« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Le Chant des Sirènes, le premier event avec un résumé barbant avant de commencer ! What else ?
Précédemment, dans les Feux de l'Olympe...
Pascal et Aryana jouaient les touristes dans le manoir d'Egéon (franchement, on n'a pas idée ) quand... la déesse disparut entre les mains d'une mystérieuse entité ayant pris les traits de Melody Blackstorm !
//MUSIQUE DES ENVAHISSEURS//
La déesse se volatilisa comme ça :
Genre on tire la chasse, mais en plus propre quand meme.
Pascal, dérouté, furieux et endommagé par sa (brève) rencontre avec la véritable Melody (elle lui a brisé les M&M's ) brulait d'envie d'avoir sa revanche, ainsi que de sauver sa belle.
On parle pas de ces M&M's-là, mais c'est pas grave.
Du coup, paumé à Londres sans carte bancaire, il a fait la seule chose censée : appeler un dieu à la rescousse. Pauvre de lui, Judah sonnait occupé. Il a misé sur Elliot, qui était en mode répondeur pendant trois jours. Du coup, Pascal a mis ce temps à profit pour se préparer psychologiquement à entrer en guerre contre les sirènes :
Il a appris à apprivoiser les gros poissons. On ne veut pas savoir comment. O_o
Comme il trouvait le temps long, il s'est produit sur scène dans une reprise acoustique très sympa de "Chantent les sardines":
En trois jours, avec très peu d'argent, on est assez démuni finalement, il a commencé à arborer des tenues de plus en plus étranges :
Que voulez-vous, on trouve ce qu'on peut dans les poubelles du Théatre du Globe.
Heureusement, au bout du troisième jour, Elliot s'est enfin pointé, mettant fin à ce supplice oculaire. Il a débarqué comme une fleur, traumatisé par l'allure de ce cher Pascal qui s'est empressé d'annoncer qu'Aryana avait disparu.
"Mais pourquoi tu me l'as pas dit plus tôt ?" a aussitôt demandé Elliot, limite réprobateur.
Ce à quoi Pascal s'est retenu de répondre en lui donnant une baffe. Bref. Faut comprendre le petit Elliot. Sa vie n'est pas facile en ce moment, entre son nouveau jeu vidéo Walking Dead et Lily qui déprime en souriant ! (oui en souriant, c'est carrément flippant ! )
Du coup, Elliot a téléporté Pascal chez lui. Diane y était déjà pour voir Petit Bébé. Ils ont discuté tous les trois. A la suite de la conversation, il est convenu qu'il faut monter une expédition pour partir dans le Triangle des Bermudes, là où Diane a entendu dire par Hippolyte qu'il était question de sirènes, justement. Elliot n'est pas un dégonflé, c'est juste qu'il ne vient pas. Il a une Lily à s'occuper. Et puis honnetement, sa mère qui a disparu, il sait qu'elle reviendra dans un mois. Dionysos a bien fait croire à sa mort et il est de retour, alors bon... Il en a gros sur la patate.
Diane, pas la peine de faire ce regard. Elliot en a marre de sa famille. Faudrait créer un club, d'ailleurs.
Par contre, Louise a répondu présente ! Elle est toujours de la partie pour foncer tete baissée dans des aventures dangereuses et tumultueuses ! Ce n'est pas bon de trop jouer avec le feu, princesse !
C'est ça, fous-toi de ma gueule.
Quant à Hippolyte, elle a plié bagages en mettant tous ses maillots de bain dans sa valise, dès qu'elle a vu ce regard :
Et Eugène dans tout ça ? Qu'en dire ? Il abandonne trois nouveaux nés et sa future femme pour un voyage suicidaire et périlleux. Quelque chose à ajouter ?
Ouais t'as raison, ne dis rien, c'est pas joli-joli de toutes façons.
Voilà ce que vous avez manqué dans... Les Feux de l'Olympe ! Et maintenant, votre mission !
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Propos recueillis par Gossip Fish
Diane Moon
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| Avatar : Claire Holt + Mia Talerico pour Le Berceau de la vie
“I love you to the moon and back”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
Dire, que ma vie était sens dessus dessous, en ce moment, était réellement, un euphémisme. J'avais, l'impression, de passé mon temps à courir, à droite à gauche, alors que j'en avais justement marre de courir à droite à gauche. Généralement, quand je le faisais, je finissais, immanquablement, par m'en prendre plein la figure. Ce qui m'amenait, à mon état d'esprit actuel : le ras le bol, de ma « famille », ou tout du moins de ce que j'avais essayé de pouvoir un jour, considéré, comme ma famille.
J'avais appris, il y a peu, alors, que j'allais, rendre visite à Elliot, ou plutôt, que j'allais une fois de plus, joué les baby sitter, divine. Que ma sœur, avait été enlevé, par une sirène. La personne, qui l'accompagnait (Pascal, puisque tel était son nom) avait clairement, expliqué, ce qu'il s'était passé. Et, j'avais, vraiment dût prendre, sur moi, et contrôler, mes émotions, pour évité de cassé quelque chose. Heureusement, que j'avais Cassandre, dans mes bras, à ce moment là. Je tenais, bien trop à ma petite nièce, pour faire quelque chose de la sorte.
Elliot, lui n'avait semble-t-il pas accordé, énormément, d'importance, au problème. « Dionysos, a bien fait croire qu'il était mort, et il est revenu, maman sera de retour dans un mois » avait-il dit, en s'installant devant son jeu (que j'avais eu la bêtises de lui acheté, j'en prenais l'entière responsabilité) . La première étape, avait-été, de resté en contacte avec Pascal, je lui avais donné, le numéro du fixe, chez mon frère et moi, qu'il puisse m'appellé, pour être tenu au courant, de ce qui allait ce passé. La seconde étape, elle consistait, à allé voir Arès. « plus de cachotteries » avait-on dit. Alors, j'étais partis sur Olympe le prévenir, de ce qui ce passait (et accessoirement, l'empêché de faire une grosse bêtise).
Arès, m'avait donné, son accord, pour monté une mission, pour allé récupéré Aphrodite, et Hippolyte, m'avait justement parlé, du fait qu'Egéon, comptait se rendre dans les Bermudes. En, revanche, le fait que je veuille sauvé Aphrodite, ne lui avait pas vraiment plu. Je, ne pouvais, pas franchement, la blâmé. C'est vrai, qu'avec les récents évènements, je comprenais, le fait, qu'elle veuille que ma sœur, reste disparu. Je, n'avais donc, pas fait de commentaires. D'un côté, j'avais l'impression, que notre relation, était beaucoup trop bancale en ce moment, pour prendre un quelconque partis entre ma nièce et ma sœur.
Le problème, qui se posait, maintenant, était, de savoir, qui composerait, cette équipe. Si, cela, n'avait tenu, qu'à moi, cela aurait été deux de mes frères. Egéon, avait fait, fort, très, fort. Non seulement, il s'était mit deux déesses à dos, mais en plus, il avait réussit à se mettre Arès et Apollon, à dos également. Aucun des deux, ne l'aimait.
