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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel

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Amalthea Vif Argent
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Amalthea Vif Argent

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dey9

-Tu ne devrais pas...ce n'est pas convenable.
- ...
-Majesté...
-Laisse moi... il n'y a qu'ici que je puisse avoir ce que je désire.

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Ecolog11

| Conte : La dernière Licorne et deux coeur
| Dans le monde des contes, je suis : : La licorne et lady Amalthea

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-05-09, 22:45

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite





Amalthea était dans sa demeure seul enfin pas tout à fait, mais Adélaïde était donc parti se coucher et Argus sûrement dans son repère à chantonner avec les papillons comme il savait si bien le faire. Cela ne la dérangeait pas d’être seule de toute façon, elle avait déjà pris le plie depuis la nuit et temps. La licorne avait au préalable mangé ce qu’on lui avait préparé, pour ensuite se cloîtrer dans son bureau qu’elle avait réaménager. Le Bureau n'appartient donc plus à Haggard puisqu'elle avait destitué tous les pouvoirs qu’il avait sur Hasgate ou sur le domaine équestre. Tout appartenait à Amalthea, elle avait fait en sorte qu’il n’ait plus rien, s’était en quelque sorte sa vengeance à elle. Clairement, il n’était pas conseiller pour une licorne d’éprouvé de la haine à ce point et pourtant, le fait d’être devenu une nouvelle fois humaine, l’avait encore chambouler. Elle ne réagissait pas de la même manière qu’à l'accoutumée, pour cette raison que parfois elle restait seule pendant des heures, histoire de se canaliser. Vêtu d’une robe de chambre, Amalthea était en train de remplir des papiers pour les futurs acquéreurs d’un nouveau champion. Shadow du Valon d’Argent était le digne héritier de Eponi. Amalthea faisait toujours attention à qui elle vendait ses chevaux. La licorne même si elle ne supportait pas être comparé à un cheval, elle les respectait, s’était ses proteger. Les derniers événements l'avaient aussi pas mal atteint dans certains cas comme le fait qu’elle avait participé à une fête des voisins du côté nord, elle avait accepté pour faire plaisir à Ludwig, une personne qui lui était chère à son cœur, elle le considérait comme un père. Il avait été là quand elle était totalement perdue et que Haggard l’avait volontairement giflé car elle avait braver son autorité. D’ailleurs, si Amalthea ne l’aurait pas retenu, Ludwig aurait sûrement été pour lui régler son compte mais, elle n’était pas comme ça. Du moins à ce moment-là.

Du coup ce qui l’avait le plus miné à cette soirée qu’elle avait accepté c’était les conséquences de certaines choses, déjà une personne avait volontairement dit qu’elle n’avait pas sa place ici. Elle n’avait pas demandé à ce prendre des remontrances de la part d’une personne aussi peu aimable. Sachant que hiérarchiquement elle lui était supérieur. Amalthea avait été invité par Ludwig et Aki pour cette fête entre voisins. Cela lui avait paru intéressant de se changer les idées et de ne pas rester enfermé à Hasgate, voir du monde. Et bien pour le coup elle aurait peut-être mieux fait de rester dans son château, mais Aki avait été tellement adorable en la défendant qu’elle voulait laisser une chance au couple de lui prouver le contraire. L'humanité n’était peut-être pas perdue finalement. Donc s’en était suivi un charmant repas, elle avait bu un peu d’alcool. Mais cela ne devait pas lui faire effet, de manière générale, cette dernière purifie l’eau ou toute substance liquide, ça lui évitait d’être empoisonné. Amalthea avait finalement été piégé par l’un des canapé qui devait être drogué parce que leur conversation était parti sur un sujet étrange. Auquel elle ne voulait plus penser. Elle avait finalement appelé Ludwig père. Même si… chronologiquement parlant, elle était bien plus âgée que ce dernier. Après ça, s’était le trou noir total au réveil. Elle possédait quatre pattes. Des sabots pour être plus précis et elle est devenue de nouveau un équidé. Légère prise de panique quand elle n’avait pas vu sa corne tout de suite. Elle refusait d’être prise pour un cheval.Amalthea était de nouveau une licorne pour quelques minutes. Bien trop courte pour elle d'ailleurs, reprenant sa forme humaine c'était pire que si on lui avait rien fait. D’être sous sa forme originel l’avait comblée de joie mais c’était comme cette Cendrillon bien trop courte pour profiter au maximum. Elle avait appris plus tard qu'il s’agissait d’un vieux jeune à l’origine de tout ça. Il était physiquement vieux mais avait en réalité vingt sept ans. Le pauvre homme, et le souci à l’origine de tout ça était un événement auquel elle n’avait pas pris part vu qu’elle était enfermée dans son château. Et qu’une Yzma avait fait ses fioles de potion. Amalthea avait voulu avoir des renseignements sur cette personne, elle attendait donc les résultats, s’il lui était possible de reprendre sa forme ça lui permettrait de faire un deuil.

La licorne signe quelques papiers avant de porter son regard sur l’heure vingt trois heures trente. Elle avait suffisamment travaillé pour aujourd’hui, elle se releva de sa chaise pour sortir du bureau. Prenant soin d'éteindre la bougie qui se trouvait dans la pièce. Elle n’avait pas encore pris le temps d’appeler cet électricien pour mettre le courant à Hasgate. Traversant les pièces et montant à l’étage pour regagner sa chambre, un grand lit à baldaquin. Elle se glissa à l'intérieur et éteint sa bougie pour s’endormir assez rapidement. Même si elle était une licorne, elle avait besoin de repos. Sauf que sa nuit avait été assez mouvementée, elle se tournait dans tous les sens et ça en devenait réellement pénible. Amalthea se réveilla en sursaut serrant les draps, elle avait fait encore un cauchemar comme d'autres avant. Elle ne comptait plus les cauchemars qu’elle faisait durant la nuit. Elle voyait toujours le visage d’Haggard, la mort de Lyrr du moins la deuxième pas celle ou elle lui avait redonné vie. Passant une main sur son visage, elle entendait du bruit à l'extérieur, le vent était en train de souffler beaucoup. Ce qui n’était pas rassurant, la licorne dégagea les draps de sur elle pour finalement sortir. Rallumant donc à l’aide d’une allumette son chandelier. Elle était pied nue et descendait les escaliers, le vent soufflait très fort et elle avait l’air d’entendre de la pluie. Pourtant de mémoire Argus n’avait pas prévu de pluie. Sur cela il était assez précis donc le fait qu’il se soit planté prouvera qu’il n’a pas la science infuse. Continuant de déambuler dans le château, le sol était froid mais elle ne ressentait pas réellement la fraîcheur du sol. Amalthea arriva dans le salon, la température avait l’air d’avoir baissé. Mhh.. Etrange… Elle tira les rideaux pour avoir une vue sur le jardin. La pluie tombait sur Hasgate.

La pluie avait un effet morose sur la licorne, elle n’aimait pas être mouillée voilà tout. Ce qui lui parut bizarre c'était que le sol n'était pas réellement humide, c’était étonnant. Elle tenait toujours son chandelier, ou elle avait une grande maître dans cet art. Un certain styliste peut en témoigner. Plissant les yeux, elle avait aperçu une forme blanche. Son reflet ? Oui surement, mais elle avait une drôle de sensation comme si elle était observer. Argus ? Adé ? Pas de réponse.. Le château était dans un silence total. Elle observa de nouveau par la fenêtre et le reflet avait disparu. C’était tellement étrange. Elle avança un peu plus loin pour aller dans la serre voir si c’était Argus qui faisait du raffut. La elle avait un accès plus grand au niveau du jardin. Et la, cette silhouette était de nouveau là. On pouvait sentir une certaine angoisse, Amalthea n’était pas rassuré, son soi-disant reflet n’en était finalement pas un. L’espace d’une seconde ça aurait pu mais finalement non. Elle s’était rapprochée parce qu’il fallait être sûr. S’était une mariée à l’allure fantomatique. Un fantôme ? Non, ce n’était pas possible donc elle avait laissé tomber le fait d’aller dans la serre pour rentrer chercher son épée. Bah quoi ? Vous pensez tout de même pas, qu’elle était sans défense ? La licorne savait se défendre même en robe de nuit. Une fois rentrée elle avait pris sa fine épée en argent. Restant vigilante au moindre bruit. Observant, elle était encore là à attendre se rapprochant dangereusement. Que venait-elle faire ici. Je ne peux rien pour vous passer votre chemin. Bah quoi ? Elle n'avait pas aidé suffisamment de personnes ? Observant le fantôme ne parlait pas, elle avait l’air de lui indiquer une route à suivre. Comme si elle allait la suivre ? Restant assise elle attendait puis, elle l’a vit là devant elle. Cette forme fantomatique. Instinctivement une barrière s’était érigée devant elle mais la fantôme n’avait pas l’air d’avoir peur, elle avait fait tomber des portraits sous la colère ? Que voulez-vous ? Elle lui indique la route du bout du doigt. Magnifique en plus elle était muette la mariée ? Elle soupira et se redressa, qu'avait-elle gagné en la suivant. Qui me dit que ce n’est pas un piège ? Aucune réponse juste un doigt pointé vers la sortie, Amalthea avait bien essayé d’esquiver pour partir mais le fantôme insista, devenant de plus en plus menaçant. Je ne peux rien pour vous.. Vous êtes déjà morte ? Au risque de vous déplaire, je ne peux plus ramener les morts à la vie. Elle serra les dents. Très bien.. passé devant je vous suis, même les morts sont exigeant dans son monde, mais je prend mon épée.

Elle finit par sortir en robe de nuit, prenant un châle par-dessus. Sa corne était en train de briller et la voilà à la suite un fantôme inconnu. Qui la menait dans une forêt. Une bien belle forêt d’ailleurs. Pas aussi belle que la sienne cela dit, elle était plus sombre celle-ci. Et c’est souvent que vous venez vous incruster chez les personnes ? Non pas que ça me déplait mais, faut avoué que c’est étrange. Bon d’accord, je l’ai déjà fait une fois.. peut-être deux fois. Oui c’était chez Gabriel, d’ailleurs, elle ne l’avait pas vu depuis un bon moment, et n’avait pas osé retourner le voir, noel s’était suffisant bien qu’elle ait pensé à lui pour noel. la mariée ne répondait pas. Elle n'insiste pas plus, traversant la forêt, qui était plutôt angoissante pour le commun des mortels, Amalthea sentait qu’elle était dénué d'émotion cette forêt, quelques peu fascinante et mystérieuse, elle suivait encore le fantôme se faisant tirer sa robe de chambre par des branches, entendant un craquement. Oh oh, la robe avait craqué en bas. En même temps c'était une fine soie… super merci. Elle tira d’un coup pour éviter que la branche l’attrape davantage tenant fermement son épée. Une autre lui avait griffé le bras. S’en était assez, elle coupa les branches pour se faire un chemin. Quelques minutes plus tard, elle sortit enfin de cette forêt Enfin ! Mais en sortant s’était une étendue de terre à perte de vue. L’odeur de la nature était si agréable. Elle se tourna mais la forêt avait disparu.

Il y avait juste des hectares à perte de vue, La ville de StoryBrooke avait disparu, c'était comme si elle avait été rasée de la carte. Un peu plus loin, elle avait aperçu une charmante demeure de style quatorze ou quinzième siècles. Même que cet endroit lui disait quelque chose. Elle fronça les sourcils, Et maintenant ? Elle tourna la tête dans plusieurs directions pour chercher la mariée fantôme et plus rien. Et bien merci bien.. Comment je fais maintenant pour aider une mariée morte ? Sans qu’elle soit ici ? J’aurais mieux fait de rester dans mon château. Elle poussa un soupire, s’avançant, elle remarqua seulement maintenant que son épée avait disparu. Elle se retira de pousser un juron. Continuant son bout de chemin, elle remarqua une silhouette. Oh quelqu’un ! Une silhouette plutôt grande, de dos elle pouvait la reconnaître entre mille. OU alors c'était un sosie très ressemblant. De large épaule, une belle prestance, il avait d'ailleurs l’air aussi perdu qu’elle mais dans sa tête Amalthea, ne pouvait pas tomber mieux. Leur dernière rencontre avait été quelque peu accroché. Cette fois elle n’était pas chez lui, sans chandelier et ce n’était pas la nuit. Il tombait plutôt bien, il fallait justement qu’elle lui demande une création plus moderne. Son cœur avait fait le yo-yo. Est-ce que c’était le bon moment pour lui tomber dessus ? De toute façon.. elle n’avait pas réellement le choix. Elle referma un peu plus sa robe de chambre, elle avait des manières tout de même pas à moitié nue devant un homme. Affichant un charmant sourire. Monsieur Agreste.. vous ici ? N’ayez crainte, je n’ai pas de chandelier. Plus sérieusement.. vous..vous êtes ici à cause de la mariée fantôme ? A vous aussi elle ne vous a pas laissé le choix ? Elle affiche un petit air désolé. Ils étaient tous les deux dans le même bateau donc.. Il fallait bien trouver une solution pour rentrer.

Je pense que… on ne trouvera pas notre chemin pour le moment..il faut poursuivre la quête Elle avait une impression de déjà vu de toute façon, mais ça ne l’embetait pas d’être avec lui. Elle lui affiche un petit sourire. Vous vous portez mieux ? Depuis leur dernière rencontre, Amalthea a retrouvé ses souvenirs. Peut-être lui comptera-t-elle son récit, le temps qu’ils retrouvent leur chemin. Elle tourna la tête ou elle entendait des mélodies, un bal était en train d’avoir lieu dans cette demeure. On devrait peut-être demandé de l’aide à l'intérieur, je vois une personne sur le péron Aussi sec, Amalthea avait suivi cette direction. En se rapprochant elle se stoppa, On dirait que cet homme avait une tenue plutôt ancienne qu’elle avait connu jadis. Dans les mêmes ton que ses tenue d’ailleurs. En arrivant devant lui. L’homme tout sourire et limite en train de rire. Elle haussa un sourcil, pour qui se prenait-il de rire.

Les retardataires que nous attendions ! Bienvenue, je m'appelle Sebastien. Je vais vous conduire à vos chambres avant que vous ne vous joignez à la fête.

Pardon ? A parce qu’en plus ils étaient attendus ? La mariée avait donc organisé ça ? Leur chambre ? Elle porta son regard sur Gabriel, s’était quoi cette connerie encore ? Elle n’avait pas eu assez d’émotion comme ça ? Fallait encore un événement étrange. Je trouve cela particulièrement étrange avait-elle chuchoté à l’attention du styliste. Affichant un léger sourire au gardien. Oh.. veuillez nous excusez dans ce cas… Nous vous suivons…

En rentrant, sa tenue avait littéralement changé pour être une grosse robe, un peu comme ce qu’elle porte d’habitude mais cousu avec plus de minutie. Une robe d’époque. De couleur blanche, elle ne pu s’empêcher de trouver cela magnifique. Puis son regard se porta sur Gabriel qui lui de manière générale était moderne. Vous etes très élégant monsieur Agreste, j’aime beaucoup. Et c'était vrai, ça lui faisait étrange de le voir ainsi mais pas déplaisant. Son regard passa à travers la pièce, tout était si ancien.. qu’elle en entraîne le styliste un peu plus loin. Nous avons un petit souci soit… c’est vraiment bien fait.. soit on a fait un bond dans le temps et vu la déco ce n’est pas contemporain. Et ce n’est pas bon signe pour nous, cette déco date d’une époque antérieure au dix-huitième siècle… Je me trompe peut-être mais c’est similaire entre le quatorzième et le seizième siecles.



KoalaVolant
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Gabriel Agreste
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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dl9z

- Qu'est-ce que tu sais exactement ?
- Que tu as échoué.


◘◘◘

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel A4g2

Heroes make mistakes too...


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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel 210427035215479840

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-05-10, 01:24




Wedding cuite
Gabriel & Amalthea
Deep into that darkness peering, long I stood there, wondering, fearing, doubting, dreaming dreams no mortal ever dared to dream before.




Le soir du 3 au 4 mai… C'était un soir comme un autre. Un de plus depuis le bal Phantomhive, depuis la descente en Enfers autant littéral que métaphorique, mais aussi un de plus loin du deuil et de la défaite pour un combat qui n'aurait jamais pu prendre une autre tournure. Finalement, plus il s'éloignait, mieux Gabriel se reconstruisait. Doucement. Sûrement. Il avait repris le travail avec poigne, repris contact avec les personnes qu'il souhaitait auprès de lui… Presque tous. À l'heure qu'il était - tard entre autre - Gabriel Agreste s'était engagé sur un nouveau départ, celui où il ne s'avouerait pas vaincu par ses échecs.

Il ne dormait pas énormément, passait sa nuit à créer en général et principalement en ce moment pour la nouvelle collection qu'il promettait cet été. Heureusement, il était assez inspiré pour s'y concentrer pleinement sans penser au reste. Il restait des heures devant son écran, jonglant entre celui-ci et un bureau de papiers et d'ouvrages qui l'aidaient parfois à accorder ses idées. Dehors, il pleuvait, mais le styliste n'y prêta pas attention. Il tentait de réfléchir la forme de la jupe d'une de ses tenues pour que celui-ci soit adéquat au tissu qu'il avait choisi. Une véritable contrainte... Mais quelque chose l'empêchait de se mettre sérieusement au travail. C'est pour ça que depuis tout à l'heure il peinait à terminer son travail : quelque chose le dérangeait. Quoi ? Rien de visible, une sensation tout au plus qui l'agaçait, le faisait trépigner sur place, marcher dans la pièce pour revenir au point de départ.

"Bon sang !" Pestait-il en soufflant. Impossible de se débarrasser de cette mauvaise atmosphère qui planait autour de lui.

Mais sa nature perfectionniste et têtue l'empêchait d'aller se coucher tant qu'il n'avait pas terminé cette tenue, il s'y refusait catégoriquement. Et c'est alors que cherchant, il ne savait plus vraiment comment s'y prendre, un point extérieur à fixer pour s'échapper quelque peu de ses quatre murs ternes en couleur, il s'approcha de la baie vitrée qui donnait sur son terrain. Au milieu de celui-ci... une silhouette. Blanche, transparente, comme une brume qui permettait l'illusion d'une jeune femme vêtue d'une longue robe blanche. Gabriel pensa à cette même hallucination en clignant à plusieurs reprises des yeux mais il réalisa bien vite que ce n'était pas sa vision qui lui jouait des tours. La dame fantomatique le fixait avec calme - lui l'était beaucoup moins. Ça ne signifiait pas qu'il craignait pour autant d'approcher les dangers qu'elle pouvait causer. Non. Vivement, il s'engagea à l'extérieur, se pria néanmoins garder une distance raisonnable entre lui et le spectre, et demanda sur un ton sévère :

"Qui êtes-vous ?"

Aucune réponse verbale. La dame pointa une sortie - la sortie la plus courte pour quitter le domaine. Gabriel, effectivement, comptait bien à ce qu'elle parte.

"Oui, c'est le portail que je vous demande de prendre immédiatement. Sortez de chez moi !"

Mais elle n'écoutait pas. Elle demanda, toujours par des gestes stricts, que le créateur le suive jusqu'en dehors de sa propriété. Il refusa, tout naturellement - qui l'aurait suivi ? - et s'employa à rentrer dans son manoir sans même se retourner. Il n'en eut pas besoin. Derrière la porte qu'il ouvrit, le spectre apparut et bondit sur lui, la mâchoire grande ouverte, difforme presque, apportant la menace qui le fit sursauter puis basculer de l'autre côté. Gabriel manqua la marche du seuil d'entrée et tomba au sol. Lorsqu'il redressa le regard, la mariée se tenait debout devant lui, regard noir et emplit de volonté. Il devait la suivre.
Il s'y résolut avec angoisse. Loin de sembler en danger, le styliste s'inquiétait justement à quel point la jeune femme savait ce qu'elle faisait et où elle l'emmenait. Il craignait le pire mais heureusement, il saurait se transformer s'il venait à y avoir un problème que lui seul ne pourrait régler. Par cette conviction, il se laissait enfoncer dans la forêt dense - celle qui devenait de plus en plus sombre et oppressante -. Une ou deux branches agrippaient ses vêtements, il pesta. Puis de plus en plus d'autres l'empêchaient d'avancer et Gabriel se débattit par de grands gestes sans comprendre à quoi tout cela rimait. Le vent le dérangeait, l'empêchait de réfléchir ou de s'exprimer et la nature entière semblait se retourner contre lui. Il tentait de suivre le rythme, beaucoup plus rapide de la jeune femme. Il n'était plus question de rentrer chez lui, il ne savait même plus où il était : il devait garder sa trace. Finalement, au bout d'un temps, tout son corps s'échappa lourdement de cet Enfer. Il était sorti de la forêt pour s'engager dans un grand terrain taillé au millimètre près. Devant lui à plusieurs dizaines de mètres, une large bâtisse élevée sur plusieurs étages à l'architecture ancienne - classique, peut-être ? - s'illuminait de l'intérieur. Où était-il ? Lorsqu'il s'apprêtait à le demander à sa guide, voilà qu'elle n'était plus là. Portée disparue... Elle l'avait laissé complètement égaré. Alors, comme une âme errante à son tour, Gabriel s'avança là où le monde pouvait se trouver. Il s'intriguait de la demeure, de l'endroit et de la personne qui se tenait - il croyait voir - à l'entrée. Mais avant de s'y intéresser, une voix le conduisit à se retourner. Elle semblait le connaître puisqu'elle l'appela par son nom. Et lui aussi, lorsqu'il la vit, réalisait la connaître. Amalthea Vif d'Argent, ou encore, pour aller vers le plus simple, la dame qui était rentrée chez lui par effraction après qu'un certain Erwin Dorian - connu sous Preminger - le lui aie demandé. Elle était en tenue de nuit amochée, comme lui et son costume. D'après ses dires, ils étaient dans la même situation. Gabriel plissa un regard méfiant à son égard et cela d'autant plus lorsqu'elle parlait de poursuivre la quête.

