« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Le journal de Carl Fredricksen À la découverte des dabous
27 février.
Russel a réussi à dérouter les braconniers. Les créatures sont sauves. Moi qui était venu ici pour les capturer et les ramener, je n'aurais jamais pensé devenir leur protecteur. Mais il le faut. Ces créatures d'une beauté et d'une rareté telle doivent être préservés de la barbarie humaine. Elles sont si magnifiques ! Et leur intelligence est remarquable. Ils semblent ressentir une frange d'émotions impressionnante, et leur personnalité amicale et accueillante est exemplaire, ils semblent même s'entendre avec mes chiens. Nous devons les protéger. […]
03 mars. […] L'une des créatures a été abattue par un braconnier. J'ai réussi à dissimuler le corps, mais la troupe est choquée ; eux qui n'avaient jamais rencontrés d'humains avant moi et Russel, ils se méfient désormais. L'un d'eux à failli blesser Russel gravement, mais j'ai pu calmer le jeu et les cacher avant que les braconniers ne nous rattrapent. Les dabous ont désormais élus domicile dans le labyrinthe de pierre. C'est parfait ; les braconniers ne les retrouveront pas là-dedans… [...]
19 juin. Russel et moi avons réussi à purger la jungle de ceux qui voulaient la peau des dabous. Je ne sais pas moi-même où ils sont d'ailleurs ; le labyrinthe de pierre fonctionne à merveille. Ils sont sains et saufs. Mais je commence à me faire vieux. Cela fait des années que je suis ici ; je ne pense pas survivre très longtemps dans un tel climat. Malgré tout, ma mission est accomplie, et Russel est déterminé à poursuivre notre quête. Protéger les dabous à tout prix, voilà le sens de sa vie ; je suis si fier de lui. Certains de nos chiens se sont enfuis perdus dans la jungle. Je regrette leur disparition ; j'espère qu'ils s'en sortiront. [...]
14 septembre. […] Un explorateur a retrouvé notre caverne. Russel voulait l'éliminer, mais il s'est présenté comme étant un simple aventurier à la recherche d'histoires à raconter. Il serait tombé sur des documents d'archives concernant mon expédition dans la jungle. Je ne sais pas si on peut lui faire confiance. [...]
17 septembre. L'explorateur est resté en notre compagnie depuis quelques jours. Cela fait si longtemps que je n'ai pas vécu aux côtés des humains et de la civilisation… mais Russel semble lui faire de plus en plus confiance. L'explorateur souhaite raconter notre histoire, mais c'est hors de question. Personne ne doit connaître l'existence des dabous.
18 septembre. Nous sommes enfin arrivés à la fin des négociations. L'explorateur s'inspirera du combat de Russel et moi-même pour écrire le scénario d'un simple film pour enfants se déroulant au Venezuela ; une histoire vraie et difficile déguisée en belle histoire pour les enfants. La meilleure manière de faire croire au monde que l'existence des dabous n'est qu'un joli conte inventé de toutes pièces. En échange, l'explorateur promet d'effacer toutes traces de l'expédition de Russel et moi-même autant qu'il le pourra. Les dabous seront protégés. […]
Desmond était bien dans le nid ! Il jouait avec les petits chiots, absorbé par leurs petites bouilles adorables, pendant que les autres essayaient de se faire accepter par les oiseaux, ce qui était étonnement facile, il devait le reconnaître. Et étrangement, Desmond se découvrait d'étranges affinités avec les animaux ; eux au moins, ils ne vivaient pas couverts de lois complètement stupides ! Kaa jouait à « va chercher », pendant que Paige grimpa sans peine sur le dos de l'un d'eux. Ils aimaient bien les enfants ; et Desmond en déduit qu'ils avaient dû adopter les chiots, probablement abandonnés par leur mère. Mais bon, tout cela n'étaient que des suppositions. Alexandra imita la technique du chocolat, et bientôt, les oiseaux se prirent au jeu, s'amusant tour à tour avec Paige, Alex et Kaa, et Desmond les observait depuis le nid, avant de voir Kaa précipité à côté de lui, manquant d'écraser un chiot, que le pyromane s'empressa de saisir.
