« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
La jeune femme, qui est arrivé juste après, réussit à assommer un homme avec une chaise. Mais qu'est-ce qu'elles ont les femmes ici ? C'est comme cette Shanna, cette petite humaine sans aucun pouvoir qui a tué un ogre du premier coup lorsque Régina a ouvert le portail ...Mademoiselle Neil se saisit d'une poêle et frappe. Frappe fort l'ennemi le plus proche d'elle. Deux gus de K.O., il en reste un. L'homme, entré en dernier dans la maison, lui tire dans le cœur. Rien, il reste debout. Ok, ils ne sont pas humains. Alors contre des non humains, utilisons la tactique anti non-humains. Alors je suis en train de me relever, un jet de flamme sort du doigt d'un des type et me brûle encore un peu plus. Cette fois, j'en ai marre. J'ai perdu Belle deux fois. Là, elle a perdu la mémoire une fois pour toutes. Je ne peux pas quitter la ville pour retrouver Bae. J'EN AI MARRE ! D'un brusque geste de la main, j'envoie le type valser contre une étagère. Je me doute que cela ne va pas lui faire grand chose. Je fais apparaître ma canne, et je me met à le frapper avec une violence extrême. Chaque centimètre de peau exposée au monde est battu par cette canne, avec acharnement. Et si ça ne suffit pas, je recommence. Encore, et encore, et encore. Oui, j'ai quelques trois cents ans de colère à évacuer. Alors ça risque de prendre du temps. Tout en frappant, je réfléchis à ce que peuvent bien être ces types. Il n'existe pas trois mille créatures capables de cracher du feu. Je suppose que le fait qu'il sorte des doigts est un effet secondaire de se retrouver en humains. Ce qui signifient qu'ils crachent bel et bien du feu dans leur monde réel. Des dragons ? Une créature pas encore rencontrée ?
Qui êtes-vous ? Qui vous envoie ?Pourquoi venir dans cette maison et nous attaquer ? Vous pensez vraiment que je sois assez Simplet pour me laisser tuer ? Ou trop Grincheux et laisser la colère m'envahir ? Et pourquoi pas Timide, pendant qu'on y est ... Non, votre Cible (Target), c'est lui.
Ma voix se transforme un peu en mode fantôme. Vous savez, lorsqu'elle s'amplifie et résonne, faisant écho contre les parois solides. Voyant qu'il ne va pas répondre, je lance un sort pour le prendre au piège dans le tapis sur le sol. Il ne reste que sa tête en dehors du sol. Tout le reste est enfoui. Je pourrais aller rejoindre les autres, mais non. Celui-là ... Cette chose tout de noire vêtue ... elle va me dire ce que je veux savoir. J'enchante ma canne pour qu'elle le frappe toutes les secondes, sans durée dans le temps. A moins que je ne stoppe le sort.Tu parleras ... Mais je t'en prie, résistes ... Laisses moi donc m'amuser un peu ...
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Je sens que ça va mal finir mais c'est pour une bonne cause... alors...
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ANe peut-on pas lui laisser faire son travail en paix ? Elle a dit « s‘il vous plaît » pourtant, que n’a-t-elle pas bien saisie dans les codifications humaines pour que tout le monde décide de l’embêter comme ça ? D’abord Rumpelstilskin qui décide de lui lancer une boule de feu… Oubliant presque instantanément qu’elle ne possède plus sa belle coque laquée ininflammable, elle ne bouge pas d’un seul poil, prenant la boule en pleins sur la poitrine et les bras. Sur le coup du choc, elle recule de deux pas mais ne ressent absolument rien. Ce n’est qu’en baissant les yeux qu’elle observe une peau brûlée, dont il ne reste plus grand-chose. Haussant les épaules, elle active ses cellules souches afin de reprendre une apparence normale, du moins pour les humains. Et après le vieux sorcier, c’est un ma^le plus jeune qui décide de leur arriver droit dessus, avec un fusil. Puis trois hommes, pas entièrement humains à proprement parlé. Bim la chaise qui s’écrase contre la tête du première, bam, la poêle contre la tête du second et Evelyn qui reste plantée là, sans trop bougée.
