« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Ne pas être amis avec tout le monde pouvait déranger Judith. Elle qui aimait s’entendre avec tout le monde. Mais, il arrivait parfois qu’elle ne tombe sur une personne qui n’était absolument pas compatible avec son caractère. C’était sans doute le cas avec les deux personnes présentes avec elle. Elle avait lancé un pique, alors qu’elle aurait dû fermer sa bouche. Ce n’était pas dans ses habitudes d’être comme ça. Sans doute le stress d’être filmé et de se retrouver avec des parfaits inconnus. Elle espérait que les choses ne dérapent pas trop, elle n’était pas violente en temps normal. Mais, il lui arrivait de se servir de ses poings. Si dans ce cas, les choses devaient en venir à un point de non-retour, elle ne le ferait pas. Frapper une personne qu’elle devrait sans doute protéger n’était pas forcément bien vue aux yeux de tout le monde.
C’était gentil de la part de Gajeel de proposer ces lits, mais, Judith ne dormirait pas, elle le savait d’avance. Surtout, si, elle devait se retrouver dans le même lit que Mana. Elle serait capable de la tuer, elle en était sûre maintenant. D’ailleurs cette dernière marquée un point. Elle n’avait pas demandé leur prénom non plus, normalement, c’était une des premières choses à faire, se présenter. Elle ne s’était pas présenté, ces parents allaient sans doute la disputer, telle une enfant de cinq ans quand elle rentrerait. Ou bien, ils parleraient sans doute des autres problèmes plus importants qui pourraient arriver dans les heures à venir.
“Judith. Je suis Judith.”
Voilà, elle venait de faire un pas. Autant faire de cette soirée quelque chose d’agréable. Enfin, entre une qui n’avait pas sa langue dans sa poche, et un autre, qui lui, ne disait pas grand chose, la petite lapine n’était pas aider. Puis, elle savait qu’elle n’était pas elle-même, non aucun sourire ne venait se dessiner sur son doux visage, ni le fait qu’elle était une pile électrique en temps normal. Peut-être la peur de ne pas être accepté. Enfin, ça ne serait sans doute pas pire que maintenant.
Judith regarda les chats, Gajeel en avait de la chance, au moins, il ne mangerait pas.. Elle ne savait même pas ce que ces chats avaient mangé. Mais, elle ne dirait pas non qu’ils viennent vers elle. Au moins, elle aurait gagné deux amis, c’était mieux que rien. Puis son regard se posa sur Mana, qui venait de découvrir son prochain repas. Un scorpion, une étoile et un hippocampe. Super. Elle ne releva pas quand elle lui proposa de manger ce genre de chose. Judith préférait ne pas réponse à ces attaques, sinon, elles allaient sans doute passer leur soirée à se lancer des piques. Et se connaissant, elle serait capable de ruminer pendant des jours, cherchant ce qui n’allait pas chez elle. C’était souvent comme ça, elle prenait les choses bien trop à cœur.
“Avec grand plaisir, princesse”
S’avançant vers le salon, elle s’approcha d'une étagère, où rien de bien intéressant ne s’y trouvait. Enfin presque, puisqu'elle tomba nez à nez avec un fromage aux larves de mouche. Non mais elle n’avait pas signer pour manger que des choses à base de larves. Elle fit une légère grimace avant de se retourner, un grand sourire aux lèvres. Comme si, elle était contente de manger cette chose répugnante. Il n’y aucun autre mot pour d’écrire ça. Attrapant le fromage dans ses mains, elle croqua dedans, s'entend les larves éclatées dans sa bouche. Puis, elle mangea le reste avant de se lécher les doigts, comme si c’était délicieux comme un gâteau.
“A qui le tour ? Et merci pour le verre.”
Judith attrapa son verre avant d’en boire une grosse gorgée, au moins, elle n’avait presque plus le goût du fromage dans la bouche.
Gajeel Redfox
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Pardon ? Dors chez qui ... ?Manatthan + Judith + Gajeel = La pyjama party que personne ne voulait
Gajeel savait qu’en réalité il aurait dû être de bon humeur… normalement dans ce genre de jeu, les participants sont heureux … bien que Gajeel pense qu’avant de faire le jeu tout le monde avait du snifer de la colle mais ce n’était que son avis… Les deux jeunes femmes avec lui ne semblaient pas avoir snifer de la colle … Bien qu’elle semblait toutes les deux avoir un petit grain. Ce qui n’était pas forcément un reproche, avoir un grain c’était déjà plus que ceux qui avait un vide intersidéral dans leur esprit comme Natsu, ou Samuel, mais c’était encore autre chose.
Se présenter ? C’était une idée que Gajeel n’avait pas eu. Mais ce n’était pas réellement sa faute, il savait déjà qu’il n’arriverait pas à retenir les noms des jeunes femmes sauf si c’était quelque chose de très simple. Pour la fille aux cheveux roses, ça pouvait être rose, asperge, ou princesse à la limite. Pour la seconde fille, qui n’avait même pas des cheveux qui sortent de l’ordinaire pour l’aider, elle pourrait s’appeler …. Marie. Tout le monde s’appelle Marie. Ou Brune. Ou Chocolat. Quelque chose qui revient à sa couleur de cheveux. Rose et Chocolat. C’était une idée et il enregistra cela dans une base de données qu’il aura tôt fait de supprimer.
Il se souviendra des jeunes femmes bien sur, elles seront liés malheureusement à jamais avec l’envie de zigouiller ce cher Samuel… mais leur prénom, c’était une autre histoire. Et il avait bien compris que « l’autre » ne plaisait pas à la brune…. Machine, truc, et autres manières d’appeler sans prénom non plus n’allait pas lui plaire… Alors il n’allait tous simplement pas l’appeler, ça irait plus vite.
Il n’avait aucune envie de se prendre la tête avec des jeunes femmes… trop jeunes pour pas que le moindre de ses mouvements ne risquent de lui valoir un détournement de mineur … ou au moins de l’appeler comme on appelle les hommes qui se retrouvent dans la même chambre qu’une fille beaucoup moins âgé et pas très habillé… il aurait peut être dû passer un débardeur ? Oh pour ce que ça change en réalité. Alors qu’il pensait à son impossibilité de supporter d’avantage, la jeune femme rose l’appela Bichon… Ce qui lui valu un haussement des sourcils et les bras croisés contre son torse.