Malheureusement, Louise, avait entendue, notre conversation, et avait une fois, de plus, voulut être de la partie. Je pensais, pouvoir, venir à bout de tous ses arguments. Sauf que je me trompais. Alors, quand après lui avoir dit non d'une manière ferme, avait-elle ouvert la bouche, je ne lui avais pas laissé le temps de parlé : oui, je sais que tu n'es pas un poids, non ce n'est pas à cause de ta condition, de mortelle, que je fais, je n'ai juste pas envie, que l'on se retrouve, à nouveau face à un ultimatum : « file moi le trident, ou je tue les gens qui t'accompagnent ». Sauf, qu'une fois, que j'avais finit, Louise, n'en était pas restée là, et avait trouvé, de nouveaux arguments. Me faisant, à nouveau céder. J'étais moins inflexible que ça, par le passé, je m'adoucissais, je m'en rendais compte.
Par la suite, j'avais donc, contacté, Pascale, pour lui expliqué ce qui allait, se passé, il m'informa, lui de son côté, qu'un de ses amis, se joignait à l’expédition. Formidable, une personne, de plus, que je ne connaissais, pas. Je, n'étais, pas spécialement, adepte, des groupes, avec des gens dont je ne savais, rien. Théménos, et Londres, étaient des exemples que je préférais oublié.
Et nous, étions, le jour J. Je terminais de faire mon sac, tranquillement, quand la porte, de ma chambre s'ouvrit violemment. Je me retournais, calmement, pour faire face à Apollon, qui semblait bouillonner :
- Ne commence pas, l'avertis-je, je sais que tu n'es pas d'accord, avec le fait, que je parte une fois de plus sans toi, et qu'il y ai l'abruti de Rejeton de Poséidon, dans le lot, mais, je n'ai pas le choix Apo'. Écoute, Arès, est au courant, de ce que je fais, on s'est promit qu'il n'y aurait plus de secrets, je lui ai donc, dit, où j'allais, et avec qui j'allais. La malédiction, a été brisée, cela signifie, que nous n'avons, plus besoin de bracelet, coupant, tout contacte entre nous. Mais si, jamais, tu vois, que tu ne ressens plus ma présence, ou que je devais, ne pas revenir. Vous, avez la permission, avec Arès, d’allée régler son compte à Egéon.
Cela sembla, un peu le calmé, une bonne chose de faites. Je m'approchais, de lui, et le serrais, dans mes bras. Nous, n'avions, pas réellement, pu avoir, de vrais moments, tranquille, pour discuter, lui et moi. Entre, tout ce que nous, nous prenions, tous dans la tronche, et mon départ à San Francisco, pour définitivement, enterré le passé. Je, n'avais pas pu avoir, un moment, tranquille avec mon frère.
Je finit, par me détaché de lui, et descendit, pour retrouvé Louise. Nous avions, rendez vous, à la limite de la ville, de là, je nous téléporterais tous, dans le port de Miami, le point de ralliement, donné par Hippolyte.
Quelques minutes, après, que je nous ai amené, à la limite de la ville, avec Louise, Pascal et son ami, nous rejoignit, une fois les présentations, faites, j'annonçais directement, la suite, du programme. Je, n'étais pas venu ici, pour sympathisé. Et, je craignais, hélas, que je ne remette mon masque en place durant, toute la durée de cette mission. C'était ma manière de me protéger. Louise, et Hippolyte, connaissaient, la femme, qui se cachait derrière la déesse. Elles connaissaient, la tante et l'amie. Et, elles devaient être les seules, à le savoir. De toute façon, pour être honnête, je ne prêtais, plus attention aux Egéon, et compagnie. J'avais tourné la page, accepté d'enterrer, une bonne fois, pour toute, mon passé. Nous, n'étions, pas une vrai famille, et nous ne le serions, jamais. Qu'à cela ne tienne, j'ai trouvé ma propre famille ici, à Storybrooke. « Les amis, c'est la famille qu'on se choisit » m'avait, dit Diana, quand nous, nous étions, vu au retour de son expédition, dans son monde d'origine. Et, je devais admettre qu'elle avait raison.
Quoi qu'il en soit, tout le monde ayant comprit, et assimilé, dans quoi ils s’engageaient, je nous téléportais, à nouveau, cette fois-ci, dans le port de Miami. Tout le monde, avait, enfilé, une tenue, en accord, avec la température, des lieux, sensiblement, différente avec Storybrooke, d'après la météo, que m'affichait mon téléphone. Il, n'y avait plus qu'à attendre Hippolyte. Personnellement, je choisis de prendre Louise à part, avant que je ne prenne, cette attitude froide qui me caractérisait, c'était peut-être stupide, mais, ce qu'il s'était passé à Londres, m'était resté en travers de la gorge :
- Louise, fait moi une promesse, d'accord ? Je veux que tu me promette d'être extrêmement, prudente, et de ne leur laissé aucun moyen de t'atteindre.
Pas question, que d'autres innocents, payent encore les pots cassés, de la connerie congénitale, du fils de mon frère
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Pascal Méléon
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| Avatar : Arthur Darvill
"For it is in passing that we achieve immortality. Through this, we become a paragon of virtue and glory to rise above all. Infinite in distance and unbound by death, I release your soul, and by my shoulder, protect thee."
| Conte : Raiponce | Dans le monde des contes, je suis : : Pascal
Hatred is killing me But killing isn't justified What happen to her? I'm terrified...
Il y a des moments dans votre vie qui font mal. Et croyez moi, pour avoir subit des brûlures, des dizaines de coupures, des flèches et des balles, des morsures et même Swain, je n'avais jamais eut aussi mal que lorsque la Morue m'avait frappé là ou ça faisait mal. Mais du genre terriblement mal, 3 octaves en moins et tout le bordel. Donc ouais, sur échelle de 1 à 10 j'avais dépassé le 15. Je ne vais pas parler de ce qui m'est arrivé à Londres, 3 jours à vivre dans la rue, faisant quelques "tours de magie" pour gagner un peu d'argent et de quoi me nourrir tout en essayant d'appeler l'Affreux qui ne captait pas à cause de son brushing et Elliot qui... A mit du temps pour venir. Beaucoup trop de temps. Trois longues journée à entretenir ma haine pour éviter de baisser les bras, car si je m'arrêtais maintenant, plus personne ne pourrait sauver Aryana, durant ces trois longues journées, j'étais le seul à savoir qu'elle était en danger. le temps que le reste s'en rende compte... Il serait peut-être plus tard, alors j'ai tenu et je me suis préparé à ce qui allait arriver. Pour sauver celle que j'aimais j'allais devoir repartir en guerre. En guerre contre la descendance d'un dieu pourri jusqu'à l'os. Tout ce que j'avais voulu c'était partagé un peu de temps avec la personne que j'aimais, mais même cela on me l'avait arraché. J'avais l'impression que je devais lutter contre le monde entier pour simplement pouvoir la revoir sourire. Et vous savez quoi? Je le ferais sans aucune hésitation. J'allais partir en guerre, oh oui que j'allais partir en guerre, mais j'avais faillit partir perdant à cause d'une simple erreur. Cette colère et cette haine allait me consumer plus surement que le feu d'Elijah, partir pour tuer et détruire n'était pas bonne chose à faire, mon but premier n'était pas de tuer Morue, mais de sauver Aryana. Sauf que je savais qu'elle allait se dresser sur mon chemin, mais j'avais un code, des règles. J'étais un protecteur avant d'être un soldat. Chaque vie était précieuse alors... Même pour eux je n'allais pas les assassiner de sang froid dès que l'occasion se montrait. Et vous savez ce qui avait calmé cette colère, cette soif de vengeance et de sang qui m'avait retourné les tripes durant plusieurs jours? Un visage familier et tellement naïf. Eugène. Pauvre Eugène, qui m'avait simplement croiser alors que j'acheter des balles, il avait voulu savoir et je n'avais pas eut la force de lui mentir, alors il était venu. Mon ami, le mari de ma sœur, le père de trois enfants allait partir au front pour m'aider à récupérer celle que j'aimais. Je lui avait dit non, je lui avait interdit et... Et il était venu. Cette mission était devenu bien plus que le simple bain de sang que j'avais visé auparavant. Malgré les adversaires j'allais garder mon calme, nous allions retrouver Aryana. Nous avions bien Artémis avec nous, alors j'étais confiant sur ce fait. Nous n'allions pas échouer et Arya serait saine et sauve avant la fin de la journée, mais je ne pouvais, je ne devais, céder à la colère alors qu'Eugène était à mes côtés. Nous étions en guerre, alors je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour que le seul sang qui coule soit celui de mes ennemis. Le Protecteur avant le soldat.