« Mademoiselle, vous venez souvent ici ? »
Il eut un petit rire en observant Kaa d'un regard exagérément langoureux. Elle avait beau être une grognasse, elle était quand même super bien fichue, cette Kaaterine ! Une bien belle silhouette, ça c'était certain… Mais sans attendre de réponse de Kaa, Desmond se releva, jetant un œil en contrebas. Quatre des aventuriers avaient réussis à se faire accepter du groupe d'oiseaux géants, mais la Méchante Reine et Blanche-Neige venaient de se trouver un point commun ; les oiseaux ne les aimaient pas. Mais alors, vraiment pas. L'un des membres du trio jouait avec Paige sur son dos, et un autre picorait les poches d'Alex à la recherche de chocolat ; mais le troisième par contre, s'élança de toute sa hauteur contre Regina et Mary Margaret, agitant ses petites ailes de poulet d'un air menaçant. Puis, saisissant la méchante reine au col de son grand bec, il la balança contre la belle-fille de celle-ci, les précipitant les deux à distance dans un magnifique roulé-boulé qui valu un fou rire monstrueux à Desmond. Puis, plaçant ses mains en porte-voix, il lança :
« ça va vous deux ? Pas trop mal ? »
Et ce disant, le pyromane redescendit du nid jusqu'au sol, où le troisième oiseau l'accueilli d'un grand coup de bec affectueux. Mais comment Desmond pouvait-il se résoudre à exécuter ces créatures pour les livrer à ses employeurs, maintenant ?! C'est là que Desmond se rappela que le groupe était toujours perdu, et que maintenant qu'il avait trouvé les créatures, le pyromane devait rejoindre le point de rendez-vous le plus spectaculaire de tous les temps : les chutes du paradis !
« Et merde... »
À peine Desmond avait-il glissé sa main dans sa poche qu'il avait dû se rendre à l'évidence. Son système de localisation s'était complètement brisé ; plus aucun moyen de retrouver son chemin. À moins que…
« Eh, Chalumeau, tu veux bien nous guider hors de ce labyrinthe ? »
Chalumeau, Salamèche et Incendio. Voilà les noms qu'il avait donné aux trois dabous, évidemment. Et si au lieu de les tuer, Desmond utilisait les créatures pour sortir de ce labyrinthe ?…
J'arrivais donc dans le nid et après avoir bloqué quelques secondes à la vue des chiots, je me penchais, pour voir ce que les autres faisaient. Mais, bien sûr, il fallait que Desmond m'interrompe ! J'avais oublié qu'il était là lui, tiens. Hé ! Mais il me regardait bizarre... -Mais tais-toi, un peu ! Je regarde les bras cassés se débrouiller avec les oiseaux ! Paige et Alex se débrouillait, tant mieux. Mais, Mary-Margaret et Regina n'arrivait pas à se faire aimer ! La scène était hilarante ! Desmond descendit du nid pour les rejoindre, je le suivis. Il demanda à un des oiseaux de nous mener hors du labyrinthe. -Attends...c'est quoi ce surnom ?! Je me retenais de rire. Il avait réussi à me faire rire. Là, je dis bravo. Mais, les oiseaux étaient trois, nous étions six. Deux par oiseaux. En sachant, que deux n'ont pas réussi à se faire accepter. Il fallait trouver une solution. -Regina et Alexandra, monter sur le dos d'un des oiseau pendant que je le distrais. Idem pour Mary-Margaret, montez avec Paige. Je monte avec Desmond. C'était un plan foireux, je vous l'accorde.
Qu'est-ce que j'étais fière de moi et tellement heureuse à la fois, assise sur le dos d'un oiseau encore inconnu avec de multiples couleurs.
Regardant de là où je suis, je peux voir que nous avons tous été accepté par ces volatiles, enfin non sauf mon ancienne maîtresse et l'ancien maire, ce qui est fort dommage mais bon c'est la vie. Ce qui m'étonne quand même c'est que les oiseaux aiment bien Desmond, je me suis peut-être trompé sur son compte mais bon je lui en veux toujours.
Je me suis attaché à ces animaux, ils sont si attachants, je les protégerais si quelqu'un s'amuserait à leur faire du mal.
