« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
La bonne ambiance n'était pas au rendez-vous. Parce que déjà, Mary Margaret se moquait de Regina en prenant place dans l'avion. Elle attacha sa ceinture, parée au décollage, avant que Regina ne lui annonce qu'elle avait peur de l'avion en réalité. Mary Margaret sorti donc la pochette vomi de son emplacement et lui tendit, en disant sarcastiquement :
-Si vous avez besoin de vomir, c'est ici !
Puis elle se tourna vers l'écoutille de l'avion, regardant la piste de décollage s'éloigner, avant de rajouter alors, avec un léger sourire en coin :
-En plus, l'avion c'est le moyen de transport le plus sûr !
Tout le monde fit alors connaissance durant le trajet. Du moins, jusqu'à ce que la voix de Desmond ne retentisse et qu'il leur dise de s'attacher à cause des secousses. La brunette s'attacha alors avant... De constater que l'avion perdait de l'altitude... Et que ce n'était pas normal. Elle se tourna donc Regina, qui semblait aussi paniquée qu'elle, puis ce fut le trou noir...
Ce fut elle qui se réveilla la première, plus loin des débris d'avion. Elle se releva alors d'un coup, constatant qu'elle n'était même pas égratignée. Et Regina vint à sa hauteur, alors que les autres se réveillaient aussi.
-On se calme... J'ai jamais dit que c'était votre faute ! Vous étiez à côté de moi, j'ai bien vu que ce n'est pas la vôtre !
Finalement, Regina prit la tête des opérations en bougeant de l'endroit où ils étaient. Mais Mary Margaret la rattrapa par le poignet, en demandant alors :
-Attendez ! Où est Desmond ?
Ben oui, il y avait bien les autres, mais pas de signe du guide... C'était bizarre tout de même, non ? A moins qu'il soit mort dans la chute... La brunette soupira alors, passa devant sa belle-mère avant de prendre un sac à son tour. Mais il n y avait vraiment rien d'utile dedans, à part un miroir de poche, des paires de lunettes de soleil et un couteau. Mary Margaret lanca donc le miroir à sa belle mère, en disant :
-Si vous voulez vous refaire une beauté !
La jeune femme leva donc les yeux au ciel, laissant Regina tourner en rond. Puis une fois qu'elle en eut marre, elle passa devant elle. Parce que ca faisait déjà un moment qu'elle avait vu les traces de bottes sur le sol. Elle les fit donc voir aux autres, en disant alors :
-Moi, je suis ces traces. Si ca se trouve, ce son celles de Desmonds. Il pourra nous expliquer où nous sommes. Alors, qui m'aime me suive, non ?
Et c'est ainsi que tout le petit groupe se retrouva rapidement à un croisement, où les empreintes s'arrêtaient. Snow soupira alors, fixant les deux "chemins"... Oui, parce qu'on ne les voyaient pas très bien à vrai dire. Seul le ballon bleu à gauche et le ballon rouge sur celui de droite les montraient un peu. La princesse fixa donc les couleurs et elle dit donc :
-J'aime bien le bleu, on prend ce chemin !
Et alors qu'elle s'apprêtait à choisir ce chemin, quelqu'un cria alors :
-STOP !
La brunette se figea alors et elle fit volte face, en criant à son tour, espérant que la personne qui venait de crier n'était pas un tueur en série :
-Monrez-vous !
Eliza Wild
« On sait tous ce que j'aime le plus, non? Alors pas besoin de le noter ici ! »
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Alex s'était donc retrouvé dans un avion avec un mec étrange, trois autres femmes et une enfant. Après des présentations et un tour de l'avion, chacune prit place dans l'avion: la femme prénommée Kaaterine à côté de la jeune femme et l'ancienne maire à côté de l'autre femme, Mary-Margaret. Ce qui laissait Alex' à côté du seul homme, un homme bien étrange.
L'avion décolla enfin et tout le monde en profita pour faire connaissance. Tout à coup, la voix de Desmond retentit et leur dise d'attacher leurs ceintures à cause de perturbations. Alex resta zen. En tant qu'espionne, elle avait vu bien pire autrefois. Tout le monde se mit cependant à paniquer dès que l'avion perdit de l'altitude. Ça, même si elle avait vécu ce genre de choses, c'était pas normal du tout.
