Surnom(s) → Petit Prince ★

Date de Naissance → 6 mars
Age cette année, à sa date d'anniversaire→ 25 ans

Occupation / Emploi → Léon travaille pour rouvrir l'Observatoire de Storybrooke

Parents → Aucun, il est né des étoiles
Frères et soeurs → Aucun

Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Oui
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : C'est le Petit Prince de Saint-Exupery ★

Caractère → Léon n'a jamais cessé d'être enfant. Il ne voit que la beauté de l'univers qu'il connaît, et a appris à rêver auprès de toutes les étoiles qui lui ont donné naissance. Cependant, lorsqu'il découvre que la réalité n'est pas toujours aussi belle, cette candeur a pu le briser : déprime, tristesse, manque et déception, perdu dans une réalité qu'il a peur de ne pas comprendre. Léon a ainsi profondémment besoin qu'on l'accompagne pour apprendre à quel point ses sentiments ne sont pas la fin de ses rêves.

Une Particularité ? → Léon est un français qui... ne parle pas anglais. Découvrir et s'intégrer à Storybrooke ne va pas être simple !

Les Pouvoirs → Uniquement la nuit, Léon peut voir toutes les étoiles du ciel, qu'importe la pollution lumineuse ou la météo. Cela dépend seulement d'où il se trouve, ne voyant évidemment que les étoiles présentes dans le ciel de l'endroit où il se tient la nuit.

Un jour, dans le désert, un aviateur se crasha et se retrouva seul, sans moyen de rentrer. Adulte qui a perdu son imagination d'enfant, c'est avec miracle qu'un petit garçon lui apparu. Venu d'une toute petite planète (puisqu'elle n'est qu'un astéroïde), il en est le Prince car l'un des deux seuls habitants.

Avant, son quotidien était simple, mais il l'aimait : il ramonait les volcans, coupait les pousses de baobab pour qu'ils n'envahissent pas sa planète, et décalait toujours sa chaise un peu plus pour observer un éternel coucher de soleil. Qu'est-ce qu'il aimait ses couchers de soleil...

Mais le Petit Prince avait fini par explorer les étoiles, après s'être éloigné de sa chère Rose dont il était amoureux et dont les caprices lui en demandait trop. Il raconta à cet aviateur tous les portraits curieux qu'il avait rencontré dans les étoiles. Un roi sans sujet qui prenait tous les visiteurs comme tel, un homme qui ne demandait que l'admiration des autres, un alcoolique qui buvait par honte de boire, un comptable qui ne possédait que pour compter, un géographe qui ne s'aventurait jamais... un jour toutefois, il a rencontré une première personne qui ne pensait pas qu'à elle, allumant et éteignant les réverbères pour les autres. Et son long périple le mena sur la Terre, la plus grande planète qu'il ait pu découvrir, mais habitée de tous les portraits qu'il avait rencontré, comprenant que les adultes cessaient d'être des enfants en grandissant, creusant leurs défauts en perdant tout espoir et tous leurs rêves.

Ce monde immense était à la fois magnifique et effrayant. Il s'y sentait seul, perdu dans ce monde d'adultes sans imagination. Mais son coeur se brisa lorsqu'il découvrit un champs de roses, identiques à la sienne alors qu'elle lui avait juré être unique. Cependant, son chemin lui fit faire la plus belle rencontre qu'il ait pu avoir. Un Renard qui lui apprit toutes les valeurs de l'amitié et de l'amour. Qui lui dit que sa Rose était unique pour ce qu'elle était. Qui lui dit que l'amitié vient en apprenant à se connaître, à se respecter, s'apprivoiser, et pleurer en se quittant. Car même si ces bons souvenirs ont une fin, l'amitié est avant tout s'accrocher à ces souvenirs et les attentions que l'on a l'un pour l'autre. On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux, lui apprit-il. Alors le Renard et le Prince s'apprivoisèrent. Puis ils se pleurèrent en se quittant, car ainsi étaient faites les choses.

