l'emprise d'un objet divin..."
Remarquant qu'Aaron ne m'écoutait pas et parlait à Hippolyte, je me tus le temps de lui donner une claque sur la tête. Puis je repris, joignant les mains en tentant de garder mon calme :
"Cet objet est une Ceinture qui exacerbe les sentiments. Elle n'obéit à aucune règle. Vous pouvez très bien tomber amoureux d'une personne que vous détestez." dis-je en désignant Hippolyte qui m'observait toujours béatement -au moins une qui m'écoutait, mais pas sûre qu'elle enregistre ce que je disais. "Il faut que tout s'arrête au plus vite. Je n'ai pas envie de materner une bande de gamins enamourés."
D'ailleurs ça tombait très mal, car j'avais prévu de changer d'attribution. Je n'étais vraiment pas douée en amour, je ne pouvais plus en être la déesse. C'était stupide. Je pris une grande inspiration agacée en constatant que la petite rousse n'avait d'yeux que pour la rose glacée qu'elle avait en mains.
Je me rapprochai du duo, l'oeil suspicieux.
"Nous allons devoir retrouver ma Ceinture pour que tout redevienne normal." dis-je sans lâcher Anna et Jack d'un regard méfiant. "L'ennui, c'est que je l'ai... égarée il y a des décennies. Je ne pensais pas que quelqu'un s'en servirait."
C'était la triste vérité, à croire que j'étais bien trop naïve pour penser qu'on ne s'intéresserait pas à mes affaires. Après tout, personne n'avait jamais touché à mon char. Il devait être dans un garde-meuble, quelque part à Las Vegas. D'ailleurs, il faudrait que je vérifie s'il s'y trouvait toujours. A présent, je craignais de voir mon char en vente dans l'émission Storage Wars. Ce monde devenait complètement fou. Pourquoi activer une Ceinture qui rendait fou d'amour ? Un plaisantin, sans doute.
Mon regard se posa aussitôt sur Aaron.
"Ca ne serait pas un coup de ton duo de poissons, par hasard ? Ils t'ont piégés aussi pour brouiller les pistes ?"
Je réfléchis quelques secondes avant d'écarter cette hypothèse. Je devais me calmer. Egéon et Melody n'auraient pas agi d'une façon aussi "enfantine" pour se venger de moi. Et le demi-dieu n'aurait pas piégé sa petite amie dans cette histoire abracadabrante. Je me tournai vers la petite rousse, non elle non plus. J'achevai par Jack. Il me tournait le dos, roucoulant toujours auprès de sa Juliette du jour. Je posai une main sur son épaule et le fis pivoter vers moi pour planter un regard inquisiteur dans le sien.
"C'est toi. Ca ne peut être que toi. Ca t'amuse de jouer avec les sentiments des autres ? Dis-moi où est la Ceinture."
Ma main descendit de son épaule jusqu'à son torse et je le poussai brutalement contre un rayonnage qui trembla. Des paquets de pâtes dégringolèrent et tombèrent sur le sol autour de nous. Je restai parfaitement impassible, accentuant la pression de ma main contre son torse.
"Dis-le moi tout de suite ou je saurai te faire parler. Et crois-moi, tu cracheras plus que de la glace." dis-je d'une voix douce qui sous-entendait une déferlante de tourments.
Tout en le gardant toujours plaqué contre le rayonnage, je tournai la tête vers les autres. Il tentait de me refroidir la paume mais je tenais bon. Qu'il change mon bras en glace, qu'il essaie un peu. "Vous avez de la chance, je suis la seule à garder la tête froide. La Ceinture ne m'atteint que si je le désire." expliquai-je.
Heureusement qu'une personne censée était là pour contrôler le groupe qui ne tarderait pas à partir en sucette... excusez-moi le mot.
Un détail me troubla subitement. Un détail parfaitement insignifiant. En tous cas, je l'espérais. Je fronçai les sourcils et tournai de nouveau la tête vers Jack. Mon regard tomba sur ma main qui avait décidé de caresser son torse. Je clignai des yeux, perturbée par mon propre geste. J'enlevai ma main en vitesse avant de me reculer, l'observant avec une angoisse non dissimulée. La Ceinture fonctionnait également sur moi ? Vraiment ? Pas étonnant avec mes émotions en vrac... "Je suis plus forte. Je vais combattre ça." dis-je d'un ton farouche.
Je chassai une mèche de cheveux de devant mes yeux, avant de regarder rêveusement le jeune homme face à moi. Nouveau battement de cils. Instant de lucidité. Non ! Non !