Ce fut alors le trou noir. Alex resta un moment endormie puis finit par se réveiller. Tout le monde semblait aussi émerger d'un mauvais rêve. Pas loin d'elle, il y avait cette femme, Kaaterine, qui semblait ne pas vouloir de surnoms.
Finalement, lorsque toutes furent bien réveillées et sûres d'être en vie sans bobos ou autre, l'ancien maire de Storybrooke se mit à bouger. Seul ombre au tableau? Pas de guide à l'horizon, il semblait s'être volatilisé.
Cela n'empêcha pas les femmes et l'enfant de se précipiter chacune sur des sacs. Il y en avait cinq, pile un chacune. Alex se précipita à la suite de Régina et de sa voisine d'avion pour en prendre un à son tour. Il ne contenait que des gourdes d'eau et un peu de nourriture. Alex savait que ça pouvait aider à survivre mais bon c'était pas grand chose.
Tout le monde sembla ensuite chercher une solution. Finalement, Mary-Margaret passa devant l'ancienne maire en disant qu'elle suivait des traces. Alex les vit aussi au sol et se décida à la suivre, espérant que les autres en fasse de même.
Rapidement, ils se retrouvèrent à un croisement où les traces s'arrêtaient. Il y avait deux chemins, visibles uniquement grâce à des ballons bleu et rouge. Mary-Margaret s'apprêta à prendre le chemin marqué sur l'objet bleu mais fut aussitôt arrêté par un stop bien sonore. Elle se figea et cria à la personne de se montrer.
Il ne fallut pas longtemps à celle-ci pour venir en sortant des fourrés. Et c'était... Desmond. Il était aussi doté d'un sac et avait un fusil à pompe à la main. De plus en plus étrange, ce type. Alex ne fut s'empêcher de dire:
-Tiens, vous revoilà, vous!
Puis son instinct d'espionne et donc d'aventurière reprit le dessus. Elle décida de choisir un chemin, en espérant que ce soit le bon. Elle regarda les autres et dit:
-Bon, maintenant qu'on est au complet, on doit choisir un chemin. Je fais confiance au jugement de notre camarade et je prends donc le chemin du ballon bleu.
Elle se mit donc en route sur le chemin délimité par le ballon bleu, suivie par les autres.
Desmond ne savait pas s'il avait eu une chance de cocu ou s'il était juste extrêmement doué. Dans le doute, il considérait la deuxième solution comme la plus probable. Quoiqu'il en soit, le crash fut monstrueux, tout en étant curieusement « léger », vu la violence qu'aurait pu avoir un tel accident dans d'autres circonstances. Desmond n'avait pas réussi à remettre l'appareil en marche et le diriger, et l'avion s'était effondré entre les arbres, se scindant en deux pour envoyer le cockpit valdinguer entre les arbres avec les corps du pilote et son co-pilote, et avec l'hôte, bien entendu. À nouveau, une chance de cocu et un talent inné pour la survie avait permis à Desmond de s'en sortir pratiquement indemne des décombres, reprenant connaissance rapidement, pour se mettre à l'affut de ce qui se passait. Il avait toutes les instructions dont il avait besoin ; restait encore à récupérer les cinq demoiselles qui squattaient avec lui. Apparemment, la zone servant normalement à transporter les bagages recelait de trésors qui soulignaient le fait que ce voyage était prévu. La nécessité de crasher l'avion en faisait parti ; mais ils auraient pu prévenir quand même !.. C'est donc en soupirant presque comme un enfant frustré que Desmond se débrouilla pour rejoindre les décombres de l'avion, situés à une bonne marche quand même des restes du cockpit, où il trouva les cinq femmes endormies. Un petit sourire transpara sur son visage, bien que la tentation de profiter de leur inconscience pour leur dessiner des moustaches façon Rondoudou lui échappa très vite lorsqu'il se souvint qu'il n'avait pas le droit de les planter là -même si la tentation ne manquait pas. C'est ainsi que