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 Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme } feat Sylvester Cynster

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Aguistin R. Marban
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Aguistin R. Marban

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Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme } feat Sylvester Cynster _



________________________________________ 2021-05-03, 13:36



Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme
Aguistin & Sylvester


Le soleil venait à peine de se lever dans le ciel de Storybrook qu’Aguistin était déjà sur le pied de gru. Il n’avait pas beaucoup dormi, sans doute quelques heures, mais il s’était promis de rattraper ses heures de sommeil plus tard dans la journée. Serrant son écharpe contre son cou alors que la température avoisinait déjà les 20°, il se dirigea tranquillement vers le Starbuck au coin de la 4e avenue qui n’était heureusement pas très loin de son cabinet. Que ferait-il sans cette merveilleuse boutique ? Irait-il au petit dinner qui pouvait faire concurrence à la grande marque de café ? Oh oui certainement mais pas pour les mêmes raisons. En y pensant, poussant les doubles portes son sourire s’élargit encore plus. Le magasin était calme, il n’y avait quasiment personne, sans doute tous en train de faire la grasse matinée en ce mois d’Avril. Essayant de ne pas penser à son grand lit king size qui l’attendait dans sa maison de pierre, il alla directement à la caisse sans même un regard pour la carte.

“Un Venti de lait chaud s’il vous plait.”

Oui tout ça pour du lait chaud. Il aurait donc pu rester quelques heures encore chez lui mais non, Monsieur Marban préférait largement qu’on lui serve sur un plateau sa nourriture ou tout autre chose que de devoir le faire lui-même. Il hésitait même de plus en plus à commander sur internet les services d’un esclave personnel mais il avait un peu peur du fait qu’une personne non habitué à la magie puisse se rende dans une ville comme Storybrook … Non en fait ce n’était même pas ça qui l’inquiétait mais plutôt le fait que cette dudit personne ne pourrait avoir peur de son régime alimentaire et finirait par partir pour tout révéler. Non, il ne pouvait pas, et il se désolait qu’Ambroise ne puisse lui faire la cuisine. Décidément, ce fantôme ne lui servait à rien, mise à part le tenir éveillé la nuit.

Remerciant d’un grand sourire la serveuse, il ronronna -presque- de plaisir quand après avoir mordillé sa paille le lait atteint sa bouche. Allant s’asseoir à la même place que d’habitude, dans le recoin du café, se mettant bien au fond des canapés, il regarda alors passer les habitants de la ville sans d’abord trop les voir, trop absorbé sans doute par la contemplation intérieur d’un univers dont les vils humains ne pouvaient en rien comprendre le sens. Ce n’est que quand un chien aboya qu’il sursauta, repris par de vieux réflexes. Plissant les yeux, il regarda le canidé passer à toute allure. Levant un sourcil, il colla alors son nez contre la fenêtre pour voir à qui cette chose pouvait bien appartenir et ce qu’elle faisait à courir comme ça, prêt à dégainer le numéro de la SPA si ce truc venait à mordre quelqu’un. Il aperçut alors le facteur repasser devant le magasin en vélo en essayant de semer le monstre qui le poursuivait. Mordant la paille fortement, la mésaventure du fonctionnaire lui éclaira soudainement son esprit. Regardant sa belle montre d’une marque très chère, il hocha la tête à son dialogue intérieur. Il avait envoyé son cadeau à Luci il y a trois jours et heureusement la ville était bien desservie niveau courrier. Il devrait en principe le recevoir aujourd’hui et rien que cette pensée le rendait encore plus joyeux qu’avant. Il pourrait ainsi apprécier sa splendide écriture et voir à travers son « Avec mes sincères amitiés Aguistin » toute l’ironie de la chose. Décidément cette journée serait vraiment très bonne pensa t’il en se rendant dans son centre de pompes funèbres.

La matinée se passa sans trop d’encombre et il eut pas mal de clients. À croire que le taux de mortalité de la ville ne cessait de croître, et dieu sait qu’il n’y était pour rien. Heureusement qu’ils étaient plusieurs à travailler dans l’entreprise familiale. Zara s’occupait de la médecine légale et de réparer les corps. Greg l'assistait quand il n’était pas au bar de Sheitan. Après tout, le bar n’était pas ouvert la journée et le jeune homme n’avait rien à faire. Sa grande soeur l’avait tiré par la peau des fesses pour qu’il vienne. En haut, les cinq employés, tous des anciens monstres ou anciens fantômes qui s’occupaient de la clientèle. Puis dans l’arrière boutique, Célestine qui s’occupait des fleurs et des compositions florales. Dans son bureau, Aguistin, lui, gérait toute la paperasse administrative qu’un décès pouvait engendrer, mais parfois, il venait s’occuper lui-même d’apaiser ces âmes en peines. Ce matin, rien d’illégal, que de la légalité. Zara ne lui hurla pas dessus qu’il n’avait pas fait la fausse facture par rapport à son trafic d’organes avec les roumains. Il fallait bien faire passer les organes à la frontière et c’était Aguistin qui s’occupait de ça. Il n’aimait pas vraiment pour le coup faire la paperasse. Ce n’était pas son job. Il n’était pas un putain de fonctionnaire ! Il était le porte parole de la Mort. Ça changeait tout !

