« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
C'est dans la part du pauvre que l'on découvre son roi [EVENT MULTIJOUEURS]
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Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »
| Avatar : Rufus Sewell
- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)
| Conte : Coeur de Princesse/Le Prince et le Pauvre | Dans le monde des contes, je suis : : Preminger
C'est dans la part du pauvre que l'on découvre son roi.
Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir mais de le rendre possible."
Le Maire & Son Peuple
La Galette du Roi… Un événement de TAILLE à la hauteur de la ville qui s’éveillait heureuse dans une nouvelle année. Et comment aurait-elle pu ne pas être emballée par cet air de fête et de bonheur, puisqu’il se trouvait à sa tête ? La salle des Fêtes municipale allait enfin accueillir dignement un événement digne de ce nom, bien loin des réceptions presque miteuses qu’y avaient été autrefois donnée dans cet odieux bâtiment scolaire… Désolant souvenir était-ce là… Presque en aurait-il pu secouer avec « désespoir » sa tête bien faite. Mais pourquoi feindre se lamenter pour les erreurs de son prédécesseur ? L’important était que depuis son élection, il avait offert à la ville le lustre qu’elle méritait. La SALLE parée de cristal et de blanc symbolisait ce renouveau immaculé, qui faisait ressortir le cachet des lieux. Une page blanche à écrire. Une nouvelle Année. Un nouveau Destin. Flottait dans l’air un mélange de pomme et de frangipane qui émanaient des rutilantes galettes fraîchement cuites qu’Amélia Peters entreposait savamment sur les couverts blancs de porcelaine. Il la saluerait sûrement. Après tout, il s’agissait d’une ancienne collègue de mairie… Bien davantage à sa place, dans l’anonymat mais sans consister à ses yeux, une déplorable rencontre. Ses talents de pâtissière servaient. Et sa naïveté encore plus. Exceptionnellement, pour suivre avec l’ambiance pure et splendide qu’il offrait à ses chers convives, il avait lui-même cédé ses flamboyantes couleurs pour endosser un costume d’un VERT AMANDE pâle, dont les excentricités dansaient sur les manches par la présence de broderie ocre. Ce rappel de couleur se retrouvait dans le carré de soie porté à son veston. Sinon, il appréciait la fausse douceur presque printanière et pure de son costume. Il salua chaque citoyen d’un geste, tout en prenant le micro qui lui était destiné :
- « Citoyens, Citoyennes… Peuple de Storybrooke. Je vous adresse mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Qu’elle vous apporte joie, prospérité, santé et bonheur ! Moi et l’entièreté de mon équipe municipale veilleront à améliorer votre quotidien. Je formule donc la décision d’être à votre écoute cette année durant. A l’écoute de vos difficultés, vos problèmes quotidiens, vos ambitions, vos faiblesses. Nous œuvrerons pour vous permettre une vie à la hauteur de votre potentiel individuel. Storybrooke, une ville, une vie. Fiers de notre héritage, ambitieux sur notre avenir. 2022 sera l’année de l’éclat. Avancer vers l’excellence. Persister dans l’amélioration de nos conditions de vie. Dans notre conduite irréprochable. Plus de justice, plus d’égalité, plus de confort."
Il promena son regard sur leurs faces semblables, toutes émerveillées, toutes naïves. Tout le monde rêvai à mieux. Et chacun ne demandait qu'une chose: être vu comme unique. Etre vu pour sa valeur. Il poursuivit avec force:
- Je crois en une ville et un peuple unis. Ensemble nous vous permettrons un développement économique. Ensemble, nous dynamiserons vos commerces. Ensemble, nous ferons face aux défis environnementaux. Ensemble nous bâtirons l’avenir de vos enfants en donnant une place de choix ! Ensemble, nous ne ferons pas le choix de la mise à l’écart de la culture. Ensemble, nous ferons régner l’ordre et la justice. Cette nouvelle année, voyons la comme une radieuse promesse, un objectif ! Une page d’un livre dont nous tenons la plume. Emparons-nous en et écrivons la plus belle des histoires..