J'avais l'impression que deux personnalités se disputaient mon esprit. Jack me semblait nettement plus intéressant que d'habitude. Son sourire m'apparaissait comme étant moins narquois, son regard nettement plus intense, et que dire de ses cheveux ? Je levai la main vers lui pour les toucher mais, réalisant soudain ce que j'allais faire, mon autre main tapa la première. Je devais vraiment avoir l'air d'une folle.
Pour finir, je me donnai une gicle, ce qui eut pour effet de faire retrouver la tête froide pendant quelques instants. "Alors ? Où est la Ceinture ?" insistai-je à l'adresse du glaçon ambulant. "Ce n'est pas parce que tu as de jolies fesses et des pectoraux durs comme du plomb que tu es sorti d'affaire ! Tu es le suspect numéro un dans cette affaire !"
A peine prononcées, je voulus ravaler mes paroles. Je laissai échapper un couinement de désespoir. Puis je lui lançai un regard de haine mêlée à une dévotion sans borne. J'avais envie de le tuer et de le déshabiller. Tout en même temps.
Brusquement, une sonnerie de téléphone résonna autour de nous. Cela me permit de faire un break avec mes pensées en désordre. La sonnerie insista. Je plaçai les mains sur les hanches et mes doigts pianotèrent contre le tissu de ma robe d'un air agacé.
"Personne ne répond ?" fis-je, presque agressive.
J'allais mettre ce temps à profit pour tenter de combattre les pulsions qui m'envahissaient. J'allais triompher. Ce n'était qu'une question de temps. Je tentai de m'en convaincre pour éviter de craquer pour de bon.
Arya : 100%
Jack Overland
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Lucas Till
| Conte : Les 5 légendes | Dans le monde des contes, je suis : : Jack Frost
Cette fille était juste ... Un ange décendu du ciel pour montrer a l'humaité qu'elle n'avait pas besoin de glaces au chocolat pour ne plus déprimer. La regarder suffirait a redonner espoir a n'importe qui. Mon commerce allait en partir, mais pour elle je serait pret a me convertir en grilleur de brochettes.
Je m'étais adossé d'une épaule a une étagère, les bras croisés, a la regarder l'air béat, buvant ses paroles, le moindre de ses geste. Qu'elle était belle. Et pleine d'esprit en plus. Pouvait ont faire plus adorable créature ? J'allais poussé un long soupir de bonheur avnt de me reprendre. Non non non, certes j'étais transit d'amour pour elle mais je me devais de gagner son coeur. J'avais déja gagné un point avec ma rose, je ne devais pas perdre cet avantage ! Et je n'avais pas du tout aimé le regard qu'elle avait jeté au mouton.
Mais un rapide coup d'oeil vers lui me rassura. Il était allé voir la brune, je n'avais plus qu'a gagner le coeur de ma belle... J'écoutais ses paroles, je les buvais a vrai dire jusqu’à ce qu'Aryana ne vienne nous interrompre. Elle expliqua une histoire de ceinture mais j'étais trop absorbé dans ma contemplation pour y faire réellement attention. Elle s'approcha de nous.
"Ecoute, si tu l'as perdu ta ceinture, repense au dernier endroit ou tu l'as vue, ca devrait t'aider. Ou rachète t'en une si tu veux."
Elle se désintéressa de nous, a mon grand soulagement. Je n'aimais pas spécialement être interrompu quand je charmais. J'en profitais pour me retourner vers Anna.
"Tu aimes ma rose ?" Fis je avec un grand sourire. "Je peux en faire pleins si tu veux ! Ou un animal ! C'est lequel ton préféré ? "
Oui, je pouvais tout lui faire ! Je pouvais même lui faire un trône en glace si elle le voulait.
Tout a coup, je me sentis tiré par l'épaule et fut forcée de me retourner. Aryana se mit a m'accuser d'avoir voler la ceinture. Je ne savais pas qui était responsable de ca, mais de un , je l'aimais bien d'être aussi imaginatif, et de deux, il m'avait fait rencontré l'amour de ma vie, je n'allais décemment pas ne pas l'aimer ! La déesse me plaqua contre un rayonnage. Bon sang, une demoiselle ne devait pas être aussi brutale voyons !
"Dis-le moi tout de suite ou je saurai te faire parler. Et crois-moi, tu cracheras plus que de la glace." "Tu penses a quelque chose en particulier ? " Fis je avec un haussement de sourcils suggestif. "Mais pour une fois j'y suis pour rien. Mais si je trouve celui qui a fais ca, je l'embrasse" ajoutais je avec un rapide coup d'oeil vers ma dulcinée.
Choupette précisa qu'elle était insensible a sa ceinture. Et elle me caressait le torse. Bon, je savais que j'étais attirant mais quand même, pas ici ! Elle se rendit rapidement compte de ce qu'elle faisait et retira sa main. Je ne pus m'empecher de lui faire mon plus charmant sourire et elle voulu me toucher les cheveux. Avant de s'arreter. Et de se mettre une giffle.