“Claire, vous pourrez m’apporter mon déjeuner s’il vous plait, j’ai vraiment besoin d’une pause.”

Il avait appuyé sur le téléphone pour que Claire, la jeune femme qui s’occupait de l’accueuil lui apporte la petite malette de nourriture que Dolorès lui avait fait. Il aurait pu descendre dans l’espace de repos mais il n’avait pas envie. Il n’avait pas envie d’entendre Greg piaillait et Zara soupirer. Il était bien dans son bureau, au-dessus de tous. De plus, le canapé venait de l’appeler langoureusement et Aguistin n’avait pu résister à cet appel si tentateur. S’affalant sur le dos, sans aucune grâce, il chopa son iphone dans la poche arrière du pantalon de son costume et chercha l’application pour la musique et appuya sur play. Une musique Jazzy emplit alors le bureau en même temps qu’il fermait les yeux de contentement. Les minutes passèrent, la musique le détendit entièrement, sa queue battant au rythme du saxophone. Oh oui il était bien, devant les portes de Morphée, prêt à le rejoindre pour valider sa promesse faite à lui-même. Mais alors qu’il était bien, très bien, s’étant mis en boule, la porte s’ouvrit en grand fracas, le faisant sursauter et tomber de son canapé dans un croassement de colère, se rendant invisible par réflexe, en se glissant dans l’ombre du canapé. Il entendait la voix de sa secrétaire -non Claire ne l’était pas mais Aguistin le pensait- qui expliquait à l’homme que non, il n’avait pas le droit d’être là. Sortant de l’ombre, de l’autre coté de la pièce, dans celle de la bibliothèque, il toussa pour se faire entendre.

“Claire, c’est bon, laissez le, Sylvester a tout a fait le droit de venir me déranger.”

La jeune femme lança un regard à l’immense brun avant de faire une petite moue, de soupirer et de partir. Aguistin se pencha pour vérifier qu’elle avait bien fermé la porte avant de s’approcher de lui, gazouillant, heureux de le voir.

“Quelle agréable surprise !”

Il passa une main baladeuse sur le costume de l’homme. Ah Sylvester ! Sylvester avait beaucoup de droit comparé aux autres et c’était assez normal. Il avait une place privilégiée dans la vie d’Aguistin et pas uniquement parce qu’ils couchaient ensemble. Aguistin était assez avare de relations sexuelles. Il ressentait des besoins mais n’appréciait pas vraiment de se mélanger avec des humains. Quelques rares exceptions étaient faites quand il en sentait le besoin mais ce n’était pas ça qui faisait tourner son monde. Mais Sylvester. Ah Sylvester ! Il avait ressenti immédiatement un attrait pour lui et pas que physique. Non, il s’entendait bien intellectuellement avec lui. Il avait développé des sentiments pour lui. Même s’il ne le disait pas encore, ayant une certaine forme de culpabilité par rapport à Madame la Mort, il savait. Et parce qu’il savait, il lui donnait tous les droits.

“J’allais déjeuner ! Lolo m’a fait des pâtes à la bolo’ mais si tu veux on peut commander pour que l’on mange ensemble. Je ne te propose pas le menu du jour, je ne suis pas sûr que tu apprécies.”

Il lui fit un petit clin d'œil avant de lui faire un geste de la main vers le bas. Il n’était pas sûr que Sylvester apprécie de manger, même en carpaccio un foie humain. Chacun ses goûts, Aguistin ne forçait pas. Après tout, il était un charognard, une créature créée sur le modèle du corbeau, et la malédiction n’avait rien changé en ça, au contraire, il devait même rattraper le temps perdu.

“Willy va bien ?”

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Sylvester A. Cynster
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________________________________________ 2021-05-15, 23:34