.la Mienne . Il ne l'avait dit évidemment, mais c'était une évidence pour lui. Preminger ne prêchait jamais que pour sa paroisse.
- Une nouvelle fois, je vous souhaite une excellente Année 2022, que celle-ci vous soit prospère. Que vos rêves deviennent réalités. »
Il laissa les applaudissements retentir, les acceptant avec délice. Puis une fois le calme revenu, il déclama, désignant les mets et boissons :
- « Nous célébrons aussi..l’Epiphanie en ce jour. En ce jour, nous tirons les Rois. Etant moi-même, ancien Monaaarque, cette fête tient une place primordiale en mon coeur. Le devoir d’un Roi va au-delà de ses souhaits, il vogue au gré de ses grandes responsabilités. Pour son Royaume. Pour son Peuple » mentit-il éhontément « Aujourd’hui. Ne gardons que les réjouissances de ce titre. Les chanceux Roi ou Reine de la fête obtiendront nombre de cadeaux. Une exonération d’impôts de deux mois et une bouteille de champagne… Le plus chanceux, celui à la fêve d’or obtiendra au-delà d’une exonération d’impôt d’une année entière un week-end offert… Je vous rappelle que chaque part achetée accroitra notre budget municipal... Bonne chance à tous ! »
La chance n'avait rien à voir là dedans. Il savait pertinemment QUI était destiné à tirer la fève d'or... LUI... Il se mis à sourire sarcastiquement, descendant les marches, observant la foule parée de ses plus beaux atours. Un superbe collier de diamants ici, une montre hors de prix, une robe coûteuse, une paire de chaussures d'une maroquinerie privée. De jolis joyaux déambulaient sous ses yeux...lui rappelant ô combien Storybrooke possédait encore de richesses sur lesquelles il n'avait pu mettre la main. Mais aujourd'hui, alors que la masse se groupait innocemment ici, il en obtiendrait un grand nombre... Et cela même sans lever le petit doigt.
C'est dans la part du pauvre que l'on découvre son roi
Et c'est grâce au peuple que son roi a été guillotiné ?
Poussant un profond soupire d'ennuis, la montagne qu'était Sylvester était dans son coin en train de surveiller e qui se tramait. et pour intervenir au cas ou il y aurait des soucis. Son fils était donc avec la baby-sitters. En cette soirée, il état donc de service. Bon il aurait préféré être ailleurs que d'écouter le futur discours du maire. Bon, il ne l'avait pas voté parce que comme une intuition, il ne le sentait pas, ça lui rappelait ses mauvais font. Les cotés sombres qu'il préférait oublié pour son fils. Il ne disait pas d'ailleurs que s'était un homme sympa mais, il faisait au mieux. Sylvester était toujours partant pour faire la fête. Et être de la parti à la moindre animation. Tout cas sans utiliser son revolver. Cela dit même la décoration était trop culcul la praline à son gout avec des plume à tout va. Dans les ton couleur écru. Sylvester avait donc un smoking pour l'occasion. Un costume plutôt sombre pour passer inaperçu. Il avait donc prit un vers au passage. Une flute de champagne, au moins dans la salle, une douce odeur circulait pour le moment, surement du au gâteau de la pâtissière et ses bon talents. Il lui était arrivé de passer de temps en temps pour faire plaisir à son fils qui apprécie le sucre. Buvant une gorgée de son champagne. Il n'y a pas à dire, il préférait le whisky. En théorie, il n'était pas sensé boire durant son service, que dirait Jessie ? Et puis, après il se disait, qu'il se fondait dans le décor, après tout certains le connaissait pour sa belle descente d'alcool donc s'il ne prenait pas un verre ça semblerait étrange. Alors pour le moment, il était Sylvester PDG de "Sylver & Gold" Sa charmante couverture.