Soudain, elle se senti brusquement attirée vers les escaliers et se mets à les monter quatre à quatre. C’est le mâle le plus jeune qui la pousse, d’accord, il faut monter, se protéger, jusque-là, elle saisit bien le sens de la question. La tête penchée sur le côté, elle regarde avec attention ce qui se passe, calculant chaque action et chaque possibilité de sortir de là en vie, et par quel chemin. Sans cesser de réfléchir, elle entend l’homme au fusil qui lui pose une question. Sans trop d’émotion, elle lui réponds simplement :
- Evelyn Nichols. Mon matricule fabrication est le 2 3 000 485 695 156 45.
Et les codes humains alors ? Ah oui c’est vrai…
- Et vous ?
Elle tente un sourire vers l’homme ainsi que les deux jeunes femmes mais le vieux monsieur ne semble vraiment pas décidé à rendre les choses faciles. Excédé, il envoie valser un homme contre le mur, récupère sa canne et se mets à le frapper violemment. Ni une ni deux, Evelyn se relève à son tour et descends les escaliers à toute vitesse. D’un geste de l’index, elle déplace Rumpelstilskin qui se retrouve, presque par télékinésie, un peu plus sur la droite, là où il ne peut pas atteindre l’homme directement. Faisant revenir l’arme à la place de son bras, elle tir sans cérémonie ni sans cligner des yeux dans la jambe de l’homme, juste au niveau du genou. Le type se met à hurler mais Evelyn n’y prête aucune intention. Elle se retourne vers Rumpelstilskin :
- Je crois que vous ne voulez pas être mon ami. Mais si j’étais vous, je ferais attention à mes excès de rage comme ça, vous avez une veine, assez proche du cœur, qui ne demande qu’à exploser sous trop de pression. Ça vous sera fatal. Je vous le dis, c’est tout.
Sans attendre de réponse, elle se retourne vers l’homme à la jambe en deux morceaux et appuie son pied sur la plaie. Inclinant sa tête vers la droite, elle finit par lui dire :
- Je crois que le mâle qui est là vous à poser une question. J’ai lu que la politesse était de répondre, alors vous êtes qui ? Non ? Bon…
Elle se penche alors pour le toucher afin d’en apprendre un peu plus mais malheureusement, c’est le vide total qui la submerge. C’est sans aucun doute la première fois que cela lui arrive avec un humain… Il n’est pas humain… il n’est pas animal… il est quoi au juste ? Elle n’arrive à percevoir qu’une seule chose, « armée du dragon ». Fronçant les sourcils, elle retire sa main et se relève lentement. Sans crier gare, elle lui tire une nouvelle fois dans la poitrine cette fois-ci et se délaisse du cadavre pour se retourner vers ses acolytes:
- L’armée du dragon, cela parle-t-il à quelqu’un d’entre vous ?
Je tournais la tête prête à continuer a en découdre quand la jeune femme brune à côté de moi s'élance dans la bagarre avec une poêle a frire et assomme l'autre type qui venait d'arriver dans la maison, je frappe des mains comme si c'était la fin d'un concert, impressionner et je lui souris quand elle me regarde ,mais je n'eut pas le temps de répondre un troisième type venait d'entrer et Klaus se lançait aussi dans la mêler avec son pistolet ,il tira une balle dans le ventre du gus et était déjà en train de presser la détente pour tirer une seconde fois mais rien ne se produit, je laissais échapper un petit rire moqueur,au moins on n'avait pas ce genre de problème avec des meubles.
"Sa c'est ce qui arrive quand on insulte mon bonnet ...c'est le karma."
J'ai presque envie d'éclater de rire ,mais je fus ensuite poussé en direction des escaliers, j'avais presque envie de lui taper la main pour qu'il arrête de me toucher ,mais se n'était pas le moment de jouer les filles difficiles donc je restais silencieuse me demandant si le propriétaire de la ville allait s'en sortir ,se n'était pas une bonne idée de le laisser en bas ,mais je n'avais pas eu le temps de protester qu'on était déjà enfermer dans une chambre avec un meuble placé devant la porte, je fais le tour de la pièce regardant chaque coin et recoin puis reporte mon attention sur les autres, donc la blonde se prénomme Evelyn Nichols, Evelyn en petit ça fait Eve! en plus elle est une robotte ...enfin robot ... je ne connais pas le féminin de robot donc ça ne peut être qu'elle.
"Eve !"Je m'exclame en souriant à la blonde."Tu es Eve !...moi c'est Maya ... tu connais Wall-E ? Enfin Wilson maintenant."Je reporte mon attention sur Klaus : plissage des yeux le retour puis je lève les yeux au ciel."Oh silence veut tu ?."J'avais complètement oublié que j'avais dit "mon" ce que je pouvais être dans la lune parfois.