Rien ne se perd, Rien ne se creer, tout se transforme





En cette journée, Sylvester n'avait réellement pas froid de toute façon en journée il ne craignait rien et le fait que le soleil ne soit pas trop fort arrangeait les choses. Sylvester n'était pas un grand fan de soleil. Willy était en train de faire des siennes comme tout les matin avant d'aller à l'école. Monsieur n'avait guère envie, il voulait aller faire chier oncle Richard s'était son passe-temps du moment. Sauf que Richard avait d'autre chat à fouetter. Bien que pour l'embêter il serait capable de lui poser avec une message "occupe toi de ton neveu, j'en ai pas pour longtemps" Mais Il ne serait pas lequel des deux va garder qui. Donc Sally avait préparer le petit déjeuner pour William, parce que même avec tout les efforts du monde c'était pas son fort la cuisine donc c'était bien d'avoir une cuisinière à la maison. Il avait encore quelques coup de fil à passer pour la boite qu'il tenait et qu'il partageait à par non équitable avec son frère. Bon à dire vrai s'était quand même lui qui l'avait créer et avait bien voulu céder une petite parcelle à son frère parce que leur père ne lui avait légué qu'une vulgaire usine de truite. Alors voir son frère en marchant de poisson c'était drôle mais pas styler. Donc il lui avait donné un petit vingt pourcent de la boite et son petit nom dans l'enseigne s'était déjà pas mal non ? Il pensait à son grand frère parfois. Sylver et Gold marchait quand même pas mal surtout par internet. Jamais il n'aurait pensée que sa boite marche du feu de dieu. S'était le cas de le dire après tout. Une fois qu'il avait déposer son cher enfant à l'ecole et prévenir que s'il lui arrivait la moindre égratignure a allait encore chauffer pour cette pauvre Jessica. En revanche quand Willy était le fauteur de trouble en question fallait pas le prévenir mais bon, après il essayait de faire comprendre à son fils que ce n'était pas bien de frapper les autres. Et bon lui non plus dans sa jeunesse ça n'avait pas été un enfant de coeur c'était même tout le contraire. Qu'il collait juste à l'image qu'on lui avait donné depuis la nuit des temps. Passé un temps ça l'avait même passionné à dire vrai, c'était même un passe-temps puis, ça l'avait ennuyer alors il s'était calmer. Son fil à débarqué et maintenant il voulait être un homme meilleur pour son petit bout, bien sur il n'était pas pur jusqu'au bout non plus. Dans son travail, il faisait en sorte d'être le méchant pour avoir des informations.

Comme la fois ou une mignonne petite demoiselle était venu leur demander de l'aide au sujet de poupée voler, bon c'était marrant parce que s'était l'œuvre de souris ou de rats, il ne savait plus trop. Il y avait été avec son coéquipier Woody ! C'était amusant en soit d'avoir été transporter de l'autre coté dans le monde des casse noix. Bon c'était quand même mieux d'être revenu quand même. Bon dans la journée, il n'avait qu'à descendre d'un étage pour être dans le Sylver & Gold. Prenant quelques commande, regardant par ailleurs leur stock. Mhh.. il allait devoir trouver d'autre produits pour satisfaire les clients, bon après ce n'était guère un soucis, il trouverait une solution. Quelques instant plus tard il avait passé un coup de fil à son frangin. Hei Bro tu compte venir aujourd'hui ou demain ? Bien sur, il était tombé sur la messagerie... intervention ou tout simplement n'avait-il pas envie de voir sa tronche ? Tout était possible. Le grand frère à pas prit son pied cette nuit ? Il rit à l'autre bout du film. Ferme ta gueule

Ahhh quand on parle du loup.. on en voit .. non en fait pas la queue vu que t'es habillé. Bah maintenant que t'es la du coup, t'as pu t'occuper de la commande KH5U8 ? Ou il voulait de la poussière de fée ? Il avait pu entendre le soupire de son frangin t'en a d'autres des conneries comme ça en stock ? Ou c'est ton cerveau qui fourni ça à la pelle ? Et ouai j'ai pu m'occuper de cette commande, la poussière de fée elle est sur le coté je l'ai emballer manque plus qu'à l'envoyer mais sinon bonjour. Si tu savait tous ce que mon cerveau peu fournir... Tu prendrais peur. Mais merci de la réponse. Bon.. comme t'es là on va pouvoir faire un inventaire.

Le reste de leur conversation s'était fait dans le silence, le frangin n'était pas très causant, après il s'étonnait de n'avoir que vingt pourcents. La mâtiné était passé assez vite, quand ils avaient terminé l'inventaire de ce qu'il restait s'était pas plus mal. Bon Richard.. je te laisse terminé j'ai quelqu'un à aller voir. Tu pourra aller chercher Willy aussi ? il veut te voir depuis ce matin. Merci je te revaudrais ça. Puis, sans attendre la réponse, il était parti déployant ses ailes et mettant ses lunettes. Il avait prit son envole pour aller au travail de son homme. L'amour donnait des ailes non ? Rentrant pour atterrir à l'accueil. Bonjour mademoiselle je voudrais voir Aguistin. Il avait ranger ses ailes au passage.

