« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Tout le monde avait l'air très gentil, j'étais contente. Ce n'était pas toutes les nuits qu'on pouvait rencontrer des gens qui étaient gentils. Et puis c'était rare de trouver des gens la nuits. En plus Angela se souvenait de moi, et ça aussi c'était génial. Maintenant que je la connaissais un petit peu, elle faisait moins peur. Un peu.
- Tu me cherchais ? Oh mais ça s'est très gentil ! Bien sûre que je vais signer !
Je ne comprenais pas trop pourquoi elle voulait que je signe, mais ça ne me dérangeait pas. Elle avait raison, on avait fait accoucher Blanche-Neige, et puis on avait quand même sauver le Père Noël ensemble ! Par contre je ne comprenais pas trop cette histoire de photo et d'endroit sensible. Moi je n'avais vu aucune photo ! Et puis il était sensible d'où Bodhi ? Moi c'était le feu mon seul point sensible.
Je pouvais bien signer pour lui faire plaisir. Ça n'était pas dur de signer, je ne risquais rien. J'inscrivis mon nom au bas de la feuille et je le lui tendis en souriant. C'était la toute première fois que je signais en plus !
- Voilà, j'espère que ça ira ! Je n'ai jamais signé avant, je crois qu'il faut juste mettre son nom et c'est bon. J'ai déjà vu le Docteur signer autrefois. Par contre, ça veut dire quoi que Bodhi est limite pédo ? Je ne comprends pas du tout !
C'était bizarre comme mot. En tout cas, je ne voyais pas du tout ce qu'elle voulait dire. Moi je savais que Bodhi était le maire et notre chef d'expédition pour retrouver le Père Noël, et qu'en plus il savait faire accoucher les princesses. Il était fort quand même pour un homme.
Angela ne me répondit pas. Sûrement parce que des drôles de bonhommes avec un seul œil étaient apparus. Pouf ! Comme ça ! Ils étaient bizarres. Leur peau aussi. Je connaissais des monstres avec un seul œil, et eux ils faisaient très peur. Ceux là, ils avaient plutôt l'air gentils.
- Je n'ai rien vu de bizarre. À part vous, bien entendu. Il y a une peluche rose avec nous, un ours qui parle et ma main. Mais elle n'est bizarre, elle est juste très gentille. Si vous voulez, elle peut même vous faire un massage du dos, vous verrez, elle est très douée.
Je n'avais jamais su que ma main avait autant de talents. Et pourtant, elle avait été accrochée à mon poignet. Mon Créateur avait dû me greffer la main de quelqu'un de très talentueux. L'autre main en tout cas, celle qui ne bougeait jamais, elle était très douée pour coudre. J'avais de la chance qu'il ait bien choisi ses morceaux. D'ailleurs elle était où ma main ? Je jetai un coup d'oeil aux alentours, mais avec la nuit, je n'y voyais rien. Elle devait se dégourdir les doigts.
Tout à coup, la gentille blonde qui parlait de poissons disparue, comme était apparu les bonhommes avec un œil. Pouf ! Et puis plus rien ! Elle avait l'air tellement gentille pourtant. Ça me rappelait quand j'avais du boire le bain des bonhommes en pain d'épice. Ce n'était vraiment pas gentil de faire disparaître les gens. Surtout quand ils sont entrain de parler. Moi je trouvais ça très intéressant en plus ce qu'elle disait sur les poissons qui gonflent.
- Ce n'est pas bien de faire disparaître les gens, vraiment pas bien ! En plus c'est désagréable, parce qu'on ne sait pas où on va se trouver ! Vous allez la ramener ici, et vous ne toucherez pas à la fille aux cheveux de feu que vous appelez la rousse. Elle a aidé à sauver le Père Noël, alors vous n'avez pas le droit de l'emmener, ça ne se fait pas, et puis c'est malpoli. Et puis, pourquoi vous voulez l'emmenez ? Vous la connaissez ?
Je m'étais planté devant celui qui avait l'air d'être le chef et j'avais froncé les sourcils pour montrer que j'étais sérieuse et pas contente. C'était quand même plus facile de regarder quelqu'un dans un seul gros œil je trouve.
