« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
La manticore avait donc confié son enfant à Amalthea le temps qu’elle aille faire deux, trois courses, ou du moins de quoi se vêtir de nouveau. Elle avait retrouvé sa taille parfaite, de toute façon, elle ne restait pas sans bouger. Elle déposa un dernier bisou sur la joue de son fils. Maman revient bientôt, Marraine Amalthea veillera sur toi.. Son regard se posa sur la licorne. Veille à ce qu’il ne manque de rien. La manticore soutenait le regard de la licorne, toutes deux étaient différente. Amalthea était plus sur le coté lumineux et bienfaiteur, bon avec en soit une pars d'ombre mais s'était une licorne donc on pardonnait tout. Et Dewenty qui était plus tournée vers le mal et le coté obscure du coup. Il ne manquera de rien... mais si tu veux tu peux très bien le laisser à quelqu'un d'autre ? Avec les mois, la licorne avait su s'affirmer. Mais, elle savait que la licorne de craignait pas son poison.. toute substance liquide finissait purifié, alors à force elle avait abandonné l'idée. Enfin, presque puisqu'elle allait se rendre à New-York, pour trouver quelques ingrédient qui pourrait lui convenir pour ses futurs poison.
Elle savait que son fils serait presque sage mais, Amalthea savait y faire elle était plutôt douce avec les enfants. Elle était donc sorti pour prendre l'avion en aucun cas elle n'allait utiliser ses ailes. Bien qu'elles soient belle et sublime. La manticore avait prit le nécessaire quelques flacon de poison, de toute façon ses ongles en était rempli, une seule griffure pouvait être fatal pour certain à condition qu'elle libère la toxine.
Elle avait prit place dans l'avion profitant de cela pour se reposer un peu. Arriver à destination, Elle mit ses lunettes de soleil. Etre parmi des humains l'a m'était en rogne mais elle n'avait pas le choix pour aller chercher de dont elle avait besoin. Elle aurait bien demander à son ex de l'accompagner.. mais, il était déjà assez mal en ce moment. C'est pour cela qu'elle avait décider d'aller faire un tour du coté de New-York pour trouver des indices. Aguistin était son meilleur ami, une part d'elle était parti avec lui. Et elle voulait rétablir la vérité. Elle avait déjà perdu une personne qu'elle connaissait l'an passé et le fait qu'Agui avait disparu ne l'a rendait pas du tout à l'aise. Il ne répondait même plus au téléphone... Elle soupçonnait qu'une personne l'ai kidnappé.
En revanche, elle ne s'en revenait pas que son ex et son meilleur ami se soient mit ensemble.. vous imaginé pas le coup que cela lui avait fait. Sauf qu'elle ne pouvait pas aller à l'encontre des sentiments. Mais, voir Sylvester ainsi la rendait malade, certes elle l'avait haït pendant des années pour l'avoir abandonné quand elle avait perdu Elisa, mais elle comprenait la raison. S'était la faute des ses grand parents. Elle voulait l'aider à présent. Elle passa de bâtiments en bâtiment en essayant de trouver son odeur, surtout dans les lieux mal famé. Après avoir prit quelques plante. Et s'est à ce moment là qu'elle avait entendu du bruit. Dewenty s'était avancé pour voir de plus prêt. Une embrouille avait eu l'air d'éclater et un homme était présent. Son visage lui était familier. Elle l'avait vu lors d'une fête quand elle était avec Leo. Son nom ne lui revenait pas puisqu'elle n'avait pas spécialement eu affaire à lui. Pour le coup ce n'était pas son soucis qu'il se bat avec des gens, c'était son problème pas le siens. Elle continua donc ses recherches, quand finalement l'embrouille venait à elle. Poussant un soupire. Vous pouvez pas faire moins de bruit ? Je cherche quelques choses ! Elle posa après ça, sa main sur sa hanche et fit un rapide salut. Bonjour au passage. Elle ne manquait pas de grâce.
Gajeel était à New-York… Oh ce qu’il aimait cette ville ou la mort d’une personne pouvait passer inaperçu, ou le monde tournait même avec les gens blessés sur le sol… ou un enfant pouvait vivre tranquillement sans avoir à penser à sa famille qui le cherche… New-York avait été la ville qui lui avait permis de vivre sa meilleure vie.
Bien sûr, il avait dû caché le fait qu’il était un super mage de métal, et un chasseur de dragon, mais ce n’était pas grave … tout ça n’était qu’un détail pour vivre une bonne vie au milieu des gens que personne ne voyait, ou ne voulait voir.
Cependant, ce n’était pas du goût de tout le monde qu’il revienne dans la ville qu’il avait quitté du jour au lendemain … ce n’était pas comme s’il avait tué quelqu’un avant de partir … en faite, si deux personnes … mais l’un des deux lui avait demandé ça ne comptait pas !
Donc, il s’était assez vite retrouvé avec la bande rivale de son ancien chef pour l’entourer. Il n’avait pas envie de se prendre la tête et relevait un sourcil à leur réflexion des plus idiotes … surtout que tout avait un rapport avec ce qui se cachait dans son caleçon… Il roulait des yeux.
Gajeel n’avait jamais été le genre à comparer qui avait la plus grosse … la plus grande puissance magique, si… le plus beau chat aussi … ce qui était de l’entre-jambe … ça ne le dérangeait pas que ça reste entre les autres et leurs mains. Il sentit une odeur dont il se désintéressa totalement… Si seulement tout le monde pouvait avoir le même cerveau que lui.
