« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
James ne faisait que regarder la grande horloge qui trônait en face de lui, dans la grande salle de réunion. Si d’ordinaire il était plutôt attentif au conseil d’administration étant donné qu’il était quand même le directeur, aujourd’hui, il n’avait qu’une hâte, qu’elle se termine en vitesse. Il ne savait pas combien de fois il avait dit à Vanessa, la secrétaire, de ne pas placer des réunions le vendredi après-midi. C’était une véritable torture que de penser à la soirée de son week end alors qu’il devait écouter tous les actionnaires parler d’une manière rébarbative. Forcément, ce vendredi ne faisait pas exception, c’était peut être pire car c’était le premier vendredi du mois, et que ce soir il sortait avec son groupe d’amis. Voilà quelque temps qu’ils avaient instauré ce petit rituel car chacun ayant des emplois du temps chargé, ils s’étaient dit que de fixer une date qui ne changerait pas serait une bonne idée, un peu comme un point t sur la ligne temporel et le jour J était arrivé. Il allait pouvoir décompresser de cette première semaine de décembre, où les réclamations pleuvaient déja à cause de la consommation d’électricité en forte hausse. La centrale tournait clairement à plein régime et James avait beau faire des réclamations comme quoi, le fait d’avoir des installations de Noël vieillissantes pompaient encore plus d’énergie, privant ainsi les citoyens de chauffage, rien ne changeait. Il avait eu des réponses sybillaires au standard téléphonique et avait préféré couper court, voyant bien que cela n’allait en rien évoluer. Tant pis, les citoyens comprendraient que la centrale et la compagnie d’électricité faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour subvenir à leurs besoins, mais que la mairie s’en fichait. Pour la première fois, James avait même décidé de passer une annonce, cherchant des gens capables de produire de la magie d’électricité pour faire face au surplus de consommation. Mike lui avait dit que ce n’était pas une bonne idée, que personne ne viendrait mais pour l’instant il n’avait trouvé que celle-là. Il ne pouvait pas en acheter à d’autres centrales des villes aux alentours étant donné que pour l’instant, la ville de Storybrook était plus ou moins inexistante, dans un certain sens. Il était persuadé qu’il y avait bien des âmes charitables, prêt à aider leurs concitoyens, et à accepter la grosse prime qu’il pourrait toucher. L’appât du gain était toujours présent, surtout en période de fêtes où les gens allaient dépenser plus d'argent pour les cadeaux. D’ailleurs, lui aussi avait commencé à faire ses cadeaux de Noël vu que Mike lui disait tout le temps qu’il s’y prenait au dernier moment, se donnant un coup de stress pour rien. Il n’avait certes, acheté que celui de Mike, très certainement pour le faire taire, mais tout de même ! Il profita de son temps de réunion pour voir ce qu’il pourrait acheter à ses amis, se doutant bien que la tournée qu’il allait payer ce soir n’était pas comptée dedans. James n’était pas radin, loin de là. Il était le premier à payer des verres, à dépanner ses amis d’un billet à la fin du mois et il ne lésinait pas non plus sur les présents. Il n’aimait juste pas se prendre la tête et souvent il finissait par acheter des cartes cadeaux à tout le monde. Au moins, chacun pouvait prendre des choses qui leur ferait vraiment plaisir !
Perdu dans ses pensées, il sentit son téléphone vibrer dans sa poche. Discrètement, il le sortit, et vu que c’était Mary, qui lui disait que son professeur de mathématiques était absent et qu’elle allait donc plus tôt chez sa copine Karine. Il n’avait pas eu d’objection quand elle lui avait demandé, surtout qu’elle avait des bons résultats et qu’il était fier d’elle. Il avait eu la réunion parents-professeurs la semaine d’avant. Ils étaient tous enchanté de cette jeune fille brillante. Le seul défaut qu’elle avait été qu’elle n’arrêtait pas de bavarder en cours, une véritable pipelette. James avait rigolé quand le professeur principal lui avait dit comme un reproche. Il s’en fichait, si elle comprenait, qu’elle apprenait, c’était l’essentiel. Mary avait toujours beaucoup parlé, et il ne voyait pas ça comme une mauvaise chose. Alors forcément, il l’avait récompensé pour ce bon trimestre en lui achetant la tablette qu’elle voulait, il l’autorisait à sortir avec ses amies quasiment tous les week end, du moment qu’elle avait fait ses devoirs. Chaque fois qu’il rentrait du travail, le soir, il la voyait sur la table de la cuisine, son verre de jus d’orange rempli, entrain d’étudier studieusement. Qu’est ce qu’il pouvait en être fière !
“Pas de soucis ma puce, fais attention à toi. Je t’ai fais un virement sur ton compte pour que tu puisses aller au cinéma ce soir.”
Son père lui avait dit un jour qu’il l'avait trop gâté, et qu’elle finirait avec un caractère odieux. James avait levé les yeux au ciel en soupirant. Heureusement que son grand père avait prit sa défense, faisant taire son père d’un regard noir. Il lui avait même acheté un manteau d’une grande maison de couture comme pour enfoncer le couteau. Jack senior pouvait être d’une immoralité sans borne, mais quand il s’agissait de son arrière petite fille, lui qui n’avait que des fils, était aussi doux qu’un agneau.
“Merci Papa ! Amuse toi bien ce soir toi aussi :p :D ;D”
Il eut un sourire attendri en voyant le message. Mary savait très bien qu’il sortait ce soir. Elle connaissait la plupart de ses amis, les trouvait drôles et sympathiques. Il ne voyait pas pourquoi il aurait à cacher à sa fille qu’il prenait du bon temps en fin de semaine. Lui aussi était sérieux dans son travail. Il était rare les fois où il sortait en pleine semaine. Exception faite, la semaine dernière, où il avait amené Evangeline au restaurant, mais c’était différent. C’était calme et apaisant, contrairement aux soirées qu’il pouvait faire d’ordinaire. Sans doute parce que ce n’était pas la même nature de la relation. Il fallait dire qu’il appréciait vraiment beaucoup la jeune femme, n’étant absolument pas indifférent à son charme et il espérait bien conclure avec elle incéssamment sous peu. Il y avait rapprochement, c’était clair et net mais il lui avait dit qu’il n’était pas pressé. Il aurait pu y avoir une ouverture le soir même mais il n’avait pas envie de passer pour un goujat. Après tout, elle n’était pas un énième trophée à accrocher à sa longue liste. Il sentait, au fond de lui, qu’il n’avait surtout pas envie d’une relation comme ça. Il trouvait Evie était bien trop adorable et mignonne pour qu’elle lui serve de mouchoir. Même si ce n’était pas l’envie qui lui manquait. Il avait juste envie que leur relation soit autre chose que ça, plus poussé sans aucun doute.
