« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
“Parfois, il faut neuf mois pour se rendre compte qu'on a fait une erreur.”
« L’enfant n’était pas de lui, mais du concierge. Tu vois je t’avais dit que ça serait loufoque. »
Neuf mois avaient passés, et John était redevenu officiellement mon assistant. J’avais comme d’habitude, menti ouvertement, en lui promettant une enquête faramineuse. C’était une enquête, simple, dont j’attendais le terme de l’accouchement pour y mettre un point final. J’avais à moitié menti. Elle n’était pas loufoque. Mais c’était une enquête. « Ne fais pas cette tête, voit le bon côté des choses. Certes c’est calme en ce moment, mais ta jambe va mieux. »
J’étais assis dans mon fauteuil, me servant d’un de ses petits gâteaux dont seul Madame Hudson avait le secret. Ils étaient merveilleux. J’étais vraiment heureux comme un pinçon. John habitait ici, il était de nouveau mon assistant, et nous à nouveau nos petits rituels. C’était une très bonne avancée. Par contre, c’était calme. Vraiment, très calme. « On pourrait... »
Je regardais dehors, il faisait un temps à rentrer tous les chiens. Je soupirai. On allait bavasser. Autrefois, je n’y prenais pas tant de plaisir, mais maintenant que j’étais en face de John, j’appréciais les choses à leurs justes valeurs. « Parler, de tout, de rien, de toi, de moi de... »
J’allais dire « de nos vies sentimentales ». Parce que j’en avais une maintenant. Enfin, ça restait quand même complexe. Je voulais plutôt savoir si John avait trouvé quelqu’un. Mais je n’eus pas fini ma phrase, que quelqu’un rentra sans frapper, et s’avança dans le salon. Il n’y avait qu’une seule personne pour rentrer sans frapper. « Quel beau tableau. C’est presque touchant. » dit-il d’un ton mordant.
Avec un soupire, je mangeais un gâteau supplémentaire. Mycroft qui se tenait devant moi avait toujours eu un problème avec la nourriture. Je le soupçonnais d’ailleurs de se faire vomir pour garder la ligne. Il regarda les pâtisseries avec un regard de roquet. J’avais bien fait d’en prendre une de plus.
« Quel bon vent t’amène ? Tu as senti les pâtisseries de Madame Hudson ? »
Je le regardais, acide. Je savais qu’il n’aimait pas spécialement qu’on lui fasse remarquer cette tare chez lui. Mais c’était tellement plaisant de le faire un peu souffrir. Ca changeait. Il pivota, et regarda John. « Docteur, je vois que vous avez repris vos fonctions. J’en suis soulagé. Sans vous, il devenait… Comme il allait vieillir. Sec, méchant, antipathique. »
Je faillis m’étouffer avec un gros morceau de gâteau. Je pris du thé pour avaler mieux et je me contentais de le foudroyer du regard. « Tu n’as pas répondu à la question première, Mycroft. Quel bon vent t’amène ? »
Il se mit à soupirer, et resta debout, appuyé sur son parapluie. Visiblement, il cherchait ses mots. Ou peut être cherchait-il un fauteuil. D’un air amusé, je lui désignais le canapé, réservé habituellement à nos clients. « En réalité… J’ai un problème… Et seul vous pouvez m’aider. »
Mes yeux s’agrandirent. Que Mycroft Holmes est besoin de nous, n’avait qu’une seule chose valable à mes yeux. On allait avoir un enquête ! Un mystère vraiment merveilleux et surprenant ! Je m’installais confortablement dans mon fauteuil avec ma tasse, et lui désignait à nouveau le canapé. « C’est là bas, comme tous nos clients. »
Visiblement, il s’en offusqua, et leva son parapluie d’un air menaçant vers moi.
