« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
☾☾ Gabrielle avait passé un début de mois de Janvier sur un nuage. En vérité, depuis le 31 Décembre elle était sur un petit nuage dont il était difficile de la faire descendre. Forcément, Sloan l’avait demandé en mariage ! Elle qui pensait simplement qu’il l’avait amené pour fêter la nouvelle année dans le magnifique paysage de Moscou ! Elle s’était trompée, il n’y avait pas que ça ! Il n’y avait pas que les paillettes, la gastronomie, le shopping, il y avait aussi l’amour ! Clairement elle avait été prise par surprise, avait versé toutes les larmes de son corps en se jetant sur lui, presque à l’en faire tomber. Bien sur qu’elle attendait cette demande depuis la première fois qu’elle l’avait vu mais elle savait que parfois -souvent- elle pouvait prendre ses rêves pour des réalités. Elle était déja très contente que Sloan ait accepté de sortir avec elle après quelques mois de badinages et de dragues, il ne fallait pas qu’elle mette la charrue avant les bœufs. Puis il l’avait fait, il y a quelques semaines, et Gabrielle était très heureuse. Néanmoins, il n’y avait que l’amour qu’elle portait pour Sloan dans sa vie. Il y avait aussi le travail. Cela allait faire bientôt deux ans que Queenie était partie et elle savait qu’elle n’allait pas revenir de si tôt. Alors, Gabrielle avait réfléchit, discuté avec Mickaël, demandé conseil à Aki, lui qui travaillait dans une énorme entreprise et elle avait pris sa décision. Elle voulait que la pâtisserie soit la sienne. Elle faisait déjà le travail de gérante vu qu’elle s’occupait de toute la paperasse administrative. Autant mettre définitivement son au registre du commerce. Or maintenant qu’elle allait se marier, cela changeait la donne.
Marchant dans les couloirs du manoir, elle toqua à la porte avec une certaine appréhension mine de rien.
“Sloan ? Est ce que je peux te déranger quelques minutes ?”
Elle savait qu’il n’aimait pas trop être dérangé, mais elle avait reçu la réponse de Queenie la veille, et elle ne voulait rien cacher à son futur mari.
'Entre, je t'en prie.'
Sa voix rauque resonna à travers le bois et Gaby ouvrit doucement la porte. Sloan était occupé malgré l’heure précoce de la matinée. Il leva immédiatement la tête quand elle rentra dans la pièce. Il contourna son bureau pour venir l’embrasser tendrement avant de l’observer.
'Que puis-je faire pour toi ?'
Elle l’embrassa en retour avant de baisser un peu la tête et de passer une de ses grandes mèches blondes derrière son oreille.
“Tu sais, j’ai beaucoup réfléchi par rapport à ma situation professionnelle … et ça ne peut plus continuer.”
Sa voix était douce mais ferme, montrant une volonté de changer. Elle se recula de quelques pas pour observer le visage de son amour, qui l'incitait à continuer.
“J’en ai parlé avec Queenie, il y a quelques mois de ça, bien avant que tu me demandes en mariage, et je suis arrivée à la convaincre de me céder le Fantasia.”
Elle eut un léger sourire tout en continuant dans la foulée.
‘Enfin pas céder, parce que c’est une entreprise qu’elle a entièrement construite, elle est partie de rien pour arriver à une pâtisserie énorme, qui marche beaucoup et avec un beau projet aussi derrière. Alors je lui ai dis que je voulais acheter les murs ainsi que le fond commercial, pour en être la propriétaire exclusive, continuer son oeuvre, continuer à l’agrandir et elle a accepté.”
Gabrielle parlait avec les mains et l’enthousiasme qu’elle avait pour les nombreuses idées qui passaient dans sa tête se retrouvait sur son visage et dans son langage corporel. Surtout quand Sloan, qui l’écoutait avec attention, hocha la tête en souriant.
"C'est une merveilleuse idée. Tu mérites amplement d'être a la tête de cet établissement, tu le gérés avec brio depuis le départ de Queenie."
Elle savait qu’il accepterait. Ce n’était pas tant ce sujet là qu’elle avait un peu peur d’aborder. Non, c’était celui qui allait arriver après.