"Vous êtes la femme qui s'était introduit chez moi pour une montre à gousset. Rappela-t-il autant à lui-même qu'à elle. Mlle. Vif d'Argent. Je suppose que vous n'en savez donc pas plus que moi sur le motif de notre venue ici pour que vous proposiez que nous avancions une enquête ensemble. Et lourdement, il soupira. Je n'ai pas vraiment le choix."

Mais au moins, il ne batailla pas. Il était prêt à venir à bout de cette énigme et à rentrer chez lui le plus vite possible, il n'avait pas compté faire la discussion jusqu'à ce qu'Amalthea le dispose pour.

"Mieux ? Il n'avait pas compris tout d'abord, jusqu'à ce qu'il se remémore l'état dans lequel la jeune fille l'avait rencontré. Ah, oui... Je n'étais pas dans une très bonne passe, mais il n'en retire rien à votre effraction : ma colère était justifiée et soyez heureuse que je n'ai pas appelé la police."

Piqûre de rappel x2, si jamais il venait à être manqué. Gabriel tendait à remettre dans les clous sur quoi était portée leur rencontre et l'illégitimité de celle-ci. Ils n'étaient pas amis, entre autre. Là où elle allait, le styliste suivait : ainsi lorsqu'elle remarqua l'homme à l'entrée, celui qu'il avait pu remarquer plus tôt, il acquiesça sans un mot, le regard aux aguets, et s'avança vers lui pour être accueilli d'un grand sourire - un rire, même - qui l'irrita à vif. Pourquoi riait-il ?

"Les retardataires que nous attendions ! Bienvenue, je m'appelle Sebastien. Je vais vous conduire à vos chambres avant que vous ne vous joignez à la fête.

- La fête ?"

Je trouve cela particulièrement étrange. Oui, effectivement, ça l'était. Et même si Gabriel ne confirma pas d'un signe, il le pensait très certainement.

Sebastien - premier du nom - les invita à pénétrer dans le bâtiment, ce qu'ils firent ensemble, toujours à la recherche de réponses sur le lieu et la raison de leur venue ici. Gabriel observa tout d'abord les alentours et surtout la décoration à laquelle il n'était pas habitué. Cela ne signifiait pas qu'il ne reconnaissait pas un tel style pour autant. Il était créateur de mode, les styles des époques qui le précédaient restaient primordiaux à connaître pour s'adapter à ce qui était moderne ou justement pour moderniser ce qui ne l'était plus. La Renaissance était l'époque qui lui vint en tête aux premiers abords, il se concentra particulièrement sur les détails pour vérifier ses informations et ne prêtait, alors, pas attention aux changements vestimentaires que sa partenaire faisait remarquer par un compliment. Détournant enfin l'attention sur elle, il comprit à sa propre tenue qu'ils avaient été changé à leur entrée. Amalthea était toute de blanc, une robe longue que Gabriel ne s'étonnait pas de la voir porter. Le concernant, cependant, il eut un peu plus de mal et grimaça au toucher du tissu qu'il défigurait.

"Je ne suis pas habitué à de tels accoutrements... Ce n'est pas mon style de vêtements. Puis son menton se redressa vers le plafond. Même si ça colle parfaitement avec l'époque qui est laissée entendre ici..."

Il fut entrainé à l'écart, oubliant visiblement qu'ils devaient sous peu être conduits dans les chambres qui leur avaient été réservées. Comme à une confidence, Amalthea se permit d'émettre ses hypothèses sur où il pourrait se trouver. Ou plutôt... Quand. Gabriel ne put qu'acquiescer à ses paroles.

"Vous avez raison, je pense la même chose à vrai dire. La construction est ancienne, symétrique, et l'ornement semble s'inspirer de la simplicité et la structure de... La Renaissance. Il grimaçait. J'aimerais vous donner tord et dire que nous nous trouvons simplement dans un bâtiment ancien qui a été rénové pour conserver une trace mais nos costumes ne peuvent pas être une coïncidence. Ils veulent que nous nous plongions dans l'époque. Redressant son bras, le styliste inspecta le tissage de sa manche ainsi que l'accord des couleurs choisis. Peut-être que nous avons fait un saut dans le temps, en effet. Il soupira, toujours prudent. Allié à Amalthea qui était la seule personne qu'il savait de son époque, il se fit à elle aussi et confia sa méfiance. Mais ce n'est pas une nouvelle bonne à prendre si nous souhaitons rentrer chez nous."

Fiche codée par Koschtiel
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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dey9

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-05-15, 01:16

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite





La licorne était heureuse enfin presque de tomber sur une tête connu. Enfin bien vite sa joie était un peu envoler. Elle voyait que Gabriel avait un regard méfiant à son égard. Bien.. ça n'annonçait rien de bon finalement. Vous êtes la femme qui s'était introduit chez moi pour une montre à gousset Oh. c'était don ça. Monsieur était donc rancunier qu'elle se soit introduit chez lui, elle n'avait rien casser, rien volé et encore moins... Ah si elle l'avait frapper sans faire exprès avec un chandelier en lui brulant la joue. Elle s'était au préalable excuser. Bon elle lui était aussi tomber dessus. Mais elle n'avait même pas froisser la tenue du styliste ! Elle l'avait même soigner, il ne fallait pas en faire des tonnes non plus. Elle avait été manipuler. Elle pensait bien faire. Monsieur Agreste est rancunier à ce que je vois, et oui vous vous souvenez encore de moi. Elle afficha un petit sourire sur ses lèvres. Mlle. Vif d'Argent. Je suppose que vous n'en savez donc pas plus que moi sur le motif de notre venue ici pour que vous proposiez que nous avancions une enquête ensemble. Le fait qu'il prononce ce nom, lui avait fait une drôle de sensation, Le nom de famille de cet homme qui lui avait ruiné sa vie, mais elle n'avait pas le choix. C'est bien cela, je me suis pourtant excusez et vous ai soigner. Mais si vous le désirez, à ce moment-là, je n'étais pas moi même. On m'avait manipuler et je n'avais pas tout mes souvenirs, cela ne se reproduira plus. Elle remit une mèche de ses cheveux en place. Vous pouvez m'appeler Amalthea... Et bien non, je n'en sais pas plus que vous sur le sujet, mise à part que j'ai suivi cette défunte mariée contre coeur... et que j'ai au préalable perdu mon épée en chemin. Elle l'avait entendu soupirer. Elle aurait presque pu rire. Je n'ai pas vraiment le choix. Et non.. vous êtes coincé avec moi Au moins pour le moment, il ne lui tenait pas tête et avec accepté de venir avec elle. Un charmant sourire au lèvre. Toujours en tenant son peignoir pour pas qu'elle ne souffre se serait tellement indécent. Amalthea avait tout de même prit des nouvelles de ce dernier, autant partir sur de bonne base non ? La fois précédente s'était un peu houleux entre eux. Mieux ? Elle avait bonne mémoire, cette fois-ci elle avait bien vu qu'il n'allait pas bien à ce moment-là. Et elle avait voulu lui venir en aide, en ayant hésité à insister pour rester mais vu son état, elle avait du accepter et partir. Ah, oui... Je n'étais pas dans une très bonne passe, mais il n'en retire rien à votre effraction : ma colère était justifiée et soyez heureuse que je n'ai pas appelé la police Et voilà, qu'il remettait ça sur le tapis. Mhh... Vous etes réellement rancunier. Certes c'était légitime, mais voyez vous j'étais un peu perdu. Et heureusement que vous n'avez pas appeler la Police, vous aurez sans nul doute signer le fait que je sois enfermer à double tour dans mes appartement par un homme qui se disait être mon père mais qu'il en était rien. Continuant de marcher, elle regarda tout de même au loin avant de reprendre. Comme je vous l'ai dis, j'étais amnésique... une amnésie du à cet homme nommé Haggard qui faisait en sorte que, je ne me souvienne pas de mon ancienne vie. Mais grâce à vous... ou à cause de vous, j'ai eu quelques flash en plus dans mon esprit et de ce fait.. j'ai retrouver cette mémoire.

Elle ne voyait pas pourquoi elle devait lui dire tout les détails non plus sauf peut-être s'il lui demandait. Bon elle se pavanait déjà assez en se disant être une véritable Licorne. Ce fameux Sebastien ne manquait pas réellement de toupet que de rire devant elle. Qu'est ce qu'il y avait de drôle au final ? Oh leur tenue ?! Il n'allait tout de même pas pensée qu'il aurait fait quelques chose ? Puisque bon... lui était habillé mais elle ne portait guère de tenue descente. Elle garda néanmoins la tête haute. La fête ? Comme si elle n'y allait pas souvent... Enfin des évènements mondain. Pour trouver des potentiels acheteur pour ses champions. Sebastien leur fit donc place. Ou Amalthea rentra la première. Ne dit-on pas les dames d'abord ? Autant le faire savoir. Elle fut donc transporter dans une nouvelle aventure. Elle n'aurait jamais pensée changer de tenue, mais ça ne l'a changeait pas réellement de ses tenue habituel, elle trouvait même cela pratique c'était moins indécent. Et elle pouvait donc se montrer ainsi devant Monsieur Agreste sans robe de nuit. Qu'est-ce que son père adoptif allait dire sur elle ? S'il la voyait ainsi. A coup sur personne ne voulait voir Amalthea en tenue de nuit. En ce qui concernait la décoration, elle trouvait cela vraiment magnifique, elle pourrait à coup sur prendre quelques objet pour les déposer chez elle. Toute sa décoration était dans les mêmes ton. Peut-être qu'elle devrait songer à la changer un peu ? Et pourquoi pas demander conseil à Gabriel ? C'était parfait il avait l'oeil du moderne lui. Ce qu'elle n'avait pas prévu en tout cas. S'était la tenue d'Agreste, cela le changeait tellement. Que son cœur avait rater un battement. Il était tellement élégant avec une tenue pareil, cela lui allait particulièrement bien. Jamais elle n'aurait penser le voir dans une tel tenue. Pourquoi diable ne l'avait t'il pas fait plus tôt ? Elle aurait été prête de le voir ainsi. Voilà qu'Amal commençait à le voir différemment, dans le bon sens mais même avec ça son compliment venait de passer à la trappe. Merci ? Il ne connaissait pas ? Je ne suis pas habitué à de tels accoutrements... Ce n'est pas mon style de vêtements. Ah bah ça... Elle rougit légèrement fermant les yeux pour reprendre une contenance. Je pense bien que vous n'y êtes pas habitué, vu que vous êtes dans l'époque moderne comme vous avez si bien dit, mais cette tenue vous sied à merveille n'en doutez pas. Même si ce n'est pas votre style vous êtes élégant. Elle avait suivi son regard pour regarder le plafond.Même si ça colle parfaitement avec l'époque qui est laissée entendre ici... Ce serait étonnant de ne pas avoir les mêmes habits. Oui, une merveilleuse époque en sois.

Amalthea l'avait tout de même trainer à l'écart pour qu'elle puisse parler seule à seul avec le styliste. Bien sur ça n'avait guère enchanté le majordome. Qui avait l'air de perdre patience, mais pour le coup, elle s'en fichait, il fallait qu'elle lui parle. Elle avait donc tenter de parler de deux hypothèse plausible en soit, sois s'était une fête costumer sois s'était une version du passé. Vous avez raison, je pense la même chose à vrai dire. La construction est ancienne, symétrique, et l'ornement semble s'inspirer de la simplicité et la structure de... La Renaissance. Qu'est-ce qu'elle aimait avoir raison ! Elle laissa un fin sourire perler sur ses lèvres, il pensait donc la même chose. Il avait l'oeil, à dire vrai quand on était styliste on devait s'intéresser à plusieurs époque. Sa grimace n'était pas passer inaperçu. La licorne était en train de mémoriser chaque trait pour savoir à quoi elle aurait à faire. Oh moins nous sommes sur la même longueur d'onde J'aimerais vous donner tord et dire que nous nous trouvons simplement dans un bâtiment ancien qui a été rénové pour conserver une trace mais nos costumes ne peuvent pas être une coïncidence. Ils veulent que nous nous plongions dans l'époque. Voyez vous ça. Ca ne l'avait pas étonné plus que cela. Bien entendu le contraire m'aurait étonné, mais pour une fois, vous ne cherchez pas à me contre dire, mais j'aurais sans doute préféré être à une soirée déguisé. En étant à cet époque, nous devrions faire plus attention à nos fait et geste. Protocole et Etiquettes. Avoir un chaperon pour parler à des hommes. Tout le protocole en soit. En étant une licorne elle n'avait pas eu ce soucis? Maintenant qu'elle était humaine... S'était autre chose. Amalthea regardait le mouvement de bras de Gabriel. élégante manche. Peut-être que nous avons fait un saut dans le temps, en effet Elle sourit à cette action, le trouvant presque adorable.Mais ce n'est pas une nouvelle bonne à prendre si nous souhaitons rentrer chez nous. Non en effet, ce n'est pas réellement une bonne nouvelle, les coutumes de cette époque, ne sont guère joyeuse. Et pour nous... Enfin les femmes s'est encore pire.

Un raclement de gorge se fit entendre. Se qui avait mit la puce à l'oreille de cette dernière. Elle l'avait complètement oublié. Se reculant vivement d'Agreste... Reprenant une certaine droiture. Nous pouvons reprendre pour vous montrez vos chambres ? Amalthea hocha la tête, ils auraient bien l'occasion de parler par la suite. Suivant donc le majordome, déambulant dans les couloirs pour grimper à un étage supérieur, Remarquant les nombreux tableau figurant sur les murs. Elle ne pouvait pas s'empêcher de trouver les tableaux magnifique. Dans un des couloirs, il y avait un énorme tableau, avec une femme, et une licorne. Elle eut un mouvement de recule en apercevant ce tableau qui lui était plus que familier. Puisque cette jeune fille avait été celle qu'elle avait approcher il y a pas mal de siècle. Et donc cette licorne n'était autre qu'elle même. Une lointaine époque aujourd'hui disparu. Le styliste avait surement du regarder cette toile. Le majordome, indiqua donc la chambre du Styliste qui semblait être plus du coté des invités et autres. Elle allait surement retourner le voir mais avant ça, elle suivit le majordome, qui la conduisais à sa chambre. Elle se trouvait au fin vont du Pérou ? Pardon du couloir. Éloigné de tous. Elle avait l'habitude finalement d'être toujours mise de coté. Elle regardait donc ce couloir inspectant la décoration qui avait l'air d'être nouvelle après elle ne pouvait pas dater de quand, La demeure de toute évidence avait l'air nouvelle. Dans le sens ou c'était plutôt récent. Monsieur a souhaité que vous ayez la meilleure chambre, bien entendu... Il ne sera pas long, il a dit qu’il vous rejoindrait quand une petite vingtaine de minutes.. La sortant de sa rêverie, elle avait donc remarquer qu'elle était arrivé devant sa chambre. Sebastien lui ouvrit donc la porte, c'était une grande chambre. Un immense lit à baldaquin dans ses ton de couleur d'un coté blanc mélangé avec une couleur lilas qui la représentait à merveille s'était plutôt étrange mais agréable. Il y avait donc un certain monsieur qui allait arriver dans une vingtaine de minutes, ce qui lui laissait suffisamment de temps pour parler avec Gabriel. Retournant sur ses pas, elle fit la traverser rapidement. Frappant à sa porte avant de rentrer. Il ne me reste donc que vingt minutes pour vous parler, avant qu'un certain monsieur n'arrive dans ma chambre, pour qu'elle raison, je l'ignore encore... Bien que cela ne m'enchante guère qu'une personne vienne dans mes appartements. Il faut donc qu'on trouve des indices pour savoir sur quoi nous avons atterrir à cause de cette mariée fantôme. Cela doit avoir un but apparent parce que sinon pour qu'elle raison nous sommes ici ? Amalthea savait qu'elle prenait des risques en entrant dans la chambre de Gabriel surtout d'un point de vu étique et cela pouvait faire un scandale à cette époque. Mais ça lui passait au dessus pour le moment.

Nous devons, nous renseigné la raison pour laquelle, elle nous à fait venir. Mais peut-être que cet homme que je dois rencontrer à sans doute la réponse à nos question. Elle regarda Gabriel. Au cas ou... si je hurle c'est qu'il y a un soucis d'accord ? Et je vous remercierais assez de venir me porter seccours... Bien que nous ayons eu des différents. les vingt minutes touchait à sa fin... Et bien je vous dit à tout à l'heure monsieur Agreste et si vous avez des indices, faite m'en part. Après cela, Amalthea parti de la chambre de ce dernier fermant derrière elle pour regagner sa chambre avant qu'on ne remarque son absence dans la chambre qu'on lui avait décerner. La licorne entra donc dans la pièce faisant les cent pas. essayant de trouver des moyens pour tenter une échappatoire mais rien ne lui venait à l'esprit. Elle s'approcha donc de la coiffeuse pour s'asseoir et tenter de remettre de l'ordre dans sa coiffure en attendant. Elle souffla doucement c'était la seule chose qu'elle puisse faire. Quand quelqu'un frappa. Elle se redressa immédiatement faisant une révérence par reflexe. Une jeune homme entra dans la pièce. Avec un radieux sourire. Il lui faisait penser à Lyrr par le passé. Un pincement au cœur s'était fait ressentir. Il était mort et pas vivant, ça n'était pas lui. Cet homme avait les yeux brillant, Amalthea se recula légèrement quand elle avait prit conscience que cet homme était amoureux d'elle. Amalthea prenait conscience qu'elle devait jouer un rôle la dessus. L'homme inconnu lui avait donc prit les mains quelques instant avant de passer un genou à terre. L'homme sorti une bague, une magnifique bague. Sans plus attendre il lui passa la bague au doigt. WHAT ! Attend on lui refait ? Comment ça elle allait se marier ? Avec un homme qu'elle ne connaissait même pas. Bon cela dit s'était courant ses pratiques là mais pas sur elle. Elle était un symbole de puissance ! une licorne pas un trophée. Pourtant, elle voyait bien dans son regard que cet homme l'aimait. Enfin pas elle.. mais celle qu'elle devait surement jouer. Cette mariée. Tout prenant un sens... est-ce qu'elle devait modifier le cours de son destin ? l'empêcher de faire une énorme bêtise ? ou se fantôme cherchait à sauver une futur mariée ? Ou encore stopper se mariage tout était possible sans qu'ils n'aient le moindre indices. Amalthea porta son regard sur la bague, ce n'était visiblement pas une bague de pacotille, donc à en juger de la brillance, l'homme en face d'elle était un homme riche. Prince ? Roi ? A cette époque seul eux détenait autant de fortune. Ou bien un duc ? Qui aurait eu pas mal de terre. Amal retira sa main de celle de son fiancé visiblement. Vous ai-je offensé ? Oh.. non ne vous en faite pas... c'est juste si soudain. Et en plus s'était vrai, la voila fiancé à un total inconnu qui à des air similaire avec son défunt amour. Je le vois bien dans votre regard que quelques chose de va pas. dites le moi ? serait-ce le fait que votre famille ne pourrons pas être présent, je m'en vois navré très chère, j'ai pourtant essayer de faire parvenir une missive mais personne ne les auraient retrouver. S'il comptait sur sa famille à elle, s'était plutôt rare pour un homme d'approcher une licorne. Elle avait un peu trop chaud pour le moment. Monsieur... ce n'est pas de votre faute, vous avez fait le nécéssaire... Appelez moi Henry, nous allons nous marier dès demain, mon amour

Un léger crispement l'avait saisie, ses mots sonnait étrange à son oreille, mais elle ne pouvait pas lui en vouloir. Elle revivait surement les choses d'une autre comme quand on était venu à son secours, revivre certains souvenir. Mais elle ne comptait pas laisser la vie partir. Elle n'allait pas mourir. Très bien Henry Sur ses mot ce dernier caressait ses mains amoureusement et approcha son visage du siens. Et leur lèvre s'était toucher chastement. Elle lui aurait bien mit un coup de tête dans la tronche mais s'était retenue au dernier moment et son bouclier ne s'était même pas activé pourquoi ?. Ses pouvoirs était stoppé ? Ca allait être vraiment la merde sans ses pouvoirs. Et dans la chambre d'une dame.. il n'y avait pas d'épée comme s'était étonnant ! Une légère douleur à la joue, l'avait lancé elle s'était crisper et s'était mordu la paroi intérieur de la joue. Au moins elle avait eu des informations qu'elle pouvait fournir au styliste. Venez, je vais vous présenter ma famille. Effectivement, vu que finalement, elle n'avait personne de son coté. Elle prit un charmant sourire sur les lèvres et saisie le bras de ce dernier, prenant donc sa robe de l'autre main. Je vous suis très cher Henry. Elle sorti de la chambre, pour au final faire le chemin inverse pour retourner auprès des invités. Elle n'avait pas fait attention qu'il y avait autant de participant. Elle salua tout le beau monde, la noblesse, l'aristocratie. Tout le gratin en soie. Elle se fondait dans la masse vu qu'elle avait tellement l'habitude de ce genre de procédé, elle avait été baigner dedans étant plus jeunes. Son teint était plutôt neutre, ne montrant aucune émotion. Mes félicitations Elle hocha simplement la tête. Henry se recula et déposa un baiser sur sa main. Madame, je vous laisse le devoir m'appelle, je reviendrais très vite.