« Eh, Chalumeau, tu veux bien nous guider hors de ce labyrinthe ? »
Pour moi j'ai été de suite sur le dos d'un des oiseaux, maintenant, il fallait que les autres montent aussi. Après multiples essaies, Kaaterine réussit à les distraire pour que les autres puissent monter. Le début est périlleux mais ces animaux comprirent qu'on avait besoin d'eux, je les vis enfin vu que j'étais toujours sur l'un d'eux,
Après de longue minutes quatre personnes sur six sont installé, Desmond et Alex étaient sur un, j'étais avec Kaaterine, je voyais bien que MM et Régina commençaient à en avoir marre, ça se voit sur leurs visage qu'elles ne supportaient plus la situation. A chaque tentative, elles se font rembarrer par l'oiseau qui ne voulait pas d'elles. Il les menaçait avec ces petites ailes, c'est drôle à voir. De plus celui ci ne voulait pas laisser les chiots seuls.
Nos deux montures ont vu que les deux femmes possèdent un sac à dos chacune, Je vis donc les deux autres prendre dans leur bec, la lanière du sac de MM et de Régina. Elles se retrouvent donc pendu à leur sac. c'était bizarre à voir mais bon c'est un moyen comme un autre de se déplacer
J'espère qu'ils vont être meilleurs que vous pour trouver notre chemin. dis-je sans méchanceté.
Après cette découverte, sur le dos de ces volatils enfin 4 sur 6 donc deux suspendu grâce à leur sac, nous nous aventurons dans le labyrinthe de pierre, les un après les autres. En espérant que nous allons pas tombé sur des hommes armés ou quoi que ce soit.
Regina Mills
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Bon après m'être littéralement rétamée sur le sol, j'avais rejoins ma belle fille et m'étais vite rendue compte que ces foutus oiseaux étaient sacrément abrutis mais bon que voulez vous, il faut de tout pour faire un monde. Alors que nos compagnons avaient réussi à amadouer les oiseaux, Mary Margaret et moi restions là comme deux idiotes avant qu'un des oiseaux ne se jette sur moi, m'attrapant par le col sans que je ne puisse rien faire avant de me balancer contre ma belle fille, nous faisant tombée toutes les deux dans un sacré roulé boulé.
Tandis que Desmond pouffait de rire, je me releva, enrageant contre ce foutu poulet que j'aurais déjà rôti depuis longtemps si j'avais pu et me dépoussiéra avant d'aider MM à se relever. Desmond nous demanda si tout allait bien, je releva les yeux:
Je viens de me faire balancer sur ma belle fille par un poulet volant, j'ai cassé mes ray bans et je suis en manque de magie mais sinon ça va.
Quoi c'est vrai ? Je suis littéralement en manque de magie mais bon que voulez vous, je dois me contenter d'être "normale". Lorsque j'entendis le nom qu'il avait donné au poulet volant, je ne pu m'empêcher de rire bêtement. Non mais franchement Chalumau, et pourquoi pas pois chiche tant qu'il y est ? Il demanda aux oiseaux de nous aider à sortir du labyrinthe mais vu comme c'était partit, MM et moi on allait sagement attendre ici qu'ils reviennent.
Bon, apparemment non, ça allait pas être ça du tout, le serpent nous conseilla de monter sur l'oiseau enragé de Paige mais apparemment, ce n'était pas au goût du jour puisque dès qu'on essayait de s'approcher de l'oiseau, il nous menaçait avec ses ailes et son bec. Je commençait sérieusement à en avoir ras le bol. J'avais jamais demandé à être ici moi mais bon.
Quelques minutes plus tard, tous nos camarades étaient installés sur des oiseaux et MM et moi étions toujours les deux pieds sur le sol mais ce fut vite réglé vu que mes pieds venaient de quitter le sol. Ce foutu poulet venait de prendre la lanière de mon sac dans son bec, je sentais déjà le fou rire de Desmond revenir jusqu'à mes oreilles. Je croisa les bras sous ma poitrine:
Si j'entends un seul rire de n'importe qui, je le transforme en chiche kebab et je le donne à bouffer aux oiseaux !
Je me laissait transporter par la lanière de mon sac, j'avais une soudaine envie de me terrer dans un trou de souris parce que c'était étrangement la honte d'être tremballée tel un sac à patate. Je regardais devant moi comme si tout allait bien et me rendis compte que le temps passé et qu'on en voyait pas le bout.
C'est moi où y'a pas de fin à ce labyrinthe ?
