« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
| | | Ma magie à un prix, sa vie! [Fe] | |
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Auteur | Message |
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Regina Mills « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : lana parrilla
Mirror mirror on the wall, who the baddest of them all ?
| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
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________________________________________ 2015-02-01, 19:05 |
| De jour en jours, les choses changeait et de mauvaises choses se trâmait et j'avais peur pour mes enfants, je ne voulais pas qu'il leur arrive quoi que ce soit, ils étaient trop précieux pour moi. Les nuits devenaient de plus en plus difficiles, je me réveillais sans cesse et ne trouvant pas le sommeil, je préférais quitter mon lit pour aller boire quelque chose dans la cuisine et passer ma fin de nuit dans le salon, à me demander ce que je pouvais bien faire.
C'est donc un mug rempli d'un café crème dans la main droite que je me rends près de la fenêtre, histoire de regarder le levé de soleil qui se faisait non loin et mon téléphone vibra avant que je ne m'en saisisse et que je ne me rende compte qu'il s'agissait en fait de mon patron, en d'autre termes, de Bodhi. Je décrocha et écouta avec attention ce qu'il me disait.
-Oh ! Je... Je me prépare et j'arrive tout de suite.
Cela ne présageait rien de bon, d'après ce que j'avais compris, Rumple' et Crochet se battait sur le Jolly Roger et le Ténébreux face au Pirate, ça n'allait pas être très très beau à voir. Aussi j'avais troqué mon pyjama contre un tailleur noir très simple et une paire de chaussures à talons noire également avant de poser un mot sur le frigo pour Alexis et Henry puis je quitta le Manoir avant de me rendre au point de rendez-vous.
J'arriva en même temps que David et me dirigea donc vers le Maire avant de rester aux côtés du Shérif tandis que je regardais la scène se passait devant mes yeux. Je pouvais apercevoir grandement la scène d'ici et je découvris rapidement de quoi il parlait. Le Ténébreux était mort, Rumplestiltskin était mort... Au fond, j'étais contente mais en même temps, ça me faisait bizarre de me dire que mon professeur avait rejoins ma défunte mère. Lorsque Bodhi arrêta Arès, me méfiant de ce qu'il pouvait se passer, je m'approcha donc en compagnie de David, les mains rivées vers le sol, une lueur violette les entourant, prête à user de la magie si nécessaire.
Le dieu essaya de se défendre en envoyant une magnifique droite à Bodhi mais il fis face à un mur de protection vu que j'avais levée la main au bon moment et ça n'avais pas l'air de lui avoir fait du bien. En même temps, quand on tape droit sur un mur de protection, ça va pas faire des chocapics. David passa les menottes au dieu mais comme je m'en doutais, cela me semblait beaucoup trop facile, quelque chose se trâmait, j'en étais certaine.
-Faites gaffe la prochaine fois Monsieur le Maire.
Je lui souris légèrement mais ne fus que plus surprise lorsqu'un homme blond apparu derrière Arès et qu'une troupe d'hommes vêtus d'armure argentées ne nous entourent. Je ma plaça devant le Maire et David, me préparant à nous protéger mais l'ancien oiseau posa sa main sur mon avant bras avant de me faire comprendre que cela ne servait à rien. Ne posant même pas le regard sur lui, je dis clairement et audiblement à l'égard du Maire:
-Monsieur Butler, si vous souhaitez faire ce qu'on a prévu, c'est maintenant ou jamais.
On ne pouvais pas perdre, Storybrooke ne pouvait pas perdre, la ville à laquelle j'étais ratachée n'allait pas finir aux mains des dieux, il en était hors de question ! |
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Killian Jones-Swan « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Colin O'Donorgasm
Second star to the right... and straight on 'til morning
Team Noix de Coco
| Conte : Peter Pan | Once Upon A Time | Dans le monde des contes, je suis : : Captain James Hook
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________________________________________ 2015-02-01, 19:59 |
| Ma magie à un prix, sa vie! «Revenge may sate your being, but don't misunderstand me, my dear. It's an end, not a beginning.» C'est décidé. J'installe une porte dans les prochains jours ! Ou je demande qu'on lance un sort de protection pour empêcher les gens de rentrer sur mon navire comme s'ils étaient chez eux ! J'observe ce nouvel, le dévisageant du regard. Je le sens mal celui-là... Il n'est pas un peu hystérique ce type? Je peux voir sa rage et sa tristesse dans son regard, faut dire que je suis connaisseur dans la matière. Je serre la mâchoire quand Diana s'avance jusqu'à lui, me priant visuellement de ne rien faire pour le provoquer. Elle va arrêter ses conneries suicidaires... Je mettrais ma main à couper que ce type est un dieu. Je peux presque sentir son aura divine. Quelle puanteur. Je garde ma main sur la garde de mon épée tandis que Diana essaye de la jouer copine avec lui. D'un geste de la main je le vois l'expulser du navire, bloquant le passage d'un mur invisible. J'écarquille les yeux de surprise dégainant mon épée alors qu'il s'approche de moi avec un visage de psychopathe...