Ses rencontres étaient toujours curieuses, découvrant que lorsque l'on se libère du temps, on ne savait pourtant pas quoi faire de ce temps. Que les adultes courraient en vain sans savoir où aller. Puis il rencontra cet aviateur, qui lui offrit le mouton idéal qu'il espérait avoir pour l'aider contre les baobabs. Il accompagna cet homme perdu qui luttait pour rêver même s'il n'y arrivait plus. Au bout de huit jours, alors qu'ils trouvèrent enfin de l'eau, le Petit Prince lui dit qu'il lui fallait rentrer. Son monde lui manquait. Ses couchers de soleil lui manquaient. Sa Rose, bien que longtemps partie car seule et sans protection, lui manquait... Alors il voulu céder à la mort, qui allait le libérer et l'emmener à nouveau dans les étoiles. Il ne fallait pas que l'aviateur soit triste, car enfin serait-il chez lui.

Et avant qu'il ne puisse retrouver son astre, un nuage de magie recouvra tout son univers.

Léon et Goupil. Meilleurs amis depuis l'école primaire, inséparables, proches comme aucun ami que l'on connaissait. Ils pouvaient s'allonger des heures dans l'herbe, la tête de l'un sur le torse de l'autre, à regarder le ciel ou simplement s'endormir. Se prendre dans les bras pour se consoler quand tout le monde était trop gêné de le faire. Passer du temps à dormir chez les parents de l'autre, au point de paraître véritablement vivre ensemble.

Léon et Goupil. Goupil n'était pas son vrai prénom, mais son nom de famille. C'en était devenu son surnom, ça faisait rire Léon, donc ça faisait rire Goupil. Petit renard malin mais sage.

Léon et Goupil. Rien ne pouvait les séparer. La force du temps, des Dieux, de l'Apocalypse. Rien ne pouvait les séparer. Ils vivaient les meilleures aventures ensemble, avec leurs épées de bois et leur cabane en bois qui faisait office de cachette contre les envahisseurs imaginaires. Ils vivaient les meilleurs voyages dans la galaxie, sous les petites étoiles luminescantes au plafond de la chambre de Léon.

Léon et Goupil. Inséparables jusqu'au collège.

Les enfants arrêtaient déjà de rêver au collège. Léon et Goupil n'avaient pas arrêté eux. Mais lorsque le monde entier les pointait du doigt en se moquant de leur amitié, Léon commençait à avoir peur de ses rêves et imaginaires d'enfant.

Il avait cessé de prendre Goupil dans ses bras quand ils regardaient. Il avait cessé de laisser Goupil s'endormir sur son ventre quand ils regardaient. Puis il commençait à arrêter de rêver. Il n'y avait plus d'aventure contre les envahisseurs, même si Goupil continuait à les voir. Il n'y avait plus de voyages sous les étoiles même si Goupil continuait à les voir.

Un jour Léon avait refusé d'aller dormir chez Goupil. Un jour, Léon était allé à l'école en vélo sans attendre Goupil, comme chaque matin. Alors Goupil vint à lui, en pleurant, en hurlant, en voulant le frapper de lui faire tout ça.

Un jour Goupil ne vint pas à l'école. Léon partit en sortie scolaire sans Goupil puisqu'il n'était pas venu. Il passa du bon temps, autant qu'il le puisse. Et le soir ils rentraient. Plus tôt. Les parents attendaient tous les élèves avec pour instructions de se rendre au gymnase.

Léon se figea dans le bus. Et on vient à lui. Il est arrivé quelque chose à Goupil.
Léon se figea dans le bus. Il est à l'hôpital ?
On se figea devant Léon. Goupil n'est plus là.

Léon se figea. Puis il arriva tout l'inverse. Il fuya le collège, le gymnase et les parents. Il prit son vélo et se déchira les poumons pour aller chez Goupil.