Une giffle ?! Bon je savais que je faisais de l'effet aux filles mais pas au point qu'elles se frappent ! Je me tournais rapidement vers Anna, l'air paniqué.
"J'y suis pour rien je te jure, c'est elle qui c'est frappé toute seule comme une grande ! Regarde, je vais même la soigner !"
Je n'eus même pas le temps de lui mettre un peut de glace sur sa joue qu'elle ventait les mérites de mon corps. Ca c'était bien ! Nom d'un grizzli rose, fallait qu'elle continue a die des trucs comme ca ! C'était sur, Anna aller m'aimer.
"Allez, je sais je sais, je t'avis dit, j'y suis pour rien". J'avais doucement attrapé son menton et délicatement, l'avais tourné sur le coté avant d'appliquer ma main sur sa joue et de la refroidir pour chasser cette vilaine trace rouge. Fallait juste que je fasse gaffe a ce qu'elle ne me saute pas dessus, j'allais pouvoir géré non ? "Mais merci pour le compliment."
Une sonnerie se fit entendre. La mienne. Celle des gardiens ! Sérieusement j'étais obligé de la mettre voyons ! Après avoir vu le film, je n'avais pas pu m'en empêcher. Elle était vraiment trop cool.
"Faut te détendre Choupette !" Lui dis je avant de retirer ma main de sa joue et d'attraper mon téléphone et de me tourner vers Anna. "Ils ont fait un film sur moi" lui dis je les yeux brillants. J’espérai que ca allait l’impressionner, puis décrochais.
Allo ?
Tu aimes les films d'amour ?
Oh. Bah je connaissais plus polie comme entrée en matière mais passons, je n'allais pas m’arrêter sur des détails de ce genre si ? Un sourire goguenard s'installa sur mes lèvres.
"Toujours quand j'ai a mon bras une jolie fille .... Pourquoi, tu veux en voir un avec moi ? Bah oui je pouvais toujours proposer non ?
"Pour ça il faudrait d'abord savoir qui je suis... Dis-moi Jack, quel est ton film d'amour préféré ?"
La personne connaissait mon nom. Intéressant. J'étais prêt a parier qu'elle connaissait le nom de tout le monde ici. Donc soit elle avait enquêter, soit il s'agissait d'une connaissance commune. Je connaissais certes pas mal de blagueurs, mais de la a ce qu'ils parlent d'une voix aussi vicieuse ... non, ca ne collait pas.
Humm... Si tu est une jolie fille, tout peut s'arranger ... Le temps d'un automne, tu l'a vue ?
Je jetais un coup d'oeil a Anna de mon coeur, cherchant a savoir si elle connaissait. Il y eut un silence. Puis la voie reprit, énervée.
"Non. Dis, t'es pas un peu crétin ? Je t'appelle, tu ne me connais pas, et tu ne me demandes pas qui je suis ? Tu n'es pas un peu effrayé ? Je vais faire monter la pression. Mets le haut-parleur. Allez, METS-LE ! Tu sais que je te vois ? Je sais si tu ne le fais pas ! Mets-le haut-parleur, je veux que tout le monde m'entende !"
Ah et en plus ca manquait de culture ! Bon, j'avouais que je ne regardais jamais la télévision, ce film, je l'avais vu sous la malédiction, lors d'une soirée avec une fille scotchée a moi qui avait finit en larmes. J'aimais bien énerver les gens. Surtout que la, j'esperai que sa voix trahisse son sexe. Me donne une indication quelconque en fait !
"Mais calme toi mon lapin... Je n'ai pas besoin de te connaitre pour t'apprécier déja ! Si si je te jure ! Allez, viens avec nous tu n'as pas besoin d'être timide ... je suis un gentils gars. "
"D'accord." répondit elle plus calme "Tu veux la jouer comme ça. Si tu ne mets pas le haut-parleur dans moins de cinq secondes, je tue la rouquine. Attention c'est parti !! Cinq... quatre... trois... deux..."
"OK OK JE LE MET !!!" m'écriais je d'un coup en cherchant le bouton en question. Bon sang, COMMENT fonctionnait cet appareille de malheur ?
"Trop tard"
Je ne pris pas le temps de fermer mon téléphone et me contentais de le faire tomber en me plaçant devant Anna prêt a mourir pour elle. Un truc tomba du plafond et attérie sur ... Aaron. Le type de tout a l'heure. Je poussais un long soupir de soulagement et regardais autour de moi - et au dessus - pour voir si il y avait d'autres sacs en suspension. J'avais pas envie que ma belle se change en pancakes.