L'air de rien, il s'était donc décalé de son petit coin confort pour parcourir la salle et saluer certaines personnes. Potentiellement aussi de nouveau clients pour sa boutique ? Bien sur s'il ne tombait pas sur le loup.. la dernière fois, il n'avait pas bien apprécié qu'elle découvre que certaines chose était des copies mais s'était en parti pour sa couverture.. Pour démantelé certains réseau. Elle avait trop l'œil pour cela, heureusement pour lui, elle n'était pas la pour le moment. D'autre tête s'était greffé au paysage, dont une familière. Bien le bonjour très chère, j'ai comme l'impression que ce moment va être à noté dans l'histoire avec notre maire. Dit-il avec son verre à la main et un charmant sourire sur ses lèvres. Bien entendu son costume lui permettait aussi de meilleur déplacement et non loin de lui, il y avait son bâton pour un meilleur moyen de défense. Quelques minutes plus tôt, il avait inspecter la salle, s'il n'y avait pas des élément perturbateur. Et les deux gus du maire n'était pas présent comme pour le marché de noël, quand le plus bête avait failli mettre le feu à un stand, ils avaient peut-être été viré. Soit ils étaient en congés, soit ils en avaient eu marre de faire les aller retour pour rien. La charmante demoiselle s'était donc retourner Bonjour m'sieur. Très élégant ce costume ! Oui j'ai l'impression qu'il est bien décidé à noter l'histoire avec chacun de ses évènements Sylvester se retint de rire, elle ne le disait pas méchamment mais il avait senti le sous entendu. Merci, vous n'êtes pas mal non plus, Si ce n'était que l'histoire, je suis bien étonné qu'il n'y ait pas encore une statue géante à son effigie ? Peut-être qu'un jour il nous fera le coup d'avoir un magnifique gâteau grandeur nature de ses royal soulier ? Plus sérieusement tout ce passe bien pour vous ? Jessie se retint de rire en plongeant ses lèvres dans son verre gardant son sérieux. Affirmatif, tout semble sous contrôle par ici. Et du votre, pas d'incident à déplorer ? Sylvester hocha la tête, buvant une nouvelle gorgée de son champagne. Bien, non, mais il se pourrait qu'il y ait un futur braquage coté buffet raffiné au vu de l'envie de la dame un peu plus loin. J'espère aussi que les enfants se tiendront à carreaux et qu'ils ne feront pas de bataille de petit four. Ah et je dévaliserais peut-être le bar. Mais sinon rien de mon coté non plus. Les Sbires du maire ne sont pas dans les parages, je ne sais pas si c'est bon ou mauvais. Bien sur quand il avait mentionner le mot sbires s'étaient pour employer le nom des employées de la mairie. Ses deux là, l'avait marqué. Donc ne les voyant pas, il ne savait pas si s'était bon ou mauvais signe ? Surtout que sur le coup, il ne savait pas ce qu'il faisait là, il avait alors demander pour qui ils travaillaient l'un avait répondu la mairie, l'autre avait mentionner Erwin et son frère lui avait mit un coup dans le ventre. Il ne s'était pas réellement poser plus de question pour lui s'était la même chose. Jessie se pencha pour dire tout bas. dévalise le bar autant que tu veux mais après le service surtout ! Même si ça n’a aucun effet sur toi, je veux pas de remarque comme quoi je te favorise Il afficha une moue légère. bouhouhh quel dommage, le bar risque d'être horriblement triste de ne pas me voir arriver dans les minutes à venir. Ne t'en fais pas bar de mon cœur je viendrais à toi à la fin de mon service. Mais je comprend tout à fait, nous ne somme pas fait de la même manière avec un cœur en bonne santé. Je serais me retenir pour la soirée même s'il ne se passe pas grand chose durant mon service. Il rit doucement reprenant son serieux. Jessie fit un clin d'oeil. tiens… c’est vrai ça… le désastre n’est jamais loin quand ils sont la donc j’aurai tendance à dire que c’est bon… j’espère juste ne pas me tromper … Il n'était donc pas le seul à avoir remarqué cela. Nous verrons bien, nous seront la pour veiller au grain au besoin, en attendant profitons du discours d'un "roi" Jessie hocha la tête avec un sourire.