Desmond s'était occupé de vider la zone des bagages pour en retirer cinq sacs et un tas hallucinant de matériel en tout genre, de quoi permettre à des amateurs d'avoir une petite chance de s'en sortir dans la jungle. Il se remémora la liste des passagers ; la méchante reine, avec une magie comme ça en cas de besoin, et niveau politique c'était toujours utile ; blanche-neige la traqueuse, utile pour se diriger et suivre des traces ; Alex l'espionne, très pratique s'il y avait besoin de gadgets ou de discrétion ; Kaaterine, la connaisseuse des milieux tropicaux comme celui-ci ; et Paige euuuuh… une diversion. Sérieux, Desmond n'arrivait pas à comprendre l'utilité de la gamine dans l'histoire. Mais bon, elle devait pas être là pour rien vu que le concours était truqué. Trève de mondanité ! Desmond s'occupa de réunir sacs et matériel, et s'amusa à les remplir de manière stratégique, afin de les forcer, et de se forcer lui-même, à avoir besoin des autres. Sinon, il se serait déjà carapaté, mais l'appel du fric était trop fort, alors il avait bien besoin d'une motivation. C'était ainsi que l'un des sacs contenait gourdes et garde-manger ; un autre recelait des matériaux de survie, kits de premiers soins, seringues anti-venin et caetera ; le troisième avait du matos de camping ; et les deux derniers bah… ce qu'il restait quoi. Des chiffons, des lunettes de soleil, un couteau, un rouleau de gros scotch… Cette stratégie de répartition des affaires, tant que chacun gardait férocement ses affaires, les rendaient co-dépendants, et donc, forcés au moins de rester dans les parages les uns des autres. Il s'occupa ensuite de remplir son propre sac d'autres… matériaux et, voyant les corps gigoter, il s'empressa de ficher le camp dans la forêt, pour hum… partir en éclaireur, oui, pour ça oui ! Voilà qu'il avait déjà envie de les planter là… Et c'est par un heureux hasard -non pardon, c'est par une habile dextérité pour les pister que Desmond retrouva leurs traces un peu plus tard, alors que les deux groupes s'apprêtaient à choisir un chemin au hasard. Il sortir des fourrées en hurlant, fusil à pompe à la main :
« STOP ! »
L'espionne lui jeta un regard presque plein de reproches, lui lançant un véhémant « tiens, vous revoilà, vous ! ». Desmond fut tenté de lui exploser le crâne avec son fusil mais il se retint assez vite, se contentant d'hausser les épaules d'un air presque vexé.
« Ouaiiiis me revoilà, j'étais parti en éclaireur le temps que vous sortiez du pays des merveilles mais vous êtes parti sans même vous donnez la peine de m'attendre... »
Il haussa les épaules, prenant un air mi-boudeur, mi-moqueur, et se retira dans le silence, laissant la demoiselle prendre les devants. Chemin bleu hein ? Desmond n'avait pas encore eu le temps de les explorer… La jungle était dense, et la chaleur intense. Desmond transpirait, mais il adorait cela ; le chaud, c'était son dada ! Les insectes ne le dérangeaient même pas tant il appréciait cette petite balade au creux de la jungle, et une bonne heure, ou peut-être deux passèrent avant qu'un aboiement retentit dans le lointain… Un aboiement. Un aboiement ! En pleine jungle ! La jungle c'était le pays des jaguars, pas des clébards !
« Hop hop hop il y a un truc qui va arriver là je le sens pas du tout ! »
Desmond s'arma de son fusil à pompe, jetant de fréquents coups d'oeil dans les fourrées… Et il avait raison. Bientôt, cinq chiens bondirent hors des buissons. De très gros chiens, pleins de griffes et de crocs très pointus, et qui avaient l'air soit d'avoir la rage, soit d'être affamés. Mais Desmond n'avait pas l'intention de rester là pour le savoir. Il bondit un peu plus loin, hors de portée des clébards, qui encerclèrent les cinq demoiselles aussitôt.