Hadès Bowman
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- ceci est un post Mj et non un post de Judah Weeds
Tandis que la première jeune femme s'approchait dangereusement de moi, j'en avais profité pour... me reculer et faire passer Bob devant moi. Autant qu'elle l'agressait lui, plutôt que moi. Puis, voilà que l'autre fille, celle à la main bizarre, s'était avancée à son tour.
"Arrêtez à la fin ! Si c'est pas l'une qui rouspète, c'est l'autre ! Faut rester zen ! Une camomille?"
J'avais levé la main et un autre petit être comme moi était apparu de derrière un arbre, avec un plateau. Il y avait plusieurs tasses et de... la camomille.
"Je vous en prie, installez vous sur l'herbe, prenez une tasse et buvez. Tenez, donnez en une à ce petit ourson."
Mon homme de main s'était immédiatement exécuter pendant que je faisais une nouvelle fois face aux deux jeunes femmes.
"Ce n'est pas une rousse, ni une humaine, c'est une expérience. 6-2-4 est extrêmement dangereuse. Elle représente une véritable menace pour toute votre galaxie. Alors il faut qu'on la récupère, qu'on l'a ramène chez nous et qu'on la dés...in...tègre." avais-je dit en pouffant pour prononcer mon dernier mot.
"Quoi encore?"
Je m'étais tourné vers Bob. Car oui, c'était à cause de lui que j'avais mis du temps à prononcer mon dernier mot, vue qu'il me tapotait sur l'épaule constament. Il s'était approché de moi et m'avait chuchotté quelque chose de... pas très gentil vue les circonstances, car j'étais déjà sous pression et apprendre une mauvaise nouvelle de plus n'allait pas m'aider.
"Elle est partie."
J'avais regardé autour de moi. Aucune trace de la rousse. On s'était laissé distraite par ces filles que je venais de fusiller du regard.
"Bien, vous voulez récupérer votre amie avant qu'elle soit avalée par le Glauk? Dans ce cas, aidez nous à retrouver 6-2-4 ! Elle est rose, elle a des antennes et... Enfin vous l'avez déjà vue. Mais surtout... Soyez prudent ! En avant toute !" avais-je dit en passant le premier, avant que Bob m'indique que c'était dans l'autre direction qu'elle était partie. Bon sang, je n'étais pas assez payé pour ce job.
Paddington
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J'aimais beaucoup les différentes boissons inventées par les humains. Ce n'était pas aussi bon que les infusions au miel d'eucalyptus, mais la camomille était tout de même très savoureuse !
Une part de moi avait très envie de se poser sur un carré d'herbe afin de siroter la tisane avec un pot de marmelade, mais la raison l'emporta sur la gourmandise, pour une fois.
La gentille demoiselle blonde avait disparu. En plus, j'avais eu très peu de temps pour la connaitre. Elle avait obligeamment ramassé mon orange, avait prononcé son prénom, et l'instant d'après pouf! plus personne. C'était à cause de Bob. Cette créature avait un sérieux problème.
Le chef à l'oeil unique s'énerva un peu en apprenant que la rousse était partie. En fait, tout le monde montait sur ses grands chevaux. Elizabeth et Sally exigeaient le retour de Cléo, mais les étranges créatures n'étaient pas d'accord. Elles voulaient d'abord récupérer leur "Expérience 624". Donc, le koala rose avait été fabriqué dans un laboratoire ? Bizarre, bizarre...
Tout ce qui m'intéressait, c'était le boitier gris pourvu d'une antenne qui dépassait de la poche de Bob. Il était juste sous mon nez. Je levai les yeux vers les humains qui se disputaient avec les créatures. Nul ne semblait faire attention à moi. J'humectai mon museau et tendis courageusement la patte vers le boitier. Je refermai mes griffes dessus et le délogeai en douceur de la poche de Bob. Je le plaquai contre mon duffle-coat bleu marine et regardai le gros bouton rouge. Une barre d'énergie verte indiquait que c'était rechargé.
Je déglutis avec peine et enfonçai le gros bouton rouge. L'instant d'après, le boitier tomba dans l'herbe.