« Sherlock, c’est important ! Je n’ai pas le temps de jouer contrairement à toi. »
Je roulais des yeux. Je fis un mouvement circulaire de la main, qui signifiait clairement que s’il avait envie de continuer à m’accabler, qu’il le fasse. Un léger sourire en coin, en revanche, je le fixais. Finalement, à contre coeur, il s’assit d’un air un peu pompeux dans le canapé. « Voilà. Je ne demande de ne pas vous juger, j’ai fait cela pour sa Majesté, mais, il y a neuf mois... »
Brusquement, je le coupais, me levant et pointant John du doigt. « Tu vois ! Je ne t’avais pas menti ! Dans neuf mois, ça sera sensationnel ! »
Je frappais dans mes mains, et Mycroft tourna un regard vers moi, alerte et, comme il ne m’en avait que rarement accordé dans sa vie, triste. Mais je voyais qu’au fond de ses yeux, une lueur brillait. « Tu es au courant ? Comment ? »
Je regardais John, et croisait les bras.
« Je veille sur mes proches. C’est la deuxième fois qu’on fait ce reproche caché cette semaine. Je ne parlerai pas sans avoir des excuses. Et quand tu auras terminé ces dernières tu feras comme tout le monde. Tu raconteras ton histoire, je ferai semblant de ne pas m’y intéressé alors que j’établis des hypothèses pendant que John te posera des questions plus ou moins pertinentes. »
John Watson
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“Parfois, il faut neuf mois pour se rendre compte qu'on a fait une erreur.”
Mycroft ouvrit la bouche. Il se tourna vers John, puis moi. Je savais qu’il avait mille répliques cinglantes à nous dire, mais qu’en même temps, il valait mieux pour lui qu’il se taise car il venait nous demander notre aide. J’étais dans un état d’excitation comme jamais. Voir mon frère ainsi à nos pieds était quelque chose de sensationnel. Ca nous arrivait rarement. Il baissa les épaules et la tête. Je connaissais sa tactique, il allait nous apitoyer, il était très fort à ça. « Ne le regarde pas John, il va essayer de nous apitoyer. »
J’avais des mots durs, mais je savais pourquoi je les disais. Finalement, Mycroft releva la tête d’un geste sec et fit une horrible grimace. Une dont lui seul avait le secret. « Tu n’as donc pas de coeur. »
Je le fixais. « J’ai un esprit, c’est toi même qui m’a appris ça. » répliquais-je.
Il y eut un moment de silence, puis finalement ; Mycroft ricana. Enfin, il s’installa dans le canapé et soupira en croisant les jambes. La comédie était terminée, et il allait raconter son histoire. « Bien, l’affaire est très simple. Alors que j’étais en mission d’infiltration, sous l’identité d’un concierge... »
Je regardais John, avec un grand sourire. Je lui avais dit que c’était le concierge. « … j’ai eu une aventure, avec une dame de l’immeuble. Il se situe dans le Quartier Nord de la ville. Je tairai son nom, et sa fonction. Mais ça ne devrait pas vous posez de problème puisque... »
Je le coupais, encore. J’adorai ça. « Je suis déjà au courant, oui. Mais ça, c’est sans importance. Continue. » « La jeune femme a réussi à m’entraîner dans ses mailles de filet. Et tu sais pourtant Sherlock que je n’y suis absolument pas sensible. Bref. Se passa ce qu’il se passa, et figurez vous, qu’aujourd’hui, elle prétend que je suis le père de l’enfant à naître or… Sherlock, tu le sais comme moi, c’est impossible. »
Je regardais John, c’était lui, après tout, l’expert médical. « Vasectomie. »
Je lui fis signe de poursuivre, d’un air assez enjoué. Même s’il n’y avait vraiment pas de quoi s’amuser. Sauf peut être de voir mon frère dans cette situation. « Bref. Aujourd’hui, elle prétend que le concierge est le père. Ce qui est absolument faux, puisque c’était moi, et irréalisable. Son mari a entamé une procédure de divorce, mais… Visiblement, ne veut pas s’arrêter là. Il compte l’éliminer, elle et l’enfant. Aussi, elle est aujourd’hui sous ma protection. Je l’ai caché et... »
Je le coupais. « Et tu continues avec elle. Tu sens son parfum. »