Je jetais un dernier regard suspicieux autour de nous et attrapais les mains d'Anna.
T'en fais pas, je te protégerai !
Je la lâchais et me dirigeai vers Aaron avant de lui tendre la main en me retenant de rire.
Ca va, rien de casser mec ?
Anna D'Arendelle
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Soso Turner :love:
HERE WE GO AGAIN
| Conte : La Reine des Neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Anna
Je papillonais legerement des yeux, en voyant le blond, qui semblait manifestement, se dire, que j'étais son nouveau plan drague, pour être honnête, je comprenais, pas trop ce qu'il passait, j'étais, un peu, étonnée, néanmoins, mon attention, se porta sur totalement, autre chose, et je me retins, de pousser un cri de surprise, il venait, de crée une rose en glace. Toute, mon attention, se focalisa, sur la dite, rose, oubliant totalement le reste, elle était parfaite, jusque dans les moindres, détails. Mais, alors, ça voulait dire, que les pouvoirs de glace, peuvent se maitriser, si lui, il arrivait à faire ça, alors, j'étais sure, qu'Elsa, réussirait elle aussi. Son palais, de glace, était somptueux, c'était une preuve, que quant, elle le voulait bien, sa magie, pouvait, être magnifique.
Mais, je détachais, mon regard de la rose, pendant que la déesse blonde -j'avais un peu oublié son nom je dois l'avouer- prenait la parole, elle parla d'une histoire de ceinture, exacerbant, les sentiments. Je sentis, soudainement, mon cœur battre à la chamade, alors, ça voulait dire, que, ce n'était pas ma faute, si je me sentais attirée par le premier venu. Je secouais la tête, non, Anna, c'était ridicule, tu n'as pas eu besoin, d'une histoire de ceinture, pour tomber amoureuse d'Hans.
Je me mordis la lèvre, tout, en jetant un regard en coin vers le brun, c'était différent, d'avec Hans, c'était beaucoup plus fort, sauf qu'à nouveau, la personne, pour qui je ressentais, quelque chose, semblait s'intéresser à totalement autre chose, ou en l’occurrence, à quelqu'un d'autre.
Je pris sur moi, pour ignorer, la boule qui s'était formée dans ma gorge. Non, j'étais forte. J'allais, sortir, d'ici, me diriger droit, vers la forêt, obliger, Elsa, à se montrer, et oublier, cette histoire, faire, comme si, rien ne s'était jamais produit.
Mais, Jack se tourna vers moi, et commença à parler de sa rose, c'est vrai que je l'aimais beaucoup, il continua, sur sa lancée, énumérant, ce qu'il pouvait crée d'autres. Mon regard, passa, brièvement, de la rose, de glace à lui :
- Vous...vous avez, vraiment des pouvoirs de glace ?
J'étais désolée, de casser ses espoirs, mais, j'étais pas franchement, disposé, à me laisser draguer, en particulier de cette manière. Non moi, tout ce qui m'intéressait, c'était le fait qu'il puisse potentiellement, aider ma sœur. Si, je présentais, à Elsa, une personne, qui avait le même type, de pouvoir qu'elle, et qui les maitrisait, alors, peut-être, pourrait-elle, se laisser convaincre, d'accepter mon aide.
Quoi qu'il en soit, j'ouvris des yeux ronds, devant la réaction, de la déesse, qui poussa violemment, Jack contre un rayonnage. Je crois, que je préférais, définitivement, Arès, à elle, il était plus sympa, comme dieu, et d'ailleurs, tout ça, me donnait, très envie, de rester éloignée, le plus loin possible, d'eux. Ce qui ce passa par la suite, me donna encore plus l'impression, d'être embarquée dans la quatrième dimension, la blonde annonça, que sa ceinture n'avait aucun effet sur elle, et se mit à caresser le torse de Jack, pour finir par se mettre une gifle. Non, vraiment, ne pouvait-on pas, avoir ne serait-ce qu'une journée normale à Storybrooke, sans qu'il, n'y ai de truc bizarre qui se produisent ?
Je m'étais contentée de rester simple, spectatrice, jetant, un regard au brun et à la brune, qui sait, peut-être que eux aussi, trouvaient que la situation, dérivait en un gros n'importe quoi, et qu'il vaudrait, mieux qu'on en reste là.
Une sonnerie retentis, je regardais, les autres personnes présente, ce n'était certainement, pas la mienne. Au final, ce fut Jack qui décrocha, non sans m'adresser un « ils ont fait un film sur moi », ce à quoi, je me contentais, de simplement hausser un sourcil. Heu, et alors ? Ils, avaient fait, un film sur tous les habitants de la ville quasiment. Je veux, dire, ça avait rien de glorieux, personnellement, j'aurais aimé, que ma vie, ne soit pas ainsi étalé à l'écran, surtout, en voyant, que je passais, pour la cruche de service.
