« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Bienvenue dans "Brûle avec Moi", les prémices de notre intrigue "Neverland" !
Installez vous, prenez du pop corn et savourez l'évenement.
Je me demandais si ça m'excitait juste, ou si c'était plutôt parce que ça m'amusait de voir à quel point elle se démenait pour trouver une nouvelle façon de me tuer. Merida avait tentée de m'empoisonner, de m'égorger, de m'étouffer avec un oreiller, de m'électrocuter sans courant. On peut dire qu'elle faisait de plus en plus original à chaque fois. J'avais très envie de voir quelle serait sa nouvelle méthode.
J'étais sortit du château, franchissant la grande porte en bois et longeant le petit pont. Au loin, la canne de Merida reposait tout contre un arbre. C'était sûr qu'elle était là. Elle l'utilisait beaucoup moins, mais elle avait dû faire exprès de la laisser ici, pour me faire croire qu'elle l'avait oubliée et pour que je me décide à aller la prendre pour en faire je ne sais quoi. J'avais donc joué le jeu et j'étais arrivé jusque devant la canne. Je l'avais prise en levant les yeux au ciel, puis je m'étais tourné, car je l'avais sentie arriver.
"Merida de Dun Broch, qu'elle joie de vous..."
Je n'avais pas pu finir sa phrase qu'elle m'avait envoyée des ballons d'eau dessus. Elle était sérieuse? Le premier s'était écrasé contre mon torse, le second contre ma jambe et le dernier avait juste touché l'arbre derrière moi. En plus elle ne savait pas viser.
"Wouah ! Alors là, chapeau !" avais-je dit tout en tapotant dans mes mains du mieux que je pouvais vue que je tenais toujours la canne.
"Tu comptais me noyer en pleine forêt?"
J'avais l'impression qu'il lui aurait manqué pas mal de litres d'eau pour arriver à un tel exploit. Quoi qu'il en soit, c'était bien tenté et... Je l'avais regardée bien droit dans les yeux avec un air surpris. Elle n'était pas sérieuse? Voilà qu'elle prenait son arc et préparait une flèche.
"Je vois... Tu veux tenter de me transpercer? J'aurai pensé que tu aurais fait bien plus original cette fois ci. Tu sais que si ça m'ennuie trop, je finirai par m'en lasser et je déciderai de passer moi même à l'acte mais sur les personnes qui te sont chères?"
Je lui avais fait mon plus beau des sourires en la voyant allumer le bout de sa flèche. Super ! Une flèche enflammée. Je m'étais décidé de croiser les bras et de la regarder faire. Mais en relevant mes bras, j'avais sentis une odeur particulière. J'avais amené mes mains vers mon nez et j'avais à peine eu le temps de renifler que la flèche enflammée était venue se loger en moi. J'avais poussé un râle, mais très court, car l'alcool qui était contenu dans les ballons avait pris feu et j'étais en train de brûler vif.
Il m'avait fallu quelques minutes pour tomber en cendres et me relever juste derrière elle. Je m'étais approché de la jeune femme, j'avais posé ma main tout contre sa gorge et je l'avais serré tout en collant mes lèvres contre les siennes et en la mordant jusqu'à la faire saigner. Puis, je m'étais reculé.
"Géant ! Trouve mieux pour demain ! Oh non, pas demain. C'est vrai que je pars pour règler ce petit soucis au sud. Donc tu as deux jours pour innover à nouveau. Et je veux un truc mille fois mieux que tout ce que tu as fait."
Je lui avais fait un petit lèvement de sourcil avant de disparaître. J'avais d'autres chats à fouetter et je devais me mettre en route. Dun Broch serait tranquille pour les deux jours à venir.
Pascal Méléon
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| Avatar : Arthur Darvill
"For it is in passing that we achieve immortality. Through this, we become a paragon of virtue and glory to rise above all. Infinite in distance and unbound by death, I release your soul, and by my shoulder, protect thee."
| Conte : Raiponce | Dans le monde des contes, je suis : : Pascal
Je ne me considérais pas comme une personne violente à la base et j'avais généralement beaucoup de mal à en vouloir à quelqu'un. Même si cette personne en question avait fait de terribles choses, ouais, j'étais le genre de type qui pouvait facilement pardonner, un peu trop facilement même. Et qui ne cherchait pas les embrouilles avec tout le monde, bon, il était vrai que j'avais titillé le destin de nombreuses fois et que j'avais subit beaucoup de coups durs, mais j'avais toujours relevé la tête avec cette idéal que je ne devais jamais commencé le conflit, où du moins pas sans avoir essayé le manière douce auparavant. Mais il y avait aussi une autre chose que l'on devait savoir sur moi, c'était que personne ne devait toucher au personne qui m'étaient chères. Sinon, je me montrais sans pitié, et il y avait un seul être au monde qui avait blessé beaucoup de mes amis, mais aussi provoqué des massacres intolérables. Alors j'avais décidé que si Elijah ne pouvait pas mourir, j'allais le faire souffrir, lentement, et il ne fallait jamais me sous-estimer lorsque l'on parlait de faire des dégâts, parce que je pouvais me montrer pire que ce dieu de pacotille. Mais je n'étais pas inconscient, je n'allais pas tenter quelque chose d'aussi direct que Mérida, qui était vraiment imaginative pour le coup, non, je savais qu'il jouait avec elle. Et cela me donnait envie de retirer son petit sourire narquois de son visage à grand coup de pioche rouillée, mais comme je le disais, la discrétion et l'observation étaient essentielles pour ce type de plan. Alors c'était ce que j'avais fais, j'avais observé, mon épaule avait guérie quelques jours plus tôt. Juste à temps pour profiter des tentatives quotidiennes de mise à mort d'Eli par Hope, alors qu'est-ce que j'avais fais? J'avais pris des notes. Elijah était donc insensible au poison et pouvait se remettre facilement de blessures mortels et il mettait environ une dizaine de secondes pour se reformer d'un bloc. Dix secondes c'était plus que suffisant pour bien lui faire comprendre que Méri n'était pas la seule à vouloir lui pourrir la vie. Mais je ne m'étais pas arrêté là, chaque nuit, je m'introduisais dans la salle où il préparait ces plans d'attaques avant de les reproduire rapidement et de les envoyés par pigeon au différents royaumes. Ainsi que la raison de ces attaques, mais aussi les mouvements d'Astharoth et de ses troupes, ainsi que les faiblesses du dragon. J'armais les royaumes à distances, leurs donnant le moyen de tenir, de gagner du temps pour sauver des vies. Bien sûr, ils n'étaient pas obligés de me croire, mais ils étaient prévenus de la venue du dieu des enfers. Enfin bref, j'avais récemment appris qu'Eli allait se diriger vers le sub, et je n'avais pas perdu de temps, envoyant directement une lettre pour renseigner la royauté du coin avec une lettre signée "Chevalier D'artaléon". Histoire de mettre des épines dans le pied de sa pseudo conquête. Mais passons, j'étais de nouveau prêt à me salir les mains et je n'allais pas faire semblant.
