« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Ils finirent par arriver en voiture devant le bâtiment du laser tag, elle ouvrit sa portière et en sortie pour regarder la bâtisse en fasse d'elle avant de grimacer quand elle vit a quoi sa ressemblait.
"Tu parles d'une daube toi,c'est un gros hangar...en même temps pour un laser tag je m'attendais pas non plus à un château."
Elle claqua la portière avant de se tourner vers son double qui lui était toujours en train d'écouter de la musique tout en chantant a voix haute comme un débile, elle leva les yeux au ciel, si elle devait le supporter toute la journée il allait falloir qu'elle se détende sinon ça finirait avec lui qui se prend un coup de flingue en plastique dans la tronche.
"JUST A SMALL TOWN GIRL LIVING IN A LONELYYYY WOOOOORLD ...SHE TOOK THE MIDNIGHT TRAIN GOING ANYWHEEERREEEEEE !
Elle poussa un soupire avant de s'avancer en direction du hangar, se décidant de changer de tenue entre temps ,car en talons dans un laser tag ça serait une mauvaise idée, autant mettre des Doc Martens et prier que rien de mal ne se passe ,enfin pour ses chaussures, si quelque chose clochait au laser tag ça serait plutôt rigolo ,mais ça ne ferait rire seulement que Sasha ,mais pas les autres, car oui il y avait d'autres gens ,chose qu'Elliot n'avais surement pas prévue, en même temps elle n'avait rien dit. Elle fit le tour de l'accueil et remarqua que personne d'autre n'était présent pour le moment donc il allait falloir patienter le temps que les autres débarque.
"DON'T STOP BELIEVIIIIIINNNN' ....HOOOLD OOOOON TO THAT FEELIIIIIN' ....STREEEETLIIIIGHT PEEEEOPLLLEEEEE !"
Elle claqua des doigts et la voiture disparue, il leva les yeux et remarqua le regard noir que lui lançais son double,il se contenta d'afficher un gros sourire Freedent après avoir chuté au sol à cause du manque de siège sous ses fesses,il se releva avec difficulté avant de courir vers sa soeur et de la bousculer a coup d'épaule quand il passa à côté d'elle. Celle-ci se rattrapa de justesse à la porte du hangar avant de faire apparaître une batte de Baseball,elle commença à taper son frère avec.
"Espèce de débile ,espèce de crétin ,espèce de nulle ,espèce de mec en carton."
Il attrapa la batte avant que ça ne puisse le toucher encore une fois puis la fit disparaître, avant de tapoter la tête de sa soeur avec un petit sourire.
"On ce calme madame ,tu te défouleras tout à l'heure quand on sera dans le laser tag... et puis regarde les gens commences à arriver."
Ils se tournèrent vers la porte du hangar vu qu'ils étaient maintenant près du comptoir et regardèrent qui arrivaient,ceux qui avait été pas les deux démons ,c'était le fruit du hasard pour ceux qui avait reçus l'invitation,ils n'avaient pas choisit,juste poster les lettres au hasard dans des boites au lettres, faisant un grand sourire pour être polie ,parce que c'est ce que font les mortelles.
It never got better than that night! That was supposed to be the beginning of my life! All that promise and fucking optimism! That feeling that we could take on the whole universe! It was a big lie! Nothing happened!
ft les gens & les zombies
Une chose était sûre : depuis Jumanji, Kenshin avait eu beaucoup de mal à sortir de chez lui. Heureusement, il travaillait sur un dossier botanique pour l'université, ce qui signifiait qu'il pouvait majoritairement avancer à la maison, tout en faisant ses observations dans le jardin. Son dossier actuel ? Les plantes magiques venues tout droit de la forêt enchantée. On appelait ça l'effet parasite. Il suffisait que quelqu'un voyageant entre deux mondes transporte quelques graines sur son pantalon, et une forêt entière pouvait apparaître dans un lieu étranger, tant que le climat le permettait. Alors avec l'arrivée de toute une ville d'individus de tous horizons, l'écosystème local s'était pris un grand coup en pleine face. Kenshin avait donc pour tâche d'étudier les plantes étrangères et trouver le moyen qu'elles ne deviennent pas envahissantes. Mais pour l'heure, ce n'était pas les plantes qui le préoccupaient, non. C'était une lettre. Une invitation. Et depuis le coup de la boîte qui sort de nulle part et l'emmène dans une maison de bois, il se méfiait des machins qui sortaient de nulle part. Surtout qu'il n'avait pas mis un pied dehors depuis son retour à Storybrooke. Assis sur son canapé, il se balançait d'avant en arrière, geste qui était devenu automatique pour se calmer au mieux, ouvrant avec prudence la lettre.
