Encore une journée à flanner dans les rues de Storybrooke, à découvrir les merveilleuses décorations de Noël, à prendre un bon vin chaud et à se régaler avec les gauffres sucrées au coulis de chocolat chaud. Miam miam. Ca aurait pû être une journée vraiment parfaite, mais il avait fallu que je rentre à la maison et là... l'horreur avait débutée !

"Bon sang, c'est quoi ça?" avais-je hurlé en manquant de me faire renverser par un gamin en skateboard, quand j'avais ouvert la porte de chez moi.

"Méré? T'as demandé à un monstre de m'accueillir?"

Elle n'avait pas répondue, peut être qu'elle n'était pas chez elle. J'avais franchis la porte, laissant le gamin derrière la porte que je venais de claquer. Etrangement, j'avais entendu un "aïe"... Il avait dû se prendre la porte en plein sur le nez. Ca m'avait bien fait sourire.

"Faudrait que t'arrête de donner les clefs de l'appartement à n'importe qui! Il a de la chance que je n'ai plus mes pouvoirs, sinon je l'aurai fait cramer sur place!"

Je m'étais dirigé vers la chambre, mais personne. Tout comme dans la salle de bain. Dommage, j'aurai bien aimé l'y surprendre. Il n'y avait personne non plus dans la cuisine, même si il y avait de la nourriture étalée de partout sur la table. C'était écoeurant...

"Méré?"

J'étais revenu dans le salon et j'avais vue le monstre devant la porte, mais cette fois ci à l'intérieur de l'appartement.

"Bon sang... Tu veux quoi à la fin?"

Harris avait retrouvé Mérida! Et comme sa famille en ville ne se résumait plus que par un seul nom : Mérida Bowman, il était allé à sa rencontre. "Yop Meri", c 'moi." La rousse avait cru à une blague et l'avait envoyé bouller. C'était tout à fait elle. "Grande soeur! C'est moi, Harris!" Elle était restée muette puis avait tripoté les cheveux d'Harris et touché ses joues avant de regarder ses yeux. "On a les mêmes, Harris, c'est vraiment toi?" Le petit prince hocha la tête, visiblement, elle avait l'air pressée. Elle lui donna les clés de l'appartement en lui demandans de ne rien casser et s'il se souvenait d'où il était. Heureusement que oui. Harris était entré et s'était immédiatement senti comme chez lui, faisant un tour dans le frigo et les placards, pour chercher de quoi grignoter avant de tomber sur un paquet de cookie.
Harris avait entendu du bruit à l'extérieur, se rappelant qu'il avait laissé son skate dehors. Il se frappa le front en soupirant. Comment on pouvait oublier un truc aussi encombrant? Il s'empressa d'aller chercher son objet à roulette, laissant la porte de l'appartement ouvert, il ne prendrait que quelques minutes.
Il y avait un monsieur barbu ressemblant à un Conchita mais en plus ne baraque que le chanteur. Ce ne fut pas par hasard qu'Harris manqua de le faire tomber, enfaite, il voulait le faire tomber, mais il avait loupé son coup. Il resta muet et fut quelque peu mécontent de la remarque du sosie de Jésus à son encontre. Et puis, l'homme qui avait ses aises dans l'appartement de sa soeur l'appelait de façon bien trop familière pour Harris.

-Elle n'est pas là.

Il continuait à chercher. Quel boulet, puisque arris avait dit qu'elle n'était pas là, c'est qu'elle pouvait être partout, sauf ici, et pas que dans la pièce, dans toutes les pièces de l'appartement.

-J'ai dit-elle n'est pas là, tu s sourd . Cria Harris de l'entrée pour être sûre que le vieux l'ait entendu.

Il revint. Ha Bah enfin, il avait compris qu'elle était absente. Enfin!

-Toi tu lui veux quoi à Méri? T'es qui? Pourquoi je devrais dire qui j'suis? Méri elle sait, j'ai pas besoin de te rendre de compte Conchita.

Bon, Harris pouvait être vraiment chieur parfois. Mais bon, il n'aimait pas qu'on parle de sa soeur sous ce surnom, c'était SA soeur, et celle de ses frères, mais pour l'instant, il ne savait pas où ils se trouvaient

C'était quoi ce truc? Comment un monstre pareil pouvait exister? Un petit monstre effronté et... Conchita? Il était sérieux? Il m'avait véritablement appelé comme ça? Je l'avais toisé de bas en haut. Il ne devait pas peser très lourd, ça ferait l'affaire.