« Euuuh… Je vous couvre ! »
Regina Mills
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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Mirror mirror on the wall, who the baddest of them all ?
| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
Mary Margaret se releva et m'attrapa par le poignet lorqu'elle se rendis compte que notre guide était même pas là, je tourna le regard vers elle et soupira:
-J'en sais strictement rien mais quand on le retrouve, il va entendre parler de moi !
Bon apparemment, on avait l'air de toutes aller bien et après avoir fouiller dans ses sacs où j'avais pas trouvé grand chose de très utile, je décida de prendre les devants annonçant aux filles que je voulais pas rester à croupir dans un endroit comme celui là, Mary Margaret me lança un miroir avant de m'annoncer qu'il me servirait à me faire une beauté, je la fusilla du regard mais souris légèrement:
-Il me servira pas à grand chose dans cette jungle parce que mon maquillage était dans ma valise mais bon, ça peut quand même être utile pour faire un feu alors je vais le garder...
Je le glissa dans mon sac et on repris donc le chemin avant que je ne me rendes compte qu'on tournait en rond depuis un moment et que MM ne décide de prendre les devants en passant devant moi avant de dire qu'elle suivait les traces, je remarqua bien qu'il y avait des traces de bottes sur le sol et décida de faire comme les autres et suivit Mary Margaret avant qu'on arrive toutes à un croisement. Un ballon rouge d'un côté et un ballon bleu de l'autre. Elle énonça qu'elle aimait bien le bleu alors qu'on prendrais ce chemin là.
-Je peux aussi bien dire que j'aime le rouge et que je veux aller de ce côté hein. dis-je en soupirant
Le regard sombre que me lança Mary Margaret me fit comprendre que je serais peut être seule à y aller, je soupira et décida de les suivre avant qu'une voix ne retentisse et qu'on se retrouve nez à nez avec notre guide, je croisa les bras et posa mon regard sur lui:
-Tiens vous voilà. Je croyais que les tigres vous avaient bouffé.
Je souris légèrement et l'adolescente proposa qu'on choissise un chemin, on pris donc celui du ballon bleu et bientôt Desmond nous arrêta avant qu'on ne fasse face à cinq chiens assez flippants avec des dents asserés et à mon avis, il nous voulait pas du bien. Je leva la main et tenta de faire une boule de feu avant de soupirer:
Et merde...
Sans magie, je servais pas à grand chose, je vous l'avoue alors quand je le vis partir, je cru que j'allais lui sauter à la gorge mais les chiens nous encerclèrent, je me retrouva dos à ma belle fille mais bientôt l'un des chiens tenta de me sauter dessus mais notre guide lui tira un balle dans la tête et il tomba sur le sol. Mon coeur battait fort et je tourna le regard vers l'homme en question:
-Merci.
Bon ça en faisait un de moins mais il en restait encore quatre et je me demandais bien ce qu'ils foutaient en pleine jungle. Pourquoi je suis venue... Pourquoi je suis venue ? C'est loin de ressembler à une plage du sud de l'Amérique... Je soupira et me préparer à lutter même si je servais à rien sans pouvoirs magiques...
C'était Desmond qui venait de crier et de se montrer. Et si les autres faisaient toutes sortes de commentaires idiot sur le fait que le guide se montrait enfin, Mary Margaret se tût. Elle laissa donc Desmond passer en premier et le suivi, sans même se soucier de si les autres suivaient ou non. Elle lança tout de même un coup d'oeil à Paige, pour voir si elle tenait le coup, avant de reprendre son chemin à travers la jungle.
Il faisait vraiment très chaud mais cela ne gênait pas plus que cela la brunette à vrai dire. Et puis c'était beaucoup plus agréable que le temps frais de Storybrooke, non ? Mais la chaleur sembla lui donner des hallucinations puisqu'elle entendit des aboiements. Elle fit comme si de rien n'était, continuant son chemin... Avant que Desmond ne s'arrête et ne fuit, encore...
-Couvrir nos arrières ? Je crois plutôt que vous fuyez...
