« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Le jour était en train de filtrer dans la chambre de la licorne, la belle endormie ouvrit les yeux doucement. La lumière du jour avait terni ses projets de grasse matinée, s'était pas souvent qu'elle pouvait se le permettre. De toute manière avec son travail ce n'était pas souvent possible elle entraînait des crack et ses chevaux devait-être des champions . On lui avait au préalable demandé quelques rendez-vous pour rencontrer leur futur champion. S'était donc ainsi que la licorne avait entrainé quelques chevaux en les débourrant. Amalthea espérait que tout allait bien se passer et de toute évidence, le cheval n'allait pas aller bien loin, elle cherchait toujours le plus d'informations possible. La licorne s'était donc redressée de son lit douillet pour aller se préparer. Pour une fois elle avait décidé de porter une tenue pour le moins normale, enfin de l'époque ou elle vivait désormais. Bien que Adélaïde ne le voient pas d'un très bon oeil, ce n'était guère convenable pour une femme de sa trempe. Amalthea lui dit qu'on était plus au moyen-âge et que parfois le changement ça pouvait avoir du bon. Surtout qu'elle avait des clients importants à voir et être vêtue en robe royale pouvait les rebuter. Bien que tout le monde savait pertinemment comment elle était. Elle avait donc opté pour un robe de couleur noir, oui ça pouvait choquer à première vu mais pourtant ça lui allait plutôt bien, elle avait au préalable demander à Adé de lui mettre cette chose qu'on appelait couleur pour une journée, du moins le temps qu'elle prenne un bain et sa couleur naturelle reprenait le dessus.
Elle avait donc pris congé après avoir pris une petite collation, elle avait encore de l'avance et son carrosse, parce que madame n'avait pas de véhicule donc elle roulait en carrosse et puis ça polluait beaucoup moins. Le crottin des chevaux pouvait servir d'engrais. Bien sur aucune déjection était sur la voie public, elle avait fait mettre des sacs, enfin vous voyez le truc quoi. Arrivée au lieu de rendez-vous donc au centre ville, elle se mit à table dans le centre ville en terrasse. Elle était en train d'analyser ses mortels, parfois ils avaient encore temps à apprendre et si peu de temps pour vivre.. ça semblait si triste. Et dire qu'à un moment elle voulait renoncer à son immortalité par amour.. tournoyant sa décoration d'un mouvement de la main. Oui, elle serait prête à le refaire si cela était nécessaire pour l'amour d'un homme. Ses clients voulaient un nouveau champion. J'ai quelques uns des mes poulains qui sont fils de crack mais pour cela j'ai besoin de vous connaître un peu mieux dans votre façon de faire, n'allez pas croire que je vais remettre mes protégés dans les mains de n'importe qui. J'élève des champions c'est pour une raison.. si nous mettons la patience qu'il faut alors et seulement là vous aurez des résultats. J'ai vu que vous aviez une grande propriété c'est déjà un bon point pour le poulain, cela lui permettra d'avoir l'espace nécessaire pour gagner en vitesse. Leur conversation continua durant plus d'une heure pour arriver sur terrain d'ententes. Je vous remercie et j'espère que vous aurez beaucoup de potentiels avec Valkyon du Vallon d'Argent. Elle se redressa leur serrant la main, elle avait au préalable terminé sa tasse de thé et son croissant. Parfois, il faisait des choses merveilleuse ses mortels. Pour le coup, elle avait beau regarder partout... Elle ne vit pas le moindre carrosse et ça commençait à la chagriner. Elle avait bien dit que le rendez ne durerait pas éternellement Bon le cocher avait peut-être prit une pause.. ce n'était pas impossible. C'est pour cette raison qu'elle avait décider d'attendre sa venue. Bien que sa tenue ne semblait pas très approprié pour cette température. le fait d'être dans le corps d'une femme lui donna quelques frissons. J'aurais peut-être du mettre quelques choses de plus chaud... ce n'est pas tout... mais l'automne ne me rend guère service. J'aurais préféré que le printemps dur éternellement ici aussi.
Elle perdit patience et s'apprêtât à traverser la route, visiblement, il y avait bien trop de mon à son gout.. Amalthea n'aimait guère trop de monde ça la rendait parfois instable et elle ne voulait pas faire voler toutes ses personnes. Ce ne serait pas bien du tout.. même si ça lui permettrait de passer plus vite. Elle se fraya donc un passage, elle ne savait pas pour qui s'était mais bon.. Elle n'avait donc pas fait attention qu'elle tapa contre une limousine ou plutôt qu'on l'avait pousser à taper dans la voiture. Amalthea était en train de se concentrer mentalement pour ne pas envoyer bouler la personne qui l'aurait pousser. Vous ne pouvez pas faire attention ? C'est trop vous demander ? Et qui à eu la brillante idée de garer cette.. Elle porta son attention sur la voiture, intriguée, elle pencha la tête, elle n'avait jamais vu ça.. Ohhhh ça doit être de ça que Gabriel me parlait la dernière fois au sujet d'une limousine.
Elle fini par sortir son téléphone et prit en photo la voiture. C'est ça une limousine ? Du moins je crois ? Ignorant encore que la limousine en question était celle du destinataire.
Vivre avec son temps ? Certes, si elle nous dépasse, nous sommes vieux-jeu, mais si c'est nous qui la dépassons, nous sommes avant-gardiste. Il ne faut pas vivre avec son temps, c'est le temps qui doit vivre avec nous.
Gabriel Agreste, le styliste de Paris de retour à Storybrooke après avoir sorti sa nouvelle collection d'été, enchainait depuis les interviews et photoshoots, les invitations dans des émissions ridicules et des défilés de haute couture. Dans son travail, c'était ce qu'il appréciait le moins depuis la mort de sa femme. Il redoutait le monde entier, se méfiait d'eux et de leurs jugements déplacés. Gabriel préférait le calme à un chaos qu'il n'aimait pas avoir à contrôler - et qu'il contrôlait rarement lorsqu'il n'était que... lui. C'est donc avec une économie de mots remarquable qu'il répondait aux questions des journalistes lorsque ceux-ci les invitaient, ignorant les clandestins qui passaient sur son chemin pour un petit bonus improvisé. Il disait ce qu'il avait à dire, même vocabulaire écrit au préalable prononcé avec la même intonation froide mais ambitieuse. Il ne mâchait pas ses mots quand il disait...