Il ne vit qu'à travers la fenêtre une porte défoncée. Goupil n'était plus là.
Goupil ne serait plus jamais là. Car Goupil n'avait plus eu de raison d'être là. Alors Goupil avait décidé de ne plus jamais être là.

Et Goupil manqua terriblement à Léon qui avait définitivement perdu toutes ses raisons de rêver.

Léon se réveilla à l'hôpital, en 2022. Il s'effondra en larme, pour Goupil. C'était de sa faute, car il avait osé le repousser. Mais Léon ne se reconnaissait pas, dans cette histoire. Comment avait-il pu faire ça, à son renard ?

Son renard. Ses étoiles. Une autre vie avec Goupil. Avec une rose maintenant perdue. Avec un aviateur dans un monde immense.

Une troisième vie à présent, dans un monde tout aussi immense qui n'avait encore une fois que très peu de couchers de soleil. Storybrooke, comprit-il, mais il ne comprit rien d'autre, car personne ici ne parlait français. Que des adultes autour de lui, incapable de lui faire comprendre les raisons de son coma. Incapables de lui dire pourquoi ne pourrait-il plus voir Goupil, ne pourrait-il plus voir son renard.

Léon se mit à courir, car il ne trouva pas son vélo. A courir à se faire mal aux jambes et à perdre son souffle. A courir dans cette ville qui n'avait aucun sens. Et il ne trouva jamais la maison de Goupil. Jamais il ne put lui dire au revoir.

Il s'effondra sur une colline dans la forêt entourant la ville, à bout d'énergie. Il se laissa tomber entièrement, après avoir courru pendant des jours, des semaines, dormant à peine dans un coin ou un autre. Il finit par observer un coucher du soleil, depuis cette colline. Alors il se releva. Difficilement, marchant doucement entre les arbres de Storybrooke. Il trouva alors un Observatoire laissé à l'abandon, car plus aucun adulte ne prenait le temps de rêver sous les étoiles.

Lui il aimait les étoiles.
Goupil aussi, aimait les étoiles.

Il se laissa glisser contre un mur, et s'effondra en larme. Il n'y avait plus rien à aimer. Il suffisait de le regarder, il n'était plus un enfant. Tous ces sorts l'avaient fait grandir, l'avaient éloigné de ses étoiles, de ses amis. De Goupil.

Léon ne pourrait plus jamais rêver. Léon ne pourrait plus retrouver aucun chemin.

Alors il décida à son tour qu'il ne voulait plus être là. La mort l'emmènerait dans ses étoiles, il l'avait dit à l'aviateur.

Il se laissa. Il n'allait plus être là.

Mais avant de partir, une main se posa sur la sienne. Goupil posa sa tête contre son épaule. En s'apprivoisant, tu as besoin de moi. Et moi j'ai besoin de toi, lui souffla-t-il dans l'oreille.

Léon cligna des yeux entre ses larmes et Goupil n'était plus là.
Goupil n'avait jamais été là. Ce coma n'était qu'un long et cruel rêve. Goupil n'était pas perdu. Goupil était peut être encore là, après tout.

Alors il se releva, dans cet Observatoire abandonné, et leva les yeux vers le ciel. Malgré les nuages, ses yeux pouvaient toujours voir les étoiles. Mais il les ferma. L'essentiel est invisible par les yeux, on ne voit bien qu'avec le coeur.

Mais ce qu'il voyait avec son coeur, à cet instant, aurait tellement été important, près de ses yeux... Et il continua de laisser couler ses larmes.

Mais pour Goupil, pour le retrouver un jour dans ce nouveau monde, il devait continuer de rêver. Il devait redonner vie à cet Observatoire. Il allait essayer, et redonner à Storybrooke la vision des étoiles.

Car fut un temps, seul lui et Goupil ne voyaient les étoiles vraiment comme elles étaient. Et peut être qu'ici, il retrouverait son meilleur ami. Son renard. Il ne parlait pas la même langue que cette ville, mais rêver était un tout autre langage.