Alors je m'étais équiper pour l'occasion, j'avais la panoplie complète, mon sabre pendant à ma ceinture alors que mon carquois (avec flèche explosive) et mon arc étaient en bandoulière, croisés et retenus par mon bouclier caméléon. J'avais aussi un holster pour mon pistolet et plusieurs balles de rechange, des M&M's, une petite surprise en métal que je gardais si jamais nous en venions à en venir au poing et bien sûr Brave m'accompagnait comme d'habitude sur mon épaule. Et plus important encore, la chose qui allait surement me sauver la vie. Une coquille. Oui, une coquille pour éviter que Morue ne me frappe encore là ou ça faisait mal et que l'on m'appelle Pascalette et non il n'y avait pas de caméléon dessiné dessus (bande de malades). Alors j'étais prêt, plus que jamais, physiquement et mentalement pour cette mission. Le caméléon passa une main sur sa cicatrice alors qu'il vit Eugène le rejoindre à un croisement, armé pour le combat, et il soupira avant de poser une main sur son épaule, souriant tristement:
"Eugène, je sais que je ne vais pas pouvoir te faire partir. Alors laisse moi te prévenir, un conflit divins comme celui là c'est l'accumulation de milliers d'années de conneries divines qui nous retombe dessus. J'apprécie que tu sois venu pour m'aider à la sauver, mais crois-moi, il y a des choses contre lesquels aucun de nous pourrais gagner. Si jamais je te dis de courir, tu cours. Je ne veux pas qu'ils grandissent sans avoir un père à leurs côtés, d'accord."
Le balafré craqua sa nuque, bien sûr je pouvais lui donner un coup sur la nuque ici et maintenant et peut-être lui sauver la vie, mais... Mais j'étais incapable de lui faire le moindre mal, alors j'allais faire de mon mieux pour le protéger. Et le protéger de moi-même.
"Et au fait... Merci. Tu m'as empêché de devenir comme les monstres que j'ai toujours combattu."
Pascal vérifia une dernière fois si son chargeur était remplit, il passa une main dans le plumage de Brave et fit signe à Eugène de le suivre jusqu'au point de rdv, maintenant c'était le début de cette guerre contre les océans. Bah, j'avais survécu au plus ardents des feux en affrontant Elijah. Alors je m'attendais à tout. Il fallait s'attendre à tout et garder la tête claire et haute, un seul faux pas pouvait nous coûter la vie. Plusieurs minutes passèrent avant que le duo n'arrive à point de rdv pour être accueillit par une Artémis plus froide que la glace, même si je ne pouvais pas m'empêcher de la voir comme la petite blondine qui m'avait accompagné au jurassique, qui nous présenta Louise. J'avais légèrement entendu parler d'elle à droite et à gauche sans pour autant la connaitre, elle avait l'être impatiente de partir. J’espérais juste qu'elle savait dans quoi elle venait de mettre les pieds. Et puis téléportation, une nouvelle fois, je commençais y être habitué à force, Miami cette fois, donc j'avais une chemise à manche courte et... j’espérais que mes M&M's n'allait pas fondre, ça serait problématique. Apparemment on devait attendre un second groupe sur place, je trouvais que c'était du temps perdu, mais l'union fait la force après tout. Pascal inspira un grand coup avant de fermer les yeux et de s’asseoir en tailleur dans le sable, ignorant Diane qui se téléporta de nouveau, et commença a répéter une devise qui devait désormais réguler ses actions, "Protecteur avant soldat", je devais me graver ces mots si jamais je tombais sur Morue où son frère, parce que je devais garder la tête claire pour éviter qu'Eugène ne devienne un cible facile. Je devais le répéter pour me souvenir que j'étais là pour Aryana, pour la sauver elle, pas pour tuer cette foutue sirène et son frère. Le caméléon termina de méditer avant de sortir son sabre et de commencer à l'aiguiser, le bruit du métal contre le métal le reposant plus qu'autre chose car ce sabre n'avait jamais perdu de son tranchant malgré avoir fait des dizaines de combats. Il releva la tête pour voir Artémis et Louise revenir et sourit légèrement.
"Artémis, je n'ai pas encore eut le temps de vous en parler mais... Vous ne vous souvenez pas de moi? Je t'ai connu lorsque tu étais haute comme trois pommes, c'était en pleine préhistoire et on à échappé à... Des... T-rex..."
Ce regard pouvait surement tuer un éléphant en pleine charge, bon sang, elle s’entraînait dans la glace où quoi? C'était le parfait mélange de "tu te moques de moi?" et de "le centre de la cible se trouve pile entre tes deux yeux". Flippant... Et je pense que j'avais bien fais de la vouvoyer, ouaip, parce qu'elle semblait être plus froide que le pôle nord, bah, c'était surement mieux ainsi, mais j'avais encore une chose à dire.
"Je vois que non... C'est pas grave. Et je voulais aussi remercier pour n'avoir rien dit sur ma relation avec Arya. Connor s'est montré beaucoup moins... Ouvert d'esprit que vous. Ce qui n'empêche pas que nous allions la sauver, après tout j'ai déjà des dieux. Alors des demi-dieux ça devrait être deux fois moins compliqué, pas vrai? "
J'avais dit cette phrase avec humour, mais j'étais aussi curieux de voir sa réaction et celle de Louise, j'aimais avoir une idée des personnes avec qui allaient être mes sœurs d'armes durant cette guerre.
Egéon Blackstorm
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| Avatar : Paul Wesley
৩ On a parfois juste
besoin d'un ami
à qui murmurer à l'oreille
ce qu'on a sur le cœur. ৩
| Conte : Intrigue Divine ღ | Dans le monde des contes, je suis : : Un demi dieu
La vie. On gagne ou on perd. Il n'y a pas d'autres alternatives. Quand on est censé vivre deux fois plus longtemps qu'un humain ordinaire, on fait absolument tout pour profiter pleinement de cette chance.
