Willy était donc à l'école et Le policier avait donc la journée devant lui vu qu'il ne travaillait pas. Il se demandait par ailleurs ce qu'il allait bien pouvoir faire de sa peau. Il s'était donc poser sur sa chaise et avait décidé de boire une verre de whisky. S'était quelques choses de typique chez le démon, le whysky n'avait aucune effet néfaste sur lui déjà parce qu'il était écossais et aussi parce qu'il éliminait l'alcool rapidement. Portant donc le verre à sa bouche, le liquide ambré était en train de couler, il pouvait par ailleurs sentir la chaleur l'envahir s'était si agréable. Portant donc son attention sur son ordinateur et surtout l'emploi du temps qu'il allait avoir quand il reprendrait le travail et surtout l'emploi du temps pour les cours de self défense. Il s'était donc proposer pour leur venir en aide. Sylvester avait trouver cela intéressant de venir en aide à autrui tout en enseignant sa discipline.
Sylvester apprécier réellement l'art du bâton lus communément appelé le bō-jutsu. Bien qu'il s'y connaisse dans d'autre discipline. C'était d'ailleurs un très bon professeur parfois, il s'étonnait lui même/. Passant donc la souris, il imprimait les fiches de son emploi du temps pour les mettre contre son frigidaire américain. Parce que bon même si Sylvester était un policier avant tout il était Duc, et avait suffisamment amasser de fortune pour être très très riche. Il avait d'ailleurs plusieurs appartement en centre ville pour se créer le sien et le rez de chaussés se trouvait être le nouvel emplacement du Sylver et Gold. Pour cette raison, il ne se trouvait pas très loin de son second travail qui était donc de vendre des artefacts, un peu comme l'autre dont il avait zappé le nom.
Certains produit était des contre façon, ironie pour un policier mais, ce dernier avait une raison de leur faire puisqu'il avait une couverture entre temps. Le fait qu'il ait été un méchant de haute envergure facilitait son deuxième job. Se redressant donc de sa chaise, il avait du travail à fournir, descendant donc dans sa boutique. Passant un main dans ses cheveux, Fenrir l'avait donc suivi. Prenant place donc dans son arrière boutique par chance, la furie n'était pas revenu et s'était tant mieux pour lui entre temps, il avait fait des recherche sur elle, elle était donc la conservatrice du musée de Storybrooke. Pas étonnant qu'elle s'y connaissait en matière d'art ou de contrefaçon. Il avait donc passé sa journée au téléphone, une activité guère passionnante, et Richard n'était pas la pour prendre sa place parce que MONSIEUR devait être en intervention. Portant donc son regard sur la pendule, c'était bientôt l'heure d'aller chercher son fils, il ne s'était pas fait prier pour y aller. Ayant récupéré le petit, il avait donc une idée.
Une fois près Sylvester avait décider de profiter de la fin de journée, il avait eu un jour de repos comme il bossait tout les jours sans rien demander. Du coup il était forcé de prendre au moins un jour de repos. Mais ne supportant pas de ne rien faire. Et que Willy ne tenait pas en place en même temps à 6 ans... enfin presque 6 ans au mois d'aout ce sera le cas. Fenrir attendait qu'une seul chose, c'était de bouger. L'heure de la promenade avait d'ailleurs sonné. Généralement, Sylvester ne mettait pas de collier ou harnais à son chien, il pouvait donc vaguer normalement puisqu'il écoutait au doigt et à l'oeil. Sylvester n'avait même plus besoin de parler pour se faire comprend, Fenrir et lui était comme connecté. Willy avait donc mit sa veste, une veste plutôt légère comme les température était plus agréable.
Sylvester avait donc tout prévu donc le gouter pour passer du bon temps. La joyeuse famille était donc parti pour le parc. Une fois sur place, Sylvester avait laisser son chien géant vagabonder près d'eux. Willy était en train de courir en compagnie de Fenrir, Sylvester esquissa un sourire le laissant faire avant que Willy ne monte sur le dos de Fenrir.
Fait attention Willy ! Continuant son chemin, Willy et Fenrir était donc aller vers un enfant, un enfant que Willy connaissait. Sylvester s'avança aussi, il l'avait reconnu pour avoir emmener souvent son fils, d'ailleurs sa mère aussi. Fenrir avait redressé les oreilles en voyant le chien.
Tout doux Fenrir portant sur eux son regard.
Veuillez excusez mon chien, il se méfie rapidement mais, il n'est pas mauvais. Sauf s'il lui en donnait l'ordre.
Je vois que visiblement ont a eu la même idée après la sortie de l'école. Dit-il en souriant.
acidbrain