Non vous n'avez pas le droit d'être ici monsieur Pardon ?! Il fronça les sourcils commença il avait pas le droit ? Il avait prit par ouvrir la porte dans un fracas avec la force du vent. a demoiselle ne pouvait pas faire le poids de toute manière même si elle l'aurait voulu. Il aurait bien vite fait de l'envoyer dan le décor, mais il ne frappait pas les femmes, ila vait un minimum d'éducation. Non Revenez ! Vous n'avez pas le droit d'être ici. Puis une voix familière retentit. Claire, c’est bon, laissez le, Sylvester a tout a fait le droit de venir me déranger. Claire ? Et bien elle n'était pas très Claire dans ses propos. Il la jugeait un peu mais, Sylvester était content de voir son chéri. En regardant Claire, il la regardait d'un air, "tu vois je te l'avais dis que j'avais le droit d'être la" Son regard ne passa pas inaperçu, elle afficha une moue et parti. T'as raison casse toi. Puis la grognasse était parti fermant la porte derrière elle. Agui s'était rapprocher en gazouillant. C'était tellement mignon venant de lui. Quelle agréable surprise ! Mhh.. j'aime faire de belle surprise au plus beau des spécimen. Sentent les main baladeuse de son compagnon. Il ne pou se retenir de sourire. Sylvester lui vola un baiser. J’allais déjeuner ! Lolo m’a fait des pâtes à la bolo’ mais si tu veux on peut commander pour que l’on mange ensemble. Je ne te propose pas le menu du jour, je ne suis pas sûr que tu apprécies. Il le regarda d'un sourire tendre. Je ne voudrais pas gâcher le déjeuner que ta charmante sœur a fait... Mais, je serais ravi de manger en ta compagnie, en plus aujourd'hui, je suis de repos c'est tout Richard qui s'y colle. Je vais appeler pour prendre une commande et qu'elle livre pas loin.

Le démon ne mangeait pas de chair humain restant sur des plats typique, et encore quand il mangeait. après effectivement c'état chacun ses menus et cela ne gênait pas Sylvester. Il lui sourit tendrement. Le suivant. Willy va bien ? Un grand sourire perla sur ses lèvres. Oui il va bien, la je l'ai poser à l'école ce matin et c'est Richard qui va s'en occuper, j'imagine déjà ça tête. Mais Willy tenait tellement à voir son oncle que je n'ai pas pu lui dire non. Bon par contre, je lui souhaite bien du courage quand il sort de l'école c'est une véritable pile électrique. Avec son téléphone, il avait donc commander un Kebab, il variait souvent ses repas et aujourd'hui s'était ça, dans deux jours ça allait être Thaï. Et après il verrait selon ses gout. Ca va au travail ce n'était pas trop dur ?


KoalaVolant
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Aguistin R. Marban
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________________________________________ 2021-06-16, 13:38



Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme
Aguistin & Sylvester


Dire qu’Aguistin était surpris par la visite de Sylvester était un euphémisme. Il ne s’y était vraiment pas attendu mais cela fit monter en lui une chaleur qui se propageait dans tout son être. Dès qu’il posait son regard sur lui, il ne pouvait s’empêcher d’émettre une sorte de croassement, encore plus quand il portait ce costume sombre. Il ressemblait tant à un faucheur que le corbeau de la mort en était vraiment troublé. C’était peut être aussi pour ça, qui lui accordait un crédit qu’il n’accordait à personne d’autre. Il se laissa embrasser doucement, ses mains qui étaient baladeuses s’accrochant au pan de sa veste. C’était doux en vérité. Comme une plume délicate lui frôlant les lèvres et il ne s’en lassait pas. Cependant, il se sépara de lui, avec son sourire malicieux pour lui dire que normalement, il allait partir à sa pause déjeuner. Il eut un ricanement quand il parla de Dolorès. Ah Dolorès. Forcément il avait fallu qu’elle soit aussi en crush sur Sylv. C’était pas possible. Elle le faisait exprès. À chaque fois qu’il s’intéressait à quelqu’un, cette dernière rapliquait avec sa bouche en coeur, battait des cils et soupirait comme une adolescente. Certes, il savait que ça lui passait. En général au bout de quelques mois, elle avait déjà une nouvelle proie, mas il n’aimait pas quand elle lui faisait ça, à lui ! Ambroise se marrait à chaque dispute. Pas plus tard que la semaine dernière, quand elle lui avait dit qu’elle était passée au magasin de Sylvester pour lui offrir le goûter ! Sérieusement ? Déjà d’où elle lui offrait un goûter ? Et puis tout simplement de où faisait elle ça ! Pourquoi n’iriait elle pas batifoler avec Calypso ? Ces deux là s’entendaient à merveilles, même mentalité de gamin.

“Oui … ça serait dommage …”

Les yeux sombres d’Aguistin avait lancé instantanément des éclairs après s’être repassé justement cette dispute dans son esprit. Oh non. Là. Elle n’avait pas intérêt à toucher à un seul cheveux de Sylvester. Même s’il aimait Dolorès, il ne lui laisserait pas passer ça. Néanmoins, Aguistin se radoucit quand il entendit Sylvester lui dire qu’il serait ravi de manger en sa compagnie. Lui tenant toujours la main dans un geste tendre dont lui même n’était pas habitué, il hocha la tête en gazouillant.

“Oooh … mais si tu as ton après midi … tu peux rester avec moi alors !”

L’ancier corbeau le regarda avec malice et envie, se mordant un coin de sa lèvre.

“Appelle, appelle, je mangerai la même chose que toi !”

Et toi aussi faillit il ajouter, mais préférant garder cette pensée au fond de son esprit.