"Elle entend des voix dans sa tête. Un chant qui passe en continue. Mon père m'avait déjà expliqué que les Sirènes étaient liées entre elles. Elles développent un don qu'aucun être humain ou créatures divines possède. C'est bien plus fort que la télépathie et ça peut traverser les mondes."
Les dieux ne sont pas là pour nous aider à franchir les étapes de notre vie. Ils nous donnent vie quand ils n'ont rien de mieux à faire de leur journée, après une partie de jambe en l'air à l'image de la seule chose qu'ils sont capables de faire correctement. Les dieux du vice, du pêché. Incapables de se contenir ou de réfléchir avant d'agir. Ils pensent que tout ce qui les entourent leur appartiennent. Ils s'approprient tout ce qu'ils ne possèdent pas encore. Ils le façonnent à leur façon et le détruisent petit à petit.
"J'ai peur qu'en la laissant y aller seule, il lui arrive quelque chose. Elle est encore jeune, fragile. Je sais qu'on est jumeaux et qu'elle a vécue autant d'années que moi, mais une grande partie de ces années, elle les a passée à l'abri, sous un dôme créé par mon père. Il tenait à elle plus qu'à n'importe quelle autre créature. Il tenait à nous deux."
Chaque dieu était différent. Il y avait les puissants, tel que Zeus ou Arès. Nés pour régner, pour s'imposer, pour faire plier le genoux à toute autre créatures et même à leurs frères et sœurs. Il y avait aussi les plus intelligents qui vivaient à l'écart des autres dieux, tel que Hermès, Artémis ou Perséphone. Il y avait les faibles, celles qui utilisaient uniquement leur condition de dieu pour obtenir ce qu'elles voulaient, tel que Aphrodite. Et il y avait lui, Poséidon, mon père. Il avait de très grands projets pour Olympe et pour toutes les créatures vivantes. Il avait de très grands projets pour nous, ses enfants. Il nous aimait.
"J'ai confiance en toi plus qu'en n'importe qui d'autre. Je sais que je peux compter sur toi et tu sais que tu peux compter sur moi. On est de véritables guerriers, on fait partit de ceux qui ont un but dans la vie, qui sont là pour construire de grandes choses. Un jour ce monde sera à notre image. On se doit de protéger les nôtres, de se serrer les coudes. Car on est une équipe, on est soudés et ils ne pourront rien faire pour briser ce lien qui nous unit. Ensemble ?" lui avais-je dit en lui tendant la main. Je savais qu'elle viendrait, qu'elle ferait partie du voyage.
On s'était retrouvé quelques jours après, à Miami, prêt pour le départ. Je faisais route avec Hippolyte et Melody et je discutais avec elle de notre façon d'agir une fois dans le triangle. On ne savait pas encore ce qu'on allait y trouver. Quand tout à coup, j'avais aperçu au loin un groupe de gens et parmi eux : Artémis. Qui l'avait prévenue ? Je m'étais immédiatement tourné, tirant Melody par le col de son t-shirt. Je l'avais entendu émettre un gémissement, ce qui m'avait fait la lâcher immédiatement.
"On repart, tout de suite !"
C'était un non catégorique. On n'allait pas rejoindre les autres. On abandonnait cette mission. On battait en retraite, immédiatement ! C'était à ce moment là que Hippolyte avait eu la bonne idée de me faire remarquer que c'était son idée de prévenir Diane. Je m'étais tourné à nouveau, faisant route vers la jeune femme et une fois à sa hauteur, je l'avais fusillée du regard.
"Confiance ? C'est ça que t'appelles se faire confiance ? Tu as prévenue Artémis qu'on se rendait aux Bermudes ? Qu'est ce qui t'es passé par la tête ??"
J'avais passé une main sur mon front tandis que le groupe nous rejoignait. Super ! Qu'elle fine équipe. Pourquoi elle l'avait prévenue ?? A quel jeu elle jouait ? Je m'étais tourné vers Diane, la fusillant du regard. Ça allait se jouer entre elle et moi, tôt ou tard...
"Votre nouvelle cour est à votre image : insignifiante, sans grand intérêt."
J'avais regardé chaque participant. Pourquoi ils étaient là eux aussi ? Qu'est ce qu'il venait faire ici ? Je m'étais tourné vers Melody.
"Tu n'as qu'un mot à dire et on s'en va! On a pas besoin d'eux... Ni de personne..." avais-je achevé en jetant un regard en coin à Hippolyte.
Melody Blackstorm
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| Avatar : Kristen Stewart
❝ Eau trouble ne fait pas de miroir...
Alors pourquoi je me reflète si bien en toi ? ❞
| Conte : La Petite Sirène 2 | Dans le monde des contes, je suis : : Melody, la fille de Poséidon
Ce chant dans mon esprit... Il était omniprésent. Vous savez à quel point c'est énervant d'avoir toujours la même chanson en tête ? Imaginez qu'elle tourne en boucle encore et encore, malgré tout ce que vous pouvez entendre, malgré tout ce que vous pouvez faire. Il y avait comme le son diffus d'une boite à musique, accompagné de voix féminines aériennes qui parlaient du Triangle des Bermudes. Elles m'enjoignaient à m'y rendre. Leurs voix musicales étaient chaleureuses. Au tout début, je me laissais bercer par elles, retrouvant un sommeil pleins de rêves que je n'avais plus espéré depuis longtemps. Puis, à mesure que l'on approchait du but, les voix devenaient plus entêtantes. "Si elles continuent de chanter aussi fort, je vais me claquer la tête contre un mur." maugréai-je, recroquevillée sur la banquette arrière du bus.
Je levai les yeux sur Hippolyte en l'entendant émettre un petit rictus, la main posée sur mon front. Il régnait une chaleur étouffante dans le véhicule dépourvu de climatisation. Heureusement, je n'en souffrais pas trop. J'étais habituée aux grandes différences de température. J'avais nagé dans des eaux qui avoisinaient le zéro degré, ou des sources chaudes proches des geysers. J'avais mis mon corps à rude épreuve pour survivre, pour me cacher.
Je décochai un regard meurtrier à cette nana qui se prenait pour la princesse du coin, avec ses cheveux lissés et son petit air supérieur. Pourquoi faisait-elle partie du voyage ? En la voyant, j'avais comme des envies de lui serrer la main bien fort, histoire de faire apparaitre une charmante petite marque noire. Hélas, elle était beaucoup plus vive que cette gourde de Louise. Impossible de la marquer sans qu'elle me donne un crochet du droit. Je n'avais pas particulièrement envie de recevoir un coup. J'avais suffisamment mal au crane comme ça.
Egéon m'avait certifiée qu'elle serait une "alliée" de taille dans notre aventure. Je n'en étais pas certaine. Déjà, nous n'avions aucune assurance qu'elle était bel et bien de notre coté. D'après lui, c'était gagné. Je l'avais observée durant tout le voyage, pendant les heures de vol, et maintenant que nous étions dans le bus menant au port, je n'étais toujours pas convaincue. Quelque chose clochait avec elle.
