« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

-19%
Le deal à ne pas rater :
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H -16Go/512 Go
1299 € 1599 €
Voir le deal

Partagez
 

 Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
2 participants
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage


Meredith P. Newton
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Meredith P. Newton

| Avatar : emily blunt

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w
it's complicated to explain

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Reveus10

| Conte : mary poppins
| Dans le monde des contes, je suis : : mary poppins

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Childh10

| Cadavres : 1606



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-09-14, 19:11

♛ Attention, porte de WC défaillante
meredith & debbie

▼▲▼

Me levant de ma chaise, je m’étire et tente de calmer la douleur de mes lombaires dû sans doute aux quatre longues heures que je venais de passer assise sur cette maudite chaise à travailler sur cette peinture que le musée venait de recevoir. J’avais donné ma démission pour travailler à temps complet à l’Orphelinat mais j’avais encore quelques semaines à faire alors je le faisais. Je devais terminer ce travail pour pouvoir enfin faire quelque chose qui me plaisait vraiment. Cependant, passer le déjeuner toute seule, c’était pas une idée qui me plaisait clairement des masses. C’est sans doute pour cela que j’ai proposé à Deborah de venir déjeuner avec moi. Regina proposait de nouveaux menus avec la rentrée et je dois avouer que ça me tentait bien. Enfin j’allais quand même prendre le temps d’en discuter avec Deborah pour savoir ce qu’elle voulait faire.

La dernière fois que l’on s’était vues toutes les deux, je n’avais fait que lui parler de ma relation amoureuse qui était clairement au point mort depuis quelques temps, je me posais beaucoup de questions mais peu importe. Attrapant mon sac, oui le sac magique, je me dirige jusqu’aux toilettes. Posant mon sac sur le lavabo, j’entre dans les toilettes avant de fermer la porte, sans me rendre compte que pour être bloquée, elle était vraiment bloquée. Heureusement pour moi, j’avais mon portable avec moi, oui j’aime bien faire des jeux sur mon téléphone pendant que…enfin vous avez saisi l’idée.

Tentant tant bien que mal après un bon quart d’heure d’ouvrir la porte, je soupire et me résigne. En plus, j’avais laissé mon sac sur le lavabo, je ne voulais pas que quiconque s’en empare. Bon dernière solution. Je me saisis de mon portable et envoie un sms à Deborah.

Spoiler:

J’ignorais trop pourquoi mais j’étais sûre d’en entendre parler encore un bon….moment de cette histoire. Un bon quart d’heure plus tard, j’entends la voix reconnaissable entre mille de Deborah.

« Debbie ! Dieu merci ! Je suis dans les toilettes, la porte veut plus s’ouvrir ! » lançais-je alors.     

CODAGE PAR AMATIS

https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80965-i-suspect-and-i-m-nev https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89458-appartement-de-meredith-quartier-est#1283285 https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80975-theralmarypoppins_


Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w

- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-09-14, 20:55 « Sarcasm: punching people with words. »

Cette matinée-là j'avais reçu un sms de Meredith me demandant si j'acceptais de déjeuner avec elle ce midi-là et j'avais accepté, impatiente de lui demander si elle m'invitait parce qu'elle n'avait pas d'amie comme moi ou pas d'amie autre que moi. Je comptais aussi sur elle pour payer le déjeuner, tant qu'à faire, même si j'avais largement les moyens pour tous les restaurants de la ville. Elle me le devait bien puisqu'elle s'offrait ma présence ! Non ?
La dernière fois que nous avions réellement passé du temps ensemble c'était au cours de l'été, sur la terrasse de mon manoir. Elle était venue me parler de son amoureux, Woody, et n'avait fait que parler de ça. Ce jour-là les chemins ne menaient pas tous à Rome, mais à lui. Personnellement je préfère quand tous les chemins mènent à moi mais, politesse oblige, j'avais écouté et même conseillé l'amoureuse qui se posait beaucoup trop de questions pour son propre bien. Evidemment qu'elle avait le droit de retomber amoureuse maintenant que son premier amour - Berk pour les intimes - bouffait les pissenlits par la racine ! Elle était bien trop canon pour pour finir vieille fille et se rider comme une vieille pomme abandonnée dans un coin !
Heureusement, elle avait fini par intégrer tout ça et depuis, plus de nouvelles. Sans doute était-elle trop occupée à filer le parfait amour avec son cowboy ou, pire, à apporter du bonheur aux petits orphelins de la ville. Jusqu'à cette fin de matinée-là. Je me demandais de quoi nous allions bien pouvoir parler. Peut-être avait-elle commencé l'équitation ? Ou alors elle s'était mise au lasso pour imiter son jules Woody. J'aurais presque pris un pari avec Colère mais la veille il avait perdu au Loto et était depuis d'une humeur plus massacrante que d'ordinaire. J'avais donc abandonné l'idée et, vêtue d'un tailleur impeccable et sur-mesure, j'avais quitté le manoir suffisamment en avance pour ne pas avoir une demi-heure de retard mais suffisamment tard pour me faire désirer.
Je marchais d'un pas lent, la tête haute, dans les villes de Storybrooke et toisais à peu près tous les badauds qui croisaient mon chemin, quand mon téléphone vibra. Le nom de Meredith s'afficha. Si elle téléphonait pour décommander à la dernière minute parce que son jules lui avait fait la surprise devenir manger avec elle, j'allais la tuer. On ne décommande pas Deborah, pas même en cas de décès, rupture de la poche des eaux ou arrêt cardiaque soudain. M'arrêtant (principalement parce que j'ai horreur des gens qui regardent leur téléphone en marchant puisque généralement ils ne regardent plus où ils marchent), je déverrouillai le téléphone pour y lire un message des plus réjouissants.
Façon de parler, en tout cas.
Un sourire mesquin sur les lèvres, je tapai nonchalamment ma réponse :