- C’est une pyjama parti dans ma maison. Punch and Purge en font partit, alors ça me ferait mal de pas pouvoir faire ce que je veux.
Il laissa la jeune femme fouiller. Il n’avait rien à cacher en ce lieu, et personne pour lui dire qu’il cache quoi que ce soit. Le plus gros secret de cette baraque était le manque de miroir, et ça lui coûterait de devoir l’expliquer à deux inconnues qu’on lui avait imposées. Il la regarda ensuite manger. Gajeel mangeait des choses bien plus dur, et il se demanda si la jeune femme aimait été réellement en train d’apprécier son repas.
- Je suis Gajeel, enchanté Judith. J’aurais certainement du mal à retenir ton prénom.
La seule raison qui le poussa à dire cela, c’était qu’elle avait pris le pas de dire son prénom et de se présenter. Il ne l’aurait pas fait sinon. Il avait juste eu un temps de réponse. Il ne savait pas si la Rose avait entendu la réponse, mais après tout, elle semblait déjà la savoir, ou s’en fichait copieusement, alors il n’allait pas l’obliger à lui dire le sien.
Chocolat se mit aussi à manger ce qu’il se trouvait dans la maison. Gajeel essayait de sentir à l’odeur s’il y avait encore d’autres présents dans la maison, mais il entendit quelque chose se faire glisser sous la porte.
- Bougez pas je reviens.
Les chats sautèrent sur le sol. Kitty, la queue en panache, se mit à côté de Manatthan et l’observa comme si le surnom de princesse lui était dû… et qu’elle n’acceptait pas les paroles de Judith. Une seule personne était une princesse et c’était elle. Fatigante, elle, se frottait comme une damnée contre les jambes de Judith en attendant des caresses. Elle ronronnait pour avoir son attention.
Pendant ce stratagème, qui n’était pas dû à Gajeel mais qui lui permettait de savoir si les jeunes femmes se déplacent chez lui, il trouva une enveloppe. On lui dit de l’ouvrir et de piocher une « activité » à l’intérieur.
Il prit une des petites enveloppes et lu « jeu de la bouteille : principe du jeu embrasser le partenaire que la bouteille choisi ». Gajeel mangea le papier sans la moindre forme de procès. Il n’était pas question qu’il embrasse qui que ce soit. Et ce n’était même pas la faute des jeunes femmes, qui pourraient peut être attirante pour d’autres personnes, mais parce que c’était non.
Il prit un autre papier. Deux en réalité, et décida que… pour avoir eu le droit de manger un des deux papiers, il pouvait bien ouvrir deux activités… et si une autre se trouvait être aussi conne que celle qu’il était en train de digérer, le papier rejoindrait son ainé c’est tout.
Le premier était une séance de cocooning beauté. Gajeel tiqua… il tiqua fort …. Mais entre être obliger de mettre un produit sur son visage et embrassait les jeunes femmes le choix était assez vite fait. Le second était … Vernis roulette… encore quelque chose qu’il pouvait accepter … Bien que Samuel était de plus en plus mort sur l’échelle de la colère et de l’humiliation de Gajeel.
Il observa les papiers pour voir qu’il était écrit qu’il y avait le nécessaire dans la salle de bain. Il soupira… un long soupire. Gajeel revient vers les jeunes filles (que je ne définis pas si elles ont bougés ou quoi donc n’hésitez pas) et alla directement dans la salle de bain.
La rose y étais allé et n’avait rien vu, et pourtant Gajeel avait failli trébucher sur la boite contenant le nécessaire de beauté et les vernis. Il avait déjà eu les ongles noirs, mais se promit que demain il aurait arraché ses ongles s’il n’y avait pas le produit rose pour tout enlever. Il prit la caisse et revient.
- On a eu des nouvelles instructions des abrutis qui font ce jeu à la noix, on doit se faire des masques de beautés et se mettre des produits sur la tête …. Et faire une espèce de roulement pour les vernis, j’ai rien compris à ce jeu.
Il tendit le premier papier à la rose, et le second au chocolat. Il faisait un effort pour parler plus mais qu’on lui demandait pas de sourire alors que les deux activités proposaient été clairement pour faire plaisir aux personnes qui faisaient attention à leur peau … ou leur ongle. Il ne savait même pas mettre du vernis. Dans son monde il avait juste du vernis, c’est tout.
est presque amusant, en vérité, cette pyjama party qui part en sucette à peine commencée. Les deux filles ne se supportent déjà pas et le garçon a tous les signes de l'agacement. Heureusement, le temps passe plutôt vite et ils seront bientôt débarrassés de cette histoire. Ce qui ne veut pas dire qu'ils la laisseront derrière eux. Mana n'est pas le genre à abandonner si vite. Si elle recroise l'un d'eux dans la rue, elle s'efforcera de venir leur tourner autour pour les emmerder un peu.
D'ailleurs, la rose n'est pas contre venir faire un tour dans la salle de sport, prochainement, pour prouver à la porte de prison qu'elle est plus redoutable qu'elle en a l'air. A ses risques et périls, évidemment. Un endroit pour se défouler un peu en toute légalité, ce n'est pas de refus, dans une vie comme la sienne. Manhattan a trop de frustration à faire parler. Plus personne sur qui la faire parler. Autrefois, peut-être. Quand ce débile de diable rouge était encore là pour lui tourner autour. Mais cet abruti s'est barré. Il ne reste plus qu'elle, ses poings et ses crocs.
– Tyria, souffle-t-elle, pour faire comme eux.
Judith, Gajeel, c'est noté. Elle les aura peut-être vite oubliés. Sans intérêt. Le surnom de princesse vient si naturellement aux lèvres de ceux qu'elle connait. Manhattan sourit un peu, dévoile ses dents blanches. Ça lui va, à elle. Elle se demande lequel a été le premier à le lui donner. Sûrement toujours le même imbécile, avec sa tignasse de cheveux colorés.
– Ça doit être pour ça, les brosses à dent, ricane-t-elle en pointant Judith et son fromage. Pour que le prince ne soit pas dégoûté de devoir embrasser la... (Elle la toise de haut en bas.) fille aux bois dormants, demain matin.