« Blablabla... Laser Game... Blablabla... »
Fiou ! Il l'avait échappé belle. Pas de téléportation surprise, pas de bois, pas de dés, pas de jeu.
« Ah, ça doit être Elliot qui a besoin de moi au laser game. »
Peut-être qui s'il avait pris un peu plus de temps pour lire attentivement, il aurait vite compris que ça n'avait que peu à voir avec Elliot... Mais l'idée d'aller au laser game le réjouissait d'avance. C'était un lieu absolument culte pour lui, auquel il travaillait bénévolement, entre deux cours de botanique à l'université. C'est ainsi qu'il se retrouva dans sa chambre, calme comme il l'avait rarement été, sourcils légèrement froncé et expression impassible. Chaussures, chemise impeccablement boutonnée, pantalon lisse comme un miroir, cheveux peignés avec soin. Aucune trace de la folie de ce satané écureuil ne se voyait, fort heureusement. Prochaine étape : sortir de la maison...
« Scrat, si tu veux vraiment te rendre utile, va falloir me donner un coup de pied, parce que là j'en peux plus. »
Assis en tailleur sur le seuil de sa porte ouverte, tête posée dans sa paume, Kenshin fixait la rue d'un air profondément agacé. Il n'aurait jamais pensé que des névroses pareilles puissent carrément l'empêcher de sortir à ce point là. Il se doutait même d'avoir développé une étrange phobie des meubles en bois.
« Tu ne me feras pas prendre les médocs... C'est hors de question. »
Et ce disant, Kenshin se leva en poussant un râle exaspéré, direction la cuisine, où il attrapa la boîte placée sur la table. Il n'aimait pas ce recours, un médicament en dragées qui contrait les effets de ses calmants -qu'il gobait comme des tic-tac, mais ça, c'était un détail.
« Trois, deux, un... »
Deux dragées plus tard, et la boîte tomba au sol avec le verre d'eau qu'il avait préparé en conséquence. Celui-ci se brisa en mille morceaux, tandis que Kenshin courrait comme un dératé dans les rues de Storybrooke, jubilant à l'idée d'aller faire une partie au laser game... Avant de se prendre littéralement un mur en pleine face lorsqu'il vit qui l'attendait à l'entrée. Respiration sifflante, il se colla dos à un édifice, essayant désespérément de fusionner avec, dissimulé dans une ruelle.
« Oh-ooooh... ça c'est pas bon signe. »
C'était le duo improbable avec qui il avait passé d'improbables soirées qui se tenait devant le laser game. D'un côté, ça présageait une aventure mouvementée, ce que Kenshin n'était absolument pas prêt à affronter. Mais d'un autre, Sasha lui faisait des pat-pat dans le dos quand il se balançait dans un coin de la pièce en regrettant ses actes. Son côté écureuil aimait tellement ça...
« Booon... Kenshin, ça peut le faire. T'as ta boîte de calmants. Ça ira... »
Sifflotant le moins naturellement du monde, bras derrière le dos, il pris un pas aussi sûr qu'il en était capable, se dirigeant vers les deux compères.
« Bonjour. »
« Sa... lut... héhé... »
Idiot. Abruti. Crétin. Tenter de feindre le hasard de la rencontre, c'était fichu. Surtout qu'il tenait encore l'invitation dans la main...
Agnès avait attendu le week end avec impatience depuis le début de la semaine. Elle n'avait pas arreté d'en parler à tout le monde. Edith bien sur, vu qu'elle aussi avait reçu l'invitation. Puis Charlie et Willy à la boutique. Le chocolatier était quand même inquiet quand elle lui avait parler de « dégommer des zombies à coup de batte clouté électrifié» alors que son petit frère de cœur avait été un peu jaloux. Surtout qu' Agnès et le tact dans ce genre de situation ne faisaient pas une bonne paire. Elle avait comprit qu'il était triste quand quelques jours après il lui faisait presque la tête. Et comme elle lui avait dit « Je te ramènerais pleins de souvenirs et puis la prochaine fois je vais avec toi, mais tu comprends, c'est parce que je travaille à la mairie maintenant. »
Oui, ça, elle ne pouvait pas s’empêcher de le dire à tout bout de champs. Elle même n'y avait pas cru au début, et quand elle avait reçu la lettre officielle, elle était aux anges. Tout comme quand elle avait ouvert le courrier la semaine dernière et qu'elle avait vu deux enveloppes avec le sceaux du laser game. Ensuite, il y avait eu Stuart et Chad et là, la troisième guerre mondiale était déclaré. Oui, eux aussi un jour, elle s'était promis de les amener juste pour les regarder faire. Adam quand a lui, n'était pas très rassuré, sentant un danger quelconque. La jeune fille avait du le convaincre de ne pas venir la protéger, que tout ceci n'était qu'un jeu, et que rien n'allait lui arriver. Ah pauvre petite innocente.