"Je ne veux pas révolutionner la mode, je le fais c'est tout. Ce n'est pas une intention, c'est déjà une action et je ne m'arrêterais pas là."
Il en avait fait grimacer plus d'un, de présentateurs TV. Pas qu'ils ne le croyaient pas, ils l'avaient invité justement pour les vagues que la sortie de sa dernière collection avait causé. La décontenance se résultait dans la manière dont Gabriel s'exprimait - à en faire frissonner un général, on se demandait s'il ne partait pas en guerre. Qui pouvait, cependant, se permettre de demander avec sarcasme Pourquoi êtes-vous toujours aussi sombre et sérieux ? Après tout, c'était ce qui faisait son personnage.
Sortant du studio entouré de gardes, le styliste traversa le trottoir en ignorant le brouhaha qui se formait autour de lui. Il était intérieurement satisfait de savoir que pour cet après-midi, il n'avait plus de rendez-vous journalistiques. Il allait pouvoir prendre ce temps pour peaufiner ses projets d'avenir qu'il tease à l'antenne. Regardant sa montre avant de monter dans la limousine, il réfléchissait à s'il pourrait prendre du temps pour son fils comme il le lui avait promis.
"Allons-y."
Le chauffeur et garde du corps acquiesça avec la même expression de marbre qu'il avait appris à maintenir pour l'image de son patron. Mains sur le volant, pied sur la pédale, il était prêt à démarrer lorsqu'une silhouette attira son attention suivit d'un choc. Une jeune femme avait été poussée sur le capot de la limousine et même s'il elle n'y tomba pas, elle s'appuya forcément dessus pour garder l'équilibre - réflexe tout à fait compréhensible. C'est pourtant cette action qui irrita le majordome et l'obligea à s'énerver. Son statut l'obligeait à prendre au sérieux toute atteinte à celui de son employeur. On ne touchait pas à la limousine de Gabriel Agreste comme si c'était un appui. Le chauffeur grogna en klaxonnant une fois, attirant cette fois-ci l'attention du styliste. Décalant légèrement la tête pour avoir vu sur le problème, il la reconnut immédiatement.
"Amalthea ?"
Pourquoi était-elle ici, prenant en photo sa limousine sur le bas côté du trottoir ? Gabriel, en tant normal, ne serait pas sorti de la voiture pour si peu, mais il connaissait Amalthea pour avoir vécu une aventure assez étrange à ses côtés. Ce n'était pas le styliste qu'elle avait appris à connaître, mais l'homme qui était derrière. C'est pourquoi, la voyant, il ne songea pas premièrement à son statut et sa curiosité prit le dessus. Il ouvrit la portière et se redressa.
"Amalthea, que faites-vous là ? Pourquoi prenez-vous ma limousine en photo ?"
La licorne avait bien remarquer que la personne dans la limousine n'était pas très content quand elle a heurté malencontreusement la limousine. Elle pouvait comprendre que s'était son gagne pain et qu'elle devait être parfaite mais... elle n'avait pas réellement prévu de se faire pousser par des êtres humains. Et elle ne voulait pas envoyer ses humains dans le déco en les expulsant avec son bouclier. Donc en d'autre terme, elle s'était laisser houspiller dessus et pousser bien qu'elle leur indique de faire attention la prochaine fois. Enfin s'était aussi parler à un mur, on l'avait donc au préalable klaxonner aussi au moment ou elle se demandait réellement si s'était bien ça une limousine. Elle avait donc prit un clicher de la voiture pour l'envoyer à Gabriel et lui demander si s'était bien cela une limousine. Parce que niveau modernité, se n'était pas encore cela, bien qu'elle apprenait doucement. Amalthea avait donc vu la portière de la voiture s'ouvrir, est ce qu'on allait la réprimander pour avoir été bousculer et bien non s'était un visage familier qu'elle aimait voir. Voilà que maintenant son téléphone faisait apparaître les personnes a qui elle envoyait des messages. Ses jours avaient prit quelques couleurs. S'était Gabriel Agreste. Amalthea, que faites-vous là ? Pourquoi prenez-vous ma limousine en photo ? Ce qu'elle faisait là ? Pendant un cours instant elle avait presque oublié pourquoi elle était là. Puis comme un cheval au galop s'était pour une vente d'un de ses futurs champion. Gabriel, et bien je sortais d'un entretien avec mes clients. Elle avait néanmoins pas eu le temps de finir de parler qu'elle avait vu quelques visage se tourner vers eux. Et vu leur tête se n'était pas bon signe pour Gabriel.
Il se remit dans son siège et lui dit d'un ton ferme et strict Montez Oh.. et bien.. elle n'avait pas le choix et se contenta de hoché la tête. La porte s'était refermer et elle du faire le tour. Le chauffeur s'était donc redresser et était sorti de la voiture pour ouvrir le passage. Au vu de son regard, il n'était guère heureux de la voir prendre place avec Gabriel. Devait-elle monter ? Qu'elle question, elle ne pouvait pas lui dire donc et elle en avait envie. Même si le chauffeur lui adressa un regard plein de froideur, elle savait qu'il n'était pas foncièrement mauvais. Elle le sentait, alors avec un charmant sourire. Je vous remercie monsieur Puis, elle prit place dans la limousine au coté de Gabriel. Amalthea n'aurait jamais pensée le croiser en cette instant. Elle porta donc son attention sur l'intérieure de la voiture, elle n'était jamais monter dedans et s'était très impressionnant. Le regard de la licorne s'était reposer de nouveau sur Gabriel. Votre garde du corps dégage un coté très protecteur envers vous, c'est bien. Replaçant une mèche de ses cheveux. Et pour répondre à votre question, s'était pour vous envoyez un message... en vous demandant si s'était bien cela une limousine.. Alors je crains que peut-être ce message ne se soit pas envoyer Elle se mordit légèrement la lèvre inferieur. Je suis navrée si cela vous a déplu.. je ne comptais pas l'utiliser pour autre chose.