"Du coup, j'ai décidé de faire un crédit à la banque. Vu que nous allons nous marier, il est normal que je t'en parle." "En revanche... Pourquoi veux-tu faire un prêt ? Nous avons l'argent nécessaire pour ce projet."
Voila. Elle savait. Bien entendu elle était au courant de sa fortune, mais profiter de quelques cadeaux et de quelques voyages n’étaient pas la même chose. Elle s’était toujours construire seule. Elle avait travaillé depuis qu’elle avait 11 ans pour subvenir aux besoins de sa petite fratrie. Jamais elle n’avait demandé de l’argent et ce n’était pas aujourd’hui que ça allait commencer. Or, elle connaissait Sloan, elle savait comment il était généreux avec elle, et elle se doutait bien de sa réaction;
“Et bien …Je ...parce que ... il s’agit d’une grosse somme malgré tout, même si au final, elle passe sur le fond commercial. Rien que les locaux ont été estimés à 120 000 Dollars. La conseillère bancaire m’a expliqué que si en plus je voulais faire quelques travaux, ouvrir une succursale et revoir les salaires , je devrais emprunter 300 000 Dollars.”
Elle passait ses mains dans ses cheveux, une petite moue sur le visage avant de reprendre.
“C’est mon projet, je ne savais pas qu’on allait se marier avant c’est pour ça que je me suis dis que le prêt était une solution possible.”
Sloan la regardait comme si elle était un chaton adorable. Il s’approcha d’elle pour lui prendre les mains et déposer un délicat baiser, ce qui la fit glousser.
'Gabrielle, tu es, tu seras bientôt plutôt mon épouse. Ce qui est à moi est à toi. Et si tu veux te lancer dans ce projet alors, je le veux aussi.' “C’est pour ça que je voulais t’en parler.”
Elle s’était empressée de lui dire, comme si elle craignait qu’il pense qu’elle fasse des cachotteries mais il n’avait pas l’air de penser ça. Il lui fit un baiser sur le front avant de retourner à son bureau, d’ouvrir un tiroir pour sortir un chéquier.
“300 000 dollars, c' est bien cela ?”
Gabrielle n’eut le temps de rien dire qu’il lui tendit le chèque avec la somme inscrite. Forcément, ses yeux s’agrandirent et un vent de panique souffla sur son cerveau.
"Mon argent est autant à moi qu'à toi.” “Mais Sloan … c’est énorme … je … non… tu dois en parler à tes soeurs avant !? Je ne voudrais pas du tout qu’elles pensent que je t’épouse pour me servir !”
Son ton était monté dans les aïgues. Elle n’était pas comme ça. Bien sur, oui, elle aimait les belles choses, les manteaux, les chaussures, mais ce n’était pas la même chose ! Jamais elle n’aurait quémandé une somme pareille. Sloan remarqua qu’elle n’était pas bien, et lui attrapa encore les mains, se rapprochant d’elle pour la rassurer avec tout l’amour du monde.
'Ma chérie... Mes sœurs, malgré tout l' amour que je leur porte, n'ont aucun droit de regard sur mes comptes. Et si je décide de te donner cet argent, je suis le seul décisionnaire.'
Son sourire prit une drôle de tournure.
'La réalisation de quelques bonnes copies, selon les manières de l' époque, de quelques tableaux célèbres, afin de remplacer les véritables œuvres au sein de différents musées tout autour du globe-pas pour les voler, mais simplement afin de les protéger de l'érosion de notre époque mode-nos lumières sont bien plus vives que la lumière du 16eme siècle, les luxmètres détruisent peu à peu les pigments, une vraie catastrophe !- sont facturables plusieurs centaines de millier de dollars. Alors vraiment, j'insiste, je souhaite t'aider à réaliser ce projet.'
Elle avait appris qu’il réalisait des faux tableaux. Ce n’était pas bien mais en même temps, tant qu’il n’y avait pas morts d’hommes et que des innocents n’étaient pas touchés, ce n’était pas si grave. Après tout, il aidait les musées à réavoir des pièces ou permettait aussi à d’autres gens d’obtenir des œuvres d’art. C’était gentil !
“Qui plus est... Je suis celui qui a choisi de m' offrir à toi pour le restant de mes jours. D'une certaine façon, j'ai choisi de te servir. Corps... me... Argent... Tout à la fois.'