Et elle se retrouva donc encerclée, avec toutes les autres, par des chiens immenses. Elle se plaça alors devant Paige. Parce qu'elle ne voulait pas que Jefferson ne la tue... Constatant qu'elle avait gardé le couteau qui se trouvait dans son sac dans sa main, elle se mit à fixer les clébards, attendant de voir lequel allait attaquer en premier. Desmond en extermina un avec son fusil à pompe. Quand à elle... Et bien elle leva son couteau en signe de défense lorsqu'un chien commença à grogner.
-Ne t'avise même pas de me sauter dessus...
Et elle fit quelque chose de très stupide : elle s'élança alors sur le chien qui... Et bien qui sauta de l'autre côté du cercle des filles et s'enfuit dans la jungle. Au moins, elle avait eu le mérite de faire fuit un clébard, même si maintenant elle avait le genou en sang après s'être écorchée sur un rocher...
Desmond réapparu à un croisement. Et, bien sûr, il nous sortit une excuse que comme quoi, on aurait dû l'attendre ! Je n'y croyais pas du tout à son excuse d'éclaireur. Bon, par contre, il avait un fusil, ça risquerait d'être utile. Si je pouvais lui piquer d'ailleurs...Alexandra choisit le chemin bleu car elle aime bien le bleu. Non, mais c'était quoi cette justification pourrie ?! -De toute façon, le bleu c'est la couleur des trucs Canard WC. J'aurais choisi le rouge personnellement. Pourquoi ? Parce que le rouge est synonyme de danger donc tout le monde le fuit comme la peste, mais au final le danger va sur le bleu, car c'est le chemin contraire au rouge, que lui on évite. Mais, je ne pouvais pas me séparer du groupe sans signer mon arrêt de mort. Lorsque cinq chiens horriblement moches apparurent et nous encerclèrent. Trois des chiens fuyaient déjà, l'un effrayé par un tir de Desmond, qui pour une fois servait, l'un effrayé par Paige et un autre par Mary-Margaret. Sauf que, moi, je devais me débrouiller avec les deux restants...Ils s'approchèrent de moi, un par derrière et l'autre par devant. Ils n'étaient pas très intelligent car ils sautèrent sur moi en même temps et, quand je me baissa, ils se fracassèrent l'un sur l'autre. Mais, ça ne leur suffisait pas, alors je profitais du court instant qui me restait pour monter un arbre. Ils me regardèrent sur ka branche, du bas. Je connaissais parfaitement les milieux comme cela et ça ne me posai aucun problème de les faire fuir. Je cassais la branche où j'étais avec mes pieds et elle tomba sur l'un des deux qui fuya aussitôt. Le deuxième, voyant la fuite de son compagnon, énerva encore plus. Je sautais sur lui et lui éclata mes pieds sur sa figure. Il repartit, un oeil en moins. -C'est bon. Les clebards sont partis. Desmond, tu peux sortir de ta cachette.
❝ Paige, Desmond Mary Margaret Blanchard, Régina, Alex et Kaa . ❞
Bon résumons la situation, pour une fille de 12 ans c'est déjà beaucoup. Je pensais que j'allais profiter de la plage, pouvoir me baigner, ramasser des coquillages les plus jolis pour les montrer à papa quand je serais rentré à storybrook. Et bien non c'est tout le contraire... Je me retrouve en pleine forêt amazonienne avec cinq autres personnes . Une peur grandissante en moi, comme si je revivais mais en pire ce qui s'était passé avec mon père quand il me reconnaissait pas... Après un crash assez lourd, on se dirigea vers un chemin pour suivre un ballon bleu à ce que j'ai compris... Mon Dieu, il fait si chaud et lourd dans cette jungle. Quand tout à coup une meute de chiens sauvages nous encerclèrent... Mary Margaret se place devant moi pour me protéger. Desmond s'était planqué pourquoi nous protégés, bon passons, je me rappelai que dans le sac de Régina il y avait un miroir, je courrai vers son sac pour prendre l'objet. Grâce au soleil, j'aveugle un des chiens qui se sauve. Malheureusement, j'avais traversé des ronces, donc égratignures... Je restais en retraite pour pas me faire attaquer par l'un des chiens... Cherchant Desmond du regard je lui dis: "Vous avez même pas de courage monsieur, même mon père aurait fait plus de ce que vous avez fait. c'est pas mature de se cacher en laisser trois femmes et une enfant..",