Clin d’œil, sourire moqueur. Tyria glousse toute seule, s'imagine l'odeur que ce doit être, ce fromage pourri. Et l'autre s'en lèche les doigts comme si c'était un délice. Deux actrices qui se cherchent des poux, sans doute. Ça l'amuse, la rose, mais son dévolu se jette soudain sur Gajeel qui ose. Il ose lui donner un ordre, à elle, comme si elle lui devait quoi que ce soit. Elle fait ce qu'elle veut, elle. Pas besoin d'un nouvel abruti, dans sa vie, pour croire qu'il peut lui ordonner. Elle profite de son absence pour regarder la brune, sans même s'intéresser au chat qui s'est posé à ses côtés. Mana n'a rien contre les chats, mais elle ne veut pas le toucher.
– Il est sûrement allé chercher la prochaine épreuve. Il a triché à la précédente, on est d'accord ? Posons un cessez-le-feu et allions-nous contre lui, pour cette fois.
Quitte à devoir lui sauter dessus pour lui tenir les bras, pendant que Judith lui fourre un plat dégueu dans la gueule. Ça ne fait pas peur à la rose. Elle tend un index en travers de ses lèvres pour indiquer à l'autre de garder ce deal secret. Il vaut mieux que Gajeel n'en sache rien, pour ne pas se retourner contre elle. Tant pis si Judith ne veut pas le faire. Le brun est aussi agréable qu'une barre de fer et Mana est bien décidée à le décoincer un coup. C'est à peine s'il a aligné trois mots, depuis le début.
Quand il revient, elle balance un peu les pieds. Ses talons claquent contre le plan de travail. Elle prend un air innocent, sourit un peu à celui qui ne sourit jamais et baisse les yeux sur le chat, qui ne veut plus la lâcher. Dégage, la boule de poils, tu fais pas le poids. Mais elle se contente de fixer la chose, sans un mot, en se demandant si ça réveillerait l'autre, de la voir la pousser par terre, sans aucune délicatesse. Presque tentant.
– Oh.
Ses yeux bleus s'éclairent de quelques étoiles à l'annonce de la prochaine épreuve. Affubler Gajeel de masques et de vernis à ongle, voilà qui est intéressant. Elle replie les jambes sous elle et prend appui sur le plan de travail, un grand sourire aux lèvres. D'un regard, elle annonce à Judith qu'elle se prépare à attaquer.
– Tu vas vite comprendre, bichon.
Mana fait exprès de l'appeler ainsi, pour le provoquer. Un homme à chat, ça ne doit pas aimer les chiens. Tant pis pour lui, ça lui va bien. Aussi grognon qu'un affreux canidé, bientôt mignon comme un chien toiletté. Elle calcule la distance et s'élance, depuis le plan de travail, pour atterrir sur le dos du brun. Son bras gauche se pose en travers de ses épaules pour ne pas tomber et elle poke sa joue, de sa main libre, l'air de critiquer.
– T'as bien besoin d'un peu de produits de beauté pour rattraper cette catastrophe. Donne-moi ça et laisse-toi faire, tu vas voir, ça va être drôle.
Manhattan tend la main et s'empare des produits, puis glisse à terre, elle ouvre la trousse, en sort le nécessaire. Les produits de beauté, c'est son domaine, à elle.
– Assis-toi, qu'on te rende belle, glousse-t-elle, en tendant la moitié des affaires à Judith.
Quitte à devoir énerver le sportif, Mana préfère embarquer la brune avec elle. Elle pourra, ainsi, se prendre quelques coups à sa place, le temps de fuir si ça dérape, n'est-ce pas ?
Judith ne se sentait pas forcément la plus à l'aise dans la maison. C’était sans doute parce qu’elle ne pouvait pas être la petite lapine surexcitée. Mais elle ne voulait pas non plus leur faire peur. Ce n’était pas forcément agréable d’être avec une personne qui bougeait dans tous les sens ou encore une personne qui parlait bien trop souvent. Alors, elle préférait être la plus discrète possible quitte à être invisible, elle s’en fichait bien. Au moins, elle se doutait bien que Mana soit la plus ravie. Elle pouvait se montrer encore plus. En même temps, les caméras présentes autour d’eux essayer de suivre tout le monde. C’était un peu compliqué dans un sens. Qu’ils étaient bien plus éloignés qu’ils le devraient. Dans le fond, la jeune femme se voyait mal être collée à deux inconnus. Baissant la tête, elle attrapa le chat qu’il était venu se caresser à ses jambes. Elle aimait les animaux, elle n’avait pas à dire le contraire, elle commença à le caresser. Avant de faire un signe de tête aux personnes qui l’entouraient. Au moins, maintenant, ils connaissaient le prénom des autres. C’était déjà une bonne chose. Elle avait quand même hâte de pouvoir se brosser les dents. Ne plus avoir ce mauvais goût ou encore juste sentir bon pour le reste de la soirée.
“Je n’embrasse pas de prince. D’ailleurs, le prince charmant n’existe pas. C’est juste un homme inventé pour faire rêver les petites filles. La fille aux bois dormants n’est pas parmi nous ce soir.”
Elle haussa les épaules, si on la prenait pour Aurore, Mana se trompait. Elle était loin de l’être. Elle n’était même pas une humaine dans le fond. Juste une petite lapine, qui avait toujours rêvé de devenir policière. Rien de bien intéressant. En même temps, elle avait toujours pensé qu’elle ne l’était pas vraiment. Elle avait sauvé Zootopie, mais elle n’avait fait que son travail. Elle regarda Gajeel partir. Venez t-il vraiment de lui dire de ne pas bouger ? C’était impossible pour elle.
Posant le chat, elle regarda la jeune femme aux cheveux roses. Elle venait de lui proposer une alliance, alors qu’elles ne se supportaient pas. C’était étrange, mais Judith ne mit pas longtemps avant d’accepter. Nuant son petit doigt à celui de Mana. Au moins, elles mettaient de côté la hache de guerre.
“Je suis d’accord avec toi. Peut-être qu’il sera moins coincé aussi. J’ai l’impression qu’il a un balai dans les fesses.”
Il n’avait pas vraiment parlé depuis que la soirée avait commencé. Peut-être qu’il n’aimait pas simplement avoir du monde chez lui. Mais si c'était le cas, pourquoi participer à ce genre d'événement. Secouant la tête, elle porta son regard sur l’homme qui venait de revenir. Regardant ce qu’il tenait dans les mains, elle était plutôt ravie. Même si, elle n’était pas très coquette. Le maquillage et prendre soin d’elle, ce n’était pas vraiment son truc. Elle faisait souvent le strict minimum et quand, elle sortait, elle mettait simplement un coup de rouge à lèvre et du mascara. Rien de bien extraordinaire.