Eliza Wild
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Toutes les participantes à cette étrange expédition avait réussi à se faire accepter par divers moyens par les oiseaux. Enfin presque toutes. En effet, Mary-Margaret et Régina ne semblait pas du tout se faire accepter. En effet, Kaaterine avait réussi à se faire accepter en lançant des bouts de bois et elle s'était même retrouvé dans le nid elle aussi, Paige était montré sur un des oiseaux après 'être fait accepté et Alex leur avait donné du chocolat. Elle avait même dit à l'ancienne maire que ça semblait marcher. Pourtant, les deux femmes ne se faisaient toujours pas accepter.
Tout à coup, Desmond descendit du nid avec Kaaterine. Desmond demanda à un des oiseaux de les mener hors du labyrinthe. Il l'avait appelé Chalumeau. Non mais, d'où ça lui venait ce nom trop bizarre? Kaetrine demanda d'ailleurs ce qu'était ce surnom avant de se mettre un peu à rire. Finalement, elle prit les opérations en main. Elle demanda à Régina de monter avec l'espionne sur un oiseau et à Mary-Margaret de monter sur l'oiseau où était déjà Paige. Puis elle dit qu'elle monterait avec Desmond. Alex s'en réjouit: au moins, elle ne serait pas avec le mec bizarre qui leur servait de guide... Alex réussit facilement à monter sur l'oiseau, tout comme Kaaterine et Desmond. Mais les oiseaux ne semblaient pas vouloir de Régina et Mary-Margaret sur leur dos. Finalement, chacun des oiseaux déjà occupés virent que les deux femmes possédaient un sac à dos et prirent les lanières de chacun d'eux. Régina et MM se retrouvaient donc pendues à leur sac. Ce qui un peu rire les autres, enfin, du moins ça fit un peu rire l'espionne. Paige dit qu'elle espérait qu'ils seraient meilleurs pour trouver leur chemin que les autres. Desmon rit de la manière dont l'ancienne maire et une des maîtresse de l'école de la ville étaient transportés et elle croisa alors les bras sous sa poitrine en disant que, si elle entendait un seul rire de n'importe lequel d'entre eux, elle le transformerait en chiche kebab et le donnerait à manger aux oiseaux. Bon OK il fallait mieux se taire. Alex, qui riait un peu, s'arrêta aussitôt.Ils se mirent en route. Régina finit par dire:
C'est moi où y'a pas de fin à ce labyrinthe ?
En effet, cela faisait très très longtemps qu'ils étaient dans ce fichu labyrinthe. A force, ni Desmond ni aucune des filles ne pouvaient dire si ça faisait dix minutes ou des heures qu'elles y étaient. En tout cas, le jour finissait par arriver car le soleil commençait à poindre à l'horizon. Enfin la sortie du labyrinthe se montra devant le groupe. Mais, surprise... Une embuscade les attendait et, à peine furent-ils descendues des oiseaux géants, qu'ils furent capturées par des braconniers. Ces derniers ne s'y prirent pas de manière très gentille et brusquèrent les femmes et même Paige qui n'était qu'une enfant. Quant aux oiseaux, ils réussirent à retourner dans le labyrinthe, laissant le groupe à son triste sort de prisonniers des braconniers. Alex en avait marre de ce fichu voyage. Des vacances à la plage, tu parle... Heureusement qu'elle en avait vécu d'autre en tant qu'espionne. Elle dit tout de même à voix basse:
C'était injuste... Juste lorsque son don devait fonctionner pour lui venir en aide et bien il la laissait en fait dans la panade. Elle croisa donc les bras sur sa poitrine, lançant au passage un regard noir à Desmond qui se moquait d'elle, avant... Et bien que Regina ne lui rentre dedans, la faisant tomber au sol, la sorcière juste au-dessus d'elle !
-J'suis pas lesbienne désolée !
Elle poussa donc sa belle-mère, sans aucun ménagement, sous le fou rire des autres abrutis, à qui elle lança un nouveau regard noir, avant de se diriger vers le moineau de Paige, qui se mit à l'attaquer.
-Pffff... C'est n'importe quoi ces vacances...
Elle donna donc un coup de pied rageur dans la patte de l'oiseau géant qui se vengea en... Et bien en la prenant par son sac. La jeune femme décolla alors du sol, en hurlant :
-Lâche moi le piaf ou... Ben ou Regina te transforme en kébab !