Pascal vérifia la corde de son arc, totalement invisible et perché sur les remparts. Cela faisait quelques jours déjà qu'il avait minutieusement prévu ce qui allait se passer et attendu l'occasion parfaite. Et elle venait de se présenter lorsqu'il observa le dieu quitter la château pour rejoindre Mérida, qui allait surement essayer de l'abattre une nouvelle fois. Le caméléon avait tout prévu et la flèche qu'il tenait entre ses doigts n'était pas une flèche normal. Cela lui avait pris du temps et de nombreux essais mais il avait réussit à ficeler sur la flèche deux petites choses. La première était un petit pétard maison, fait d'une mèche et d'une fine coque de bois contenant de la poudre à canon. Mais là n'était pas la surprise, l'autre petit compartiment, en verre cette fois, contenant ce qu'il y avait de plus acide dans l'infirmerie du palais. Je ne savais pas ce que c'était, mais le docteur utilisait ça pour détruire les tissus infectés en une poignée de minutes. Alors c'était suffisamment dangereux pour que le transport de ce produit dans la fine cartouche de verre avait été un véritable calvaire. Mais la flèche était prête, il suffisait de l'allumer et... Oh, ça allait être salissant. Mais il le méritait.
Pascal savait que ça n'allait servir à rien, certes, ça allait faire sourire tout le monde, mais il fallait que je frappe là où ça faisait mal, dans son petit égo de d'immortel. Et je savais exactement comment faire, mais c'était la surprise. Alors le caméléon attendit encore, immobile et perchée, ce fumier n'allait pas savoir ce qui allait lui tomber dessus. Puis il apparut au bout du pont, souriant avec ses stupides lunettes de soleils, Pascal embrassa la pointe de sa flèche avant de fermer un œil, se concentrant sur le poids du projectile et sa cible en mouvement, se coupant totalement du monde pour ne penser qu'au fait que la flèche devait atteindre la cible. Le balafré inspira et expira une première fois, puis une seconde, et la flèche quitta la corde de l'arc dans un mouvement fluide malgré son manque d'aérodynamisme. Le Dieu des enfers leva la tête pour regarder le projectile se planta dans son estomac, un peu plus bas que prévu, mais elle avait touché. Le caméléon compta jusqu'à trois et une détonation se fit entendre alors que tout l'estomac de d'Elijah s'éparpilla aux alentours. Puis l'acide commença à faire effet, rongeant la chair calcinée et le visage du dieu, son corps se régnerait aussi rapidement que l'acide le rongeait. Faisait que la chair renouvelée brûlait de nouveau, rongée par la substance verte. Le dieu tomba à genou, en plein dans une mare de son sang acidifié qui continuait de lui ronger la peau, les poumons, les yeux, tout y passait. Pascal ne cilla pas et regretta encore moins ce qu'il venait de faire alors que le corps du dieu se changea en cendre. Oh, mais ce n'était que le début, maintenant qu'il était bien énervé, j'allais pouvoir frapper un bon coup. Tout en restant invisible, Pascal attrapa un corde pour descendre dans la cours et vérifier son installation, juste devant les portes se tenait un canon de guerre, pointé directement vers les portes. C'était l'une des machines de sièges qui était resté dans un coin de la cours, personne n'avait penser à la bouger, alors j'avais demandé un petit coup de main à quelques gardes qui passaient par là et l'avait bougé de manière à ce que le canon soit pile dans l'alignement de la porte. Puis je l'avais chargé avec un boulet et... D'autres surprises. Et puis j'avais peint un petit smiley souriant sur le côté, histoire de donner une petite touche personnelle.
Pascal compta jusqu'à jusqu'à 10 avant d'allumer la mèche, il s'éloigna un peu, s'appuyant contre un mur, et regarda les portes s'ouvrir à la volée. Révélant un Elijah furieux qui avait les cheveux en feu, littéralement, ce dernier arriva juste au moment où la mèche se consuma entièrement et... Boum. Le boulet de canon fila à pleine vitesse vers le dieu des enfers qui se tenait juste devant, le choc se fit entendre dans tout le château alors que les pierres tremblèrent. Et pour le corps du dieu... Et bien il se trouvait là, et là-bas aussi, et un peu partout sur les murs. En fait, il était étalé sur une quinzaine de mètre sur le pont et aux alentours. Mais pire encore, c'était que j'avais rempli le canon de légume pourris, les restes de soupes de la semaines. Alors il baignait littéralement dans une mare de végétaux pourris qui s'imbibait un peu partout. Pascal réapparu pour faire un léger signe de tête à Méri qui se tenait à l'autre bout du pont, puis le caméléon sourit et disparu aussi vite qu'il était apparu. De manière à ce que le puzzle 1000 pièces qu'était devenu Elijah ne sache pas qui avait fait ce coup parmi tout le monde. Et puis j'avais toujours trouvé qu'Elijah était bien plus "dispersé" par rapport à Juju.
Harris Bowman
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Ce qui se passait à Dun Broch était assez amusant dans un sens, on y voyait des scènes qui auraient pu rivaliser avec le film "la mort vous va si bien." Vous savez, ces deux femmes immortelles qui font tout pour s'entre-tuer, alors qu'elles ne peuvent pas mourir. Là c'était quelque peu différent, Pascal et Mérida tentaient de tuer Elijah, mais le dieu était immortel. Meri tentait de ramener Judah, elle avait toujours eu beaucoup d'imagination. Pascal s'y était mis également. Harris rentrait d'une balade avec Épona quand le coup de canon se fit entendre. Épona se cabra, effrayée par le bruit, reculant petit à petit, alors qu'Harris tentait de la calmer en la couvrant de caresser et de petits mots doux. Elle refusait d'avancer plus loin.
"Allez, Épona, je sais que tu peux y aller, tu s la jument la plus courageuse que je connaisse, quelques petits pas et on sera rentré."
La jument poussa un hennissement avant d'avancer prudemment vers le château. En passant, elle fit bien attention à ne pas marcher sur les morceaux qui jonchaient le sol un peu partout sur la route.
"Ils auraient pu trouver quelque chose de plus propre cette fois."
Harris s'était calmé, son coeur avait accepté tous les événements qui s'étaient produit des semaines plus tôt. C'était aussi grâce à Pascal et son entrainement, la fureur s'était calmée, il l'avait accepté et apaisée. Et puis son corps n'aurait jamais tenu le coup. Il emmena Épona à l'écurie avant qu'un palefrenier arriva pour s'occuper de la jument Elijah serait absent deux jours, il en avait entendu parler, quand et où, il ne s'en souvenait pas, une histoire de royaume problématique.
DunBroch était tranquille, paisible, mais à quel prix? Harris observait Elijah et son mode de fonctionnement, le temps n'était pas encore venu pour agir, et Harris n'avait toujours pas trouvé la faiblesse du dieu.
Son esprit se porta sur Teddy pendant qu'il marchait dans les couloirs en direction de la cuisine, comment allait-elle? Est-ce qu'elle pensait à lui?