Enfin, le bus s'arreta. Je me levai et m'étirai nonchalamment. Le bas de mon tee-shirt informe se souleva, dévoilant mon nombril. Les nombreux bracelets à mes poignets cliquetèrent. Je passai une main dans mes cheveux lâchés sur mes épaules et attrapai mon sac à dos. On aurait dit un modèle pour enfant tant il était petit. J'avais pris le strict minimum, histoire de ne pas m'encombrer. Quelques trucs à manger, une bouteille d'eau et d'autres petites choses. Un poulpe miniature en peluche, de couleur rose, s'agitait au bout d'une des fermetures Eclair.
Je passai devant tout le monde pour descendre et savourer l'air marin sur ma peau. Je fermai brièvement les yeux et renversai la tête en arrière.
Egéon et Hippolyte parlaient de la meilleure façon d'entrer dans le Triangle des Bermudes. Je fis une moue et les rejoignis. Visiblement, ils étaient trop pressés pour piquer une tête dans l'eau bleu-vert qui nous tendait les bras. C'était un véritable supplice de regarder cet océan sans y plonger. J'avais des fourmis dans les pieds. Mes nageoires ne demandaient qu'à s'étendre. Je piétinai sur le sol, dans mes chaussures en toile, et époussetai mon mini-short en jean pour en chasser de la poussière imaginaire.
Il suffisait de penser à autre chose. Ressaisis-toi, Mel. Oublie ce vent chargé d'embruns qui t'appelle, et ce chant qui t'implore de te laisser porter par les flots...
Je secouai légèrement la tête et rattrapai les deux autres.
"Eh ! Vous pourriez ralentir ? C'est pas une cours..ouch !"
Je me tus, brusquement étranglée par le col de mon tee-shirt. Perplexe, je me rendis compte qu'Egéon venait de me tirer en arrière en manquant de m'arracher mon haut. Je suivis son regard et découvris ce qui avait mis tous ses sens en alarme. Un groupe à seulement quelques mètres de nous. Je connaissais trois des personnes sur les quatre.
Je fronçai les sourcils et suivis le raisonnement d'Egéon concernant Hippolyte.
"Je te l'avais dit qu'on ne pouvait pas lui faire confiance ! Maintenant on a une déesse sur le dos !" m'écriai-je, révoltée.
Je n'en avais rien à faire si Artemis m'entendait parler d'elle ainsi. Je crevais de trouille et surtout, je craignais qu'ils réduisent tout le plan à néant. Une possibilité de plonger dans le passé... comment rebrousser chemin ? Egéon se rendait-il compte des enjeux ? Il venait de m'écarter légèrement du groupe pour me parler à voix basse. Il faisait comme si le choix m'incombait. Je me retins de le gifler. Je plantai mon regard à la fois chaviré et furieux dans le sien.
"Tu me demandes mon avis maintenant que c'est trop tard !" dis-je entre mes dents. "Est-ce que tu te fous de moi ?"
Je le repoussai légèrement en regrettant aussitôt mon geste. Je ne voulais pas l'éloigner mais... il compliquait toujours tout. Nous aurions du venir ici seuls tous les deux. Rien de tout ceci ne serait arrivé si nous avions été seuls face à l'océan.
Je relevai la tête et déclarai, rassemblant mon courage :
"On reste ici. On va pas décamper parce que de vieilles connaissances ont choisi de faire du tourisme au même endroit que nous."
J'esquissai un léger sourire en me plantant devant Louise.
"Salut toi !" fis-je en penchant la tête d'un air faussement sympa. "Comment va ta main ?"
Sans prévenir, je saisis son poignet et la forçai à ouvrir la paume.
"Oh, tout a disparu, comme c'est dommage ! Mais ça peut revenir très vite... quand on est marqué, c'est pour toujours."
Puis j'ajoutai en lorgnant Artemis d'un regard perçant :
"Tentez n'importe quoi contre nous, et j'invoque le Kraken. Vous voulez parier que vous parviendrez à la sauver avant qu'il ne la dévore ? Si j'étais vous, je ne tenterais pas."
Je passai devant le grand gaillard coiffé comme un prince, me demandant ce qu'il fichait ici, et tournant la tête vers Pascal, je repris :
"Ca vaut pour toi aussi. Ne m'énerve pas."
Je le jaugeai un moment, avec toutes les armes qu'il trimballait. Il s'attendait à combattre Attila, ou quoi ? Je me reculai légèrement en voyant son aigle remuer un peu trop sur son épaule.
Voilà qui était fait. Non, encore une chose... Retournant vers l'inconnu, je levai la tête vers lui et lui dis d'un ton aimable, presque affable :
"Tu peux encore t'en aller. Tu n'as pas l'air important, ni dangereux, ni courageux. Je ne sais pas qui tu as suivi pour arriver là, mais c'est un imbécile. Ta place n'est pas ici. Retourne chez toi."
J'étais sincère. A peu près. Un peu nerveuse, je tapotai instinctivement le fleuret accroché à ma ceinture. J'avais insisté pour prendre cette arme, même si Egéon avait trouvé cela ridicule. Ca ne l'était plus tant que ça, maintenant.
Se battre. Continuer de se battre. C'est que ce que je me suis juré depuis quelques temps. De toujours me battre pour ce que je pense être juste. D'aller jusqu'au bout pour ne rien regretter. Un coup. Le métal claque. Le professeur tente de me toucher une seconde fois. Deuxième éclat de métal résonnant dans la salle luxueuse de l'université. D'un geste, je parvins à mettre le professeur au pied du mur et faillit le désarmer. Mais son équilibre est bon. Il ne lâche pas. Troisième coup. Nous fonçons chacun l'un sur l'autre, nous ratant de peu. Je me recule d'instinct. La sueur coule le long de mes joues. Le professeur fait signe qu'il est temps de s'arrêter. Je dépose mon épée le long du mur, enlevant au passage la protection pour rendre la lame peu tranchante. Le professeur m'expliqua comment m'améliorer encore plus et me félicita pour mes progrès depuis quelques mois. Je souris. J'ai la satisfaction d'accomplir tout ce que je pouvais faire pour ma famille. Prenant congé, je prit la porte de la sortie pour rentrer enfin chez moi. Revoir ma femme, mes enfants, et continuer de vivre en tant que père. Pour autant, quelque chose retint mon attention sur le chemin du retour.