“Tant pis pour les pâtes de Lolo, je suis sur que j’en serai faire usage.”

Pourquoi avait il dit cette phrase ? Elle n’avait pas de sens et il leva les yeux au ciel pour lui-même alors il préféra changer de sujet en parlant de Willy, sachant ô combien Sylvester aimait son fils et lui aussi à vrai dire. Pourtant les enfants, il avait du mal avec mais là, ça passait.

“Ton frère en baby sitter ? C’est vrai, solution pratique.”

Sylvester lui avait parlé quelques rares fois de Richard. Son frère, ou plutôt demi-frère et à vrai dire, leur relation restait un peu mystérieuse à ses yeux. Il n’arrivait pas à savoir s’ils s’aimaient où se détestaient, même quand il prenait en comparaison avec Dolorès. Malgré tout, il aimait sa soeur même si dans leur monde, ils n’étaient pas de la même famille. Il avait fait la grève de la Mort pour que, justement, Madame la Mort arrache son âme des griffes de Lucifer. Il avait ainsi compris une chose. Une famille, ce n’était pas le sang. C’était les actes, les actions. Une famile se construisait comme n’importe quel type de relations.

“En même temps, on ne peut rien refuser à Willy !”

Aguistin sourit. Il en savait quelque chose. Les fois où il l’avait vu, il n’avait pas pu s’empêcher de jouer avec lui et de lui faire des cadeaux ! Il lui rappelait les enfants légendaires qui peuplaient la ville d’Halloween Town. C’était plaisant et il avait un gros côté nostalgique sur sa vie d’avant.

Marchant un peu dans la pièce, il alla se mettre sur le canapé noir qu’il y avait en dessous de la bibliothèque. Il tapota le siège maladroitement pour inviter Sylvester à le rejoindre. Dès qu’il le fit, il posa sa main sur son genou, appréciant ce contact avant de se mettre à parler.

“Oh tu sais, la Mort ne chôme pas.”

Il eut un petit rire malicieux tout en croisant les jambes.

“Surtout à Storybrook. Nous sommes la ville des états unis, voir du monde avec le taux de criminalité le plus élevé alors forcément la corrélation avec les cadavres. Tant mieux, ça me paie mes chocolats chauds comme ça.”

Aguistin et le chocolat. Toute une histoire d’amour.

“Bon la seule chose de désagréable c’est quand une mort approche dans un périmètre de quelques kilomètres.”

Sa voix c’était faite plus basse et son regard plus intense, beaucoup plus noir aussi, qu’il plongea dans celui de l’homme. Il ne parlait jamais aux gens de son véritable pouvoir. Il avait assez subi de tortures avec Finkelstein pour avoir compris la leçon. Néanmoins, il ne savait pas pourquoi maintenant, à cet instant, il avait envie de le dire à Sylvester.

“Je sens la mort arriver.”

Un fin voile noire apparut alors sur ses mains, et certainement aussi en dessous de son costume de la même couleur.

“Je l’ai toujours su. Normal, c’est mon job. Quand tu es porte-parole de la Mort … vaut mieux savoir quand un faucheur arrive tu vois vu que je suis leur sentinelle.”

Son sourire s’agrandit et il passa sa langue sur ses lèvres avant que ces dernières ne tombent un peu, dévoilant une triste.

“Or ce … ce corps n’est pas fait pour ça. Il va à l’encontre même de mon existence, à l’encontre même de ma création. Alors il y a quelques petits désagréments… Par exemple, je saigne. Tu l’as sans doute remarqué qu’il m’arrivait de saigner du nez. Voila la raison”

Aguistin lui fit une petite moue, en haussant les épaules.

“Je me suis habitué maintenant. Bon c’est chiant quand je saigne aussi des oreilles et des yeux. J’aime pas, ça salit mes fringues ! Une fois, je me suis même vomi dessus tellement il y avait de mort. C'était y a deux ans, l'immeuble d'une connaissance avec laquelle j'étais qui a explosé.”

Il rigola avant de pousser un soupir.

“Mais il n’y a pas que ça…”

Ses yeux reflétaient une immense tristesse, proche du désespoir et il avait retiré la main du genou de Sylvester.

“Quand Madame la Mort m’a créé, elle a rassemblé toutes les angoisses existentielles sur ce sujet. Je te parle de temps immémoriaux forcément.”

Il leva sa main devant les yeux de l’homme et le voile noir se fit plus foncé, plus grand aussi. Il tournoyait autour de cette main pâle et l’on pouvait voir qu’Aguistin faisait tout pour le contenir.

“Je pourrais déclencher des génocides avec ça. Des vagues entières de suicides si je ne le contiens pas et je ne peux pas car je ne suis pas un faucheur. Ce n'est pas mon rôle et en plus je déteste à avoir à me salir les mains. Mais ... parfois ça m’échappe et là … Cela dépend de la personne qui est frappé. Si elle est heureuse, ça ne lui déclenchera qu’une dépression, un sentiment de vide, un creux dans la poitrine qui semble ne vouloir jamais partir et sinon … C’est pour ça que je ne touche pas à l’alcool. J’ai déja eu l'occasion de le faire.”