« Si j'étais toi je m'approcherai pas, mate. »
Ma respiration s'accélère, paniquant légèrement à la situation dans laquelle je viens de me mettre, redoutant la fin de tout ça. Je vais prendre cher... J'allais l'attaquer quand il fait disparaître mon épée dans un nuage de fumée. Je n'ai même pas le temps de riposter avec mon crochet qu'il pose sa main sur mon crâne, ma respiration s'arrêtant une fraction de seconde avant qu'une douleur que je pensais ne jamais ressentir s'abatte sur moi. J'hurle de douleur ayant l'impression que mon cerveau et tous les membres de mon corps étaient en ébullition. Tombant à genoux sous la souffrance j'arrive à me saisir de la dague du Ténébreux, la serrant de toutes les misérables forces qui me restaient, attendant la moindre occasion pour poignarder mon tortionnaire. Je peux sentir du sang s'écouler de mes yeux et de mon nez. Damn. Jamais de ma longue vie je n'ai ressenti une douleur aussi insoutenable. Je ne voulais qu'une chose ; qu'il m'abatte complètement ou que mon corps finissent par me lâcher pour faire cesser tout ça.
Alors que je sens mes dernières forces quittaient mon corps je ressens une chaleur envahir la main qui tenait la dague, envahissant bientôt mon bras et le reste de mon corps avant de redescendre jusqu'à la dague créant une explosion de fumée violette tout autour du navire. J'arrive à ressentir chaque parcelle de mon navire, je me sens pratiquement comme une extension du Jolly Roger... Je sens son appartenance bouillir dans mes veines. Je me sens lié à lui. Quand la fumée se dissipe dans les airs la douleur cesse, me laissant tout de même aussi faible qu'un vieillard. Reprenant mon souffre je ne peux même pas me relever que déjà ce dingue se met de nouveau sur moi, m'empêchant le moindre geste.
Un premier coup, puis un deuxième... un troisième. Il déverse toute sa rage sur moi, me crachant à la figure des choses dont j'ignore tout. Mon visage me fait tellement souffrir... Pourtant, je ne le lâche pas du regard, voulant affronter ses yeux remplis de rage. Je suis pas lâche et préfère voir la mort quand elle vient. Je me prépare au coup fatal quand je le vois se faire éjecter à l'autre bout du navire. Je soupire de soulagement quand je vois le retour de Diana sur le pont, me sauvant la vie une deuxième fois en moins de 30 minutes.
« Timing parfait, Love... comme d'habitude. »
C'est avec une grimace de douleur que je me lève avec l'aide de Diana, m'évanouissant à moitié. Bénissant son nom quand elle me permet de m'asseoir. Je ne repère même pas que ce fou nous vise avec son arme avant que Diana se mette à jouer les négociatrices. Alors que la femme tente de sauver notre peau je ne peux rien faire d'autre que de cracher tout le sang de mon organisme, ma tête me faisant souffrir le martyr. Je dois avoir perdu une ou deux dents je crois bien... Rajouté à ça mon nez qui semble cassé et les coquards et autre bleu qui doivent recouvrir mon visage ensanglanté... Je ne gagnerai pas Mister Storybrooke cette année. Je n'entends même pas ce que Diana lui dit, j'ai l'impression d'être dans une bulle, mais apparemment ça fonctionne vu que ce dieu avec une case en moins semble s'être calmé, quittant le navire. Bon débarras.
Par pitié pas encore... Alors que Diana commence à nettoyer mes plaies je vois le maire de Storybrooke en personne venir sur le pont accompagner de la Reine et de David qui l'attendait sur le quai. Diana a à peine eu le temps d'essuyer le sang qui s'écouler de mon visage que déjà elle repart au milieu d'eux. Je peux l'entendre affirmer que le Ténébreux était déjà mort avant d'arriver sur le navire. Hein quoi ? Ceci expliquerait pourquoi je l'ai tué si facilement... Mais comment cela se fait-il ? Je n'ai pas la force intellectuelle de répondre à cette question à l'heure actuelle. J'arrive à voir Diana qui interpelle David alors qu'il passe les menottes à Arès, entendant très clairement ses propos : « C'est bien d'obéir aveuglément, mais tu te rappelles qu'il existe la présomption d'innocence! » Dire que théoriquement ça devrait être moi que David arrête... Bon je vais me la jouer cool quelque temps... Ne voulant pas me retrouver encore derrière les barreaux de Storybrooke...