Il fit comme s’il n’avait absolument rien entendu. « Et je fais appelle à vous pour démêler cette affaire. Sherlock sait très bien que lorsque je suis impliqué, je ne suis pas très bon. »
Je me gardais de lui dire qu’il n’était pas bon tout court, mais ça, je crois que tout le monde dans la pièce le savait à part lui. Toujours les jambes croisées, il me regarda et regarda aussi John alternativement. « … Je veux donc savoir, pourquoi elle s’est placé elle même dans cette situation très délicate. On n’agit pas volontairement de la sorte sans explication sensé, et c’est ce que je suis venu trouvé ici. Vous n’en saurez pas d’avantage. »
Je roulais des yeux. Bien sûr qu’on allait en savoir d’avantage. Car j’avais récupéré mon super assistant, maître des questions perspicaces, cachés et habiles. Le célèbre John Watson. Je me tournais d’ailleurs vers lui, pensif. « Hm… Tu en penses quoi John ? Est ce que ça vaut la peine de faire appel à nos services. Nous sommes très occupé. Le chat de Mrs Smith est introuvable. Un vol de sardine a été commis à l’épicerie et le propriétaire nous a demandé de l’aider dans son enquête… »
Je me tournais vers John. La stratégie était simple, d’abord on se faisait désiré, ensuite il poserait des questions.
John Watson
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“Parfois, il faut neuf mois pour se rendre compte qu'on a fait une erreur.”
Assis dans mon fauteuil, je regardais John. J’avais envie de lui faire un bon tcheck. Comme les jeunes. J’étais tellement content qu’il soit de retour. J’étais aussi véritablement ravi qu’il soit là pour une enquête aussi… Particulière. En réalité, avoir mon frère dans le creux de ma main, et John en complice me rendait vraiment fou de joie. Aussi, je me levais et frappais dans mes mains. « Alors ! Des détails ! »
Mycroft fit une grimace, puis déclara : « J’ai dit que je n’en dirai pas d’avantage. J’étais en mission secrète pour un prestataire privé. Qui paie pour mon silence. Et si tu veux les positions, c’est hors de question. »
J’ouvrai la bouche. Faisant semblant d’être littéralement choqué par les propos de mon frère. Il avait anticipé ma prochaine question. Enfin, ma prochaine fausse question qui avait pour unique objectif de me moquer éperdument de lui. Toujours debout, je pivotais vers John. « Et bien, une enquête qui va resté dans nos archives... »
Je sentais Mycroft se dandinait. C’était bientôt dans la poche. Il avait toujours agi comme ça. Je voyais que ça le dérangeait. Finalement, il se mit à déclarer d’un air un peu sombre : « Bien… Très bien Sherlock... »
Avec une lenteur infinie, je m’approchais de lui, mesurant une petite cadence surexcitée. « J’étais dans cette immeuble, car je devais récupérer des informations concernant le propriétaire du dessus. Ce dernier est un concurrent direct de mon client. Je devais simplement récupérer des informations compromettantes le concernant. J’ai répondu à un appel d’offre concernant un poste de concierge, et j’ai mis plusieurs semaines à établir cette couverture. J’ai commencé par espionner, tu connais mes techniques... »
Je l’observais, alors que j’allais chercher mon violon et mon archer. Tout en l’écoutant, je commençais à l’accorder, et je lui répondis comme si de rien n’était. « Courrier, écoute aux portes, mises en place de micro. C’est brillant, puisque le concierge a accès à tout... »
Mycroft sembla assez fier du compliment. Je jouais une fausse note exprès, ce qui eut pour effet de lui faire faire une grimâce horrible. J’adorai ça. « Entre autre. Puis, j’ai commencé à rentrer dans mon personnage. Et cette femme… J’ai été négligent. Je pense que la prochaine étape est... »
Je le coupais, tout en jouant plusieurs accords de la Valse de Vienne. « Rançon ? Certainement, mais pas sous forme d'argent. Surtout qu’il est difficile de prouver que tu es stérile dans la mesure où… Tu n’étais pas sous ta véritable identité. »
Je continuais à jouer, tout en observant John alternativement.