A peine eut-elle le temps de finir sa phrase qu'elle retomba donc lamentablement au sol, lâchée par les oiseaux qui prirent peur de quelque chose. Cependant, elle n'eut pas l'occasion de voir de quoi puisque sa chute l'assomma et qu'elle sombra dans l'inconscience.
Lorsqu'elle reprit connaissance, elle constata très vite que quelque chose n'allait pas... Déjà parce que le soleil s'était couché. Ensuite parce qu'ils étaient tous sous une tente. Et enfin... Et bien parce qu'ils étaient tous ligotés, pieds et poings liés. Etant donc la première réveillée, Mary Margaret tendit donc l'oreille :
-Le patron a été formel. Aucun étranger ne devait nous stopper ! -On ne va tout de même pas les tuer... On ferait mieux de les perdre dans la forêt ! -Le patron a été très clair Jarod... Pas de témoins !
Mary Margaret se redressa alors, ne faisant pas attention à la douleur qui la tiraillait à cause de ses poignets attachés dans son dos et elle donna donc un coup de pied à la personne se trouvant la plus proche d'elle, qui se révéla être Alex. Et elle lui chuchota alors :
-T'es une espionne non ? Tu sais défaire des liens alors ? J'te met au défi de me détacher que j'aille leur faire la fête !
« Salamèche, Chalumeau et Incendio. C'est joli non ? »
Desmond désigna les trois oiseaux l'un après l'autre, leur donnant à chacun un surnom distinctif, tandis que le pyromane conservait un petit sourire sur les lèvres. Et pendant ce temps, chacun essayait tant bien que mal de se trouver une monture. Desmond s'avança de son côté et, bien sûr, ne suivit aucunement les instructions de Kaa, préférant grimper sur un oiseau avec Alex, pendant que Regina et MM galérait cordialement à se faire accepter des dabous. Curieux, Blanche-Neige, la femme qui parlait aux animaux, n'arrivait pas à se faire aimer, et Desmond, l'homme qui mettait le feu, en était capable ? Vraiment, la jungle recelait d'étrangetés en tous genres ! Mais les rires sonores du pyromane, qui alimentèrent presque tout le voyage en voyant MM et Regina pendues à leur sac par le bec des dabous, s'interrompirent brusquement lorsque le groupe se fit prendre en embuscade. Alors qu'il tenait Alexandra par la taille -profitant allègrement de ce petit moment de proximité-, Desmond se fit envoyer au plancher avec une brutalité qui le laissa trop sonné pour comprendre ce qui se passait autour de lui. Tout ce qu'il pu apercevoir, ce fut deux éclairs multicolores, les oiseaux, qui s'enfuirent dans le labyrinthe, tandis que le groupe se faisait conscienscieusement neutraliser par un gros groupe de braconniers. Du moins, Desmond le devina aux armes et vêtements qu'ils portaient. Ce n'est que quelques heures ou quelques jours peut-être plus tard que les individus se réveillèrent dans une tente, ficelés au possible, alors que des voix résonnaient à l'extérieur.
« … Pas de témoins ! »
Eh merde. Desmond essaya de se redresser un peu, avant de constater qu'il était attaché dos à dos à sa grognasse préférée, qui n'avait pas l'air aussi ravie que lui de leur corps à corps forcé. Mais avant de s'épancher en phrases salaces et gestes déplacés, le pyromane jeta un regard autoritaire en direction de Mary Margaret, prenant pour la première fois depuis le début du voyage une expression très sérieuse. Après tout, il était censé être doué pour se sortir de ce genre de situation…
« La ferme Mary Margaret, on est pas au pays des contes de fées là, c'est des vrais braconniers avec des vrais flingues ! »
Il avait dit cela d'un ton sec, bien que l'on sentait plus d'animosité que nécessaire. Peut-être à cause du fait que dans le monde des contes, pendant que les princesses filaient le parfait amour dans leurs jolies histoires à l'eau de rose, le petit garçon aux allumettes n'était qu'un vulgaire personnage secondaire, et même un simple figurant, comme sa sœur… Allumettes ! Des allumettes ! Desmond parvint à tâter rapidement sa poche, lâchant un juron en constatant qu'on lui avait retiré ses allumettes. Évidemment ! Par contre, ce qu'ils ne savaient pas qu'on ne retirait jamais ses allumettes à un petit garçon aux allumettes. Surtout si le petit garçon en question est un pyromane dénué de tout scrupule. Il restait plus qu'à se défaire de ses liens, quand il entendit un son au loin, un son distinct. Un son reconnaissable. Une chute d'eau. Le camp était basé près d'une chute d'eau. Souvenir souvenir… Les braconniers n'avaient pas la moindre idée que leur camp était basé très près de là où Desmond était censé livrer les créatures.