Le reste de ce que je voulais dire fut interrompue par Mr Gold qui était à présent en train de hurler sur le troisième type qui était toujours en vie ,ce qui me donner mal aux oreilles, j'entendais des coups donc je suppose qu'il étais en train de le frapper avec quelque chose surement un bout de bois ,peut être sa canne. Je me décide à suivre Eve en bas pour voir ce qui se passe au moins je ne suis pas en talons ça m'évite de me faire mal. J'arrive au moment où Eve tire sur le mec avec son arme-bras (Trop cool!) puis elle se met à lui parler ,attendant surement une réponse aux questions de Mr Gold, je sais déjà qu'il faudrait surement poser la question a Klaus ,car après tout il a l'air de bien connaitre ces types la ,mais je les laisse faire. L'armée du Dragon ? Sa me fait penser à la série Dracula, je me demande s'ils chassent des vampires aussi.
"Moi ça ne me dit rien ,mais peut-être que si vous posez la question à l'autre bucheron canadien il vous dira qui ils sont,vu qu'ils sont après lui et qu'on pédale dans le couscous à cause de cela."
On va dire que je suis en colère contre lui c'est pourquoi je porte l'attention de tout le monde sur lui, je ne sais pas ce qu'il est devenu ,mais se n'est plus du tout John et finalement je n'ai pas envie de rester avec lui, l'adrénaline commence à perdre de son effet, c'est le retour à la réalité, Klaus leur doit des explications moi j'en ai ma claque. Je me rapproche du type par terre, le frappe avec ma botte, oui il est bel et bien mort.
Il faut croire que l’action ce n’est pas son fort. Ce n’est pas vraiment ce avec quoi elle vit le mieux. Tout semble aller tellement vite, a ses yeux. A peine elle a assommé ce type qu’on la pousse dans les escaliers, vers un étage supérieur. Et ce même type demande son nom aux gens qu’il ne connait pas ici. Bien, tant mieux. Elle aussi elle voulait connaitre les noms des gens avec qui elle se retrouve embarquée dans cette galère. Mais ici même ça ce n’est pas si simple et elle a l’impression de se retrouver dans un après-midi rencontre entre amis lorsqu’elle voit la r »action de Maya. Avant d’être interrompue par des cris, ceux de Rumplestilskin. Elle va bien se garder de lui adresser la parole aujourd’hui, tient. Elle lâche un soupire.
« Shéhérazade. Je suis ravie ! »
L’ironie est présente dans sa voix. Ce type qui a demandé leur nom de lui inspire pas vraiment confiance et ainsi elle descente avec les filles pour voir ce qui se trame plus bas. Et c’est Eve cette fois qui prend les choses en mains et s’occupe du questionnaire. Toi, Shé, tout ça ne te dis rien du tout et tu te demandes même ce que tu fais dans une telle galère. Alors tu hausses simplement les épaules.
« Je n’en sais pas plus que vous. Alors je suis d’avis de suivre le conseil avisé de Maya. »
Nikolaus Jamestown
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"Mais ne le prends pas mal, Arès. On ne peut pas tous être beaux comme moi."
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« Moi, je ne me ferai jamais sauter la cervelle pour des dettes. D'abord, je n'aurai jamais autant de cervelle que de dettes. »
Blaise Pascal
En moins de temps qu'il en faut pour le dire, les trois jeunes femmes se retournèrent vers moi d'un meme élan, attendant des explications de ma part. J'avais l'impression d'etre Charlie avec ses droles de dames, sauf qu'il manquait la blonde. Je fis une moue peu inspirée. Okay Klaus. Le temps est venu de chanter le refrain habituel.
"Je ne suis au courant de rien. Non vraiment les filles. Je faisais un footing dans le coin et ces gars ont commencé à me poursuivre sans raison. Je vous assure..."
J'esquissai un sourire comme pour prouver ma bonne foi, mais l'innocence ne m'allait pas au teint. Puis, mon regard tomba sur mon flingue que je levai d'un air désinvolte avant de baisser le bras, le gardant fermement en main au cas où. L'air de rien, je jetai un coup d'oeil prudent en direction du type en noir étalé sur le sol. Pépé l'avait salement amoché avec sa canne. Teigneux, le petit vieux. Il ne fallait pas lui voler sa place de parking, à celui-là. La dénommée Evelyn l'avait déplacé par la pensée. Puissante, cette jeune femme. Elle avait une drôle de façon de s'exprimer. Ca ne m'étonnerait pas qu'elle sorte d'un labo expérimental sur les recherches robotiques. Elle parlait comme un grille-pain, tout du moins si un grille-pain avait des cordes vocales. En tous les cas, elle m'intriguait. Mon instinct de chasseur refit brusquement surface. Il fallait que je garde un oeil sur elle.