Elle pouvait donc voir aussi, qu'elle succès il pouvait avoir auprès de certaines personnes vu comment certaines réagissait. Il n'avait pas réellement pour habitude de la voir ainsi.. d'ordinaire, elle avait des habits beaucoup plus blanc... Le fait qu'elle ait opté pour une modernité avait un but bien précis celui de rendre à l'aise certaines personnes. Et puis, au vu des plans qu'elle avait pour une meilleure ville, Amalthea s'était inscrite sur une liste.
Vivre avec son temps ? Certes, si elle nous dépasse, nous sommes vieux-jeu, mais si c'est nous qui la dépassons, nous sommes avant-gardiste. Il ne faut pas vivre avec son temps, c'est le temps qui doit vivre avec nous.
Claquant la porte derrière lui, il perçut dans son champ de vision périphérique la silhouette d'Amalthea faire le tour de la limousine, suivre le majordome et s'exécuter à monter auprès du styliste. L'employé reprit sa place sur le siège conducteur et reporta son regard sur Gabriel par l'intermédiaire du rétroviseur. Il attendait des ordres et son supérieur s'attarda à lui en donner :
"Faites un tour."
Cela signifiait qu'il n'y avait aucune destination pour le moment, seul le trajet et la discrétion qu'elle leur permettait comptait. Tandis que la voiture commençait à démarrer, la jeune femme se tourna vers Gabriel pour reprendre le fil de la discussion suspendu. La photographie, donc, avait été adressé au styliste qui n'avait rien reçu à sa connaissance. Si son téléphone n'était pas en sonnerie, il vibrait dès qu'il y avait une notification et cela pour qu'il reste toujours à l'affût du moindre problème. Sans un mot, il sortit l'appareil de sa poche et vérifia qu'il n'avait pas manqué quelque chose. Il n'en était rien.
"Je n'ai rien reçu de votre part, pourtant vous êtes dans mes contacts. Il se tourna à son tour. Donnez-moi votre téléphone."
Il tendit sa main, attendait qu'elle s'exécute. Un téléphone avait sa propre logique, comme tout, mais celui-ci particulièrement pouvait - dès lors qu'on comprenait comment ça fonctionnait - nous ouvrir des portes à tout un univers. Plusieurs mêmes. Il était compréhensible que la jeune femme ne sache pas encore très bien s'en servir mais elle comprendrait vite quelle arme elle tenait entre les mains. Pour le moment, c'était l'offrant de cette technologie qui se l'était approprié. Se rendant dans les messages, il n'aperçut aucune photo et quitta la page pour se rendre dans la galerie. Sa limousine s'y retrouvait, en 2D, quelque peu floue par l'agitation des alentours.
"Vous n'avez fait que prendre la photo en ouvrant votre appareil. Je veux bien vous croire cependant, vous n'auriez pas d'intérêts à prendre en photo une limousine, si ?"
Il observa un instant le téléphone d'Amalthea avant de lui tendre.
"Comment vous le trouvez ? Vous arrivez à l'utiliser au quotidien ? Je fais partie de ceux qui ne peuvent plus passer une journée sans, toute ma vie serait à l'intérieur comme il est connecté à ma tablette."
Son regard reprit sa place : face à lui. Il fixait le siège avant mais finalement, ne fixait pas grand chose. L'expression de marbre, l'air pensif, il songeait aux derniers événements qui avaient alliés Amalthea et lui - événements où il avait commencé par la soupçonner d'y être pour quelque chose. Au final, elle fut l'une des principales victimes et blessées. Il regrettait son manque de jugement et ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait avec quelqu'un.
Suite au fait qu'elle avait prit place à l'arrière de la voiture auprès de Gabriel, en gardant quelques peu des distances. Elle ne désirait pas l'étouffer de sa présence même si s'était lui qui lui avait prier de monter. Non pas que ça la gène bien au contraire, elle ne dirait pas non à Gabriel. Le propriétaire de la limousine ordonna de faire un tour. Faites un tour. Elle ne savait pas ou tout cela allait la mener mais s'était le cadet de ses soucis. La voiture avait donc démarré pour un tour de manège s'était ainsi qu'elle le voyait maintenant. Je n'ai rien reçu de votre part, pourtant vous êtes dans mes contacts Mhh.. étrange puis qu'elle avait tout de même tenter... Donnez-moi votre téléphone. La licorne n'était clairement pas doué dans ce genre de chose, elle n'avait pas réellement hésité à lui passer son téléphone. Elle lui tendit donc. La licorne gardait bien trop précieusement se téléphone qui était un cadeau offert par ce dernier. Elle y tenait à la prunelle de ses yeux. Un court silence s'était installer le temps que Gabriel feuillette le téléphone. Ce qui laissa le temps à la licorne de regarder par la fenêtre, elle n'était jamais monter dans une limousine ou une voiture tout cours. Elle porta son regard sur Agreste, le regardant faire, il avait une tel facilité avec cette technologie alors qu'elle... n'y connaissait rien.. comment pouvait elle l'intéresser ? Chassant cela de son esprit quand il avait reprit la parole. Vous n'avez fait que prendre la photo en ouvrant votre appareil. Je veux bien vous croire cependant, vous n'auriez pas d'intérêts à prendre en photo une limousine, si ? Elle regarda. Oh.. j'en suis navrée... s'était simplement pour vous demandez si s'était bien cela une limousine comme je n'y suis jamais monter à l'intérieure lors de notre dernière aventure. En l'occurrence leur parenthèse avec cette mariée mais aussi le fait qu'ils aient fait une chevauchée. Elle n'avait pas oublié ce qu'avait mentionner le styliste ce jour là, quand il disait être une à l'aise dans une limousine. Quand vous aviez mentionner lors de notre chevauché, être plus à l'aise dans une limousine.