Maintenant, Agnès était en train de sauter dans sa chambre tout en poussant des petits cris guerriers jusqu'à ce qu' Edith ouvre la porte tout en poussant un grand soupir. Regardant sa sœur, Agnès souria tout en lui lança un gros coussin qu'elle sortit de son dos en hurlant Réflexe. Sautant sur son lit avant de se rétamer sur le sol, elle fit comme si rien ne venait de se passer tout en allant vers son placard. « J’enfile mes vêtements et on y vaaaaaaaaaa. » Attrapant un jean, un débardeur et une chemise dans les tons de verts, Agnès ne se préoccupa même plus si sa sœur était dans la pièce, trop occupé à chantonner qu'elle allait tuer virtuellement des zombies.
Une fois prête, elle se pointa dans le salon comme à son habitude avec son petit sac. « Je suppose que si je dis que je conduis tu vas me dire qu'on est pas dans le laser game ? » Rigolant elle même, elle fourra dans son sac le paquet de bonbon qui se trouvait sur le petit meuble avant de se rendre dans la voiture. « C'est trop cool que toi aussi tu sois invitée. Tu crois qu'il y aura qui d'autres ? » Sortant une sucette, Agnès dodelinait de la tête tout en écoutant sa sœur. Rapidement, les deux sœurs arrivèrent sur le lieu du laser game, un immense terrain vague avec un grand hangar assez flippant. « On y est on y est. »
Sortant rapidement de la voiture, Agnès n'attendit même pas Edith alors qu'elle se précipitait à l’intérieur du grand hangar. Se stoppant net, elle ne put s’empêcher de dire un Waaaah alors qu'elle sentait dans son dos sa sœur qui lui posait une main sur l'épaule. « C'est trop géniaaaaaal ». Dansant rapidement, elle remit sa chemise en place, avançant vers le comptoir pour voir les personnes qu'il y avait. « Keeeeeeen ». Courant tout en criant, la jeune fille lança son attaque super câlin à son ami l’écureuil différent. « Toi aussi tu as eu l'invitation, tu va voir, je vais mettre en pratique ce que tu m'a apprit. »
Se penchant sur le coté, Agnès remarqua une jeune femme et un jeune homme derrière le comptoir. S'approchant doucement, elle ne put s’empêcher de la détailler de haut en bas avec ses grands yeux. Elle était jolie, vraiment, et elle aimait beaucoup ses cheveux noirs raides. « Bonjour. Merci pour l'invitation c'est gentil. Vous êtes très jolie. » Tournant la tête, elle remarqua que le grand blond faisait une drôle de moue. « Tenez c'est des bonbons. » Sortant des petits paquets du gros sachet qu'elle avait, elle les tendit à l'homme. « Moi c'est Agnès et vous ? » S'appuyant contre le comptoir, elle finit tranquillement sa sucette, alors qu'elle partageait les bonbons avec les deux personnes, en attendant que tout le monde arrive.
Lucy Fer-Cat
« Le chat maléfique de Cendrillon»
| Avatar : Becca Tobin
| Conte : Cendrillon | Dans le monde des contes, je suis : : Lucifer
Lucy avait reçu une invitation dans la boite aux lettres de la famille Trémaine ou plutôt, en rentrant des cours, elle avait vu un étrange courrier qui parlait de laser-game et de zombies. Evidemment, comme à son habitude, elle n'avait pas tout lu mais rien que le mot zombies lui avait donné envie de participer. Elle n'avait rien dit à personne, pas même à ses prétendues soeurs et à sa prétendue mère. Elle avait continué la semaine normalement donc.