« Tu en penses quoi ? »
Je cessais de jouer. Mycroft tourna la tête vers John. Il avait toujours accordé beaucoup d’importance à son analyse. Et il avait raison. John pensait comme quelqu’un de normal. Et c’était souvent ça qui nous faisait défaut, nous autres Holmes. Finalement, avant qu’il ne puisse répondre, je poursuivais. « En réalité, la question n’est pas… Est-ce que tu es vraiment le père… Mais plutôt… Pourquoi fait-elle ça ? Quel est son intérêt ? Je veux dire… Tu es un concierge à ses yeux. Et si elle a les moyens de se payer un appartement dans les quartiers Nord, je doute sincèrement qu’elle soit dans le besoin. Non, quelque chose m’échappe… C’est… un peu insensé. Mais j’aime ça. »
Je me tournais vers John, pour savoir ce que lui en pensait. Mycroft lui, soupira : « Content que tu en sois au même point que moi. C’est vraiment rassurant Sherlock, franchement, j’ai bien fait de venir. » dit-il en souriant d’un air sarcastique.
Je levais le doigt. Menaçant. « John. Est-ce de l’ironie ? »
Je commençais tout juste à identifier quand quelqu’un faisait de l’ironie. C’était important de savoir si mes nouvelles connaissances en la matière portaient leurs fruits.
John Watson
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“Parfois, il faut neuf mois pour se rendre compte qu'on a fait une erreur.”
J’avais finalement répondu à la place de Mycroft. Par une question, plutôt que par une réponse. J’avais écouté avec attention tout ce qu’il avait dit. Sur les relations conjugales, John était expert, et je mettais au même niveau son expertise médicale que son expertise conjugale. « Pourquoi l’être humain est-il le seul à avoir qu’un seul partenaire ? Enfin, je veux dire l’homme occidental. Je trouve ça étrange, alors que la majorité des animaux, dont ceux proche génétiquement de nous n’en sont pas là... »
J’avais arrêté de joué, et je me grattais le crâne tout en réfléchissant moi même à propre question. Oui, ça m’arrivait souvent, ce genre de chose. « C’est curieux d’ailleurs. Tromper quand la relation ne va pas. Hm.. »
Est-ce que Nora allait aussi me tromper ? C’était étrange. Nous n’avions pas de relation, c’était vrai. Donc, si on avait pas de relation, ça ne risquait pas d’arriver. J’étais soudain plus soulagé. Mycroft, lui, balaya mes propos d’un revers de la main et me fit une grimace agacé. Pourquoi je l’énervais ? Il venait me demander de l’aide après tout ! « Vous soulevez un point important, Dr Watson. Au départ, j’ai cru que ma couverture était tout simplement percée à jour. Et qu’on m’avait joué un tour, afin de me faire comprendre d’arrêter et d’affirmer à mon employeur que la mission était une échec... »
Je l’écoutais avec passion. Les histoires d’amour, surtout complexe, ça m’avait toujours passionné. Pourquoi ? Parce que j’adorai les mystères. Et il n’y avait pas plus mystérieux pour moi qu’une histoire d’amour. Tout simplement parce que, quand on y réfléchissait… Je n’y comprenais absolument rien. « Mais, ce n’était pas le cas. Oh, ma mission d’espionnage était un cuisant échec. Et... »
Je le coupais, sèchement. « Mycroft, pourquoi tu te moques de nous ? Tu nous as parlé être en mission pour un prestataire privé, mais avant tu nous as parlé de sa Majesté. Je n’y comprends rien du tout. Explique toi. »
Mycroft m’observa, puis sans un mot pivota son regard vers John. Enfin, il me regarda encore dans les yeux. Sa main chercha quelque chose dans sa veste, avec une lenteur infinie puis… « Je suis nerveux. J’ai le droit non ? »