Aguistin baissa les yeux au sol, les ferma pendant quelques instants et sa peau redevient normal. Il sentit alors la main de Sylvester prendre la sienne et il releva la tête.

“Tu sais, je rigole souvent au sujet de la mort. Je le prends à la légère parce que c’est comme ça. C’est l’humanité. C’est la fatalité. J'en suis son fils après tout ! Mais je suis respectueux de l’âme car il n’y a que ça qui compte. Les corps. Pff, des tas de chairs. Je suis un charognard, moi j’aime ça mais l’âme c’est autre chose. C’est un devoir que de l’apaiser pour que Madame la Mort puisse l’avoir.”

Il aurait pu se perdre dans le regard de Sylvester après cette confession mais le téléphone de ce dernier retentit. C’était sa commande et Aguistin poussa un énorme soupir. Se levant, il le laissa aller la chercher tandis qu’il allait à son bureau pour attraper une barre chocolatée et se l’enfiler directement. Quand Sylvester revint, il avait un sourire… assez mauvais à vrai dire, le sucre réveillant en lui cet être malicieux. Il attrapa le sac de nourriture qu’il posa sur la table avant de s’approcher du grand brun.

“Une expérience ça te tenterait ?”


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Sylvester A. Cynster
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________________________________________ 2021-06-24, 15:39

Rien ne se perd, Rien ne se creer, tout se transforme





Le démon appréciait entendre les croassement de son corbeau chéri. Il avait fini par trouver cela tellement mélodieux et agréable à entendre. Qu'il pourrait presque roucouler avec lui. Et Sylvester était parfaitement conscient de l'attraction qu'il exerçait sur le corbeau à cet instant. Agui ne pouvait pas lui résister comme lui ne pouvait pas résister a ce dernier. En quelques sorte, il pouvait être vu comme un faucheur dans son ancien job qui était celle qu'il avait quand il appelait les mort à aller dans les flammes pour un repos éternel, bon cela dit, certains était changer en une autre forme parce que cela était amusant et ils vivaient pour la fête. Quand il ne jetait pas certaines âmes en enfer. Menfin pour l'heure, il aurait sans nul doute apprécié le compliment que lui faisait son compagnon. De plus, Sylvester m'était toujours un point d'honneur à être bien habillé, il faisait donc attention à comment se comporter. En calculant toujours comment pouvait évoluer les choses. Pour cette raison que Chernabog avait toujours quelques longueur d'avance sur les autres, c'est pour cette raison qu'il fallait avoir une bonne présentation et que le costume était parfait ! Aguistin avait le don pour l'apaiser et il se sentait bien avec lui. Il n'aurait jamais imaginé éprouvé des sentiments aussi fort pour quelqu'un. Et il ne comptait pas le laisser partir d'aussi tôt. Il laissa sa moitié se coller contre lui, Sylvester déposa ses lèvres sur les siennes, dans un baiser tendre, il n'avait pas besoin de plus de brutalité avec lui, il voulait se montrer doux. Bien que ce dernier savait être brutal. Agui se recula et Sylvester avait pu voir son sourire malicieux, qu'il connaissait si bien. Bien sur Sylvester avait remarquer que pour le moment il était l'attraction favorite de la sœur d'Agui. Il l'appréciait vraiment même si elle n'avait aucune chance avec lui, Sylvester était bien trop épris de son corbeau. Parfois il trouait cela amusant de le voir jaloux. Il se rappelait d'ailleurs quand elle avait rappliqué dans la boutique avec de quoi manger. Le gouter avait-elle dit. Ca l'avait pas mal amusé, qu'il lui avait dit oui pour lui faire plaisir. Pendant qu'il était au travail s'était plutôt rare qu'il mangeait un morceau, il était beaucoup trop prit par sa boite. Même si on dirait le contraire. Il faisait toujours en sorte de faire le plus, il travaillait même la nuit. Quand il n'était pas en patrouille avec son chien. Oui … ça serait dommage … Sylvester sourit et le regarda en penchant la tête légèrement. Il connaissait ce regard. Tu sais que t'es sexy quand tu lance des éclairs avec ce regard. Il sourit malicieusement à son tour. Ca m'en ferais presque bander.

Aguistin s'était radouci après qu'il lui disent qu'il serait ravi de manger avec lui. Sylvester pour rien au monde il aurait refuser de manger avec son corbeau favori, surtout si Agui était le dessert par la suite. Gardant sa sa main dans la sienne dans un geste tendre. Oooh … mais si tu as ton après midi … tu peux rester avec moi alors ! Sylvester sourit et hocha la tête. Oui je peux rester toute la journée avec toi. Il voyait parfaitement ou il voulait en venir. S'approchant et il lui vola un baiser. Appelle, appelle, je mangerai la même chose que toi ! Tu es sur ? Dans ce cas je vais commander dans un restaurant et l'une des personnes me fera une livraison privé ça sera plus simple. Entrecôte de bœuf ?Avec une salade ? Saignante pour toi l'entrecôte ou... cru ?