***
J'apparus au beau milieu d'un couloir aux murs froids et gris. Cela ressemblait à un tunnel dépourvu de fenêtres. En fait, ce lieu m'évoquait un vaisseau spatial, comme dans Star Trek, un super film que j'avais vu avec les enfants Brown. Je piétinai sur place, intimidé par l'austérité qui émanait de cet endroit. Un vrombissement continu faisait trembler mes pattes sur le sol.
"Cléo ?" appelai-je d'une voix flutée.
Je n'osai pas crier trop fort. De toutes façons, le silence me répondit. Où pouvait-elle bien être ? A la réflexion, je n'aurais pas du me lancer seul à son secours. Je commençai à avancer d'un pas prudent, observant tout autour de moi d'un air craintif. Le couloir se terminait par une porte blanche sur laquelle était écrit en grosses lettres noires : "EXPERIENCE 624".
"Le koala !" m'écriai-je.
J'accélérai l'allure, mes griffes émettant un cliquetis désagréable sur le sol gris du vaisseau. Une fois devant la porte, je pris une grande inspiration et levai une patte pour la pousser, mais elle s'ouvrit toute seule dans un grand soupir qui me fit dresser les poils du dos.
J'entrai dans la pièces, tremblant des pieds à la tete.
"Eh oh !" fis-je avec plus de force. "CLEO ?"
Eberlué, je m'aperçus que la salle n'en était pas une. Je me trouvai à la lisière d'une foret luxuriante. Là, je remis bien droit mon chapeau sur ma tête et m'avançai d'une démarche assurée. J'étais né dans la jungle, je n'avais plus peur, désormais. J'allais retrouver Cléo, c'était obligé.
Diana serrait les dents et rongeait son frein autant que possible. Les autres parlaient à sa place et c'était très bien ainsi. Mais elle sentit qu'elle allait craquer, non mais on ne dénonce pas les gens comme ça... Bon l'ourse parlant, passons il venait de débarquer en ville. Elle roula des yeux quand Sally en rajouta une couche. Puis l'extraterrestre se mit à parler de désintégrer la peluche rose. Les yeux de Diana commencèrent à partir sérieusement vers le noir et elle dit d'une voix très calme, à comprendre trop calme.
- " Votre Camomille vous pouvez vous la garder, merci bien. Et vous allez gentilment nous expliquer ce qu'elle a fait pour mériter qu'on la désintègre cette 'expérience 624'. "
Diana gagnait du temps pour laisser à la dite expérience le temps de fuir... Mais évidemment, au bout d'un moment, un des extraterrestre se rendirent compte de la disparition de la rouquine. Diana regarda ses compagnons, mais où était passé Paddington. Elle allait interroger ses compagnons humains quand celui qui semblait donner les ordres chez les martiens leur donna un ordre. Diana s'avança vers lui, le foudroyant du regard et elle siffla d'une voix glaciale.
- " Alors vous allez bien m'écouter. Nous ne sommes pas vos larbins, vous n'avez aucun ordres à nous donner. Si, et je dis bien si, nous allons à la recherche de cette femme, je le ferai pour sa sécurité pas pour vous la donner. Maintenant si ce n'a rentre pas dans votre compréhension de tétard, vous allez immédiatement nous rendre Cléo, ou je vous promets que ce n'est pas qu'avec des mots que je vais vous menacer. Suis je assez claire?"
Elle fixait le chef de ses yeux de jais le chef. Les autres extraterrestres ne bougeait pas, le chef de l'escouades répondit d'une voix quelque peu effrayé
- "Oui Madame."
Elle demanda alors plus calmement, enfin non plutôt avec une voix plus chaleureuse.
- " Quelqu'un a t'il vu ou Paddington est allé?"
Elle avait proposé son aide à l'Ourson pour lui indiquer le chemin de la ville, elle ne comptait pas revenir sur sa proposition. Elle n'avait qu'une parole, les extraterrestres devraient s'en souvenir...