Pascal. Je le voit plus souvent. Mais son visage sans cesse rongé par la vie ne cesse de me fasciner mais aussi de me faire peur. Or cette fois, tout semble différent. Il y a cette lueur de violence en lui. Je l'avais eu un moment donné quand je voulais faire payer ma vie d'orphelin à la terre entière. Je viens le voir et il finit par tout m'expliquer. Avec tristesse certes. Mais toujours avec toute cette violence en lui. Je peux le comprendre. C'est pour ça que je me suis de suite proposé pour l'aider. J'ai préparé tout un arsenal de lames pour pouvoir combattre avec bien sûr plein de choses importante pour la survie. De la nourriture et une trousse de soin. Pascal avait refusé à maintes reprises mais je sais que s'il y va seul, quelque chose de terrible va se passer. Je ne sais même pas ce qu'il pourrait se passer si Raiponce m'était aussi enlevée. "Je verrais le moment venu toute cette histoire avec les divins. Et je suis sûr que tu aurais agit pareil à ma place." Nous fîmes dont tout deux au point de rendez-vous. Une femme blonde nous attendait, l'air glacial. Ce fait me fut confirmé quand elle expliqua les faits et les dangers encourut dans cette mission de sauvetage. Toutefois, je n'en tint pas rigueur. Elle aussi a de la haine envers les ravisseurs d'Aphrodite. Mais cette violence semble se maintenir plus facilement avec elle. Puis vint une phase de téléportation qui est assez désagréable mais je suis sûr que c'est une question d'habitude. Le temps changea du tout au tout. Il fait chaud. Extrêmement chaud. C'est alors que vint une brune, en colère contre Artémis et toisant Louise du regard. Elle se mit donc à piailler et brandir son jouet. Le Kraken. Elle me jugea bien vite. Pour qui se prenait-elle?
"Entre le couard et la gamine et son jouet, sur qui vaudrait mieux parier?" dis-je sans aucune ironie avec le plus de sérieux au monde. Et ce n'est pas la baraqué à côté qui me fait peur. Enfin si, j'ai la trouille. Mais je ne veux pas flancher et rester optimiste, c'est tout. Je ne suis pas un divin, mais j'ai des ressources. Et ce ne sont pas des demi-dieux de pacotille qui me rabaisseront sans aucune résistance.
Louise Hollen
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He had beautiful eyes. The kind you could get lost in.. and I guess I did.
| Conte : Les douze fréres / Les cygnes sauvages | Dans le monde des contes, je suis : : Elisa : la soeur
ouise attrapa une une robe blanche ceinturée de noir et la passa rapidement, avant de se mettre de la crème solaire sur les épaules et le visage. Puis elle sauta dans ses sandales, attrapa son sac remplis a ras bord de fioles et de drogues en tous genres, et posa son chapeau sur sa tête. Elle était fin prête, c'était ca sa "tenue de combat". Elle n'avait pris que le strict minimum : ses fidèles Arlequins, une bouteille d'eau, une petite lampe torche très puissante et résistante a l'eau, un paquet de mouchoir et ses fioles. Son dernier voyage lui avait servit de leçon : ne pas partir sans lampes. Surtout qu'Elliot ne serait pas la pour lui créer une petite boule de lumière. Un sourire sur les lèvres, elle se dirigea vers le salon, se disant qu'avoir expliquer l'étendue de ses pouvoirs a Diane n'avaient finalement pas été une mauvaise chose, ca avait même fait pencher la balance en sa faveur. C'était toujours un plus d'avoir une soigneuse dans son équipe. Fouillant dans son sac pour attraper un labelo, elle aperçut Phoebus et Diane qui descendaient les escaliers.
La jeune femme s'approcha du dieu pour lui dire au revoir, lui promettant discretement de veiller sur sa soeur. "Fait quand même très attention a toi, c'est dangereux". "Ne t’inquiète pas va, je m'en sort toujours". Louise recula et attrapa la main de Diane et lança "Et entraine toi un peu a la Wii, parce que ton petit manège de la dernière fois ne marchera pas toujours", juste avant de disparaitre avec un clin d'oeil. Une fois qu'elles furent a la limite de la ville, les deux femmes furent rejointes par d'autres personne. Avec un sourire, Louise se présenta rapidement avec un petit signe de la main, gravant leurs visages dans sa mémoire : Elle les connaissait surtout de nom, par Raiponce, mais cela n'allait pas plus loin. Jetant un regard de biais a Diane qui avait remis son "masque de glace" comme elle l'appelait, elle lui attrapa la main et ils se retrouvèrent rapidement sous le chaud soleil de Miami.
Diane la prit alors à part. "Ne t'en fais pas, je serai prudente, promis." Fit elle en lui souriant. "Et puis je suis plus solide que j'en ai l'air, même si ils réussissent a m'atteindre, je m'en sortirai". Bon, c'était peut etre un tout petit peut exagéré mais si ca pouvait la rassurer ... "Toi fait attention a toi plus tot. On est tous concient de ce qui peut nous attendre, tu n'es pas responsable de nous. Si il m'arrive quoi que ce soit, ce sera ma faute, uniquement la mienne." Elle ne voulait as que son amie se prenne la tête avec de tels futilités. Elle avait d'autres choses à penser.
Elles revinrent vers les garçons, et le type avec un bouclier se mit a parler a Diane de ... T-Rex ? Déja, c'était étrange d'entendre Diane se faire appeler Artémis, et en plus, il parlait de la préhistoire. Se retenant difficilement de rire, la princesse ne put se retenir de penser qu'il n'avait pas de chance au vu de la carapace que son amie c'était mise. Mais ce qu'il ajouta en suite la calma. Attrapant un bonbon pour le mettre en bouche, elle lâcha, tout en lui tendant le paquet "Vous auriez tords de les sous estimé, ce ne sont pas des demis dieu normaux." Elle avait été briffée par Appolon après tout, et les demis dieux n'étaient pas censés pouvoir utiliser la magie. Alors comment Egeon avait il fait pour faire apparaitre la porte qui es avait conduit a son manoir ? "Il est possible qu'Egeon puisse faire de la magie. Je crois." Elle n'était sure de rien mais de ce qu'elle savait, ce n'était pas normal. Mais elle ne put s’empêcher de sourire en notant dans sa tête que c'était lui le copain d'Aryana. Intéressant. Elle espérait juste que le retour de Dionysos en ville ne lui poserait pas de problèmes ... Surtout que LUI n'était pas venu sa belle.
Soudain, elle aperçut un groupe un peu plus loin qui avançait vers eux et les reconnu rapidement. "C'est partit..." Lacha elle en observant leurs réactions. D'un geste, elle salua Hippolyte.
Eh bien Mel' n'a pas l'air contente du tout. Bien fait. Se plantant devant Louise, elle lui attrapa la main et la fixa, avant de menacer Diane. Mauvaise idée. D'un geste brusque la princesse se dégagea, frappant la main qui la tenait. Etrangement, la menace de la sirène ne lui faisait pas vraiment peur. Elle avait eut le temps de se préparer mentalement. Après tout, trouver ce que signifiait la marque noir ne lui avait pris que quelques minutes. Même si elle devait avouer que voir Pirates des caraibes deux pour confirmer sa théorie n'avait rien de très joyeux. Si ca se trouvait, ce n'était que des paroles en l'air, et puis pourquoi ne l'avait elle pas fait directement au lieu de les menacer ? Il devait y avoir une raison. "Ravie de te revoir aussi Melmel." dit elle ironiquement sans cesser de sourire, avant de mettre une paire de gant légers qu'elle c'était faites. Non, elle ne la menaçait pas de façon discrete ... elle se préparait juste au cas ou elle aurait besoin d'utiliser une de ses poudres.