Quoi qu'il en soit, je suivais, la conversation, de Jack, et son interlocuteur, avec méfiance, je ne savais pas ce qu'il lui disait, mais le blond lui semblait prendre ça très à la légère, jusqu'à ce qu'il ne se mette à hurler, et ne décide de se placer devant moi : heu il se passait quoi là ?
La réponse, arriva très vite, puisque quelque chose tomba du plafond pour attérir sur le brun, j'espérais qu'il allait bien, je ne voulais, pas qu'il soit blessé :
"Cette fois-ci, c'en est trop."
Et c'est sur ces belles paroles, que la blonde disparu, nous plantant là, sans explication. Non, mais, c'est ça allez-y, vous préoccupez pas de nous surtout. Je roulais des yeux, si tous les dieux, étaient comme elle, je ne préférais, effectivement, en rencontrer aucun
Le blond, lui se contenta de me prendre les mains, comme si, le fait que la déesse, qui était apparemment, à l'origine de tout ce bazar, à en croire ses dires, vu son histoire de ceinture, soit partis, ne lui faisait ni chaud ni froid. Non, à la place,il se contentant, de me dire qu'il me protégerais Heu non mais, ça va, je suis une grande fille hein, je sais me protéger toute seule, je sais me battre, je suis pas une jouvencelle en détresse merci bien.
Il fit bien, de me lâcher, parce que sinon, j'allais me charger, de le faire moi même, j'aimais pas spécialement, qu'on me tripote les mains, comme ça, et s'approcha du brun. Je voulus, faire, de même, mais, je me figeais, immédiatement, sentant un truc me frôler, de justesse. Je restais, statufiée, le cœur battant à la chamade, puis doucement, très doucement, je me retournais, non, sans déglutir, péniblement, pour voir, de quoi il s'agissait : un couteau, un couteau, m'avait, frôlé de justesse, et s'était planté dans un pot de sauce tomate. D'a...ccord, pas flippant, du tout, non vraiment, c'était moi ou la situation, partait légèrement en vrille ? Levant, mon regard, je pu apercevoir, un type, sur la structure en métal, qui semblait, manifestement, avoir envie de s'entrainer, pour être lanceur de couteau dans un cirque, sauf que les cibles c'étaient nous. Je crois, que le pire, c'était son costume, j'avais pas signé pour un remake de Scream, ou que sais-je d'autres.
J'évitais, de justesse, un couteau qui arrivait, dans ma direction, tout en criant aux autres de faire attention. J'en vis, un passer à deux doigts, de la joue de Jack, tandis que, je me baissais, pour défaire la fermeture, de mon sac, bon, là ça commençait à bien faire, si en plus de tout ça, on rajoutait, un tueur fou, j'allais sérieusement, en avoir marre.
Je plongeais, la main, dans mon sac, pour en ressortir, mon épée, que je sortis, immédiatement, de son fourreau. S'il voulait, la guerre, il allait, l'avoir, pas question, de me laisser tuer, sans me battre un minimum
code by Silver Lungs
Aaron McAdams
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Jesse Eisenberg ♥
« J'avais bien dit qu'il
faisait froid... ! »
| Conte : Hercule ϟ | Dans le monde des contes, je suis : : ☣ Aaron ☣ un demi dieu. ϟ
Ca faisait mal un sac qu'on se prenait en pleine tête. Je m'étais massé cette dernière avant de me relever difficilement. Heureusement que le gars tout froid m'avait offert sa main pour m'aider. Une fois debout, j'étais à nouveau opérationnel. J'avais juste la tête qui me tournait un peu et beaucoup de mal à me tenir droit, mais ça allait. Après tout ce qui comptait, c'était que plus aucun sac nous tombe dessus.
J'avais levé les yeux au ciel en regardant le trou dans le plafond. C'était par là que le sac était tombé. Puis, je m'étais penché vers le sac. Qu'est ce qu'il pouvait bien renfermer ? Je l'avais ouvert délicatement. Ce n'était pas une bombe ni quoi que ce soit d'explosif. A l'intérieur, il y avait plein de petites... graines ? On aurait dit des graines. J'en avais prise une que j'avais porté à mes lèvres. Ca avait le goût de graines pour oiseaux.
"Ce sont des graines." avais-je dit à voix haute avant de creuser dans le sac pour voir s'il y avait autre chose. Mais non, rien du tout. Juste des graines. Pourquoi m'avoir agressé avec des graines? La personne au bout du fil était un oiseau? On m'avait parlé d'un ancien maire qui se faisait passer pour un volatile ou qui en avait été un dans une autre vie. C'était lui qui nous avait attaqué ?