Il tira une cigarette, et l’alluma. Puis il me regarda et reprit d’un ton détaché. « Prestataire privé issus de la couronne, si tu veux des détails. Mais ce n’est pas le plus important, le plus important, ce sont les conséquences et... »
Je l’observais un moment. Puis, je regardais John. Alors, je me levais et je regardais la fenêtre, dehors. Mon regard se déplaça, de plus en plus. De gauche à droite, puis de droite à gauche. Finalement, j’observais toute la ruelle. « Mascarade ! »
Je me tournais vers John, et je levais les mains. Je désignais Mycroft en le pointant du doigt. Puis, après quelques secondes, je mis mes mains contre ma tête, comme si je réfléchissais très vite. « Tout est faux. Tu mens, et depuis neuf mois. C’est très grave. Mais pourquoi. Explique toi. »
John, ne devait pas comprendre grand-chose, aussi, l’archet du violon à la main, je regardais Mycroft qui semblait un peu tendu, tout en fumant sa cigarette d’une main, il frottait son genou avec son autre main, nerveusement de l’autre. « Je… euh... »
Je me tournais vers John. « L’affaire était simple. J’avais déjà eu des pistes, suivant mes sources. Mes oisillons avaient suivi Mycroft et j’étais au courant de la majorité des faits… Mais… Tout ça ne tient pas debout. Mycroft, tu n’es jamais nerveux. Tu ne te trompes jamais, et excuse moi, confondre un prestataire privé et la couronne d’Angleterre… C’est une sacré ânerie. Tu l’as fais exprès. Tu as monté cette petite affaire, tu as même créer de fausses pistes plutôt… convaincantes d’ailleurs… Mais dans quel objectif ? »
Je me tournais vers John. « Tu étais au courant ? Tu es complice ? De quoi avez vous voulu m’écarter ? »[/b]
Je devais paranoïaque. L’archet de mon violon alla de John à Mycroft. Ce dernier fit un petit non de la tête. Evidemment ; John n’était pas au courant. Si c’était le cas, il m’aurait tout dit. Et c’était précisément pour ça qu’il avait l’air tout aussi surpris que moi. [b] « Voilà. Tu as un mystère réel dans un mystère fictif. Résous l’un, et tu sauras pour l’autre. »
Je regardais John. Qu’est ce que c’était que ce bazar ? « On va commencé par ton mystère fictif alors. Cette pseudo-dame, enceinte, ne l’est pas puisque tu ne peux pas lui fournir cela. Elle a simplement menti à son mari, et déclarer que c’était toi le père car même sous ton apparence de concierge, tu as un côté rassurant. Ce qui signifie que John a raison, et qu’il y a effectivement une tierce personne dans cette historie. Une tierce personne qui n’est d’ailleurs pas réelle, puisque ce mystère est fictif ! C’est complètement absurde. Mais cette tierce personne, même irréel, n’est pas quelqu’un de fréquentable puisqu’elle n’a pas voulu lui dire qu’il était le père mais qu’elle a plutôt risqué avec toi. »
Je fronçais les sourcils. Ca devenait vraiment n’importe quoi. « Le mystère fictif est donc résolu. D’ailleurs, il n’y a peut être pas de tierce personne. Peut être qu’elle ne veut pas élevé l’enfant qui est de son mari avec lui. John, tu en penses quoi ? »
Je m’écroulais dans le fauteuil. Maintenant il fallait savoir pourquoi Mycroft avait menti sur tout ça et avait accaparé mes services sur surveillance et mon attention pendant 9 mois.
John Watson
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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