Je perds le reste de la conversation mon regard restant fixer sur la dague que je tiens encore dans ma main. Je tourne mon regard de cette arme que pour voir Diana de nouveau à côté de moi, reprenant son rôle d'infirmière, plaçant des sphères d'eau glacée sur mes ecchymoses.
« J'ai ressenti sa puissance en moi... Je l'ai senti parcourir mon corps avant de s'évaporer à l'intérieur du Jolly Roger. J'arrive à le sentir à travers moi. Je... »
Non j'allais me taire, elle allait me prendre pour un dingue si je continuais de lui dire que je me sentais lié magiquement au navire, que je n'ai jamais autant senti mon appartenance sur lui ressentant jusqu'à mes tripes que j'étais le véritable capitaine de ce vaisseau et que rien ne pourra jamais changer ça. Je ferme les yeux savourant la délicatesse de Diana sur chacune de mes blessures. Le pire était à venir... Et pour rien au monde je ne veux me retrouver au milieu de cette guerre qui va éclater.
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Connor Williams* « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Gerard Butler
| Conte : Intrigue divine | Dans le monde des contes, je suis : : Arés/Mars
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________________________________________ 2015-02-02, 00:27 |
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Killian Jones, Diana Lake et Mr. Gold Moi, Regina Mills, Bodhi Blu Butler et Apollon
« La magie a un prix, sa vie ! » Ma vue se brouillait, mon corps d'habitude si puissant n'arrivait même plus à soutenir mon propre poids. L'air pathétique, la colère et le désespoir au fond de mes pupilles et au tréfonds de mon âme j'attendais qu'ils daignent m'attaquer. Mais ... rien, la jeune femme qui contrôlait l'eau ne faisait que me tendre la main. Pourquoi ?! Haïssez moi ! Blessez moi ! Tuez moi ! Je vous tuerais tous si vous n'êtes pas capable de m'arrêter, ma blessure est trop profonde. Elle se disait amie de ma famille mais je le savais déjà, raison pour laquelle je ne lui avais fais aucun mal aussi le fait que je déteste avoir recours à la violence sur une femme. Mais je ne pensais à rien, je ne comprenais pas ce qu'elle voulait me dire. Mes yeux était comme j'étais désormais à l'intérieur. J'étais fou, ma logique, ma vision du monde avaient étés changées par leurs disparitions. Je ne bougeais pas, trop fatigué, trop blessé, trop perdu.
Mais je sortis de mon état, enfin en partie quand elle m'avoua que Diane était vivante. Et si elle était vivante, alors Aphrodite et ma fille aussi. Inconsciemment, je repris légèrement mes esprits. Je me rattachais à ce moindre espoir, à cette femme qui avait la confiance de ma soeur. Le goût presque métallique de mon sang dans la bouche, je me repliais sur moi même en murmurant le nom de celles que j'aimais tant. Ma vie ne valait rien comparé à la leurs, je n'étais qu'une armure qui se mouvait, une épée qui se brandissait seule, un bouclier résistant mais croulés de failles. Je ne vivais que pour elles, Zeus me l'avait bien dit. Je ne vivais que pour me battre, que pour les protéger. J'avais échoué, je n'avais aucune utilité. Mais elles étaient encore en vie. Je suis conscient de mes problèmes mais je ne suis pas une création parfaite !
Alors que je m'étais remis debout, un autre homme me fit face. Je le regardais le regard hagard et perdu mais aussi avec la naissance d'un sourire. Cependant, j'eus très vite le temps de déchanter. Il me soupçonnait d'avoir tué le sorcier, je ne répondis rien. Par respect je n'accuserais aucunement le pirate et la Dame du Lac. Mais j'avais encore tant de colère surtout face à ce petit effronté qui me faisait face avec désinvolture. Mais plus encore de me manquer de respect à moi, il menaçait ma famille ! MA famille ! Personne ne menace les miens, personne ne les blesses, personne. Je dis bien personne ! Mais en plus me traiter comme n'importe qui et donc nous manquer de respect ! Eux qui étaient sur nos terres ! Je riais d'avance de ce qui se passait avec Hadès. Mais la colère m'envahit, ma conscience perdit de nouveau. Serrant les poings, je lançais mon poing avec mon épaule encore valide vers le visage du maire cette ville qui venaient de nous menacer, cependant il n'atteignit pas sa cible. Mon poing venait de faire face à une barrière magique qui me brisa presque toutes les phalanges. Il ne faisait plus son malin, son prétentieux petit singe.