Gabriel lui tendit son portable qu'elle prit, leurs doigts s'étaient frôlée. Comment vous le trouvez ? Vous arrivez à l'utiliser au quotidien ? Je fais partie de ceux qui ne peuvent plus passer une journée sans, toute ma vie serait à l'intérieur comme il est connecté à ma tablette Comment elle trouvait le téléphone ? devait elle lui dire toute la vérité ? Et encore une fois, il avait mentionner le fait qu'il ne pouvait pas se passer de technologie. Comment je le trouve ? Et bien, il est très jolie et que j'en prend grand soin puisse que c'est un cadeau, j'y tiens comme à la prunelle de mes yeux. J'ai encore du mal à l'utiliser mais avec du progrès j'y arriverais surement. J'envoie des messages à quelques personnes et je parviens à répondre à quelques appel. Vous devez me trouvez nulle de ne pas savoir envoyez ne serait-ce qu'une photo. Amalthea porta son regard sur le téléphone quelques instant pendant que Gabriel fixait son siège. Le son de sa voix l'avait fait frissonner. Comment allez-vous ? Je veux dire, depuis le manoir et toute cette histoire de mariage maudit ?
Elle esquissa un léger sourire, cette fois ou elle avait du se marier avec une personne qu'elle n'aimait pas et avait terminé veuve dans la même journée. Mais, qu'elle avait eu de nouveau peur pour quelqu'un.. que Gabriel venait à disparaître. Et bien, je me porte beaucoup mieux depuis ce fameux jour, mon bras c'est remit et je n'ai gardé qu'une cicatrice au bras. Je vous remercie de m'avoir sauver aussi et ça m'a aussi apprit à vous connaître d'avantage. Elle risqua un coup d'oeil en sa direction. Elle se rappelait aussi le fait que Argus l'enquiquine avec cela parce qu'elle tenait à lui. Argus poussait souvent la chansonnette et que ça avait l'air de l'amuser qu'Amalthea appréciait la compagnie de Gabriel. Entre temps, elle avait aussi posé sa candidature pour participer au bon déroulement de la ville. Dans la partie Ecologie. Entre temps, j'essai de comprendre comment peut fonctionner cette ville et je me suis donc proposer pour son bon déroulement dans un système plus écologique. Je me suis inscrite sur une liste. Et vous ? Comment vous portez vous ? Vous n'avez pas garder de cicatrices ? Amalthea avait utiliser sa magie pour le guérir mais, elle ne savait pas si... cela avait laissé des traces sur lui.
Vivre avec son temps ? Certes, si elle nous dépasse, nous sommes vieux-jeu, mais si c'est nous qui la dépassons, nous sommes avant-gardiste. Il ne faut pas vivre avec son temps, c'est le temps qui doit vivre avec nous.
Il était vrai que le styliste préférait le confort d'une limousine à celui d'une monture. Il y avait bien moins à faire et c'était bien plus confortable. Tout était contrôlable dans une voiture, le passager était comme coupé du monde mais gardait vue sur elle alors que le monde, lui, ne pouvait voir à l'intérieur. Gabriel s'était souvenu en avoir fait une vive remarque à Amalthea et il était étonné de savoir qu'elle y avait porté tant d'intérêts. Ne souhaitant, de son côté, pas en faire toute une histoire (car le concept du transport lui paraissait tout à fait banal), il ne s'étala pas sur le sujet, concluant sans vraiment de poids :
"Et bien désormais vous savez à quoi ressemble l'intérieur d'une limousine."
Et sans attendre une invitation, il se permit de prendre le téléphone de la jeune femme pour y vérifier la démarche photographique. Il comprenait à vrai dire qu'une personne provenant d'un autre monde dénué de technologie ne sache pas utiliser un appareil aussi complexe et complet qu'un téléphone - ce qui pour sa part, ne lui paraissait rien du tout. Il en utilisait tout le temps, c'était une partie de sa vie.
"Je ne vous jugerais pas, répondit-il sans sourciller en lui rendant l'objet, de ne pas savoir très bien l'utiliser. C'est tout à fait normal si vous n'en avez jamais tenu un auparavant mais vous semblez vite comprendre ses principales fonctions : téléphoner."
Silence s'installant peu à peu alors que Gabriel s'évertuait à fixer le siège d'en face, il finit par poser la question qui finalement portait sur les derniers événements autour desquels ils tournaient. Le manoir avait été une rude épreuve et même si du côté du styliste, l'anecdote passait au travers des mailles du filet, il n'en était peut-être pas de même pour Amalthea. Il sembla qu'elle se soit elle aussi bien rétablie des blessures (physiques, puisque c'était de ça dont elle parlait). Lorsqu'elle mentionna le positif d'avoir pu apprendre à connaître le styliste par ce biais, ce dernier posa le regard dans sa direction, s'étonnant qu'elle pense ce que lui pensait également. Il la fixa un temps et hocha la tête pour lui-même, détournant à nouveau son attention.
"Je m'étais dit la même chose. Enfin, je suis rassuré de savoir que vous n'avez rien."
Il avait déjà pu lui demander - par écrit - mais ça ne valait pas, il supposait, d'en avoir la certitude une fois en face. Gabriel était moins préoccupé ces derniers temps qu'il ne l'avait été avant l'histoire du manoir. Il pouvait prendre plus de temps pour lui et pour son travail, de sorte à ce qui lui arrivait même à ressentir ce vide de ne pas avoir une double vie à mener. Quelque chose manquait, c'est ce qui le rendait vide dans un sens - et être vidé de ne plus être le méchant de l'histoire, c'est bien triste à réaliser.
"Une liste ? Quel genre de liste ? Vous parlez d'une proposition de système écologique porté à la mairie ? Il marqua un temps, perplexe, avant de devoir lui-même répondre à la question retournée. Et bien, je vais bien... Aucune séquelle physique, j'ai pu me remettre assez vite et reprendre le travail, comme vous pouvez le constater."