Mon dieu je m'étonne à parler comme ça alors que j'ai que 12 ans/
Desmond avait répondu du tac au tac à l'ancienne mairesse, commençant singulièrement à laisser sa véritable personnalité prendre le dessus. Après tout, sa mission était de les garder en vie, mais pour cela, il n'était pas obligé de les supporter, et encore moins faire semblant d'avoir la moindre considération pour leur existence minuscule et inutile ! Et c'était ainsi qu'il était parti se planquer dans les fourrées en les laissant se démerder, histoire de voir ce que mesdames j'ai-mes-ragnagna-laisse-moi-tranquille étaient capable. Apparemment, la mairesse -ancienne, ancienne bordel !- ne savait pas trop où se mettre, sans ses pouvoirs magiques. Formidable ! Elle commençait déjà à descendre dans l'estime de Desmond. Alors il tira dans la gueule du clébard avec une précision effrayante, tandis que la balle lui traversa le cerveau, le tuant sur le moment. Les autres damoiselles en détresse, par contre, étaient encore assez futées ; tout du moins, Blanche-Neige parvint à en intimider un avec un couteau, la gamine en aveugla un avec un ingénieux stratagème, en se servant du miroir de poche, et la grognasse… grimpa dans un arbre et headshot un des clébards, provoquant la fuite de l'autre. C'était une méthode comme une autre, après tout… Desmond sortit des fourrées, s'époussetant d'une main tout en tenant fermement son fusil de l'autre. Puis vinrent les remarques toutes plus sèches et emmerdantes les unes que les autres. Non mais elles étaient pas sa mère ! Même la petite s'y mettait !
« Ton père, le Chapelier là ? Pff ! Pour ce que je sais de lui il se serait barré… oh et puis merde ! »
Sortant la Loreley -son flingue, rappelez-vous- de sa poche, il tira deux balles en l'air, bien que la tentation de les tirer dans la tête de la grognasse et la gamine lui traversa l'esprit. Desmond avait beau paraître gamin et atrocement énervant, ça ne faisait pas moins de lui un homme dangereux et doué dans son métier. Prenant un air aussi autoritaire que blasé, il lança d'une voix sèche :
« Avec ce boucan, il y a à peu près toutes les bêtes sauvages possibles et imaginables qui vont pas tarder à rameuter. Alors, vous allez gentiment me suivre si vous tenez à la vie, et on va continuer notre petite aventure sans se prendre la tête, en silence s'il le faut. Ou alors aller de votre côté et on se retrouve en enfer ! »
Et sur ces mots, Desmond prit la tête du groupe en continuant le petit chemin sans se préoccuper d'être suivi ou non, restant malgré tout aux aguets du moindre danger… pour sa propre vie.
❝ Paige, Desmond Mary Margaret Blanchard, Régina, Alex et Kaa . ❞
Une remarque blessante faite sur mon papa, non mais pour qu'il se prend... Déjà qu'il nous a mis dans la merde... Quand je le vis sortir son revolver et tirai deux coups en l'air, je poussai un cri d'effroi en mettant contre l'ancien maire... Mais il est fou... Il me fait peut maintenant.
« Avec ce boucan, il y a à peu près toutes les bêtes sauvages possibles et imaginables qui vont pas tarder à rameuter. Alors, vous allez gentiment me suivre si vous tenez à la vie, et on va continuer notre petite aventure sans se prendre la tête, en silence s'il le faut. Ou alors aller de votre côté et on se retrouve en enfer ! »
Regardant Régina, Alex, kaa et Mary Margaret qui vit la peur dans mon regard... On le suivit donc au travers de la jungle. Je suis pas du tout rassuré... Après plusieurs heures à marcher, je n'en peux plus. Je suis exténué... On stoppe à côté d'une grotte énorme. Mon Dieu, il fait affreusement noir le dedans...