Alors le père d'Emma vint me mettre les menottes cependant il était là. Apollon, mon frère, je savais qu'il viendrait comme je serais venu pour lui. Il les regardait tous comprenant vite la situation. Il comprenait ce que je ressentais c'est pourquoi je l'avais appelé lui. Il ne me jugerait pas, il comprendrait seulement. Il avait certainement entendu et se rattachait à cette insignifiante lueur d'espoir que nous offrait Diana. Il était derrière moi et nous étions maintenant entourés de gardes et créatures qui me servait, je n'avais certes plus mes pouvoirs mais j'étais toujours leur roi. Aphrodite et Artémis m'en avaient jugées digne et j'avais accepté, je savais à quoi m'attendre. Je m'étais maintenant repris, du moins assez pour avoir conscience de ce que je faisais maintenant et j'étais désolé de montrer un spectacle si pathétique à mon petit frère.
Il posa sa main sur mon épaule puis une fois que nous étions dans la salle du trône de l'Olympe en plein cœur de la cité olympienne, il m'étreignit de ces bras de géant. Par réflexe je lui rendis cette douce et apaisante étreinte fraternelle. Le temps s'est arrêté et je crois avoir perdu conscience jusqu'à ce qu'il me dit ce que je cherchais désespérément à entendre : elles étaient encore en vie. Je le croyais plus que Diana. Il avait dit ça comme une évidence, il était sûr après tout dieu de la divination oblige.
Il s'approche du trône et l'effleure de ses doigts. Il disait à demi mots vouloir le trône à ma place. Je lui aurais donné le monde sur un plateau alors mourir de sa main ne me gênait pas, j'irais rire et jouer avec Hermès peut être même recoucher avec Eris. Il s'occuperait bien d'elles. Je n'étais pas heureux de partir mais je n'étais pas triste ou furieux. JE VOULAIS LES REVOIR. Me battre contre eux, les frapper, les voir sourire. Hermès et Héphaïstos auraient étés pour Aphrodite comme je l'étais, Poséidon et Hestia pour Artémis et Zeus pour moi. Je n'avais plus aucune haine contre lui comme il ne devait plus en avoir pour moi. Secrètement, j'étais heureux de ne pas avoir pu aller au Sanctuaire, je n'aurais pas eu la force de leur faire face. J'aurais bravé l'interdit, je les aurais ramenés avec moi quitte à mettre Mère en colère contre moi. Je voulais ma famille, je les voulais mais ils n'étaient pas là. Plus personne ne mourrait, je serais le dernier.
Ce n'est à cet instant que je compris qu'il plaisantait, je n'avais pas la force de réfléchir ou même de sourire. Je fis alors face au trône et m'assis alors dessus après un nouveau contact chaleureux d'Apollon. Une lumière bleuté envahit alors toute la cité le temps de quelques secondes. Je me sentais désormais de nouveau fort, de nouveau moi. Je tentais de faire apparaître un objet et l'objet apparut. Ce n'était qu'une photo du XVIII siècle au début de la photographie et sur laquelle nous nous tenions presque tous. Le visage fatigué, je ne fis qu'un triste sourire mélancolique. Me levant du fauteuil, je la posais à côté de l'arbalète et de la fourche brisé puis pris Apollon dans mes bras :
Merci mon frère
Je l'avais toujours apprécié comme Artémis bien que nos relations n'étaient pas plus intimes que cela. Mais ils étaient ma famille, ceux que j'avais choisi et famille voulait dire que personne ne devait être abandonné. Je murmura alors à mon tour
Je suis désolé, je te le promet plus aucun de nous ne mourra. Je t'en fais la promesse Apollon.
Il m'avait accepté comme roi, un honneur que je méritais sûrement pas. Je lui refis face, toutes mes blessures guéries et mon costume de nouveau neuf et impeccable :
Tu as raison quelqu'un cherche à déclencher une guerre
Je fis alors mon premier sourire de ces deux derniers jours, un sourire sincère et qui montrait toute la reconnaissance que j'avais pour lui et le feu qui me dévorait, une flamme cette fois calme qui cherchait à tous les protéger. Je savais alterner mes " flammes " d'une flamme bleue puissante et constante j'arrivais facilement à devenir une flamme rouge dangereuse, fragile mais beaucoup plus puissante encore.
fiche par century sex.
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