Enfin le jour J arriva et elle se prépara à sortir. Elle sortait beaucoup pour aller en cours ou se montrer avec sa "famille" mais rarement seule ou avec ses amies. Alors elle devait se préparer du mieux possible. Dans ces moments-là, elle se disait que ce n'était pas facile tous les jours d'être une humaine, elle serait bien resté un chat. Elle sortit des tonnes de tenues de sa garde-robe avant d'enfiler une jolie veste noire, une chemise blanche et un pantalon gris. Elle prit la première de chaussures à sa portée et sortit. Comme d'habitude, sa "mère" devait traîner en ville et ses "soeurs" devaient glander au lit. Alors, sans scrupules, elle fit la voiture et prit la direction du laser-game. Comme elle était seule, elle mit la musique à fond. Elle aimait ça, surtout quand c'était des chansons de la série "Glee" comme en ce moment.
Après quelques minutes, elle arriva devant le bâtiment et sortit de la voiture. Elle chercha le laser-game et vit un grand hangar. Tranquillement, elle y entra. Elle ne savait pas du tout qui allait participer à ce jeu mais elle s'en fichait, tant qu'elle pouvait martyriser quelques personnes éventuellement et surtout s'amuser. Une fois à l'intérieur, elle vit que pas mal de monde était déjà là. Un homme et une femme derrière le comptoir, deux jeunes filles et un autre homme. Elle ne connaissait aucun d'entre eux. Elle décida d'être polie et de dire:
-Bonjour tout le monde.
(c) Spinelsuns
April King
« Long live the queen »
| Avatar : Holly Marie Combs
BENIT SOIT LE FRUIT
And don't tell me what to do
and don't telle me what to say
| Conte : Le Roi Lion | Dans le monde des contes, je suis : : Sarabi
On, ne pouvait pas franchement, dire que tout allait bien dans ma vie actuellement. J'avais, l'impression, qu'être dépressive, m'avait, fait passé à côté, de beaucoup trop de choses, dans la vie, de mes proches. Diku, ne m'avait, par exemple, jamais dit, qu'ils étaient séparés, avec Wimbo, sous la malédiction. D'un côté, je comprenais, un peu mieux, pourquoi, quand je lui demandais, où, il était, elle me répondait évasivement. Une, autre chose, que j'avais, loupée, c'était l'état d'Anita. On, s'était, plus ou moins, disputé, à ce sujet, dernièrement, et même, si je ne le montrais pas, pour faire, bonne figure, devant les jeunes. Ça me rongeait, de l'intérieur. D'aussi loin, que je me souvienne, Safi et moi, ne nous étions, jamais disputée. Oui, nous avions eu des désaccords, c'était un fait, mais des disputes de ce genre, jamais. Et, puisqu'on parlait des jeunes, Tama, n'allait pas franchement bien non plus. J'avais essayé, d'obtenir plus d'informations, sur ce qui leur arrivaient, mais, ils restaient évasifs, ou changeaient, de sujet. En fait, j'avais l'impression qu'ils me ménagaient. Je, n'étais, plus dépressive, là, c'était bon, pas besoin de m'épargner les détails. « April » semblait, être relégué, tout au fond, dans un coin sombre, quant à « Sarabi » elle avait, clairement prit le dessus. J'étais, Sarabi, l'ancienne reine, de la terre des lions. Et même, humaine, je restais une lionne. Je savais, me défendre toute seule, merci, bien, je n'étais pas en sucre. Je, devais admettre que j'étais, un peu irritable, ces derniers, temps, Tojo, n'osait même plus m'approcher. Apparement, il avait une nouvelle importante à m'annoncer, sauf, que je lui avais manifestement, fait peur, puisqu'il, n'était pas revenu, me l'annoncer. Au pire, il sera allé, l'annoncer, à Safi, et je pourrais lui demander, qu'elle était cette nouvelle importante, une fois qu'on sera rabiboché, (ce qui je l'espérais, serait pour bientôt). En, allant, prendre le courrier, j'avais, découvert une invitation, enfin du moins ça y ressemblait, ça parlait d'un laser game et de zombies. Au début, je vous l'avoue, j'avais cru que c'était Sam, qui m'avait fait une blague de mauvais goût. Mais, comme il n'avait strictement, rien comprit, quand je lui avais crié dessus. J'avais, donc conclut, que, non, ce n'était pas une blague. C'était, très probablement, mit, dans ma boite aux lettres, au pif. Mais, très honnêtement, je m'en moquais. C'était, l'occasion, pour moi, de