Le grincement des chaises lui fit pousser un soupir. Enfin ils avaient fini cette réunion qui s’était en plus éternisée. Il avait pris la parole, on l’avait contredit, mais James n’était pas du genre à se laisser faire, même par les gens qui pouvaient avoir de l’influence sur lui. Il n’avait peur de personne et il le faisait souvent savoir. C’était lui qu’on devait craindre et personne d’autre. Rapidement, il fit une halte dans son bureau pour ranger son ordinateur ainsi que signer quelques rapports que Vanessa lui avait donnés, qu’il apporta sur son bureau, vide, vu qu’elle était déja partie il y a bien une demi heure. Libéré de ses contraintes de dirigeant, il attrapa son manteau et fila à sa voiture, garé dans le parking souterrain de l’entreprise. Vu l’heure, il n’avait pas le temps de passer chez lui prendre une douche et se changer. Tant pis, il mettrait du parfum ça ferait pareil. Rapidement, il démarra, pour se rendre non loin du centre ville qui avait été piétonisé pour les fêtes de fin d’années. Ce n’était pas une mauvaise idée mais pour trouver une place … il galéra énormément. Passablement énervé d’avoir mis vingt minutes pour se garer, il souffla en se disant qu’il ne devait pas arriver en surtension au bar. Justement, il y allait pour se détendre. Il poussa la porte du Kraken, le bar à rhum où ils avaient rendez-vous. Il chercha pendant quelques instants ses amis et n’en remarqua qu’un seul, qui jouait avec la paille de son cocktail. Rigolant déja pour lui même, il se rapprocha de lui et lui donna une claque sur l’épaule à l’en faire sursauter.
“Mon Charlie ! Comment ça fait trop plaisir de te voir !”
Le concerné se retourna, après avoir renversé son mojito, un soupir de soulagement.
“Bon sang James, tu m’as foutu une de ses trouilles !”
Et pourtant, il n’avait strictement rien fait. James rigola en lui faisant un check avant de prendre place à côté de lui sur le comptoir.
“Les autres ne sont pas là ?” “Cain sait pas s’il vient. Après tout il est sorti de l'hôpital y a pas si longtemps que ça … Et Mike m'a dit qu'il t'avait envoyé un message, il a un date tinder.”
James eut une moue affligée. Il savait que son ami était parti dans une grosse mission depuis des mois. Il avait eu quelques nouvelles au cours de l’été mais après ça, plus rien. Il s’était douté que ce n’était pas une partie de plaisir. Il avait renseigné Kowalski sur les groupes terroristes de la région, étant donné qu’il était à ses heures perdues, consultant dans ce domaine. Puis Charlie lui avait dit qu’il s’inquiétait et qu’il avait envoyé une équipe sur place pour voir … surtout que Kowalski, lui, n’était pas revenu de ses vacances en Ukraine. L’agence n’avait plus de nouvelles de son directeur et de son chef informatique. C’était critique. Finalement, le génie était revenu un mois après, en brancard, la jambe dans un sale état. De son lit d'hôpital, il avait voulu contribuer aux recherches de Cain, et ils étaient arrivés à le localiser. L’équipe sur place l’avait sorti de son bourbier dans un sale état et quand James était venu lui rendre visite à l'hôpital, il avait failli détraquer les appareils électriques tant la rage bouillonnait en lui.
“Ouais … je lui enverrais un message tout à l’heure, d’un autre côté ça lui fera pas de mal de se changer les idées. Et pour Mike ... tss ... j'ai pas vu non ... celui là j'te jure ... faire passer sa queue avant nous ... il va m'entendre ! ”
Certes, il était encore fatigué, mais James était persuadé qu’il allait vite remonter la pente. Il était sorti de l'hôpital contre l’avis de tout le monde. Il savait qu’il était solide. Comme eux. Même Mike était solide après tout. Cet abruti.
“Bon et toi ? Ça va ?”
Charlie fit signe au serveur avant de répondre à la question que James venait de lui poser. Ce dernier en profita donc pour commander un zombie, cocktail à base de rhum blanc, rhum ambré, itron vert, ananas, pamplemousse, et grenadie. Tous les ingrédients qu’il aimait étaient réunis en un endroit. Charlie reprit un autre mojito, restant sur une base classique.
“Fatigué. C’est dur au boulot de faire le tampon. Kowalski est exécrable comme il ne l'a jamais été ces derniers temps et Daniel ne fait rien pour arranger les choses. Eva est hautaine, Skylar a repris de balancer des vacheries et Rico a fait exploser l’entrepôt D hier en dégoupilant une grenade. Encore ça va, Stoyan essaie de gérer les choses avec moi …”
James lui fit une petite moue avant de lui donner une accolade. Il connaissait bien Charlie, quasiment aussi grand que lui avec un cœur énorme. Il était le calme de la bande, celui qui temporisait les autres. Même avec eux, il les calmait quand ils partaient dans leurs délires. Pas toujours certes, finissant souvent par se faire entraîner, mais il pouvait bien imaginer ce qu’il subissait à l’agence.
“J”tai dis, un jour je viens, je pousse une gueulante ça va en calmer plus d’un.”
Il remarqua que Charlie frissonna en tournant la tête, très certainement du à la première fois que James n’avait pas su maîtriser son pouvoir lors d’un interrogatoire musclé. Ce n’était pas sa faute aussi, une pourriture était assis en face de lui et tout était parti en vrille. Les lumières avaient grésillés avant de s’éteindre, et de se rallumer quand il avait rugit à en faire éclater les vitres blindés. Tout avait éclaté. Les vitres, les ampoules, les tympans du gars qui était à deux centimètres de lui. Quand la vague de terreur qu’il avait lancé inopinément était partie, il avait retrouvé Charlie roulé en boules dans un coin, entrain de pleurer toutes les larmes de son corps. Cain était contre la porte, la main sur ses oreilles. Toute l’agence avait senti une peur gigantesque, n’arrangeant pas du tout certains caractères déja bien étranges. James s’était senti coupable et avait tout fait pour se racheter auprès de ses deux amis. Jamais il n’avait voulu les effrayer mais souvent, quand il passait un seuil, rien ne l’arrêtait.
“T’inquiète, ce jour là, j’te le dirais et tu prendras un jour de congé.”
Il rigola doucement, histoire de lui faire oublier ça, avant de lui donner un petit coup d’épaule.
“Oh regarde ! Sylly’ est là ! Ouhouuu”
Bon, James n’avait pas vraiment besoin de crier, étant donné qu’ils dépassaient tous les deux mètres de hauteur. Il était facile de les retrouver dans la foule au moins.