Car l'essentiel est imperceptible par nos sens. On ne voit bien qu'avec le coeur. Et puisqu'à présent ce n'était plus des adieux, son coeur continuerait de pleurer, jusqu'à nouveau pouvoir rigoler avec le Renard qu'il avait apprivoisé. Le Renard qui l'avait apprivoisé.

Lempika

Administration → Code listing avatar à remplir : Code: ☆ Thomas Brodie-Sangster ➸ [url=http://www.ouat-storybrooke-rpg.com/u2502]Léon Adonis[/url] → Est-ce un poste vacant ? : Non → Code listing personnage et conte : Code: ☆ Le Petit Prince ➸ [url=http://www.ouat-storybrooke-rpg.com/u2502]Petit Prince[/url] → Multicompte ? : Dyson R. Parr & Icare J. Skellington Entre nous → Pseudo / Prénom : Dydy → Votre avis sur le forum : Dirigé par un capitaliste qui ne paye pas ses employés mais qui réussit quand même à faire en sorte qu'on l'aime bien : Satan Sebounet → Comment l’avez vous découvert : Je cherchais un endroit où quelqu'un pourrait m'arnaquer → Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Léon Adonis est avant tout magique, n'étant que prince par symbolique → On dispose d'un groupe de discussion MESSENGER où sont réunis les joueurs de Disney Rpg. Souhaitez vous qu'on vous ajoute à la discussion ? : J'y suis déjà, et j'y suis un pilier → Le mot de la fin : Tu veux être mon renard ?

Vas-y moi je veux bien être ton renard

Re-bienvenuuuue avec ce personnage monsieur j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire, le Petit Prince, c'est follement intéressant comme adaptation

Tes petites réponses dans le "entre nous" m'ont tué

Attention parce que le Renard sera un vrai PV magnifique que j'attends vraiment alors je pourrais te prendre au mot

Merciiii j'avoue que la fiche va être super triste mais la tristesse mène toujours vers de plus belles humeurs ensuite

Rebienvenu ^^

Merciiii
Et j'ai fini ma fiche

re-bienvenue parmi nous

Et moi qui croyait que tu cherchais un endroit ou te faire maltraiter  ! J'ai pas bien fait mon job c'est ça boulet adoré ? 

Re bienvenue Je peux pas être son renard mais s'il cherche quelqu'un qu'il comprendra sans doute jamais tu sais ou me trouver.
En tout cas, hâte de le croiser en rp Kalika devrait lui plaire par contre.

Merci Gina

@Kath, me faire arnaquer c'est de la maltraitance aussi ça doit être lié
merciiii
OMG la rencontre improbable, déjà qu'il doit réapprendre à rêver, vas y qu'il rencontre la reine des cauchemars
Je connais pas Kalika c'est la gentille ?

Léon Adonis a écrit:

Merci Gina

@Kath, me faire arnaquer c'est de la maltraitance aussi ça doit être lié
merciiii
OMG la rencontre improbable, déjà qu'il doit réapprendre à rêver, vas y qu'il rencontre la reine des cauchemars
Je connais pas Kalika c'est la gentille ?

Si tu le dis.

Comment ça la reine des cauchemars ? C'est une supposition injustifiée qui ne repose sur aucune preuve concrète. Et puis même si c'était le cas, imaginons, tu veux qu'ils échangent ? Non, je ne vois pas le problème alors, il apprendra avec elle tu verras.
Ca veut dire quoi ça ? Le prochain qui sous-entend que je joue que des psychopathes je lui envoie Mina pour qu'elle s'occupe de son cas non mais !

Sinon, tu verras bien qui est Kalika en rp mais oui, on peut dire qu'elle est nouvelle.

Je veux pas traumatiser mon pauvre Léon
Dyson est là pour être traumatisé en revanche et depuis Close, le film hyper triste que j'ai vu à Cannes, qui m'a inspiré la fiche de Léon, j'ai aussi d'autres trucs prévus sur un an pour traumatiser Dyson à l'avenir alors vas y avec il est plus à ça près