Sans lui laisser le temps de réagir, je m'étais approché de lui, je l'avais soulevé et mis sur mes épaules, comme on met un sac à patates, puis j'étais sortit de l'appartement, j'avais descendus les marches, ouvert la porte d'entre et je l'avais déposé par terre. Puis, j'avais fait de grands gestes de la main pour lui indiquer de partir.

"Les déchets c'est dehors, alors ne t'avises plus de revenir ici sale mioche !"

J'avais déjà eu un fils, je ne souhaitais pas en avoir un second. Et de toute façon, qu'est ce que je racontais? C'était qu'un... un... mioche qui appartenait à personne et qui... C'était bizarre quand même la ressemblance. Ils avaient des petits airs... Oh non... Comment c'était arrivé?

"Attends, t'as quel âge? C'est Pascal ton père? Miro? Ou je ne sais quelle autre tapette qui s'est tapé Merida? C'est pas sérieux là? T'es son sale mioche?"

C'était pas sérieux... Je voulais ma réponse avant de décider de son sort. Si ça se trouve, elle ne remarquerait pas son absence si je venais à le tuer et l'enterrer derrière l'immeuble.

Le mettre à la porte, il était sérieux? Personne ne met Harris à la porte, il s'y met tout seul comme un grand. Harris ne sentit plus soudainement le sol sous ses pieds. Ha mais non, il se laisserait pas faire aussi facilement. Il se mit à gigoter dans tous les sens, mais ne parvint pas à se défaire. Il fut à nouveau par terre et regarda Jésus. Nan mais il se prenait pour qui?
-Tu sais pas à qui ta a faire le vieux.

Merida, qu'est-ce qu'elle avait, d'où il parlait d'elle comme ça? Non mais quel culot! Il n'aimait pas ça. Qu'on parle de sa soeur comme ça, c'était inadmissible! pire que de se faire voler une boîte de sparties ou de cookies. Fallait vraiment qu'il se calme.

-Hey!

Voilà. Un peu d'attention, de toute façon, il ne pouvait rien faire d'autre étant donné toutes les énormités qu'il débitait, et le peu de respect qu'il accordait à Mérida.

-Pascal...c'est qui celui-là? Un copain de Meri? Je onnais que Samuel, et ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu, j'étais tout petit à l'époque. Même si je le connais pas plus que ça. Et puis tu parles pas de ma soeur comme ça! Tu la respectes Okay?

Merida avec un enfant...pardon? C'était une blague? Depuis quand? Merida maman, elle qui n'aimait déjà pas le mariage, alors un enfant, c'était la blague la plus pourrie qu'on ait pu faire.

-Je suis Harris de Dunbroch...ou Bowman, j'suis son frère tète de noeux. ça se voit pas?

Harris Gromela quelque peu avant d'essayer de passer pour aller dans l'appartement, s'il était rapide, il pouvait barricader la porte. Il tourna la tête et sourit.

-Merida!

Il fallait juste que l'autre y croity crois, et Harris jouait plutôt bien la comédie. Lorsque le squatteur eut tourné la tête, Harris courut à toute allure dans l'appartement, fermant la porte avec les clés que Mérida lui avait confié et la barricadant avec une chaise, bloquant la poignée.

"Harris de DunBroch?"

C'était quoi ce délire? Merida n'avait pas... trois frères. Et merde! Voilà qu'ils revenaient à Storybrooke et... Comment était il revenu?

"Attends, comment ça le frère de Merida? Tu es arrivé ici comment? Tu as un harricot?"

Il avait un moyen de venir, donc de repartir? Si c'était le cas, il allait me le donner et immédiatement. En attendant, je m'étais tourné pour dire ses quatre vérités à Merida pour m'avoir caché la présence de son frère en ville. Mais une fois que j'avais tourné le dos à Harris, je n'avais pas vue la jeune femme.

"Espèce de..." avais-je dit en me tournant vers Harris, mais il n'était déjà plus là. J'allais me lancer à sa poursuite, mais à bien y réfléchir, il allait très certainement arriver avant moi, fermer la porte à clef et je devrais la défoncer pour entrer... Je n'avais pas envie de faire de grands efforts. Le mieux était de simplement regarder au loin...

"L'escalier de secours..."

Ca allait être un jeu d'enfant. D'ailleurs, j'avais pris tout mon temps pour monter les marches. Il allait sans doute barricader la porte sans se préoccuper des fenêtres. Ah les enfants... !