Tous me regardaient avec insistance, et justement, pour parler de Pépé, il me fixait d'un air tellement belliqueux que je sus aussitôt que le prochain coup de canne serait pour moi. Essaie un peu pour voir...
Instinctivement, ma main se contracta contre mon arme. "Il se peut que j'en sache un peu plus que vous." consentis-je enfin à dire en roulant des yeux.
Je m'écartai du petit groupe, me dirigeant vers la fenêtre. Je m'appuyai contre le mur, puis écartai légèrement le rideau sans pour autant regarder au-dehors.
"L'armée du Dragon, c'est..."
Je laissai volontairement ma phrase en suspens, calculant ce que je pouvais dire et ne surtout pas dire. J'étais tenu au secret. Qui sait ce qu'on me ferait si je balançais tout... mais d'un coté, ils menaçaient déjà de me tuer juste parce que j'avais "légèrement" violé le règlement. Venir à Storybrooke contre l'avis du big boss, ce n'était pas un crime ! Aux yeux du Dragon, apparemment si.
Je passai la main sur ma barbe broussailleuse, pensif.
"Ils sont très nombreux. Ils sont entrainés pour atteindre leur but quoi qu'il arrive. Certains sont comme moi, de simples gars surentrainés..." (malgré moi, je haussai un sourcil aguicheur. C'était une seconde nature de fanfaronner pour rien). "D'autres, comme celui que Monsieur a aplati contre la moquette, sont... différents. Mais pour faire simple, l'armée..."
Je soulevai de nouveau le rideau, mon esprit emporté par mes souvenirs. Je me revoyais, près de dix ans plus tôt, simple soldat parmi les rangs de l'armée.
Un homme passe devant nous tandis que nous penchons la tête. Nous avons reçu l'ordre de ne pas le regarder. L'homme s'éloigne de moi. Je ne vois que le bas de son vêtement onduler sur le sol. Il me semble colossal. Je tente de lever la tête, et à ce moment, un violent coup semble me fendre le crane en deux...
Je replongeai dans la réalité. "... est ici." achevai-je dans un souffle.
Je remis le rideau en place, bien que c'était inutile car ça ne ferait pas disparaitre les trois hommes en noir qui avançaient vers la maison. Je pivotai vers la fine équipe.
"Trois hommes. Même modèle. Autrement dit : on se casse. Ils n’arrêteront pas tant qu'ils n'auront pas ce qu'ils veulent. Je serais vous, je ne moisirais pas ici."
Je passai entre eux rapidement, me dirigeant vers la porte de derrière qui semblait sure, tout compte fait. Une fois dehors, je comptai jusqu'à cinq.
A cinq, tu te barres. Peu importe s'ils te suivent ou pas.
Un. Pas le temps pour attendre davantage avec des types aussi dangereux aux trousses. Deux. J'eus une pensée pour Maya. J'espérais qu'elle n'allait pas se montrer stupide. Trois. Quel était le nom du type dont elle avait parlé ? Wilson. Wilson... Je ne me sentais pas en infériorité avec un mec qui avait le nom d'un vieillard. Quatre. C'était surement un ami de Pépé à la canne.
Cinq. Le temps était écoulé.
Je fis un pas pour partir quand je vis Maya et les autres passer enfin la porte.
"Pas trop tôt !" grognai-je. "Dois-je vous rappeler qu'on ne fait pas du tourisme, que c'est sérieux ce qui nous arrive ? Je dois aussi confisquer les appareils photo ou ça ira ?"
Le regard sombre, j'observai tout autour de moi. Je les fis taire d'un geste, car je savais que l'un d'entre eux allait répliquer quelque chose. J'avais cru entendre du bruit...