Puis, Sylvester avait écouté le charmant discours du maire encore une fois avec son deuxièmes verre de champagne. Gardant en mémoire ce qui avait été dit Citoyens, Citoyennes… Peuple de Storybrooke. Je vous adresse mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Qu’elle vous apporte joie, prospérité, santé et bonheur ! Moi et l’entièreté de mon équipe municipale veilleront à améliorer votre quotidien. Il hocha la tête en tout cas, il savait faire fort dans les discours, on pouvait lui reconnaître cela, il avait le blablah dans la peau. Il hocha simplement la tête. Fiers de notre héritage, ambitieux sur notre avenir. 2022 sera l’année de l’éclat. Avancer vers l’excellence. Persister dans l’amélioration de nos conditions de vie. Dans notre conduite irréprochable. Plus de justice, plus d’égalité, plus de confort. Bon pour le coup plus de justice n'était pas mauvaise, Sylvester allait bien voir ce qu'il allait faire. Il écouta donc le reste de son dialogue. Il esquissa un sourire, en portant un regard à l'attention de Jessie. Sur leur début de sujet avec l'histoire. Par respect il applaudit bien sur en faisant l'évité son verre avec un peu de vent histoire d'avoir les mains vide. Le démon n'avait pas trouver d'endroit ou poser son verre.
Le démon retenait qu'il fallait donc manger une galette pour avoir une chance d'avoir la fève. Willy aurait été tellement ravi... mais il se trouvait à l'appart avec la baby-sitters et le Fenrir son gros chien de défense. Dresser pour l'attaque, au moins ils étaient en sécurité la bas. Et il était tranquille pour faire son travail. Une fois qu'il avait terminé son monologue, comme tout le monde, il était donc parti pour prendre une part de galette.
Arya
Michel-Ange Turtles
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Bizarre ce gateau. Très bizarre pfiwhihi.
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Cause the eyes of a Ranger are upon youuuuuuuuuuuu
« Dégaine ! C’est à moi qu’tu parles ? »
En slip, mon flingue de service à la main, j’observais le miroir d’un air farouche et méchant. J’avais, suite à une mission d’infiltration à succès, rejoint à nouveau les rangs de la police. J’avais récupéré mon arme, mon insigne, et j’étais reparti pour des mois voir des années de loyaux services. Ma première nouvelle mission consistait simplement à surveiller le nouveau repas organisé par la mairie. Simple en somme. Mais on n’était pas à l’abri de futurs caïd. « Pose ce révolver bonhomme. » dis-je à mon reflet plutôt bien foutu.
Soudain ; la porte s’ouvrit à la volée, et mon frère Raphaël rentra en trombe. « Mich, tu vas être en ret... »
BAM. Le coup partie tout seul et explosa un vase peint à la main d’une valeur inestimable. Depuis mon retour en ville, je dormais dans le dojo attenant aux appartements de mon maître et papa. La balle sembla frôler Raphaël. Il me fixa, longtemps. Très longtemps. « T’es vraiment un malade. Pov’ tâche. » « Du con ! »
Il claqua la porte. Soupirant, je ramassais mes affaires, et je commençais à me vêtir. Il avait raison sur un point. J’allais être en retard si je continuais.
***
J’entrais dans la salle. Vêtu sommairement, d’un jean de basket et d’un tshirt comme à mon habitude. Pour marquer le coup, j’avais quand même acheter et mit un cuir, avec mon arme de service. J’avais hésité à prendre des lunettes de soleil, mais comme on était en hiver, je savais que j’aurai eu l’air d’un con. Les mains sur ma ceinture, je fronçais les sourcils et commençait à inspecter la salle. Moi, j’étais pas là pour la discrétion. J’étais là pour l’intervention. Si ça se passait vraiment mal. « B’soir. »
Je croisais une dame, qui me regarda étrangement. Quoi ? J’étais encore en slip ? Je vérifiais. Non, j’étais bien habillé, ouf. D’un coup d’oeil, je repérai Jessie, et aussi Sylvester. Mon nouveau partner. J’inspirai. J’étais un peu stressé. Mais je savais qu’on ferait une superbe équipe lui et moi. Je ne le connaissais pas du tout, mais vu sa carrure, je savais que c’était le genre de gars à boire des litres de bière sans tomber. Ca me plaisait. Je m’avançais vers eux, sans vraiment de discrétion. A défaut de me répéter, j’étais pas là pour ça. « Salut l’équipe ! »
J’étais un peu trop enjoué. Comme à chaque fois que j’étais stressé. Du coup, je passais ma main derrière la nuque. Avec un sourire un peu stupide. « Ah euh. Je me présente… Michel-Ange Turtles, je suis ton nouveau… partenaire. »
Ca, c’était vraiment chelou dit comme ça. Alors autant briser la glace.