Hope Bowman
« Nounours Rebelle ʕ•ᴥ•ʔ »
| Avatar : Karen Gillan
“Il était une fois un lapin grognon et une princesse rebelle qui décida de lui rendre le sourire.”
| Conte : Rebelle | Dans le monde des contes, je suis : : Merida
Je fonçais à deux cent kilomètres heure sur la plaine. Le moteur de la voiture d'un rouge pétant grognait dès que je touchais au levier de vitesses. Ai-je déjà précisé que jamais aucun moniteur n'a voulu me donner le permis à Storybrooke ? Il parait que je suis trop "dangereuse" au volant.
Je freinais brusquement avant de tourner violemment le volant vers la droite. Les pneus crissèrent et firent voler des mottes de terre. J'accélérai de nouveau, me sentant plaquée contre le siège en cuir.
Deux jours. J'avais deux jours pour trouver un plan génial. Quarante huit heures avant le retour de "Sa Sainteté". Pour me distraire, j'avais commencé par "emprunter" la voiture préférée du dieu au rabais et la faire tourner en rond.
J'avais donné rendez-vous à mon QG secret en début d'après-midi. Un coup d'oeil vers le soleil m'apprit que je n'étais pas en avance. Je tournai de nouveau le volant, direction la foret. Comme les soldats du château étaient tous plus ou moins à la botte d'Elijah -par crainte ou par convoitise pour ce qu'il leur avait promis en échange de leur allégeance- j'avais dit à mes amis de me rejoindre dans un lieu à l'écart. La Peugeot RCZ R n'aimait pas trop le sentier sinueux à travers bois. Son moteur donnait des signes de fatigue. J'esquissai un sourire machiavélique et serrai davantage les mains sur le volant. Plusieurs fois, je faillis m'emplafonner dans un arbre, mais je parvins à virer au bon moment.
Dans un crissement de pneus, je m’arrêtai brusquement à coté d'une vieille cabane branlante. Je sortis tranquillement, sous les regards estomaqués des gens déjà présents. Samuel, Pascal et Even étaient à l'heure. J'aurais du m'en douter. Je n'en attendais pas moins d'eux. Au moins, je pouvais compter dessus. Je fronçai les sourcils sur Harris qui n'aurait pas du être présent. "Tu as menacé lequel d'entre eux pour être ici ?" fis-je en désignant les trois autres.
Avant de claquer la portière, je me saisis de mon arc ainsi que d'une boite en bois carrée. Mon carquois était déjà accroché à ma taille. Pour le coté pratique de cette rencontre secrète, j'avais laissé mes robes au placard pour porter un pantalon noir moulant et des bottes.
"Vous aviez peur d'entrer ?" demandai-je en montrant du bout du menton la cabane en bois. "C'est pas hanté, pourtant. C'est là que je venais enfant pour jouer avec maman et papa. On aimait bien venir ici tous les trois pour être rien qu'entre nous..."
Je soupirai puis chassai les souvenirs heureux d'un revers de main agacé. Plus tard pour la sensiblerie. On était en guerre ! Je fendis le petit groupe pour aller ouvrir la porte. Lorsque je la poussai, elle tomba sur elle-même. La petite cabane vacilla et s'effondra devant moi, soulevant un nuage de poussière. Je toussotai et pivotant lentement sur moi-même, j'achevai :
"Ah... c'est pour ça que vous n'avez pas ouvert."
Tout s'effondrait. Même mon enfance joyeuse. C'était super. Résistant à l'envie de me rouler en boule contre un arbre pour pleurer, je chassai cette deuxième fatalité d'un revers de main faussement désinvolte pour retourner vers la voiture et m'appuyer nonchalamment contre la portière.
"Bon, on va faire notre réunion secrète en plein air, c'est pas grave. Tout fout le camp, de toutes façons..."
Je plaçai mon arc sur mon épaule et commençai à tourner la boite en bois dans mes mains, pensive. Je rejetai mon épaisse chevelure sur mon autre épaule et levai les yeux vers Pascal.
"Ah tiens, tant que j'y pense..."
Sans prévenir, je lui assenai une petite tape à l'arrière du crane. "C'était stupide ce que tu as fait !" m'écriai-je. "Génial ton coup de l'invisibilité ! Elijah sait que c'est toi, tu sais pourquoi ? Parce qu'il n'est pas aussi con que tu le crois ! Il va te le faire payer très cher quand il reviendra. Mais j'ai pas envie que tu finisses en clafoutis. Alors, il faut qu'on agisse tous ensemble pour en finir une fois pour toutes. On a quarante huit heures pour y parvenir. Il est parti porter un coup fatal au sud."
Je laissai le temps à mes paroles de percuter leurs cerveaux et je repris :
"Inutile d'essayer de le tuer, ça marche pas. J'ai tenté l'empoisonnement, l'égorgement, la combustion. Pascal l'a fait exploser et grignoter par l'acide... On va arrêter les frais. C'est juste du temps perdu. Il nous faut une solution radicale. On ne peut pas le tuer, mais on peut-être... le contenir."
J'avais fait une nouvelle pause. Prononcer ces paroles à voix haute me faisaient souffrir plus que je le montrais. Je venais de faire une croix définitive sur Judah. De toutes façons, il était mort. Mort, mort, mort. Et un monstre avait pris sa place. Avant de le connaitre, je n'aurais jamais pensé que l'on pouvait faire pire que lui.
Je chassai une mèche de cheveux de devant mes yeux pour ouvrir la paume sur la petite boite carrée et la lever à la vue de tous.
"On pourrait l'enfermer dans une boite. J'ai lu dans un bouquin de magie noire qu'il faut quatre âmes pour en enfermer une cinquième dans un récipient pour l'éternité. On est quatre. Facile. Pas besoin de sorcier, il faut juste de la volonté. Et aussi récité une incantation à la noix. J'ai tout noté."
Prestement, je plongeai la main dans mon décolleté pour en sortir un bout de parchemin plié. Ils me fixaient avec un drôle d'air. J'avais l'impression qu'ils ne me croyaient pas quand je disais que j'avais lu un livre. Pour détruire Elijah, j'étais même capable de me mettre à la couture.
"Bon, je ne vous force à rien. Après tout, c'est pas votre royaume. Vous n’êtes pas obligé."
Je regardais surtout le couple de lionceaux en disant ça. Je savais qu'ils n'étaient pas du genre à se mêler d'un conflit, même si indirectement, ils en faisaient déjà partis.
"Ca va être dangereux. Très dangereux. Un peu comme faire un lap dance à un mec qui est totalement bourré, mais puissance mille."
Ok. Ils avaient rien compris à ma comparaison. Pas grave.
"Laissez tomber."
Je m'attardai sur Harris, posant des yeux ronds sur lui. Ok. Je ne me souvenais plus qu'il était dans les parages. J'espérais qu'il n'avait rien entendu ou que comme Samuel, il n'avait rien capté à ma phrase. Je m'agenouillai devant lui et posai les mains sur ses épaules. Il avait une sorte de maturité dans le regard qui me surprit. Mon pauvre petit grand frère...