Rumpelstiltskin
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Ce robot est décidément bien étrange. Sans que je ne sache comment, elle me déplace par télékinésie ... Puis, en posant sa main sur la tête de l'inconnu, elle parvient à lire dans ses pensées, sa mémoire ou un truc dans le genre ... Elle me menace, puis tire dans la poitrine du type. Finalement, le dernier type entré se décide à nous dire quelques mots. L'armée du dragon ... Non, jamais entendu parler. Je sais que c'est le nom d'une équipe dans le film Ender Games, mais c'est tout. Je doute qu'il y est un rapport. Pour, le terme équipe laisse présager le pire. Et en effet, lorsqu'il nous annonce que d'autres gus sont dehors, mon instinct me dit qu'il m'avait prévenu de ne pas sortir. Je serre ma canne dans ma main, dans l'autre sens, pour frapper avec la partie que l'on tiens. L'homme se précipite dehors. Avant que les autres ne le suivent, je fais apparaître des pistolets dans leurs mains.
Ca sera plus utile que vos poêles ou chaise dans la forêt. Maintenant, dépêchons-nous, je veux entendre le reste ...
Sans plus de cérémonie, je passe la porte et sors dehors. Le dénommé Klaus fait un geste de la main pour nous faire taire. Youpi ... Ya encore du monde ou quoi ? Je ne fais rien pour l'instant, mais une boule de feu se tient prête à apparaître à n'importe quel moment. Un bon feu de forêt, ça devrait les retarder un peu. Je ne connais toujours pas les prénoms des autres personnes présentes, excepté Klaus et Shéhérazade, bien sûr.
Je regardais Klaus quand il se mis a parler footing,on pouvait lire sur mon visage "tu me prend pour une quiche ou quoi ?". Il croyait que sa allait marcher avec moi ? Il pouvait se mettre le doigt dans l'oeil,je ne suis pas stupide,je sait que je suis très souvent dans ma bulle et que les gens me trouve bizarre mais je ne suis pas stupide.Il baissa les yeux pour regarder son arme en main,j'en connaissait pas beaucoup qui faisait du footing avec des armes,un nouveau type de footing peut être.
Il se se décida enfin a cracher sa pastille et c'était pas trop tôt parce qu'on avait vraiment pas le temps pour tout se suspense digne d'un bon polard,on est pas dans un Hitchcock ni dans un James Bond.Donc il faisait lui même parti de l'armée du Dragon,je me décalais légèrement de lui,allez savoir si lui aussi il pouvait pas balancer des jet de flamme avec son doigts mais il précisa bien que les autres Gus de dehors était différent donc il n'était pas comme les autres.Puis il signala que d'autre type déguiser en Men In Black était présent,il y en avait encore trois,super.
"Si j'avais su j'aurais embarquer ma mitraillette."
Mon ton était a présent cassant,j'avais vraiment pas envie de me battre encore une fois,je voulais rentrer chez moi et manger des pancakes ou allez bosser,pas crapahuter dans la forêt de Storybrook et espérer tant bien que mal survivre a des types en costume qui n'avait pas l'air humain.Je baissait les yeux quand je sentit quelque chose de métallique dans ma main et écarquilla les yeux quand je remarquais un pistolet dans celle-ci ,cadeau du propriétaire de la ville.
"Euh ...merci."
Puis je le suivit a l'extérieur où Klaus se mit a se plaindre qu'on était pas des touriste et blah blah blah puis il nous fit signe de nous taire,je fronçais les sourcils et un type en noir finit par débarquer,je levais les yeux au ciel,bien sur a force de rester au même endroit monsieur nous avait condamner a nous battre encore une fois contre un type en noir.
"Espèce de quiche."Je levais l'arme que j'avais en main,inspirait,expirait puis tirais dans le corp de l'autre Gus,le blessant donc."Bon on bouge ou quoi ?."
Il semblerait que les hommes arrivent en masse, et que la fuite soit la solution adoptée par tout le monde. Elle remercier d’un signe de tête Rumplestilskin pour sa délicate attention avec le flingue, mais elle ne sait pas vraiment s’en servir. Elle espère ne pas avoir à le faire en réalité. Mais bien sur rien n’est si simple et lorsqu’elle suit Maya dehors, il y en a déjà un qui débarque. Elle en a déjà marre, de tout ça. Et dire qu’elle était venue juste parce qu’elle voulait se débarrasser de cet hiver et retrouver la chaleur de l’été. Elle aurait mieux fait de rester sous la couette.