Le bon côté c’est que ça n’était pas douloureux. Juste… désagréable. Cette lumière aveuglante dans les yeux comme ça. Physiquement sinon, elle n’avait rien sentie du tout. « Oh... » La bouche ouverte en forme de « O », et les bras toujours levés, elle se trouvait maintenant dans un endroit complètement différent de cette petite colline dans la forêt… où se trouvaient tous les autres. Elle referma d’un coup ses lèvres l’une contre l’autre en baissant les bras. Elle était toute seule. Au milieu d’un couloir métallique tout en longueur. Elle s’approcha d’un mur avant d’y passer lentement la main, on dirait une sorte de métal. Instinctivement elle donna un petit coup avec les jointures de ses doigts comme pour frapper à une porte et fit résonner le bruit probablement jusqu’à l’autre bout du couloir. Paniquée tout à coup d’attirer l’attention sur elle, la blondinette se précipita dans un coin de mur, attendant le cœur battant l’arrivée de quelqu’un prêt à l’emmener au loin. Quand rien ne se présenta au bout de quelques minutes elle s’autorisa un petit soupir soulagé. Note personnelle : ne plus toucher à rien si elle pouvait l’éviter. C’est seulement une fois un peu plus calme qu’elle a remarqué les vibrations. C’était presque imperceptible, et elle ne l’aurait probablement pas remarqué si elle n’avait pas été collée à la paroi. Ça lui rappelait quand elle avait été avalée par la baleine avec Geppetto. Sans le métal et le couloir en fait. Elle ne pensait pas se trouver encore une fois à l’intérieur d’une baleine, parce que, qu’elle monstre abominable irait construire un bâtiment à l’intérieur d’une créature vivante. Peut-être bien qu’elle était dessus, voguant sur la baleine…
Mais c’était improbable aussi. Il fallait qu’elle sorte de son océan parfois, elle tendait à avoir des discussions à sens unique après. Bon, c’est artificiel, donc quelqu’un l’avait forcément créé, donc… elle n’avait qu’à trouver une forme quelconque de vie qui la comprenne pour lui expliquer le malentendu. En espérant ne pas tomber sur quelque chose d’hostile. Les deux côtés se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, elle en choisit un au hasard et commença à avancer. Au bout de quelques temps, elle finit par arriver devant une imposante porte blanche immaculée avec une annotation en gros caractère incrustée dessus. Expérience 624 ? La porte s’ouvrit soudainement toute seule, lui faisant faire un bon en arrière la main sur le coeur. Quand elle constata qu’il n’y avait pas de danger, elle s’approcha doucement avant d’en rester abasourdie. Une forêt. Une autre forêt. Où il faisait jour. Elle fit un pas en arrière, observa que le couloir était toujours à sa place, puis un pas en avant, où elle pouvait sentir la terre sous ses pieds. Et de passer à autre chose en commençant à avancer. Elle ne pouvait pas l’expliquer, elle était curieuse, mais elle n’allait pas se concentrer sur quelque chose alors qu’elle avait plus urgent à penser pour l’instant. Comme trouver quelqu’un. Bizarrement elle était plus à l’aise dans cette forêt-là plutôt que la première. Elle avança quelques minutes sans rencontrer âme qui vive, ni même de bruit d’oiseaux (ce qui n’était pas pour la rassurer).
Elle trébucha presque sur le panneau qui se trouvait sur sa route. Un vrai panneau avec de vrais mots. Cléo avait définitivement du mal à s’adapter aux anachronismes en ce moment, elle avait déjà fait mieux. La pauvre chose usée semblait avoir vécu et était plantée juste sous son nez à hauteur d’épaule. Et, outre la direction a suivre, indiquait un message qui la laissa perplexe une minute.