Sylvester avait bien capté son regard. Ne t'en fais pas le dessert tu l'aura sur un plateau d'argent ~ FInit-il part dire avec un clin d'œil. En revanche pour les pates, il ne savait pas quoi dire, c'est sur que ce n'était pas perdu. On trouvera bien une utilité au pates.

Ton frère en baby sitter ? C’est vrai, solution pratique. Ah pas oui ça pouvait être pratique quand finalement on demandait pas trop l'avis du concerner. Richard n'avait pas spécialement la fibre paternel mais, avec Willy s'était pas compliqué en sois, fallait juste pas être fragile quoi. Et puis, Willy aimait tellement emmerder son oncle que Sylvester ne pouvait pas refuser cela à son fils au grand damne de l'oiseau de feu. Ouep, mon frère en baby sitter, je trouve que ça lui va plutôt bien et puis tu connais Willy, il aime fait chier son oncle alors. Je ne peux rien refuser à mon fils Un charmant sourire carnassier sur son visage prouvait qu'il était fière de sa connerie du jour. Oui très pratique surtout que du coup, il peux s'occuper de la boutique en même temps. Richard et Sylvester était comme de facette d'une pièce, ensemble ils pouvaient accomplir de grand chose comme le fait que leur boite tournait bien, mais chacun d'eux voulait être la face qui brillaient le plus. Donc parfois les baton dans les roues frappait. Et puis, s'était normal que Sylvester se venge pour tout ce qu'avait pu faire son demi frère durant leur jeunesse. Il était le maître après tout. Lui avait autant le droit que Richard d'être au sommet. Richard devait simplement ne pas oublié qui lui avait accorder le fait de faire parti de la famille. Le démon pouvait tout de même reconnaître que son père était un conard de la pire espèce, s'était peut-être une chance que Richard n'était pas sous son courroux. Il se rappelait encore des marques de ceinturon sur son dos. NE devant pas plier les genoux montrer qui pouvait gouverner. Non leur père n'était pas un tendre loin de là. Sylvester avait été un gentil petit, peut-être trop même c'est ce qui a fait qu'il avait été brisé étant pls jeune. Son père l'avait modeler à son image devenant plus agressif, mauvais et cruel par moment.

Sylvester parlait peu de son frère, pour des raisons de logique, il était toujours à s'envoyer des fion de toute façon. En même temps, on ne peut rien refuser à Willy ! Sortant de ses pensées. Exactement ! Sylvester adorait son fils vraiment. Il rejoignit par la suite Aguistin sur le canapé. Sentant sa main sur sa jambe, il appréciait le contact avec son corbeau. Oui, il en était conscient que la mort ne chômait pas, s'était peut-être ce qu'il y avait de plus rentable dans une vie, enfin... cela dépend pour qui. Il devrait peut-être se reconvertir un jour ? Même si ses boulots le comblait parfaitement être flic et pdg de sa boite le comblait.

Surtout à Storybrook. Nous sommes la ville des états unis, voir du monde avec le taux de criminalité le plus élevé alors forcément la corrélation avec les cadavres. Tant mieux, ça me paie mes chocolats chauds comme ça. Sylvester regardait Agui qui croisait les jambes, en y repensant s'était vrai, SB avait un taux assez élevé en criminalité pour cette raison qu'il travaillait sous couverture histoire d'avoir certains renseignements pour la police et voir comment tout ce passait. Ce n'est pas faux, vu de cette façon, StoryBrooke rallie pas mal de taux de criminalité dont des meurtres en pagaille Il avait l'habitude à force. Chocolat chaud tu dis ? Il avait un sourire quelques peu coquin avant de revenir serieux. Sylvester semblait peiné qu'il ait à souffrir. Le démon passa sa main sur la jambe de son compagnon montrant qu'il était là pour lui et le poursuivre à continuer. Je sens la mort arriver. Il sentait la mort venir ? Ce n'était pas très surprenant cela dit venant de la part de l'oiseau de la mort. Mais, cela devait être difficile à gérer sachant que dans un périmètre, le taux de décès était relativement élevé aussi donc s'il sentait la mort... il n'imaginait à quel point il devait souffrir. Sylvester était en train d'observer ce que faisait Agui. s'était à la fois fascinant et terrifiant. Leur sentinelle ? je pourrais être jaloux que les faucheur viennent te voir Un nouveau voile de tristesse s'empara de Agui.Or ce … ce corps n’est pas fait pour ça. Il va à l’encontre même de mon existence, à l’encontre même de ma création. Alors il y a quelques petits désagréments… Par exemple, je saigne. Tu l’as sans doute remarqué qu’il m’arrivait de saigner du nez. Voila la raison Il hocha la tête doucement, oui il avait remarquer et ça l'inquiétait, il ne voulait pas le perdre pas après l'avoir trouver.