« Vite, regardez autour de vous les filles, il faut se libérer avant qu'ils reviennent ! »
Regina Mills
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Ce foutu piaf venait de me balancer comme un sac à patates contre ma belle fille avant qu'on ne fasse un merveilleux roulé boulé et qu'elle me bouscule en ajoutant qu'elle était pas lesbienne, je lui lance un regard noir avant de finalement répondre avec un léger rictus au coin des lèvres:
-Ah bon je croyais... Moi non plus je le suis pas je vous rassure.
Si on pouvait appeler ça des vacances ? Non plutôt des emmerdes. Je soupira tandis que cette idiote de Mary Margaret venait de foutre un coup de pied dans la patte de l'oiseau et qu'on se retrouvait bientôt toutes les deux en l'air, les sangles de nos sacs dans le bec de ces foutus poulet. Pour le coup, je me sentais moins seule en voyant la tête que tirais ma belle fille. Bon bien sûr, j'avais légèrement honte et j'avais lancé à tout le monde que si j'en entendais un seul rigoler, je le transformais en chiche kebab et le donner à bouffer aux oiseaux.
Tous fermèrent leurs bouches mis à part notre abruti de guide qui commençait littéralement à me taper sur le système, si ce n'étais que moi, il serait déjà six pieds sous terre à l'heure qu'il est. Alors que le labyrinthe était sans fin, on arriva finalement au bout et on se fit prendre dans une embuscade, les pigeons étaient repartis dans le labyrinthe et on se retrouvait face à des braconniers.
-J'aurais pas pu rêver mieux comme vacances franchement...
Mais au moment où je tourna le regard vers ma belle fille, quelqu'un m'assomma et je perdis connaissance. (C'est dans ces moments là que tout le monde se dit que je suis un très très gros boulet mais je l'assume entièrement.), je me réveille dieu seul sait combien de temps plus tard avec un assez gros mal de crâne mais en tout cas, je pu entendre qu'il ne devrais pas avoir de témoins, si je comprenais bien, on allait tous mourir. Bon ben tant pis alors...
J'essaya de bouger mais j'étais pieds et mains liées, dos à Mary Margaret qui venait littéralement de se faire fermer son caquet par notre guide qui pour une fois se montré très sérieux. Je souris légèrement et le félicita:
Bien envoyé Desmond.
Bon, maintenant il était hors de question que je reste ici et que j'attende que ces foutus braconniers me mettent la main dessus. C'est pas de simples mortels armés qui vont réussir à faire peur à la Méchante Reine. J'essaie de bouger pour me libérer de mes liens mais me rends compte que plus j'essaie de me libérer, plus mes liens se resserrent. Non franchement ... Je commence à déprimer tout d'un coup, je soupire et finis par ne plus bouger parce que je commence à sentir des douleurs à mes poignets.
-Je me sens totalement impuissante là... Merci pour ces vacances de rêve. J'ai essayé de me libérer mais plus je bouge, plus mes liens se resserrent.
Hydranos
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Une journée d'enfer. Aucun ordre pour ma pomme, c'est journée libre ! Mais pas de boulot dit pas de paye et là je suis en rade de cash. J'ai envie d'une montre mais j'ai pas le droit de voler ... merci boss ! Histoire de caméras de surveillance et tout, les caméras ... nos pires ennemis. J'ai ma bouteille de bourbon et je suis tranquille assis sur mon banc face au port de Portland. Je bois ma précieuse bouteille mais moins drôle je peux pas vraiment être saoul. Dommage, j'aurais bien aimé être une créature de Dyonisos pour ce côté mais bon après le mec est un connard ! Puis un bon cocu comme on en fait plus, je m'étais presque pissé dessus en apprenant que sa jolie fiancée, cette s*lope d'Aphrodite avait couché avec Hadès. Bon le personnage en lui même est marrant mais bon il a signé la mort d'Héra et Zeus donc aucun commentaire !