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Si elle suivait les instructions, la personne arrivant après elle n’aurait aucun moyen de savoir vers où aller. Mais elle avait aussi apprise très jeune que voguer à contre courant pouvait se révéler très dangereux. Sans plus d’hésitation elle agrippa le panonceau fermement et le retira du sol, avant de s’éloigner dans la direction indiquée. Ce n’était pas si mal en fait, c’était un joli coin malgré sa localisation incompréhensible, et toute les péripéties nécessaires pour y accéder. Un brin d’air frais qui lui soulevait les cheveux gentiment, une température douce et pas de créatures agressives. Pour l’instant. Elle failli presque tomber dans un trou avant de réaliser que ce n’était pas juste un trou. Mais un espacement identique à celui où elle avait trouvé la pancarte. Elle n’eu pas le temps d’analyser la situation qu’un appel au lointain lui fit se retourner toute excitée. Il y avait quelqu’un finalement ! Et… c’était son nom qu’on appelait ! ça ressemblait à la voix du petit ourson, comment est-ce qu’il avait fait pour arriver ici ? Les invisibles l’avaient kidnappé aussi ? Le pauvre devait s’inquiéter, peut-être même être effrayé d’avoir atterrit dans un endroit pareil. Sans réfléchir plus, elle replanta le bout de bois dans le sol devant elle, et fit demi-tour dans la direction de la voix. Elle n’avait pas été très utile cette pancarte en fin de compte…
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Alexis Rice
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lexis se demandait bien pourquoi il avait voulu venir voir ses lumières. Il aurait mieux fait de rester chez lui avec Obias à mater un bon film ou un truc du genre. Mais ces lumières l'avaient attirés ici et il y avait planté sa tente. Il n'espérait pas voir débarquer des filles puis une étrange créature rose puis un ourson parlant puis une autre étrange créature... Dire qu'il travaillait ici en plus...
Et voilà que des extraterrestres venaient de débarquer dans la forêt et que l'ourson avait dénoncé la créature rose. Aussitôt ils avaient voulu capturés l'étrange créature devenue une magnifique fille rousse (oui, on a beau être gay, on regarde aussi les filles...) mais avait visé la fille blonde, Cléo, qui venait à peine de se présenter.
Alexis se sentit ensuite largué. Toutes les filles hurlaient après les extraterrestres qui tentaient de les raisonner. Enfin c'était un truc du genre. Mais pourquoi avait-il fallu cette malédiction? Pourquoi n'était-il pas resté au village Gaulois avec Obélix et les autres? Pourquoi?
Il lui semblait que tous le monde voulait suivre le chef pour retrouver la fille rousse disparue. Mais lui voulait retrouver Cléo et l'ourson Paddington. Il laissa les filles en bas et se précipita vers le boitier. Depuis la disparition de l'ourson, il avait eu le temps de se recharger de nouveau, non? Il appuya sur le bouton vert et se retrouva dans un étrange lieu: un couloir aux murs gris et froids. Et évidemment, il était seul. Il appela les noms de deux disparus:
-Cléo, Paddington...
Mais sans succès. Il se demanda s'il n'aurait pas mieux fait de rester en bas. Mais, maintenant, il était là. Il avança donc et se retrouva devant une porte. Dessus était inscrit "Expérience 624". Tiens, c'était pas comme ça que le chef des aliens avaient appelés la fille rousse? Oh peu importe... Il entra et se retrouva dans une autre forêt. Décidément, il était abonné à ça. La forêt Gauloise, la forêt Storybrokienne où il faisait son travail et où il se passait des choses étranges et cette dernière forêt... La porte s'était ouverte d'elle-même en plus, comme pour attirer le jeune homme en elle. Bon maintenant il lui fallait retrouver Cléo et l'ourson...
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Je n'avais jamais goûté à de la camomille. Moi, je n'aimais que le thé. C'était anglais je crois. Mon Maître, il me faisait toujours boire du thé. Il disait que c'était parce que j'étais en partie anglaise. Il avait récupéré pleins de restes pour me créer en Angleterre. Ça avait l'air chouette là-bas. J'aimerais bien y aller un jour.
Peut être que Cléo était entrain de voyager. Et Paddington aussi. Et le garçon qui m'avait rendu ma main aussi. Ils n'étaient plus là. Ce qui voulait dire qu'ils avaient sûrement rejoint tout les deux la fille qui parlait des poissons ! Mais comment ils avaient fait ? Ils étaient devenus invisibles et ils n'étaient plus là, alors c'était logique que je ne puisse pas les voir. Je m'accroupis pour pouvoir parler à ma main, sans m'intéresser à Bob le bonhomme avec un seul œil et ses tasses de camomille. Le thé, de toute façon, c'était meilleur.