Bouge pas, j'arrive pour te sauver.

J'attendis encore quelques secondes (pour l'effet) et ajoutai :

Oups. Tu ne peux pas bouger, c'est vrai, j'avais oublié.

Et encore un instant plus tard :

Ou pas. Allez bisous ! xoxoxo

Fière de moi (ce que je suis toujours), je rangeai le téléphone et décidai de ne plus y toucher avant mon arrivée au musée, marchant d'un pas lent en sa direction. De toute façon elle n'allait pas s'enfuir, pourquoi me serais-je pressée au risque d'abimer les talons hauts ?
Mes grandes jambes aidant, j'arrivai toutefois assez rapidement au musée et y entrai comme s'il m'appartenait. Si j'avais été garce, je serais d'abord aller voir une expo, juste pour le plaisir de faire attendre Meredith, mais je n'avais pas tellement envie de payer un billet juste pour la blague. Je pris donc immédiatement la direction des toilettes où je trouvais le sac à main de mon amie.
- Eh bah dis donc, commentai-je en m'accoudant aux lavabos, on dirait que t'es bien dans la merde. Métaphoriquement et peut-être littéralement, mais j'ai pas trop envie de savoir, ajoutai-je en jouant avec l'une des lanières du sac. C'est ton sac TARDIS qui traine-là ? Ca t'ennuie pas si je farfouille dedans, j'imagine ? demandai-je en feignant d'avoir vraiment un quelconque intérêt pour la réponse. Bah, de toute façon, c'est pas comme si tu pouvais m'en empêcher, remarque... Voyons voir, commentai-je en y plongeant la main au hasard. Promis, si je trouve un truc pour te libérer, je te fais signe ! assurai-je en me tournant vers la porte. Ca va toi, sinon ? A part l'enfermement, je veux dire. T'as essayé de tourner le loquet dans le sens inverse de celui que tu avais tourné pour fermer au moins ?


Meredith P. Newton
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Meredith P. Newton

| Avatar : emily blunt

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w
it's complicated to explain

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Reveus10

| Conte : mary poppins
| Dans le monde des contes, je suis : : mary poppins

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Childh10

| Cadavres : 1606



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-10-09, 21:59






Meredith & Deborah


Attention, porte de WC défaillante

J’étais enfermée dans les toilettes. Je m’étais réellement enfermée dans les toilettes, cette maudite porte ne s’ouvrait pas. J’avis rendez-vous avec Debbie et par chance, enfin peut être, je ne sais pas trop, elle allait venir m’aider. Mais j’étais certaine que j’allais en entendre parler. Assise sur la cuvette des wc, je soupire en restant là, à attendre. Un léger sourire perle néanmoins sur mes lèvres quand je reçois la réponse de Deborah.

Quelques temps plus tard, elle finit par arriver et entre dans les toilettes.

« Debbie ! Tu es ma sauveuse. Eh ne t’inquiètes pas, je suis dans la merde métaphoriquement parce que je suis quand même bien plus classe que ça. » énonçais-je alors.

Je suis tout de même à peu de choses près parfaite en tout point. Mon sac, mon sac, elle allait s’amuser avec mon sac et il y avait clairement certaines choses sur lesquelles je ne voulais pas qu’elle tombe qui se trouvait dans ce dit sac. Je pousse un soupir avant de reprendre la parole en tapant contre la porte.

« Debbie…il y a des trucs qu’il vaut mieux pas que tu vois dans mon sac…sale profiteuse ! » énonçais-je en ayant un léger petit rire « eh oui sinon ça va, je suis enfermée dans les toilettes et oui j’ai tourné le loquet dans le sens inverse et il tourne dans le vide. » énonçais-je alors à la jeune femme « j’ai faim, t’es en train de fouiller dans mon sac et en prime, je suis enfermée dans les chiottes. C’est vraiment une journée pourrie. » soufflais-je.

belle âme
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80965-i-suspect-and-i-m-nev https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89458-appartement-de-meredith-quartier-est#1283285 https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80975-theralmarypoppins_


Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w

- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-10-09, 23:13 « Sarcasm: punching people with words. »