Elle pouvait entendre une pointe d’humour et un ton qui sonnait très langoureusement. Il monta ses mains au niveau de sa poitrine pour lui faire faire quelques pas de danses. Forcément, Gabrielle n’était pas insensible. Elle poussa un petit soupir, rigola même, se laissant faire avant de lui donner une petite tape sur l’épaule.
“Si tu le dis … même si l’on avait dit que l’on ne parlait pas de ce sujet… Au moins, je pourrais dire que cet argent que tu obtiens … bref”
Sa main passa de son épaule au devant de son visage, faisant un petit mouvement de poignet comme si elle ne voulait se débarrasser de ce sujet là.
“Je vais garder le projet associatif de Queenie. Au niveau des employés au sein même de la pâtisserie, il n’y aura que des jeunes femmes dont la vie n’a pas été un cadeau et qui pourront trouver un foyer pour se reconstruire à travers le travail. Merci beaucoup”
Quelques larmes coulèrent le long de ses cils et Sloan vint lui embrasser le haut de sa pommette. Elle se colla à lui, passant ses bras autour de son cou, mettant sa tête quelques instants contre pour sentir son odeur.
“Tu le sais ça, que je t’aime à la folie de la passion de l’amour ?!” “Tout autant que moi, je t'adore avec la déférence que l'on doit à une déesse.”
Ils dansèrent pendant quelques minutes, comme ils aimaient le faire, coller l’un à l’autre, comme si plus rien n’existait dans le monde à part eux. Gabrielle se décala, tenant encore ses mains dans les siennes.
“Je ne te remercierai jamais assez.”
Sloan fit un geste de la tête comme si ce n’était rien. Oui, elle savait que ce n’était rien, il venait de lui dire que son argent était le sien, mais il fallait quand même du temps pour assimiler ça.
“Je te laisse continuer de travailler … et je vais pouvoir commencer à faire les papiers étant donné que j’ai l’argent.”
Gabrielle lui fit une gros bisous sur la joue avant de sortir du bureau. C’était très étrange de se dire qu’elle avait les sous. Elle regarda plusieurs fois le chèque avant de sourire sincèrement. Remontant dans la chambre, elle glissa le chèque dans le dossier au nom de la pâtisserie était écrit en gros. Après quelques échanges au téléphone, elle prit son sac à main, sortant du manoir pour prendre sa voiture pour se rendre en ville. De la musique pop résonnait dans la voiture tandis qu’elle prenait les différentes routes de Storybrook. Depuis qu’elle avait dit à son notaire qu’elle allait se marier avec Sloan, ce dernier était bizarrement beaucoup plus disponible. Se garant sur l’un des parkings, elle continua à pied, flânant aussi devant certaines boutiques. C’est en passant devant l’une d’elle qu’une idée germa dans son esprit.
“Coucou Axel, j’espère que tu vas bien. Est ce que tu serais disponible pour venir au Fantasia dans l’après midi ? J'aimerais te parler d’une idée importante. Bisous <3 Gaby.”
Elle regarda son téléphone et cliqua sur le bouton envoyer. Ah Axel ! Qu’est ce qu’elle pouvait l’aimer ! Elle avait été si heureuse de le retrouver, en juin 2019, lorsque que les abrutis de la guilde avait réveillé Déloria et un passage dans leur monde. Les personnes les plus puissantes avaient été prévenu à la fin … et elle se souvenait d’avoir injecté dans le portail sa magie. Le groupe venant de Storybrook avait pu revenir dans la ville et c’est à ce moment-là, qu’elle avait découvert que son petit Plue était là ! Sous la forme d’un jeune homme adorable. Forcément, qu’elle avait décidé de faire plus ample connaissance. Gabrielle avait toujours aimé Plue, qu’elle considérait très fort. Elle sentait une puissance formidable en lui, et même si les autres se moquaient, ils ne voyaient pas qu’elle parlait de puissance émotionnelle. Elle avait été si triste quand elle avait appris son accident. Chaque jour elle passait à l'hôpital pour déposer des fleurs et quand il s’était réveillé, elle lui avait dit de ne surtout pas hésiter à l’appeler s’il n’allait pas bien. Il ne fallait pas qu’il reste tout seul après ce qu’il avait vécu et elle lui envoyait souvent des petits messages avec des cœurs, pour lui montrer qu’elle ne l’oubliait pas.