- Il faut qu'on trouve comment disparaître nous aussi. Tu es vu quelque chose ? Je sais, tu n'as pas de yeux. Mais tu es très intelligente. Même si tu n'as pas de cerveau non plus.
Elle était vraiment chouette ma main pour ça. Elle comprenait toujours. Elle se mit à courir sur ses cinq doigts très très vite. Je me mis à quatre pattes pour la suivre. Quand j'étais debout, j'étais beaucoup trop grande. Je n'allais pas la voir sinon, il valait mieux la suivre de très très prêt.
Elle s'arrêta devant quelque chose de presque carré et se mit à gigoter, un peu comme si elle essayait de faire des pompes. Je la tapotais avec ma nouvelle main droite accrochée pour la féliciter. Elle était vraiment très douée, moi je n'inventais rien !
- Bravo ma main ! Que ce que tu as trouvé ?
Je savais qu'elle n'allait pas répondre. Je ne suis pas si blonde ! Et puis, de toute façon, je suis brune, pas blonde. Ce n'est pas parce que je n'ai pas de cervelle que je suis bête. Ma main avait en tout cas trouvé un bloc gris, avec au centre un gros bouton rouge. C'était ça qui avait disparaître les autres ? Ils avaient dû appuyer sur le bouton, comme ça et...
Ils avaient dû se retrouver dans le couloir tout gris, eux aussi. C'était le drôle de bloc qui m'avait sûrement envoyé ici. Je n'avais rien vu d'autres sinon. C'était très moche tout ce gris. Et le sol remuait, ça aussi c'était désagréable. Pas beaucoup, mais ma main ne devait pas beaucoup aimer. Je baissais les yeux pour vérifier si elle allait bien, mais elle n'était plus là.
- Ma main ? Ma main ? Tu... tu es restée là-bas ?
Elle aurait dû appuyer sur le bouton avec moi ! J'étais toute seule, sans ma main... J'en avais bien deux autres, mais celles là n'étaient pas aussi intelligentes. Elle au moins, elle m'aurait soutenue...
Je poussais un soupire et m'avançais dans le couloir. J'allais sûrement retrouver les autres, comme ça je ne serais plus toute seule. Il fallait sûrement que je passe la porte toute blanche, comme ça, je les trouverais pour de bon.
Sauf si ils avaient décidés de se balader dans la forêt. Ce n'était pas la même, celle là, ça se voyait qu'elle était beaucoup plus belle et beaucoup plus grande que celle de Storybrooke. Peut être que c'était ça, l'Angleterre ? En tout cas, le panneau qu'il y avait devant moi ne me disait pas où j'étais. C'était un panneau grand comme moi, où il y avait marqué « On m'a déplacé, remettez moi en place s'il vous plaît. » Il était poli ce panneau, c'était agréable. Il y avait trop de panneaux qui donnaient juste des obligations. Celui là avait une flèche qui me montrait un chemin. J'attrapais le panneau et le changeais de place, pour que la flèche indique un autre côté.
- J'espère qu'ici est votre place. En tout cas merci beaucoup de me montrer le chemin ! Grâce à vous je vais peut être retrouver ceux que je cherche.
Je fis un geste de la main pour lui dire au revoir et je me remis en route. Les arbres étaient grands ! C'était beau tout ces troncs et ces feuilles. J'aimerais bien vivre en forêt. C'est jolie, la forêt. On peut faire ce qu'on veut, et il n'y a pas tout le temps des gens. Sauf peut être des gens avec des cheveux jaunes comme le soleil. Ou les tournesols. Ou le beurre. Ou comme Cléo. C'était peut être là-bas !
- Cléo !
Je me mis à courir pour la rattraper et je me plaçais juste devant elle. . C'était bien elle ! Je ne m'étais pas trompé. J'étais contente de moi, j'avais déjà trouvé quelqu'un. Maintenant il manquait l'ours en peluche et le garçon. Ça ne devrait pas être trop dur. Un jour j'ai entendu que les garçons n'ont pas le sens de l'orientation. Ou peut être que c'était les filles. Je ne me souviens plus.