On va pas se mentir : entrer dans une pièce et recevoir pour accueil un "Debbie ! Tu es ma sauveuse" avait quelque chose d'extrêmement plaisant. Même si dans les faits je venais de rentrer dans les toilettes des dames et qu'il y avait très peu d'endroits moins glamours que ça. Je n'en étais pas moins aujourd'hui la sauveuse de Mary Poppins en personne et ça, elle allait en entendre parler LONGTEMPS. D'ailleurs, elle devait déjà s'en douter. Heureusement pour elle, je ne devais pas en plus la secourir d'un épisode de diarrhée particulièrement intense car, si elle avait osé m'appeler pour ça, c'est bien simple je ne serais jamais venue. Pour la citer : je suis quand même bien plus classe que ça.
Et aussi plus mesquine mais ça aussi Meredith le savait. Quand on devenait ami avec moi on le fait en sachant à quoi on s'expose et d'autant plus quand on devient mon amie ET qu'on m'appelle à l'aide. Je l'ai assez souvent dit : y a pas marqué la Croix Rouge sur mon front. Et pourtant, je suis bien là, prête à aider Meredith en profitant juste ce qu'il faut de la situation. Presque une sainte, en somme. Une grande âme en tout cas, à n'en pas douter. Et aussi, un peu, voire beaucoup, une profiteuse. Mais, contrairement à plein de gens, au moins, moi, je ne m'en cachais pas.
- Sale non, la corrigeai-je nonchalamment en continuant mon exploration du sac à main magique. C'est pas moi qui suis présentement coincée dans un nid à bactéries sans avoir pu me laver les mains après avoir fait ma petite affaire. Mais profiteuse, oui, je te l'accorde, repris-je en faisant mine de réfléchir à la question. Profiteuse ET altruiste, cependant, ajoutai-je.
Je venais en effet de tomber sur un objet inintéressant au possible mais qui lui serait bien utile et, parce que j'étais un peu trop bien occupée près de son sac à main, je le fis rouler par terre en direction de sa cabine de toilettes. Le petit flacon de gel hydroalcoolique fila tout droit, comme une minuscule boule de bowling. Le seul souci c'était que si Meredith n'était pas suffisamment alerte et qu'il se cognait contre le mur derrière son trône, il risquait de repartir dans l'autre sens et elle ne pourrait toujours pas se laver les mains. Mais est-ce que c'était réellement mon problème, ça ? La question mérite d'être posée. De la même façon, celle de l'utilisation à bon escient du loquet des toilettes avait aussi mérité d'être posée et, heureusement pour sa soi-disant presque perfection, Meredith avait essayé de le tourner dans le sens inverse avant de m'appeler à l'aide. Si ça n'avait pas été le cas je serais partie direct et tant pis pour elle. J'ai pas la patience pour aider les cons, excusez du terme, et j'ai déjà assez de boulets dans ma vie comme ça.
Dans celle de Meredith, je sentais toutefois autre chose que des boulets. Certes, je ne la retrouvais pas dans une situation particulièrement agréable (pour elle, du moins) et elle avait légitimement le droit d'être à cran - surtout si elle était claustrophobe - d'autant plus qu'elle avait faim. Mais quand même : dire que sa journée était pourrie alors qu'elle allait déjeuner avec moi... Si j'avais pas été dans un bon jour, en train de découvrir touuuuus ses secrets enfouis dans son sac à main, je l'aurais mal pris.
- Je dirais que c'est seule une partie de journée pourrie, la corrigeai-je d'un ton tranquille et professoral. Tu es quand même coincée dans les chiottes AVEC Deborah Gust pour seule compagnie. Y a plein de gens qui tueraient pour moins que ça. Enfin, nuançai-je, je TROUVE que plein de gens DEVRAIENT être prêts à tuer pour ça mais dans le fond c'est presque pareil. Moi aussi j'ai faim, à propos. C'est pour ça que je vais...
Je n'achevai pas cette phrase, du moins pas oralement. Dans ma tête j'avais songé à décréter, un peu solennellement, que c'était bon, j'arrêtais mon manège et je commençais pour du vrai à tenter de la sortir de ce merdier, mais mes doigts venaient de s'emparaient de quelque chose de bien trop intéressant pour que je ne poursuive pas mon exploration.
- ... Je vais un peu continuer mon inventaire parce que l'appétit vient en découvrant les secrets de ses copines, conclus-je finalement en extirpant un canard en plastique du sac à main.
M'adossant contre les lavabos, j'observai l'objet à la lumière cru du plafonnier, un peu fascinée par ce que ma découverte impliquait. Ce petit canard était bien plus intéressant que la découverte de sa marque de tampons, du roman le plus honteux de sa bibliothèque ou de la photo de Dwayne Johnson suffisamment fripée pour qu'on devine qu'elle avait souvent été manipulée. Non pas que les plaisirs solitaires soient une mauvaise chose. Bien au contraire. Mais imaginer une nounou anglaise s'y adonner et éprouver le besoin manifeste de se promener avec son gadget dans le sac à main, c'était pour le moment inattendu. Choquant, d'une certaine façon. Extrêmement jubilatoire de l'autre.
De l'autre côté de la porte, Meredith devait se douter que j'avais mis la main sur quelque chose de spécial car je ne parlais plus depuis quelques instants déjà. J'espérais un peu qu'elle panique, qu'elle imagine le pire ou bien ce que je pouvais bien penser d'elle, maintenant que je savais.
- Je savais pas que t'aimais les canards, commentai-je finalement pour briser le silence. Sainte Mary Poppins n'est donc pas une nonne innocente, en fin de compte... C'est bon à savoir, approuvai-je. Hâte que tu picoles un peu trop pour que je te voies te vautrer dans la luxure et dire des trucs cochons à ton amant. Pense à m'appeler si ce jour arrive et que je ne suis pas déjà présente. Du coup, repris-je en tapant des mains, reposant volontairement le canard sur le lavabo, histoire qu'elle soit obligée de le voir quand elle sortirait de la cabine. Je t'ouvre maintenant ou j'attends parce que tu as soudain très chaud et que tu es rouge d'embarras comme un homard sorti du four ? Je voudrais pas te mettre mal à l'aise - enfin, pas plus que tu ne l'es déjà, s'entend, corrigeai-je par souci d'honnêteté.