"C'est bien que tu sois là, je vais pouvoir te parler d'un truc." dis-je d'un ton prudent, car je savais qu'il n'allait pas apprécier. "Je pense que tu as très bien compris les enjeux. Si on échoue, ça risque de très mal tourner. Et je ne veux pas que tu sois dans les parages si ça arrive. Alors... j'ai envoyé une lettre au royaume d'Enchancia. Ils sont suffisamment éloignés des projets d'Elijah pour l'instant, et m'ont dit qu'ils résisteraient coute que coute si jamais... Bref. Ils ont accepté de vous prendre le temps que les choses se calment, toi et Hammish. Si Hubert était capable de voyager, il partirait avec vous."
Je le vis ouvrir la bouche pour protester, aussi j'insistai en serrant plus fort ses épaules, le fixant avec intensité.
"Je refuse qu'il te fasse du mal, Harris. Je ne pourrai pas le supporter. Je ne pourrais pas. Il parait que c'est très beau, Enchancia. Il y a des tas de gosses. Ils vont même à une école de princes et de princesses... Okay, ça a l'air grave nul. Mais c'est toujours mieux que de mourir ici."
Tout était prévu. Un émissaire viendrait chercher mes frères à la tombée de la nuit, à l'orée du bois, et les emmènerait hors de danger. Il fallait agir tant qu'Elijah était absent. Il n'en saurait jamais rien.
Je chassai les larmes qui piquaient mes yeux et ébouriffai les cheveux de Harris avant de me relever.
Elinor Bowman
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| Avatar : Michelle Fairley
| Conte : Rebelle | Dans le monde des contes, je suis : : Elinor
Nous avions gagné, Ô oui, nous avions gagné, mais à quel prix ? J'avais fait confiance, à un homme, pour nous sortir de notre situation misérable. « Cela, ne peux être pire » m'étais-je dit. J'avais tord. Si seulement, j'avais su, un peu plus tôt, ce qu'il était réellement. Jamais, je n'aurais prit une telle décision, j'étais en partis responsable, de ce qui nous était arrivé. L'homme, que j'avais chargé, de nous aider, n'était plus. Un, autre avait prit, sa place, un homme assoiffé de pouvoir et de conquête. Les dieux étaient-ils donc comme cela ? Aussi, impitoyable, aussi violent, aussi centré sur eux même ?
Je passais, mon temps au chevet, d'Hubert. Il, ne pouvait pas le guérir m'avait-il dit, ce n'était pas la même chose que pour Fergus. Je, n'avais rien dit. Je n'étais pas Merida, je n'avait pas son tempérament, je n'avais pas sa force. Et plus important, je devais protéger ma famille. Si, je m'opposais, à lui, rien ne me disait qu'il ne tuerait pas mon mari, ni mes enfants.
Il, ne semblait plus rien avoir à faire pour mon fils, et pourtant je m'y refusais. Je refusais, de le laisser, partir. Pas lui, pas à nouveau. Notre famille, n'était-elle donc destiné, qu'à être toujours tronqué, par les sortilèges, les malédictions, les kidnapping, les empoisonnement et les morts ? Je me sentais, tellement lasse, et pourtant, je ne pouvais me permettre, de flancher. J'étais, le dernier repaire, d'autorité, pour les très peu nombreux, que nous avions. Ceux, qui n’appelaient, pas encore, cet Elijah « sa sainteté ». Et, il y avait ceux qui étaient tiraillés. Tiraillés, entre mon autorité, et la sienne. Ceux, qui n'osaient rien faire contre moi, et contre lui. Et, il y avait ceux, qui lui étaient totalement, dévoué....
Je serrais, mon poing, quelle genre de souveraine étais-je donc ? Si, je n'étais même pas capable, de défendre, mon royaume, contre ce monstre ?
Je, savais que Merida, essayait de le tuer, je pense qu'elle essayait de faire revenir « l'autre ». J'avais, essayé de la dissuader, mais elle s'était rebiffé comme à son habitude. Pourquoi, ne voulait-elle pas comprendre que ce n'était pas contre elle ? Je, ne voulais pas la laisser, faire, justement, parce que j'avais peur des conséquences, que cela pourrait avoir sur elle. J'avais, peur que cela se retourne contre ma fille.
Elle, ne m'avait pas écouté. Pour, elle, je n'étais que la rabat-joie, qui l'empêchait d’agir. Si, cela, m'avait blessé, je n'en avait rien montré. Je, n'en avait pas le droit. Je devais, rester, forte, pour les miens.
Alors, je faisais, ce que je devais faire, pour essayer d’apaiser, un peu, la souffrance, d'Hubert : être sa mère. Si, je pouvais me montrer parfois, froide, et donner l'impression, que les traditions, les coutumes, et que sais-je encore, comptaient plus à mes yeux que mes enfants. C'était, parce que, j'avais été élevé comme ça. Mes parents, n'étaient pas affectueux. Ils, m'avaient enseigné, les principes, qu'incombaient à une jeune fille de la bonne société, et c'était tout. « mère » et « père », n'étaient, que des noms donnés, pour montrer, mon appartenance, au même clan. Mais, c'était tout.
J'avais, été élevé, par ma nourrice, elle était la seule qui m'avait réellement, montré, un geste d'affection. Aussi, lorsque le jour vint, où je dût me séparer d'elle, car trop âgée, pour en avoir encore besoin, avais-je été extrêmement, blessé. Mais, comme à mon habitude je n'en avais rien montré. J'avais accepté, je m'étais résigné. Comme d'habitude.
Je ne voulais, pas répéter, les mêmes erreurs, avec mes enfants. Aussi, lorsque j'appris que j'attendais un enfant, m'étais-je mise à douter. Et, si je répétais, exactement ces mêmes erreurs, que je ne voulais pas commettre ? Et, si, je ne savais pas être mère ? Une bonne mère ?
L'enfance, de Merida, se passa comme dans un rêve, ce n'est qu'après que les choses se gatèrent, quand Fergus devint roi. J'étais devenu celle, que je ne voulais surtout pas être : ma mère.
Depuis, cette mésaventure, j'avouais ne plus trop savoir, comment me comporter avec ma fille, et mes fils. J'essayais, vraiment de faire des efforts, pour ne pas prendre exemple, sur ce que j'avais eu. Mais, j'avais parfois l'impression, que je faisais tout l'inverse.
J'avais congédié, les domestiques, je voulais m'occuper moi même d'Hubert. Je trempais donc, le linge, destiné, à faire baisser sa température, dans de l'eau froide, et le reposait sur se front. Puis, je décidais, de monter sur le lit. Là, je posais, sa tête, sur mes genoux, et me mit à fredonner, une comptine, que ma nourrice m'avait apprise quand j'avais son âge. Elle, était, dans le dialecte, locale de Dun Broch, et ses environs.
Je fut soudainement, interrompu par un garde :
- Votre majesté, il faut que vous fassiez cesser ça, les attaques répété, de la princesse, et de ses amis, sur sa sainteté, n'ont pas lieu d'être.