“Yeaah poto !”
Il attrapa la main de Sylv pour lui faire un check d’épaule, content de voir son autre meilleur ami. Leur amitié était différente que celle qu’il pouvait avoir avec Mike. Avec Sylvester, il pouvait faire toutes les bêtises qu’il voulait sans qu’on le lui reproche. Il laissait parler son coté mauvais garçon et ça lui faisait du bien. Mais au fond, comme lui, Sylv’ était quelqu’un de bien, lui le voyait, lui qui avait l’habitude de côtoyer des montres, lui qui était un monstre.
“On va se poser dans un coin tranquille ?”
Prenant son verre et le bol d’olive qu’on lui avait donné, il remarqua une table de libre proche de la baie vitrée. Il s’affala dans le fauteuil en regardant ses deux amis arriver.
“J’suis vraiment content de vous voir ! Un mois c’est long quand même !Entre le boulot et les emmerdes ...”
Il piqua trois olives en même temps qu’il goba avant d’appeler un serveur avec un geste de la main pour que Sylv’ commande.
“J’étais entrain de demander à Charlie comment ça se passait. La routine. Toujours une cour de maternelle comme dirait Caïn. D'ailleurs j'pensais, si jamais il peut pas venir, on fera une visio quand même ! Ça lui fera plaisir j'suis sur !”
Heureusement qu’il n’avait pas ça dans son entreprise. Il ne savait pas comment il faisait pour gérer. Certes, il n’avait quasiment que des talents, mais quand même !
“Mary vous embrasse !” “La choupinetteeee ! Tu lui dis que tonton Charlie lui fait aussi de gros bisous ! Et à Willy aussi ! Pas de jaloux ! ”
James eut un petit geste de la tête, buvant son cocktail à la paille, essayant de ne pas descendre le verre en moins d’une minute. Charlie était si adorable avec les enfants. Il disait toujours oui quand il lui demandait s’il pouvait lui garder Mary. Ce n’était pas un gros nounours pour rien.
“Et toi Sylly, quoi d’neuf ? Willy va bien ?”
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Sylvester A. Cynster
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Cela faisait bien un petit moment que notre cher Sylvester passait du temps avec ses amis en soirée surtout l'un d'entre eux. Le Cynster attendait toujours ce moment avec une grande impatience, ça lui permettait de déconné un peu durant une soirée, ui qui était toujours au mieux de sa forme et maître du contrôle en tout point pour surveiller une bonne apparence. Lors de ses soirées l'écossais faisait garder son fils à Ange cette charmante demoiselle qui avait du cran pour s'occuper de son fils de 4 ans. Il fallait au moins ça pour contenir ce petit diable tout le portrait craché de son paternel. Le Cynster en était fière de son petit Willy diminutif de William. En revanche la mère il savait pas qui s'était et il s'en foutait complètement du moment qu'il avait son fils auprès de lui et il n'hésiterait pas un seul instant à la jeter en prison pour l'avoir abandonné sur le pas de sa porte en Hiver en plus ! pauvre petit chou. Ce n'était pas prévu mais, il s'en était très bien occuper. a preuve son fils était le plus heureux des enfants beaucoup trop pourri gâter mais ça c'était autre chose. Ce gosse avait bien évidement tout ce qu'il désirait et il savais très bien y faire. Pour cela que les nounous avaient rapidement rendu le tablier. Entre l'une qui avait fini avec les cheveux presque en feu heureusement qu'il avait eu une carafe d'eau et pas de vin.. elle aurait surement eu très mal.
Enfin pour ce moment Willy allait etre entre de bonne main, il avait plier tout ses rendez vous à son bureau qu'il avait sagement prit pour ses affaires la Cynster Compagnie devait avoir un lieu ou faire leur affaire d'objet magique. Ce qui adorait le pus s'était vendre de l'espoirs à certains bien sur pour les humains, c'était autre chose, leur vendre du rêve c'était son train train quotidien.
Il faisait les cents pas pour attendre la bonne heure pour sortir en digne créature de la nuit. le jeune père de famille avait mit son costume au placard portant simple un t-shirt avec un jean. Il ne voulait surtout pas salir ses costume hors de prix pour une soirée trop arrosé. Déposant un baiser sur la joue de son boucthou Papa revient plus tard mais tu dormiras, soit sage jusqu'à mon retour et surtout n'allume pas le gaz pour faire sauter la nounou hein ? Willy applaudit dans ses mains Vouiiiiii Villy sera sage Bien il attendait que ça, il lui dit un dernier je t'aime et sortir pour une soirée de folie. Il allait surement ramener une personne dans son plumard, comme la plupart du temps lors des soirées entre pote.
Il avait donc prévu entre temps les derniers cadeaux de noel. Sylvester ne craignait pas le froid surement du à sa condition, son corps était chaud comme la braise normal d'ou il venait la montagne était toujours prête. Donc, il fini par rentrée toujours en grande classe et les regards toujours porté sur lui, c'était une routine que ce soit homme ou femme c'était pareil. Il savait qu'il plaisait et en jouait toujours. Hmmm tu es à croquer ma jolie Lui mettant une main au fesse et passa à une autre personne. Puis se redressa pour se faire un chemin, il fini par entendre une voix qu'il connaissait. Yeaah poto ! Alors la s'ensuivit les check de la routine. Il pouvait se lacher et faire encore des conneries à son âge c'était amusant. Bien qu'il montre au quotidien un aspect dur et plutôt froid il pouvait etre adorable quand il le voulait.. seulement quand il l'avait décidé. On va se poser dans un coin tranquille ? Bien entendu je vous suis les gars ! Il finit pas les suivre, à une table libre pret de la baie vitrée et comme toujours monsieur allait commander un whisky sa boisson favorite.
Moi aussi ça me fait plaisir de vous voir, oui un mois c'est toujours long mais comme on dit la patience est une vertu.. que personnellement je ne connais pas. Avec le boulot c'est jamais bien évident mais au moins on arrive à organiser quelques choses Les emmerdes, il n'en avait pas réellement pour le moment du moins, il ne prit pas la peine de toucher du bois, c'était une superstition. Il fini par interpeler le serveur Mettez moi un whisky écossais avec des glaçons Il hocha la tête, pour le serveur aucun merci c'était son boulot après tout. Oui au moins on lui fera un petit coucou. On l'embrasse aussi très fort.