Meredith P. Newton
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Meredith P. Newton

| Avatar : emily blunt

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w
it's complicated to explain

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Reveus10

| Conte : mary poppins
| Dans le monde des contes, je suis : : mary poppins

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Childh10

| Cadavres : 1606



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-10-10, 15:07






Meredith & Deborah


Attention, porte de WC défaillante

Pourquoi ? Vous pouvez me dire pourquoi, je n’avais pas vérifié que cette saleté de verrou fonctionnait avant d’entrer dans les toilettes ? Une chance que j’avais pris mon portable avec moi. Après tout, j’aurais pu utiliser la télékinésie mais ça aurait été assez chaud de faire passer pour sac sous la porte. J’étais donc coincée dans les toilettes et Debbie fouillait tranquillement dans mon sac. Bien malgré moi, cela faisait naître un léger sourire sur mon visage même si j’espérais qu’elle ne tomberait pas sur certaines choses qui se trouvent à l’intérieur de ce dit sac. J’attrape la petite bouteille de gel hydroalcoolique qu’elle venait de faire glisser sous la porte.

« Merci Debbie. » énonçais-je à la jeune femme « Oui, très chère, tu es altruiste. » énonçais-je avec un léger sourire néanmoins.

M’humectant les lèvres, je referme le flacon de gel avant de fermer les yeux quelques instants. J’espérais que ma télékinésie pourrait m’aider mais bon, le loquet continuait de tourner dans le vide et ça commençait gentiment à me saouler. Me mordant la lèvre inférieure, je reprends rapidement la parole quand la rouquine reprends la parole.

« Oui oui, une seule partie de journée pourrie vu que tu as gentiment accepté de venir déjeuner avec moi. » énonçais-je alors que je l’entendais soudainement devenir muette.

Elle fouillait toujours dans mon sac, je l’entendais mais par contre, sur quoi était-elle tombée pour qu’elle ne fasse plus de bruits d’un seul coup. Quand le mot canard parvint jusqu’à mes oreilles, je me raidis soudainement et devint rouge, véritablement rouge.

« Debbie… » soufflais-je à travers la porte avant de redevenir muette parce que j’étais tout de même assez embarrassée de ce qu’elle venait de découvrir me concernant. Je dois bien avouer que dans un sens, ça me faisait quand même légèrement sourire qu’elle découvre ça sur moi mais en même temps, je restais Mary Poppins et j’avais une réputation « à peu de choses près parfaite en tout point » et si ça se savait… Je me lève et cogne contre la porte alors que je commençais à quand même avoir un peu chaud vu la situation et surtout vu la merveilleuse claustrophobie qui me trainait sur la gueule depuis pas mal d’années maintenant.

« Debbie, tu serais vraiment un amour si tu m’aidais à sortir de cette cabine s’il te plait. » énonçais-je alors presque en suppliant, mais dans la limite du raisonnable bien sûr « je crois que là, tu ne pourras pas me mettre plus mal à l’aise que je le suis déjà. » énonçais-je alors « et pour répondre à ta question, les canards, c’est les plus pratiques. » ajoutais-je alors.

belle âme
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80965-i-suspect-and-i-m-nev https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89458-appartement-de-meredith-quartier-est#1283285 https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80975-theralmarypoppins_


Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w

- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-10-10, 17:22 « Sarcasm: punching people with words. »