Puis, elle vit le signale de Mana, cette dernière venait de sauter sur le jeune homme comme s’il était une poupée de chiffon. Attrapant ce qu’elle lui tendait, elle se demandait s’ils avaient assez d’une soirée pour tout se mettre sur la figure. Elle trouvait comme même ça assez marrant de mettre du vernis à un homme assez ronchon. Alors que Mana l'installait sur la chaise, enfin le forcé plutôt, Judith posa tout par terre, étalant pour mieux voir.
“Tu veux commencer par quoi ? Les masques ou le vernis ?”
Attrapant un vernis bleu, elle regarda Gajeel avec un grand sourire avant d’aller chercher un tabouret afin de pouvoir s’installer correctement. Attrapant la main de ce dernier, qu’elle coinça entre ses jambes pour qu’il ne bouge pas. Elle commença avec concentration. Elle ne voulait pas en mettre partout. C’était ce qui lui arrivait quand elle s’en mettait. De ce fait, elle avait arrêté de s’en mettre tout simplement. Elle préférait encore en mettre aux autres.
“Tu sais Gajeel, tu pourras toujours l’enlever avec du dissolvant. Ce n’est pas compliqué. Mais j’ai une question. Tu n’as pas l’air ravi de faire cette émission. Alors pourquoi la faire ?”
Autant ne pas tourner autour du pot, elle ne le faisait pas quand elle interrogeait quelqu’un. Alors, pourquoi le faire quand on posait une simple question ? Elle ne lui demandait pas forcément de dire la vérité, mais, au moins d’être sincère. Il n’y avait de pas de honte à dire qu’il s’était trompé ou encore parce qu’il voulait faire de nouvelles rencontres. Comme elle n’aurait pas honte de dire qu’elle participait pour fuir sa famille. Enfin, ils allaient sans doute regarder l'émission et elle ne voulait pas les blessés même si, ils comprendraient parfaitement son ressenti. Ce n’était pas simple de vivre dans une maison avec sept autres personnes. Heureusement, il avait la ferme qui permettait de pouvoir s’enfuir et souffler pendant un temps. Au moins, dans ces moments-là, elle n’avait aucune question puisqu'elle partait dans un périmètre plus que sécurisé pour ses parents.
“Et toi Tyria, pourquoi avoir fait l’émission ?”
Gajeel Redfox
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Pardon ? Dors chez qui ... ?Manatthan + Judith + Gajeel = La pyjama party que personne ne voulait
Gajeel espérait bien ne jamais revoir les jeunes femmes… déjà parce qu’il n’était pas l’homme le plus sociable du monde … mais en plus parce qu’il n’aimait pas les gens … C’était pareil ? Non, il y avait une nuance … Peut être que si elles faisaient l’effort de faire des cours à Punch, ou des séances à Purge, il pourrait faire l’effort ne pas … être agacé … Mais bon … malgré des années à se mentir, et à mentir au monde, certainement chose continuait à s’écrire sur son visage assez vite. Comme l’agacement. Comme la colère.
Gajeel nota le prénom de la rose … et l’oublia presque aussi sec … C’était si compliqué de se souvenir des prénoms des gens … et si inutile… Lui en avait eu tellement pour cacher la vérité qu’il ne se formaliser plus …Bien que Gajeel soit celui qu’il utilise en ce moment. Gajeel ne préféra pas écouter la jeune femme en train de parler d’embrasser … ça lui ferait mal … et il y avait bien plus de chance que les deux chatons décident de les réveiller à coup de léchouilles.
Gajeel avait de la magie en lui, assez pour entendre la discussion des jeunes femmes et d’avoir clairement envie de partir encore plus vite… il avait bien envie d’aller tuer tout de suite Samuel pour ce qu’il lui avait fait … Tout de suite … Gajeel laissa tout et observa la jeune rose d’un œil. Au pire, il le ferait, et on ne pourrait plus JAMAIS lui dire qu’il ne fait pas d’effort. Gajeel sentit une personne sur lui et l’observa.
- Tu devrais faire un régime.
Fut les paroles qu’il dit pour se défendre de son attaque. C’était pourtant faux. Déjà il était super fort et ensuite elle était légère … mais pour la forme lui dire qu’elle devrait perdre du poids, pour une personne comme elle, ça ne passait jamais trop. Il l’observa et fronça les sourcils. Elle pouvait lui coller autant de produit sur la gueule qu’elle voulait, il aurait toujours sa peau … la même … surtout s’il devient en métal … mais il utilisera peut être ça plus tard… Bien … bien plus tard. Il se laissa faire ensuite dans un visage de lassitude énorme. Lui n’avait pas compris être filmé, et même s’il l’aurait su, il aurait toujours fait cette sale tête.
N’empêche, on ne pouvait pas mettre les deux jeunes femmes dans la catégorie des « bonnes personnes » pour lui (en comparaison de la créa qui vous adore je le rappelle au passage). Les personnes gentilles n’obligeaient pas les gens qui ne voulaient clairement pas être là, à faire des choses.
- vernis
Dans son monde, il avait du vernis. Du vernis noir. Pas tout le temps, et surtout à une époque … étrange dont il ne voulait pas y penser. Gajeel la laissa faire, et il soupira un grand coup.
- Je te ferais remarqué, et toi aussi l’asperge là, que pour le vernis il y a un jeu à faire … Tu es en train de ne pas du tout faire les règles. Et après on dit que je triche.
Leur faisant savoir au passage qu’il les avait entendus, et qu’il ne disait rien. Il la regarda faire et fronça les sourcils…Du disolvant ? Il ne savait même pas ce que c’était … mais il demanderait à Liliann…Certainement la seule qui pourra empêcher Gajeel de tuer Samuel, et de le calmer sur toute cette histoire … en faite... Gajeel avait l’impression qu’on était entré chez lui sans sa permission … ce qui était le cas, sinon la nourriture n’aurait pas été caché, et ça ne lui plaisait pas du tout ! Et quand elle posa THE question, on pouvait voir qu’il se mit à s’énerver encore.
- Je ne suis pas ravi. C’est mon sale trou du cul d’employé qui m’a inscrit en disant que ça allait me « sociabiliser »… Et je ne pensais pas qu’il le ferait vraiment … mais faut pas déconner, si je ne voulais pas le faire, c’était pour une raison évidente non ?