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L'ACTE 3 !!! - parce qu'il se situe après le 1 et qu'il n'y a pas eu de 2 -
"CAPITAINE ? Ici le commandant Gantu ! Vous n'avez toujours pas donné de vos nouvelles ! J'attends ! Où vous en êtes ?"
"Oui madame !"
"COMMENT ???"
"Oh pardon, Commandant Gantu, c'est à cause de l'autre folle..."
J'avais baissé d'un ton... "...l'hystérique"
"JE NE VEUX PAS SAVOIR ! Vous avez une mission ! Menez la à bien ! Je suis en route et j'espère pour vous que ça sera bouclé avant mon arrivée !"
- fin de la transmission -
Voilà ce qu'il y avait de noté sur le petit portable que je tenais en main et que je venais de ranger. Puis, je m'étais avancé vers les deux jeunes femmes, les jambes tremblantes.
"Bon.. on... va... Pouvoir... Continuer la mission... Il suffit de partir... par là... Ou là..."
Je ne savais pas trop où aller, mais peut être qu'elles allaient pouvoir m'aider ! J'avais fait signe à Bob qui avait chargé son arme sur "désintégrateur". On était paré à se mettre à la poursuite de 624.
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Cette foret était la réplique exacte de ma jungle adorée, excepté qu'il n'y avait aucun bruit caractéristique, comme s'il n'y avait pas d'animaux, ni de vent dans les feuilles. C'était assez perturbant. Je tentai de me remémorer les différents sons. Tout était si identique. Pour un peu, j'aurais vu ma maison perchée dans les arbres, avec tante Lucy et oncle Pastuso qui me faisaient de grands signes de la main.
Mais il ne fallait pas oublier l'objectif premier de cette aventure périlleuse : retrouver la charmante Cléo. Je mis mon flair à profit, humant l'air autour de moi. Son odeur était à peine perceptible, mais la piste était encore tiède. Elle était passée par ici.
Je m'avançai donc, m'enfonçant sans crainte dans la foret aux arbres immenses. Soudain, j'aperçus une créature pas plus grande que ma patte, juste devant moi.
"Bonjour, toi !"
Elle leva son petit museau noir dans ma direction pour me sentir. Je fis de même avant de la caresser. Elle ressemblait à s'y méprendre à un hérisson, sauf que ses piques étaient en réalité de la fourrure toute douce. L'hérisson sortit sa langue rose et me lécha. J'eus un petit rire. Ca chatouillait. Je remarquai une plaque en métal autour de son cou, sur laquelle était gravé : "Nourrissez-moi avec ceci".
Je fronçai les sourcils et observai autour de moi. Juste à coté de lui était posé un sachet en tissu bleu, de la même taille que lui. Je m'en saisis et l'ouvris. Il contenait des graines. J'en goutai une avant de la recracher. Ca avait le gout de ce qu'on a dans les oreilles. J'avais déjà tenté auparavant d'en manger, c'était absolument écoeurant.
Je pris le hérisson au creux de ma patte. Il émit un petit couinement joyeux quand je le fis manger la première graine. Il était vraiment trop sympathique. Je continuai mon chemin tout en le nourrissant. A chaque graine, il couinait, et bientot, je m'aperçus que quelque chose clochait. Il grossissait à vue d'oeil. Il débordait de ma patte mais ne semblait pas s'en rendre compte. Il continuait de me fixer avec ses yeux noirs inexpressifs. Il devenait tellement lourd que je dus bientot le porter à deux pattes. Comme je ne pouvais plus lui administrer les graines une par une, je pris le sachet dans mon museau et le versai dans le sien. Il prit au moins quatre kilos d'un coup. Son couinement était devenu un grognement rauque.
Marchant en zigzag, je coinçai la langue entre mes dents et poursuivis vaillamment ma route. J'avais bien fait, car bientot, j'aperçus Cléo et Sally non loin. Je les rejoignis tant bien que mal, portant toujours l'énorme hérisson sur mes pattes tremblantes. Ce dernier observait les alentours, la gueule grande ouverte, la langue pendante comme un chien.