Je n'avais pas besoin que Meredith confirme que je suis altruiste : je le savais déjà. En fait, je l'ai toujours su, depuis toujours, depuis aussi longtemps que j'existe. Les émotions sont toutes altruistes, chacune à leur manière. Il n'y a que la limitation mentale des Hommes qui les poussent à croire que seule Joie aide à avancer dans la vie. Parce que ça serait, rien que dans le cours de l'Histoire, si seule Joie pouvait faire avancer les choses. Néanmoins, je n'étais pas mécontente d'entendre Meredith abonder dans mon sens. Il y a si peu de personnes en capacité de bien utiliser leur cerveau et leur bouche en ville que, même si c'est pour déclarer des évidences, les rares qui le font font toujours bien de s'exprimer.
Remarquez, ils feraient tout aussi bien de parler avec le même aplomb lorsque leurs vilains petits secrets sont révélés au grand jour, histoire de vaguement donner l'impression de les assumer mais, bizarrement, y a jamais plus personne pour ce faire. Pas même Mary Poppins.
Au lieu de relever fièrement la tête (même si je n'allais clairement pas le voir, j'aurais au moins pu l'entendre au son de sa voix) je n'avais pas besoin d'un regard à rayon X pour savoir que derrière la porte de la cabine défaillante se trouvait à présent une jeune femme embarrassée aux joues rosies, désolée que sa réputation de femme modèle ait été si durement atteinte, tout ça à cause d'une histoire de toilettes bloquées. Et de ma curiosité mesquine, certes. N'empêche : on ne récolte que ce que l'on sème alors si on ne veut pas récolter des allusions sexuelles, on ne sème pas des canards en plastique dans son sac à main. C'est quand même pas très compliqué à comprendre, si ?
Curieusement, au lieu de chercher à se justifier à grand renfort de "non mais c'est pas ce que tu crois" ou bien "oh j'avais complètement oublié que c'était là" ou encore "je te jure ce n'est pas à moi, je ne comprends pas ce que ça fait là et d'ailleurs tu peux le jeter à la poubelle sur le champ" ou bien d'assumer en parlant de son plaisir intime quitte à fournir beaucoup trop de détails sur l'affaire, Meredith préféra taper contre la porte de la cabine. Ouais, on repasserait donc pour la subtilité et la finesse anglaises, en d'autres termes.
J'avais cependant droit à des suppliques modérées qui firent gonfler mon égo et étirèrent mon sourire. Finalement, Meredith avait peut-être un sac à main TARDIS parce qu'elle était claustrophobe et ne supportait pas les espaces clos au point de ne pas aimer y mettre ne serait-ce que la main. Car il n'y avait qu'une angoisse irrationnelle pour lui faire soudain perdre son sang froid, non ?
Décidée à effectivement être un amour (au sens conventionnel du terme car à mon propre sens je pense toujours être un amour, quelles que soient les circonstances) et satisfaite par ma petite exploration de sac à main (c'est donc vrai : le sac à main d'une femme vous en apprend énormément sur ladite femme et est, en cela, un peu à son image, comme les chiens avec leur maître), munie de ma carte de crédit, je m'approchai enfin de la porte de la cabine pour sortir Meredith des toilettes - puisqu'il fallait l'en sortir métaphoriquement ; si elle avait été coincée DANS la cuvette (et en partant du principe que j'aurais accepté de lui porter secours dans une telle éventualité, ce qui, dans les faits, n'aurait jamais pu être le cas) il aurait été préférable que je m'arme d'une ventouse pour la visser sur le haut de sa tête et tirer en espérant ne pas dissocier la tête du reste du corps (ce qui serait dommage étant donné qu'elle est jolie du visage ET bien foutue du corps).
- Si tu veux mon avis, soufflai-je sur le ton de la confidence, comme si elle était au confessionnal et que notre conversation ne devait surtout pas être surprise, the sky is the limit quand il s'agit d'humiliation. Mais je suis d'accord, tu as eu ta dose quotidienne, Sainte Debbie a entendu tes prières et vint te délivrer du mal car c'est à elle qu'appartiennent le règle, la puissance et la gloire pour des siècles et des siècles. Amen, conclus-je solennellement.
L'instant d'après, je faisais coulisser ma carte dans l'interstice entre le cadre de la porte et le battant bloqué et commençai un minutieux processus du va et vient pour faire reculer le pêne qui bloquait la sortie de Meredith. Il ne me fallut alors que quelques secondes pour que la porte s'ouvre. A présent face à Meredith et encadrée certes pas par une auréole (bien que je la mérite totalement) mais par le cadre de la porte et le contre-jour de la lumière, je lui intimai, dans une réinterprétation du Christ face au malade, d'un ton solennel :
- Lève toi et sors !
Y a pas de doute, on devrait sérieusement penser à me diviniser fissa. Je fais tellement de miracles tout le temps que Jésus lui-même va finir par être jaloux. Faudrait peut-être que je crée un culte autour de ma personne aussi, maintenant que j'y pense. On serait qans doute peu nombreux, en tout cas les premiers temps, parce qu'il y a beaucoup plus (trop) de débiles sur Terre que de personnes qui me méritent mais avec le temps ça pourrait prendre. Si une connerie pareille que le christianisme a pu convertir la moitié de l'humanité, l'Ordre du Dégoût peut tout aussi bien fonctionner.
Chassant cependant ces merveilleuses pensées de mon esprit, je fis tournoyer ma carte de crédit entre mes doigts, l'observant avec fierté comme si c'était la Baguette de Sureau - alors qu'en soi, une carte de crédit c'est bien mieux qu'un vieux bout de bois pour faire de la magie.
- Etonnant ce qu'on peut faire avec de si petites choses, pas vrai ? demandai-je sans quitter mon petit jeu du regard. Alors, ça va mieux maintenant, ma cane ? poursuivis-je en souriant, croisant son regard de nouveau.