J'avais pris une poignée de graine, laissant mon esprit vagabonder à ses diverses réflexions, puis je m'étais approché de Hippolyte et je lui avais tendu quelques graines. Elle devait avoir faim après toutes ces émotions.
"Tiens, prend. C'est bon pour la santé les graines. Tu sais combien de variétés il en existe? La plupart sont bio."
On nourrissait parfois mieux les oiseaux que les humains. C'était vraiment très bizarre. J'avais porté une autre graine à ma bouche quand quelque chose avait foncé sur nous. C'était passé à quelques mètres de moi et ça avait touché Jack. J'avais ouvert de grands yeux en voyant le premier couteau le toucher de plein fouet, tandis qu'un autre se dirigé droit sur Hippolyte !
"NOOOOOOOOOOOOOOOOON !" avais-je hurlé en laissant tomber les graines de ma main et en poussant le plus vite possible Hippolyte. L'arme l'avait simplement effleurée. J'avais évité la catastrophe. Comment j'aurai pu vivre sans ma bien aimée ? Enfin sans cette jeune femme que je trouvais de plus en plus sexy.
"Hipp ! Tu m'entends ? Hipp !! Tu vas bien ???"
Je la secouais dans tous les sens, mais elle semblait aller très bien. Enfin aussi bien qu'elle pouvait aller après s'être blessée avec le couteau du tueur. Car oui, il y avait bel et bien un tueur. Je pouvais le voir d'ici. Il portait un déguisement de tueur. Il avait un regard de tueur - enfin je supposais qu'il avait un regard de ce genre derrière son masque. Et il s'en était pris à la femme la plus parfaite au monde.
"Reste là, ne bouge pas, je m'en occupe !"
J'allais faire de ce tueur mon quatre heure ! Je m'étais tourné vers Anna qui avait sortie son épée... Méga badass la fille. Puis, j'avais vue sur une étagère qu'il y avait plusieurs boites de conserves alignées. J'en avais prise une et après avoir visé correctement, je l'avais lancée en direction du tueur.
Manque de bol, elle avait touchée le plafond juste à côté de lui. Mais ça avait fait tomber un morceau de ce dernier et produit plusieurs étincelles. Puis, la structure en métal où il se trouvait, s'était mise à bouger et il devait désormais se tenir à deux mains pour ne pas tomber. Tout s'était stoppé, mais juste avant que ça prenne fin, une petite explosion avait retentis. Elle provenait du toit au dessus de la tête du tueur. Je l'avais vue pencher sa tête et se demander sans doute qu'est ce qui allait lui arriver.
Tandis que j'attrapais une seconde boite de conserve, j'avais pu voir comme tout le monde, que le tueur avait mis une de ses mains dans sa poche et qu'il en avait sortit un... c'était quoi ça ?? On dirait un stylo... Enfin un petit objet métallique. Il l'avait tendu vers nous et je pense qu'il avait dû appuyé sur un bouton, car l'objet avait doublé de volume avant que quelque chose en sorte. C'était...
"Un drapeau blanc ?"
Un drapeau blanc s'était échappé de la sorte de stylo que désormais le tueur agitait dans tous les sens. Il voulait se rendre ? C'était tout ? La dernière chose que j'avais pu voir c'était la rambarde bouger une seconde fois, puis de la fumée s'était échappée des rayons autour de nous.
"Tsss tssss tsss !"
Je m'étais mis à tousser tandis qu'on ne voyait plus rien du tout.
"Hippolyte ? Mon Hippolyte ? Tu es où ? Je ne te vois pas ! Tu as rien ? Evite les couteaux si t'en vois un !"
Je sentais que mon conseil allait bien lui servir ! En tout cas, moi je n'y voyais plus rien du tout.
Hippolyte Sherman
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Shelley Hennig
Arrête de t'en faire. Je suis là maintenant, ok ?
Tu m'as vraiment manqué Peg !
| Conte : Inventé | Dans le monde des contes, je suis : : la fille d'Arès.