faire parler la lionne que j'étais, et de leur montrer à tous, que non, je, n'étais, pas en sucre. Et, que, je savais parfaitement, me battre, et me défendre toute seule. Après, tout, j'avais bien l'intention de mettre ou une baffe, ou mon poing dans la figure de Scar, dès que, je le reverrais. Il, l'aurait pas volé. Ce manipulateur, allait clairement prendre cher, pour ce qu'il c'était passé, peu de temps après qu'il soit élu maire, ainsi que pour le fait, d'avoir cherché à tuer mon fils, ma (je l'espérais) futur belle fille et ma protégée, ainsi que quelqu'un qui n'avait, rien à voir dans nos histoires. Simba, ne m'avait pas dit, qui il était, exactement, et je n'avais, je l'avoue, pas franchement, cherché plus loin. Enfin, toujours est-il, que mon « cher » beau frère, ne s'en sortirait pas ainsi. Il, était, temps pour moi de reprendre ma place. J'étais, encore reine, après tout. Pour l'instant, Simba, était un peu trop « inexpérimenté » dirons, nous, pour ce genre d'affaire. Ce qui, faisait, que les lions, avaient, toujours une certaine, tendance, à me voir comme leur « chef ». Bien, qu'en ce moment, le chef, on pensait, qu'elle n'était pas capable, de prendre soin d'elle même. Je n'allais, pas ignorer cette invitation, j'allais y participer, et montrer une bonne fois, pour toute, de quoi j'étais capable Le jour, J, arriva enfin, Simba, ne travaillait pas le soir, et s'était donc levé plus tôt, Tama, quant à elle, mangeait déjà son petit déjeuner, que j'avais préparé. Mon fils, s'installa à son tour, pendant, que je rangeais mon assiette, et que je pris mes affaires :
- Tu vas faire les courses ? Me demanda-t-il
- Non répondis-je
- Alors tu vas faire quoi ?
Alors, c'était ça mon rôle ? Je, n'étais réduite, qu'à être la mère au foyer ? Pour une ancienne, reine, cela n'avait rien, de très glorieux. Je me pinçais, l'arête du nez, pour me calmer. Tama, elle fit, les gros yeux, à Simba, comme pour lui dire, d'avoir un peu plus de respect envers moi. Je remerciais, ses efforts, mais à lui, je n'étais que sa mère, pas sa reine. Il, se permettait, donc on va dire, certaines choses, que d'autres ne se seraient pas permis : - Si, tu veux tout savoir, j'ai rendez vous, dans un laser game pour une histoire de zombies répondis-je immédiatement
La tête, de mon fils, valut, toutes les merveilles, du monde, il avait l'air d'un poisson hors de l'eau. Tama, leva les yeux au ciel, exaspéré, par sa bêtise. Mais, bon, je ne pouvais, pas vraiment, lui en vouloir, j'admettais, que Simba, n'avait pas franchement, inventé l'eau chaude. Puisque même pas 30 secondes, plus tard, il se mettait à rire, comme si j'avais fait la meilleure blague qu'il ai jamais entendue. Génial...Même mon propre, fils, ne me pensait pas capable d'une telle chose. Sans, lui accorder, un iota de mon intention, je me dirigeais, vers le couloir de l'entrée, attrapais, mes clés de voitures, ainsi qu'une veste (on était quand même, début Novembre). Et filais, prendre ma voiture. J'écoutais, distraitement, la radio, d'une oreille, ruminant sur le fait, qu'on me prenait, manifestement pour une incapable. J'avais, vraiment hâte de retrouver, les autres choses qui faisaient de moi une lionne (il avait, été prouvé, que les griffes, de Samuel, n'étaient en fait, qu'une conséquence, du levé de la malédiction, en tant que lions, nous retrouvions, notre flair, nos griffes, et notre capacité à rugir). Pour l'instant, je n'avais que le flair. Ce, qui était, certes, pratique, mais pas génial, pour imposer le respect, un rugissement, ou des griffes, c'était, tout de suite bien mieux. J'arrivais, finalement, à destination, me garais. Puis, sortis, de ma voiture, une fois dedans, je pus voir, un petit groupe, je laissais mon odorat me dire de ce qu'il s'agissait : deux humaines, un écureuil, un autre félin (très certainement un chat) quand au dernier, impossible de savoir. L'odeur, m'était totalement inconnue. Rejetant, une mèche de mes cheveux en arrière, je m'avançais, à mon tour : - Bonjour, dis-je simplement