Bref, une main à ma bouteille et une autre dans les poches je regarde les bateaux. J'aime bien les bateaux, j'avais aimé me promener avec les pirates quand c'était la mode et en plus y en avait même à Storybrook faudrait que j'y jette un petit coup d'œil d'expert. Mais le plus important, vous vous demandez sûrement pourquoi un mec aussi cool se trouve dans une ville aussi morte ? Pour le cash, ouais je pars voir des gentlemen qui paient grâcement certains services, ils viennent du monde des contes mais essayent de garder l'anonymat parce que bon dur de tenir la distance face à Super Sheriff, ma petite copine, Emma Swan. En plus d'être trop canon, elle était méga forte ! Magie, divin, flingue elle savait tout faire ! Mais bon elle a quand même besoin d'un prince, et là je parle de moi.
C'est donc sous un nuage grisâtre que je m'avance fièrement armé de ma cigarette à la bouche et de ma longue veste en cuir. Mes cheveux platines plaqués en arrière me rende reconnaissable et donc le videur me laisse entrer. Je m'aventure dans le long couloir sombre mais bien décoré pour ouvrir de mes doigts vernis la porte me menant au bureau de mon futur employeur. J'entre et sans autres mondanités je demande salaire et ordre de mission. Ramener des oiseaux et quelques personnes du Brésil jusqu'ici ... pas de soucis ! Simple comme bonjour, puis d'après ce que j'entends elles viennent de Storybrook ! J'ai participé au sauvetage de la ville une fois donc moi ça me va. C'est plus la guerre, je peux donc être sympa ! Si ça se trouve il y aura même des amis d'Emma qui lui diront comment je les ai sauvés. PUTAIN ... je demande qui sont les personnes et je tombe sur le gros lot ! Sa mère et la mère d'adoption de son fils ... Miracle ! J'accepte direct et roule ma poule !
Les lunettes de soleil sur le nez je me téléporte au fin fond de la forêt Amazonienne. Apparemment l'agence aurait préféré un deuxième homme cause des braconniers réputés dangereux avec ordre de les buter car travaillant pour la concurrence. Mmmh pas de soucis, je vais pas pleurer pour ça puis avec ce que je vais gagner j'aurais de quoi me faire une petite épargne de côté.
On dégage les branches et punaise qu'il fait chaud. J'aime pas trop le soleil quand il brille trop fort ... Mais je me sens bien, c'est humide et puis pleins de serpents ! Je suis un serpent et j'adore les miens ! Bon certains ont un peu peur de moi mais je suis leur papy ! Leur roi j'aurais envie de dire ... Je devrais voir Arès lui demander si je peux être Roi des Dieu des serpents ... Je soupire continuant de marcher, je les sens ils sont tout prêt. 200 mètres ? Un peu plus je dirais ... Ca sent la femelle et le méchant braconnier ! Heureusement qu'un héro passe par là mes jolies !
Je me téléporte juste devant elles qui sont prisonnières ... J'y avais pas pensé ! Bien sûr tout le monde est surpris parce que voir quelqu'un apparaître devant vous, on s'y habitue rarement surtout quand on s'y attends pas. Oui je suis philosophe aussi. Bref je soupire : Merde ...
Tandis que plusieurs braconniers qui nous entoure crient :
EL DIABLO ! EL DIABLO ! EL DIABLO
Je me retourne avec eux mais pan pan, deux balles dans la tête. Mon corps s'effondre et tombe en cendres.
Quelques secondes plus tard,
Me revoilà réapparaissant derrière celui qui m'a tiré dessus. Le plus en retrait évidemment, la chance m'adorait. L'ongle de mon annulaire se transforme en griffe à l'extrémité violette alors qu'il ne reste que trois braconniers. Enfin dans le camp, d'autres sont partis ou ne sont juste pas là. Ces mortels .. ils voient un mec apparaître devant eux puis tomber littéralement en poussière et il fuit. Pathétique.