- Hé là, ma poulette.
Il se déplaçait vers une femme …il avait beau essayer de la remettre, il n’arrivait pas à savoir où il l’avait déjà vue … peut être en photo, dans un tabloïd ? Vue sa tête de princesse, il était sûr que ce n’était pas le cas … puis elle sentait des odeurs qu’un chasseur de dragon pouvait rapidement mettre dans la catégorie … « danger ». Gajeel lui fit un signe de la main.
- Tu cherches quoi dans les bas-fonds de New-York ?
Ouais, il la tutoyait même s’il était pas sur de qui elle était … il pourrait même faire comme s’il la connaissait … parce que ça énerver ses interlocuteurs qu’il ne s’occupe pas d’eux … C’étaient de gros bébé en faite …
- Je suis pas sur que tu le trouve ici. Tu veux de l’aide ?
Sa proposition d’aide n’était là que pour faire chier les deux autres personnes … mais ça les autres n’avaient pas à le savoir.
Hé là, ma poulette. Poulette ? Les sourcils de la manticore s'était légèrement froncé mais elle passa outre pour laisser son visage de charmante demoiselle. Une vrai poupée sauf en plus dangereuse mais personne ne pouvait s'en douter. Elle était rempli d'une toxine fatal. Son regard s'était don porté sur la voix en question. Elle n'était pas de mauvaise humeur donc pour le moment elle ne voyait pas pourquoi elle tuerait toute les personnes présente dans le quartier. Tu cherches quoi dans les bas-fonds de New-York ? Toujours avec son sourire sur le visage, elle avait surement suivis sa logique désirait-il faire ami-ami parce que ses être humains sur le coté en avait après elle ? Elle n'avait pas réellement besoin d'un preux chevalier. Ce que je cherche ? à tuer le temps bien sur, je me suis dis qu'ici s'était l'endroit rêvé pour s'amuser ? Les hommes n'ont loin de là avait surement un sourire sur le visage même s'il n'avait aucune chance avec la manticore. Dewenty était en train de rire légèrement. Elle garda son regard sur l'homme de métal, se rapprochant de lui. M'aider ? Oh.. et bien oui pourquoi pas. En réalité je cherche des informations sur une disparition.. mais peut-être que ses hommes, on une quelconque informations ? Même si elle savait que de nombreuses personnes disparaissait que ce soit pour du trafique d'organes que pour liquidé des personnes ou un règlement de compte.
Elle serait de l'avis de les faire parler ? Sous la torture ? Même s'il ne savait rien peut-être lui servirait-ils de repas du soir ? Non.. bien trop dégoutant à son gout vu comment ils traînaient dans la ville de New-York et de l'odeur qu'ils pouvaient dégager.. ce n'était guère son centre d'intérêt. Contrairement à l'homme de métal qui avait une odeur agréable.
Et toi ? que fais-tu ici ? Toi aussi tu es venu tuer le temps ? Tu t'ennuis à StoryBrooke ? Pas assez de Challenges ? Par contre les boulets qui se trouvait derrière commençait à lui porter sur le système avec les sifflements. Elle avait quelques aiguilles avec elle... devait-elle les endormir ou bien les éliminés ? Bon cela dit Gajeel pouvait être un témoin qui voudrait la conduire chez les flics. Et elle n'avait pas réellement envie de le suivre surtout pour aller la bas. Elle ne pouvait cependant pas aller à l'encontre de ce qu'elle était réellement ?
Gajeel était presque sûr d’avoir compris le problème de la jeune femme quand il l’appela « sa poulette »… Il sourit. Elle était de Storybrooke… elle était forcément différente de ce qu’elle paraissait … et il aurait pas aimé être les hommes. Il fit un sourire … pas qu’il appréciait plus que ça la brune, mais savoir qu’elle était autant agacé que lui par les inconnus le faisait sourire.
Un des hommes essaya de répondre qu’il y avait des meilleurs endroits pour passer le temps … mais Gajeel l’entendit à peine alors qu’il réfléchissait sérieusement à la question.
- Selon ce que tu cherches, tu n’es pas trop au bon endroit. Si tu veux du sexe, il y a des maisons closes pas loin. Des combats, il y a une salle pas loin. Pareil pour les paris.
Il entendit un « mais tu nous ignores en plus » alors que … en effet, il les ignorait complètement pour réfléchir à la problématique de la jeune femme … Il réfléchissait à ce qu’il ferait pour passer le temps … dormir … plus ou moins … c’était un bon passe-temps de dormir.
Gajeel réfléchit encore plus alors que l’un des hommes avait commencé à s’approcher un peu plus de lui, avec ce qu’il semblait être un couteau en alliage renforcé … Gajeel était sur qu’il serait super bon à manger… il avait envie de le manger. Le couteau, pas l’homme.
- Tu devrais aller dans les salles de paris alors, c’est là où il y a le plus de monde, d’endroits différents. Si quelqu’un à fait liquider une autre personne, il passera par là bas.
Un des hommes l’attaqua alors, il lui prit le couteau des mains, et l’envoya dans le mur alors que la jeune femme pouvait très bien arrêter celui qui compter la prendre comme otage… comme si toutes les femmes étaient plus faibles que les hommes… Ce cliché était désespérant.
- Je suis venue rendre un service. Un vieux ami me l’a demandé, et je lui dois bien ça. Sinon, j’aurais préféré rester chez moi, clairement. Surtout qu’on ne peux pas appeler ces types des « challenges ».