Elle soupire et prend son arme pour tirer sur l’homme déjà entamé par Maya. Mais c’était sans compter que ces types étaient nombreux. Et fourbes. Oh ce qu’ils pouvaient être fourbes. Depuis quand ça se fait, de frapper une femme par derrière ?! Parce que c’est bien ce qui est arrivé à Shé, alors qu’elle visait l’homme. Un jet de flammes est lancé sur elle, dans son dos, et son épaule est touchée.
La douleur lui fait lâcher son arme, et lorsqu’elle se retourne elle se retrouve face à un deuxième type. Elle mets un peu de neige sur sa brulure, pour apaiser la souffrance, et ramasse son arme. Elle ne peut pas s’empêcher de faire une remarque, dans sa barbe.
« Ils poussent de partout, comme des pâquerettes ! »
Vie de Shé : 90 %
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Tu es Eve !...moi c'est Maya ... tu connais Wall-E ? Enfin Wilson maintenant."
En entendant son nom de code, la rouquine se retourna lentement vers la brunette. EVE… voilà un petit moment qu’elle n’avait plus entendu ce nom, 28 ans pour être précise, 28 ans qu’elle n’était plus une Evaluatrice de Végétation Extraterrestre… Comment l’humaine avait-elle pu faire le lien si rapidement et connaître son nom. Grâce à Wall-E… Wilson d’après elle… Non elle ne l’avait encore jamais revu mais elle senti quelque chose d’étrange au fond de sa poitrine. Sn rythme cardiaque s’accéléra subitement, elle le sentait, elle sentait sa pression sanguine montait et la mesurait presque malgré elle… Elle patienta quelques secondes, le temps de redonner à son cœur des pulsations normales et fronça les sourcils. C’était donc ça qu’on appelait « avoir le cœur qui se sert dans la poitrine » ? Etrange phénomène… D’après ce qu’elle savait, c’était quand un humain entendait parler de quelqu’un qui lui était cher… Wall-E était donc un être cher ? Sans doute, un bon copain, ils s’étaient battus ensemble pour récupérer la plante dans le vaisseau.
- Où est Wall-E ? Je ne l'ai pas revue depuis que je me suis endormie pour 28 ans...
Elle s’était ensuite occuper de ce type étrange, qui était visiblement moi humain qu’il ne le laissait paraître puisqu’elle était dans l’incapacité de lire entièrement en lui. Elle ne perçut que certains mots « l’armée du dragon » et fut d’avis de poser la question à l’assistance. Maya lui conseilla alors de poser la question « au bucheron canadien » et la rouquine resta impassible et immobile… Un bucheron canadien… Elle n’avait lu ça dans aucune des personnes qui étaient avec elle… Aucun canadien, aucun coupeur d’arbre alors que fallait-il y comprendre ? Etait-ce de la « métaphore », une « une figure de style fondée sur l'analogie et/ou la substitution » d’après un site très célère utilisé par de nombreux terrien dans ce monde étrange ? Evelyn était folle de joie, elle venait d’apprendre une nouvelle chose sur les humains, elle venait de découvrir une nouvelle chose qu’elle avait appris en quelques secondes à son éveil dans ce monde. Bien entendu, la joie fut complètement intérieure parce qu’extérieurement, la jeune femme avait tellement peu bougée qu’elle n’avait même pas cligné des yeux.
C’est en observant ses coéquipiers qui avaient tous tourné leur visage sur le monsieur barbu qu’elle comprit que c’était lui le bûcheron canadien en question. Les femelles lui avaient souri, elle en déduit donc que c’étaient des amies, le vieux monsieur lui avait lancé une boule de feu, c’était un ennemi et le « bucheron canadien »… bon lui c’était un coéquipier pour le moment, ça suffisait bien. Il commença à leur expliquer que l’armée du dragon se composait d’humain surentraînés mais pas seulement. Il n’en dit cependant pas plus, décrétant qu’il fallait déguerpir car d’autres se rapprochaient. Elle emboîta directement le pas mais certains autres ne le firent pas, ce qui le poussa à s’énerver, leur demandant s’il avait besoin de confisquer les appareils photos… Personne ne portait d’appareil photo… Bref… passons… Ils sont fous ces humains. Tout en douceur, elle frôla la main de leur guide naturel afin d’en savoir un peu plus. Nikolaus Jamestown, ancien soldat, a un lien avec l’armée du dragon. Elle n’eut pas le temps d’en savoir plus, cela lui suffisait cependant amplement pour le moment.