"Je... vous... ai... retrouvé...!" soufflai-je.
Une fois devant les deux demoiselles, je posai enfin ma charge sur le sol. Le hérisson se tourna vers moi et ouvris de grands yeux, impatient d'avoir de nouveau à manger. Exténué, je retournai la plaque en métal qui comprimait son cou énorme. Je repris ma respiration et expliquai en leur montrant l'objet :
"On m'a demandé de le nourrir. Au début, il était tout petit."
Je retournai la plaque en sentant du relief sous ma patte. Quelque chose était écrit au dos. "Je plaisante, ne faites surtout pas ça." lus-je, décontenancé. "C'est signé... Geronimo."
J'esquissai une moue sceptique, avant de demandai aux deux jeunes femmes : "Vous connaissez un Geronimo, par hasard ?"
Avec Diana Lake, Alexis Rice, Cleo Pescerosso, Paddington, Sally Ragdoll, Les Stitchs
Expérience5.1
Comme, Sally réagit vraiment très mal face à la disparition de Cleo. Cette jeune femme semblait un peu enfantine, mais elle parlait avec une telle véhémence qu'elle en devenait assez impressionnante. Par contre, la blonde se demandait de quoi elle parlait lorsqu'elle disait qu'un groupe avait sauvé le Père Noël... C'était quoi encore cette histoire ? Car elle ne doutait pas que cela fut vrai ! Il se passait tellement de choses à Storybrooke que bon, il fallait s'attendre à tout.
Néanmoins, elle faillit mettre son bâton dans la tête du chef lorsqu'il leur conseilla de se calmer et leur proposa une tasse de camomille. Déjà, elle n'aimait pas ça, mais en plus, elle n'aimait pas vraiment ne pas être prise au sérieux. Elizabeth se sentait vraiment prête à le frapper quand il expliqua qu'Angela était en fait une expérience, dangereuse. La blonde eut un sourire assez sarcastique, étant donné qu'ils étaient tous quelque chose avant d'avoir été humains. Donc la nouvelle ne la surprenait pas tant que cela. En fait, elle s'en fichait complètement.
Ce qu'elle ne supportait pas, c'était le fait qu'ils veuillent détruire une vie. Même créée en laboratoire et avec tous ses défauts, Angela avait comme tout le monde, le droit de rester en vie. Ainsi donc, Elizabeth se creusait la tête pour trouver un moyen de les mettre hors service. Alors que le chef les exhortait à le suivre pour la capturer, il se rendit compte que la rouquine était partie. Bien... Elle apprécia beaucoup moins la menace qu'il leur fit. Et déjà, c'était quoi un Glauk ?
Heureusement, Diana intervint en faisant bien comprendre qu'elles ne lui livreraient pas la jeune femme. La romancière avait été assez impressionnante et le chef n'osa rien dire d'autre. Puis elle demanda où était passé l'ourson. Regardant autour d'elle, Elizabeth constata qu'il avait disparu. Encore un !!!
- Ne me dites pas qu'il a réussi à disparaître lui aussi ? Soupira-t-elle tout en s'inquiétant pour le petit ourson qui ne connaissait apparemment pas grand chose au monde.
Tout en continuant à essayer d'en savoir plus, Elizabeth ne fit pas attention qu'Alexis puis Sally disparaissaient à leur tour. Ce n'était que lorsque le chef fut en conversation qu'elle remarqua que deux autres compagnons de veillée avaient disparu. Alors ça ! C'était le pompom ! Et pour l'instant, la seule solution de les retrouver, c'était de suivre les extraterrestres et de retrouver Angela. De trouver quelque chose pour qu'elle ne soit pas désintégrée et retrouver les autres...
- Diana... On n'est plus que toutes les deux... Ils ont disparu. Dit-elle en montrant un boitier gris qu'elle venait de trouver au sol. À mon avis, ils ont retrouvé Cleo. Fit-elle avant de se tourner vers le chef : Nous allons vous suivre. Et vous allez nous aider à retrouver nos compagnons. Entiers, vivants et non diminué psychologiquement. Qu'ils nous reviennent dans le même état que lorsqu'ils ont appuyé sur le bouton...