Mhh.. et bien de l'air. Elle devait donc chercher Gabriel du regard, s'est pas dur de voir une montagne pourtant avec une grande élégance ! Mais pour se frayer un passage ce n'était pas évident quand on était l'attraction du moment. Avec tout ses félicitations, elle voyait bien que ses personnes étaient pour le moins très accueillante ! et plutôt chaleureuse, il l'avait réellement adopté. Ce qui était plutôt étrange venant de cette époque. L'amour prônait rarement sur les devoirs. Elle avait entendu du coin de l'oreille des personnes parler. Vous avez entendu, ils ont engager un peintre de renomme pour faire les portraits des futurs marier avec la famille. Oh... c'était plutôt intéressant en sois, Bien qu'il devait être super rapide ? Puisqu'un tableau prenait du temps surtout pour plusieurs personnes. Elle avait aperçu au loin le styliste ! Pour le moment seul. Il fallait donc qu'elle fasse cela avec discrétion. Soulevant un peu sa robe de sorte à ce qu'elle puisse bouger correctement, sans qu'on ne voit ses chevilles. Enfin. je vous ai trouver. Lachant sa robe pour lui cacher ne nouveau les pieds. On a un nouveau soucis sur les bras. Puisque visiblement, je vais me marier. Elle lui montra sa bague. Donc l'homme qui est rentrer tout à l'heure m'a passé la bague au doigt Elle n'aurait jamais imaginer devoir se marier à contre coeur mais pour faire avancé les chose, elle n'aurait peut être pas le choix. En d'autre therme, ça sera peut-être moi qui serait viser... Je ne sais pas exactement ce en quoi ça consiste, si c'est pour prévenir, sauver ou empêcher se mariage.

Elle porta son regard sur Gabriel. Avez vous trouvez quelques information sur le sujet ? Car je pense que le mariage aura lieu le lendemain et que visiblement tout le monde à hâte que cette union soit célébré.


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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dl9z

- Qu'est-ce que tu sais exactement ?
- Que tu as échoué.


◘◘◘

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-05-15, 23:00




Wedding cuite
Gabriel & Amalthea
Deep into that darkness peering, long I stood there, wondering, fearing, doubting, dreaming dreams no mortal ever dared to dream before.





Rancunier au point de souhaiter venger la mort de sa femme en utilisant ce qui l'a tué pour la ressusciter même si cela signifiait réduire à néant toute une ville ? Bien évidemment qu'il l'était, rancunier. Gabriel n'oubliait pas facilement ce qu'on lui avait fait et dans le cas d'Amalthea c'était encore plus simple puisqu'il rappelait là leur première et unique rencontre. Celle qui ne fut pas des plus plaisantes pour le styliste et qui, par ricochet, posait une étiquette sur la jeune femme pour ce qu'on nommerait des "préjugés". Il n'allait tout de même pas évincer cet événement d'un revers de main pour remettre à zéro le compteur. Il s'en méfiait déjà assez comme ça. On m'avait manipuler et je n'avais pas tout mes souvenirs, Gabriel ne fronça même pas des sourcils, il ne voyait qu'en ses justifications des excuses pour se faire pardonner. Il n'y avait pas de quoi, le styliste garderait la même image qu'il avait en ce moment d'elle et cela même s'il restait conscient qu'elle avait effectivement été manipulée. Il ne lui en voulait pas d'être venue en pensant bien faire, il lui en voulait par contre d'avoir essayé de rester et de l'aider dans un moment où il préférait être seul. Elle avait dépassé des limites mais promettait que ça ne se reproduirait plus. Encore heureux. Il tiqua un peu plus loin lorsqu'Amalthea s'exprima sur la relation qu'elle avait avec son père... Qui n'était en fait pas son père, en plus des souvenirs qu'elle avait pu récupérer par la suite.

"À cause ? Grimaça l'homme. Vous n'êtes pas satisfaite d'avoir recouvré la mémoire ?"

Il aurait pu poser des questions sur Haggard mais se retint car ce n'était tout simplement pas ses affaires et qu'il ne voulait pas que ça le devienne. L'égoïsme de ne pas vouloir se créer des problèmes en se souciant de ceux des autres.

Malgré tout, ils réussissaient ce soir à en avoir un en commun. Mis en quête de trouver où ils avaient atterri pour rentrer chez eux, la question de l'époque se posa bien vite dans la tête des invités de dernière minute. Tous deux changés pour se fondre dans le décor de la Renaissance, Gabriel s'étonnait plus de sa propre tenue que de celle d'Amalthea - sûrement car il ne l'avait jamais vu habillé autrement qu'en longue robe de même allure. Il n'avait pas répondu à ses compliments et pourtant, la transformation vestimentaire sciait tout aussi bien à la jeune femme, il aurait aisément pu lui rendre la pareille en toute sincérité. Mais cela ne lui vint pas naturellement. Il n'était pas à sa place, il ne se sentait pas à l'aise et il ne la connaissait pas assez pour se permettre ce genre de remarque. Ainsi, il n'en dit rien, déviant directement sur la pièce qui s'ouvrait à eux. Plusieurs personnes les observaient avec insistance mais de ceux-là, le styliste n'en connaissait aucun. La réciproque ne semblait pas se faire. Bien vite, sa partenaire partageait avec lui l'hypothèse qu'il développait aussi en silence. Il avait acquiescé ses dires et elle semblait en être satisfaite.

"Bien entendu le contraire m'aurait étonné, mais pour une fois, vous ne cherchez pas à me contre dire, mais j'aurais sans doute préféré être à une soirée déguisé. En étant à cet époque, nous devrions faire plus attention à nos fait et geste."

Il paraissait donc si têtu que cela ? Impossible d'ignorer une telle accusation.

"Attendez, contredit il d'une moue froncée, je n'ai pas dit que je souhaitais vous donner tord simplement pour le plaisir de vous donner tord. Je disais cela car la situation que vous imaginez ne nous est pas arrangeante et que j'aurais préféré qu'il en soit autrement. Je ne serais pas si puéril d'ignorer une vérité juste parce qu'elle ne vient pas de moi !"

Par contre, il restait susceptible face à la remarque même si c'était inconscient de sa part. De son point de vue, il n'appréciait pas qu'on ait une image faussée de lui ou des présomptions comme celle-ci. Son regard se déplissa néanmoins bien vite, soupirant, alors qu'Amalthea confiait les circonstances auxquelles ils allaient devoir s'adapter. Les femmes, surtout - il le savait - n'obtenait pas un traitement égal aux hommes. Celle qui se trouvait aux côtés du styliste y était préparée au moment où on les rappela à l'ordre pour qu'ils rejoignent leur chambre respective. Sur le chemin, silencieusement, Gabriel observait les couloirs en retrait, avec quelques questions planant dans son esprit. S'égarant sans un mot, Amalthea le ramena à la réalité en s'écartant d'un grand tableau accroché sur le mur d'un des couloirs qu'ils empruntaient. Elle semblait en être envoutée, assez pour que l'homme se mette à le fixer à son tour. La mise en scène d'une licorne avec une jeune fille lui parut quelque peu fantasque pour ce que la Renaissance appréciait habituellement peindre. Il ne savait pas ce qui avait captivé à ce point la jeune femme mais, ayant beau chercher sur l'œuvre, il finit par abandonner cette quête. Bientôt, leur chemin se séparèrent. On indiqua une porte à l'homme qui s'exécuta à la passer pour découvrir sa chambre. Simplement ornée mais bien mieux tenue que certains hôtels qu'on trouvait dans les grandes villes du XXième... Gabriel balaya la pièce du regard avant de s'approcher de la fenêtre. Il tentait, de sa position, de surmonter la forêt qui les entourait pour peut-être trouver un point de lumière familier à son siècle. Rien n'y fit. Passant une main sur sa poitrine, il réalisait qu'en changeant de tenue, il n'avait plus en sa possession le miraculous du papillon. Impossible d'utiliser ses pouvoirs... Il regrettait de ne pas l'avoir fait avant.

"Je n'ai tout de même pas pu traverser un portail sans m'en rendre compte... ?"

Ça restait fort probable. Mais faute de réponses à lui-même, on frappa à sa porte et Gabriel rabattit son attention à l'intérieur. La large robe blanche, des cheveux blonds attachés et enfin un regard qui se posa sur lui et qu'il sut familier. Dès lors passée la porte, elle la referma et réengagea la discussion plus tôt laissée de côté comme si de rien n'était. Elle ne perdait pas de temps, en effet, et si ça étonna tout d'abord le styliste, il se plia au jeu.

"Il est évident que cette mariée y est pour quelque chose. Elle a disparu dès que nous sommes arrivés à la destination prévue pour nous et elle semble la seule à savoir d'où nous venons vraiment. Il faudrait que nous la retrouvions pour lui demander des explications.
Ses sourcils se froncèrent d'agacement. Ce ne serait pas étonnant qu'un spectre cherche quelque chose et se serve de nous pour l'obtenir. Ou bien nous souhaite-elle un sort similaire au sien... Je n'en sais rien mais quoique ce soit, je ne lui donnerais pas le plaisir d'arriver à ses fins."

L'homme dont elle parla par la suite l'intrigua et au signal qu'elle instaurait avec lui, il comprit que ses inquiétudes n'étaient pas infondées. Il serait beau de dire que l'époque fait que - mais c'est encore une chose trop courante de leurs jours aussi. Gabriel comptait bien aider Amalthea s'il venait à y avoir un problème, même si l'image que l'un avait pour l'autre empêchait d'y croire. Il resta silencieusement surpris à l'idée qu'elle puisse le croire assez rancunier pour ne pas venir à son aide si les choses venaient à déraper. Était-ce ce qu'il montrait aux autres ? Une personne assez lâche et centrée sur elle-même pour ne pas prendre le risque de bondir au moindre problème ? Il ne répondit rien parce que pendant cette seconde où il réalisa l'image qu'il renvoyait, il ne nia pas la possibilité que celle-ci soit véridique. L'idée le l'empêcha de contredire Amalthea avant que celle-ci ne lance devoir partir.

"Et bien je vous dit à tout à l'heure monsieur Agreste et si vous avez des indices, faite m'en part.

-Amalthea. Décidément, il n'était pas maître en communication. Mais il ne pouvait la laisser partir avec l'idée que dans le danger, elle serait seule à se défendre. Faites attention à vous."

***

Peu de temps après, alors que Gabriel ne se permit pas de descendre, perturbé par l'idée que sa partenaire ait effectivement des problèmes, il attendit un temps dans la chambre. Debout, marchant, assis, soupirant. Bien vite, quelqu'un d'autre frappa à la porte. Enfin ! Tout s'était bien passé et elle allait lui apporter des réponses, c'est ce qu'il pensait. Seulement, ce n'est pas Amalthea qui rentra dans la pièce, et ce n'était pas une seule personne non plus. Un peu moins d'une dizaines d'hommes et quelques femmes rejoignirent avec engouement le styliste, tous impatients de la suite des événements.

"Tu es prêt ? Mais alors que fais-tu seul enfermé pendant que tout le monde s'amuse en bas ! Dépêche-toi donc !"

Gabriel se sentait bousculé, il n'aimait pas ça. Cette chambre était trop étroite pour que tant de gens s'y retrouvent, encore plus lorsqu'il n'en connaissait aucun mais que ceux-ci semblaient le voir comme un proche.

"Mère est en bas et elle t'attend. Soutint une jeune dame en posant une main sur son épaule. Descends avec nous et allons fêter cette dernière soirée tous ensemble !

-Dernière ?"

Certains rirent.

"Oui, avant le mariage ! S'il te plait, avance."

Le groupe l'empêchait visiblement de faire autrement et il n'eut d'autre choix que de s'engager dans le couloir pour descendre à la salle principale. Gabriel espérait silencieusement qu'Amalthea ne faisait pas face aux problèmes qu'elle redoutait alors qu'il se mêlait à la foule. Sans forcément le demander, d'autres individus venaient à se rencontre, prétextant le connaître ou avoir entendu parlé de lui. On parlait du mariage qui, visiblement, était prévu pour demain, et de l'impatience des invités pour cet événement exceptionnel. Pourquoi tant d'émotions ? Impossible de le savoir et le styliste n'osa pas pointer du doigt l 'atmosphère étrange qui se dégageait du sujet sensible.

"Qui se marie exactement ? Finit-il par demander, las.

- Notre cher petit Gabriel, toujours le mot pour rire ! Mais vous avez raison mon cher, si nous ne faisons pas cette boutade au mariage de notre héritier quand le faisons-nous ? Sa charmante fiancée ne devrait pas tarder d’ailleurs, je crois que personne n’a encore eu l’occasion de la voir ?"

Ça ne donnait aucun nom, seulement l'indice qu'ils n'étaient pas encore là. Comment deux personnes pouvaient-elles s'éclipser à leur propre fête s'ils sont les vedettes de celle-ci ?

Il réussit plus tard à s'isoler des groupes de discussion même s'il ne pouvait pas prétendre à un appel surprise sur son téléphone. Non, il se contentait de profiter de chaque seconde où personne ne venait lui prendre l'épaule pour annoncer une énième fois le mariage qui se profilait et la joie qu'ils en avaient de pouvoir y participer. Les gens sont décidément trop tactiles à cette époque, à croire que c'était signe d'amicalités, d'accueil et de bienveillance. Pour Gabriel, ce n'était qu'une surdose de familiarités déplacées.

"Enfin, je vous ai trouvé !"

Une voix qui lui semblait familière, celle qui la seconde lui annonçait son mariage et rassemblait les pièces du puzzle petit à petit. Il fixait la bague en or - un or étincelant -.

"Alors c'est de vous dont tout le monde parle. Conclut, toujours craintif de la suite, le styliste. Vous êtes la mariée et le fiancé... Il se pencha légèrement sur le côté pour que se dessine distinctement la silhouette dégagée par la foule qui l'entourait. Je vois. Le plan de la défunte mariée semble se détailler quelque peu, quoique je ne sois pas certain que ça annonce le meilleur pour vous."

Une main se porte à son menton, méfiant et songeur à la fois. Pourquoi amener une femme à se marier en compagnie d'un inconnu à une époque qui n'est pas la sienne ?

"Non, rien que vous ne sachiez déjà, malheureusement. Le mariage a bien lieu demain et tout le monde semble... étrangement pressé à ce que ça se passe. Je n'arrive pas à en savoir plus, ils pensent que je suis déjà au courant mais que je fais semblant. Nous représentons ici des personnages que nous ne connaissons pas mais avec qui, eux, vivent. Une simulation, peut-être ? Peut-être que... La défunte femme qui nous a amené cherche à nous montrer quelque chose. À nous faire vivre son propre mariage ? Oui, il repensa à ce qu'Amalthea avait dit, peut-être veut-elle que nous le modifions - ou que nous subissions."

Quelqu'un demanda l'attention aux invités.

"Nous avons demandé à un peintre d'immortaliser ce moment qui précède un mariage tant attendu sur une huile sur toile. Je vous demanderais donc de prendre place face à lui pour qu'il commence les esquisses de celle-ci !"

Oh ! - Quelle bonne idée ! - C'est un bon peintre, il a une très bonne réputation - Ça va prendre du temps mais j'ai hâte de savoir le rendu... Bien vite, la masse grouillante se rassembla en un point. Gabriel plissa les yeux dans un contraste de désenchantement.

"Les peintures sont toujours si longues à être préparées." Soupirait-t-il en souvenir du passé.

Il avait en effet déjà pu être le modèle d'un ou deux peintres lorsque sa femme était encore en vie. Émilie, par ailleurs, trônait encore dans le bureau de ce dernier sur un tableau inspiré du Portrait d'Adèle Bloch-Bauer par Gustav Klimt. La pièce maîtresse d'une décoration pourtant si terne. Il n'avait aucun plaisir, aujourd'hui, à se faire peindre par quelqu'un d'autre car aucun moment n'était à immortaliser de son côté. Pourtant, alors qu'il n'avait souhaité prendre place auprès des autres, plusieurs tiers les y incitèrent en établissant un plan. Le peintre commençait à déterminer ses exigences pour que tout le monde trouve son compte sur le résultat final.

Fiche codée par Koschtiel
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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dey9

-Tu ne devrais pas...ce n'est pas convenable.
- ...
-Majesté...
-Laisse moi... il n'y a qu'ici que je puisse avoir ce que je désire.

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-05-23, 19:03

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite





La licorne avait bien remarqué que le styliste était une personne assez rancunière qu'il n'oubliait pas facilement... en même temps à quoi s'était-elle attendu à ce qu'il lui pardonne son effraction ? Surement, elle ne lui avait pas réellement fait mal ou peut-être pour son égo, vu qu'elle avait soigner sa blessure par magie alors qu'il avait cru qu'elle allait le dévoré alors que ce n'était pas son intention. Les être humains avait de curieuse façon d'interpréter les choses mais au final, elle avait compris la raison, elle s'était montrer trop familière à son égard. Elle ne se serait jamais trouver dans cette demeure si on ne lui avait expliqué les règles de base et qu'on ne l'aurait pas manipuler. Elle lui avait dit, elle ne cherchait pas à se faire pardonner, elle lui avait dit les fait qu'elle n'était pas elle même et qu'elle n'avait pas tout ses souvenirs. Néanmoins, elle se rappelait qu'elle avait voulu lui venir en aide. Il n'avait pas l'air bien quand elle était là. Si elle l'aurait pu, elle l'aurait volontiers soigné. Mais, elle avait promis que ça ne se reproduirait plus, elle n'était pas du genre à rentrer par effraction chez les personnes sauf peut-être pour noel ou elle avait déposer un cadeau. Une fois qu'elle avait retrouver ses souvenirs... tout n'était plus aussi merveilleux qu'elle voudrait le faire croire. Elle avait apprit à connaître certaines choses. À cause ? Oui certaines chose était la cause de Gabriel... bon pas tout puisqu'il y avait aussi Axel qui a favoriser ses flash. Oui... Vous n'êtes pas satisfaite d'avoir recouvré la mémoire ?" L'était-elle ? Pendant plus d'un mois, elle avait regretter avoir retrouver ses souvenirs qui était tellement frais. C'était comme si elle avait perdu Lyrr depuis quelques mois, alors que cela fait plusieurs années qu'il n'était plus là. Le roi Lyrr avait succomber de ses blessures face à un griffon, et avait demandé à Amalthea de ne rien faire juste qu'elle reste une dernière fois à ses cotés. Sur le moment elle ne ressentait pas grand chose part de la tristesse pour ce qu'il s'était passé. En redevenant humaine cela fit resurgir tout comme un cheval au galop. Et c'est pour cette raison qu'elle était au plus bas. Et bien... au début non.. j'en ai souffert pendant plusieurs mois. Encore maintenant j'ai toujours des séquelles. J'ai perdu une personne chère à mes yeux, une personne que j'ai aimé. Mais il vaut mieux avoir toute sa mémoire pour avancer. Elle lui aurait surement expliquer ce qu'il en retournait avec Haggard pour qu'il sache à quel énergumène il pouvait avoir à faire. Mais elle le remerciait aussi de ne pas avoir insister. Peut être que plus tard, elle lui compterait son existence, pas toute parce qu'il n'y aurait pas assez d'une heure pour tout raconter. Pour l'heure, ils avaient d'autres chat à fouetter et visiblement, ils étaient sur la même longueur d'onde pour le moment. Amalthea avait tout de même senti le regard des personnes sur elle. Comment était-elle arrivé en compagnie de cet homme ? Mais pour le moment les rouages n'étaient pas mit en place et cela semblait plutôt flou dans son esprit quand à leur présence ici. Et surtout à cette époque-là.