Meredith P. Newton
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Meredith P. Newton

| Avatar : emily blunt

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w
it's complicated to explain

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Reveus10

| Conte : mary poppins
| Dans le monde des contes, je suis : : mary poppins

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Childh10

| Cadavres : 1606



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-12-04, 13:33






Meredith & Deborah


Attention, porte de WC défaillante

La honte. Clairement, c’était tout bonnement la honte. Je ne m’étais sans doute jamais sentie aussi honteuse de ma vie. Il faut croire que Mary Poppins était bien loin de Meredith Newton. Je voulais juste sortir de cette maudite cabine. Finalement, la rouquine qui avait plus ou moins découvert que j’appréciais les canards finit par me libérer de cette maudite cabine. Rouge pivoine. Voilà comme j’étais.

Levant le regard vers la jeune femme, je souris légèrement avant de reprendre la parole.

« Merci Sainte Deborah Gust, reine internationale et mondiale du Dégout. » énonçais-je avec un léger sourire, histoire de commencer à la brosser doucement dans le sens du poil.

Je finis enfin par quitter cette cabine et m’approche des lavabos avant de prendre le temps malgré le gel hydroalcoolique de me laver les mains. J’avais besoin de savon, oui j’avais vraiment besoin de savon. Me séchant les mains, je m’adosse aux lavabos avant d’espérer qu’elle ne dise rien, lui faisant comprendre que c’était plus ou moins vital pour moi qu’elle ne dise rien.

« Pas trop mal effectivement. » énonçais-je avant de rire légèrement, le rouge pivoine étant passé « Oui…merci…c’est fou ce que j’ai chaud là. » énonçais-je en mimant l’usage d’un éventail avant de fermer mon sac et de le prendre avec moi. Je tourne le regard vers la jeune femme « Bon…on va déjeuner ? » Énonçais-je alors, espérant laisser cette histoire de…canard derrière moi.

belle âme
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80965-i-suspect-and-i-m-nev https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89458-appartement-de-meredith-quartier-est#1283285 https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80975-theralmarypoppins_


Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w

- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-12-04, 23:03 « Sarcasm: punching people with words. »