Il rit légèrement, le serveur lui apporta son verre et il bu une gorgée de son liquide ambré. Et il sourit tendrement quand on parlait de son fils adoré. Oui Willy va très bien, d'ailleurs c'est sa nouvelle nounou qui le garde, une petite qui est capable de le gérer, vu que la dernière à démissionné jugeant mon fils malade.. non.. mais un petit de 4 ans malade.. il a juste voulu jouer avec elle, en ce moment il est dans sa phase pokemon en plus.. il voulait faire un galopa... Cela dit il devrait se méfier quand même pas qu'il mettent le voltage pour faire un pikachu.. mais heureusement ce n'était pas à sa porter. Pour moi la routine.. tout ce passe bien dans mes affaire, ça marche du tonnerre ! Et toi Mary ça va ?
James était vraiment heureux de sortir en compagnie. Meme s'il en manquait quelques-uns, l'ambiance était bonne enfant. Ce n'était que le début de soirée. Peut être même que les absents viendraient quand l'alcool coulerait à flot. Qui sait si, c'était peut être le signal de ralliement. En tout cas, James était affalé dans le fauteuil, les jambes écartées et son cocktail qu'il sirotant tranquillement reposant dessus. Il écoutait Sylvester qui lui racontait que comme lui, il trouvait le travail long. Ah les postes à responsabilité. C'était bien car ils rapportaient beaucoup mais les contrepartie étaient élevées. En soit, James adorait son boulot a la centrale et il aimait les responsabilités, mais parfois, il fallait bien avouer que c'était pénible.
"Deja le mot vertu dans ta bouche je sais pas ce qu'il fout là."
Il rigola de bon cœur avec Sylv tandis que Charlie secouait la tête, presque navrée. Il fallait dire que Sylvester n'était pas un enfant de cœur. Mais ils ne pouvaient pas lui en vouloir, il était un demon, dans son ancienne vie et malgré tout ça restait marqué dans son adn. James n'avait pas de soucis, lui-même était un monstre, qui terrorisait les enfants. Or c'était pour une raison, pour faire marcher Monstropolis. Au fond il était gentil et lui, pensait que c'était la même chose pour Sylvester. Au final ce n'était pas pour rien s'il était entouré de gens gentils, qui le considérait comme leur ami !
"Non mais toi ! On est dans un bar à rhum et le gars il prend un whiskys."
James éclata de rire bruyamment et fut suivi cette fois par Charlie, qui gloussa aussi face à cette vérité qu'il venait de dire. Voilà aussi pourquoi il aimait Sylvester. Ne jamais rien faire comme les autres, être unique, être le détail changeant tout dans un monde homogène.
"Oh bah faudra se faire une bouffe à l'occasion ! Vous verrez comment elle a encore grandi ! Pour le coup, j'aurais bien aimé qu'elle ne prenne pas ma taille. C'est compliqué pour un homme alors pour une femme …"
Il y avait des grandes femmes magnifiques, des mannequins essentiellement mais il ne voulait pas de ça pour Mary. Déjà parce qu'il voulait qu'elle fasse un métier qui lui plairait et il savait que la mode n'était pas trop sa passion. Ensuite ,et surtout parce qu'il ne voulait pas qu'elle subisse des quolibets de la part de ses camarades. Il savait que les enfants étaient cruels entre eux, bien plus que les adultes et la bienséance qu'ils pratiquaient sous couvert de l'hypocrisie. Au moins, d'un côté, même si les enfants étaient méchants, ils émanaient d'eux une certaine forme de vérité. Cependant il n'avait pas envie que sa fille se fasse malmener, moqué ou pire harcelé parce qu'elle ne rentrait pas dans les canons de beauté standard. Il bascula la conversation sur Willy, le fils de Sylvester.
"Ça m'étonne pas. Toujours à mettre la faute sur les autres quand elles sont incompétences. Je me souviens qu'il y en a une qui engueulait Mary quand elle faisait ses terreurs nocturnes."
Il leva les yeux au ciel. C'était fou ça et pourtant a l'époque, il faisait très attention aux nousnous qu'il embauchait. Finalement, il laissait Mary a son grand père, qui se faisait un plaisir de la garder et de jouer avec elle.
"Ah oui les pokémons. J'ai acheté un des jeux sur la switch pour Mary. Donjon mystère je crois que c'est."
James était ce qu'on pourrait qualifier de papa gâteau. Mary ne faisait pas souvent de caprices parce qu'elle avait déjà tout ce qu'elle voulait. Il lui suffisait de demander gentiment, avec un grand sourire, et son géant de papa le lui achetait. Même quand il était strict, lors d'une punition, ce qui était rare, il finissait par céder. C'était sa fille, un véritable petit ange et elle méritait tout ce qu'elle voulait.
"Écoute nickel ! On a eu la réunion parents profs et ils sont absolument ravis d'elle ! Là elle m'a demandé si elle pouvait passer la deuxième semaine des vacances de Noël chez l'une de ses amies qui a un chalet dans les Alpes et je n'avais aucune raison de refuser." "Pas étonnant, Mary a toujours été une bosseuse ! Et pour que Kowalski prenne la peine de l'aider dans ses devoirs de physique, c'est significatif.
Il hocha la tête doctement en terminant de gloire son cocktail. C'est vrai qu'il avait été surpris quand le petit genie s'était proposé, un soir qu'il était à l'agence. Ce que James ne savait pas, était que Mary le lui avait demandé après une longue discussion sur Instagram. Kowalski lui avait demandé de lui envoyer un devoir et il avait été étonné de la brillance des réponses. Levant le bras pour qu'un serveur le repère, il continua avec un petit sourire.
"Ce qui veut dire les gars … que j'ai la maison pour moi tout seul … pour le jour de l'an ! "
Il remarqua que Charlie se mit à trépigner sur son chaise, bougeant de droite à gauche avec un sourire digne d'un enfant à Noël.
"Oh oh oh ça veut dire qu'on peut le faire tous ensemble chez toi ?" "T'as tout compris mon ptit !"
Charlie tapa des mains, heureux de cette nouvelle. James savait qu'il allait passer Noël en famille mais que sa famille n'était pas vraiment commode avec lui. Au moins il pourrait souffler et être lui-même.
"Ça te dit Sylly ? Nuit de folie en perspective ! Je demanderai à Eggsy de nous fournir en alcool et nourriture comme ça en plus, on aura juste à se mettre les pieds sous la table et à matter les ptits culs qui vont se déhancher."
Il lança un regard entendu au brun, hochant la tête positivement alors qu'il se passait la langue sur ses lèvres. Le serveur arriva et cette fois, James ne se fit pas prier, il commanda directement deux bouteilles de vieux rhum ambré à la vanille.
"Bon en parlant de petit cul, des nouveautés de ce côté là ?"
James remarqua que les joues Charlie prirent une couleur rougeâtre rapidement.
