« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
La famille Soma cache un terrible secret, certains de ses membres sont maudits par les signes du zodiaque chinois. Les parents de ces derniers ont souvent des problèmes quand à leurs enfants. Ainsi, beaucoup disait qu’Isuzu avait de la chance puisque ses parents l’aimaient beaucoup et que sa famille était heureuse. Ce n’était pas le cas de beaucoup de famille de « maudits ». Isuzu était heureuse et s’amusait beaucoup à ses parents. En tout cas, jusqu’à ce que tout vole en éclat. L’enfant avait demandé pourquoi ses parents étaient toujours aussi heureux. Une demande innocente et enfantine qui fit voler sa vie en éclat. Sa vie changea alors du tout au tout et il sembla que ses parents soient incapable de remettre se masque d’amour, se montrant violent avec elle, que cela soit physiquement ou moralement.
La situation chez elle a grandement affaiblit son état de santé. Le stress lui causa même des ulcères à l’estomac, mais cela passait bien souvent sur une santé fragile. L’enfant était persuadée que c’était elle la coupable. Finalement, cela lui a provoquer un malaise en pleine rue. Par chance, un autre Soma était là. Hatsuharu. Elle se souvenait de lui, ils avaient beaucoup jouer ensembles avant que tout ne change dans sa vie, quand elle était encore heureuse. Elle sombra dans l’inconscience à nouveau.
Quand elle repris conscience, elle était à l’hôpital et elle se mis à paniquer, elle ne voulait pas que cela cause le moindre problème vis à vis de ses parents, mais il était déjà trop tard. Ils avaient entendus et il n’en fallu pas plus pour qu’ils la rejette totalement, la mettant pas la même occasion à la porte de chez elle. Ils n’en fallu pas plus pour qu’Haru ne se mette en colère et ne face des reproches aux parents, tentant de défendre Rin. Cela ne changea hélas rien.
Isuzu a été envoyée vivre chez Kagura, mais ce n’était pas aussi simple. Elle avait été brisée et pour elle un foyer aimant n’était pas quelque chose de normal, alors vivre dans une telle famille était rapidement insupportable pour elle. A partir de là, Hatsuharu est venu lui rendre visite. Avec lui, c’était différent, elle ne souffrait pas en sa compagnie. C’était un moment de calme malgré le traumatisme qui menaçait toujours de prendre le dessus. Quand ce dernier allait rendre visite à Yuki, elle l’accompagnait, mais restait toujours dans son coin. Puis, quand elle entendait quelqu’un approcher, elle faisait en sorte qu’ils s’en aillent, se cachant derrière de la froideur. Si elle rejetait la présence des autres, elle faisait tout pour protéger Haru.
Ces moments de calme et même de sérénité aux cotés l’un de l’autre leur permis de se lier énormément… Jusqu’à ce qu’ils ne s’avouent leur amour et se mettent en couple. Elle a alors commencé à sécher les cours et à ne pas rentrer chez Kagura pour passer du temps avec lui quand elle le pouvait. Il fallait dire qu’il n’y avait qu’avec lui qu’elle arrivait à être sereine et à dormir profondément. Puis, peu à peu, elle s’est rendu compte qu’elle devenait dépendante de la présence d’Hatsuharu à ses coté. Cependant, Akito appris leur relation et n’a pas apprécier du tout. Il a convoqué Rin et l’a confrontée. Isuzu a alors tout pris sur elle pour protéger Haru de la colère du chef de famille. Elle a prétendu être celle qui avait initié leur relation. Il a alors commencer à s’en prendre à elle, réveillant ses traumatismes sur lesquels Akito à bien insister, cherchant à la briser encore plus mentalement avant de la pousser du second étage.