Gabriel semblait donc de son avis sur l'époque en question et pour une fois, il n'avait pas sembler vouloir la contredire. Pas qu'il le faisait tout le temps, elle ne l'avait vu que quelques fois mais leur dernier face à face, il n'avait cessé de remettre ses paroles en doutes. Pour cette raison qu'elle lui avait dit cela. Elle ne pensait pas à mal bien sur. Mais, elle le voyait pour le moment ainsi. Et elle ne demandait qu'à le connaître d'avantage pour ce faire une nouvelle opinion de lui. Gabriel était têtu cela ne lui déplaisait guère au moins on ne risquait pas de s'ennuyer auprès de lui. Deux forte têtes, comme elle avait pu lui montrer à leur dernier rencontre. Elle ne le ménageait pas réellement. Attendez Gabriel avait fait une moue froncé, et Amalthea porta son regard sur lui. je n'ai pas dit que je souhaitais vous donner tord simplement pour le plaisir de vous donner tord. Je disais cela car la situation que vous imaginez ne nous est pas arrangeante et que j'aurais préféré qu'il en soit autrement. Je ne serais pas si puéril d'ignorer une vérité juste parce qu'elle ne vient pas de moi Elle pencha la tête légèrement affichant un léger sourire sur ses lèvres. Très bien, vous marquer un point. Il était en train de remonter dans son estime, il n'était pas si déplaisant que cela après tout. Elle lui avait fait un topos par rapport à leur époque. Les femmes n'étaient pas vu comme des être supérieur à l'homme, elle ne servait parfois qu'à servir son époux et lui donner descendance, elle était parfois refléter au rang d'objet. Leur époux avait tout droit sur elle. Et si elles n'étaient pas encore marier. Cela devenait une riser de leur famille. Et certaines encore était accusé de sorcellerie et bruler au bucher ou noyer dans un lac avec des pierre en guise de poids. Enfin, encore la Renaissance n'était pas si pire certaines avaient certains droit. En effet, les femmes peuvent hériter et administrer des domaines ; lorsque leurs preux chevaliers d’époux s’en vont guerroyer, elles assurent pleinement la régence des biens et reçoivent même l’hommage des vassaux. Puis en déambulant pour suivre le majordome, ils étaient tomber sur une peinture. Celle ou visiblement, elle avait poser contre son accord. Cette jeune fille elle la connaissait, elle l'avait vu et approcher. Cela lui faisait remonter pas mal de souvenirs. Elle était tellement perdu dans ses pensées, quand elle avait remarquer que Gabriel posa son regard sur cette peinture. Secouant la tête s'était du passé, elle n'allait probablement pas retrouver de nouveau cette apparence jadis. Le styliste n'avait pas chercher à lui poser des questions. Au moment ou elle allait parler, elle se rappelait qu'il y avait se majordome. Et il ne devait pas savoir. Puis leur chemin avait été de se séparer allant chacun de leur coté. Elle avait une chambre bien éloigné des autres. Ce qui n'était guère rassurant.

Elle était tout de même revenu avant l'heure de son rendez vous avec ce monsieur. Elle avait tout de même fait par de certains de ses doute à Gabriel. Bien sur cette fois-ci en frappant. La politesse non ? Et elle était poli. Il est évident que cette mariée y est pour quelque chose. Elle a disparu dès que nous sommes arrivés à la destination prévue pour nous et elle semble la seule à savoir d'où nous venons vraiment. Il faudrait que nous la retrouvions pour lui demander des explications. C'était même sur, est-ce que c'était une reconstitution ? Est-ce qu'ils devaient empêcher ce mariage ? Devait-il changer le destin de cette dame. Je pense être du même avis que vous, nous devons faire en sorte de la retrouver, elle nous donnera surement d'autre indice à suivre ou non quand au déroulement des choses. Même si je ne suis pas rassurer d'être seule à l'autre bout de la pièce. Dans un univers dont je ne connait rien. Elle avait remarquer son froncement de sourcil. Ce ne serait pas étonnant qu'un spectre cherche quelque chose et se serve de nous pour l'obtenir. Ou bien nous souhaite-elle un sort similaire au sien... Je n'en sais rien mais quoique ce soit, je ne lui donnerais pas le plaisir d'arriver à ses fins. Je ne désire pas non plus avoir le même sort. Et je ferais en sort que vous rester en vie vous aussi, je vous ramènerais tel que vous êtes. Puis, vient le faire de parler de cet homme qu'elle devait rencontrer dans sa chambre et qu'elle n'était pas très rassurer pas qu'elle avait peur non... Mais, elle n'aimait pas ne rien contrôler son courage la poussera toujours à affronter les choses en face de toute manière. Et même a penser au pire des cas. Même a crier si elle n'avait rien sous la main. En étant coincé ici, cela permettrait à Gabriel et Amalthea ne partir sur de nouvelle base et de compter l'un sur l'autre ? Elle ne comptait pas le laisser ici en tout cas. Il était venu avec elle et il repartirait avec... ou sans elle. On ne sait jamais... Amal pourrait se sacrifier pour qu'il puisse retourner à SB. Après tout il avait un enfant. Et pas elle... Amalthea avait bien assez vécu... Il y avait bien Petunia qu'elle devait formé mais, elle avait Alexis en guise de mère d'adoption. Elle allait donc retourner dans ses appartements quand le styliste reprit la parole. Amalthea. Son coeur avait fait un bon. Elle s'était retourner pour le regarder. Faites attention à vous. Elle lui sourit faiblement. Ce n'était peut-être rien pour le commun des mortels mais pour elle s'était une chose très importante. Il n'était pas si mauvais. Elle hocha la tête. Je promet de faire attention... merci.. Puis, elle referma la porte derrière elle.

La fameuse demande en mariage de ce monsieur était passé comme une lettre à la poste sans suivi. Amalthea était rester à le regarder de travers. Quand il lui avait passé une bague au doigt. Cet homme aussi beau soit-il n'était pas Lyrr et ne le sera jamais. Il était mort. Elle ne pouvait pas épouser un total inconnu... Pas sans ses pères d'adoption.. qu'est-ce qu'ils allaient leur dire s'il l'apprenait ? Ludwig et Aki n'avait pas été confier au mariage. Non c'était hors de question d'épouser une personne s'en eux. Et c'est à ce moment-là qu'elle avait remarquer qu'elle n'avait pas ses pouvoirs de défenses et qu'elle ne pouvait donc pas le faire voler dans le décor avec son bouclier. Comme par hasard. Elle l'avait donc suivi jusqu'à la salle de réception et elle n'avait même pas pu aller voir Agreste... Ca lui aurait apporter des problèmes. Un duel ? Même si s'était interdit.

***

Prenant la peine de parler a plein de personnes qu'elle ne connaissait pas ce qui ne la gênait pas en soit sauf quand il s'agissait des personnes qui semblait la connaître et de parler de ce mariage. Son regard était plus tourner pour chercher Gabriel. Alors des qu'elle avait trouver un échappatoire. Elle y était aller rapidement en prenant garde de ne pas avoir de mauvais ondes sur Gabriel. Et elle l'avait enfin trouver. Et elle s'empressa de lui dire rapidement de quoi il retournait. A ce moment précis, elle voulait partir rapidement. Alors c'est de vous dont tout le monde parle. Pour en parler c'est qu'ils en parlaient, il n'y avait que cela à la bouche. Bien que son prétendant soit emmouracher ce n'était pas le cas de Amalthea. Vous êtes la mariée et le fiancé... Mhh... malheureusement oui, je suis donc cette mariée ou elle me fait vivre ce qu'elle a eu, je ne sais pas trop tout me semble trop parfait. Le fiancé... il est quelques part la bas... il m'a laisser entre les mains de total inconnu. Pour quelqu'un qui voulait la rassurer s'était mal parti. Je vois. Le plan de la défunte mariée semble se détailler quelque peu, quoique je ne sois pas certain que ça annonce le meilleur pour vous. mhh... merci, j'aime être au première loge... Elle lui avait demandé s'il avait apprit d'autre chose à ce sujet Non, rien que vous ne sachiez déjà, malheureusement. Le mariage a bien lieu demain et tout le monde semble... étrangement pressé à ce que ça se passe. Je n'arrive pas à en savoir plus, ils pensent que je suis déjà au courant mais que je fais semblant. Nous représentons ici des personnages que nous ne connaissons pas mais avec qui, eux, vivent. Une simulation, peut-être ? Peut-être que... La défunte femme qui nous a amené cherche à nous montrer quelque chose. À nous faire vivre son propre mariage ? Oui Oui je vois l'engouement que ce mariage dégage, tout le monde à tellement hâte d'être a demain que ça ne m'enchante pas plus que cela. Au moins vous êtes hors de danger. Je pense que cela doit-être ça. Donc reste à savoir quand elle va venir me voir pour me dire la suite ? Ou enfin... si toutefois elle apparait. peut-être veut-elle que nous le modifions - ou que nous subissions. Le modifier pas de soucis... je l'envoie dans le décore et on s'en va ? Bon pour cela, il me faudrait une épée et je n'en ai pour le moment pas. Le subir.. C'est ce que je suis en train de vivre. Même si j'ai songée une fois à me marier.

Puis vient le moment de cette peinture. Bien entendu, elle était auprès de son fiancé et sur sa gauche se trouvait Gabriel. Les peintures sont toujours si longues à être préparées. Et ils savaient pas à quel point. En parlant de peinture... Je veux bien vous croire... d'ailleurs en parlant de tableau celui avec la licorne... Il me semble si familier... Quelques instant bien long plus tard le tableau a été mit de coté pour sécher tranquillement. La soirée était en train de se terminer puisque les invités commençaient à s'en aller pour le grand jour du lendemain. Et il était venu le temps... de monter se coucher. Il est l'heure d'aller se coucher très chère.. Une personne va vous escorter à votre chambre

S'était donc le moment de dire au revoir ? Elle n'était pas enchanté de partir maintenant encore moins d'être seule du moins dans ses moment-là. Adé avait l'habitude de l'escorter pour la conduire à sa chambre ce qui ne lui changeait guère son habitude. Monsieur Agreste... je vous dit à demain... Rester sur vos gardes vous aussi faite très attention. En montant une personne était pret de ses talents pour qu'elle aille à sa chambre. Vous allez vous reposer pour être radieuse demain. Elle ne répondit pas et garda la tête un peu baisser, un simple hochement de tête. Une fois arrivé devant sa chambre, on lui ouvrit la porte pour qu'elle puisse passer et l'instant d'après on ferma la porte. Amalthea avança un peu. Elle aurait eu besoin d'aide pour retirer le lassage. Sauf que la personne derrière la porte tourna la clef. Pardon ? On venait de l'enfermer à clef ! Son regard se fit beaucoup plus dur ! Elle en avait marre de se faire enfermer à clef dans sa chambre ! Elle essaya de forcé la poignet. Mais rien ne se passa la porte ne céda pas. Ce n'est pas faute d'avoir essayer, donnant même un coup de pied dans la porte. Elle s'était diriger vers la fênetre... mais c'était beaucoup trop haut pour qu'elle puisse sauter et ce n'était pas dit qu'elle puisse se guérir. Elle était prise d'une colère, qu'elle en avait fait valser certains produit de la coiffeuse au sol qui se brisa. Elle était retourner contre la porte et se laissa glisser sentant les larmes couler. Je compte sur toi Gabriel pour avoir d'autre information... La pièce était devenu plus froide et Amal releva la tête doucement. Quand elle la vit là ! Elle était là. La licorne se redressa rapidement. La mariée fantôme était assise là. Sur la chaise de la coiffeuse, elle était en train de fixer Amalthea. La licorne aurait pu lui poser plein de question sur le sujet mais rien n'était sorti. Elle savait qu'elle ne lui voulait pas de mal alors s'approcha d'elle. Le miroir derrière le fantôme se rempli de buée et une écriture faite avec les doigts étaient en train d'apparaître. Ils vont te faire ce qu'ils m'ont fait à moi Ce n'était guère rassurant... donc elle allait mourir. Que ton t-il fait ? Dis le moi...? Que dois-je faire ? Aucune réponse n'était venu. Ces fantômes toujours à parler par énigmes. Qu'est ce qu'ils lui avaient fait ? Elle n'aurait pas de chance mais elle devait tout faire pour rester en vie. Elle avait finalement réussi à se dévêtir pour mettre une robe de nuit en lin.

Son sommeil avait été pas mal agité puisqu'elle était épuiser. Elle se trouvait donc dans le manoir mais les pièces étaient différente , s'était étrange. les invités étaient habiller de la même façon mais eux aussi étaient différent. Des cris s'étaient fait entendre, des personnes étaient en train de lutter, du sang était dans son champs de vision. Certaines personnes qu'elle avaient croiser dans la soirée étaient là aussi. Son rythme cardiaque s'était accéléré. Tout était si flou et se succédait si rapidement. On était en train de creuser un trou, des bruits de terre. Une odeur d'humidité très déplaisante qu'elle eu un mouvement de recule dans se rêve. Puis au dernier plan, elle se trouvait à l'extérieur, au loin quelques était en train de bruler, elle tourna la tête pour voir le manoir bruler au loin comment est-ce que s'était possible ? une voix non loin d'elle était en train de murmurer. Enrayez le cycle ! Après le mariage..

Amalthea se réveilla en sursaut couverte de sueur, sa respiration était saccader. Elle savait ce qu'elle avait a faire... se marier. Et enrayer le reste. Mais tout était flou et allait si vite.. Le manoir allait donc prendre feu.. une bataille allait avoir lieu... Du sang.. Et on allait enterrer quelqu'un ? mais ça ne sera pas Amalthea, ni Gabriel. Elle sorti de son lit. Elle allait devoir épouser Henry... Elle se prépara donc ou du moins, on l'aida à se préparer. Elle avait une belle couronne de fleur dans les cheveux. Suivi d'une belle robe blanche avec une parure de diamant. Elle était resplendissante mais le sourire n'y était pas réellement. Elle porta son regard vers une pendule, elle savait que le mariage avait lieu à onze heures. Quand l'heure fut venu. Amalthea se releva elle avait un voile sur la tête. Elle allait épouser un homme qu'elle n'aimait pas. La cérémonie se passa donc dehors, au mois de mai... On avait prit son bras mais la jeune femme garda un visage dénué d'émotion. Elle cherchait Gabriel du regard... Ses yeux étaient humide quand elle le trouva... Tenant son bouquet.

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dl9z

- Qu'est-ce que tu sais exactement ?
- Que tu as échoué.


◘◘◘

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel A4g2

Heroes make mistakes too...


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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-05-27, 02:27




Wedding cuite
Gabriel & Amalthea
Deep into that darkness peering, long I stood there, wondering, fearing, doubting, dreaming dreams no mortal ever dared to dream before.




Pour les invités, la réception semblait se dérouler à merveilles, de sorte qu'ils oubliaient presque l'attitude de la mariée et de l'un de ses... proches amis, si on pouvait dire de loin. Pourtant, ils ne l'étaient pas - ils demeuraient simplement dans le même bateau et ainsi, faisaient équipe dans l'intention de rentrer chez eux. Deux Storybrookiens portés par l'aventure, c'était chose banale de là-bas, on finissait forcément par s'y faire. Un jour, l'un finirait par y laisser la vie. Pas mal, d'ailleurs, avaient déjà du mourir pour moins que ça. Il fallait être vigilant, toujours sur ses gardes, prêtant attention à tout. Même si Amalthea et Gabriel n'étaient pas tout le temps ensemble, l'intérêt restaient qu'ils se retrouvent à la fin et rassemblent les indices. Rejoins à la salle de réception, la jeune femme allait bien - le styliste en était rassuré - mais elle lui appris la mauvaise nouvelle du mariage non-consenti, comme un schéma qui se répétait de la part du spectre. Aux premières loges - oui, ça elle l'était. Mais si elle en riait, Gabriel n'avait pas forcément envie de suivre cet humour où l'un et l'autre se retrouvaient acteurs d'une mise en scène ridicule.

"Qui sait ? Ajouta-t-il nonchalamment en haussant les épaules. Nous pourrions - enfin, vous pourriez, très bien vous opposer à votre propre mariage et refuser sa proposition. Rien ne devrait nous inciter à subir ce qu'il se passe ici. La mariée finira bien par se montrer d'elle-même..."

Tout était bon pour faire réagir celle qui les tenait à bout de bras et les faisaient danser comme des marionnettes. Si Gabriel détestait bien une chose, c'était obéir et se laisser porter par un courant qui ne lui convenait pas. Il avait acquis un statut assez haut pour que ça ne devienne jamais le cas. Et quoi, aujourd'hui ? Rien ne changerait. Certes, Amalthea avait bien songé à se marier une fois mais il doutait fortement que ça soit en la compagnie d'un inconnu dans un temps qui n'est même pas le sien. Si ? Qu'importait. La situation leur était déjà bien assez désavantageuse pour que l'un d'eux décide de sacrifier l'autre en un stupide mariage arrangé. Ils finiraient bien par trouver un échappatoire - l'espéraient-ils seulement. Mais jusqu'alors, le duo devait faire comme si de rien n'était car personne ne les auraient cru du piège dans lequel ils s'engouffraient. Il aurait été imprudent de lancer des menaces à tout va sans savoir les répercussions que ça pourrait avoir. Ils jouaient donc le jeu, posant pour un tableau sur lequel ils n'apparaitraient surement pas plus tard. Amalthea se confia à propos du précédent qu'elle avait croisé dans le couloir, le styliste s'en souvenait. Cependant, trop concentré sur les dangers qu'ils encourraient, il n'avait pas fait plus attention que cela à l'intérêt que portait la jeune fille sur celui-ci.

"Mh ?" Fut sa manière à lui de la laisser poursuivre sans même lui jeter un regard - il voyait déjà le peintre s'agiter à manier l'emplacement des invités -. Si elle ne poursuivait pas d'elle-même, il ne le ferait pas non plus malheureusement.

***

Un éternité semblait s'être écoulée. Bien des fois, le créateur de mode s'en était plaint à voix basse auprès de sa partenaire. Le pire, sûrement, devait être l'idée d'attendre sans ne pouvoir rien faire tout en étant conscient que quelque chose se tramait derrière soi. Gabriel avait beau eu réfléchir, il ne voyait pas trop comment faire avancer une enquête si aucun d'eux ne pouvaient se déplacer dans l'espace. Ils avaient patienté, longuement, et finalement, alors que l'heure sonnait, on invita la future mariée à aller se coucher. À défaut des autres... étrangement.

"Vous ne pouvez pas rester plus longtemps ? Demanda-t-il à l'intention de celle-ci, sachant pourtant qu'elle n'avait pas tant son mot à dire.

- Voyons, elle doit se préparer pour demain, c'est un grand jour. Assurait celui qui l'accompagnait. Elle doit être en forme."

La raison était ridiculement abordée, comme une évidence de la part de tout le monde sauf de celle de Gabriel, mais comment pouvait-il s'y opposer en tant que... En tant que quoi d'ailleurs ? Il ne devait pas être quelqu'un de spécial parmi les invités. Il ne pouvait qu'acquiescer, résolu, le regard déviant, qu'il en soit ainsi. Amalthea lui souhaita au revoir, il en fit de même.

"Très bien. Nous nous verrons demain. Bonne nuit à vous aussi."

Et leur chemin se séparèrent à nouveau. Si elle demeurait dans sa chambre, seule, alors c'était au styliste - se disait-il - d'user de ses jambes pour visiter les locaux et peut-être trouver des indices. Bien vite, il s'éloigna, quitta la salle de réception pour s'engager à l'extérieur. Instinct de survie ou simple prise d'une bouffée d'air, la foule l'oppressait. Il se sentait observé et n'osait poser son regard où il le souhaitait. Par ailleurs, étant de l'extérieur qu'il était arrivé, par la forêt, il s'attachait à retrouver les traces de son passage et peut-être repérer le chemin qu'ils avaient empruntés plus tôt ? Non, il n'en savait rien. Qui sait, le spectre réapparaitrait-il peut-être à vouloir l'empêcher de déjouer ses plans. Dans la pénombre, au loin, les préparations au mariage commençaient déjà. Tout allait se dérouler ici et visiblement, une part se jouait dehors. Gabriel observait les détails qu'il pouvait jusqu'à ce que certains lui sautent aux yeux, comme faisant tâche au tableau : certaines personnes vêtues de longues capes, équipés chacun d'une pelle et d'une bougie, s'en allaient vers un endroit précis que le styliste souhaitait découvrir, piqué de curiosité. Pour une fois seul, il s'engageait à rejoindre le petit groupe au loin lorsqu'on l'arrêta.

"Vous allez bien ?"