"Oh toi mon pote...si je ne te connaissais pas je dirais que tu as trop bu, mais on a même pas attaqué le rhum pur doooonc … alleeeeez qui t'as sauté ?"
Certes, ce n'était pas la meilleure manière de faire parler Charlie. Surtout que Sylvester faisait exactement la même chose que James. Charlie fit un geste de la main avant de se cacher le visage dedans. Le serveur déposa les bouteilles ainsi que les verres et James s'empressa de servir l'alcool pur et de les distribuer.
"Ça va te délier la langue."
Comme des charognards, ils attendirent que Charlie boive son verre, le laissant prendre son temps. Il prit une grande inspiration, passant du rouge au violet.
"Le dite pas à Cain …." "Noooooon tu t'es tapé Kowalski !"
James ricana avec Sylv, lui faisant même un highfive alors que Charlie secouait la tête énergiquement de droite à gauche.
"NON ! Il est gentil mais … attend pourquoi ça serait un problème pour Cain ça ? "
L'innocence de Charlie le surprendrait toujours !
"Kowalski ? Gentil ? Hahah on a vraiment pas la même définition de ce mot. Même Sylv est moins cynique que lui! Mais bref on s'en fout ! Alors ? Non ! Tu t'as couché avec Kirsten ! Mais attend je croyais que maintenant elle brouter la verdure ..."
James eut une moue interrogative, lançant un petit regard à Sylv' pour voir s'il pensait comme lui.
Charlie venait de parler tout en expirant, d'un seul coup, à une vitesse digne d’un sprinteur. Les deux hommes se regardèrent avant de poser leur regard sur leur ami, qui se servit un autre verre, l’avalant en faisant une petite grimace avant de reprendre, plus lentement mais sans les regarder.
“J’ai … couché avec Eggsy … lors de la soirée découverte des vins qu’il a organisée au début du mois.” “Naaaaaan ! C’est pas vrai ! Je comprends pourquoi tu veux pas qu’on le dise à Caïn. C'est son bébé après tout ! "
James se tapa la cuisse tout en se redressant, essayant de ne pas pouffer de rire comme un gamin.
“Et alors ? C’était bien ? Qui a fait l’homme et qui a fait la femme ?”
Charlie leva les yeux au ciel devant tant de bêtises, laissant les deux autres continuer de rire.
“Mais arrête ! Ça se dit pas ça !” “Quoi ? Tu préfères qu’on te demande qui à enculé qui ?” “À la limite …”
James eut un regard entendu avec Sylv avant de boire son verre de rhum, laissant les arômes de l’alcool se poser dans sa bouche.
“Et bien … de cette soirée là … je ne m’en souviens plus vraiment …”
James donna une tape sur le bras de Sylvester comme s’il apprenait le scoop de l’année.
“OMG mon pote ! T’entends ça ! Y a pas eu qu’une seule fois !”
Néanmoins, après avoir posé son verre, il eut une petite moue suspecte. Il connaissait Charlie, il le connaissait très bien depuis quelques années.
“Oh no Charlie ...me dit pas que … t’es amoureux !”
Il eut un silence qui passa pendant quelques secondes, James regardant à la fois Charlie et ensuite Sylvester, qui semblait aussi attendre la réponse. Charlie se mit alors à bégayer et à secouer la tête négativement, en mettant ses mains devant lui.
“Parce que c’est Eggsy ! Il aime tout le monde ! Surtout quand tu lui montres un minimum d'intérêt." “Oui non mais je sais ! Mais il est tellement mignon ! Il est si craquant, si gentil, si adorable.” “Non mais j’suis sûr que Sylvester lui demande de le sucer dans les chiottes, il serait capable de le faire ! Par sympathie en plus, c’est ça le pire !”
James rigola tout en piochant dans la petite coupelle d’olive. Il appréciait Eggsy. Charlie avait raison d’une certaine manière, c’était un brave gars, vraiment adorable avec les autres, mais qu’est ce qu’il pouvait être naïf. C’était abusé ! Quand d’ailleurs il avait appris par Caïn que c’était un ancien chiot, bizarrement il n’avait absolument pas été étonné. Tout dans son comportement d’aujourd’hui montrait sa véritable nature. Même quand il l’avait effrayé, il était revenu vers lui pour être son ami.
“Bon après, si tu prends du bon temps, c’est bien pour toi, et pour lui aussi, mais franchement, espère pas te mettre en couple avec lui, je sais même pas s’il sait ce que ça veut dire.”
Il haussa les épaules, donnant un petit coup de pied avec Charlie tout en lui faisant un clin d’oeil. Si ce n’était qu’un simple crush, tout irait bien. Ils se faisaient plaisir et c’était bien. Si par contre, l’ancien ours avait vraiment des sentiments, là ça serait beaucoup plus compliqué. Malgré tout, il n’avait pas envie que son ami souffre pour ce genre de choses. D’une certaine manière, Charlie était aussi naïf qu’Eggsy d’une certaine manière.
“Et toi Sylv’ ? Quel petit cul t’as fais craquer ce mois-ci ?”
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| Conte : Fantasia | Dans le monde des contes, je suis : : Chernabog
L'écossais aimait aussi son boulot, il ne le changerait pour rien au monde. C'était son train train quotidien et puis manipuler les personnes, en soit il appréciait grandement, il ne perdait jamais la main. Toujours quelques coups d'avance par rapport à son adversaire. C'était ainsi que fonctionnait les échecs de toute manière. Et Sylvester était un excellent stratège. Sa société florissait grandement et il avait accumulé beaucoup d'objet dans sa collection personnel. Et à son bureau beaucoup de personne était intéresser de faire affaire avec lui. Il avait ouvert une boutique sur le net d'import export d'artefact magique et d'antiquité en tout genre. Il raffolait des trésors et ce dernier était toujours à la recherche de perle rare. Donc, même si parfois son travail était chiant il adorait ça !