Ses rendez vous s’étaient bien passées. Le notaire n’avait pas été étonné qu’elle sorte un chèque et l’avait fusillé du regard quand il avait lancé des insinuations sordides. Il avait dégluti en voyant les yeux bleus passer aux violets, la réputation de Gabrielle ayant pris plus de l’ampleur depuis quelque temps. Puis, elle était allée au Fantasia pour prendre la relève de Poppy en caisse. Sloan lui avait envoyé des messages et Akihiro était passé à la pause déjeuner. En soit, une journée comme une autre. En milieu d'après-midi, tandis qu’elle mettait des pâtisseries alléchantes en vitrine, elle vu une tête châtain avec un grand sourire faire tinter la cloche.
“Claire, mon rendez-vous est arrivé.”
Gabrielle enleva son tablier rose, tandis qu’une jeune femme rousse prit sa place. Elle se dirigea vers le jeune homme et tendit ses bras devant.
“Axel ! Je suis si contente de te voir.”
Elle l'enlaça, lui claquant deux bises bruyantes avant de lui faire un geste de la main pour l’inviter à la suivre.
“Nous allons aller dans mon bureau, on sera plus tranquille.”
Gabrielle fit passer Axel devant avant de se retourner vers lui des employés.
“Julia, tu pourras monter dans quelques minutes s’il te plait ? Merci !”
Lui faisait un grand sourire, elle suivit Axel dans l’escalier qui montait vers un petit couloir.
“Par là, par là. La porte à droite.Tu peux rentrer !”
Une fois dans le bureau, elle ne se plaça pas derrière la table mais en face de lui, sans formalité.
"Déjà avant toutes choses, comment vas-tu ? Les fêtes se sont bien passées ? Tu as été gâtée ?”
Gabrielle prenait toujours soin de ses amis. Ce n’était pas pour rien, si à la guilde, après toutes ses années, elle avait reçu le surnom de Maman.
“Au fait, tiens ! C’est pour toi !”
Elle attrapa sur le bureau un petit paquet qu’elle tendit à Axel, assez excitée de lui offrir ce qu'elle avait ramené de son séjour en Russie.
“Joyeux Noël ! C’est un objet qui vient de St Pétersbourg !”
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Axel Oswald
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| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
☾☾ Axel était en train de parler avec Jackson, son collègue, quand il reçu un message. Il observa le message et sourit. Alors qu’il essayait de comprendre comment déverrouiller son téléphone, Jackson se posa derrière. Il n’attendit pas la question d’Olaf pour lui dire simplement de prendre son après midi. Axel répondit alors pas la positivité à cette demande, agrémenté de stickers qui bougent et envoient des cœurs …. Olaf trouvait que c’était la meilleure chose au monde. Il était passé d’un nokia à un samsung …. Ou plutôt d’un téléphone pour téléphoner à un smartphone, pour Gabriel, mais il était heureux de trouver d’autres raisons d’aimer ce changement
Il avait fait en sorte de finir les documents qu’il voulait. Il l’ignorait, mais en faite Gabrielle était dans les mêmes papiers que lui. Il était aussi en train de finir les papiers pour racheter le glacier. De toute façon, son ancien patron était un incompétent qui ne l’avait pas aidé une seule fois en deux ans, alors il pouvait le virer. Bien sur, Axel ne le voyait pas ainsi. Mais il s’était dit qu’il l’aiderait en se débarrassant d’un fardeau … Et lui, il l’aimait ce glacier. Il ne laisserait pas être revendu et disparaitre. Non.
Bon, lui n’avait pas eu la chance de trouver un amoureux plein aux as pour l’aider. Il avait fait un crédit … et sachant qu’il fait plein de cadeaux à tout le monde, il avait un peu peur pour la suite. Jackson était en soit, salutaire. Parce que Jackson ne le faisait pas ça. Pas de cadeaux. Pas de soucis ou de déficit. Olaf était le genre à vivre de ses récoltes de carottes et de l’eau …. Pas sur qu’il devait l’expliquer …. A personne. Jamais. Il se ferait certainement disputé par tout le monde….