Elle se mit alors à courir avec les autres, sa combinaison en cuir le lui permettant largement. Le vieux monsieur avait une canne, il avait donc du mal à marcher, c’était ainsi que les êtres inférieurs s’aidaient pour avancer. Devait-elle l’aider ? Non. Ils n’étaient pas amis donc logiquement, elle n’avait rien à lui devoir. Si ? Elle demanderait à Astrid plus tard. En quelques secondes, il fit apparaitre un pistolet dans la main de chacun d’entre eux. C’était un présent, non ? Il était un ami finalement ? Les humains étaient parfois bien trop étranges pour suivre une courbe comportementale logique. Elle haussa les épaules, le regarda et répéta son code de politesse :
- Merci.
Mais elle n’avait pas le temps de s’attendrir (ahah la blague… déjà aurait-il fallu qu’elle en soit capable…) : 3 hommes bientôt rejoints par un quatrième étaient bien décidés à les massacrer. Prenant son arme entre ses mains, Evelyn en modifia la matière, la dédoubla pour se retrouver avec deux revolvers, bien plus maniables selon elle. Elle calcula sa trajectoire, observant l’angle d’attaque de chacun des ennemis. Shéhérazade venait d’être touchée au dos, elle était brûlée, elle était sans dute celle qui avait le plus besoin d’elle. La rouquine se mit à courir, sauta et termina dans un roulé-boulé uniquement permis grâce à sa forme d’humaine, devant la jeune femme en prise avec la bestiole. Sans aucune hésitation, elle brandit ses deux revolvers à la vitesse de l’éclair et abattit l’homme d’une balle de chacune de ses armes. Une fois au sol, elle rengaina dans son holster et se tourna vers Shéhérazade. Sans ménagement ni permission, elle lui attrapa le bras pour regarder la blessure. Elle l’analysa rapidement avant de lui dire :
- Ne t’inquiète pas, la brûlure est superficielle, tu guériras vite. Continue d’y apposer de la glace pour te soulager.
Elle se releva ensuite et regarda le cadavre. Ses lunettes avaient un peu glissé sur son nez et elle constata qu’il n’était pas tout à fait humain. Pas le temps de demander, pas tout de suite, il y avait encore trois ennemis.
copyright Bloody Storm
Nikolaus Jamestown
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« Moi, je ne me ferai jamais sauter la cervelle pour des dettes. D'abord, je n'aurai jamais autant de cervelle que de dettes. »
Blaise Pascal
Le coup de feu partit si vite que j'eus un léger sursaut. Je mis quelques secondes à réaliser que c'était Maya qui avait tiré. Je clignai des yeux, stupéfait par son sang-froid et sa dextérité. Elle avait super bien visé : le gars était tombé comme une crêpe. "Fais-moi penser de ne jamais te contrarier." dis-je dans ma barbe.
Je ne voulais pas spécialement qu'elle m'entende, c'était plutôt un pense-bête adressé à moi-même. Elle n'avait pas l'air comme ça, mais c'était une sacrée nana. Les deux autres étaient pas mal non plus dans leur genre. La dénommée Shéhérazade était intrépide, quant à Evelyn, mieux valait ne pas s'y frotter de trop près. Pépé s'était révélé utile avec les armes qu'il avait mises dans les mains de nos "collègues" féminines. Un sorcier, tiens donc... Brusquement, il gagna en intérêt. Bientôt, ce ne fut plus l'occasion de penser, mais d'agir. Les hommes en noir nous encerclait. Ils venaient par vague successive. Ils prenaient tout leur temps. Ils savaient que nous n'étions rien comparés à eux...
Shéhérazade se fit blesser à l'épaule. Je sentis la chaleur de la flamme passer non loin de ma joue pour heurter la jeune femme. Evelyn termina l'agresseur avec deux balles. Rapide, efficace. Elle avait l'air de sortir d'un commando d'élite.
"On se tire !"
Sitôt dit, sitôt fait. Je m'engageai d'un pas rapide, ouvrant la course à travers la ville qui semblait s'éveiller dans un brouillard givrant. Je gardai mon arme serrée dans ma main. Je jetai de temps à autres un coup d'oeil par-dessus mon épaule pour m'assurer que la fine équipe suivait toujours. Je tournai la tête vers Pépé. "Vous avez un bon plan pour un endroit sur ?" lui demandai-je brusquement. "Il faut qu'on se planque, ou... qu'on cache au moins les plus faibles." murmurai-je d'un air entendu.