Est-ce qu’on avait besoin de faire un dessin pour comprendre que … en effet … il n’était pas heureux d’être ici ? Est-ce qu’il avait besoin de faire un power point ? Non, ça se sentait qu’il avait envie de se barrer de sa propre maison … peut être la vraie raison qui le forçait à rester ici.
- Donc, demain il est mort.
Et il était tout à fait sérieux … Samuel avait fait un contrat pour lui donner ses organes s’il venait à ne pas pouvoir payer ce qu’il doit payer … même si c’était son employé … et le pousser depuis un pont ne lui ferait (il le pense sous la colère) ni chaud ni froid ! Il en serait même ravi ! Lui, il ne posa pas la question à la jeune femme … il préféra attendre qu’elle finit. Puis il vit une crème… Il s’approcha de celle-ci et en mit une partie sur la main. Et dans un geste rapide mais non violent, il approcha sa main plein de crème de la joue de la rose. Ça c’était une vengeance pour elle, il trouvera plus tard pour Judith… Bien sur, son geste pouvait être éviter par Manhattan si elle le veut.
u'il est grognon, le petit chaton aux griffes émoussées. Il grogne, il crache, mais il ne fait rien. Rien que de montrer qu'il n'a pas envie d'être là, sans faire le moindre effort. Elle en a marre, Manhattan. Elle ne veut plus le voir, Manhattan. Pourtant, elle ne fait pas chier le monde, elle. Elle reste sage, ou presque sage. Elle ne va pas dire à tout le monde qu'elle veut être partout ailleurs sauf chez lui.
Il ose l'insulter, en plus. Lèvres retroussées sur ses dents blanches. Elle a très envie de mordre pour le lui faire regretter. Mana n'a pas besoin de régime, elle a le poids parfait, juste ce qu'il faut de peau, de muscles, de chair et rien d'autre. Plus souple que ses chats, elle descend de son dos, aucune pudeur pour la princesse peu habillée contre l'ours des cavernes en caleçon, pas intéressée. Elle préfère les hommes qui savent réagir, à ses provocations. Que ce soit pour lui dire oui ou non.
Maintenant que Gajeel est bien assis sur son siège, Judith devant lui pour s'occuper de ses mains, Manhattan regarde le reste de l'appartement. Elle reste à côté d'eux, le temps de s'inquiéter de son ameublement, à la recherche d'une chaîne Hi-Fi à brancher pour s'amuser un peu. Elle aime danser, la princesse aux cheveux roses. Remuer les hanches, balancer la tête, ne plus penser qu'aux rythmes qui grondent, dans tout son corps.
– Si t'avais de quoi écouter de la musique, tu serais un peu plus aimable, tu sais ? Ça détend.
Elle a peine le temps de se retourner vers lui, maintenant qu'elle a constaté l'absence de chaîne Hi-Fi dans sa maison aussi chiante que la mort, que Gajeel tend une main pleine de crème vers sa joue. Une grimace au visage, la rose sent le froid de la crème, sur sa peau, et recule de quelques pas. C'est quoi son problème ? Peut-être parce qu'elle les a copieusement ignorés. Rien à faire de leurs questions à la con, mais puisqu'on lui demande de répondre...
– Une raison évidente ? Laisse-moi voir... parce que t'es chiant à mourir ? Tu crois qu'on est heureux d'être chez toi ? Pourtant, on fait pas la gueule dans un coin en attendant que ça passe. Si t'étais un peu moins antipathique, t'aurais peut-être pas besoin de te sociabiliser.
Bon, au moins, ils pouvaient compter sur Manhattan pour être honnête. Elle ne compte pas faire des détours inutiles parce que Gajeel a la musculature d'un athlète professionnel. Il n'a qu'à la frapper devant les caméras, qu'ils ricanent tous un coup. Sa tête sur toutes les télés, ce sera parfait pour pousser quelques amis de la rose à lui faire sa fête.
– Je ne l'ai clairement pas faite pour me sociabiliser, répond-elle en se tournant vers Judith. Je pense que t'as très bien compris pourquoi. Maintenant, à ton tour, dis-nous ton petit secret, chérie.
En attendant, elle récupère l'excédent de crème, sur sa joue, et le garde en main pendant qu'elle masse le reste, contre sa peau douce, pour profiter des bien-faits du cosmétique. Ce qui lui donne, au passage, le temps de réfléchir à ce qu'elle fera de toute cette crème. Même si la cible est toute trouvée : elle sépare le reste de crème en deux parties et, de chaque main, l'écrase sur les joues de ses camarades d'infortune.
– Massez bien, dans ce sens-là, vous verrez. Enfin, toi... tu peux pas.
Les ongles pleins de vernis humide, le temps que Judith finisse de le peinturer, Gajeel ne peut pas se masser les joues. Mana grimace à ce constat, loin d'elle l'envie de lui faire pour lui. Pourtant, le but est bien de lui mettre un masque et elle s'appuie nonchalamment sur son épaule pour, d'une main pas du tout motivée, étaler la crème sur son visage d'abruti.
– Bien, avoue ton crime à la télé, comme ça on aura pas besoin d'appeler les flics. Tu veux pas te décoincer un coup ? Dis-toi que si t'es beau devant les caméras, tu auras quelques clients en plus dans ta salle de sport, ajoute-t-elle, plus bas, pour ne pas être entendue par les caméras.
Elle ne sait pas vraiment où sont les objectifs, mais elle sait que tout sera retransmis à la télévision. Sinon, Manhattan ne se serait jamais inscrite, même pour fuir un colocataire qu'elle ne supportait plus.
– Allez, Juju, mets-lui du rose sur l'annulaire, ça ira bien avec le bleu des autres doigts, ricane-t-elle, en appuyant un peu plus fort sur l'épaule et la joue de Gajeel. Tutut ! On bouge pas, sinon ça va être un désastre. Promis, après, tu pourras te venger sur moi et me mettre de la crème ou du vernis où t'en as envie.
Ou comment lui passer l'envie de se venger, avant même que l'idée ne lui traverse l'esprit. Manhattan appuie sur les sous-entendus, d'un ton grave, pour qu'il comprenne qu'il risque de regretter de se prêter au jeu avec elle. Ce qui lui va bien, à elle, puisqu'elle déteste être touchée contré son gré. D'un regard en biais vers Judith, elle lui indique plus ou moins que si quelqu'un doit la toucher, elle préfère encore que ce soit elle. Même si elle s'en passerait bien, Mana. Mais bon. Il faut jouer le jeu pour gagner le gros lot.