Un homme, il ne reconnaissait pas son visage, savait pourtant l'avoir déjà croisé, s'interposa entre lui et visiblement ce que tout le monde semblait cacher ici.

"Qu'est-ce qu'il se pa-

- Vous savez que nous préparons le mariage, ne faites pas l'ignorant.
Qu'il semblait léger d'attitude mais lourd de propos, comme l'avertissement sonnant à la syllabe près. Vous, vous devez profiter de la fête et patienter jusqu'à demain.

- Mais-

- Je vous en prie. Coupait-il à nouveau. Allez dans votre chambre, je pense que vous avez besoin de repos.

- Que se passe-t-il là-bas ? Que cachez-vous ?!"

Évidemment, ses deux mètres de haut jouaient sur son assurance mais ne semblait agir directement sur celui qui lui faisait face avec une autorité similaire. Une dame les rejoignit vite, appuyant la position de son présumé mari et invita Gabriel à l'accompagner jusqu'à sa chambre. Ce n'était ni une proposition, ni une question. Le styliste comprenait qu'il n'irait pas plus loin que ça et tourna les talons en accélérant le pas. D'une main levée, il interdit quiconque de le suivre, prétextant qu'il savait très bien où aller et qu'il n'avait pas besoin d'aide. Néanmoins, en arrivant dans son couloir, il réalisa être suivi à pas rapide par la jeune femme, elle-même. On avait du lui dire de suivre Gabriel malgré tout, pour être sur que celui-ci se rende bien là où il le devait. Il était exact que si personne ne l'avait suivi, le styliste se serait bien permis de se rendre du côté d'Amalthea. Maintenant, il était trop tard et il dut s'arrêter à sa porte comme si elle avait été sa destination initiale.

"Comprenez, avait repris la dame avec tout le respect qu'elle pouvait avoir pour lui, que chaque rouage doit rester à sa place. C'est essentiel."

Non, il ne comprenait pas, évidemment. Son regard criait à l'incompréhension mais ça, elle ne le lut pas.

"Reposez-vous, Monsieur. Vous en avez besoin."

La porte se referma derrière lui et ce n'était même pas lui qu'il l'avait close. Quant à son sommeil, on ne pouvait pas dire qu'il avait été réparateur. Gabriel avait fait un rêve - ceux qui sonnent plutôt comme des cauchemars - l'agitant durant une bonne partie de la nuit. Toujours coincé au manoir, le chaos s'en apparaît sous des combats et du sang. La dame de tout à l'heure était apparue dans son rêve, agonisante. D'autres aussi n'échappaient pas à une violence de source inconnue mais sanglante. Dans ce rêve, le styliste ne cessait de tourner autour de lui pour comprendre la cause de tout ça, il cherchait un point sur lequel se concentrait, mais tout ce qu'il entendait était la terre battue, creusée à coup de pelles, les cris des invités qui croulaient au sol un à un. Il sentait... l'odeur d'humidité mêlée au sang. Rien n'était clair dans ce décor chaotique, impossible d'en comprendre le sens mais Gabriel restait néanmoins sûr d'une chose, cette partie du rêve dont on se souvenait en général le mieux : la fin. De l'extérieur, il avait pu voir le manoir brûler, incendié. Une femme chuchota près de lui (l'était-elle ?) :

"Enrayez le cycle ! Après le mariage..."

En sueur, il se réveilla d'un bond.

***

Pourquoi les choses se seraient-elles plus éclaircies suite à cela ? Gabriel Agreste n'était pas en position de comprendre quoique ce soit de tout ça. À vrai dire : il ne le voulait pas. Enrayer le cycle ? Le cycle...

Il n'avait pas changé grand chose à sa tenue, il était resté sobre pour l'événement, se demandait surtout en quel état il serait à la fin. Tout semblait se dérouler comme prévu pour tout le monde mais ça ne signifiait pas que c'était bon signe. Pourtant, la voix semblait avoir été claire : Après le mariage. Une action devait se faire après, jusqu'ici leur rôle n'était que de se fondre dans la masse comme de vagues imposteurs qui sauraient bondir au bon moment. Difficile à croire, toujours difficile à comprendre. Gabriel n'appréciait pas la tournure que ça prenait, mais ça ne l'avait pas empêché, visiblement, de rejoindre les rangs à l'attente de la mariée. Pensif à souhait, non, il n'avait pas été de ceux qui recherchaient désespérément l'apparition de la robe blanche et de sa traine, de la couronne de fleurs et des ornements. Cependant, lorsque tout ceci apparut, porté par une femme qu'il connaissait de mieux en mieux désormais, il redressa le regard à son tour qu'il posa immédiatement sur elle. Oui, tout la laissait croire radieuse, de la tête aux pieds. Seul le sourire, pourtant, refusait de coopérer et peignait de tristesse la descente du chemin qu'elle parcourait lentement. Bon sang, songeait Gabriel lorsque les iris bleutés de la jeune fille croisèrent les siens. Quelle malédiction. Elle ne méritait pas cela, ce n'était pas un rôle qu'on pouvait donner à n'importe qui. Comment savoir ce qui allait arriver ensuite ? Car après tout, pourquoi la mariée qui les avait amené ici était-elle morte ? Il doutait que ça soit un suicide. Non, la tuerie de son rêve en disait déjà beaucoup trop.

Oui, le styliste serrait la mâchoire en silence sous les émerveillements du reste. Il ne pouvait pas parler et savait que la défunte leur avait dit de laisser faire jusqu'à ce que leur tour d'agir vienne. Ainsi se contenta-t-il par le regard de faire entendre à Amalthea qu'elle n'était pas seule et qu'il s'en sortirait très bientôt - que ce n'était qu'une question de temps et que rien de tout ceci n'était réel. Très vite, tout reprendrait son court, ce n'est qu'une vague aventure parmi tant d'autres. Ils rentreraient chez eux.

Le temps ne s'était pas arrêté durant ces instants d'espoir. La jeune mariée avançait vers le marié. Ensemble échangèrent-ils des vœux. Gabriel décala un regard impuissant face à ce qui se profilait et finalement, alors que la foule applaudissait, il revint se concentrer sur la scène - conclue - en acquiesçant d'un signe de tête - attristé mais assuré - que c'était terminé. Peu à peu, les familles se rassemblèrent, les liens se renouèrent, le styliste restait à l'écart dans l'attente de pouvoir rejoindre la proclamée mariée. Cependant, éloigné par son mari et d'autres dames de la cour - à sembler - il ne put faire grand chose d'autre que de se mêler à une ambiance étrange. Il discutait sans vraiment être présent, se faisait rappeler à l'ordre à plusieurs reprises en demandant si tout allait bien. Gabriel acquiesçait à chaque fois et se taisait par la suite. Le mariage avait eu lieu à l'extérieur mais bien vite certains se retrouvaient à l'intérieur pour danser. Beaucoup discutaient malgré la musique mais ça agaçait le styliste à qui on haussait la voix pour se faire entendre. Il hochait, dans ces cas-là, tout simplement la tête d'un sourire. Son souhait aurait été de s'isoler dans sa chambre s'il avait pu jusqu'à ce que leur tour vienne, mais ne sachant où se trouvait exactement Amalthea et s'inquiétant de la suite, il ne bougea pas. Finalement, c'était elle qu'il croisa délaissé de l'homme qui l'avait épousé mais accompagnée d'autres jeunes femmes enjouées. Elles lui faisaient la discussion, si bien qu'on aurait dit de loin un groupe d'amies d'antan. Si le créateur de mode ne se permit pas de s'approcher, il demanda néanmoins dans son silence si tout allait bien.

Au bout d'une à deux heures peut-être, Gabriel avait pu rejoindre la jeune femme (toujours accompagnée, personne ne laissait la mariée en paix) en prétextant souhaiter la féliciter pour cette cérémonie merveilleuse. Pendant un temps, encore, ils avaient pu former une discussion superficielle et sans intérêt jusqu'à ce que le styliste s'excuse de vouloir prendre un peu l'air. Son regard spécifiait à sa partenaire de l'y rejoindre dès que possible. Dès lors...

"Est-ce que ça va ? Il demanda avec sérieux et, forcément, un peu d'inquiétude. Je suis désolé que vous ayez eu à faire ça. Dites-vous simplement que ce n'était pas réel et que d'ici peu, tout rentrera dans l'ordre. Et réalisant ce qu'il avait vu cette nuit, il se renferma. J'ose espérer."

Impossible qu'il ait été le seul à subir le cauchemar du manoir incendié. Pour être deux dans cette histoire, elle avait du avoir été témoin du même.

"Vous l'avez fait, vous aussi n'est-ce pas ? Ce rêve ?"

Ils avaient discuté, c'est vrai, mais seuls - à deux - il restait couru d'avance que les choses ne pourraient durer. Rattrapés par les invités, par les coutumes de l'époque surtout et les jugements, on les invita à reprendre leurs activités. Séparément. Mais évidemment, ce ne fut pas dit comme cela.

La nuit se dessine, l'obscurité prend place mais personne ne semble s'empresser chercher la lumière à l'intérieur du manoir. Ils aimaient tant rester dehors que les bals se déroulaient désormais aussi dans le jardin. Gabriel, de loin, ne voyait que l'habitat qui se préparerait bientôt à brûler. Son esprit divaguait justement dans ces pensées sombres lorsqu'une horloge sonna fortement. Ils étaient loin - mais tout le monde l'avait entendu et s'était arrêté en circonstances. Comme figés sur place, même l'homme d'affaires arrêta de respirer un instant sous la pression de la situation. À ce moment-là, Amalthea n'était pas très loin de lui, lorsque la mère du mari s'avança près d'elle et lui prit les mains, le sourire mielleux.

"Ma chère... Avait-elle gentiment commencé. Que diriez-vous de faire un jeu ?"

Était-ce le moment ? Pris de méfiance, le verre encore en main alors qu'il l'avait approché de ses lèvres pour boire, tout son corps se contracta, ses poings se serrèrent, à l'affut de tout.
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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dey9

-Tu ne devrais pas...ce n'est pas convenable.
- ...
-Majesté...
-Laisse moi... il n'y a qu'ici que je puisse avoir ce que je désire.

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-06-05, 21:48

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite





Nous pourrions - enfin, vous pourriez, très bien vous opposer à votre propre mariage et refuser sa proposition. Rien ne devrait nous inciter à subir ce qu'il se passe ici. La mariée finira bien par se montrer d'elle-même... Ses mots avaient trotter un moment dans son esprit. Dire non.. ne pas consentir à cette union ! Etre libre de choisir sa destiné mais parfois le destin, ce n'était pas cela. S'était se sacrifier pour avancer dans un avenir proche. Etre en mesure d'assurer les choses. Mais cela l'avait apaiser quelques instant qu'il avait employer le mot nous, cela montrait qu'ils pouvaient être une équipe. Pour l'heure, Amalthea devait en apprendre plus la dessus. Et de ce fait, faire croire qu'elle allait se marier était peut être la meilleure des options. La mariée allait apparaître en tant et en heure, Amalthea le savait, les choses ne venait pas anodinement, elle venait à des moments précis. Elle était consciente qu'elle jouait au marionnette. Pour ce qui était du contrôle effectivement Amalthea n'aimait pas être contrôler, s'était normal, quand on était un immortel tel que elle. Les licornes n'étaient pas destiné à être domestiqué de toute évidence, elles avaient besoin d'être libre de faire ce qui leur plaisaient. Mais dans ce cas là, mieux valait jouer subtilement. Les mariages pour Amalthea ? Ce n'était peut-être pas fait pour elle, une fois elle avait songée à vivre avec une personnes jadis. Même à renoncer à son immortalité pour lui et mourir avec lui sauf que elle avait une quête à accomplir. Renonçant donc à cet avenir incertain. La licorne allait donc suivre le plan initial, mais pour l'heure prise d'un sentiment de nostalgie elle s'était confier à Gabriel à propos du tableau. Mh ? Elle ne porta pas son regard sur lui devant rester immobile mais sa voix douce était tourner vers Gabriel. Cette jeune fille sur ce tableau, j'en ai rencontrer une similaire... autrefois, elle est venu dans ma foret, Ce qui me trouble c'est qu'elle ai demander à être peins avec une licorne or, il n'y avait personne quand j'étais en sa présence. Je suis cette licorne... mais ce n'est pas moi. Non en effet ce n'était pas elle, jamais elle n'aurait poser sur un tableau, cette jeune fille avait sans doute demander une peinture avec elle dessus. Amalthea pouvait bien comprendre que ce n'était jamais évident de comprendre ce qu'elle pouvait en dire, elle était une licorne. Le Styliste pouvait se faire une idée sur les licorne celle des contes de petite fille ou elle était belle et docile, douce. Alors qu'elle.... et bien elle n'était pas que douce...non bien au contraire. Elle était une battante, elle avait apprit à aimer... à regretter et maintenant la colère s'installait en elle. Chose qu'il n'était pas possible de faire avant. Elle n'était plus comme les autres.

Une fois que la peinture était en train de sécher, elle s'était de nouveau retrouver avec Gabriel, elle ne voulait pas réellement être éloigné de ce dernier ne sachant pas réellement ce qui allait la poursuivre par la suite. Le styliste lui avait fait part de son profond ennui au vu de l'éternité qui s'étai écoulé. En sois la licorne n'avait pas pu se retenir de rire légèrement. Ma fois oui, s'était une toile qui était peinte, ce n'est pas comme notre.. enfin votre époque ou s'est une photographie... fait avec un appareil photo. Elle savait les mots qu'on pouvait employer à cette époque, elle avait apprit en retrouvant sa mémoire, cela dit, elle n'avait rien de telle chez elle. Pas même un téléphone portable mais elle avait bientôt l'électricité ce qui était peut-être une grande avancé chez la licorne. Chaque mouvement était au préalable calculer pour la licorne, elle sentait des regards sur elle, donc elle ne pouvait pas faire grand chose, en revanche, elle pouvait observer, ce qu'il pouvait y avoir d'intéressant pour se défendre. Elle avait repéré des épée sur le mur accrocher en guise de trophée cela pouvait faire l'affaire. Quand l'ont vient pour l'emmener ce coucher. Vous ne pouvez pas rester plus longtemps ? Elle aurait sincèrement aimer rester plus longtemps à conversé avec le styliste. Elle ouvrit la bouche, mais elle n'avait pas son mot à dire dans cette histoire se plier au ordre était la meilleur chose à faire pour le moment. Voyons, elle doit se préparer pour demain, c'est un grand jour. Elle se retenait de lever les yeux au ciel. Elle n'avait pas besoin d'être en forme elle allait bien et aucune fatigue n'était à déplorer. Elle reporta son attention sur Gabriel pour lui souhaité une agréable nuit. Ce dernier lui avait répondu Très bien. Nous nous verrons demain. Bonne nuit à vous aussi. Elle comptait bien le revoir le lendemain et personne n'allait l'en empêcher. Elle avait donc suivi docilement la personne en charge de l'escorter jusqu'à sa chambre. Puis toute cette histoire était là... la mariée... le cycle qu'ils devaient enrailler. La mauvaise nuit passé. Son mariage... ou son mariage avec une personne qu'elle n'avait pas choisi. En passant elle avait au préalable préparer de quoi ce défendre, elle ne pouvait pas s'opposer elle même à cette union, elle devait donc faire face à ce choix. Son coeur s'était refermer il y a quelques années déjà mais elle ne savait pas s'il allait battre de nouveau mais surtout pas pour lui. Henry avait l'air bien mais il cachait quelques chose derrière son regard emmouracher. Dans cette robe, elle était belle. Elle avait même le regard des autres braqué sur elle. S'était censé être un beau jour pour la personne pourtant le cœur n'y était pas, elle devait calmer ses ardeur, tout son être criait de partir... ou de faire surgir cette colère sourde qui grondait en elle. Gabriel avait croiser son regard, l'espace d'un instant sa colère s'était volatiliser. Elle n'était pas seule, il était là LUI. La partie n'était pas terminé. Amalthea se concentra sur la cérémonie qui devait-être mener, en bon leader qu'elle était, cette dernière garda la tête haute.

Echangèrent leur anneaux, bien que la bague soit magnifique cela ne l'avait pas combler. Henry dévoila ainsi la mariée et déposa ses lèvres sur les siennes. Elle ne ressentait rien... Rien... Elle avait bien un petit couteau caché.. mais, elle ne pouvait pas le tuer ainsi. Il ne lui avait rien fait. Le mariage devait avoir lieu et ce n'est qu'après qu'elle allai devoir stopper tout cela. Elle sourit faussement, la seul personne qui avait droit à son regard s'était le styliste. Le mariage avait été célébré. S'étaient maintenant à eux d'arrêter tout cela. S'était l'heure de retourner à la fête. Elle n'avait pas eu le moindre temps à elle trop de personne sollicitait son attention pour la félicité. Elle savait que toute ses personnes lui mentait, elle était une licorne pas une vulgaire marionnette. Elle s'était donc retrouver accaparer par tout ses humains. Niveau sociabilité elle était au sommet. Deux heures plus tard, enfin le chevalier était arrivé.Est-ce que ça va ? Il Elle aurait voulu répondre sur un ton ironique mais ce n'était guère le moment, elle voyait qu'il était serieux aussi bien elle avait jouer la franchise. Physiquement oui ça va... moralement en revanche... Je ne pense pas. Je suis désolé que vous ayez eu à faire ça. Dites-vous simplement que ce n'était pas réel et que d'ici peu, tout rentrera dans l'ordre. Oh non... Gabriel.. Ne vous excusez pas, vous n'y êtes pour rien, ca devait se passer rien de plus, pas réel ? J'aimerais bien pourtant ses choses sont arrivé. Le fait d'avoir embrasser Henry l'avait révulsé, il avait bien l'apparence de Lyrr... mais il n'était pas lui. Elle avait passé ce cape là dans sa vie, le fait qu'il était mort et ne reviendrait pas. Elle avait laisser tout ça ce coté. Pour se tourner vers l'avenir. Elle ne ressentait rien pour son "mari", encore moins quand il cachait quelques choses de mauvais. Cet homme que je dois appeler époux, a poser ses lèvres sur les miennes alors qu'il n'en était pas digne et ça... j'ai beau me dire que ça n'est pas réelle et que ce n'est pas moi c'est arrivé. Un léger frisson l'avait parcouru tout allait rentrer dans l'ordre. Ne vous en faites pas... je veillerais à ce que tout rentre dans l'ordre et que vous rentiez chez vous saint et sauf.

Vous l'avez fait, vous aussi n'est-ce pas ? Ce rêve ? Amalthea repensa à se rêve et hocha la tête. Celui ou tout brulait ? Que le sang coulait ? Et des cris était en train de se faire entendre ? Oui nous avons fait le même rêve et... Ca devra se dérouler. mais avant ça... Je sais que dans la maison non loin de la porte, j'ai poser des épées, j'espère pour vous que vous avez manier une épée, c'est les seuls arme que j'ai trouver à disposition. Elle lui sourit légèrement, elle voyait une nouvelle facette de Agreste et cela ne lui déplaisait pas. Ne vous renfermer pas sur vous... Je...je suis là. Hésitante au début. Puis-je ? elle posa sa main sur son bras pour le montrer qu'elle était présente.