A nouveau, elle fut hospitalisée et pris de graves décisions. Elle n’accepterait plus que personne ne l’aide, quitte à prendre tout sur elle. Isuzu a décider de rompre avec Hatsuharu pour le protéger… et aussi parce qu’elle ne s’estimait pas digne de lui et de sa gentillesse. Sa dernière décision : tout faire pour briser la malédiction et libérer Haru. Elle continua à vivre chez Kagura, continuant à sécher et à disparaître certains jours pour ne pas rentrer… Isuzu s’est mit en tête de rencontrer Thoru pour l’empêcher de briser la malédiction en étant violence avec elle… c’était plus fort qu’elle. C’était sa façon de protéger cette personne trop gentille. Cependant cette gentillesse rendait Rin vulnérable et cela l’a poussé à la rejeter.
Cependant, le passé d’Isuzu la marquait au fer rouge et elle fit une grosse crise d’angoisse devant Thoru à cause d’un syndrome de stress post traumatique. On lui proposa de l’aide… une aide dont elle avait besoin. Mais une aide qu’elle refusait. Elle voulait simplement la solitude et se débrouiller par elle-même. Cependant, elle avait finit par fondre en larme dans les bras de Thoru, cédant un peu à cette amitié qu’elle lui proposait…Une amitié qui se doubla d’une aide pour vaincre la malédiction des Somas.
Elle se mit à veiller sur Thoru dans l’ombre. Elle assista ainsi à sa rencontre avec Kureno et vit son amie pleurer. Aussitôt, Rin voulu régler les choses avec lui… mais ce ne fut pas lui qu’elle trouva, mais Ren, la mère d’Akito. Cette dernière lui annonça pouvoir l’aider dans sa quête en échange d’un objet que gardait son enfant. Cependant, elle fut prise la main dans le sac et enfermée dans le pavillon du chat où elle s’est trouvée plus brisée que jamais. C’est Kureno qui est venu la libérer et l’a emmener à l’hôpital… Bien rapidement, elle a essayer de fuir quand une fumée violette l’a entourée.
A Storubrook, il n’y avait plus vraiment de clan Soma ou de malédiction du zodiaque. Cela aurait pu être une réussite, mais elle n’en avait pas conscience. Ici, elle n’a pas eut une meilleure vie pour autant Ici aussi sa famille fut heureuse durant les premières années de sa vie. Elle avait beaucoup d’amis et vivaient heureuse jusqu’à un évènement. Isuzu ne se souvient pas ce qui s’est passé à ce moment là, mais elle avait huit ans et l’amour sembla quitter son foyer. Était-elle responsable ? Elle l’a longtemps penser. En tout cas, le monde extérieur ne vit pas de changement et ce qui se passait chez elle, restait chez elle. Pour tout le monde, ils étaient une famille parfaite et heureuse… Mais dans le privé, Isuzu a toujours trembler en entrant chez elle. Est-ce que ses parents allaient bien ? Allaient ils encore lui faire retomber leur frustration dessus alors qu’elle tenterait de se faire oublier et de juste tenir le coup.
Pour autant, ses mauvais traitement l’ont souvent amené à l’hôpital, mais rien n’a transpercer, son dossier laissant simplement savoir qu’elle avait une santé fragile. Bien sûr, elle sait bien que c’est à cause des abus de ses parents… Mais elle a toujours tenu sa langue et prétendait juste que tout se passait bien et qu’elle était heureuse chez elle. Isuzu ne pouvait pas dire la vérité, elle était trop effrayée et traumatisée pour oser parler à d’autres de ce qui se passe vraiment chez elle. Elle avait trop peur de la façon dont cela allait finir par retomber sur elle.
Cela continua ainsi jusqu’à ses douze ans et une nouvelle hospitalisation. Encore une fois, elle avait voulu faire comme si tout allait bien, mais les services sociaux s’étaient emparé de l’affaire. Isuzu n’avait alors rien pu faire d’autre que de laisser l’état faire son travail. Des mauvais traitements avaient été signalés par les médecins et on l’envoya voir un psy qui établi qu’elle avait eut à subir de nombreux traumatisme. Il fut donc décidé de l’enlever à ses parents pour la placer chez de la famille éloignée. Cette famille avait déjà une fille qui avait à peu près le même âge qu’Isuzu, on pensait qu’ainsi, elle pourrait facilement s’intégrer… mais ce n’était pas le cas.