Il était donc parti pour rejoindre son amie Gabrielle en ne sachant pas tout ça, lui. Il avait juste eu un message, et elle aurait pu juste lui dire « viens cet après midi » qu’il serait toujours en train de pousser la porte. Il était tout content de voir Gabrielle.
- Gaby !
Il sourit alors qu’il recevait les bisous. Après tout, il n’avait pas payé il ne sait pas combien au kissing booth pour rien. Il avait voulu des bisous, alors il n’allait pas râler, ou rougir, d’en recevoir un nouveau. Même deux nouveaux. Il la suivit sans rien dire de plus. Il sourit. Avait il eu des cadeaux pour noel ? Non. Mais il avait reçu pleiiiiiiiiin de sourire, alors c’était sans trop d’effort qu’il se mit à dire de manière très contente.
- Oui ! J’ai eu plein de sourire, et des bisous et des câlins aussi ! C’était trop bien. Et je vais très bien et toi ?
Oui, il était comme ça. Il le disait avec sa motivation légendaire et d’un sourire. Elle lui offrit ensuite un cadeau. Olaf ouvrit grand les yeux, tout rond, en le regardant le paquet.
- Mais mais je n’ai rien pour toi moi, je voulais t’offrir des fleurs mais on m’a dit de plus offrir des fleurs si ce n’est pas en pot, et je n’ai pas préparé, pourquoi m’as-tu fais un cadeau ?
Il était presque en panique de ne pas avoir un cadeau pour elle aussi. Elle le méritait pourtant, mais c’était assez dur de trouver des cadeaux…. Il l’ouvrit doucement pour sortir l’objet. D’un doigt il caressa la tête sans oser trop le toucher de peur que la tête n’en tombe.
- Merci Gaby je suis content, regarde ! Il sourit !
Et il tourna l’objet pour lui montrer le sourire qu’il y avait dessus. Il le mettrait dans sa zone à trésors, tout comme la créa le notera alors dans sa base de donnée des cadeaux. Parce que ça compter beaucoup pour lui. D’un coup, il releva les yeux vers elle. Il allait presque oublier. Il chercha dans ses poches une feuille qu’il tendit.
Un prospectus, avec une photo du glacier, avec Jackson –faisant une moue qui voulait clairement dire qu’il n’avait pas envie d’être sur la photo- bras dessus dessous avec un Olaf –qui avait très clairement envie d’être là- et une date, *insérer ici la date*.
- Tu es invité si tu veux venir. Toutes les glaces seront gratuites durant la journée selon les stocks disponibles, et on présentera plusieurs nouveaux parfums.
C’était une idée qu’ils avaient eu avec Jackson… pour essayer d’amener plus de monde même quand il faisait froid. Et pour fêter aussi leur nouveau départ. Puis il pencha la tête vers Gabrielle… Il ne s’était pas assit, il se déplaça d’un pied sur l’autre … puis il tient plus, il se jeta dans ses bras.
- CALIIIIIIN !
Parce qu’il fallait pas déconner non plus, il avait pas eu son câlin et il était en manque… il aurait beau essayer de remplir son esprit d’autres choses, il avait toujours envie de lui sauter dessus pour un câlin, c’est tout.
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HRP - Je te pique ton code mais je te le rembourserais plus tard et j'adore le gif que tu as mis
Gabrielle M. Sokolovitch
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| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : La fille de Satan: Mirajane Strauss
☾☾ Gabrielle était vraiment contente de voir Axel. Cela faisait quelque temps qu’elle ne l’avait pas vu. Il fallait dire qu’elle avait vraiment été occupée. Mais ce n’était pas parce qu’ils ne se voyaient pas qu’elle ne pensait pas à lui ! Bien au contraire. Il avait été l’une des premières personnes qui était apparu dans son esprit quand elle s’était attaquée au gros dossier des partenariats. Ils travaillaient dans quasiment le même domaine, c’était normal qu’ils s’entraident. Fairy Tail avait toujours été comme ça, et même s’ils n’étaient plus à Magnolia, Gabrielle faisait vivre cet héritage. Commençant par des politesses, mais qui l'intéressait vraiment vu qu’Axel était son ami, elle l’écouta quand il se mit à lui répondre. Elle fronça les sourcils légèrement quand il lui dit qu’il n’avait eu que des bisous et des calins mais préféra ne pas répondre. Après tout, Axel était Plue, un esprit céleste. C’était bien normal qu’il n’ait pas de notions de matériel, même si elle trouvait ça dommage. Oui, les marques d’affections étaient très importantes, mais tout de même ! C’était triste. Heureusement qu’elle avait pensé à lui ramener quelque chose de son voyage en Russie. Elle en était d’autant plus contente de lui donner.