Voir Mary Poppins sortir des toilettes pour dames avec les joues couleur homard ça n'avait clairement pas de pris. Mais je ne poussais pas la cruauté jusqu'à prendre une photo souvenir, estimant qu'elle avait été suffisamment humiliée pour les dix prochaines années. Voilà ce qui se passe quand on a aussi bon cœur que moi. Et à quoi ça peut servir de me brosser dans le sens du poil en inventant quasiment une prière à mon nom.
- T'inquiète, ça restera entre nous, lui assurai-je même par pure amitié. Attends toi juste à ce que je te la ressorte le jour où j'aurais envie ou besoin de te faire chanter, ajoutai-je toutefois par bonne mesure.
On était Dégoût ou on ne l'était pas après tout, non ? L'humiliation, c'était un peu mon fond de commerce et en tout cas l'une de mes nombreuses spécialités. Quant à Meredith elle pouvait ajouter les canards à la longue liste des choses qu'elle connaissait à peu de choses près en tous points, comme quoi nous ressortions toutes les deux gagnantes de cette histoire.
Moi plus qu'elle, c'est tout.
Pendant que Meredith avait la judicieuse idée de se laver les mains, je m'adossais à l'une des cabines, bras et jambes croisées dans une posture nonchalante que j'appréciais particulièrement pour signifier que j'étais maîtresse de la situation - ce que je suis presque toujours.
- Tu devrais te passer le visage à l'eau froide si t'as chaud à ce point-là, lui suggérai-je. Ca serait dommage que j'aille déjeuner avec un homard, quelqu'un pourrait te confondre et te faire passer à la casserole, souris-je.
La comparaison avait été savamment choisie, une petite pique amicale qui prolongeait à la fois l'histoire du canard que j'étais pour le moment (enfin j'espérais pour la réputation de la nounou !) la seule à connaitre et la métaphore de la cuisine, raison qui, de base, devait nous réunir.
- J'ai du maquillage sur moi si t'as peur de ressembler à plus rien ensuite, ajoutai-je pour finir de la convaincre si tant est qu'elle ait besoin d'être convaincue. Mais j'ai pas pris mon éventail, poursuivis-je pour faire à présent écho à ses mimes, tu vas devoir faire sans, j'en ai peur.
C'était, là encore, une façon de parler. La peur, c'est pas vraiment ce qu'on pourrait appeler mon domaine - Dégoût merci - si bien que je ne l'éprouvais jamais réellement. C'était assez pratique, ça m'évitait des suées écœurantes et des crises d'angoisse en pleine nuit - bien qu'en fait il m'arrivait de gérer celles de Jaspeur qui étaient, malheureusement, assez fréquentes. Mais au moins je ne les vivais pas de l'intérieur.
Quand Meredith fut redevenue présentable, couleur de teint incluse, nous pûmes enfin refermer le chapitre du canard et de l'enfermement dans les toilettes pour aller déjeuner. Enfin.
- Allons-y, je meurs de faim, approuvai-je en quittant mon point d'appui pour me diriger vers la porte des toilettes d'un pas résolu.
Ca faisait du bien de sortir enfin des toilettes puis du musée. Il ne nous fallut heureusement pas très longtemps pour gagner le restaurant et nous n'avions en fin de compte pas tellement de retard. La délivrance avait peut-être semblé très très lente à venir mais, en fin de compte, Meredith avait passé une demi-heure maximum dans sa cabine de toilettes.
- Maintenant tu peux imaginer ce que ressent ton parapluie quand tu le ranges pendant un long moment dans ton TARDIS de sac à main, commentai-je alors que nous nous installions à table.
Il y avait déjà une carafe d'eau sur cette même table et je pris sur moi de servir un grand verre à Meredith, sentant qu'elle avait besoin de se remettre de l'ordre dans les idées. Et aussi parce qu'elle aurait meilleure presse si elle buvait un verre d'eau plein d'une traite que si elle faisait la même chose avec un verre de vin. Hors de question en effet pour moi de m'afficher avec une pochetronne en ville.
Après quelques temps, un serveur nous apporta les cartes et je m'y plongeai, curieuse de savoir à quelle sauce j'allais manger. Mon regard perçant ne tarda cependant pas à se poser sur un plat - que je ne comptais pas commander - qui m'inspira une remarque mesquine que, hors contexte, seule Meredith pourrait réellement comprendre. Cependant, pour faire durer le suspense, je fis d'abord mon choix (un tartare de saumon à l'aneth en entrée suivi par un poulet à la sauce au homard et à la noix de coco accompagné par des gnocchis végétaux et couronner par la crème brûlée du chef - qui avait intérêt à la réaliser en personne, sinon y avait tromperie sur la marchandise) avant de partager mon trait d'esprit :
- Je sais pas si tu as vu mais ils ont du canard laqué, commentai-je d'un ton nonchalant en refermant mon menu. Ca pourrait... être une idée, ajoutai-je en levant vers elle un regard mesquin.


Meredith P. Newton
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Meredith P. Newton

| Avatar : emily blunt

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w
it's complicated to explain

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Reveus10

| Conte : mary poppins
| Dans le monde des contes, je suis : : mary poppins

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Childh10

| Cadavres : 1606



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-12-08, 18:53





attention, porte de wc défaillante

feat. @deborah gust


« Merci. » énonçais-je à la jeune femme avant de sourire légèrement, plus amusée qu’autre chose pour le coup « pourquoi ça ne m’étonne pas de toi ? » énonçais-je alors.

J’avais pris le temps de me laver le main, histoire de respirer un peu et d’oublier toute cette histoire. Prenant son conseil en considération, je me passe un peu d’eau sur le visage avant d’user de la magie pour être toujours jolie et bien maquillée, même après toute cette histoire. Je tourne le regard vers la rouquine par la suite et lui souris.

« Oh t’en fais pas, on est pas à peu de choses près parfaite en tout point, si on prévoie pas tout à l’avance. » énonçais-je avec un sourire « là au moins, je suis un peu plus présentable. » énonçais-je avec un petit sourire taquin et bienveillant à la fois.

Nous finissons par quitter les lieux avant de se rendre jusqu’au restaurant. Je dois avouer que j’étais bien heureuse de quitter les lieux et encore plus de pouvoir aller déjeuner, je commençais vraiment à avoir faim. Il faut croire que rester enfermée dans une cabine de wc, ça creuse l’appétit, ironique bien sûr. Je fais un léger signe de tête.

« Je commence à comprendre oui. » énonçais-je alors.

D’ailleurs, il avait intérêt à se taire celui là. Nous fûmes rapidement installées à table et je dois bien avouer que le verre d’eau que m’avait servie Deborah me fit beaucoup de bien mais genre vraiment beaucoup de bien. Buvant beaucoup mais pas tout en une gorgée, je respire par la suite profondément et lève le regard vers la jeune femme quand ils nous amènent les menus.

« C’est surfait le canard laqué. » énonçais-je avec un petit sourire amusé.

Je finis par faire mon choix (soupe de potimarrons en entrée, steak de légumes et risotto en plat suivi d’un fondant au chocolat avec crème anglaise) et rend le menu au serveur. Soufflant légèrement, un petit rire m’échappe néanmoins avant que je ne reprenne la parole.