Quand elle avait reçu son invitation, Edith s'était tout simplement demandé ce que c'était que ça. Et puis, finalement, la perspective de pouvoir aller maltraiter des zombies virtuels l'avait complétement séduite, si bien qu'elle était indéniablement excitée à l'idée d'aller au laser game. Pas autant que pouvait l'être Agnès ; mais qui au monde pouvait être plus excitée par quoi que ce soit qu'Agnès ? Dès qu'Edith avait eu le malheur d'ouvrir la porte de la chambre de sa petite sœur, et qu'elle s'était reçu un coussin en pleine face sans avoir eu le temps de le réceptionner, elle avait su que la journée serait placée sous le signe de l'amusement le plus total. Du moins, elle le croyait. Comment aurait-elle pu se douter qu'à cet instant très précis, elle faisait preuve d'une naïveté évidente ? Bref, Edith avait mis des vêtements confortables, qui la laissait totalement libre de ses mouvements. Un pantalon pas trop serré, mais pas trop lâche non plus et une chemise noire qui en avait certainement plus vu dans sa vie que n'importe lesquels des vêtements de la policière. Elle avait aussi soigneusement enfoncer son bonnet rose, l'éternel bonnet rose, sur sa tête. Et elle avait attendu sa sœur, pour qu'elles puissent se rendre au laser game. Elle profita du fait que le paquet de bonbons soit encore visible sur le meuble pour en chipper un, avant qu'Agnès n'arrive et l'enfourne dans son sac. « Prête ? » La réponse était évidente, et cela fit sourire Edith qui se contenta d'acquiescer à la question de sa sœur sur la conduite, tout en attrapant les clefs et d'aller jusqu'à sa voiture. « Je sais pas. J'espère qu'il y aura des gens cool, en tout cas. Et des gens moins doués que moi pour exploser du zombie, histoire que je les batte tous. Sauf toi. Toi, j'te laisserai gagner. » Elle lâcha un petit rire, se concentrant ensuite sur la route tout en discutant avec sa sœur. Et elles arrivèrent assez rapidement au laser game. Un hangar, assez flippant ceci dit, qui ne rassura pas forcément totalement la policière. Elle se dépêcha de sortir de sa voiture pour suivre Agnès, restant prêt d'elle comme la sœur un peu trop protectrice qu'elle était, lui posant même une main sur l'épaule. Juste histoire de lui dire qu'elle était là, quoi.
Avançant vers le comptoir, elle détailla les personnes qui étaient ici, son sourire s'agrandissant en voyant Kenshin. Elle lui adressa un grand signe de la main en guise de salutation, voyant le pauvre être assailli par Agnès. Oh que ça promettait d'être intéressant ; les organisateurs de ce petit rassemblement ne savaient pas ce qu'ils avaient fait en invitant ici au moins deux hyperactifs. Ça allait bouger, péter dans tous les sens, il y allait avoir du sang virtuel partout ! Ça allait être la folie ! Rien qu'à cette idée, Edith trépignait d'impatience, prenant sur elle comme elle le pouvait, bougeant seulement sa jambe sans trop s'en rendre compte. Signe d'impatience. Allez, c'était fini les blabla, c'était quand qu'ils commençaient ?! Ohoh. Le regard d'Edith suivit celui d'Agnès, cette dernière s'adressant à deux autres personnes que la policière n'avait pas vu. Et le moins qu'elle pouvait dire c'était que sa petite sœur avait milles fois raison ; la brunette était vraiment très, très jolie. « On attends encore combien de personnes ? » demanda la policière, ne tardant pas à avoir sa réponse en voyant arriver encore deux autres personnes, qu'elle salua poliment. Elle commençait à avoir de plus en plus de mal à retenir son impatience. D'ailleurs, elle se demandait même si elle avait pris ses petites pilules contre l'hyperactivité aujourd'hui. Probablement que non, vu le mal de chien qu'elle avait à rester en place, bougeant toutes les trente secondes, tournant comme un lion en cage.
« Alleeeeez, dites-moi qu'on va commencer, c'est cool les présentations, tout ça, tout ça, mais on est pas là pour çaaaa. » Bon, okay, elle n'avait pas pris ces pilules, elle en était certaine maintenant. Et elle avait vraiment besoin de faire un truc, parce que sinon son état allait empirer, elle allait péter un câble, sauter dans tous les sens... Il fallait qu'un truc la canalise, ça n'allait pas le faire sinon.
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