Melody se tourna vers Pascal. Ah bah au moins, je ne suis pas la seule a avoir un différent avec elle. Puis ce fut au tour d'Eugène. Mais c'est qu'elle veut vraiment qu'on parte ... dommage pour elle. Bon, il serait peut être temps d'y aller non ? On ne va pas partir de toute façon. On bouge ?
Double jeu. Hippolyte n’avait pas encore fait son choix. Sans doute ne le ferait-elle jamais. Mais quoi qu’il en soit, elle ne pouvait pas laisser Egéon agir seul. Il fallait au moins qu’elle le surveille, qu’elle sache ce qu’il comptait faire, surtout en présence de Melody. Hippolyte ne la sentait pas. Il fallait qu’elle les suive, qu’elle fasse comme si elle était totalement de leur côté. Alors lorsqu’Egéon lui proposa de les accompagner, sortant tout un baratin sur la confiance, Hippolyte accepta. Mais juste après, elle décida d’avertir sa tante, Diane, détentrice du trident. Il fallait qu’elle soit au courant qu’Egéon allait certainement faire quelque chose. Il lui avait bien dit qu’il ferait tout pour obtenir le Trident. Aussi, il fallait qu’elle soit prudente et attentive. Hippolyte avait donc fait en sorte qu’Egéon et Mélody ne se doute de rien. D’ailleurs, pendant le voyage qui les amenait à Miami, Hippolyte était légèrement anxieuse. Comment est-ce que la suite allait se passer ? Comment les retrouvailles à Miami allaient-elles se passer ? Mélody semblait ressentir l’anxiété d’Hip. Elle n’avait pas arrêté de l’observer durant le vol. C’était déstabilisant. Hippolyte avait préféré ne pas en tenir compte, se concentrer sur Egéon. Etrangement, elle avait l’impression que leur lien était devenu plus fort ces derniers temps. Peut-être qu’il ne s’agissait que d’une impression. Le voyage se termina assez rapidement. Le bus arriva à destination. Hippolyte avait pris son sac sur l’épaule et était sorti du véhicule. Il faisait vraiment chaud. Heureusement, la demi-déesse s’était habillée en circonstance. Un short avec un tee-shirt long, dépassant son short. En fait, on avait l’impression qu’elle portait uniquement un long tee-shirt mais non. Elle replaça ses cheveux puis se tourna vers ses cousins. Mais Egéon venait de prendre Mélody par le col, assez remonté. Hippolyte ne comprit pas tout de suite la raison. Ce n’est qu’en voyant le petit groupe de personne pas très loin d’eux qu’Hippolyte comprit. Il y avait Artémis, et Louise…Et Pascal ? Mais qu’est-ce qu’il foutait là lui ? Tout d’un coup, Hippolyte se rappela d’une information que sa tante lui avait donné. La déesse de l’amour avait été enlevée par une sirène. C’était d’ailleurs pour cela que le groupe d’Artémis était là. Pourtant, elle était très bien au fond de l’océan, non ? En tout cas, en se rappellant de cette information, Hippolyte comprit la présence du caméléon. Par contre, il y avait un autre gars, totalement inconnu. Pourquoi Diane avait-elle amené des inconnus ? Et pourquoi Louise ? Londres, Athènes, et maintenant Miami. Elle avait eu de la chance de s’en sortir en un seul morceau. Mais Hippolyte avait peur pour cette expédition. Mélody était plutôt flippante et les deux enfants de Poséidon semblaient déterminés à aller au bout, qu’importe les obstacles. Louise pourrait facilement être prise pour cible. Bref. Egéon semblait vraiment furieux de voir Diane. Autant lui avouer que c’était son idée, plutôt que de le laisser malmener sa pauvre sœur. Bien que cette scène fut plutôt plaisante à voir. « C’est moi qui ait prévenu Diane. » Hippolyte leva les yeux en l’air lorsque son ex-petit copain lui fit la morale sur la confiance. Sérieusement ? C’était lui qui lui faisait la morale sur ce sujet ? Hippolyte ne put s’empêcher d’avoir un rire moqueur. « Entre nous, je pense que tu es le plus mal placé pour me parler de confiance ! » Avait-il oublié ce qu’il lui avait fait à Londres ? Avait-il oublié ses nombreux secrets qu’il avait cachés à Hippolyte ? La demi-déesse se désintéressa du duo pour se concentrer sur l’autre groupe. Hip adressa un sourire à Louise puis à Diane. « Contente de vous voir ici les filles. » Ensuite, son regard se porta vers le balafré. « Tel un toutou, tu voles au secours de ta maîtresse. C’est mignon. » Ou pas. Non mais sérieusement. Qu’est-ce qu’il pouvait trouver à Aphrodite. Oh ! Puis après tout, tant pis pour lui. Il tomberait de haut lorsqu’il verrait qu’Aryana jouait simplement avec lui. Et là, Hippolyte ne serait pas là pour le ramasser à la petite cuillère. L’intervention de Louise recentra l’attention d’Hippolyte sur la raison de leur présence. Ce n’était pas pour se prendre la tête mais pour aller dans l’eau. « Oui. Il faudrait qu’on bouge. Ah moins que vous préféreriez griller au soleil ? Mais là, on risque de perdre Mélody. » Pas sûr que ce soit une grande perte de toute façon ! Hippolyte se retourna vers elle. « Alors, on y va comment ? » Oui. Remarquez comment Hippolyte ignorait ou du moins tentait d’ignorer son cher Egéon !
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❝ Eau trouble ne fait pas de miroir...
Alors pourquoi je me reflète si bien en toi ? ❞
| Conte : La Petite Sirène 2 | Dans le monde des contes, je suis : : Melody, la fille de Poséidon
Je haussai un sourcil à la répartie du faux prince. Rien de plus qu'un égaré en quête de sensations fortes. Eh bien, il allait être servi. Je n'allais pas jouer sa nounou. Il voulait rester ? Il allait souffrir. Il serait sans doute le premier du groupe à mourir, si tant est que l'on rencontre des choses hostiles. Après tout, ils avaient l'air persuadés qu'on allait endurer l'enfer. Il suffisait de voir la quincaillerie de Pascal. J'étais sure qu'il pouvait faire homme-orchestre avec toutes ses armes et son bouclier. Si je lui tapais dessus cette fois, il ferait quel son ? Je mis mon interrogation pour l'instant. Inutile de les provoquer, même si Loulou me cherchait un peu en m'appelant "Melmel".
Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un rictus en entendant la remarque d'Hippolyte sur le coté très "fidèle" de Pascal. Ainsi, ils se connaissaient tous les deux ? Si elle n'avait pas été aussi proche de mon frère, je lui aurais tapée dans la main pour sa fabuleuse réplique. Dommage, nous étions vouées à être ennemies. Un sourire torve tordit ma bouche quand je compris leurs motivations réelles. "Oh... je vois. Vous vous êtes rassemblés pour voler au secours de la grande Aphrodite !" dis-je en m'esclaffant. "Vous croyez qu'elle vous attend sagement au fond de l'océan ? Tu crois qu'elle espère ta venue en pleurant, les pieds et poings liés à l'épave d'un bateau ?" murmurai-je à Pascal. "Personne ne sait ce qui se cache dans le Triangle des Bermudes, personne ! Pas même le "terrible" Arès ! Avant de prendre le large, demandez-vous si elle vaut la peine que vous vous perdiez pour elle."