Une fois arrivé en haut, j'avais regardé à l'intérieur de l'appartement et j'avais vue une chaise tout contre la porte. Super... J'avais tapé dans le mile. Je m'étais mis de retrait pour pas qu'on me voit, puis j'avais très discrètement... donné un coup de coude contre la vitre, la brisant et j'étais entré rapidement, en me prenant quelques morceaux de verres dessus. Une fois dedans, j'avais regardé de partout. Aucune trace du morpion.

"Harris? Viens voir Juju. Viens me voir! Je ne te ferai rien." avais-je dit en prenant une chaise qui se trouvait là et en la retournant pour pouvoir la lever et être prêt à frapper sur le mioche.

Après plusieurs pas dans la maison, il n'y avait aucune trace du jeune garçon si ce n'était... Ces traces de cookies... Il avait pris de la nourriture avant de se cacher. C'était un véritable goinfre. A croire que dans toute la famille c'était des goinfres. Y'avait qu'à voir le père...

"Je sais où tu es!" avais-je dit en m'approchant du placard. J'avais mis ma main sur la poignée, puis je l'avais ouvert rapidement tout en écrasant ma chaise contre ce qui se trouvait dedans. Fier de moi, je venais de dégommer une pile de vêtements et quelques étagères avaient pris un coup.

"Ok, t'es pas là... Montre toi sale mioche !!" avais-je dit en me tournant vers le salon! J'allais finir par lui mettre la main dessus.

Le bruit du verre qui éclate.
Harris se mordit la lèvre. Rhaaa mais il ne voulait pas lâcher le morceau, le laisser tranquille. Harris devait le reconnaitre, le vieux avait de la jugeote.

Harris se mis à réfléchir à toute vitesse. Non mais il n'aimait pas ça, sauf que c'était vital. Allez, comme les exercices à Dun Broch. Harris chercha une planque. Le placard! Il courut mais s'arrêta à mis chemin en voyant un dernier cookie sur la table de la cuisine, il s'en empara et croqua dedans. Mais non voyons, se cacher, il fallait se cacher! Il alla dans le placard, avant de faire marche arrière, c'était trop prévisible, trop facile. Pourtant, il n'avait pas pensé aux fenêtres. La chambre! Harris s'y glissea sous le lit. Rhaa mais non, trop prévisible. Jouer à cache ici, c'était l'horreur, il n'y avait nul par où se cacher. Hope!

Harris se cogna légèrement le front contre le sol, réfléchir, réfléchir et vite! Il ne pouvait pas se cacher longtemps. Il marcha sur la pointe des pieds jusqu'à la cuisine, attrapant une poelle à frire comme une épée, la levant au-dessus de son épaule.

-D'accord! Temps mort, je dois reconnaitre que pour un vieux, ta un peu de jugeotte.

Ce n'était pas le moment de jouer pour Harris, ce n'était plus drôle. Quoique si enfaite, Harris était remonté à bloquer. Enfaite, il trouvait ça plutôt amusant. Visiblement, le gars connaissait bien Meri.

-Bon...juju? Drôle de nom... Mais t'es qui pour Meri?

Il était à l'entrée du salon. ça aurait donné une belle photo, Harris, petit brun tenant comme arme une poelle pendant que Juju alias Jésus avait une chaise.

-Heu tu veux savoir comment j'ai fait... Le haricot...on en avait pour partir d'ici...mais on en a plus, alors moi et mes frères on a été voir la vieille et son piaf pour revenir à Storybrook.ouai Maman et Papa ne savent pas...heureusement...

Harris se surprenait de plus en plus, ça devait être le fait de rester trop longtemps avec Teddy qui le poussait à parler aussi longtemps. Parceque d'ordinaire, il ne faisait que de brèves phrases.

-Le hic...c'est que j'ai rien pour repartir...

Oui, avaient ses frères, ils étaient convenus de réfléchir étape par étape. Mais les choses avaient dérapé. Comme à chaque fois.

-Donc...voilà.

Donc voilà...magnifique comme fin de phrase. Franchement, splendide! Voilà. Maintenant il allait mourir. Mais en même temps, c'était assez excitant parce qu'il était prêt à riposter...bon avec une poelle. Mais ça peut faire mal ce truc...faut pas croire.

