« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
[ …Flashback, un mois avant que Ursula retrouve sa mémoire… ]
Aujourd’hui était un jour pluvieux. Dehors, l’orage faisait rage, de gros nuages menaçants planaient sur la Ville de Storybrook. La pluie tombait et le tonnerre se faisait raisonner, avec quelques éclaires de tant à autre. Pour une raison qu’il ignorait, c’était le genre de température que Ursula adorait ! Pourtant, il ne pouvait pas sortir en ce genre de temps. Du moins, il préférait éviter le faire… Puisse qu’il avait un petit problème de tentacules, si ont peux dire ça comme ça. Dès que l’eau touchait ses jambes, à la moindre petite éclaboussure, celles-ci se transformaient en huit gigantesques tentacules noirs ! Oui, plutôt étrange comme situation. Oh, cela ne gênait pas vraiment Ursula. Son côté tentaculaire le fascinait et l’intriguait beaucoup, malgré qu’il ne savait pas vraiment comment cela était possible. Peut-être qu’il était victimes d’une quel-conte malédiction ? Un mauvais sort que quelqu’un lui aurait jeter à son insu ? Ursula n’en savait trop rien, pour le moment. Mais bon, chose sûr, il préférait que ce petit détail de lui reste secret. Après tout, si quelqu’un aurait sû ça de lui, ont l’aurait considéré comme une bête de foire ! Non… Ursula ne voulait pas être vue comme un monstre, il voulait une vie normale. Donc, il gardait ça pour lui, malgré que parfois il sentait en lui qu’il aimerait en parler et le faire savoir. Mais, Ursula n’avait pas vraiment des amis dignes de confiance, il était quelqu’un de très solitaire. Comme si il craignait que si il s’attachait trop, il seras blesser en retour. Cependant, il y avait bel et bien une personne à qui Ursula tenait. La petite Alyssa Corrigan. Depuis leur première rencontre, Ursula c’était vite attacher à cette jeune femme dès plus adorable. Rapidement, il l’avait en quelque sorte prise sous son aile. Considérant la jeune Orpheline comme sa fille de cœur, il agissait un peu comme un père envers elle.
D’ailleurs, la jeune Alyssa lui avait envoyer un message texte ce matin, demandant à ce qu’ils se voit car elle avait quelque chose d’important à lui dire. Ursula, également surnommé Ursule, avait évidemment accepté en disant à la jeune Orpheline de le rejoindre, à sa Boutique Ésotérique qui se trouvait sur les Docks, dès qu’elle voudra. En précisant que de toute manière, il ne comptait pas sortir avec ce mauvais temps dehors. C’était un peu vrai… Puisse qu’il ne pouvait pas vraiment sortir, de peur que ses tentacules apparaissent. Bien sûr, il aurait pû prendre un parapluie pour se protéger et sortir quand même. Mais bon, honnêtement, il était un peu d’humeur paresseuse aujourd’hui. Si Alyssa voulait le voir, elle pouvait bien venir elle-même à lui.
Bref…
Ursule se trouvait présentement au premier étage de sa maison, à l’étage qui lui servait de Boutique. Dans la fenêtre de l’entrée, ont pouvait y lire une pancarte sur laquelle il était écrit :
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Boutique Ésotérique Mermaid :
Bienvenue chez la ‘’Boutique Mermaid’’ ! Vous avez besoin d’aide ou de conseil dans le domaine de l’Ésotérique en tout genre ? Cette Boutique est pour vous, entrée et vous y trouverez sans doute le bonheur assurez. Demandez Ursula, ou Ursule, pour vous venir en aide.
Nous sommes présentement : Ouvert !
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Avec un visage impassible d’émotion, Ursule se trouvait dans la pièce à l’arrière de sa Boutique. Pour l’instant, aucuns clients. C’était une journée très calme, normal vue le temps. Il était en traine d’observer les alentours part la fenêtre, ses yeux bleu clair lever vers le ciel sombre. Quand soudainement, il entendit le bruit familier des clochettes de la porte d’entrée de sa Boutique. Signe que quelqu’un était entrée.
Ursula se doutait bien de qui il s’agissait. Un fin rictus apparu aux coins de ses fines lèvres, alors qu’il fit demi-tour en allant vers l’avant de sa Boutique.
« -Te voilà enfin, ma petite Perle. Tu en à mise du temps ! En voilà une façon, faire attendre ainsi son plus cher ami ! » Gronda-t-il faussement autoritaire avec un sourire légèrement malicieux.