Se concentrer sur celui-ci lui permettait de ne pas s'oublier également.
Et bien désormais vous savez à quoi ressemble l'intérieur d'une limousine. Oui à présent, elle le savait. A sa première entrer, la licorne avait bien soigneusement regarder tout autour d'elle. Faisant bien attention de ne rien abimer. Parce que bon, la demoiselle était en talon donc, avec soin, elle avait naturellement fait attention à ne pas rayer l'intérieur de la voiture. S'était plus spacieux une fois qu'on avait poser sa croupe ou plutôt son fessier puisqu'elle n'était plus sous forme animal. Amalthea trouvait qu'à l'intérieur ça respirait le luxe, rien détonnant quand elle voyait le personnage situé auprès d'elle. Une personne qu'elle admirait. Il avait toujours une très bonne prestance et il dégageait du charisme, de ce qu'elle savait à son sujet il pouvait aussi inspirer la crainte. Pourtant du point de vue d'Amalthea, elle le voyait comme une bonne personne, un peu perdu par moment et qu'elle avait apprit à connaître lors des quelques fois ou ils s'étaient rencontrer par un caprice du destin. Mhh. Oui à présent, je sais. Elle le laissa prendre son téléphone. Et je dois dire que ses assises sont plutôt confortable et même si cela avance, ça ne donne aucune secousse. Elle le laissa manipuler le portable à sa guise, Amalthea avait donc tant à apprendre et rattraper ce qu'elle avait rater avec les siècles qui s'était écoulé sans qu'elle ne sache quoi faire. Elle était une licorne vieille de pas mal de millénaire et pourtant si novice en matière de technologie. Abigaelle avait raison quand la première fois qu'elle était venu à sa rencontre dans sa foret... Elle lui avait dit que les choses avait beaucoup changer depuis qu'elle n'était pas sorti de sa foret et en effet, elle avait vu dans le regard des hommes, que les licornes avaient disparu de leur mémoire. Et qu'ils ne voyaient désormais que des jument ou étalon blanc. Alors quand elle avait entendu la voix de Gabriel, elle sorti de ses pensées et semblait rassurer. Je ne vous jugerais pas Cela lui réchauffais le coeur sentant quelques palpitation. Reprenant son bien dans ses mains après que Gabriel lui ait rendu. de ne pas savoir très bien l'utiliser. C'est tout à fait normal si vous n'en avez jamais tenu un auparavant mais vous semblez vite comprendre ses principales fonctions : téléphoner Elle esquissa un sourire. Elle devait reconnaître qu'elle avait le potentiel de vite apprendre. Je vous remercie, c'est vrai que ce n'est guère évident pour une personne comme moi qui vient d'une époque très lointaine par rapport à la votre. Elle était dénué de technologie mais, il y avait la magie, des dragons, des rois ensorceler et de dangereuse créature. Vous avez eu la technologie nous, c'est la magie qui était présente, certains on par ailleurs arrêter de croire en certaines choses. Amathea n'avait pas hésité longtemps avant de sortir de son confort pour aller retrouver les autres licornes sans même prendre conscience que le taureau était une créature dangereuse. Mais cela m'avait permis de sortir de ma zone de confort et ainsi être plus courageuse et apprendre de nouvelle émotions Qu'elle ne regrettait pas d'avoir ressenti. Le silence s'était fait sentir par la suite. Un cours instant.
Elle s'était donc évertuer à le rassurer qu'elle s'était remise de ses émotions et de ses blessures. Et qu'elle avait apprécier connaître un peu mieux le styliste. Qu'il n'était pas si dur que cela. Je m'étais dit la même chose. Enfin, je suis rassuré de savoir que vous n'avez rien. Elle esquissa une nouvelle fois un sourire. Au moins, ils étaient sur de bonne base, pas comme la première fois qu'ils s'étaient rencontrer, tout cela à cause d'un malentendu. Heureusement d'ailleurs que les choses se soient améliorer entre eux. Je suis heureuse que cela soit partager dans ce cas. Je suis bien plus coriace que ce que j'en ai l'air.
Puis, elle lui avait fait part de cette nouvelle, en s'inscrivant sur une liste électoral. Une liste ? Quel genre de liste ? Vous parlez d'une proposition de système écologique porté à la mairie ? Elle hocha la tête. Amalthea lui retourna la question à savoir s'il allait bien et s'il s'en était remit Et bien, je vais bien... Aucune séquelle physique, j'ai pu me remettre assez vite et reprendre le travail, comme vous pouvez le constater. Oui, parfois le travail permettait d'oublier, s'était peut-être pour cela aussi que la licorne s'investissait autant. Je peux vous déposer quelque part ? Je n'ai rien à faire pour l'instant, ainsi si vous avez un endroit où vous devez vous rendrez, je peux vous y conduire. Elle porta son regard sur lui, une nouvelle fois. Que devait elle répondre à son invitation quand elle s'était perdu dans son regard. Devait elle aller quelques part ? Elle n'avait pas d'idée précise en tête mais voulait simplement passer du temps en son agréable compagnie. Et bien en soit je n'ai guère d'endroit ou aller mais peut-être pourrions nous faire le tour de la ville et ainsi... prendre le temps de parler ?
Oui mais parler de quoi ? Ils venaient tout deux de monde différents.. et tellement différent. Elle voulait en apprendre d'avantage sur son monde.. sur lui. Dites moi Gabriel... comment était votre endroit ? Il était comme celui-ci ?
Vivre avec son temps ? Certes, si elle nous dépasse, nous sommes vieux-jeu, mais si c'est nous qui la dépassons, nous sommes avant-gardiste. Il ne faut pas vivre avec son temps, c'est le temps qui doit vivre avec nous.