Le bordel. C’était le bordel. Tout le monde se draguait à cause d’une ceinture et il y avait un fou qui essayait de tuer les membres du petit groupe qui s’était formé. Oui. Hippolyte avait bu les paroles de sa déesse d’amour. Elle était totalement sous son emprise. Limite, il n’y avait qu’elle qui comptait dans le groupe. Mais Aaron s’était mis un fois de plus entre elles. Hippolyte l’observa en essayant de rester neutre, ni trop méchante, ni trop gentille. Il lui tendait des graines. « Des graines ? Tu m’as pris pour un piaf ou quoi ? » Non mais qui mangeait des graines à part les oiseaux ? La demi-déesse leva les yeux au ciel. Lorsque soudain, Aaron cria son nom. Puis tout se passa rapidement, elle se retrouva sur les fesses avec une petite entaille sur la joue. Ouf ! Le couteau n’avait pas touché sa nouvelle oreille. Puis son cousin s’était mis à la secouer dans tous les sens et en n’y mettant quand même assez de force. Hippolyte posa ses mains sur les siennes afin de le stopper. « Calme-toi ! Je n’ai rien. Merci ! » Oui. Il fallait quand même le remercier de ce geste. Hippolyte se remit rapidement sur pied. Elle laissa Aaron s’occuper du tueur fou. Ce qui l’importait à ce moment précis était de protéger sa Aryana. Cependant Hippolyte chercha du regard et ne l’a trouva nulle part. « Aryana ? » Où était-elle ? Hippolyte s’éloigna de quelques mètres du groupe pour chercher plus en détail, mais il n’y avait personne. En plus, une fumée venait d’apparaître. Pour plus de sécurité, Hip décida de rejoindre le groupe, assez difficilement. « T’inquiète pas Aaron ! Je peux me débrouiller toute seule ! » C’est qu’il était collant et chiant. Si jamais Egéon apprenait ça, il lui ferait certainement sa fête. La fille d’Arès se sentait mal. Pas par rapport à Aaron ou Egéon. En fait, elle s’en fichait d’eux à ce moment précis ! Elle se fichait même du tueur fou, de ses couteaux et autre. La seule personne à qui elle pensait était Aryana. Et cette dernière n’était plus là. Elle avait disparu. « Aryana ! Tu es où ? » Sa voix était fragile. On ressentait l’émotion dans ses paroles. Elle se sentait vidé par l’absence de la déesse. Hippolyte tomba sur les genoux, triste de n’avoir aucune réponse. « Je t’en supplie Aryana. Viens à nous ! » Oui, elle suppliait la présence d’une déesse. Est-ce que cela allait fonctionner ? Après tout, cela avait eu l’effet souhaité quand Hope et Anna avait décidé d’appeler Arès au temple. Mais rien. La seule chose qui se produisit fut la disparition progressive de la fumée. Enfin ils pouvaient respirer convenablement et surtout retrouver toute leur vision ! Hippolyte se releva, toujours avec une mine triste. Comme quoi, le dicton était vrai. ‘‘Un être vous manque et tout est dépeuplé’’. C’était exactement ce qui se passait avec la jeune femme ! Soudain, elle reconnut la sonnerie de son téléphone. Elle décrocha sans attendre et entendit une voix plutôt étrange au bout du fil. « Ca t'épate, hein ? » Un homme ou une femme ? Impossible de savoir. Sa voix était trafiqué, ça s’entendait. Par contre, la voix était essoufflée. Sans doute la personne venait-elle de courir pour se cacher. Avait-elle peur de se faire retrouver par le groupe. Cette personne avait bien raison car si Hippolyte la retrouvait, elle lui ferait passer un mauvais quart d’heure. En effet, Hippolyte était en train de s’imaginer que c’était de la faute de tueur fou si Aryana avait disparu. La tristesse avait laissé place à un soupçon de colère qui grandirait sûrement avec le temps. « Qu'est-ce qui m'épate, monsieur l'inconnu ? » Oui. Ça serait monsieur. Et tant pis si elle se trompait, elle s’en fichait royalement. Ce qu’elle voulait c’était retrouver sa belle. Et c’était lui le seul coupable alors il ou elle paierait ! Hippolyte décida de mettre le haut-parleur afin que tout le monde puisse entendre l’imbécile qui jouait avec leur patience. « Vous êtes enfermés dans le supermarché. Vous n'en sortirez jamais vivants ! Je vous tuerai un à un ! Je vous éplucherai dans le rayon des légumes, je vous étoufferai avec des oreillers au niveau literie, je vous tabasserai à coup de raquette, je vous enfermerai avec les pizzas dans les congélateurs... je vous... » Sa voix était tellement sadique. Il avait vraiment un problème, un sérieux problème. Il fallait qu’il se fasse interner dans le même hôpital qu’Hippolyte avait conseillé à Robyn. Oui, cette fille avait un grain. Ils s’entendraient peut-être ! Bref, ce mec ou cette fille commençait