Judith sentait doucement la tension monter dans la pièce. Elle ne savait pas vraiment comment aller se dérouler le reste de la soirée, sans doute en fiasco. Les personnes présentes n’avaient aucun point en commun. Et le fait de devoir se supporter faisait que les personnes n’arrivaient simplement pas à communiquer comme ils le voudraient. Pour Judith n’aimait pas ça. Elle, qui aurait tendance à sauter partout, à faire la folle, restait dans son coin à attendre que le temps passe. La nuit était loin d’être finie, et elle en avait déjà marre. Pouvait-elle partir ? Il avait de fortes chances que non. Puis gagner était une chose, mais se sentir bien en était une autre.
Elle avait essayé de détendre les choses, mais elle n’aurait jamais pensé que Mana puisse répondre à la place d’une personne. Non, elle avait posé la question à tous les deux, et attendait une réponse de la personne concernée. Maintenant, elle comprenait pourquoi Gajeel n’était pas forcément ravie de cette soirée, on l’avait obligé. Il ne s’était sans doute pas préparé à recevoir des personnes chez soi. Personne ne l’était en vrai. Puis, il n’avait pas que deux, non, il avait toutes les caméras pointaient sur eux. Et ça n’arrangeait sans doute pas le fait que Judith soit encore plus stressée. Elle aurait tellement les rencontrés dans d’autres circonstances. Bon, elle n’aurait sans doute jamais parlé avec Mana, mais il avait un début à tout.
“Je suis venue pour échapper à ma famille. Je sais que ce n'est pas une super raison. Mais j’avais besoin de souffler un petit peu. Mais je n’aurais jamais pensé que cette soirée se passe comme ça. On a l’air d’être trois grognons qui ne savent pas vraiment quoi faire.”
Judith finissant de mettre du vernis sur les ongles de Gajeel quand elle sentit de la crème sur son visage. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, alors qu’elle finissait de mettre du vernis au brun. Elle lui lâcha les mains avant de se lever, regardant contente de son œuvre.
“Voilà. Je vais te mettre la crème. Si, elle sèche, ça va te faire une croûte et ce n’est pas vraiment agréable.”
Judith posa ses mains doucement sur le visage du jeune homme avant de commencer à étaler la crème, dans un mouvement doux et lent. C’était bien plus elle comme ça, douce et gentille. Elle n’était pas une personne brusque, loin de là. S’éloignant de Gajeel après avoir fini, elle se leva pour étaler sa crème et pouvoir aller se laver les mains. Revenant vers eux, elle s’installa sur le canapé avant de caresser un des chats du propriétaire.
"Vous voulez faire quoi ? Gajeel que proposes tu ? "
Il faisait partie du groupe alors il avait son mot à dire, chose qui n'avait pas fait depuis qu'ils étaient ensemble. Alors autant qu'il puisse dire ce qu'il pensait réellement. Alors elle lui adressa un petit sourire tout en continuant de caresser le chat. Puis, Judith attrapa a son tour du vernis vert, qu'elle commença à mettre sur les ongles de pieds.
Gajeel Redfox
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Pardon ? Dors chez qui ... ?Manatthan + Judith + Gajeel = La pyjama party que personne ne voulait
Gajeel en avait marre, comme depuis le début de cette histoire en réalité … et il se forçait de plus en plus à « essayer » et c’était le maximum qu’il pouvait faire… Il soupira simplement à l’attaque de la rose et à sa détermination pour le faire chier. Ok, il se laissait mettre du vernis et mettre de la crème, mais elle ? Elle non, et ça ce n’était pas juste. Il l’observa et lui répondit simplement d’un regard, qu’on pourrait presque croire en train de sourire.
- Tu comprends mieux pourquoi je ne suis pas aimable, je n’aime pas la musique, et je pense que je n’ai pas assez de chaine pour avoir une chaine musicale.
Comme il l’avait dit, ou pensé, il n’avait pas de chaine à cause d’un souci dans son antenne … sauf qu’il n’avait jamais fait l’effort d’aller vérifier et comprendre pourquoi. Le peu de chaîne qu’il possédé était amplement suffisant. Ce que la rose ne pouvait qu’ignorer c’est qu’il avait adoré la musique à une époque révolue. Juste … avant. Il n’avait pas écouté la musique, ou chanter, ou toucher une guitare de toute cette vie … et cela même pendant la malédiction …
- Je n’ai jamais voulu sociabilisé, et donc je peux rester antipathique.
Et il lui fit une grimace, mi-hautain, mi-amusé, c’était toujours pas un sourire, mais c’était déjà quelque chose de plus marrant. Il se laissa faire en regardant la jeune femme … elle lui rappelait vaguement quelque chose … mhhh … mais il ne pouvait pas savoir quoi … en faite, la rose lui rappelait une version plus humaine de Gabrielle quand elle s’énerve … et pas sur que ni l’une, ni l’autre, n’apprécie la comparaison.
- Mon crime ? Qui te dit que j’en ai qu’un seul à mon actif ?
De toute façon personne n’avait jamais fait le rapprochement entre Gabriel, Garrett et Gaspard, il pouvait donc dire tout ce qu’il voulait. Gajeel, en tant que lui-même, n’avait jamais commis aucun crime … Fin …sauf si cogner des mecs qui en valent pas la peine était un crime oui, mais on ne pleurait jamais pour un petit coup de poing. « Ou tu en as envie » lui fit attendre la fin de son calvaire tranquillement.
Il observa le jeu de regarde entre les deux femmes et il comprit que même s’il rêvait de mettre du vernis sur la tête de la rose, elle n’apprécierait pas… peut être avait elle peur du toucher des hommes si ce n’était pas elle qui donnait l’impulsion ? Il ne pouvait pas le dire et se dit qu’il était préférable de ne pas la brusquer. Il ne donna pas d’autres coups de vernis sur son visage.
- Pour t’échapper à ta famille, tu as aussi la technique de venir tout casser au purge tu sais. Il est fait pour ça.
Il haussa les épaules. Cela faisait toujours du bien de pouvoir casser quelque chose, ou juste se vider la tête, quand on n’allait pas bien. La jeune femme, comme l’autre jeune femme, pouvaient toutes les deux venir pour casser des choses … il leur offrira peut être la première séance par pur gentillesse … peut être s’il était d’humeur.