Après avoir mis installé sur une énorme racine, je me demandais ce qu'il avait dans cette grotte. J'ai envie de l'explorer avec les autres mais vu comment c'est noir, il faut que je trouve Après un temps de réflexion, je sortis de mon sac que j'avais dans l'avion, mon carnet de notes, je me souviens que mon ancienne maîtresse nous avais demandé de faire des recherches sur comment survivre en forêt. J'avais trouvé ça complètement bête au début mais en fait, au jour d'aujourd'hui, ça va bien me servir.
Je me mis près de l'entrée de la grotte, je sentais quelques regards sur moi, m'en fiche sincèrement. Avec des feuilles sèches des brindilles, du bois sec, avec deux miroirs, avec beaucoup de patience, de la fumée commençaient enfin de faire son apparition, Kaa et Alex étaient venu voir ce que je faisais.
Encore un petit instant, je vais y arriver. et on dit que les enfants sont immatures. le feu était bien là j'avais bien entendu entouré de pierre pour délimiter la chose "Kaa, est ce que tu peut me donner une branche assez grosse s'il te plait, qu'on peut porter à la main bien sûr." lui souriais-je en étant concentrer".
Après qu'elle m'ai donné un, je mis un bout de tissus au bout du morceau de bois et enflamma le bout de tissu. Oui j'avais fais un torche trop contente de moi.
Regardant Desmond, je lui dis :
'Vous voulez faire un tour dans la grotte monsieur??" J'ai trouvé un moyen si vous voulez."
Mary Margaret était donc à genou, la main sur son genou pour éviter que le sang ne coule de trop, pour ne pas attirer plus d'animaux féroces. Elle écoutait sans rien dire les refléxions de Desmond et les remontrances de Paige. Après tout, la gamine avait raison dans le fond... Mais tous les hommes n'étaient pas comme Charmant, ça c'était une chose que la princesse avait appris en étant avec Eden... Et alors que le sang s'arrêtait peu à peu de couler, il y'eut deux coups de feu. La brunette releva donc la tête, avant de voir leur guide, le pistolet en l'air :
« Avec ce boucan, il y a à peu près toutes les bêtes sauvages possibles et imaginables qui vont pas tarder à rameuter. Alors, vous allez gentiment me suivre si vous tenez à la vie, et on va continuer notre petite aventure sans se prendre la tête, en silence s'il le faut. Ou alors aller de votre côté et on se retrouve en enfer ! »
La maîtresse d'école se releva donc, passa devant Desmond avec un regard noir, avant de prendre Paige par la main, en disant :
-Viens... Ne l'écoute pas, on va se sortir de là.
Et c'est donc ainsi qu'ils se mirent tous à marcher. Mary Margaret se mit donc à ignorer la douleur à son genou, tout en suivant Desmond, aux aguets du moindre bruit, prête à faire les choses les plus stupides pour protéger Paige. Parce qu'elle avait bien vu que Kaa savait se défendre... Desmond était armé... Alex... Et bien elle ne savait pas trop mais Desmond avait sûrement flashé sur elle et la protégerait non ? Quand à Régina... Ben elle, elle était foutue ! Mais honnêtement, qui déploierait sa perte ?
C'est donc alors qu'ils marchaient tous que la jeune femme vit un premier ballon bleu dans la végétation. Elle arqua donc les sourcils, se demandant si les autres les voyait aussi, avant d'en voir d'autres, de toutes les couleurs : des rose, des rouges, des marron, des verts, des jaunes...
Et ils arrivèrent donc à une grotte. Mary Margaret se stoppa alors, lâchant la main de son élève, qui partit s'assoir plus loin, asseyant de faire du feu, avant de se tourner vers les autres, en demandant alors, quelques peu mal à l'aise tout de même, croyant être folle. Parce que qui aurait l'idée de mettre des ballons dans la jungle ?
-Dites moi... Vous avez vu les ballons vous aussi ?
Mais elle fut de plus en plus surprise par Paige qui arrivait, une torche à la main. Elle n'osa cependant pas demander comment elle avait réussi à faire ce feu... Elle était maligne cette gamine !