Le soldat, sembla se ratatiner totalement, sous le regard que je lui lançait :
- Si vous y tenez tant que cela, pourquoi ne pas le faire vous même ? Demandais-je
Il bafouilla, quelques justifications, que je balayais d'un revers de main :
- Si vous n'avez rien de mieux, à faire, je vous conseil de retourner à votre poste, assenais-je froidement
Il, tourna les talons, tandis que je poussais un profond soupire. Je me devais, d'aller, chercher, quelques herbes médicinales, pour apaiser la douleur d'Hubert. Les médecins, trouvaient cela ridicule, et disaient qu'ils valaient mieux abréger ses souffrances
Abréger, ses souffrances, nous ne parlions pas d'un animal blessé, mais d'un être humain, de mon fils, qui plus est. J'avais congédié, tous ces charlatans. Il, ne mourrait pas, pas mon fils, pas Hubert, je ne permettrait, pas de perdre un autre membre de ma famille. Jamais, hors de question.
J’appelais, la dernière personne en qui j'avais encore confiance, parmi le personnel, du château : Maude. Elle, était celle qui avait toujours été là pour subir les bêtises des triplets, et pourtant, elle les aimait, malgré le fait qu'ils l'ait plus d'une fois faite tourner en bourrique.
Je lui demandait de veiller sur Hubert, le temps d'aller chercher les herbes dont j'avais besoin. Elles se trouvaient dans la forêt. Elijah, partait pour 48h, d'après ce que j'avais comprit. Pendant, 48h, je serais à nouveau celle qui prenait les décisions. Et, il était hors de question, que je laisse passer, cette chance, de nous en sortir.
Des échos, de voix, me parvinrent, tandis que j'arrachais à main nue, ce dont j'avais besoin. Je, n'avais pas peur de me salir, ni même d'avoir des égratignures sur les mains. Je le faisais, pour mon fils. Et, être reine, cela voulait aussi dire par moment se salir les mains.
Tandis, que je mettais ce que j'avais trouvé, dans le sac en toile, que j'avais prit, les échos, de voix se firent plus puissants, je distinguais, la voix de Merida, qui semblait donner, des directives. Me relevant, je jetais un bref coup d’œil aux alentours. Je connaissais, bien cet endroit, nous, y venions, souvent quand elle était plus jeune. Me dirigeant, vers la direction, d'où provenait, la voix de ma fille, je restais en retrait, le temps qu'elle ai finit son discours, avant de révéler ma présence. Immédiatement je la vis se crisper :
- Je viens en paix, annonçais-je, en guise de préambule
Je jetais, un bref regard à l'assemblé et reprit :
- Je sais, que tu ne me vois que comme une empêcheuse de tourner en rond, et une rabat-joie, qui t'empêche de faire ce que tu veux. Mais, je ne fais pas ça pour t'embêter Merida. Est-ce que tu t'es demandé, ce que je ressentais à chaque fois que je te voyais essayer de le tuer ? J'ai peur, j'ai peur pour toi, j'ai peur pour Harris, j'ai peur pour Hamish, j'ai peur pour Hubert. J'ai peur pour vous tous. Je n'ai peut-être ni ton courage, ni ta force ni ta volonté, mais je ne suis pas une pleutre. Alors, si je peux aider, d'une quelconque manière que ce soit. Dit le moi.
Je m'en voulais, c'était moi, qui avait accepté, l'aide de « l'autre » lui, même si je ne pouvais pas prévoir, le monstre qu'il deviendrait, j'avais une grosse part de responsabilité dans tout ce gâchis.
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Even Jones*
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| Avatar : Chloë Moretz
| Conte : Le Roi Lion | Dans le monde des contes, je suis : : Nala
J'avais été la première à arriver au « QG » de Mérida. J'étais pas sûre qu'on puisse appeler la cabane fragile un lieu de rendez-vous approprié niveau sécurité et confort pour programmer la disparition d'un dieu, mais bon, j'allais éviter de la contredire ou de l'énerver. On était tous un peu sur les rotules ces derniers temps. Moi la première. Mon désarroi et ma tristesse face au fatalisme qui semblait nous empêcher de faire quoi que ce soit avait fini par muer en autre chose. De sauvage. De passionné. Tout sauf rester à pleurer dans ma chambre. De toute façon, j'avais assez donné. Il fallait agir.
Je n'avais pas essayé de tuer directement sa Sainteté. C'était pas mon genre, et je savais que ça ne marcherais jamais. Je n'étais pas très grande, toute menue, et je n'allais sûrement pas lui faire mal avec mes petits poings. Je n'étais pas assez préparée. J'avais certes gagné un peu de muscle à force de porter des sacs remplis de nourritures dans les escaliers de pierre, mais ça n'était pas assez.
À force de traîner dans le château, j'avais fini par me créer un petit réseau. Et j'avais même sympathisé avec un espèce de maître d'armes. Un grand type avec une grosse barbe rousse, qui devait avoir la trentaine et qui avait des bras plus larges que moi. Pas mal du tout, dans son genre. Bref. Il avait bien voulu m'apprendre à manier les armes autres que des couteaux de cuisines achetés dans un supermarché. Les épées, les poignards, les arcs... C'était des cours accélérés, mais je me débrouillais pas trop mal. Surtout avec les arbalètes. J'étais même plutôt douée avec cette arme. J'avais eu le droit d'en prendre une avec moi, si c'est pas super gentil. Je savais bien que ça ne ferait rien à Elijah, mais je ne perdais pas espoir de trouver une super flèche capable de transformer définitivement les dieux en cendres. L'espoir fait vivre.
Mérida était la dernière à être arrivée pour notre petite réunion. Moi, j'étais venue à cheval. Elle, en voiture hyper voyante et rouge qui claque. Le truc, c'était juste qu'il n'y avait pas de véhicules « modernes » dans le coin. Si j'avais su ça avant, je me serais pas écorché les jambes sur la selle.
Je ne dis rien quand elle demanda qui avait prévenu Harris. Bien sûre, c'était moi la fautive. Mais j'avais pensé qu'il avait son rôle à jouer dans tout ça lui aussi. C'était son triplé qui se mourrait. Et puis pour un enfant, il était déjà extrêmement mature. Je ne me serais pas vu lui cacher tout ça.
Au moins, on était raccord niveau vêtement. Le noir était à l'honneur. J'avais trouvé tout un tas de truc et j'avais fais un peu de coutures pendant mon temps libre. J'en avais ras le bol de porter des robes, ça me rendait folle toutes ces espèces de fanfreluches. J'avais enfilé un blouson en cuir noir et des bottes, sur un ensemble tout aussi noir que le reste. On pourrait pas dire que j'avais l'air trop niaise habillée comme ça au moins. Quoi que... J'avais aussi trouvé une vieille ceinture que j'utilisais pour accrocher l'arbalète qui m'avait été offerte dans mon dos, et un poignard dans un fourreau qui pendait sur ma hanche droite. J'appréciais de plus en plus mes armes. Ça avait vraiment un côté hyper rassurant.
- Même si ce n'est pas mon royaume, je vais t'aider, bien entendu. Mais tu es sûre que ce... sort va marcher ? Parce que si il est immortel et qu'il résiste même à des doses massives d'acide, il vaut mieux ne pas le contrarier en loupant la mise en boîte.