Ils continuèrent de se mettre des produits chelous sur la face, il était sur que demain il allait avoir des boutons … ou devenir bleu ou autre … après tout, il ne pouvait pas savoir avec la chaine ce qu’ils allaient faire. Il réfléchit une petite seconde et observa les alentours … C’était un peu le bordel dans sa maison, oui juste avec deux femmes ça faisait désordre, et il ne le sentait pas très bien.
Plus tard, il ferait en sorte de faire oublier cette soirée assez désastreuse par une sortie qu’il devait faire … plus tard pas maintenant, mais il le ferait. Il devait passer à la fin du mois dans une boutique à New York pour les affaires … peut être pourrait il leur proposer de venir en même temps pour se faire pardonner ? C’était une idée qu’il garda en mémoire. A la question posé pour savoir quoi faire, il observa les jeunes femmes… Il réfléchit ….
- On peut ….
Il n’avait rien à faire dans sa main … genre … vraiment rien … Il réfléchit un instant et il savait pouvoir trouver des idées, mais ses mains restèrent inerte. Il ne fit pas les quilles et les boules dont il avait imaginé le dessin. Il soupira. Il se leva sans même faire attention à son vernis… qu’il soit mal fait c’est le dernier de ses soucis. Il monta sur la mezzanine et trouve sur le lit une enveloppe … encore une … Gajeel leva les yeux au ciel. Il la lu … Et oups …
- les filles …
Il se rapprocha de la rambarde, se tenant dessus, de toute façon le métal ne lui faisait jamais faux bond. Il montra la lettre aux filles, la tenant comme si c’était une feuille de verre … bien que cela ne lui ferait pas de mal.
- Il est écrit que si on veut gagner une belle récompense –je vois pas ce que ça pourrait être mais je suis sur que ça sera moisi- il faut dormir ensemble et dans le lit… Heureusement que j’ai un lit assez grand tout de même, mais ça reste la règle imposée.
Pendant qu’il avait parlé, il avait fait un avion en papier pour leur envoyé doucement. Se posant sur la rambarde, il attendit leur verdict, oubliant totalement la raison qui l’avait fait monter –chercher un jeu à faire-
- Il est pas préciser si on est obligé de dormir où pas… personnellement ça m’étonnerait, et si vous voulez vraiment gagner j’accepte de dormir avec vous à condition qu’on fasse un pacte de paix pour ne pas se faire des crasses si on s’endors. Cela vous convient il ?
Dit il alors que malgré lui, comme un geste instinctif, il était déjà en train de gratter le verni sur un de ses ongles. Ça le grattait, il gratte, il retira sa main quand il remarqua en mettre partout.
h. Le danger qui brille, soudain, entre eux. Judith a à peine ouvert la bouche que Manhattan a très envie de la forcer à la fermer. Échapper à sa famille, bah tiens ! enfant pourrie gâtée, elle n'en doute pas. Il n'y a que ceux qui vont bien, pour se plaindre à longueur de journée. Ceux qui ont tout, pour réclamer davantage. Mana sait qu'elle ne doit pas répondre, mais elle ne peut pas s'en empêcher. L'envie de cracher au fond de la gorge.
– La petite chérie ne sait pas la chance qu'elle a. Quand t'auras plus personne à fuir, tu feras moins la maligne, poupée.
Sourire mauvais sur ses lèvres roses, Manhattan détourne le regard. Orpheline depuis tant d'années, la elle aurait dû s'habituer à ce genre de commentaires. Elle ne peut pas savoir, la brune, qu'elle a, devant elle, une gamine qui a vu ses parents mourir. Pourtant, la rose saute dans le piège à pieds joints, ne peut pas s'empêcher de prouver qu'elle n'aime pas ce qu'elle dit, qu'elle aimerait, elle aussi, avoir quelqu'un à qui échapper.
Mais il n'y a plus que Manhattan dans sa vie. Les autres ont tous fui.
Judith s'empresse de tripoter le brun et Mana s'écarte pour leur laisser le champ libre. Elle a voulu être un peu sympa, à peine, elle est écartée du tableau d'un revers de main. Bien. Ne jamais s'abaisser au niveau des autres, elle le sait, pourtant. Elle en a déjà fait les frais. Se rapprocher du monde, c'est lui donner l'occasion de trahir. Couteau planté dans le dos.
Gajeel propose le purge, à Judith, et Mana se demande si elle ne peut pas venir, elle aussi, faire parler ses poings comme elle aime si bien le faire. Cesser de frapper les vivants pour s'acharner sur l'inanimé. Est-elle tombée si bas ?
Dans un silence qui ne semble peser que sur elle, Manhattan se plaît à poser, sur ses joues, les cosmétiques. Être belle est une occupation vitale, pour la rose, le seul moyen qu'elle a trouvé pour attirer les regards, quelques mains tendues vers elle. Si elle ne dit rien, c'est parce qu'elle en a marre, qu'elle voudrait rentrer, se perdre dans un coin de sa chambre à soupirer. Sauf qu'elle n'a plus de chambre à l'orphelinat, ni de faux prince charmant pour l'attendre en bas. Il ne lui reste que ses longues nuits dans les bars, à danser et boire jusqu'à être virée.
– Dormir ensemble ?
Manhattan revient sur terre et lève ses yeux bleus sur Gajeel, dans sa mezzanine. Elle ne veut pas dormir, elle, montrer au monde entier (ou presque) cette façon toute à elle de passer la nuit. Elle ne veut pas prendre ce risque. Peu ont vraiment eu le droit de la voir dans cette faiblesse toute à elle qui lui vient d'une autre époque. Endormie, Manhattan a plus à voir avec la Belle au bois dormant que ses compagnons du soir ne peuvent le penser.
– Ça me va, lâche-t-elle, en soulevant ses cheveux roses. Mais je ne dormirai pas, je vous préviens. Je suis un oiseau de nuit.
Une information qu'elle lâche avec un sourire étrange qui donne, tout de suite, une allure différente à ses mots. Mana a, après tout, des restes de celle qu'elle fut, dans le sang. Une revenante prête à croquer les vivants, en sautillant sur le bitume de sa campagne.
– Arrête de te gratter, l'abruti, soupire-t-elle, en grimpant dans la mezzanine. Utilise ça, plutôt. Toute cette histoire, c'est du grand n'importe quoi, de toute façon.