Il comprenait hocha la tête silencieusement. Et c'est à ce moment-là qu'il s'inquiétait pour lui, s'était quelques chose de dur à porter pour lui. Il écoutait ce que lui disait Aguistin. Il comprenait. S'il le pouvait, il aurait fait en sorte d'être ce fameux faucheur pour lui retirer un poids sur lui. Même s'il avait déjà un lien avec la mort d'une certaines manière. Sylvester prit la main de Agui dans la sienne pour lui montrer qu'il était là pour lui. Je suis là
si je le pouvait, je ferais en sorte d'être ton faucheur pour que tu ai moins à porter.
Caressant doucement les doigts de son compagnon. Tu sais, je rigole souvent au sujet de la mort. Je le prends à la légère parce que c’est comme ça. C’est l’humanité. C’est la fatalité. J'en suis son fils après tout ! Mais je suis respectueux de l’âme car il n’y a que ça qui compte. Les corps. Pff, des tas de chairs. Je suis un charognard, moi j’aime ça mais l’âme c’est autre chose. C’est un devoir que de l’apaiser pour que Madame la Mort puisse l’avoir. Il comprenait ou il voulait en venir autrefois, il n'avait pas été si tendre avec les âmes des défunts s'amusant plus qu'autre chose avec elles. Son regard était porter sur celui du corbeau, l'un l'autre aurait pu se perdre dans les yeux de l'un ou de l'autre. Son portable avait retentit. Il soupira doucement s'excusant auprès d'Agui. Ca devait-être sa commande qui était arrivé. Il était donc parti la chercher. Resserrant un peu plus sa cravate pour être présentable devant le livreur comme toujours. Prenant donc sa commande. Je vous remercie, vous pouvez vaquer à vos occupations Il lui donna un pourboire assez conséquent puis, il retourna retrouver Aguistin.

Il avait les sacs à la main quand Agui tout content pris les sac avec lui. Attrapant donc les sacs Sylvester le laissa faire, le corbeau avait déposer les sac sur la table. En se rapprochant de lui, il lui dit. Une expérience ça te tenterait ? Expérience ? Il avait deux options face à lui soit, le fait de tester son pouvoir, soit... ca se ralliait au cul mais, il se pencha sur la première option. Sylvester faisait confiance à son compagnon. Il hocha donc la tête. Et bien pourquoi pas. Sylvester faisait parti des personnes qui avaient un bon tempérament et une bonne résistance. Passant une main dans ses cheveux, il vola un baiser à Aguistin avant de se placer de nouveau sur le canapé. Le démon souffla doucement histoire d'être calme même si s'était déjà le cas. Et c'est là qu'il utilisa son pouvoir, il avait confiance en lui pour cette raison qu'il se laissait faire. Sylvester était plutôt calme au début puis il sentit comme une autre de sensation.

Un manque, il lui manquait quelques choses au fond de lui, c'est la qu'il l'aperçu sa fille Eliza... Un magnifique bébé qui ne demandait qu'à vivre. Elle était la inerte dans ses bras, on aurait dit un ange. Tout le contraire de ses parents. Sylvester un démon démoniaque et sa mère une manticore assoiffé de chair humaine. Ils avaient été si heureux autrefois et le décès prématurer avait tout fait voler en éclat. Il ne le montrait pas mais ce dernier culpabilisait et il n'avait même pas fait son d'œil se refusant d'être faible. Pourtant là ! Il ressentait une profonde tristesse, la dépression n'était pas loin. Sylvester se sentait vide sans elle. Eliza ne méritait pas de mourir, il aurait sans nul doute offert sa vie en échange de la sienne. Tout ça s'était de la faute des grand parents de Dewenty qui refusait de voir une union entre eux, ils ne le jugeait pas digne de leur petite fille. s'ensuivit donc une profonde culpabilité. Sylvester se sentait oppresser, sa fille lui manquait. Ma petite Eliza, je n'aurais pas du t'abandonnée... j'aurais du échanger ma vie contre la sienne. Elle était si petite, ne demandait qu'à vivre. Tu aurais du la voir Agui, elle était si belle, on aurait dit un ange. Voilà pour qu'elle raison Sylvester avait horreur des anges, ca lui rappelait Eliza qu'il avait perdu. Des larmes étaient en train de couler le long de ses joues.

Agui devait sentir tout ça... cette culpabilité, la tristesse qu'il ressentait... s'était une profonde dépression.. Sylvester savait qu'il était là en l'apaisant. Respirant difficilement, il serrais ses poings ou du sang était en train de couler légèrement tellement que ses ongles serrait. Ses ongles se plantaient dans sa chair et Sylvester ne ressentait rien et puis même s'il y avait un picotement ? Il s'en moquait, il devait se punir, s'infliger cette souffrance.

KoalaVolant
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