Il avait l'air du genre bien sadique. Je voulais lui faire beaucoup de mal, genre lui arracher les yeux ou le mordre très très fort, mais je ne voulais pas que ça se retourne contre moi par contre. Je n'étais pas vraiment sûre de pouvoir résister à la torture.
J'écarquillais les yeux en entendant ce que Hope disait à Harris. Elle voulait l'envoyer dans un autre royaume ? À l'école en plus ? Je me mettais à sa place, et je comprenais pourquoi elle avait fait ça. Mais quand même. C'était autant sa bataille que la notre, non ?
- On ne peut pas le garder avec nous ? Il est super intelligent, c'est un ourson et en plus il vole super bien ! On pourrait avoir besoin de lui, tu ne crois pas ? Juste au cas-où. Laisse le au moins choisir quand même.
Je lui aurais bien fait ma tête de chat potté trop mignon, mais pas sûre que ça lui fasse effet. Je fis juste un petit clin d'oeil à Harris pour lui montrer que j'étais de son côté et que je voulais qu'il nous aide. J'aimais bien le savoir avec nous. Il avait un côté très réconfortant.
Je failli faire un arrêt cardiaque quand leur mère apparue. Elle venait en paix, sérieux ? Je ne pu m'empêcher de sourire. Ça faisait du bien d'entendre quelque chose de... familier. En tout cas, la reine était vraiment sympa. Elle n'interdisait pas à ses enfants de partir à l'aventure et de mettre K.O Elijah. Donc on allait pouvoir monter un plan pour de bon.
- Merci beaucoup, Madame Bowman. Euh... votre majesté. Il nous faut un plan, et je pense que plus il y aura de cerveaux pour réfléchir, mieux ça sera.
Oui, connections tous nos cerveaux pour trouver l'idée du siècle ! Personnellement, je ne voyais rien. Mon truc, c'était de renverser les lions à grosses têtes en allant chercher le vrai souverain. Là, ça n'avait pas l'air d'actualité. Et envisageable.
- Peut être que si on fait un exorcisme... Pour le purifier, tout ça. C'est le dieu des enfers, donc dans la mythologie grecque, ça fait de lui une sorte de démon, non ? Quelqu'un si connaît en mythologie d'ailleurs ? Parce que je vous avouerais que j'y comprends pas grand chose. Judah, Elijah, Hadès... C'est la même personne ?
J'avais été propulsée dans ce monde de divinités à toute vitesse, sans prendre le temps de me poser pour y réfléchir et digérer le tout. C'était un peu costaud à comprendre quand même. Ils avaient tous l'air de s'y connaître, mais pour moi, c'était tout nouveau. J'étais encore au stade nos ancêtres sont comme nos divinités, personnellement.
crackle bones
*Samuel King
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En y repensant, elle avait tout de même un bon fond. Quand elle était venue nous demander notre aide pour l'horloge, j'avais sentis quelque chose de très tendre en elle, de fort sympathique. Elle avait une aura majestueuse. Quelque chose de très sensible et doux dans le regard. Avec un peu de chirurgie esthétique, elle aurait pu faire vingt ans de moins et encore rendre beaucoup d'hommes heureux, me rendre heureux.
J'avais le regard dans le vide, repensant à la vilaine sorcière toute gentille, qu'on avait attaqué pour sauver le frère de Merida qu'elle retenait prisonnière et qu'elle aurait sans doute fait cuire si on était pas arrivé à temps. Elle avait sans doute été manipulée par les Macintosh. Mais bon, la vie était mal faites parfois. Quoi qu'il en soit, on avait un plus grand problème à gérer et ce problème avait un nom : Elijah ! Ou plus précisement : Hadès !
Merida avait un plan qui me semblait pas si mal que cela. Enfermer un dieu dans une boite, envoyer son frère épouser une Princesse et... il y avait sans doute une autre chose que j'avais zappé. Quoi qu'il en soit, j'avais moi aussi mon propre plan et il consistait à tourner la tête vers Even.
"Elijah c'est Judah, mais pas sur la même ligne temporelle. Les dieux peuvent changer d'apparence physique quand ils reviennent à la vie. Aphrodite était jeune, puis vieille et maintenant à nouveau jeune. Et Hadès c'est pareil. Il était jeune en Judah et il draguait Merida et là il est vieux en Elijah et il te drague toi. C'est pas plus compliqué que ça!"
Effectivement, ça n'était pas plus compliqué que ça. Après plusieurs jours passés dans le Royaume, j'avais appris pas mal de choses sur Elijah. Car oui, en prison, il avait une créature très bavarde. Mais rien de ce que j'avais appris pourrait nous être utile. J'avais croisé les bras et je m'étais tourné vers le restant du groupe, d'un air satisfait.
"A ce que j'ai compris, il n'a aucun point faible. Judah en avait. C'était son côté trop gnangnan. Enfin, son côté amoureux de sa belle !" avais-je dit en accentuant le mot "belle" et en l'accompagnant d'un geste de mes mains qui consistait à mimer des guillemets autour du mot.
"De toute façon Aphrodite n'est pas là et y'a qu'elle qui aurait pu lui faire plier le genoux, vue à quel point il en est accroc."
J'avais levé les yeux au ciel, tout en me remettant bien sur mon siège. En voyant les différents regards des personnes autour de moi, je m'étais dit qu'ils attendaient peut être que je donne la source de mes informations?
"C'est sa créature. Le... Minotaure c'est ça? Il parle parle et parle encore. On peut difficilement l'arrêter. Il m'a parlé pendant des heures de la relation qu'entretenait Aphrodite et Judah et apparemment c'était très chaud ! Enfin, je dis pas ça pour toi Merida, ça devait aussi être très chaud avec toi. Mais là c'était limite bouillon."
Quoi qu'il en soit, c'était également fini. Pour un temps ou plus, ça c'était une bonne question. A dire vrai, je m'en fouttais totalement de la réponse. J'avais tourné une nouvelle fois la tête vers Even.
"Un dieu amoureux, c'est marrant, non ?"
Je trouvais ça hilarant. Il paraissait si dark, si puissant et en fait, non. Il était totalement raide dingue de la déesse de l'Amour. Amour avec un grand A ! J'avais fait un grand sourire à Even, avant de jeter un regard vers Hope, qui se comportait comme un poisson hors de l'eau, avec sa bouche grande ouverte. Puis, j'avais tourné la tête vers Elinor.
"Je pense qu'il faudrait qu'on lui tende un piège. Mais quelque chose de bien plus gros qu'une simple boite. Vous avez bien des dieux ici, non? J'ai entendu les gardes parler de vos divinités. Y'a un moyen de les contacter?"
Facebook? Twitter? Je savais qu'ils n'avaient pas de réseau ici, mais on pouvait sans doute les invoquer.
"Genre, un temple ? Ou alors un lieu de prière? Quelque chose de ce genre?"