C'est fou ce qu'il pouvait parler pour un gamin. J'avais plus qu'une envie, c'était de partir d'ici pour ne plus l'entendre, mais ça signifierait qu'il avait gagné. Et puis en plus, je me doutais bien que Meri ne le mettrait pas à le porte, donc ça servait à rien de partir, vue qu'il serait encore là à mon retour. En tout cas pas question de partager cet appartement à trois. Déjà qu'à deux il n'y avait pas beaucoup de plus.

"La vieille? Qu'elle vieille?" avais-je dit en déposant la chaise à terre, ou du moins ce qu'il en restait après mon attaque du placard. J'avais pris un cookies sur la table, car ces émotions m'avaient données faim. C'était pas si mauvais. Ce truc avait rempli l'appartement de nourriture ou alors il avait vidé toutes les cachettes de bouffe de la rousse.

"Tu sais quoi? On va se poser tranquillement et apprendre à se connaître."

Mieux valait tout savoir de ses ennemis. Et puis s'il avait réussi à trouver un harricot, il pourrait sans doute en trouver un autre.

"T'es lequel? Parce qu'il y en a trois, c'est ça? Elle avait parlé de trois frères, tu as dit que vous êtiez revenus. Les autres sont cachés quelque part dans la maison?"

Faites qu'ils soient morts ou je ne sais quoi. Déjà partager l'appartement avec un gosse, mais si en plus il y en avait trois, ça serait pire que l'Enfer. Bien qu'en Enfer je m'y plaisais bien.

"Tu veux un cookies, Tornade?"

Je lui avais donné le nom d'un renne du Père Noël. A force d'entendre constament Noël de partout, fallait bien que ça me serve à quelque chose en attendant de connaître son prénom. Bien qu'il me l'avait peut être dit, mais je n'avais pas vraiment écouté. Habris? Ou un truc comme ça, non?

J'essayais de l'amadouer avec un cookie que je tendais devant moi, pour le faire sortir de sa cachette. Les gosses c'était stupide, il allait facilement se faire avoir.

Se poser tranquillement. Voilà qui en était une bonne idée. Tout en restant prudent, cela va de soi. Juju c'était un nom louche, surtout pour quelqu'un avec sa tête. Non mais le nom! Juju, c'était ridicule. C'était pas un nom! Pourquoi il voulait pas dire son nom? Harris n'aimait pas être sans réponse. A Dunbroch, c'était lui et ses frères qui faisait grincer les dents. Rien que le mot "triplet" pouvait terroriser toute la cuisine et le personnel du chateau.

-Je suis l'ainé, Harris.

Ils étaient trois. Alors il en savait un minimum sur eux. Les autres, non malheureusement, Harris ne savait pas où ils étaient. Et puis s'ils étaient tous les trois réunis, Juju aurait eu beaucoup plus de problèmes. Trois triplets diaboliques se ressemblant comme des clones, c'est proche de l'apocalypse.

-Oui la vieille, la sorcière qui fait des statues de bois. C'est elle qui nous a fait revenir, on avait besoin de trouver Mérida...affaires personnelles et familiales.

Il n'avait pas besoin d'en savoir plus. Sur ce point. Harris baissa sa poelle. Juju proposa un cookie. Comment refuser, il n'était peut-être pas si méchant après tout. C'est vrai, il n'avait rien d'effrayant. Étrange mais pas flippant. Harris sortit de sa cachette et s'avança vers Judah pour prendre le cookie, il adorait les cookies! Merveilleuse découverte.

-Les autres "sait pas où ils sont. On a attrapé le piaf de la sorcière comme caution, mais je suis arrivé tout seul. C'est elle qui a transformé maman en ours...et nous aussi. Mais les autres, j'sais pas où ils sont. J'suis devenu brun aussi! J'étais comme Meri avant, tout roux!

Il fit une pause pour terminer son cookie. Parler c'était fatigant n'empêche. Il fallait du carburant.

-Et toi, tu m'as toujours pas dit qui t'est Juju. C'est ou chez toi, enfin avant Storybrook. Tes des frères aussi? C'est bon hein? Les cookies.

Il fit une petite pause, une nouvelle fois.

-Et mon nom c'est Harris, pas tornade. Comme le pain de mie.

La vieille aux statues de bois? De qui il parlait? En tout cas ils ne devaient pas être dépaysés. Entre le vieux à la canne en bois et la vieille aux statues de bois. Tout était vieux et en bois dans leur monde.

"C'est quoi cette histoire de vieille en statue de bois qui peut envoyer des gens à travers les mondes?"