Sauf que... les bonnes choses avait une fin, les coutumes d'autrefois étaient toujours de mise et elle avait du s'éloigner de lui, pour ne pas faire d'infidélité à son époux qui par ailleurs n'avait pas l'air enclin à être avec elle. Vu qu'il était en train de jeter son dévolu sur une autre. Les humains étaient réellement étrange. Elle porta un dernier regard sur Gabriel et hocha la tête doucement. Pas tout suite pas maintenant mais ils allaient se retrouver. La soirée continua ainsi quand les vingt-une heures sonna. Ce qui n'annonçait rien de bon. La mère apparu... devant Amalthea. Ma chère... avait-elle gentiment dit. Que diriez-vous de faire un jeu ? Un jeu ? Amalthea chercha du regard Gabriel, ce n'était pas bon cela. Elle fronça les sourcils. Elle avait une tête à jouer ? Comme avec ce crâne complètement sous qui devait indiqué le chemin à suivre pour trouver les autres licornes. Elle prit une inspiration. Ma fois oui pourquoi pas. Elle avait senti les regard pesant sur elle. Avec une lueur malsaine dans leur yeux. Comme quand on convoitait quelques choses en guise de trophée. Elle le connaissait que trop bien. Et s'était mauvais signe pour elle. Elle n'avait même pas le choix de décliner l'offre que s'était un oui d'office. Ils voulaient la tuer. Elle avait eu raison de se mefier s'était donc eux.. qui avait délibérément assassiné cette mariée fantôme. En d'autre terme, elle allait mourir si elle ne faisait rien. Ils avaient des cape noirs.. comme un rituel ancestral avec des masques de loup. Amalthea allait donc jouer cette brebis égaré qu'on sacrifiait au dieu ? Tous avait l'air armée jusqu'au dent si on puis dire même... Henry... Son "précieux" Henry. Il n'avait de précieux seulement son nom. S'approchant d'elle après que ses parents lui laissèrent la place pour converser. Nous avons une vieille tradition dans la famille, qui remonte au temps de la Renaissance. Lorsque l'héritier est en âge de se marier, il choisit une brebis comme première épouse. Une femme douce, jolie, aimante, de famille pauvre et de préférence, sans famille. Il se marie, comme nous venons de le faire ce soir et une petite... sauterie est alors organisée. Un "Jeu", comme nous l'aimons l'appeler. Cela permet à la famille de vivre éternellement, de grandir et de s'épanouir, de se purifier aussi. Un rite très important donc... avant son véritable mariage. La brebis du sacrifice...
Elle écoutait ce qu'il avait à dire. Sauf qu'Amalthea était tout sauf douce. Elle avait tuer des dragons, mit à pied un roi... tuer un griffon. Ce n'était pas une vulgaire famille qui allait avoir sa peau. Ce n'était que des humains. Elle sentit son sourire malsain à travers son masque. Mhh... L'inconvénient voyez vous c'est que je suis tout sauf douce... aimante ? Ca reste à voir... Mais nous ne sommes pas des monstres très chère, vous êtes en infériorité numérique, nous avons donc un cadeau pour vous... Le jeu a commencé au neuvième coup de l'horloge cette nuit. Il se terminera au sixième coup de l'horloge demain matin. Cachez-vous. Si personne ne vous trouve, alors vous pourrez vivre. Mais si on vous trouve... Laissez moi en doutez sincèrement... Infériorité numérique ? certes... mais vous oublié une chose, je ne suis pas cette brebis... Oh non... elle pouvait être le loup qui allait agité le troupeau. Elle porta son regard sur Gabriel discrètement. Faisant un non de la tête pour ne pas intervenir maintenant, elle ne voulait pas qu'il meurt en voulant lui porter secours. La mariée fantomatique était présente avait un regard bien triste. Elle les entendirent commencer à compter. Elle allait chercher cette épée et tous les empaler. Une colère était en train de naître en elle depuis qu'elle s'était faites manipuler et la encore ils essayaient de le faire. Non personne ne l'a manipulait. Elle allait leur faire payer cette affront. Surtout le jour d'un mariage ! Elle se mit à courir pour trouver ou se cacher. Elle n'avait que très peu de temps. Jusqu'à six heures du matin. La mariée n'avait pas survécu. S'était donc à elle de la venger et de survivre, il était hors de question qu'elle meurs. Pas maintenant ! Arriver près de l'épée elle l'a prit et déchira ce dont elle n'avait plus besoin, la robe allait la ralentir, elle n'était pas faite pour être élégante sa tenu lui importait peu. Elle restait en sous-vêtement pour plus de mouvement. Enrayez le cycle... Très bien... Elle rentra dans la demeure pour trouver ou se cacher. Elle aurait bien fait voler son corset mais elle n'avait pas le temps de dénouer les liens qui enserrait sa poitrine. Ici elle n'avait pas ses pouvoirs, elle devait donc compter que sur ses capacités physique, heureusement qu'elle savait se défendre avec une épée ou une arme même un chandelier pouvait faire l'affaire. Elle s'était donc caché à l'étage de la demeure, respirant rapidement. Elle ferma les yeux, elle devait rester calme pour parvenir à ses fins pourtant cette colère était toujours présente en elle. Elle se trouvait dans une pièce assez éloigné, elle entendait tout le vacarme en bas... Tous voulait la tuer. Les licornes étaient réputé pour leur discrétion et le fait qu'elle n'avait pas de présence pour cette raison qu'au cours du temps personne n'avait réussi à les retrouver. Elle allait devoir frapper avant que l'ont ne la frappe. Dans qu'elle merde, elle avait pu se fourrer sérieux ?

Quand elle entendit la porte qui s'ouvrait, Les lumières des bougies étaient faiblement éclairer juste ce qu'il fallait pour frapper. Il s'était avancé et l'avait vu, il allait la tuer, sans réellement à attendre sa lame était déjà arrivé sur cette homme. Vole comme le papillon et pique comme la guêpe. Le corps s'était effondrer, Une personne en moins avait-elle murmurer. Elle devait changer de pièce pendant toute l'agitation elle sorti et alla dans une autre pièce. Ses cheveux blanc était attaché de manière à ne pas la gêner. Son épée était taché de sang. Elle n'avait pas peur de ôter la vie, elle l'avait déjà fait par le passé, mais la s'était soit... elle soit eux. Le choix était vite fait. Un nouveau bruit avait retentit, elle allait frapper avec le chandelier quand elle reconnu la stature de Gabriel. Elle pouvait le reconnaître entre tous même avec un masque.
Gabriel fait un mouvement de recul avec le chandelier même si elle s’est retenue.
Vous êtes là, je pensais qu- et voit le corps à terre, surpris. Il est... ? Elle va lui sourit légèrement malgré l'immense colère qui règne en elle. Elle est heureuse que ce soit lui et murmurer dehors il n'y a rien pour me cacher c'est ici qu'il faut être pas dehors.. et oui.. il est mort.. regardant le corps avec dédain je n'ai pas eu le choix Gabriel grimaça avec la respiration saccadé, Amalthea en avait déduit qu'il avait couru pour arrivé jusqu'à elle. Très bien, passons, il n’y a pas de temps à perdre. La plupart des invités ici savent que vous êtes ici comme il n’y a pas d’échappatoire ailleurs. Redressant par ailleurs le chandelier qu'elle avait en main, il n'avait pas oublié leur première rencontre ou elle lui était tomber dessus et lui avait bruler la joue. Elle hocha la tête, elle n'avait pas eu vraiment le choix de toute manière. Effectivement je n'ai guère le choix d'être là, vu que dehors il y a des chiens.. Elle avait remarquer qu'il y avait eu des personnes qui montait la garde avec ses chiens, dresser pour attaquer l'animal ou la personne en question. Puis, lui souriant légèrement. Promis je ne vous assommerais pas... ni vous brulerais Elle lui avait fait une promesse de toute façon de faire attention. Gabriel fait une moue en se rappelant sans doute du chandelier du manoir. Il décale le regard. Je ne m’attends pas à ce que vous fassiez deux fois la même erreur. Elle se retient de sourire à cette anecdotes. Je ne vois pas cela comme une erreur, juste une manière d'avoir de l'attention si je renouvelle l'évènement Quant à nous, nous savons ce que nous devons faire. Pour répondre à sa dernière phrase sur leur mission à accomplir, elle hocha la tête une nouvelle fois. oui qui est de bruler ce qu'il y a ici... ainsi que ce qui vivent la... Récupérant son épée au passage Gabriel fit de même Parfait. Mettons-nous y vite avant qu’ils ne vous retrouvent... Tout ce qui se trouve ici est facilement inflammable, ça ne devrait pas être difficile. Elle lui fait signe d'y aller je vous en prie très cher, Effectivement, il y a tellement de toile ou de rideau ancien... ça ne sera pas bien compliqué mais s'il parvienne... a... me tuer.. sachez que je vous apprécie, je veux dire.. que cette aventure m'a permise de voir un autre Gabriel Ce n'était guère souvent qu'elle faisait des compliments mais elle se disait que s'était le moment ou jamais, elle le trouvait vraiment de bonne compagnie au final. Elle avait apprit à l'apprécier. Gaby la fixe un instant, perplexe. Amalthea, ils ne vous tueront pas. Nous sommes ici justement pour arrêter cette tradition déplacée. Si vous mourrez, alors nous échouons tous les deux à notre mission. il fronce un regard déterminé. Il est donc hors de question que vous mourriez. S'était peut-être l'une des choses les plus étrange qu'on lui ait dit mais qui lui faisait du bien de l'entendre. Elle ne devait pas mourir, ça sonnait peut-être égoïstement d'un certains point de vu mais elle trouvait ça comme une façon de dire qu'il ne voulait pas qu'elle meurt non plus. Il n'était pas foncièrement mauvais.
Elle hocha la tête Je ne compte pas échouer. Et je me bâterais jusqu'au bout, merci Gabriel

Ils se devaient donc de mettre le feu à cette demeure et être le plus loin possible après. Après avoir tout flamber, j'ai vu qu'on pouvait prendre les chevaux qu'il y a à l'extérieur pour être le plus loin possible de la demeure. Bien sur rien n'était facile... Puis que l'époux d'Amalthea se trouvait là avec un sourire sadique, elle l'avait vu au dernier moment quand elle avait pousser Gabriel pour qu'il ne se prenne pas le coup d'épée de Henry mais, cela lui fut l'effet d'une morsure au bras gauche la lame lui entailla la peau. Elle serra les dents, ce n'était pas bien grave, ce n'était pas son bras pour se défendre mais ça faisait mal.

Sale Traître ! Tu t'acoquine avec ma femme ! Tu vas mourir aussi...


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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dl9z

- Qu'est-ce que tu sais exactement ?
- Que tu as échoué.


◘◘◘

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel A4g2

Heroes make mistakes too...


| Conte : ♦ Miraculous Ladybug ♦
| Dans le monde des contes, je suis : : Gabriel Agreste alias le Papillon

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel 210427035215479840

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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-06-18, 19:48




Wedding cuite
Gabriel & Amalthea
Deep into that darkness peering, long I stood there, wondering, fearing, doubting, dreaming dreams no mortal ever dared to dream before.




La nuit n'était pas encore passée lorsqu'Amalthea se confia sur le tableau perçut plus tôt accroché sur un des murs du couloir les menant à leur chambre respective. Elle avait, pour ainsi dire, bien choisi son moment pour partager à son partenaire la créature qu'autrefois elle représentait au yeux du monde. Qui elle était. Gabriel ne s'était jamais posé la question avant qu'on ne lui mette le fait devant les yeux, et encore à l'instant où elle le lui avoua, il hésita à bien comprendre. Évidemment, pour la jeune femme, la licorne qu'elle avait été et que pour elle, elle reste en partie, était à l'image du majestueux et du puissant. Pour le styliste, cependant, il ne connaissait de cet animal que les contes pour enfants qu'on en faisait. Rien de très glorieux, donc, qui montait à son esprit lorsque l'image du tableau refaisait surface dans sa mémoire. Tournant un regard surpris vers Amalthea, il cherchait tout d'abord une ressemblance qui n'avait pas raison d'être physiquement. Il la jaugea, chercha dans son regard si c'était une blague ou non - au cas où. Et finalement, comprenant, il se mit à réfléchir plus sérieusement sur la confession. Finalement, il y avait-il tant de surprenant avec ce que lui avait montré jusqu'ici la jeune femme ?

"Mh... Il songea un instant. Oui, cela pourrait se tenir."

Sans un mot de plus, il retrouva sa position initiale pour faire face au peintre qui, sûrement, aurait manifesté sa difficulté à croquer les bases si tout le monde venait à bouger. Le jugement que Gabriel avait laissé en suspend sans véritablement sans rendre compte n'était pas péjoratif, par contre l'ignorant ne redoutait pas avoir une image aussi faussée des licornes en général, songeant simplement que la vie de sa partenaire était à l'opposée de la sienne - il la pensait beaucoup plus calme et paisible. Évidemment était-il dans le faux mais campé sur ses positions, il n'avait pas cherché à aller plus loin. La peinture se terminait peu à peu - au pire l'artiste saurait il faire ses retouches de son côté - et enfin Gabriel s'extirpait de la masse pour s'éloigner avec agacement.

"Ce n'est pas comme notre... enfin votre époque où c'est une photographie... fait avec un appareil photo.

-Votre ? Il réalisa. Vous ne venez pas de cette époque, certes, mais j'ose supposer qu'après six années passées à Storybrooke, vous avez pu vous familiariser avec tout ça, non ?"

La discussion avait été courte - il était l'heure, pour la jeune femme particulièrement, d'aller se reposer dans sa chambre avant l'événement de demain. Gabriel était étonné qu'on ne lui laisse pas au moins ce libre-arbitre et soupçonnait même que le mari ait décidé son isolement sur un coup de tête, par jalousie de les voir proches et toujours ensemble. Évidemment, personne ne savait qu'ils n'étaient pas de ce monde et qu'ils n'avaient rien à faire ici. Quelle situation grotesque. Étrange, même.
Et si... sombre.

***

La nuit avait passé plus ou moins rapidement lorsqu'on savait la quantité d'informations que celle-ci apporta à Gabriel et Amalthea. Tout devait se passer comme dans leurs rêves (ou cauchemars ?), ainsi l'avait demandé le spectre : Enrayez le cycle. Le styliste avait eu du mal à y croire, aurait-il préféré encore que la licorne ne se marie pas du tout et qu'ils n'aient pas été amenés là-dedans pour jouer les pseudos héros. Lâche sans vraiment l'assumer, Gabriel aurait simplement préféré ne pas se mêler de ce qui ne le regardait initialement pas, mais dès lors que les bagues furent échangées, dès lors que l'horloge sonna ses coups, que la mère du mari s'approcha de la mariée pour lui proposer de jouer... Il comprit qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible, qu'ils allaient devoir jouer les victimes avant d'inverser les rôles dans cette ridicule partie dans laquelle, heureusement, Amalthea n'était pas seule, même si elle y jouait le pire rôle.

La fête était terminée, le jeu commençait avec force et provocation. Qui pouvait s'attendre à ce que la mariée en sache autant, prévoit là où elle s'engageait mais ne faiblissait pas à s'y opposer. Par son regard, on se demandait qui menaçait qui, qui serait l'agneau en fuite et qui serait le loup ? Le styliste, dont les battements du cœur commençaient à s'accélérer, fixait de loin la scène, tenté d'y participer sans savoir à quoi ils pourraient alors se confronter. Ce serait sortir du lot... Et prendre le risque de dévier le schéma qu'ils devaient suivre. Amalthea lui soutint de la tête de ne pas bouger de sa place et c'est les lèvres pincées qu'il exécuta la demande. Elle savait ce qu'elle faisait et il devait lui faire confiance. La seule chose qu'il pouvait faire, pour l'instant, c'était l'appuyer de loin et la soutenir. Il la rejoindrait sous peu.

La dame qui avait adressé la parole à Amalthea commençait à compter, suivi par la suite du reste des invités ainsi que du marié. Impossible de savoir jusqu'à combien ils prévoyaient d'attendre, quand est-ce qu'ils brandiraient leurs... Armes ? En avaient-ils seulement ? Tant confiants, assurés de leur jeu dont ils faisaient les règles, ils n'avaient pas prévu l'essentiel. Gabriel ne comptait pas comme les autres - il maintenait un silence déconcerté tout en suivant du regard sa partenaire. Elle s'éloignait jusqu'à l'intérieur du bâtiment, là où - sûrement - elle irait se cacher. Et comme une hallucination visuelle, une vision qu'il n'avait pas eu depuis la veille, le spectre qu'il avait rencontré à Storybrooke réapparu dans son champ de vision, dissimulant la silhouette d'Amalthea. Mariée défunte, perdante du jeu dans lequel ils étaient piégés maintenant, elle rappela au styliste d'une voix calme, fantomatique :

"Enrayez le cercle."


Il n'y avait plus aucun doute maintenant, sur la mission qui leur avait été confié. Moutons mais moutons noirs, le duo n'était pas les victimes qui se laisseraient tuer dans la partie. Gabriel était écœuré de ce qu'il voyait se faire autour de lui. En plus de ne pas compter, il fit mine de faire tomber son verre par terre pour que celui-ci se brise au contact du sol. Les regards, évidemment, n'avaient pas tarder à se redresser sur sa personne et c'est avec une attitude faussement embêtée qu'il récupérait les copeaux étalés à ses pieds. L'attention qui lui était portée, néanmoins, l'empêcha tout d'abord de les dissimuler dans sa poche. Il se contenta de les déposer sur la table mais contint un morceau sous sa manche. Le second, un peu plus tard, se coinça dans sa ceinture. Quelques secondes après, le coup d'envoi se lançait dans un calme incroyable :

"Allons-y."

Gabriel emboîtait le pas du reste du groupe, persuadé jouer alors sur la discrétion - se fondre dans la masse jusqu'à rejoindre Amalthea. Seulement, tout le monde ne suivit pas le mouvement. L'un des invités était venu lui chercher des problèmes, s'arrêtant face à lui et attirant l'attention d'un tiers des invités. Il le soupçonnait de se comporter étrangement et refusait de laisser passer le styliste pour ces simples soupçons - pour tout ce temps qu'il avait passé avec la mariée et les messes basses qu'ils avaient pu se faire. C'est toi qui lui a dit, avoue. Avait-il prononcé sèchement. Gabriel avait tenté de le contourner sans répondre mais sans pouvoir se frayer un chemin, il dut finir par utiliser la manière forte. Le copeau de verre qu'il gardait dans un coin de sa ceinture servirait alors bien plus vite que prévu : il l'attrapa pour poignarder dans le ventre l'homme qui lui faisait obstacle. Enfin, il passa à côté et traça sa route jusqu'à l'entrée du bâtiment. Maintenant, il n'y avait plus de temps à perdre. Amalthea lui avait expliqué que près de la porte se trouverait deux épées : une pour lui et l'autre pour elle. À son arrivée, il trouva la sienne et s'en empara sous les yeux du second groupe. Cependant, le styliste ne les attaquant pas, la plupart semblait penser à tord qu'il s'armait pour se défendre de la mariée et l'empêcher de fuir. Il ne leur avait pas plus laisser le temps d'y réfléchir que Gabriel s'élançait dans le couloir pour joindre le premier étage... Là où un de ses "alliés" venait aussi de s'engager peu à avant lui. Saurait-il utiliser son arme ? Évidemment.

Amalthea lui avait fait part de leur existence quelques heures plus tôt et même s'il avait laissé savoir à peu près se débrouiller en jeu d'épées, il constatait dans sa tête l'euphémisme de sa réponse. Oui, il savait utiliser ces armes car il savait se battre - en tant que Papillon, qu'ennemi des héros. Il avait déjà du combattre et il n'était plus débutant dans le domaine désormais. Était-ce de même pour elle ? Sûrement, si elle avait pris l'initiative de se défendre de cette manière. Maintenant, cela allait-il être suffisant face au nombre qu'ils étaient en face ? Plus le styliste avançait, plus il craignait qu'on ne l'ait trouvé avant lui et - n'entendant rien sur plusieurs mètres - le pire se faisait imaginer. C'est pourtant suite à cette pensée négative que des voix s'élevèrent dans une pièce entrouverte. Gabriel reconnaissait avoir vu l'homme qu'il avait suivi précédemment y entrer il y a un instant. Sachant - à supposer - que celui-ci ne parlait pas tout seul, il soupçonnait ce dernier d'avoir retrouvé la licorne qu'il cherchait. Il avança, vivement, vers la porte. La jeune femme était là, différente - car quelque peu dévêtue mais toujours plus que certains citoyens de l'époque contemporaine - mais en vie. Par contre, il était difficile d'en dire autant du corps étalé au sol. Elle l'avait tué et le confirmait, et comment le styliste pouvait la juger pour ça ? Ils n'étaient pas non plus des enfants de cœur... Et ce n'était pas l'heure des leçons de morale - le temps pressait.

"Les chevaux seront le moyen de transport le plus accessible et le plus efficace, nous ferons ça -"

Il ne put terminer sa phrase, Amalthea l'avait projeté sur le côté avant de le laisser finir. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre pourquoi lorsque redressant le regard, il remarqua le sang couler de son épaule, ainsi qu'une épée tendue dans sa direction par une présence qu'il n'avait vu venir plus tôt. Le mari était venu leur tenir compagnie et son regard en disait beaucoup sur ce qu'il éprouvait à l'instant.

"Sale Traître ! Tu t'acoquine avec ma femme ! Tu vas mourir aussi...

- Ce n'est pas votre femme." Lança sèchement Gabriel en brandissant à son tour la pointe de son arme blanche vers lui.

La tension sortait de nulle part et pourtant, de la part du mari, elle était toute justifiée. Découvrir sa femme aidée et soutenue par un autre sans que cela n'ait été prévu dans leurs puériles et sadiques manigances, comment l'Homme ne pouvait-il pas se sentir trahi ? Des deux mariés, alors, se demandait-il qui avait été l'idiot et le manipulé ? Gabriel sentait bien qu'il ne sortirait pas d'ici sans avoir croisé le fer... Le marié avait lancé la première attaque de toute sa rage et le styliste l'arrêta de son côté d'une arme penchée fermement à l'horizontal. Il peinait, cependant, à écarter l'adversaire qui appuyait avec force un coup retenu.

"A-Amalthea, commencez sans moi. Je me charge de lui.

- Je... Ne savait quoi dire la concernée, bras porté à son bras dont coulait déjà le sang de sa blessure. Gabriel je ne vais pas vous laisser... Si..."