Elinor Bowman
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Merida, ne dit rien, mais l'air renfrogné, qui avait prit place, sur son visage, valait toutes les réponses du monde. Je retins un soupire, quand je tenais mon rôle de reine, ça ne lui plaisait pas, et quand j'essayais, d'aider, ça ne lui plaisait pas non plus. Il, y avait-il seulement, la moindre, de mes actions qui plaisait à cette enfant ? J'avouais me le demander parfois. Je me tournais, vers la jeune fille blonde, Even, d'après ce que j'avais compris, qui essayait visiblement, de trouver un « titre » à me donner : - Elinor, suffira amplement répondis-je avec un sourire
Après, tout, il, n'était plus temps, de s’embarrasser des convenances, de plus, l'on ne pouvait, pas vraiment, dire, que j'étais vraiment reine. J'en avais le titre, c'était moi qui m'asseyais, sur le trône, mais ne nous leurrons, pas, nous savions, tous que celui qui tirait les ficelles, dans l'ombre, était « sa sainteté ». Je, n'étais là, que pour faire jolie, dirons nous, pour donner l'impression, que j'étais celle qui dirigeais. Mais, qui serait assez bête pour croire de telles sottises ? Je me le demandais.
Quoi qu'il en soit, une idée devait être, trouvé, Even, parla, d'exorcisme, puisqu'il était le dieu des enfers. Elle, semblait elle aussi, être totalement, dépassé par les évènements. Mais, d'un côté, c'était tout à fait compréhensible. Je pense, que nous avions, tous (ou quasiment), une vision, un peu différente du divin. Pour, nous, ici à Dun Broch, nous, allions, jusqu'au lieu sacré, et prions, nos divinités, pour nous, elles étaient un peu comme des esprits, elles n'avaient pas de forme physique, et se contentaient, d'apporter ou non leur bénédiction, sur notre royaume.
Mais, voir, un vrai dieu, impitoyable, qui ne semblait penser qu'à une chose, lui même, se manifester, devant, nous. N'était, je le pense, absolument, pas prévu, au programme. Et, cette situation, nous pesait à tous, je le voyais bien.
Ce fut Samuel, qui prit la parole, nous expliquant, que « Judah » et « Elijah » étaient la même personne, mais pas sur la même ligne temporelle, j'écoutais ses explications, et haussais un léger sourcil, à l'entente de « Judah » associé à « dragué Merida ». Mais, ce fut mon unique réaction, ce, n'était pas franchement, le bon moment, pour une énième querelle, familiale. Et même, si nous étions, passé maitre dans cet art, avec ma famille, je maintenais, que ce n'était pas du tout le moment, pour.
Après, ses explications, Samuel, se tourna vers moi, demandant s'il y avait un moyen de contacter nos divinités : - Nous avons, un lieu sacré, dédié, à leur culte répondis-je. Néanmoins, si nous devons aller essayer, de les contacter, j'aimerais, autant éveiller, le moins possible les soupçons. Elijah, n'est peut être, pas là, mais cela n'empêche malheureusement, ceux à sa botte, d'essayer de se faire bien voir
J'avais dit cette dernière phrase avec un mépris évident, de savoir que nos propres hommes, se retournaient contre nous, pour quémander les faveurs d'un dieu despotique, à la manière d'un chien, quémandant, les caresses et les marques d'affection de son maitre, me rendait tout bonnement, malade.
- Aussi, mieux vaut qu'il y n'y ai qu'un nombre de personne restreinte qui y aille. Et, de préférence, des personnes ne s'étant pas trop faite remarquer. De plus, il est de nature publique, que certains, n'ont jamais vraiment eu la foi achevais-je avec un léger sourire en coin
On ne pouvait pas dire, que ma fille, fut une fervente croyante. Aussi, serait-il extrêmement, étonnant, de la voir, aller là-bas : - Je crains, hélas de ne pas vous être d'une grande aide. Mes connaissances, du divins, se limitent, à nos croyances. Je dirais bien, de consulter les archives de la bibliothèque, car certaines, sont bien plus anciennes, que l'on ne pourrait l'imaginer, mais je ne suis pas sure que cela soit couronné de succès
Et je tût, également, mon avis sur nos dieux, à savoir que si nous en avions, vraiment, pourquoi restaient-ils sourds à mes supplications, pour sauver mon fils ?
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Pascal Méléon
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"For it is in passing that we achieve immortality. Through this, we become a paragon of virtue and glory to rise above all. Infinite in distance and unbound by death, I release your soul, and by my shoulder, protect thee."
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"C'était stupide ce que tu as fait !Génial ton coup de l'invisibilité ! Elijah sait que c'est toi, tu sais pourquoi ? Parce qu'il n'est pas aussi con que tu le crois ! Il va te le faire payer très cher quand il reviendra. Mais j'ai pas envie que tu finisses en clafoutis. Alors, il faut qu'on agisse tous ensemble pour en finir une fois pour toutes. On a quarante huit heures pour y parvenir. Il est parti porter un coup fatal au sud."
Oh, j'étais à la fois touché et gêné par la réaction de Mérida. Bon, il avait trouvé que c'était moi, et alors? J'étais déjà loin d'ici et j'avais même fait une petite poignée de mes flèches spéciales, cinq pour être précis, elles étaient supers pratiques, un peu rustique mais bougrement efficace. Bon, je les avaient ficelée entre elle pour éviter qu'il n'y ai trop de choc et j'avais même rembourré mon carquois pour éviter que l'une des flèches se casse et... Et boom le Pascal, donc oui, il valait mieux éviter de trop me secouer. J'étais quelqu'un d'explosif maintenant. Et puis j'étais une nouvelle fois avec toute la panoplie, le bouclier caméléon avec le sabre, et Brave perchée sur mon épaule. Bon sang depuis quand elle pesait aussi lourd? Elle avait prit du... Plume de la bête (?) en grandissant. Mais repartons sur le sujet principal, Elijah et sa capacité extraordinaire d'ennuyer un monde entier par sa simple présence, il était immortel et ambitieux, une combinaison qui était rarement une bonne nouvelle. Mais bon, dieu en colère, peu de chance de survie, un sortilège tournant autour de l'âme de cinq personnes et seulement 48h devant nous avant que cela ne parte FUBAR (Fuck Up Beyond All Recognition). Et bien, je crois que j'avais désormais un nouveau record? Surement à égalité avec les raptors. Tiens, Hope essayait d'envoyer Harris en sécurité? C'était la bonne chose à faire, mais j'avais appris à le connaitre durant nos séances d'entrainement et il allait rester, coûte que coûte et même si cela disait être poursuivit par les fumiers qui s'étaient alliés à Elijah. Je m'étais plutôt attaché au gamin durant nos séances d'entrainement, ça lui avait servit à vider son sac et de s’éclaircir l'esprit pour la suite alors je pense qu'il était prêt pour la suite des événements. Enfin je l'espérais.