Je voulais connaître tous les moyens de voyager à travers les mondes, ça pourrait toujours aider pour la suite.

"Donc l'aîné... Et les deux autres monstres sont restés là bas?"

Je ne voulais pas en voir deux autres débarquer à l'improviste. Un déjà c'était largement suffisant et horrible ! Du coup il était seul et brun au lieu de roux. Pourquoi il avait changé de couleur? C'était stupide ce changement et sans intérêt.

"Qui je suis, ça n'a aucun intérêt pour le moment. Ce qui compte c'est qui je ne suis pas."

Je lui avais fait un faux sourire avant de prendre un cookies et de me relever. J'avais fait tourner le cookies entre mes doigts.

"Je ne suis pas une nounou. Je ne garde pas les enfants. Je ne suis pas non plus un enfant. Ce qui signifie qu'on me doit le respect. Et je ne suis pas un de ces imbéciles habitant de Storybrooke. Je suis un dieu."

Bon finalement, c'était quand même important de savoir qui j'étais. J'avais arrêté de faire tourner le cookies et je l'avais posé sur la table. Puis, j'avais pris un mug. Je l'avais regardé, j'avais regardé Harris, puis j'avais écrasé violemment le mug contre le cookies qui était devenue plus qu'un tas de miettes.

"Du moment que tu comprends que je suis ton dieu, ça ira parfaitement. Donc ton dieu t'ordonne de te trouver un autre endroit où vivre. Genre, à l'hôtel, dans le canniveaux ou chez je ne sais pas... Samuel? Miro? N'importe quel autre imbécile du moment que tu ne loges pas ici."

Harris soupira, il fallait tout expliquer, vraiment, il ne faisait aucun effort pour essayer de comprendre, ne serait-ce que pour comprendre Merida aussi. C'était pourtant pas compliqué, la vieille sorcière qui fait des statuettes en bois pour passer le temps a envoyé Harris et ses frères à Storybrook...sauf que pour la faire capituler, il avait fallut capturer son maudit oiseau noir, et seul Harris était arrivé en ville au final.
Harris soupira, il fallait tout expliquer, vraiment, il ne faisait aucun effort pour essayer de comprendre, ne serait-ce que pour comprendre Mérida aussi. Ce n'était pourtant pas compliqué, la vieille sorcière qui fait des statuettes en bois pour passer le temps a envoyé Harris et ses frères à Storybrook...sauf que pour la faire capituler, il avait fallut capturer son maudit oiseau noir, et seul Harris était arrivé en ville au final.

-La vieille...une sorcière qui fabrique aussi des statues en bois, ce n'est pas compliquer à comprendre.

Franchement, c'était simple, même un lion aurait pu comprendre ça.

-Elle nous a envoyés ici, mais de nous, il n'y a plus que moi.

Donc trois moins d'eux qui font un. Il s'est pas non plus calculé? Harris l'écoutait parler, il aurait bien voulu lui balancer un seau d'eau, juste pour le faire revenir sur terre.
Un dieu, rien que ça? Franchement, il avait un ego surdimensionné.

-Nan mais je te rassure, ton l'air trop vieux pour être un enfant, et je préfère encore avoir Maude comme nounou plutôt que toi. Admettons, une seconde que tu es bel et bien un dieu. lequel Lug? Cernunnos? Tu peux le prouver? Là tout de suite...maintenant?

Ce qui embêtait Harris, c'était qu'il ne ressemblait pas à ce qu'on disait d'un de ses dieux, il n'était ni lug le lumineux, ni Cernunnos le cornu, il ne pouvait encore moins être la déesse Dana. Harris le regarda écraser le cookie. Quoi? Il voulait prouver Sa Grandeur avec un cookie? Genre, il était une tasse...

-Bon, de toute façon, Meri, elle va repartir avec moi à Dun Broch...

Et comme ça, elle pourra devenir reine et les parents arrêteront de donner tout cet enseignement éprouvant à Harris. Bon, même si Meri n'était pas encore au courant, ce n'était qu'un détail à régler. DunBroch avait besoin de Mérida...et les triplets aussi, parce que, par Lug, Harris ne voulait vraiment pas avoir tout ce travail et tout ce pouvoir plus tard, ce n'était pas amusant du tout.

-Mon dieu? Je n'ai pas UN mais DES dieux, alors monsieur le "Dieu", si t'es pas Lug, ou un autre de mes dieux, tu m’intéresses pas.