« Je veux dire, pas petit copain. Juste partenaire. Equipier. Comme dans Walker Texas Ranger. Tu connais ? C’est un exemple pour nous tous ce gars non ? »
Je m’enfonçais. Mais bon, quand on s’enfonce, on avance quand même un peu non ? « Vous avez remarqué des gens suspects ? Y’a un mec qui reluque les fesses de toutes les filles. Je sais pas si c’est un comportement suspect. Chef vous en pensez quoi ? On l’arrête ? »
Je me tournais vers Jessie. Puis, je regardais Sylvester. « Dis donc tu passes beaucoup de temps à la salle toi non ? C’est bien, mais j’espère que t’es endurant. Les muscles ca ralenti les gens. Il faut être tonique dans notre métier ! »
Et, pour expliquer mon propos, j’attrapais un petit four avec une agilité et une vitesse surprenante, pour l’envoyer dans les airs puis directement dans ma bouche. « Technique de Ninjitsu. J’t’apprendrais. »
Sylvester A. Cynster
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Illustration de se regarder en chien de faïence
code couleur : #DC143C
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Sylvester gardait toujours en tête qu'il était sous couverture en mode costume pimpant. Quelques choses qui tape à l'œil. Il était donc en agréable compagnie avec sa cheffe du coup, histoire de passer le temps et d'écouter le fameux discours du maire qui se prenait pour le roi de SB. Bon s'était un peu ça. Entre temps, il était donc parti prendre une part de galette des rois. S'était histoire de faire plaisir, Sylvester n'était guère fan de la frangipane. Ou alors faire un gâteau à l'alcool... avec un peu de whisky dedans, la ça aurait été surement parfait ou même avec une binouz. Sauf que Jessie avait dit pas tout de suite pour aller enquiller l'alcool, après le service. De sa grandeur, il avait une vision sur tout l'horizon de la salle qu'il avait déjà longer en travers. Il ne manquait plus qu'à regarder en large. Salut l’équipe ! Sylvester baissa la tête. Bon sur ce coup là, il fronça légèrement les sourcils. Il était sous couverture donc fallait pas trop hurler qu'il était dans la police. Cela dit, Sylvester le trouvait amusant pour le coup. Ah euh. Je me présente… Michel-Ange Turtles, je suis ton nouveau… partenaire. Mhh s'était donc lui son nouveau co-équipier, depuis le départ du précédant, il allait devoir de nouveau se familiariser.