La jeune fille ne pouvait que se montrer solitaire, incapable de tisser le moindre lien avec sa nouvelle famille. Ils était trop gentils et elle ne croyait plus en la gentillesse. Pour tenté au mieux de l’aider, on la força à voir toute une batterie de spécialiste. Elle n’aimait pas les blouses blanches, mais elle n’avait pas le choix. Finalement, le verdict tomba : Isuzu souffrait d’un syndrome de stress post-traumatique. Sa famille d’accueil mit alors tout en œuvre pour pouvoir l’aider, mais ce n’était hélas pas suffisant. Surtout qu’elle ne voulait pas d’aide et qu’elle se braqua et se ferma totalement sur elle-même. Sa vie près de ses parents avait complètement détruit son estime de soit, ainsi que sa vision d’une famille. Pour elle, une famille gentille et aimante, ce n’était pas normal !
Il n’en fallu pas plus pour qu’elle s’isole, refusant de partager ses soucis avec qui que ce soit. Elle se mit également à sécher les cours de plus en plus… La phobie scolaire. Dès qu’elle mettait les pieds dans les couloirs du lycée, elle se sentait angoissée et oppressée… Il lui ai même arrivée de faire des crises d’angoisse et de devoir s’enfermer dans les toilettes en attendant que ça passe. Izsuzu a besoin d’aide, elle le sait, mais elle est trop fière pour demander de l’aide à qui que ce soit et suffisamment solitaire pour continuer encore et toujours à se débattre seule… Puis, les souvenirs revinrent en un flot qui la submergèrent et la plongèrent dans l’angoisse.
Le retour des souvenirs ne fut vraiment pas ce qu’il y avait de plus agréable. Le retour de tous ses souvenirs la plongea dans un profonde crise d’angoisse. Ce fut un véritable cauchemar pour elle. Mais maintenant, elle se souvenait de tout, son vrai passé, sa malédiction (Est-ce qu’elle était encore présente ?), mais aussi sa famille. Tohru, qu’elle espérait avoir une belle vie, Akito, ce serait mieux pour tout le monde qu’il ne soit pas ici lui aussi… et bien sur Hatsuharu. Son coeur se serra dans sa poitrine alors qu’elle se souvenait de celui qui avait été possédé par le bœuf.
A nouveau, elle sentait le lien de la malédiction, fil tendu qui les unissait à leur « Dieu ». Elle aurait pu retrouver sa famille, mais une part d’elle était déchirée par tout cela. Isuzu se disait que c’était l’occasion de prendre enfin sa vie en main et, peut-être d’aller mieux. Même si elle avait toujours beaucoup de mal à accepter qu’on l’aide, elle décida de prendre sur elle, il fallait qu’elle se reconstruise pour pouvoir vivre, vraiment, loin des Soma et des Douze… Et pourtant, il y avait Hatsuharu… Une part d’elle voulait revoir celui qu’elle aimait. Elle voulait savoir si il avait pu être heureux… et elle voulait voir ce qu’il en était pour la malédiction…
Ce fut cette réponse qu’elle obtint le plus rapidement. Quelque chose était encore là, ce lien… Il fallait vraiment trouver comment le briser, encore et toujours, elle voulait sauver Haru…
>>> Isuzu a décidé de demander de l'aide pour essayer d'aller mieux. Ainsi, elle pris rendez-vous avec Déborah Gust, une Coatch de vie... mais le moins que l'on puisse dire fut que la rencontre ne se passa pas bien et le coatching s'arrêta avant même d'avoir commencer.
>>> Suite à une journée un peu fatiguante, Rin a fait la rencontre de Lucy... Ni amicale, ni hostile, on ne pouvait pas dire que cette rencontre changera sa vie, mais au moins, cela lui a permit de sociabilisé un peu.