Ahaha ... je me posais la même question mais faut croire qu'il est sorti quand même, comme quoi tout peut arriver même si j'en pense pas un traite mot... Vertu... Ahahah Je m'étonne moi même Sylvester était loin d'être une personne doté d'une vertu. La preuve en était que dans sa vie antérieur, il n'hésitait pas à sacrifier des personnes pour sa satisfaction personnel. Aujourd'hui, ce n'était pas pareil, bien sur pour arriver à ses fins il usait de certain moyen mais, il s'était calmé pour son fils. Il devenait quelqu'un de bien même si parfois son coté dieu démon resurgissait. Que veux-tu... j'aime être l'électron libre, celui qui brise les codes de la société, et j'ai toujours été plus whisky mon coté Ecossais...Et s'il en a pas, il ira en chercher Grand sourire aux lèvres, il rit de bon cœur en échos à ses comparse. Ca marche pour le repas tu nous dis quand et on débarque avec toute la clique. Je devrais prendre aussi Willy, ce petit grandit vite avec ses quatre ans tout plein, bourré de conneries comme son père. Il sourit chaleureusement. Effectivement d'être grand comme nous n'est jamais facile, on est des gros calibre. J'en suis sur que ta pepette est joli comme un coeur même si elle est grande
Il écoutait son ami, les enfants ne devrait pas à subir ça, ils étaient comme ils étaient point. Il ne fallait pas leur inventé des problèmes alors qu'il n'y en avait pas. Ils étaient doté de particularité propre, il fallait juste les aider pas à les rabaissé. Oh, la pauvre... ouai je comprend parfaitement... Alors qu'elle aurait juste besoin qu'on la soutienne et qu'on la rassure, ce n'est jamais bien évident.
Tombant sur le sujet de pokemon, Willy en était fan, Sylvester avait du lui acheter les 150 premiers pokemon en peluche pour que Willy soit content, parce que oui, le fils de Sylvester avait tout ce qu'il voulait, son père était riche alors il pouvait se permettre. Heureusement que la chambre du petit était grande pour tous les accueillir. Il se souvenait de ce jeu, pour le moment Willy était encore petit pour avoir ce genre de plateforme dans les mains. William n'avait que la télé pour le moment et pas tout le temps juste une heure par jour, le reste du temps, il jouait dehors ou avec Fenrir le chien. Puis des jeux éducatif quand il n'était pas à l'école. Ah oui je vois ce que c'est, pour Willy pour le moment y a pas la console, déjà la télé c'est suffisant à quatre ans je préfère qu'il joue dehors ou avec Fenrir. Il aura bien le temps de jouer à la console plus tard.
Puis, vain les petits ragot du moment, ou Sylvester était plier en deux en étant mord de rire. Il en avait presque la larme à l'oeil. Il en avait apprit des bonnes sur ce petit Charlie, mais si Cain l'apprenait peut-être qu'il allait lui faire mal. Ca resterait entre eux en tout cas, il n'aurait rien à craindre. Sylvester n'avait pas de préférence hommes ou femmes tout y passait. Bien sur avec le consentement, il n'était pas du genre à profité des personnes. Ahaha effectivement, mais je ne me permettrais pas de lui demander cela par respect pour Cain. Et puis jlaime bien ce petit Il était un peu comme un neveu bien sympathique. Effectivement... Eggsy aime tout le monde
La question fatidique était enfin apparu sur le tapis. Et toi Sylv’ ? Quel petit cul t’as fais craquer ce mois-ci ? Il se mit à rire en sirotant son verre de whisky parce que visiblement, il y en avait. Ahaha si c'était qu'un... Bon c'est moins que d'hbaitude, je reste raisonnable.. C'était juste sous l'effet de la colère, tu te rappelle que je t'avais dis que j'avait croiser mon ex... et visiblement elle a pondu son môme... donc... bah... j'ai pas su trop me contrôler. Ah et pour noel j'ai invité Aguistin, Willy l'adore. C'est vrai que d'avoir vu le môme de son ex l'avait un peu mit en rogne parce qu'il se rappelait pour qu'elle raison, il avait du la laisser la seule femme qu'il a aimé et il a du la laisser à un looser de première. Buvant une nouvelle gorgée. Et je crois... même j'en mettrais ma main à couper que, je ne le laisse pas indiffèrent.
Cela dit lui non plus, il ressentait quelques choses bien qu'il n'en disait rien. L'Ecossais ne dévoilait pas totalement ce qu'il pouvait ressentir pour cette raison qu'il était redoutable en affaire.
La soirée allait bon train dans le bar. Ils avaient d’abord discuté de leurs progénitures, pour ceux qui en avait. Forcément, comme à son habitude, James ne tarissait pas d’éloge pour sa fille. Elle était la plus belle, la plus intelligente de toutes. Sylvester faisait pareil avec Willy. C’était normal, ils étaient la chair de leur chairs, et ils étaient des papas très protecteurs. Sans doute pour compenser ce que leurs propres pères faisaient. La relation entre James et son père était assez tendue. Heureusement que son grand-père, Sullivan sénior était là et c’était lui qui commandait la famille d’une main de fer. Il aimait James encore plus que son propre fils et que dire de son arrière petite fille ! C’était lui qui avait mis tout en charge pour la retrouver, quand elle avait été enlevée, alors que son propre grand-père la qualifiait de dommage collatéral. Certes, c’était des faux souvenirs, mais pour James ça comptait. Ainsi, même s’il donnait au Vent du Nord les noms de certains mafieux, il était une tombe quand ça concernait son grand-père et son entourage. Il ne pouvait pas trahir la famille, mais les autres oui. Pour lui, ils avaient été complice du mal qu’on avait fait à sa fille, et rien que pour ça, James avait juré de les détruire.
Puis la conversation dévia sur un sujet que James appréciait plus que tout. Le cul et les ragots de cul. Il avait ce petit côté qu’il cachait, mais qui révélait quand il était entre amis. Oui ça l’interessait de savoir qui couchait avec qui, surtout quand c’était dans son cercle d’ami. Quand il avait posé la question, avec une pointe d’innocence à vrai dire, il ne s’était pas attendu à voir Charlie rougir de la tête au pied, puis passer par toutes les couleurs de l’arc en ciel quand les regards se posèrent sur lui. James essaya de le mettre à l’aise pour qu’il crache le morceau. Et quel morceau ! Charlie n’avait pas seulement couché avec Eggsy, il commençait à en être amoureux. Aïe aïe aïe ! C’était mauvaise cuisine ça. Déjà parce que le père d’Eggsy n’était rien d’autre que Caïn et qu’il le connaissait assez pour savoir qu’il était aussi protecteur avec son fils que lui avec Mary, alors même qu’Eggsy avait 27 ans. Et puis parce qu’il avait remarqué, à force de le côtoyer, qu’Eggsy était une sorte de cœur d'artichaut. Comme il venait si bien de le dire à Charlie, ce gamin tombait amoureux de toute personne lui portant de l’attention.
“Non mais façon de parler tu vois. Il est trop gentil pour son propre bien.”
James poussa un soupir tout en faisant un geste pour appeler le serveur, demandant une bouteille de rhum et la bouteille de whisky. Tant qu’à faire, il n’allait pas s’amuser à l’appeler toutes les deux minutes.