à jouer avec les nerfs d’Hippolyte qui ne put s’empêcher de monter sur ses grands chevaux ! « LA FERME ! On te tuera avant que tu ne puisses faire quoi que ce soit. Tu sais pas à qui tu t'attaques imbécile ! » Ca y est. Il avait énervé la demi-déesse. Et ce n’était vraiment pas bon d’énerver une demi-déesse colérique. « Et vous, vous savez à qui vous avez à faire ? JE SUIS... Euh non, je vais pas le dire. Je vais vous laisser chercher. C'est beaucoup plus amusant ! Ne vous en faites pas, vous aurez bientôt de mes nouvelles ! » Bip bip bip… Il/Elle avait raccroché(e). Ok. Il voulait jouer à ça ? Hippolyte allait jouer avec lui. Elle allait le chercher, l’embêter, le provoquer. Et elle savait parfaitement commencer s’y prendre. « Il pense sérieusement qu’on est bloqué ici ? Il ne sait vraiment pas du tout à qui il a à faire ! » La jeune femme posa sa main sur une des barres en fer qui soutenait l’étagère rempli de nourriture. Tant pis elle allait détériorer le magasin. Mais dans ce genre de situation, il fallait oublier les principes. De toute façon, Hippolyte n’en n’avait pas beaucoup. Utilisant sa colère et la force sur-humaine qu’elle avait héritée de son père, Hippolyte tira un coup sec sur la barre qui se détacha d’un coup. Elle resta dans les mains d’Hippolyte tandis que l’étagère était en train de vaciller. Elle tomba rapidement et son contenu aussi. Des conserves roulaient partout sur le sol. « Suivez-moi ! » Déterminée, Hippolyte se dirigea vers les vitres qui donnaient sur le parking. Elle commença à taper violemment sur la vitre avec la barre en fer. Il ne fallut pas beaucoup de coup pour que la vitre cède. Des centaines de petits bouts de verre tombèrent au sol. Ils étaient libres. « Alors qu’est-ce que tu en dis psychopathe ! » Enfermés dans le supermarché. Ou pas ! Hippolyte ne put s’empêcher de sourire afin de triompher de sa petite victoire. Sans attendre elle enjamba ce qui restait de vitre puis se retrouva dehors. Sentir l’air frais faisait tellement de bien. Hippolyte ferma les yeux puis se laissa porter par les odeurs agréables autour d’elle. Elle lâcha d’un coup sa barre de fer en espérant qu’elle ne soit tombée sur le pied de personne) lorsqu’elle sentit une présence divine, mélangé à un parfum qu’elle avait senti quelques minutes auparavant ! C’était Aryana. Hippolyte joignit ses mains puis les tapèrent entre elles tout en sautillant sur place. Aryana était revenue. Hippolyte ré-ouvrit les yeux mais ce qu’elle constata la laissa bouche bée. Elle était même un peu déçue. La déesse de l’amour était adossée à une voiture, une bouteille de whisky en main. Et il y avait une quinzaine d’autres bouteilles qui jonchaient le goudron. Hippolyte plissa des yeux. Ça ne lui donnait pas une image glamour. En plus, les divinités ne pouvaient pas se rendre bourrée. Alors pourquoi buvait-elle autant ? Hippolyte décida d’agir. Elle se précipita sur Aryana avant qu’elle ne prenne une nouvelle gorgée. La demi-déesse lui arracha la bouteille des mains et la lança loin. La bouteille s’écrasa contre un arbre et explosa en mille morceaux. « Arrête. Ça ne sert à rien de faire ça. Et plus, ça te donne une mauvaise image. L’alcool altère avec ta si bonne odeur. » Hippolyte se rapprocha de la déesse de l’amour afin d’humer son odeur. Pas celle de l’alcool mais sa véritable odeur, celle si sucrée et agréable à sentir. Puis lorsqu’elle retrouva cette odeur, Hippolyte ne put s’empêcher de sourire bêtement. Et sans laisser le temps à Aryana de le prévoir, Hippolyte la serra dans ses bras. « Je pensais que le cinglé t’avait fait quelque chose. S’il n’avait touché ne serait-ce qu’à un de tes magnifiques cheveux, je l’aurais étripée. J’ai pas amené ma lance, mais j’ai trouvé une arme de substitution ! » Elle se détacha d’elle, doucement puis tourna légèrement le dos. « La barre de fer là-bas ! » Elle l’indiqua avec son index. « La vitre n’a pas survécu. L’autre taré a cru qu’il pourrait nous retenir prisonnier. Il a trop avalé de fumée celui-là. » Puis son regard se reposa sur la belle déesse qui ne semblait pas dans son assiette. « Pourquoi tu nous a abandonnée ? Tu nous aime pas ?...Tu ne m’aimes pas ? » Le regard d’Hippolyte devint rapidement plus triste. On aurait dit un chien battu. « Et pourquoi tu bois comme ça ?! » Oui. Hippolyte avait besoin de savoir tout ça. Elle voulait être là pour sa belle. Mais elle avait besoin aussi qu’Aryana soit là pour elle…Ce qui n’était pas le cas pour le moment. Mais pourquoi ?!