Je veux dire, pas petit copain. Juste partenaire. Equipier. Comme dans Walker Texas Ranger. Tu connais ? C’est un exemple pour nous tous ce gars non ? Sylvester était tomber sur une perle rare ! Il s'était retenu de rire au fait qu'il avait chercher à se justifier alors qu'il avait parfaitement compris ou il voulait en venir. Ne vous en faites pas j'avais compris ou vous voulez en venir après pour le plus si affinité c'est en dehors des heures de travails. disait-il avec un clin d'oeil. Walker ? Oh oui s'était le truc que son frère avait regarder il fut un temps. Bien sur que je connais, c'est avec Chuck Norris, l'homme que personne ne peut battre toujours vêtu avec un charmant chapeau de cowboy. On oubli pas les classiques. Avec une magnifique chevelure que tous rêve d'avoir
Sylvester l'appréciait déjà le ptit. Croquant un morceau de frangipane, ouai s'était très bon mais s'était pas sa tasse de thé. Vous avez remarqué des gens suspects ? Y’a un mec qui reluque les fesses de toutes les filles. Je sais pas si c’est un comportement suspect. Chef vous en pensez quoi ? On l’arrête ? Avalant son morceau. Mise à part de la dévoreuse du buffet, de l'absence des dumb et dumber, de mon coté je n'ai pas vu grand chose. En revanche, le fait qu'un gars reluque les fesses des demoiselle à mon avis ce n'est pas forcément suspect, juste pas approprié sauf bien sur s'il vérifie la talle réglementaire des jupes. Bien sur ce qu'il disait s'était dans l'ironie. En ce qui le concernait, Sylvester avait aussi parfois tendance à regarder les fessues des demoiselles, mais avec plus de discrétion. On peut toujours lui lire ses droits ça mange pas de pain qu'il soit prévenu ce qu'il peut encourir ? Mais à voir avec la cheffe.
Mich mich était en train de le regarder. Dis donc tu passes beaucoup de temps à la salle toi non ? C’est bien, mais j’espère que t’es endurant. Les muscles ca ralenti les gens. Il faut être tonique dans notre métier Il haussa un sourcil. Qui te dit que je passe beaucoup de temps à la salle ? Je suis venu au monde ainsi. Et je suis très endurant encore mieux qu'un étalon. Il s'entrainait mais sans plus non plus, le démon était juste bien gâté par la nature. En aucun cas, je ne te ralentirait, ça tu peux en être sur Il était passé du vouvoiement au tutoiement, après tout s'ils devaient faire équipe autant commencer maintenant. Il rit en voyant sa technique. Mhh.. ça marche.. et je t'apprendrais l'art de faire disparaitre les litres d'alcool. Il lui mit une tape dans le dos qui faisait décollé les poumons. J'taime déjà Michmich.
Arya
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Je roulais des yeux. Toujours voir avec la cheffe. J’avais rien contre Jessie en particulier, mais je savais qu’on devrait juste « faire attention ». C’était ce qui était logique, et ce qui était aussi le plus prévisible. Aussi, je préférai ne rien dire de plus. Attendant les ordres. J’étais quand même bien élevé, et les ordres, pour quelqu’un qui a grandi avec un père japonais, ça voulait dire ce que ça voulait dire. En revanche… Mon côté américain prit le dessus pour autre chose. Je tatais les bras de mon futur partenaire.
« Attends. Tu déconnes ? Genre, t’es né comme ça ? »
Je mis mes bras à côté des siens pour comparer. Je les tatais également. Ca n’avait absolument rien à voir. Pourquoi moi j’étais pas venu au monde comme ça ? Enfin pourquoi la malédiction m’avait fait si fluet ? Et pourquoi lui était méga balèse. C’était tellement injuste. « T’étais l’ex de Régina. C’est pas possible autrement qu’elle t’ait fait un corps comme ça. C’est dégueulasses ! »
Il me mettait aussi une bonne tête, et pourtant, j’étais pas si petit. C’était d’ailleurs rare que je vois quelqu’un sous cet angle là. Ah. Faire disparaître des litres d’alcool, ça je savais faire. « Après le service, je te montrerai comment on fait. La dernière fois, j’ai bu la moitié de mon poids en litre de bière. »
J’hochais fièrement la tête, heureux de cette affirmation. Les mains sur la ceinture, comme un vrai flic, je regardais à droite, puis à gauche. Non décidément, je ne voyais que les énormes bras de Sylvester. « Je le répète. C’est inégal. Enfin ça me rassure. Parce que vu ta carrure, c’est moi qui devrait conduire. Ou alors il nous faut un gros 4x4. Et ça c’est le top. Plutôt que les petites ford électriques, on aura droit au Hummer ! Hein chef ? »
Je lui demandais. Mais en même temps, c’était logique. Et puis, même si Sylvester rentrait pas dans le Hummer je pouvais le mettre à l’arrière, pour qu’il plonge sur les gredins et les voleurs de la pire espèce. Ca c’était un excellent plan, je m’y voyais déjà. Sursautant et revenant à moi, je regardais encore la salle. « Comment on peut parler autant et dire des choses qui ne veulent pas dire grand-chose ? Enfin, ça veut dire quelque chose. Mais c’est beaucoup de mot pour glisser des messages subliminaux pas forcément très perspicace. T’en penses quoi, Machine ? »
J’allais l’appeler comme ça. C’était une machine. Ca lui allait très bien. Et je suis sur qu’il serait fier du sobriquet que je lui avais trouvé. Il me faisait un peu penser à mon frère, Raphaël. C’était un bon point comme un mauvais point. Espérons juste qu’il soit bien moins têtu que lui. « Prems sur la conduite de la voiture. J’adore ça. J’ai eu mon permis que l’an dernier, donc faudra mettre un A. Mais on le customisera. A comme AMIS. Ou A comme ARPENTEUR DE FAUBOURG. Un truc qui claque quoi. »
Jessica B. Quartz
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Tu me manque...