Pascal inclina légèrement la tête à la venue d'Elinor, préférant ne rien dire et écouter les différents plans anti-Elijah qui tout le monde proposait, on avait le parchemin de la magie magique, un exorcisme (mauvaise idée au passage, Elijah n'était pas mort, le problème était là). Puis Sam avait fait la remarque qu'Elijah avait, et devait être, encore dinguo... D'Aryana. Enfin je veux dire c'était quand même le père d'Ell... Ok je m'étais promis de ne plus jamais pensé à ça, c'est juste flippant. Mais bon, maintenant c'était confirmé qu'Elijah allait surement tout faire pour la récupérer et il savait nous étions devenus très amis, le pendentif ne trompait pas. Super, deuxième fois que je me retrouve avec le dieu des enfers comme rival pour une fille. Ça allait devenir une habitude à ce stade, bon sang. Mais ouais, je voulais la peau d'Eli encore plus désormais, hors de question qu'un malade comme lui ne s'approche d'Arya. Même s'il y avait un monde de différence, vaut mieux prévenir que guérir. Tiens d'ailleurs, je me demandais, si j'essayais de lui laisser un message par la pensée, est-ce que ça marcherait? Je me doutais que cela ne devait pas être un problème lorsque nous étions dans le même monde, c'était le but des prières au fond, mais d'un monde à l'autre? Aucune idée. Peut-être en se concentrant très fort sur le pendentif? Aucune idée, et je ne voulais pas traîner Aryana dans ce foutoir divin. Elle méritait mieux que ça.
Pascal écouta la rei... Elinor, proposé son idée. Qui n'était pas mauvaise, demandé de l'aide au divin contre un divin. Sauf que c'était peut-être un autre Panthéon ou quelque chose dans le genre, je ne savais pas. Mais il faudrait aussi que le Flambeur morde à l’hameçon de notre piège, il fallait quelque chose de suffisamment gros pour qu'il vienne lui-même pour régler quelque chose de personnelle et... Oh. J'ai une idée, pas de quoi le neutraliser définitivement, mais un truc qui le forcerait à sortir de sa tanière pour venir me péter la tronche en personne. C'était une idée stupide mais c'était peut-être le seul truc que nous avions pour le faire sortir de son petit jeu et de se dévoiler au grand jour. J'allais le regretter, oh misère je regrettais déjà d'en parler, mais ce n'était qu'une supposition. Alors je ne risquais rien, pas vrai?
"Y'a des bonnes idées dans le lot, mais vous ne croyez pas qu'Elijah va gentiment marcher le piège que l'on va lui tendre pas vrai? Il faudrait un appât. "
Tout le monde se tourna vers Mérida et le caméléon passa une main sur son visage.
"Non pas elle." Pascal sortit son médaillon orné de pierre précieuse, laissant le temps à tout le monde de l'admirer malgré les regards curieux que tout le monde me lançait. "C'est un cadeau d'une amie... Très proche. Mais vous savez qui me l'a donné? Aryana Sandman, ou Aphrodite de son nom divin. Yep, et il est courant, il suffit juste que de faire courir une rumeur que la demoiselle est arrivée à Dun'Broch et je lui ferais comprendre qu'il a de la concurrence. Et ca ne va pas lui plaire du tout, suffisamment pour qu'il se montre assez stupide pour se concentrer uniquement sur moi. "
Pascal rangea le pendentif dans le col de sa chemise et préféra éviter le regard de Méri, je savais que la nouvelle arrivait peut-être au mauvais moment, mais nous étions en guerre froide (ou chaude pour l'occasion) contre un dieu, il fallait utiliser toute nos cartes.
Harris Bowman
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Tout en discrétion, il était doué pour ça, comme pour autrefois. Mais maintenant, il n'était plus question de gâteaux ou de bonbons, c'était une affaire beaucoup plus sérieuse et dangereuse, mais qu'importe, il s'en fichait, du moins, il comptait sur Dana pour protéger tout le monde. Ho par les dieux, ils n'avaient qu'à offrir leurs prix, aucune offrande ne sera jamais assez grande pour la survie de leur monde et des siens. La magie, Hope voulait se servir de la magie. Harris se mordit la lèvre intérieure. Elle était véritablement sérieuse? Oui, Elijah était une situation qui pouvait demander des sacrifices, mais la magie par Lug, c'était la chose la plus instable qui était.
"Hope...la magie? Tu veux utiliser la magie?"
L'ancien Harris aurait foncé tête baissée dans le plan incertain de sa soeur. Mais maintenant, c'était trop risquer.
"Tu sais ce qu'elle demande? On ne peut pas prévoir ces effets, changer le destin, tu te souviens? Je ne sais même pas comment rester humain pendant la nuit! Sans parler de mon voyage à Storybrook. Je suis un ours la nuit et brun le jour ! Et les frangins ! Tu vois ce que ça a donné la magie !"
Et puis quoi encore, il allait perdre une soeur en plus ! Jamais ! Hope continuait de parler, il fallait avouer qu'Harris ne lui avait pas laissé le temps de finir son discours. Mais la magie était trop risquée! Elle le savait. Il l'écouta, le royaume de...de...pardon?
"Hors de question!"
Il la regarda avec insistance.
"Il en est absolument hors de question, je ne vais pas aller je ne vais pas aller tranquillement me cacher dans un royaume éloigné, pas moi ! Je ne suis pas venu ici pour rester cacher! Tu te rends pas compte! Là-bas, ils seraient capables de me marier avec la princesse...Sofia c'est ça? Nan mais je veux pas, fin de la discussion, je n'irai pas!"
Elle n'avait pas demandé son avis, elle l'avait quand même. Non mais il en était absolument hors de question! Et si jamais le roi Rolland voulait une union avec DunBroch et décidait de marier Harris avec sa fille?
"Et moi? Tu m'as demandé mon avis? Tu t'es demandé ce que je pouvais éprouver? Est-ce que tu t'es souciée de moi quand tu es restée à Storybrook? Ou d'Hamish, Hubert, et papa et maman hein? Je ne veux pas qu'on choisisse pour moi, je ne te laisserai pas choisir pour moi."
Il marqua une petite pause, juste pour reprendre son souffle.
"Si je suis rentré à Storybrook, c'est pour te ramener à Dun Broch, c'est vrai, ça s'est pas exactement passé comme je l'aurais voulu. Sans moi, Conchi... Judah, n'aurait pas trouvé le haricot pour venir. Je me suis pas coltiné un écrabouilleur de cookie ressemblant à Conchita pour aller à Enchancia et puis je compte pas le laisser me tuer, ni le ne laissai te faire du mal, à toi, où a maman."
Ho moins, en plus, Even était dû côté d'Harris, il allait aussi l'adopter en tant que soeur tiens, elle comprendrait, ELLE, qu'il ne veuille pas rester en retrait. En parlant de maman, elle arrivait. Déjà, avec Hope, prouver qu'il n'était pas un petit garçon et qu'il pouvait se débrouiller seul était une tâche ardue, alors avec sa mère, il espérait qu'elle serait plus compréhensive. Les dieux, oui Bah, Harris croyait en ses divinités, il n'était pas un croyant très assidu et régulier, et certes, il les priait souvent quand il était en difficulté, il ne voulait pas les déranger pour peu de chose. Et puis, a Storybrook, il y avait déjà Teddy, alors il ne voulait pas d'une autre fille.