Ce n'était pas parce qu'il était l’ancêtre du groupe, mais il avait l'air aguerri. Là où il nous emmènerait, on serait plus en sécurité. Je n'aimais pas trop me frotter aux magiciens, mais à l'heure actuelle il était notre principale chance contre les types qui voulaient notre peau.
Je courais sans me fatiguer, mes pieds s'enfonçant dans la neige, de la buée s'échappant de ma bouche. Nous nous trouvions non loin du centre-ville, dans une ruelle qui m'était familière. Je m'étais souvent promené dans ce coin-là depuis mon arrivée.
Soudain, une détonation retentit, plongeant le monde entier dans un silence glaçant. Je portai une main à mon coeur qui venait d'exploser dans ma cage thoracique. Je m'immobilisai brusquement, mon épaule heurtant le mur le plus proche. Il fallait que je m’appuie contre quelque chose.
"Putain... ça fait mal..." grognai-je.
J'avais déjà pris des balles, mais celle-là, je savais exactement ce que c'était. Une "doum-doum", comme on les appelait. Une balle tellement vicieuse qu'elle était capable d'exploser un crane. Elle transformait l'intérieur en bouillie. Je ne sentais plus aucun de mes membres. Toujours adossé contre le mur, je glissai lentement contre la paroi. Je penchai la tête en avant, crachant une petite flaque de sang dans la neige.
Je levai mon regard vacillant vers la fine équipe qui m'observait, certains épouvantés, d'autres juste stupéfaits. Pépé avait l'air de s'ennuyer. Quel enfoiré... "Au moins, ils vont vous... foutre la paix maintenant..." dis-je avec le sursaut d'un sourire, avant que mon visage se fige en une grimace de douleur.
J'étais assis contre le mur, une main crispée sur mon torse, les jambes nonchalamment étendus dans la poudreuse. Je ne sentais même plus le froid. Drole de sensation de ne rien ressentir. Derrière eux, j'aperçus l'ombre malsaine du type en noir qui venait de me buter. Il avait rangé son arme. Jamais ces gars ne s'en servaient. Ils utilisaient uniquement leur fichu doigt pour blesser les gens. Moi, ils voulaient me tuer dans les règles. Proprement. Parce que je faisais partie de la "famille". J'aurais préféré un cadeau de noel sous le sapin...
Je regardai vite fait Maya. Je ne parvenais pas à distinguer ce qui animait son visage. L'incompréhension dominait. Je n'avais pas le temps de lui expliquer.
Le froid m'envahit totalement, suivi d'une chaleur inconnue, comme si je me trouvais tout près d'un radiateur. Je me redressai subitement, me mis sur mes jambes, étonné de ne plus ressentir aucune douleur.
"C'est quoi ce bord... ?"
Indécis, je soulevai mon pull, l'enlevai pour passer un doigt à travers le trou que la balle avait creusé dans la maille, à l'avant et à l'arrière du vêtement. Puis je baissai les yeux sur mon torse. Une légère cicatrice subsistait au niveau de mon coeur, un petit trou noirci comme celui d'une cigarette. Je clignai des yeux, remis le pull et tapai dans mes mains. "Bon, alors on fait quoi ?" m'enquis-je d'un air faussement jovial. "Tournée générale ? On va se boire une bonne bière ?"
Je me penchai pour ramasser mon flingue qui était tombé dans la neige quand j'avais été blessé. Je regardai au loin, remarquant que l'homme en noir avait disparu. Pour l'instant. Pourquoi me tuer s'il savait que cela ne me ferait rien ? Savait-il que cela ne me ferait rien ? Trop de questions. J'aimais pas ça. "Moi, je m'enfilerais bien un bon whisky." dis-je en reprenant la marche.
Je savais que les questions allaient fuser, mais je n'étais pas enclin à y répondre. Juste pour agacer tout le monde, je fis subitement volte-face, mes godillots envoyant un jet de poudreuse dans les airs :
"Ah oui, juste au cas où vous auriez envie de me torturer, de me questionner, de me menotter... Je suis amnésique ! Je ne me souviens de rien, absolument rien de ma vie d'avant ! Donc... un verre ? Pour les menottes par contre, je peux éventuellement faire un effort."
J'esquissai un sourire en direction des trois jeunes femmes, mais quand mon regard tomba sur pépé, je plissai des yeux et me mordis les lèvres. "ça dépend qui se propose pour les menottes." ajoutai-je.
Sur cette réplique, je leur tournai le dos et m'engageai vers le centre-ville.