S'il ne revenait pas indemne du combat ? Il n'y avait pas raison à ce que cela arrive. Le styliste se savait avoir un bon instinct de survie en plus d'espérer pouvoir déséquilibrer l'ennemi sous sa colère incontrôlée. Ce qu'il ne souhaitait pas, cependant, c'est qu'Amalthea soit victime d'un coup qui ne lui revenait pas. Leur plan devait être poursuivi malgré les obstacles.

"Ça ira ! Son épée vrilla sur le côté pour faire glisser celle du mari avant que celui-ci ne soit éjecté par le poids ajouté de Gabriel. Il contre-attaqua alors mais, de même, on lui para le coup. Allez-y, je vous rejoins dès que possible. Faites vite !"

Il pressait pour ne pas la laisser en proie à des réflexions, mais elle hésitait toujours.

"Promettez moi de rester en vie et de venir. Avant de finalement hocher la tête. Bien ! Si dans les dix minutes vous êtes pas là je viens vous chercher !"

Cela semblait être un marché convenable puisque le Papillon ne comptait pas faire durer l'affaire plus de 5 minutes. Si dans le temps imparti donné par Amalthea il n'était pas revenu, c'est qu'il ne devait plus y avoir grand chose à récupérer de lui. Acquiesçant sans un mot de plus, il la laissa donc partir pour s'accaparer tout l'espace nécessaire de la chambre dans laquelle ils étaient. Le mari n'avait rien ajouté depuis tout à l'heure mais son attitude en disait déjà beaucoup. Il se sentait trahi et humilié, chose qui n'était pas plus mal en terme de vengeance. La situation se retournait contre lui et elle était méritée. D'un cri de rage, il relançait ses attaques, similaires aux précédentes, et Gabriel se voyait ravi de trouver chez son adversaire ce déséquilibre du à des gestes forts mais peu maîtrisés. Il tapait sans vraiment réfléchir, méthode bourrine qui saurait lui faire désavantage si le styliste reprenait le dessus sur le combat. Ce qu'il fit. Il esquiva un coup et l'épée vint se planter dans un fauteuil, brusquant le marié qui trouva son arme coincée. Gabriel en profita alors pour lui asséner un coup de coude dans le dos et le faire tomber. Refusant de lâcher son arme, l'adversaire était à genou, dos à lui. Il ressentait la pointe de l'épée dans sa nuque ainsi que la voix de son ennemi dire :

"Je suis désolé mais vous ne vous en sortirez pas. Il fallait y songer à deux fois avant de faire les mauvais choix."

Évidemment, le sermon agaça fortement le mari qui se redressa malgré la lame qui la menaçait et sortit la sienne du mobilier pour l'élancer sur Gabriel. L'action écorcha son épaule ainsi que sa poitrine. Il avait reculé - mais pas assez pour esquiver.

"MOURREZ !"

Le mari avait crié un pleins poumons en brandissant à nouveau son épée pour le coup de grâce. Mais non, Gabriel refusait que cela arrive, pas maintenant et certainement pas contre un homme qu'il ne connaissait pas et ne valait rien pour lui. C'était bien la pire mort qu'il pouvait souhaiter. Il n'avait pas du retenir son prochain coup, il n'avait pas du réfléchir pour transpercer dans l'empressement le corps du traître qui avait été fiancé à Amalthea avant que celui ne le touche. Il n'avait même pas vu où il avait visé, sentant pourtant avoir traversé les côtes et enfoncés la lame encore plus profondément dans les organes de son adversaire. C'était ses dernières forces, dans un dernier appui, que le styliste laissa ses genoux tomber au sol. Il lâcha son épée, plantée dans le corps du mari qui s'effondra, et soupira profondément durant ce temps mort. Il aurait souhaité que celui-ci dure plus longtemps, qu'il ne soit pas pressé par les événements et qu'il songe à ce qu'il venait de faire sans pour autant culpabiliser de son acte. Il avait imaginé pire par le passé... Ses mains devaient déjà être tâchées de sangs, sans qu'il n'en ait pris conscience. C'est pourquoi, d'ailleurs, il était peut-être préférable de ne pas s'attarder sur le meurtre qu'il venait de commettre, ni même sur la couleur de ses mains, car pour le moment rien n'était encore joué.

Gabriel alluma les bougies utilisées pour l'éclairage de la pièce et brûla tout ce qui était de bois et de tissu. Le feu devait se répandre à son maximum. Après en avoir eu la certitude, il sortit de la chambre et se ré-engagea dans le couloir, là où il perçut d'autres invités chercher Amalthea. Était-elle descendue ? Le styliste serra les poings.

"Le mari nous a été enlevé ! Il est mort !"

- Comment ?"

Gabriel ne souhaitait pas en dire davantage, il souhaitait particulièrement que les hommes soit invités à aller voir par eux-mêmes. Se décalant de la porte pour les laisser l'entrouvrir et découvrir le corps inerte entouré de flammes, il laissait les conclusions se faire d'elles-mêmes. Il a été tué. C'est la mariée qui a fait ça ! Elle veut mettre le feu au manoir ? Pendant ce temps, le styliste passa derrière eux, en embrocha deux qui s'écroulèrent au sol et poussa les deux autres dans la salle avant de fermer la porte qu'il bloqua avec la lame de l'épée. C'est n'importe quoi, se disait-il. Enrayer le cercle en commettant soi-même le pire... C'était tout aussi épouvantable. Comment pouvaient-ils dire, alors, valoir mieux qu'eux ?

"Amalthea !" Il appelait à plusieurs reprises en passant

Chaque chambre qu'il empruntait était celle qui, peu de temps après, se laissait consumer par les flammes. Qui de l'incendie où de Gabriel allait le plus vite ? Difficile à dire, mais lui n'avait pas l'impression d'avancer. Il appelait encore, criait dans l'espoir d'une réponse et finalement, retrouvait dans une aile, la jeune femme. Pas de temps à perdre, il la rejoignit à grands pas et l'attrapa par le poignet.

"Il faut sortir d'ici ! Vos poursuivants bloquent toutes les principales issues pour que vous ne puissiez échapper à votre sort, ce n'est donc pas par là-bas que nous passerons."

Si l'incendie avait commencé du premier étage, alors le rez-de-chaussée ne devait pas encore être trop atteint. Impossible pour le duo de sauter comme ça par la fenêtre, il fallait descendre les escaliers et se rendre à la partie du manoir la moins touchée pour s'échapper sans encombre par une des pièces tierces. Une fois sortis, ils pourraient alors rejoindre les chevaux et partir. Pour le moment, c'était le meilleur plan que Gabriel avait trouvé et il ne songeait pas avoir le temps d'en trouver un autre. Dévalant les escaliers, ils croisèrent bien vite d'autres de leurs ennemis, alertés par les cris de la chambre incendiée en première. Le styliste se trouvait désarmé et c'est seulement en un coup de pieds qu'il put faire tomber les quelques invités de leur marche, perdant l'équilibre avant de s'écraser au sol. Au loin, on entendait les voix s'élever, les aboiements des chiens enragés chercher la mariée dont il semblait reconnaître parfaitement l'odeur. C'était eux, la solution à leur problème.

"Heureusement que vous avez retiré les plusieurs couches de votre robe de mariée. Observait-il à voix haute. Ça brouillera les pistes de votre présence, encore faudrait-il...

- Restez où vous êtes, traîtres !"

Traîtres ? Les rôles n'étaient pas quelques peu inversés ?

"Ils sont là !"

L'homme, armé lui aussi, appelait le reste de son groupe à le rejoindre malgré les flammes qui menaçaient de descendre jusqu'à eux. Gabriel craignait que les dommages collatéraux (entre autre tout ce qui est matériel) ne leur fassent défaut. Il redressa la tête. Concrètement, il y avait plusieurs moyens d'obtenir un génocide complet de ce mariage en faisant du manoir le tombeau des invités. Mais, à y songer deux fois, le styliste ne se sentait pas légitime de faire ça. À travers ce jeu abominable, revenir gagnant serait devenir ce que leurs ennemis sont. La défunte pouvait bien les maudire, de quelle droit se permettait-elle de salir les mains d'autres innocents qui n'avaient rien demandé ? Non, Gabriel refusait. Remarquant tout d'abord qu'il agrippait toujours le poignet d'Amalthea, il décida de tourner les talons pour s'engager dans la direction opposée du groupe qui tentait de les piéger - et évidemment, ceux-ci suivirent.

"Nous allons passer par une fenêtre et fuir. Laissons-les à leur propre sort, nous avons fait notre part du marché ! Je refuse qu'un de nous manque d'être blessés parce qu'un mort nous a demandé de se sacrifier pour elle !" Ils prirent la pièce la plus éloignée qui, dans les calculs du styliste, ne devait pas encore avoir été atteint par les flammes de l'étage. De là, il s'approcha de la fenêtre et fit la courte échelle à Amalthea en s'agenouillant. Allez-y, vite !"

Il passa après elle, refusait toute discussion en la pressant. Comparé à elle, Gabriel avait les mains libres maintenant que l'épée était resté à l'étage. Il était le plus affaibli mais aussi le plus rapide dans ses gestes. Alors qu'il grimpait à son tour sur le rebord, il remarqua au loin une silhouette courir vers eux. Cette silhouette traçait sa route à quatre pattes et à grande vitesse... Les chiens de garde.

"Amalthea, attention !"

Il se maudissait à l'instant de l'avoir fait sortir en première mais ce n'était pas comme si, de son côté, il n'avait pas ses propres problèmes. Le groupe avait suivi leur chemin avec grande aisance et se pliait à ne pas laisser le styliste s'échapper d'ici. Il devait jouer de ses poings et de ses coups, se rapatriant à l'intérieur du manoir en reposant pieds à terre. Il frappa à plusieurs reprises, tentait de s'échapper de leur étreinte pour le maintenir avec eux. Le tissu de son costume se déchirait à fur et à mesure qu'il se débattait. Concrètement, ce ne fut pas simple de basculer de l'autre côté et c'est bien en tombant qu'il rejoignit l'herbe et le dehors. Ensuite, seulement, dut il se redresser avec une blessure toujours ouverte et retrouver la jeune femme qui semblait s'être débarrassée du chien avec une efficacité incroyable. Ils commençaient à courir tous les deux et le styliste ne put s'empêcher de demander en fixant derrière son épaule le corps inerte de l'animal :

"Vous l'avez tué ?

- Non il n'est pas mort simplement endormi pour un bon moment, sa respiration est plus calme... mais on ferait mieux d'y aller. Rappelez-moi de nous soigner quand on sera éloigné de cet endroit.."

Peu de temps après, ils rejoignirent les chevaux. Ils entendaient au loin les cris effroyables des victimes. Gabriel regardait le manoir s'écrouler peu à peu et certains, encore en vie, courraient dans leur direction pour les arrêter. Mais il était trop tard pour eux, jamais ils ne parviendraient à les rattraper. Certes, le styliste ne savait pas utiliser la monture, mais il était persuadé que ça ne devait pas être si compliqué. Seulement, arrivé près d'elle, il réalisait par la taille qu'il s'était peut-être trompé.

"Vous.. Mhh d'accord c'est assez compliqué surtout si vous êtes tendu le cheval va le sentir.

- Ah ? S'inquiétait Gabriel.

- On va monter ensemble et vous n'allez pas réussir à tenir les rennes."

- Vous... Vous êtes sûre ?

- Oui je suis sure... Il faudra juste que vous me teniez bien d'accord ? Ce n'était pas comme s'il pouvait se permettre d'hésiter. Les hommes approchaient à vive allure. Gabriel acquiesçait, pressé de quitter les lieux, tandis qu'Amalthea s'approchait de l'étalon pour lui parler calmement. Merci.. Allez, en selle."

La jeune femme semblait avoir quelque peu changé depuis leur première rencontre mais certaines choses ne changeaient pas : dans les situations délicates où n'importe quel être humain normalement constitué paniquerait, elle gardait un calme lui-même angoissant. Gabriel n'était pas certain qu'elle ait bien vu ceux qui arrivaient vers eux pour les empêcher de partir. Heureusement, pourtant - et miraculeusement -, ils partirent avant qu'on ne les rattrape, c'était tout juste si l'ennemi en question réussit à frôler la queue de l'animal pour l'arrêter. Galopant, le styliste ressentait les secousses importantes de leur course et comprenait en quoi il devait absolument tenir Amalthea pour éviter de tomber. Ce n'était pas agréable comme transport, ça c'était certain. Durant le court trajet où il se laissait emporter par ses pensées des victimes qui avaient pu être faites, il sentit une main se poser contre la sienne et, vivement, la retira. Le contact l'avait surpris et son réflexe fut, évidemment, d'y mettre un terme. Pourquoi avait-elle fait ça ? Sûrement pour vérifier qu'il soit bien accroché ? Allez savoir, il ne souhaitait pas y penser. Il souhaitait rentrer chez lui.

"Arrêtez-vous là, je pensez que nous sommes assez loin pour réaliser le rêve que nous avons eu hier et enrayer... Le cercle." Il prononça ces derniers mots non sans une légère grimace.

Gabriel descendit en premier et aida Amalthea à descendre à son tour. Ensuite, ils fixèrent tous deux le manoir brûler au loin et enfin... l'horloge sonna ses six coups.

"Nous avons été emmenés dans un jeu sordide. Je ne pardonnerais pas à la mariée de nous avoir incité à commettre ces meurtres. Pour ma part, cela ne me dérange pas, dit-il baissant son regard sur la paume de sa main. Mais pour d'autres, tuer revient à devenir comme ceux qu'ils ont tué. Il n'y a pas de vainqueurs dans un jeu comme celui-ci, il serait ridicule de le penser."

Et tout s'arrêta enfin. Ils se retrouvèrent dans une plaine, calme et reposante, loin du danger, en plein soleil alors qu'ils venaient tout juste de s'enfuir dans la nuit. L'environnement était similaire à celui où était posé le manoir mais sans le bâtiment en question. Autour d'eux, d'autres gens apparaissent - des duos, parfois des trios. Pour la plupart, Gabriel ne les connaissait pas mais il savait voir à leur visage familier qu'ils venaient de Storybrooke. Voilà donc... Les participants de leur nouvelle aventure. Plusieurs mariées apparaissent, un jeune homme tient la main de l'une d'elles, elles ne sont plus spectre mais bien réelles.

- Merci... de nous avoir rendu notre liberté. Nous revivions toute cette nuit encore et encore depuis le nuage de la méchante Reine. Cette nuit-là, notre monde entier a été détruit, comme dévasté... la Famille est morte pendant le Jeu. La malédiction nous a alors transporté ici... En levant le bras, elle montre le lieu. - J'ignore où nous sommes... sans doute dans des limbes... ou en enfer peut-être... il m'aura fallu du temps pour vous atteindre. Mais grâce à vous, nous pouvons désormais reposer en paix."

Toutes les mariées semblaient, dans leur sourire, les remercier de les avoir libéré. Sans comprendre d'où provenait un tel sentiment, le styliste frissonna légèrement tandis que la première mariée tendit, paume vers le haut, sa main devant elle pour montrer un chemin qui s'étendait dans la forêt. Une lumière éblouissante s'y égarait à l'horizon. Tout le monde comprenait qu'il fallait utiliser cette voie pour rentrer chez soi et le duo qui était celui du styliste, ne perdit pas de temps à s'engager dans la même direction que les autres.

"Des têtes vous reviennent ? Demanda Gabriel à l'attention d'Amalthea. Je comprendrais tout à fait si vous souhaitiez aller vers certaines connaissances pour leur demander des nouvelles. S'ils ont vécu la même aventure que nous, qui sait les séquelles qui ont pu en rester. Ne vous en faites pas pour moi, sourit-il calmement, je vais mieux que vous ne le pensez. Son regard s'égara sur la tâche de sang sur le vêtement de la jeune femme. Il s'en voulait de ne pas avoir demandé plus tôt ce qu'il en était, ce qui se lisait sur son visage. Quant à votre blessure... ? Est-ce que... ?"

Au bout du chemin, alors qu'ils pensaient tous foncer droit dans une lumière étincelante, celle-ci laissa peu à peu place à la pénombre, la nuit et les lampadaires qui éclairaient les trottoirs. Ils étaient de retour à Storybrooke, au XXIème siècle. Certes revenus en sale état, au moins ils étaient en vie. Gabriel soufflait enfin et naturellement un sourire se dessina sur son visage rassuré alors qu'il se tourna vers sa partenaire saine et sauve également.

"Je vous avez bien dit que nous reviendrions tous les deux à Storybrooke. Il était hors-de-question qu'il en soit autrement. Silence... Le créateur de mode décalait un regard un peu plus lourd de sens d'un côté de la route. Je vous remercie, Amalthea. Moi aussi, je pense m'être trompé sur votre compte. Notre rencontre, il faut dire, s'était déroulé à un mauvais moment de ma vie et comme vous étiez rentré... Enfin, ne nous étalons pas sur ça. Je ne vous avais vu, tout d'abord, que comme une personne quelque peu dérangée qui trouvait prétexte à m'aborder pour je ne savais quelle raison. C'est pourquoi, par ailleurs, je n'avais pas réengagé le sujet du cadeau que vous m'aviez offert à Noël. Mais... Il s'en voulait, peinait à remonter le regard sur elle mais pourtant le fit. Je l'ai bien reçu. Cependant, je ne sais pas où il est... Il grimaça quelque peu, exposant d'autant plus sa gêne avant de lever une main à ses tempes et de soupirer grandement. Je suis vraiment désolé. Je vous ai mal jugé, veuillez me pardonner."
Fiche codée par Koschtiel
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Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Dey9

-Tu ne devrais pas...ce n'est pas convenable.
- ...
-Majesté...
-Laisse moi... il n'y a qu'ici que je puisse avoir ce que je désire.

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel Ecolog11

| Conte : La dernière Licorne et deux coeur
| Dans le monde des contes, je suis : : La licorne et lady Amalthea

| Cadavres : 518



Dark Wedding ou Pomme de terre cuite [FE #5] - Gabriel _



________________________________________ 2021-07-03, 10:01

Dark Wedding ou Pomme de terre cuite





Amalthea s'était donc confier au styliste sur ce qu'elle était autrefois. Une licorne. Cet animal noble et majestueux qu'on pouvait voir sur des peintures, très peu on été les chanceux de pouvoir en approcher ou même d'en apercevoir. Amalthea n'approchait pas les être humains depuis qu'on avait chercher à l'avoir auprès d'eux. Autrefois, elle avait guéri un roi d'un empoisonnement et qui était voué à une mort certaines. Par bonté, elle était venu pour lui porter secours, elle était jeunes à cette époque et peut-être aussi bien naïves. L'instant d'après on avait chercher à la capturer pour être ce symbole de force. la licorne avait donc fuit dans sa foret caché. Et personne ne l'avait revu, peut-être certains animaux. Elle se faisait silencieuse. On savait qu'elle était là puisque la foret était toujours florissante. Toute créatures qui étaient dans sa foret était immortel. Un lointain passé qu'elle n'oublierait pas. Bien qu'elle devait tenter de s'habituer à son époque cela semblait plus facile à dire qu'à faire. Reprenant le cours de la conversation, Amalthea ne lacha pas Gabriel du retard, elle ne plaisantait pas s'il cherchait cela. Son regard était des plus sérieux. Au vu de sa stature ce n'était guère étonnant qu'elle soit une licorne. Mh... elle le laissait réfléchir. Oui, cela pourrait se tenir. Bien entendu que cela se tenait. Elle ne disait pas des choses sans les pensées réellement. Elle serait que tôt ou tard, elle lui ferait comprendre qu'elle n'était pas la licorne dans les contes pour enfants. Elle avait eu un passé bien plus sombre qu'elle ne l'aurait du. Certes Amalthea était plus calme et posé en apparence, mais elle avait se petit coté agressif aussi, elle ne se laissait pas faire et elle était conquérante. Une fois que le tableau fut peint, la licorne s'était éloigné de son fiancé pour retrouver Gabriel. Bien sur leur époque n'était pas les mêmes. Du moins pas tout à fait. Votre ?... Vous ne venez pas de cette époque, certes, mais j'ose supposer qu'après six années passées à Storybrooke, vous avez pu vous familiariser avec tout ça, non ? Amalthea remit une mèche de ses cheveux en place. Et bien... Vous vous rappeler de notre première rencontre ? Quand je vous ai dit de ne pas appeler mon soit disant père. Monsieur Haggard ? Elle lui laissa le temps de se remémorer cela. Et bien, cet homme ma tenue captive durant ses six années en plus. M'empêchant de me rappeler qui j'étais, je ne connaissais donc rien de votre monde jusqu'à ce qu'un beau jour, je trouve ce fameux passage et que j'échappe à la vigilance de mon chaperon. Et je ne connais pas grand chose. Ce qui voulais dire, presque rien. Enfin, je connais la glace, c'est la première chose que j'ai manger. Je sais ce qu'est une console. Et les voitures on des moteurs. Toute technologie à Hasgate n'y figure pas, je n'ai donc pas de chose moderne comme vous. Mais elle n'avait pas pu lui en dire d'avantage qu'on lui demandait d'aller dormir. La licorne avait envie de poursuivre. Mais à contre coeur, elle suivit son soit disant chaperon, qu'elle aurait bien piquer au passage avec une fourchette.