Revenons à mon ami qui ne m'a pas remarqué, sans un bruit mon aiguille naturelle s'enfonce dans sa nuque. Tombant directement au contact de mon dard, enfin de celui là il est pris de convulsion avant de mourir, la bave au lèvres.
Je m'écrie alors :
Salut les bouzeux !
Les braconniers restants eurent un sursaut, le visage rougi par la peau. Ils se retournent mais je vous l'ai pas dis je suis un trois en un. Littéralement. Je fais apparaître deux de mes clones derrière chacun des chasseurs tandis qu'ils pointent leurs armes vers moi. Mes Moi armés aussi d'un dard font la même technique que je viens d'utiliser au moment où les deux s'écrient en cœur :
Atencion !
Ils finissent à peine que pareil que leur camarade, convulsion, mort, bave. C'était presque de l'art ce que je faisais. Dire que j'arrivais pas à passer Platine à Call of Duty ... Bref, je leurs souris le doigts bien que redevenus normal couvert de sang :
Votre chevalier est là !
Mes deux clones coupe les cordes des deux premiers groupes tandis que je m'occupe de celui de la Méchante Reine et de Mary Margaret, le groupe qui m'intéressait le plus. Je les libère. L'ancienne mairesse était en fait vachement sexy, autant que celle dans ma Sorcière Bien Aimée. Dommage qu'ils aient arrêtés la série ! Je m'avance ensuite vers Blanche Neige toujours au sol et me met à la porter comme la princesse qu'elle était. Quoi c'était ma potentielle belle mère autant l'impressionner ! D'ailleurs j'avais même jeté ma cigarette. Je lui souris, faisant disparaître mes clones puis faisant quelques pas :
Wouaaa vous êtes touts légère en tout cas je sais d'où vient la beauté d'Emma maintenant !
J'avais dis ça accompagné d'un haussement de sourcils aguicheur avant de me retourner, la reine encore dans mes bras :
Bon faut retrouver les zosiaux maintenant !
Je regarde la brune qui était un serpent, dans le Monde des Contes j'imagine. Je le sentais, une sorte d'instinct animal. Si elle avait encore son instinct elle saurait qu'il ne faudrait rien tenter contre moi. J'étais l'Hydre de Lerne après tout, elle était un peu ma cousine très très lointaine. Je la regarde :
Toi le serpent tu sais pas où ils sont partis ?
Puis je regarde leur ancien guide, oui je viens de lui voler sa place. Enfin mon salaire ne vient pas du sien alors il ne devrait pas y avoir trop de soucis mais je lui lance un regard hautain quelques secondes avant de soupirer :
Un minet qui se prend pour caïd
Je me met à rire puis faisant un petit sourire à l'archère puis à la petite fille je me permis de les rassurer :
J'ai pour mission de vous gardez en vie donc dites vous que je suis de votre côté ...
Puis je venais de les sauver donc elle devait m'avoir à la bonne non ? En tout cas j'espère avoir fais bonne impression ... D'ailleurs je venais même de mettre mes lunettes de soleil sur son nez ... Meilleur beau fils on fait pas mieux !
Alors que l'on arrivait à la sortie du labyrinthe grâce aux oiseaux multicolores, tout le groupe se fit capturer par des braconniers. Ce fut le trou noir. Quand je me réveillais, j'étais attaché dos à quelqu'un. C'était Desmond. J'étais vraiment attaché dos à cet homme. Alors que tout le monde parlait, je réfléchissais, interrompu par un Desmond étrangement sérieux. Étonnant. Mais, quand je voulus revenir à mes pensées, un homme se téléporta devant nous. Comment quelqu'un pouvait-il se téléporter jusqu'ici ? Qui savait que nous étions ici ? Je sentais la puissance de l'homme, je sentais que c'était un serpent... D'ailleurs, lui aussi l'avait deviné. J'haussais les épaules, ne sachant pas quoi faire. Enfin, il finit par dire qu'il devait nous garder en vie, je ne lui faisais pas confiance quand même mais il m'inspirait déjà plus que l'autre. -Je ne sais pas du tout où l'on pourrait aller, peut-être qu'on pourrait se rafraichir, j'entendis de l'eau...ou sinon, on retrouve les oiseaux bizarres, je crois qu'ils sont dans le labyrinthe ou on continue au hasard notre route... Mais au fait, vous êtes qui ?