Un cheval n'avait rien à voir avec une limousine, et cela en tout point. Plus rapide, plus avancée en technologie, plus confortable, plus silencieux et beaucoup - beaucoup - plus stable. On ne demandera pas ce que préfère le styliste qui hochait avec assurance la tête de haut en bas aux remarques d'Amalthea. Évidemment, la voiture n'existait pas pour rien, c'était un outil de déplacement avancé, bâti par des Hommes pour les Hommes. Tout le monde n'avait pas la possibilité de voler... La jeune femme avait bien compris que dans ce monde, la magie était une exception à laquelle seule Storybrooke était soumise.
"Votre zone de confort ? Il songea à voix haute. Oui, sûrement. La magie est une chose que de toute façon les êtres humains ne méritent pas... Ils ne savent pas en faire bon usage."
Lui le premier. Pour que l'Homme, après tout, décide de gravir des montagnes au-delà des frontières et de leurs propres limites en créant monts et merveilles qu'ils ne sauront contrôler plus tard, c'est déjà qu'il n'est pas digne à recevoir un élément aussi pur que la magie. Il s'en servirait pour ses propres intérêts comme il se sert de la nature pour son confort. Gabriel Agreste est typiquement de ceux-là, il le sait et il l'accepte comme un défaut dont il ne se débarrassera pas.
Rassuré de savoir que tous deux avec survécus sans séquelles au manoir de la Renaissance, le styliste ne pouvait qu'acquiescer à l'assurance que prenait la jeune femme de se penser plus forte que d'apparence.
"C'est exact. Il tourna la tête dans sa direction. Je vous avais sous-estimé durant cette aventure mais vous vous êtes montrée courageuse et combative, me prouvant que j'avais tord. Et son regard se replongea sur le siège passager. Je n'aurais probablement pas réussi sans vous."
Arrivant au centre-ville, c'est lorsque le chauffeur passa le rond-point que Gabriel comprit qu'ils en étaient à leur troisième tour. Il reluqua avec jugement ce dernier qui frémit à son tour et sortit du parcours. Le styliste demanda alors où est-ce que la jeune femme souhaitait se rendre, pendant que lui avait encore le temps de l'y conduire. N'ayant pas plus à faire, elle proposa qu'ils fassent le tour des quartiers et Gabriel supposa que pour elle, la limousine devait être un transport bien assez incroyable pour y rester des heures entières. À dire vrai, lui-même avait déjà eu l'occasion de s'y enfermer simplement pour se déconnecter, ne serait-ce qu'un temps, du monde. Il ne demandait, dans ces moments-là, aucune destination précise et réfléchissait en silence, tout en observant le monde qui, lui, ne le voyait pas derrière sa vitre teintée.
"Et bien, pourquoi pas. Faisons le tour de la ville si cela peut vous faire plaisir." Le chauffeur avait intérêt de trouver meilleur trajet qu'un rond-point. Il activa son GPS et commença à imaginer un parcours qui traverserait la ville dans son ensemble. Gabriel observait l'extérieur en se demandant quand était la dernière fois qu'il avait fait monter quelqu'un dans la limousine. N'était-ce pas Adrien, la dernière personne à avoir eu cette place ? Amalthea reprit sans qu'il ne puisse véritablement répondre à sa question, ainsi se concentra-t-il sur celle de la passagère actuelle.
"Mon endroit ? Vous voulez dire l'univers duquel je proviens ? Il garda un silence de marbre. Oui, il était comme celui-ci, à un détail près. La magie existait. Elle se présentait sous la forme de petits bijoux que le porteur s'approprie. C'est par le biais de ces objets que des pouvoirs lui sont donnés et qu'il devient ce qu'on nommait là-bas une forme de... héros."
La réalité surpassait pourtant bien la théorie.
"À part ça, tout était semblable à ce que vous voyez autour de vous, même si ce n'était pas dans le Maine mais à Paris que l'intrigue se déroulait."
Bien qu'une limousine n'avait rien à voir avec les chevaux, d'une certaines manière si puisque la puissance d'une voiture était comparer au chevaux. Bien qu'elle n'était jamais monter dans une limousine. Elle était déjà monter dans une voiture celle de son père d'adoption Ludwig. Néanmoins, elle avait apprit quelques information rudimentaire. Et que la puissance d'une voiture en faisait parti. Bien que dans les voitures, elle ne se sentait pas très à l'aise. le fait d'être dans la limousine en compagnie de Gabriel la canalisait et la rendait donc plus calme. S'était comme une cage de métal ni plus ni moins. La licorne appréciait donc sentir le vent contre ses joues quand elle chevauchait. Bien qu'elle aurait apprécier pouvoir redevenir ce qu'elle était autrefois. Il n'y avait qu'à cette fête des voisins qu'elle avait pu prendre son apparence réelle durant quelques instants. A présent, elle avait une apparence humaine, celle d'une femme. Et elle avait rapidement compris que seulement StoryBrooke avait des personnes rempli de magie les autres n'y connaissait rien. Comme la fois ou elle avait disparu durant 1 mois entier. Elle était parti déterminer pour éliminer son soit disant père. Celui qui l'avait enfermer durant de longue années. Et pourtant, elle ne l'avait pas fait pour la simple et bonne raison qu'elle ne lui était pas tombé dessus. Elle avait aussi fait en sorte de chercher d'autres licornes... et elle n'avait donc rien trouver non plus. Votre zone de confort ? Elle hocha la tête doucement. Oui, disons que depuis de nombreux siècles, j'étais resté dans ma foret, je ne l'ai jamais quitté depuis que je suis venu au monde. Elle se souvenait encore de ce jour. ou les chasseurs lui avaient dit de bien rester dans sa foret car elle était la dernière. Des hommes m'ont dit de rester dans ma foret puisque selon eux j'étais la dernière et puis, il y a eu ce papillon.. Qui chantonnait à tout vas. Argus, celui qui est au château. S'était à ce moment là que son aventure avait donc commencé. Oui, sûrement. La magie est une chose que de toute façon les êtres humains ne méritent pas... Ils ne savent pas en faire bon usage Elle hocha la tête. Tout dépend de la personne en question ? Je veux dire... ses ambitions. Certains ont des but louable. Et on vécu des choses qui nécessite peut être de mal l'utiliser puisqu'ils sont seul, personne pour leur apprendre à bien l'utiliser Elle porta son regard sur Gabriel. peut-être que si cette personne aurait eu une aide, il n'aurait pas... agit de cette façon ? Elle repensait à Schmendrick qui était un piètre magicien.. et pourtant, il faisait des efforts, grâce à elle, il avait apprit à utiliser convenablement sa magie. Elle lui avait laisser sa chance. il avait se potentiel en lui. Il était vrai aussi que des personnes était cupide. La preuve en était qu'on avait tenter de la capturée sous prétexte. qu'elle était une licorne.