“Je sais … mais je me dis que peut être si je lui demande il voudra bien !” “Charlie, je te le redis, c’est l’alcool ou quoi qui te fais faire le poisson rouge … N’espère pas te mettre en couple avec lui. Où alors il dira oui mais il te trompera parce que je pense pas qu’il comprenne la notion de fidélité.” “Bah peut être … Après, tous les chiens sont fidèles à leur maître.”
James éclata de rire en regardant Sylvester qui avait aussi un petit sourire. Si Charlie pensait qu’il serait le maître d’Eggsy, il se trompait largement. Enfin après il avait peut être raison mais il ne fallait pas trop espérer.
“Tu vois, même Sylv’ le dit. Eggsy aime tout le monde. Je crois qu’il a dit un jour à Evie une connerie du style l’amour ça se partage, le monde est trop triste pour pas donner de l’amour à tous.”
James leva les yeux au ciel tout en se moquant allègrement. Vraiment, qu’est ce qui fallait pas entendre comme conneries. Mais après il préférait que Caîn ait un fils comme ça, prônant l’amour plutôt que la guerre. C’était quand même plus facile à gérer. Voyant que Charlie avait le regard perdu dans le bar, réfléchissant certainement à ce qu’il venait d’entendre, James changea de cible et posa la question à Sylvester. Il remercia aussi le serveur qui vint leur apporter la commande. James se servit un verre entier de rhum pur tout en rigolant quand il entendit Sylvester répondre.
“Ah ouais ? T’es malade mon pote où quoi ?”
Moins que d’habitude ? Hé beh ! Il était un peu étonné par cette réponse. Qu’est ce qu’il nous couvait là l’autre géant.
“Ah. Putain ouais. Le bad mood. Je comprends. Surtout que les relations avec les ex c’est houleux.”
Oh oui qu’il comprenait. Son ex femme était une salope de première. Il ne pouvait même pas dire que c’était une bonne mère vu qu’elle était responsable en partie de l’enlèvement de sa propre fille. C’était elle, qui avait fourni les informations à Léon. James avait aussi appris par la même occasion que les deux avaient une liaison depuis un moment. Cette pute le trompait, premièrement, et deuxièmement, le trompait avec son pire ennemi. Il était où le respect. Il se le demandait bien.
“Aguistin. C’est le croque-mort non ?”
Il remarqua que Charlie frisonna à l’évocation de ce nom, ce qui fit hausser un de ses sourcils.
“Que passa Charlie ?” “Il me fait peur. Je l’ai vu deux fois à l’Agence … je suis pas idiot j’ai bien compris que nos prisonniers avaient passés l’arme à gauche et que Caïn voulait que ça reste discret mais je sais pas il est … si bizarre.”
James fit une petite moue. Il ne le connaissait que de nom, de réputation même vu qu’il gardait le cimetière et que parfois, il le voyait quand il allait avec Mary fleurir la tombe de sa mère. C’est vrai qu’il avait une certaine aura, mais s’’il y en avait un plus à même à répondre c’était Sylvester, vers qui il s’était tourné.
“Il paraît qu’il a même crée une boutique … qui pousse les gens à mourir ! C’est affreux.”
Charlie avait l’air vraiment effrayé quand il en parlait. Une boutique qui pousse les gens à mourir ? C’était quoi ça ? Vraiment, il y avait de tout à Storybrook. Cette ville ne cesserait de le surprendre quotidiennement.
“Alors là, aucune idée. Tu sais de quoi il parle Sylly ?”
Quitte à lancer le sujet, autant avoir plus d’informations.
“Ouuuh mais c’est cool ça si tu le laisses pas indifférent ! T’as bien fait de l’inviter à Noël, qui sait, peut être qu’il pourra te toucher les boules … de Noël.”
Son rire fut gras, comme la vanne qu’il avait fait, mais il était content pour son ami. Il avait bien le droit de passer un bon noël. Lui ne savait pas encore ce qu’il ferait. Peut-être qu’il partirait à Londres avec Mary pour passer les fêtes en famille, même si cette idée ne le réjouissait pas vraiment. Où peut-être qu’il le ferait dans sa maison, tranquillement. Tiens pourquoi il n’inviterait pas Evie aussi. Ça pourrait être sympathique.
“Bon, on fait quoi les gars ? Barathon ? On va au bar d’Eggsy ? Il serait peut être tellement content de nous voir qu’il remuera la queue. N’est ce pas Charlie ?” “Ahaha très drôle James … moi c’est comme vous voulez ! Tant que je suis avec vous !”
Ah ce Charlie, si sentimental ! James, qui avait une bonne descente, resservit à tout le monde du rhum, même à Sylvester pour finir la bouteille. Il aurait pu la prendre mais il savait que s’ils allaient chez Eggsy, ils buveraient du vin. Alors autant ne pas gaspiller.
code by Silver Lungs
Sylvester A. Cynster
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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Illustration de se regarder en chien de faïence
code couleur : #DC143C
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La soirée se passait plutôt bien, et elle commençait plutôt en douceur. Ca commence toujours bien quand on parle de la santé, des mômes et des plans cul. Oh oui, Sylvester faisait toujours les éloges de son fils bon par contre quand ce dernier faisait l'imbécile, il ne le loupait pas. Il pouvait aussi parfois jouer au jeu du plus con avec son enfant. Willy savait comment ça pouvait finir et s'était toujours son père qui gagnait. Et le petit trouvait cela injuste. Mais Sylvester savait comment canaliser son fils. En ce qui concernait les Cynster, Sylvester et Sebastian ne s'entendait pas, son père avait tenter de le modeler comme il le voulait, il avait même changer son caractère lui qui était si adorable et aimant... A cause de lui, il était devenu de plus en plus mauvais étant toujours sur tension avec le colère. En étant rival avec son frère de toute évidence c'est ce que cherchait à faire son père de toute manière depuis le début. Donc qu'il soit six pieds sous terre était la meilleure des choses. Sebastian n'avait manqué à personne encore moins à Héléna qui était beaucoup mieux sans lui. Et le fait que Willy ne connaissait pas son grand père n'était pas plus mal finalement. Ca avait évité à Sylvester de jeter son père par la fenêtre s'il aurait été de ce monde. Il faisait ressortir ses mauvais coté qu'il tentait tant bien que mal a laisser de coté pour un avenir plus saint et aller de l'avant avec son enfant. Bien sur Sylvester n'avait pas de grand parent, ils étaient mort surement dans une guerre ou autre. Il ne s'en portait pas plus mal et se contentait du peu qu'il avait. Ce qui se résumait à Son fils, sa mère et .. son frère enfin, demi parce qu'il ne portait et ne porterait surement jamais le même nom de famille puisque déjà sa mère ne tolérait pas son frère, il était le fruit d'un échec à son mariage. Héléna était de la vieil école, elle avait vu cela comme une tromperie pure et simple et n'avait jamais voulu le voir au pied de sa porte. Avec le temps qui passait peut-être qu'un jour elle le tolérerait dans son champs de vision. Quoiqu'il en soit Sylvester et Richard était en continuel conflit tel deux coq. Ou du moins Richard l'était vu qu'après tout s'était un peu un poulet. Bien qu'ils sachent tous que c'était de faux souvenirs mais pour le démon slave s'était vrai d'une certaines manière.