Soûlée, Manhattan est plus docile. Elle tend à Gajeel du coton et du dissolvant, puis vient s'asseoir dans le coin le plus reculé du lit, pour s'appuyer contre le mur. Elle pourrait rester là des heures, à ne rien faire, même dans le noir, que ça ne la dérangerait pas. Au point où elle en est, de toute façon...
– Bonne nuit les tourtereaux. (Elle ricane, ses yeux brillants posés sur eux.) Ne vous tripotez pas trop, je vois très bien dans le noir et j'ai pas envie de voir ça.
Elle aurait donné cher, la jeune femme aux cheveux roses, pour avoir le droit d'avoir son téléphone avec elle et emmerder ses contacts tout le reste de la nuit. Mais elle ne l'a pas et elle ne peut qu'attendre que le temps passe, en se demandant ce qu'ils auront gagné pour avoir joué le jeu. Si c'est de la merde, elle fait un scandale.
Gajeel Redfox
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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Personnage abandonné
| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Gajeel Redfox
Pardon ? Dors chez qui ... ?Manatthan + Judith + Gajeel = La pyjama party que personne ne voulait
Gajeel n’avait rien dit sur la réponse de Mana à Judith …. Tout comme Judith n’avait rien dit. Lui avait tué son père, et laisser sa mère mourir, alors question famille … il ne savait pas s’il n’aurait pas mieux fait de la fuir depuis le début … mais ce n’était pas son soucis. Il haussa les épaules. Qu’elles ne dorment pas si elles le veulent.
- Ceux qui ne dorment pas auront le droit à deux monstres à câliner, elles se calment entre trois heures et quatre heures du matin.
Il ne savait pas s’il dormirait, en vérité il ne savait même pas l’heure qu’il était …. Peut être devrait il investir dans un radio réveil qui projette l’heure sur le plafond … mais qui s’éteins la nuit, et la journée quand on ne pourrait pas le lire. Il ne dit rien au fait d’être un abruti, et prit ce qu’elle lui donnait. Il était censé en faire quoi ? Le boire ? Puis, il lit qu’il ne fallait pas l’ingérer … ce n’était pas le boire alors bien que lui ne mange que du métal la plupart du temps. Il prit le coton, et continua à gratter tout en passant le coton imbibé dessus. Pourquoi ça le grattait comme ça ?
Mana se mit dans un coin du lit, loin. Judith se mit au bas du lit. Alors que Mana avait clairement fait comprendre qu’elle pouvait voir dans le noir, Gajeel réfléchit. Il se déplaça et trouva des vieux magazines qu’il avait sur la boxe…. Et une BD qu’on lui avait offerte sur des chats… Chi ou quelque chose comme ça. Les gens pensaient que ça allait le faire rire alors qu’il avait déjà deux monstres chez lui. Il les posa à côté de Mana.
Judith aussi pouvait bien sur lire les quelques ouvrages qu’il avait trouvé pour mettre dans le lit… mais elle aurait un peu plus mal aux yeux. Il se mit à côté de Mana, de l’autre côté, les pieds rabattus pour laisser, en bas du lit mais sur le lit, toute la place en verticale à Judith. Il se tourna dos à elle. Lâchant un bonne nuit, il s’endormit lui….
Bien qu’il fut réveillé très tôt par deux chats venant lui demander de manger tout de suite. Une ses fesses sur son visage, l’autre en train de faire ses griffes sur son buste… et les deux en miaulant si ça n’aidait pas. Gajeel n’avait pas ronflé, il ne ronflait jamais. Les jeunes femmes avaient elle dormi ? Il ne pouvait pas le savoir. Il se leva tout de même sans un bruit pour se jeter par-dessus la rambarde, les chats toujours accrochés à son visage et sortit de quoi les nourrir.
Sur son bar, là où normalement il faisait à manger pour les deux monstres, il y avait trois paniers. L’un remplit de boulon, ça c’était pour lui, et le reste remplit très certainement de choses que les jeunes femmes appréciaient …. Est-ce qu’il venait de voir une carotté dépassé ? Pas son problème, si y avait des fous mangeant des légumes le matin ce n’était pas son problème. Il rangea son panier de boulon dans un coin, pour les garder précieusement et trouva le coffre.
Il l’ouvrit. Dedans … une VHS … avec un mot. "Slife vous remercie de votre participation et vous offre la VHS de votre soirée ! Amicalement, l'équipe de Slife." Valait il mieux ne rien avoir du tout, ou montrer aux filles le super cadeau pour cette soirée ? Il soupira.
Les deux jeunes femmes se levèrent très vite après son saut à lui, et étaient déjà en train de descendre, il fallait qu’il choisisse la meilleure idée. Il était sur que ni l’un ni l’autre n’apprécierait d’avoir souffert seulement pour une k7 vidéo qu’elles ne pourront peut être même pas regardé. Il réfléchit …. Puis après tout, c’était bien si Mana faisait un scandale auprès de la chaine, ça leur ferait les pieds non ? Elle descendit et il lui jeta.
- Attrape. C’est le cadeau de la chaîne pour ceux qui ont joué le jeu jusqu’au bout.
Parce que lui n’en voulait pas, Judith il ne pensait pas plus, surtout vu ce qu’elle en dit dedans… Mana allait très certainement la détruire. Il n’écouta pas si Mana fit un commentaire sur la super récompense, et il se fichait bien de savoir ce qu’elle allait en faire.
Après que les filles ont mangés ce qu’elles aiment, elles ont pu se changer à nouveau et repartir chez elles. Certainement avec l’impression d’avoir perdu leur journée / soirée / nuit dans la volée. Gajeel retrouva son téléphone portable et appela Samuel… répondeur.
- Samuel …. Mon cher employé, vient aujourd’hui travaillait et je te mets la tête dans le mur. Cordialement.
Et il raccrocha. Clairement, il n’avait pas envie de le voir aujourd’hui… voir Liliann en revanche ça pourrait lui faire du bien au moral. Il observa l’heure sur son téléphone et réfléchit à où il pouvait aller chercher cela. Il avait sa petite idée. Il prit ses affaires et partit pour aller acheter des pains aux chocolats, des croissants et des fleurs (en pot parce qu’elle n’aime pas les fleurs coupés) pour lui mettre dans son bureau. Puis, il retourna se coucher.