Les licornes étaient l'essence même de la magie, rien n'était plus magique qu'une licorne. Bien qu'elle ait perdu quelques aptitude, elle ressentait toujours la magie autour d'elle. Le fait d'avoir repris une apparence humaine l'avait déstabilisé une fois qu'elle avait reprit ses souvenirs. Elle avait fait une sorte de blocage. Ere dans un corps humain qui était destinée à mourir un jour ça lui faisait peur. Elle qui avait toujours continue son immortalité même quand une licorne disparaissait elle ne mourait pas. Vu que sa magie règnerait à tout jamais dans sa foret de lilas. Elle ne pouvait pas lui dire qu'il avait tort puisque certains pouvait faire n'importe quoi mais s'était toujours dans un but premier. une motivation. Je vous l'accorde cependant, certains ne savent pas en faire bon usage, ils sont dirigé par leur émotion qui les poussent à accomplir leur dessein. Mais n'est-ce pas pour cela qu'un être humain est imprévisible ? Ils peuvent toujours nous étonner de n'importe qu'elle manière
Leur conversation avait donc dévier sur ce qu'il s'était passé à l'évènement funeste des mariées. Tout deux s'en étaient remis heureusement. Même si s'était toujours quelques choses qu'elle avait encore de travers. Elle avait été lié à cet humain par un sentiment sacré. Elle n'avait pas éprouvé la moindre émotion à son égard juste qu'elle le sentait pourri de l'intérieur. Il n'était que néant et elle savait qu'elle ne pouvait pas le sauver. Encore pire quand il s'en était prit à Gabriel. Son époux si elle pouvait l'appeler ainsi... avait sceller son destin tout seul. Il avait fini par mourir. Puis, elle s'était même demander si tout ce qui la côtoyait de trop près était destinée à mourir ? Après tout, Le prince Lirr était mort en voulant la sauver... Elle lui avait accordé une nouvelle vie... en le laissant en épouser une autre pour qu'elle repartent dans sa foret puisqu'ils n'avaient pas pu être ensemble. Des années plus tard... ils s'étaient retrouver quand Schmendrick l'avait appeler si fort pour sauver le prince qui se battait face à un griffon pour sauver des enfants. Lirr était devenu roi et avait eu descendance avec sa princesse. Elle était néanmoins arrivé trop tard pour le sauver. Elle avait bien tuer le Griffon mais... elle n'avait pas pu le sauver et elle ne pouvait pas lui accorder un second cadeau et... il ne désirait pas être sauver, il l'aurait vu une dernière fois. Pourtant, elle n'avait pas été triste. Surement sa condition de licorne, elle l'avait vu s'éteindre avec un grand respect pour lui. Elle n'était plus la même, une parti d'elle a été humaine mais elle n'avait pas regretter un seul instant avoir vécu cela. Mais, elle se disait qu'elle ne devrait peut-être pas aimer. Gabriel avait tuer son époux, elle ne lui en voulait pas le moins du monde. Il avait bien fait et elle avait été soulagé qu'il soit sain et sauf. Je vous avais sous-estimé durant cette aventure mais vous vous êtes montrée courageuse et combative, me prouvant que j'avais tord. Reprenant le fil de leur conversation. Elle lui sourit. Sous-estimé ? Elle rit légèrement. Beaucoup de personne me sous-estime, vous n'êtes pas le seul mais je dois dire qu'avec vous le fait de vous avoir impressionner, me plait bien. parce qu'il avait eu tord ? Vous aussi vous m'avez impressionné et je dois dire que vous m'aviez fait peur aussi. Elle avait eu peur qu'il soit blesser d'avantage. Se remettant dans son siège, elle ne tournait pas le regard cette fois-ci. Je n'aurais probablement pas réussi sans vous. Elle sourit et rougit légèrement. Merci, je ne l'aurais pas fais sans vous non plus. Vous m'avez délivrée de se contrat qui me liait à lui. Sans vous... j'aurais peut-être été d'avantage blesser alors je vous en remercie aussi.
Elle n'avait pas remarquer être arrivé au centre ville. Et que s'était de nombreux tour que le chauffeur avait entamer. Puis, elle lui avait confié qu'ils pourraient faire le tour des quartiers de la ville. Ca lui fera l'occasion de les voir au travers d'une voiture. Et bien, pourquoi pas. Faisons le tour de la ville si cela peut vous faire plaisir. Elle sourit, il avait accepté. Merci. Cela lui faisait aussi l'occasion de le connaître un peu mieux. S'était plus fort qu'elle et vital dans apprendre à son sujet. Mon endroit ? Vous voulez dire l'univers duquel je proviens ? Elle hocha la tête. Le voyant garder le silence, elle avait eu peur de le froisser en posant cette question. Elle retenait sa respiration puis souffla discrètement quand il reprit la parole. Oui, il était comme celui-ci, à un détail près. La magie existait. Elle se présentait sous la forme de petits bijoux que le porteur s'approprie. C'est par le biais de ces objets que des pouvoirs lui sont donnés et qu'il devient ce qu'on nommait là-bas une forme de... héros. Sous forme de bijoux ? C'était quelques choses de fascinant. Elle hocha la tête. Oh, je vois c'est assez fascinant, nos monde n'était pas si différent dans le sens ou certains objet attribut des pouvoirs. les heros... elle se rappelait ce que disait Lirr à ce sujet. Et elle devait dire qu'elle n'en était pas très fière. Le voyant donc ramener divers créatures qu'il avait terrasser elle ne voyait pas cela comme un acte héroïque. N'importe qui pouvait être appelé Heros de toute manière. Tout dépendait aussi du camp choisi. De héros ? Ce qui voulait dire que vos... héros éliminait les créatures ?