Après la famille, c'était le cul... ahhh quel charmant sujet de conversation, on n'allait pas se mentir le club des beauf passaient surement leur temps à faire des partie de jambes en l'air. De l'extérieur on dirait pas mais.. enfin si pour Sylvester s'était un peu ça façon de parler aussi ça ne le gênait pas plus que cela finalement après tout s'était naturel, le cul. Ah l'amour, s'était quelques chose de bien compliqué dans un sens surtout quand la personnes dont on pouvait tomber amoureux avait un cœur d'artichaut. De se coté là... Sylvester ça allait, il n'avait pas eu cette chance ou du moins, il y a fort longtemps avec Dewenty, cette femme était une perle avec un égo qui frôlait le sien. Deux caractères bien trempé, s'était le parfait amour tout les deux puis, le drame était arrivé avec la perte de leur fille. Tout s'était brisé. Et il avait préféré s'éloigner d'elle pour la protéger et qu'il ne lui arrive rien. Cette dernière avait toujours de la rancune pour lui, et Sylvester faisait toujours en sorte de ce faire passé pour le grand méchant de l'histoire. Mais pour l'heure ce n'était pas son histoire qui comptait mais plus celle du petit Charlie qui devait avoir un sacré espoir, il lui souhaitait bon courage parce que ce n'était guère évident surtout quand le père de Eggsy était Caïn. Non mais façon de parler tu vois. Il est trop gentil pour son propre bien. Ah bah ça.... y a pas plus poupi sur terre
Sylvester approuvait l'idée ! Ah bah oui qu'elle belle initiative mon brave, prendre le taureau par les cornes On va en avoir besoin pour la soirée. Même si ça ne serait surement pas suffisant pour Sylvester, il comprendra la prochaine tourné. Sylvester sirotait son whisky. Charlie, je te le redis, c’est l’alcool ou quoi qui te fais faire le poisson rouge … N’espère pas te mettre en couple avec lui. Où alors il dira oui mais il te trompera parce que je pense pas qu’il comprenne la notion de fidélité. Appréciant le spectacle. James a raison.. c'est pour ton bien qu'on dit cela... encore si s'était que du cul c'est bon.. mais si tu commence à avoir des sentiments à son égard... carrément ça pue du cul. Bah peut être … Après, tous les chiens sont fidèles à leur maître. Sylvester rit en écho à James. Nan mais Charlie.. la c'est même plus de l'espoir c'est croire au miracle. Fenrir obéit.. Eggsy.. c'est l'électron libre de l'amour.. Tu vois, même Sylv’ le dit. Eggsy aime tout le monde. Je crois qu’il a dit un jour à Evie une connerie du style l’amour ça se partage, le monde est trop triste pour pas donner de l’amour à tous. Le démon slave hocha la tête pour appuyer ses dires. La bouteille changea de destinataire et se porta sur lui. Ah ouais ? T’es malade mon pote où quoi ? Buvant son verre. Il haussa les épaules. Non pas plus que cela ? Mais je crois que le fait d'avoir revu mon ex... joue dans le tableau aussi Ah. Putain ouais. Le bad mood. Je comprends. Surtout que les relations avec les ex c’est houleux. Ahhh.. je te fais pas dire ! Donc comme tu me connais, j'aime jouer dans la provoque ! Alors j'ai aussi poussé mon ex à bout, histoire qu'elle me déteste bien comme il le faut sinon s'est pas la peine.
En ce qui concernait son ex, il ne pouvait dire que s'était une salope non plus puisqu'elle lui avait été fidèle jusqu'au bout des ongles. Non le problème avait été les grand parents. C'était eux qui avait tout détruit. Mais c'était de l'histoire ancienne donc... mieux valait laissé les cadavres au placard comme on dit. Aguistin. C’est le croque-mort non ? Ouai lui même Sylvester se tourna quand il avait remarqué le frisson, il avait donc haussé un sourcil. Il me fait peur. Je l’ai vu deux fois à l’Agence … je suis pas idiot j’ai bien compris que nos prisonniers avaient passés l’arme à gauche et que Caïn voulait que ça reste discret mais je sais pas il est … si bizarre. Ah. Personnellement Sylvester ne trouvait pas qu'il faisait peur. Ohh.. je vois pourtant, je ne vois pas en quoi il fait peur ? Willy l'adore, il demande toujours à ce que j'invite Aquistin. Alors pour que mon fils adore quelqu'un faut le marquer. Passant sa main sous son menton. Bizarre tu dis... C'est Agui quoi. Je trouve qu'il à un rire unique aussi. Il paraît qu’il a même crée une boutique … qui pousse les gens à mourir ! C’est affreux J'ai oui dire aussi cette réputation là, mais après c'est son magasin des suicide, pousser les gens à mourir, il ne leur met pas un couteau sous la gorge non plus. Comme quoi il était en train de le défendre. C'est un boulot comme un autre non ? Et si ça aide les personnes c'est qu'ils avaient déjà pensée à aller de l'autre coté non ? Lui même n'avait pas eu de remord pour ses pauvres âmes en les jetant dans le feu. Ouuuh mais c’est cool ça si tu le laisses pas indifférent ! T’as bien fait de l’inviter à Noël, qui sait, peut être qu’il pourra te toucher les boules … de Noël. Sylvester rit de plus belle en buvant son verre. Ah ca nan il ne me laisse pas indifférent, bon d'abord faut que je fasse dormir Willy et c'est bien ce que je compte faire. Enfin, faut que je le mettent dans l'ambiance pour Et voir ou tout cela va nous mener.
Bon, on fait quoi les gars ? Barathon ? On va au bar d’Eggsy ? Il serait peut être tellement content de nous voir qu’il remuera la queue. N’est ce pas Charlie ? Sylvester renchérit. Et qui sait peut-être qu'il obeira à son maître adoré !Et bien aller on va tous voir Eggsy ! Comme ça Charlie sera content lui aussi. Sylvester accepta le rhum. Ouhla morbleu, pas plus haut que le verre ! je vais finir par parler créole comme mon ex ! Il bu le rhum d'une traite. Et se releva. Aller on va voit ce petit Eggsy, ça fait longtemps que je l'ai pas vu. On finira la conversation la-bas.