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| Conte : Atlantide l'empire perdu | Dans le monde des contes, je suis : : kidagakash Nedakh
Jess était arrivé en retard un peu comme toujours une fois qu'elle avait eu à boucler certaines affaire dans son association. Elle avait même proposer au ronchon de Richard de venir mais il lui avait dis non. Qu'elle soupolet se disait elle. Elle se demandait parfois s'il sortait ? Ou s'ilé tait reclus dans sa maison prêt du lac comme un Hermite. Pourtant il était pompier... Certes il était peut-être un peu trop actif et qu'il voulait se reposer mais c'était pas une raison. Elle l'avait donc laisser en compagnie de son Maine coon Atlantis. En espérant, qu'il ne le fasse pas bruler... Elle était donc arrivé en grande pompe, elle avait quelques tenue en réserve pour des occasions. A présent elle était le plus clair de son temps focaliser sur son association. Elle voulait s'y mettre corps et âme puisqu'elle n'avait plus que cela. Elle serait donc bien, rester à Atlantide en apprenant donc lors de sa dernière expédition que son père était décédé... peu de temps après qu'elle ait été possédé par le cristal. Elle s'en voulait de ne pas avoir pu le sauver. A présent elle était devenu au rang de reine de l'atlantide, elle n'avait pas abandonné son peuple non loin de là. Elle avait juste besoin de se ressourcer un moment avant. Elle reviendrait quand elle serait prête à reprendre son rôle. Elle était donc rentré pour en apprendre plus pour que son peuple ne manque de rien.
Poussant un soupire, elle était donc rentrée pour cet évènement donner par la mairie. Elle se demandait aussi quel entreprise avait bosser la dessus ? Est-ce que s'était Emy ? Elle ne lui avait pas réellement poser la question ses derniers temps. Elle aurait pu lui envoyer un message mais si elle ne l'a voyait pas dans les parages c'est qu'elle n'avait peut-être pas organiser ça. La déco était réellement pas mal, la mairie voyait les choses en grand en tout cas. Elle avait donc écouter le discours du maire, bien trop alléchant à son gout, le discours pas le maire. Il n'était pas dans ses critères. Et puis, elle avait une tout autre personne en tête. Même si s'était compliqué entre eux. Elle s'était donc diriger vers le buffet ou se trouvait la fameuse galette. Après tout si elle trouvait ne serait-ce qu'une fève, elle ne serait pas autant embêter et encore plus si elle trouvait le truc dorée.
S'était bien trop parfait mais qui était elle pour juger ? Haussant les épaules elle profitait de l'instant présent. Un peu plus au loin elle avait donc vu la montagne... Son employeur de temps en temps, comme elle gardait Willy, le fils de Sylvester. Il avait l'air en bonne compagnie a sourire, ca lui changeait des air morose qui avait eu, il y a quelques mois. Bon elle n'allait pas aller l'embeter parce que bon... Il voulait peut être profiter.
acidbrain
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