À part ça, tout était semblable à ce que vous voyez autour de vous, même si ce n'était pas dans le Maine mais à Paris que l'intrigue se déroulait. Son regard s'était un peu éclairer. Paris ? J'ai toujours entendue ce nom dans pas mal de conversation sans jamais réellement connaître. Ca devait être lumineux. Elle avait une question qui lui trottait dans l'esprit mais, ne savait si elle devait le faire.. Est-ce qu'il regrettait d'avoir atterri ici ?
Vivre avec son temps ? Certes, si elle nous dépasse, nous sommes vieux-jeu, mais si c'est nous qui la dépassons, nous sommes avant-gardiste. Il ne faut pas vivre avec son temps, c'est le temps qui doit vivre avec nous.
Le monde dont parlait si aisément la jeune femme était, à l'entendre, bien loin de celui dans lequel elle vivait désormais et auquel elle devait s'accommoder. Gabriel comprenait qu'elle ait pu être en marge, il y avait vraiment de tout dans cette ville mais l'environnement - lui - demeurait le même pour tous. Un monde comme celui-ci ne pouvait pas encadrer la magie, il n'était tout simplement pas fait pour et les Hommes qui y vivaient encore moins. Entre autre, le styliste savait pertinemment à quel point l'être humain pouvait être faible lorsqu'il s'agissait d'être puissant... Quelle ironie. Et c'est en toute connaissance de cause qu'il pouvait se permettre d'en faire la remarque à voix haute. Il se pointait du doigt mais Amalthea n'en savait rien, il se critiquait pour que son entourage le suive et le critique à son tour et qu'il se retrouve dans leurs propos dégradants. N'était-ce pas ce qu'il méritait après tout ? Alors pourquoi, étonnement, il n'en fut pas ainsi cette fois-ci ? La compagnie de l'entrepreneur n'avait pour ainsi dire par réagit comme il s'y attendait mais il ne s'en surprit qu'un instant seulement, écoutant attentivement les paroles de la jeune femme. Il crut qu'elle parlait de lui mais se rappelant ne jamais avoir parlé de ses anciennes ambitions passées, il se raisonna. C'était impossible.
"C'est vraiment ce que vous pensez... Il demanda à mi-voix avant de répliquer d'un ton plus froid : L'aide ne suffit parfois pas à raisonner un Homme épris par le pouvoir. Il ne peut alors s'en vouloir qu'à lui-même et à ses bonnes intentions. À la fin, elles ne sont plus qu'un prétexte à l'utilisation de la magie et l'application de ses plans. Il n'y a pas de pardon pour ces gens-là."
Il était impossible pour le styliste de penser autrement, ou du moins lui était-il impossible d'imaginer qu'on puisse penser autrement de lui. Amalthea était une bonne personne, bien trop d'ailleurs, ce qui pouvait lui causer des tords. Non pas qu'il la pensait faible - elle ne l'était pas - mais naïve peut-être, malheureusement l'idée lui traversait la tête. Même un homme d'affaires qui paraissait si propre sur lui le jour pouvait se transformer en cauchemar des civils la nuit. Il suffisait simplement qu'il n'y ait pas assez de lumières pour qu'on pose le regard sur lui...
"Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, Amalthea, mais si en effet vous avez déjà pu rencontrer de ces individus dans votre vie, je vous conseillerais de faire attention à vous. Ils n'auront pas de scrupule à se servir de vous justement car vous croyez en eux, est-ce que vous voyez ce que je veux dire ? Il regretta ses paroles peu après, sachant qu'il ne devait aucune leçon à la jeune femme. Enfin, ça ne me concerne pas et vous êtes assez consciente des conséquences j'imagine. Vous n'avez pas besoin de moi pour vous en faire part..."
Et il se tourna légèrement vers la fenêtre, fixa le paysage qui se trouvait derrière tandis que la discussion se poursuivait. Malgré les compliments faits et les expériences partagés, le sujet qui avait précédé restait dans un coin de la tête de Gabriel. Il tentait d'y mettre un point final mais des questions restaient suspendues. Petit à petit l'atmosphère se détendit à nouveau, talent - il semblait - que possédait Amalthea. Le styliste souriait naturellement en retour à celle-ci et il ne lui parut pas dérangeant de poursuivre le trajet en voiture en sa compagnie (Ndlr : Ironique pour la responsable de l'écologie de faire tourner un moteur pour rien ~).
"De héros ? Ce qui voulait dire que vos... héros éliminait les créatures ?
- Il n'y avait pas de créatures... Mais il y avait de mauvaises personnes qui utilisaient mal la magie et s'en servait dans de mauvaises intentions. Ce sont ces personnes, qui se servaient des objets magiques pour faire le mal, que les héros combattaient."
Le terme employé, créature, n'était pas tant hors contexte à y songer. Et le pire, c'est que ces dites créatures savaient ce qu'elles étaient mais ne reculaient pas pour autant.
"Paris est une grande ville et en effet, lorsqu'on est bien placé elle peut être très belle et bien éclairée la nuit. Vous devez déjà avoir entendu parler de la Tour Eiffel ou encore le musée du Louvre, des monuments qui s'y trouvent. Il se fit curieux. Vous ne voyagez jamais ? Sur Terre, je veux dire, dans notre réalité. Vous n'êtes pas sorti à l'extérieur des frontières de Storybrooke ? Il fixa l'extérieur. Je vous le conseille dans tous les cas, certaines villes peuvent paraître plus magique que n'importe quelle magie que vous pouvez connaître. C'est... Autre chose."
Il réfléchit un temps, laissa quelques secondes pensives passer comme si, pourtant, cela lui était paru des heures. Peut-être parce que ses réflexions remontées à la surface ne dataient pas d'hier ?