Je considérai le groupe, prêt à en découdre contre un ennemi imaginaire.
Ne voyaient-ils pas le soleil éblouissant, le ciel aussi bleu que les flots, la plage de sable blanc qui s'étendait non loin ? Pourquoi fallait-il toujours que les gens envisagent le pire ?
Les sirènes... ils pensaient tous qu'elles n'étaient que des créatures viles et vénéneuses, qui ne perdraient aucune occasion de les démembrer. Je secouai lentement la tête en les observant, ces blaireaux qui se prenaient pour les rois du monde. Ils ne savaient rien des sirènes. Si elles avaient bel et bien Aphrodite en otage, c'était pour une bonne raison.
"Vous allez vraiment nous pourrir le voyage, c'est sérieux ?" insistai-je en les regardant toujours, les bras croisés. "C'est pas de l'humour divin ou quelque chose du genre ?"
Eh non, ils avaient l'air déterminés. Je décochai un regard incendiaire à Hippolyte, qui avait une fois de plus perdu une occasion de se la fermer -quand ça me concernait, j'appréciais moyennement le sarcasme. "On y va comment ? Bonne question." fis-je avec un sourire mutin avant de m'éloigner légèrement du groupe.
Je posai la main sur un des poteaux qui s'alignaient le long de l'embarcadère et tournai lentement autour, le temps de savourer ce silence suspendu à mes lèvres. "On ne peut pas se téléporter directement, vu que ce qu'on cherche est introuvable." dis-je en tapotant des doigts sur mon menton, comme si je réfléchissais. "En plus, on ne cherche pas la même chose... Mmh... ça parait difficile."
J'avisai le bateau de pêche qui mouillait non loin. Il y en avait cinq ou six qui nous entourait, mais celui-là ne m'avait pas l'air très surveillé. Histoire de vérifier, je tournai une dernière fois autour du poteau et me précipitai vers le bateau. Je montai sur le pont, sautillai sur le bois du plancher avant de m'accouder tranquillement sur le bastingage, jetant un regard désinvolte au reste du groupe.
"Vous comptez vous desséchez ici ou vous me rejoignez ? Y a des bouteilles d'eau, en plus. Du soda... et des chips. Que demander de plus ?"
Je voyais d'ici le regard désapprobateur d'Artemis. Oui, j'étais bien décidée à voler ce navire, enfin à l'emprunter plutôt.
"Allez ! Quand on se lance dans une aventure, on le fait jusqu'au bout !"
Je soupirai devant leur manque d'entrain et me détournai d'eux pour observer le contenu du bateau. Des filets de pêche, des cageots, des bacs constellés d'algues. Je me dirigeai vers la cabine de contrôle et écarquillai les yeux devant la palette de commandes. Où était le gouvernail ? Je m'imaginais ça plus... simple.
Ne me laissant pas décourager, j'appuyai au hasard sur un bouton. Aussitôt, je sentis un à-coup et le moteur faire vibrer tout le navire. Un sourire se dessina sur mes lèvres tandis que je levai les poings en l'air.
"Bingoooo !"
Puis passant la tête par la fenêtre de la cabine, j'avisai les autres :
"Alors les moules, vous restez sur votre rocher ou vous sautez ?"
Il fallait qu'ils se dépêchent en plus, car le bateau commençait à avancer tout seul et à quitter le port. Hum... on verrait plus tard à quoi servent les autres boutons.
Egéon Blackstorm
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৩ On a parfois juste
besoin d'un ami
à qui murmurer à l'oreille
ce qu'on a sur le cœur. ৩
| Conte : Intrigue Divine ღ | Dans le monde des contes, je suis : : Un demi dieu
C'était une impression ou Mel avait une dent contre ce type à la tête plate ? Il ne me disait rien du tout. Cependant, comme si ça ne suffisait pas, voilà que Hippolyte aussi lui avait fait une remarque ? J'avais envie de prendre les filles à part pour leur demander qui était ce mec, mais la petite sirène s'était éloignée du groupe afin de chercher... une embarcation ? Elle était sérieuse ? J'avais levé les yeux au ciel.
"A ta place, j'éviterai les sarcasmes." avais-je dit en passant devant Louise juste avant de faire route vers Mel. C'était un banal bateau de pêche qui se tenait devant nous. Avec des filets, des cageots, des bacs constellés d'algues... J'avais pas spécialement envie de monter dedans.
"On pourrait trouver un autre moyen d'y aller." avais-je dit à Mel. Mais cette dernière m'avait regardée comme on regardait un gamin de six ans qui disait n'importe quoi. J'étais pas très friand des bateaux.
A dire vrai, j'aimais pas spécialement l'eau. Je sais que le mal de mer c'était pas ce qu'on attendait du fils de Poséidon, mais chacun avait ses défauts. J'avais soupiré en jetant un regard en direction de Hippolyte. Elle en pensait quoi de tout ça ? On devait la suivre ? Pourquoi j'en venais à me poser la question de ce que Hipp pensait ? Je pouvais prendre ce genre de décisions par moi même.
Quoi qu'il en soit, fallait se décider vite, car la sirène avait déjà mis le moteur en route et elle allait partir sans nous. Je n'avais pas hésité avant de sauter à bord du bateau, tout en tentant de ne pas penser où je me trouvais. Elle me revaudra ça !
"C'est vraiment pas une bonne idée de les prendre avec ! On a pas besoin d'eux et surtout pas d'elle !" avais-je dit en jetant un regard en coin à Artémis qui montait également à bord.
"Bon sang Mel, il t'es passé quoi par la tête en démarrant ce bateau ? On aurait pu rentrer et revenir seul bien plus tard !"
Elle était désobéissante, tel une enfant gâtée qui faisait ce qu'elle voulait. Mais on ne pouvait pas toujours se jeter tête baissée dans le danger. Surtout pas entouré de déesses ! D'un autre côté, elle était seule et qui plus est, c'était celle qui nous intéressait le plus. J'avais secoué une nouvelle fois la tête. J'avais la vague impression que ma sirène avait une idée derrière la tête et quand je l'avais observée, je la voyais se mordre les lèvres. Tic typique de quand elle avait quelque chose de prévu et qui l'excitait au plus haut point. J'espérais juste qu'elle ne se trompait pas.
"Tu devrais tourner." avais-je dit tout en voyant un rocher au loin. Un rocher qu'on allait sans doute se prendre de plein fouet si elle ne tournait pas. Je m'étais appuyé contre la rambarde, mais Mel ne semblait pas savoir exactement sur quel bouton appuyer.
"Mel ?"
Pourquoi elle tardait ? C'était pourtant pas difficile de piloter un bateau si ? Elle l'avait déjà fait, n'est ce pas ? Elle ne serait pas montée sur un bateau et elle ne l'aurait pas mis en route si elle ne savait pas le piloter ?
"Mel ??? Tu fais quoi là ??? Tourne !!!" avais-je hurlé tout en me précipitant vers le tableau de bord sans savoir non plus où appuyer...