***

Amalthea avait demander du regard à Gabriel de ne pas la suivre tout de suite. Pour l'effet de surprise s'y on puis dire. Et surtout qu'il ne lui arrive rien. Voilà pourquoi elle se sacrifiait, bien sur son sors soit déjà sceller puisqu'ils désiraient tous avoir sa peau. Bien que la licorne ne se laisserait pas tuer sans combattre. Amalthea avait don déclencher les hostilité en tuant une première personne. Non elle n'était pas désolé. Pour le coup, elle n'était guère présentable devant Gabriel. Il fut un temps ou être dans une tel tenue lui aurait valut le nom de gourgandine. Elle avait don repoussé du pied le corps inerte de l'homme qu'elle avait tué. Aucune leçon de moral en vue ? Bien. Les chevaux seront le moyen de transport le plus accessible et le plus efficace, nous ferons ça Elle hocha la tête mais, il n'avait pas pu finir la phrase qu'elle n'avait pousser sur le coté pour parer l'attaque de la personne, se prenant donc un coup de l'âme dans le bras. Ou le sang avait déjà commencer à saigner. S'était le mari, qui bien qu'il voulait la voir morte montrait des signes de jalousie vis à vis de Gabriel. Un traître ? Pas plus que lui. Ce n'est pas votre femme. En étant en retrait, elle ne pu se retenir de sourire. Bien. Il était en train de défendre son honneur. A-Amalthea, commencez sans moi. Je me charge de lui. Pardon ? Non elle ne voulait pas le laisser la. Pas lui. La licorne était en train décider se tenant le bras au passage. Je... Le sang était en train de couler. Gabriel je ne vais pas vous laisser... Si.. S'il mourait ? Elle allait s'en vouloir tout le reste de son existence. Surtout que s'il lui arrivait malheur, elle ne se pardonnerait pas de l'avoir laisser. Ça ira ! Il avait barrer l'attaque. Le coeur de la jeune femme manquait de s'arrêter a chaque attaque. Faites vite ! Elle hésitait à le laisser mais... elle fini par lui dire. Promettez moi de rester en vie et de venir. Elle hocha la tête. Bien ! Si dans les dix minutes vous êtes pas là je viens vous chercher ! Ce qui sous entendais que s'il n'était pas la, elle y retournerais pour tout détruire sous son passage. Et s'il était mort elle le ramènerais à la vie pour le buter elle même pour avoir manquer à sa parole. Quitte à le ramener par la peau des fesses aussi même s'il faisait deux mètres ça ne l'effrayait pas.

Puis elle s'en alla le laissant, elle lui faisait confiance. Amalthea s'était donc lancé pour faire la seconde phase du plan. C'est à dire bruler le château. Elle avait toujours son épée en main. Elle ne s'était pas arrêter sinon à coup sur elle aurait fait demi tout pour aller rechercher Gabriel. Poursuivant sa course, elle fut néanmoins stoppé par un des invités qui voulait la tuer. Votre course s'arrête ici très chère. Amalthea fronça les sourcils. Oh non... elle ne fait que commencer. Même si son bras lui faisait mal elle croisa le fer avec cet homme. Le choc des l'âme se faisait retentir dans le couloir. Il n'y avait guère d'espace mais suffisamment pour Amalthea fasse des parades. Cette homme savait manier l'épée mieux que le premier. Même si à cette époque les duels allaient être interdit beaucoup plus tard vers quinze cent quarante sept. La licorne était en train de prendre l'avantage, avec une magnifique parade elle fit voler l'épée de ce dernier pour la prendre en main et avoir ainsi les deux épées. Votre course ce termine là l'instant d'après elle lui planta l'épée dans la jambe juste assez pour qu'elle puisse continuer son chemin mais pas assez pour lui ôter la vie. Sauf si par ailleurs sa blessure se gangrénait ou qu'il finissais bruler par la suite. Elle poursuivit son chemin après avoir néanmoins laisser tomber la seconde épée assommé le rustre avant qu'il ne pousse l'alerte, un magnifique coup de poing dans son visage. Ensuite, elle prit un chandelier et mettre le feu à l'étage ou elle se trouvait. Avant de redescendre, elle espérait que Gabriel soit descendu avant que tout prenne feu aux étages. Secouant la tête, il ne fallait pas qu'elle se pose se genre de question sinon elle allait grimper le retrouver. Continuant du coup son sa descente au enfer. Si Argus voyait ça... il aurait déjà pousser une chanson insupportable et lui aurait dit que ce n'était pas bien de commettre de tel atrocité en l'espace de quelques minutes. Quand à Adé... Elle aurait sans doute fermer sa bouche et hocher la tête, de toute façon cette petite était toujours de son avis la plus part du temps.

Elle entendit dans le manoir, qu'elle avait tuer son mari. Ah Bon ? Dans ce cas Gabriel avait gagner, son cœur fut soulager d'un poids s'était déjà ça. La voila déjà veuve.. qu'elle chance. Tombant encore sur des invités détestable sa lame parla pour elle avant qu'ils ne la tue. Continuant encore, sa robe, enfin ses sous-vêtement étaient couvert de sang. Elle voyait que le temps s'était écoulé, du moins les dix minutes. Elle l'avait appeler, elle voyait les flammes consumer les pièces quand elle sentit qu'on lui avait saisie le poignet, elle n'avait pas à dégainer son épée, elle savait qui était cette personne. Comment ? à force d'avoir été saisie plus d'une fois par le poignet par ce cher Gabriel elle connaissait sa force et aussi sa main. Son visage fut soulager il était là, elle sourit mais son sourire s'était perdu en voyant son état, sauf qu'elle n'eut pas le temps d'ajouter quoique ce soit. Il faut sortir d'ici ! Vos poursuivants bloquent toutes les principales issues pour que vous ne puissiez échapper à votre sort, ce n'est donc pas par là-bas que nous passerons. Vos blessures... Vous.. Vous imaginez son état, elle allait presque faire un syncope, elle l'avait laisser dix minutes voilà comment il revenait avec un blessure et il saignait. par sa faute... elle n'aurait pas du le laisser seule. une profonde rage s'était emparer d'elle, heureusement que son mari était mort, elle l'aurait tuer elle même ! Elle le suivit déambulent dans le couloir et prenant les escaliers. Elle entendit des chiens, ce n'était pas bon signe. Heureusement que vous avez retiré les plusieurs couches de votre robe de mariée. Amalthea regarda ses habits et elle rougit, bon sur le coup elle n'avait pas fait attention mais que Gabriel lui disent. Elle ne voulait pas qu'il la croit dévergondé. Ça brouillera les pistes de votre présence, encore faudrait-il... Je.. oui en effet, c'était un peu trop encombrant pour mes déplacements. Mais votre blessure il faut la soigner. Elle ne pu s'empêcher de regarder au niveau de son poitrail, c'était pas le sang des autres mais bien le sien. Restez où vous êtes, traîtres ! Amalthea tourna la tête, ils ont pas bientôt fini ceux là ? Ils sont là ! Manquait plus que ça... Malgrès les flammes, ils avançaient encore dans leur direction. Gabriel tenait toujours son poignet, elle voyait bien à travers son regard qu'il était en train de chercher quoi faire entre les laisser ou bien continuer de mettre le feu pour qu'il y passent. Si on partait du principe de ce qu'elle devait dire tout devait mourir que ce soit maintenant ou plus tard. Ne l'était-ils déjà pas ? Vu l'époque beaucoup de chose avait du couler et le fait qu'ils étaient immortel pour de mauvaise raison... néanmoins la licorne n'allaient pas leur infliger plus que nécessaire, juste à enrailler le cycle, il ne restait pas beaucoup d'heure pour être tranquille. Prenant la direction opposé aux invités. Gabriel prit la parole. Nous allons passer par une fenêtre et fuir. Laissons-les à leur propre sort, nous avons fait notre part du marché ! Je refuse qu'un de nous manque d'être blessés parce qu'un mort nous a demandé de se sacrifier pour elle ! Elle hocha la tête, elle ne voulait pas que le styliste soit d'avantage blessé parce qu'après à guérir s'était pas la même. Ce dernier lui fit la courte échelle, devait-elle s'appuie sur lui pour passer ? Elle n'osait pas de peur de lui faire mal. Bon cela dit il faisait deux mètres... Allez-y, vite ! Elle posa son pied sur sa main et se hissa pour passer par la fenêtre. Elle passa de l'autre coté, commença à avancer, elle avait vu que Gabriel suivait derrière pour la rejoindre. Sauf qu'elle n'avait pas prévu d'entendre ce bruit de pattes qui courait dans l'herbe. Non ce n'était pas une sourie verte mais bien un chien ! Qui arrivait dans sa direction. Amalthea, attention ! La licorne ne pu s'empêcher de courir pour échapper au chien derrière elle. Elle savait que dans l'état elle ne courait pas aussi vite qu'un chien. En aucun cas elle voulait tuer ce chien, il n'y était pour rien dans cette histoire, ils lui avaient donner simplement une mission. La licorne s'était donc arrêter calculant la trajectoire et l'impact que pouvait avoir le chien sur elle. Tout comme l'être humain les animaux avait des points sensible, quand il arriva elle frappa dans sa truffe pour l'étourdir, ensuite elle savait au qu'au fond de sa mâchoire il n'y avait que très peu de temps, elle mit son poing de sorte à ce qu'il ne puisse pas la mordre. Le mettant dans une autre position ou elle appuie fermement dans les pattes pour le faire plier tout en le faisant lâcher son poing pour qu'elle puisse faire une prise de sommeil, en appuyant sur certains point sensible, le chien tomba comme une masse, Amalthea avait réussi. Avec tout ça elle avait laisser tomber son épée. Il allait faire un bon dodo. Le styliste arriva peut de temps après, la chemise bien déchirer ce qui lui donnait un air de baroudeur, lui donnant un certain charme. Sans plus attendre ils se remirent en route à courir. Vous l'avez tué ? Non il n'est pas mort simplement endormi pour un bon moment, sa respiration est plus calme... mais on ferait mieux d'y aller. Rappelez-moi de nous soigner quand on sera éloigné de cet endroit..

Parce que mine de rien, elle n'avait pas oublié l'état dans laquelle elle se trouvait le voir avec une blessure... par sa faute, sur le fait qu'elle avait manquer du vigilance. Continuant de courir, ils arrivèrent au écuries. Une courte discussion au sujet de monter à cheval s'était imposer. Il était vrai qu'il ne fallait pas avoir peur, les animaux ressentait les émotions et elle ne voulait pas que l'un ou l'autre se fasse mal. Pour cette raison qu'elle avait suggérer qu'ils montent ensemble sur l'étalon noir. Bien sur Amalthea demanda la permission avant de pouvoir grimper sur lui. Elle n'avait pas perdu le don avec les chevaux, en même temps quand on gérait un Haras... ce n'était guère étonnant de comprendre chaque fait et geste des équidés. Elle le remercia et indiqua à Gabriel de grimper après elle, lui tendant la main. Néanmoins, elle s'inquiétait pour la blessure de Gabriel. Quand l'étalon galopa pour gagner du terrain, et elle redoutait qu'il ne suivent pas le mouvement, hors elle avait déplacé sa main pour voir s'il était bien accrocher posant sa main sur la sienne mais ce dernier l'avait rapidement retirer. Elle ne voulait pas faire de geste déplacé juste voir s'il était encore présent. Elle aurait surement dis qu'elle était navrée mais, elle ne voulait pas le mettre mal à l'aise. Arrêtez-vous là, je pensez que nous sommes assez loin pour réaliser le rêve que nous avons eu hier et enrayer... Le cercle. Elle mit l'étalon à l'arrêt. Tout doux mon beau.. shhhhh... calme. caressant doucement son encolure, ils descendirent du cheval, Gabriel l'aida à descendre, elle fit attention de ne pas lui faire mal et le remercia. Entendant des cris.. comme dans son rêve. Amalthea caressa doucement l'encolure du cheval puis, sur son naseau posant son front contre le cheval. Je te remercie mon ami, mais... nos chemins se sépare ici... j'aurais aimer te ramener mais, je ne le puis. Va... cours... tu es libre maintenant. Retirant, la bride qu'il avait, elle le regarda partir, en cheval libre qu'il était, son regard se posa sur la maison qui était en train de bruler non loin d'eux. Se rapprochant de Gabriel, les coup de l'horloge se virent entendre indiquant les six heures. Ils avaient réussi. Elle était encore vivante.

Nous avons été emmenés dans un jeu sordide. Je ne pardonnerais pas à la mariée de nous avoir incité à commettre ces meurtres. Pour ma part, cela ne me dérange pas, Amalthea regarda Gabriel à ce moment-là, elle savait ou du moins sentait qu'il n'était pas tout blanc, mais, certaines choses on du l'emmener à faire ce genre de chose elle n'en l'en blâmerait pas.Mais pour d'autres, tuer revient à devenir comme ceux qu'ils ont tué. Il n'y a pas de vainqueurs dans un jeu comme celui-ci, il serait ridicule de le penser. C'était un instinct comme un autre l'être humain en faisait preuve, est-ce que la licorne ce sentait coupable d'avoir tuer certaines personnes ? sa blancheur avait-elle été souillé ? Elle a fait en sorte de survivre et ne tuait qu'en dernier recours quand il n'y avait plus rien à en tirer. Non en effet, il n'y a pas de vainqueur dans ce jeu sordide...
Nous avons fait en sorte de survivre à ce qu'il nous attendaient, ce qu'on à du faire pour changer le cours de l'histoire, si ce n'était pas nous... ils auraient fait en sorte de nous avoir eux. Je suis navrée que vous ayez été mêlé à tout cela et que vous ayez été blesser.
Elle aurait pu prendre sa main pour lui montrer qu'elle était là mais, elle se reteint, pensant une nouvelle fois au contact de trop et ne voulait pas brisé ce qui avait été dur d'avoir.

Elle repensait au personne a qui elle avait ôter la vie, non, elle ne regrettait pas pas encore. Puis tout s'arrêta. Ils se trouvaient dans une grande étendu, une grande plaine ou le calme était présent. Le soleil était là, la nuit avait laisser sa place au jour en un clignement de cils. Le manoir avait disparu... surement embraser, ou ils avaient changer d'époque. D'autres personnes de StoryBrooke était là, bien qu'elle ne connaissait pas tout le monde. Et là plusieurs mariées étaient présente en face d'eux, un jeune homme tien la main de l'une d'entre elle. Elles avaient l'air si réelle maintenant. Merci... de nous avoir rendu notre liberté. Nous revivions toute cette nuit encore et encore depuis le nuage de la méchante Reine. Cette nuit-là, notre monde entier a été détruit, comme dévasté... la Famille est morte pendant le Jeu. La malédiction nous a alors transporté ici... Levant la main pour montrer le lieu. J'ignore où nous sommes... sans doute dans des limbes... ou en enfer peut-être... il m'aura fallu du temps pour vous atteindre. Mais grâce à vous, nous pouvons désormais reposer en paix


Amalthea était en train de les regarder, ils étaient donc tous mort dans cette famille. Leur immortalité leur avait été retirer dans les flammes. En enfer ? Il faisait plutôt une bonne température pour s'y trouver. Etre en paix... grand bien leur face. C'était bien pour eux, elle hocha la tête en signe d'approbation. Le chemin fut indiquer par une des mariées, Amalthea n'était plus l'un d'elle ou elle se représentait comme veuve à présent et en aillons toute sa tenue était déchirer. Adélaïde allait faire un scandale. La foret était le chemin du retour. Des têtes vous reviennent ? La licorne haussa les épaules. Je comprendrais tout à fait si vous souhaitiez aller vers certaines connaissances pour leur demander des nouvelles. S'ils ont vécu la même aventure que nous, qui sait les séquelles qui ont pu en rester. Ne vous en faites pas pour moi, je vais mieux que vous ne le pensez. Amalthea le vit sourire, et fut un peu prise au dépourvu, mais elle lui répondit d'un fin sourire. Je reste auprès de vous, ils n'ont pas besoin de moi. Quant à votre blessure... ? Est-ce que... ? Amalthea regarda sa blessure, elle saignait encore en tenant les rennes fermement, elle avait un peu trop meurtrie son bras. Elle voyait l'inquiétude dans son regard et voulait le dissiper. Oh.. ce n'est rien... Juste une blessure superficiel, je crois. Je ne peux pas en dire autant de vous... Mais une fois sorti de cette foret. Je vous soignerais.

Ils partirent tout deux n'en direction du chemin dans la foret, l'épée qu'elle avait emmener à l'aller était de nouveau là au sol. Elle la récupéra. Sa précieuse rapière. La touchant doucement passa sa main le longue de la lame, elle avait du se sentir bien seule sans elle. Au moins personne ne l'aura prise avant elle. Ils commençait à sortir de la foret quand une lumière s'était fait plus vive, celle des lampadaire en l'occurrence. Ils étaient revenu à leur "époque" Amalthea senti ses pouvoirs revenir, elle était plus sereine. Elle avait pu voir un nouveau sourire sur les lèvres du styliste, le sourire lui allait merveilleusement bien. Je vous avez bien dit que nous reviendrions tous les deux à Storybrooke. Il était hors-de-question qu'il en soit autrement. En réponse elle lui sourit aussi. Effectivement, vous avez eu raison. Naturellement je ne vous aurait pas laisser la bas. Son regard s'était fait un peu plus sérieux. Je vous remercie, Amalthea. Moi aussi, je pense m'être trompé sur votre compte. Notre rencontre, il faut dire, s'était déroulé à un mauvais moment de ma vie et comme vous étiez rentré... Enfin, ne nous étalons pas sur ça. Je ne vous avais vu, tout d'abord, que comme une personne quelque peu dérangée qui trouvait prétexte à m'aborder pour je ne savais quelle raison. C'est pourquoi, par ailleurs, je n'avais pas réengagé le sujet du cadeau que vous m'aviez offert à Noël. Mais... La licorne le regardait attentivement, cela lui faisait plaisir d'entendre ses mots. D'ordinaire cela lui aurait rien fait mais là, ça lui faisait plaisir. Leur rencontre s'était fait à de mauvaise occasion et elle pouvait le comprendre, entrer dans la demeure de quelqu'un s'en y être invité pouvait donner une certaine colère. Il avait eu raison de réagir de la sorte, de toute façon, elle n'était pas prête de recommencer l'expérience bien qu'elle pouvait rentrer ou elle le désirait sans le moindre soucis. Je vous remercie, cela me touche beaucoup ce que vous venez de dire, moi la première vous avez eu raison de réagir de la sorte, j'ai été sotte de faire confiance à cette personne. Et je me suis tromper sur votre compte aussi. Dérangé ? Je n'étais guère dans mon état normal ce qui pouvait expliquer cela, bien que je ne connaisse pas plus l'art moderne que cela. A noel.. cette plume qu'elle lui avait offerte, mêlant le moderne et l'ancien. Il reporta son regard sur elle affrontant son regard. Je l'ai bien reçu. Cependant, je ne sais pas où il est... Il l'avait perdu ? Etrangement cela lui fit un petit pincement. Amalthea voyait bien qu'il était peiné, elle n'allait pas l'accabler pour cela. Je suis vraiment désolé. Je vous ai mal jugé, veuillez me pardonner. La licorne sourit doucement. J'accepte vos excuses Gabriel, tout le monde peu se tromper un jour même le grand Agreste Elle s'approcha de lui, elle était plus petite en taille. D'ailleurs.. je ne connais pas grand chose à votre monde enfin dans le monde dans lequel je vis maintenant, pourriez vous m'apprendre certaines choses ?

Elle lui sourit. Mais avant... Je dois vous soigner. Elle hésita légèrement. Puis-je ? Le styliste se recula placant sa main devant lui méfiant et lui demande. Vous ne comptez pas à nouveau ?.. elle se stop comprenant oh non non... je ne vais pas vous.. enfin voilà rougissant légèrement. "Mais je vais passé mes mains au dessus pour refermer la plaie, je vous toucherais que par ma magie bougeant la main légèrement avec quelques lumière. ainsi elle passe sa main sur son bras en sang sa plaie se refermant. Gabriel cligne des yeux à plusieurs reprises. Je vois… Amalthea le regarde amuser. Il fini par se détendre Et bien si ce n’est que ça, allez-y. Elle se rapprocha doucement regardant la blessure qui était tout de même assez profonde, elle passa sa main au dessus de la blessure, sentant tout de même la douleur qui pouvait émaner et sa magie fit le reste frôlant légèrement. l'étoile sur son front était en train de briller celle de l'emplacement de sa corne. La blessure était en train de se refermer. Ca va ? Je ne vous fais pas mal ?

KoalaVolant
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