« Dis moi, est-ce-que tu serais opérationnelle pour un relooking vestimentaire ? » demandais-je alors.

codage par aqua



https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80965-i-suspect-and-i-m-nev https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89853-never-be-enough-regina-and-the-other-s-links https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t89458-appartement-de-meredith-quartier-est#1283285 https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t80975-theralmarypoppins_


Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   Fh0w

- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________ 2021-12-08, 22:21 « Sarcasm: punching people with words. »

Je devais bien l'admettre, Meredith me connaissait mieux que la plupart des gens. Et je devais aussi admettre que ça ne me dérangerait pas. Plus, disons. Il y avait une époque où, pourtant, alors tout juste devenue humaine, je n'aimais vraiment pas me confier. Sur moi, sur mon passé, sur ma vie. J'adorais toujours parler de moi mais il fallait cravacher longtemps pour mériter les vraies informations, celles que je ne distribuais pas dans de longues tirades passées à me vanter d'être la meilleure (ce que je suis, en fait). Et puis, manifestement, j'avais accepter de me faire des amis et de leur donner ce qu'on donne à ses amis : sa confiance. Ainsi, Mary Poppins, même si je me moquais souvent (le plus possible, en fait) d'elle, c'était aussi l'une des seules à qui j'avais parlé de vrais sujets telle que Riley.
Alors oui, forcément, je l'étonnais moins que je pouvais en étonner d'autres. C'était logique mais j'étais contente de cette grande complicité, si bien que je ne l'accueillis pas d'une de ces punchlines dont j'avais le secret. Moi, en revanche, elle continuait de pouvoir m'étonner, que ce soit en s'enfermant bêtement dans une cabine de toilettes (franchement, Meredith, c'est la méga honte) ou parfois en faisant des trucs plus intelligents. Mais qu'elle puisse se remaquiller sans l'aide de toute une palette L'Oréal, ça ne m'étonnait pas, pour le coup.
De la même façon, je ne m'étais pas surprise de la trouver plus épanouie et ouverte (ce mot est choisi presque sans jeu de mots) une fois à l'extérieur. Presque comme si elle renaissait bien que renaitre après être allée aux toilettes, je trouve l'idée vraiment too much. Cela dit, qui aime bien châtie bien, alors en tant qu'amie je me devais aussi de l'asticoter un peu, même si je savais, au moment de ma blague, que Meredith n'irait pas jusqu'à commander du canard laqué. Faut croire qu'elle n'est pas 100 % humour. Ou que l'humour anglais à ses limites.
Le serveur prit rapidement les commandes (encore heureux, c'est pas comme si elle et moi n'avions pas déjà énormément attendu - par la faute de Meredith, certes, mais le résultat était le même) et Meredith enchaina sur une requête qui ne pouvait que me faire plaisir. Mes services pour un relooking.
Naturellement, je décidai de lui faire regretter (momentanément) d'avoir émis cette demande, parce que c'était bien plus marrant de cette façon.
- Ah, je suis contente que tu poses enfin la question, parce que, franchement, ton look actuel, ça pique un peu les yeux, quand même. Je dirais pas que t'as des goûts de chiottes, bien sûr, susurrai-je, narquoise au possible, bien que ça serait pas non plus étonnant, mais darling, c'est vraiment pas possible ton style.
Et je conclus cette observation avec un immense sourire et quelques battements de cils pour feindre l'innocence.
Evidemment, j'avais grossi le trait, profitant sans doute un peu trop du "qui aime bien châtie bien" pour m'en donner à cœur joie alors que la vérité était différente. Certes, le style de Meredith était un peu classique, parfois austère, comme se doit de l'être une nanny, mais elle était élégante et jolie, ce que beaucoup de gens n'étaient absolument pas.
- Blague à part, repris-je avec sérieux. Je crois qu'on peut faire un petit chantier sur toi pour achever de te faire pénétrer dans le XXIe siècle, égayer tes couleurs, twister ta classe, ce genre de choses, quoi. Sans toucher au sac à main TARDIS, évidemment. Lui il est beaucoup trop cool.
Et sur cette conclusion, nos entrées arrivèrent. J'avais faim alors je ne me fis pas prier pour commencer à manger dès qu'une assiette fut posée en face de chacune de nous. Mais après quelques bouchées, je repris quand même :
- Tu pensais à quel style de relooking, au fait ? On peut aussi faire les orphelins dont tu t"occupes, j'en ai croisé certains, c'était pas fou-fou les tenues, fis-je remarquer.**
Je n'avais donc aucune pitié, pas même envers les enfants.


Contenu sponsorisé




Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie   _



________________________________________

 Page 1 sur 2
Aller à la page : 1, 2  Suivant

Attention, porte de WC défaillante ❧ ft. Debbie





Disney Asylum Rpg :: ➸ Le petit monde de Storybrooke :: ✐ Centre ville :: ➹ Le Musée