“Mais non ne t’en fais pas ! Tu m’en offrirais un plus tard si tu en as envie. Ce n’est pas une obligation.”
Elle lui toucha la main droite pour le rassurer. Axel était si gentil ! C’était incroyable et ça faisait tellement du bien de voir une personne comme ça. Plus que le plaisir de recevoir, celui d’offrir était tout aussi important. Gabrielle regardait avec attention Axel, qui ouvrait délicatement le paquet. Elle eut un grand sourire en voyant que la figurine lui plaisait. Elle hocha la tête quand il lui montra qu’elle souriait.
“Oui, elle est comme toi ! Elle sourit tout le temps. Et en plus, sache qu’en Russie, c’est une figurine protectrice. Elle chasse au loin les mauvais esprits et apporte le bonheur et la chance !”
Gabrielle n’était pas sans ignorer ce qui était arrivé à Axel, quelques mois auparavant. Elle avait vu son ami sombrer sans rien pouvoir faire et cela l’avait beaucoup attristé. Elle était venue à l'hôpital, lui apportant souvent des bouquets de fleurs odorants, espérant qu’il pourrait les sentir dans son coma. Quand il en était sorti, elle en avait pleuré de joie dans les bras de Stella. Pauvre Axel ! C’était si terrible ! Alors forcément, quand elle avait vu ça dans une petite boutique lors d’une balade qu’ils avaient faite avec Sloan, elle n’avait pas résisté.
Axel, qui était debout, fouilla dans ses poches pour lui tendre un flyer de sa boutique. Très bien ! Ils allaient pouvoir discuter affaires. Gabrielle lui fit un grand sourire, posant le flyer sur sa table.
“Oh avec plaisir ! C’est une très bonne initiative.”
Elle allait continuer de parler quand Axel lui demanda un calin. Bien entendu, Gabrielle fondit d’amour devant cette bouille adorable. Comment pouvait-elle lui refuser ça ? Elle s’approcha de lui, et le laissa l’enlacer. Elle eut un petit rire, le câlinant, caressant doucement son dos de sa main droite. Ils restèrent comme ça, pendant quelques minutes, avant que l’on ne tape à la porte. Gabrielle en profita pour se reculer tout en disant de rentrer. C’était Julia qui venait pour prendre leurs commandes.
“Je prendrais un cappucino avec une tartelette de framboise. Axel tu peux prendre tout ce que tu veux !”
Pendant que le jeune homme commandait, elle retourna s'asseoir, sortant le dossier qu’elle avait commencé à faire, y glissant le flyer dedans, tout en notant la date sur son agenda. Une fois Julia partit, Gabrielle regarda Axel.
“Si je t’ai demandé de venir, ce n’est pas uniquement pour te voir. Comme je te le disais, j’ai eu une idée.”
Elle tourna les documents pour les lui passer sur le bureau.
“Je suis en train de devenir la propriétaire officielle du Fantasia. Quinn n’a plus le temps de s’en occuper, elle est sur d’autres projets, et je pense que ça devenait plus un poids pour elle qu’autre chose. Mais il était hors de question que de laisser le Fantasia à quelqu’un d’autre, ou même de le fermer.”
Oh non ! Cette pâtisserie était chargée d'histoires, de souvenirs, d’actions. Elle signifiait aussi le lien entre leur monde d’origine et Storybrook. Le Fantasia était en vérité, la grande parade qu’organisé la guilde en partenariat avec la mairie de Magnolia pour célébrer l’arrivée du printemps en grande pompe. C’était un moment de convivialité très important, où tout le monde mettait la main à la patte pour aider. La ville était décorée, il y avait des animations pendant une semaine, et le grand final, le dernier soir, avec toute la guilde défilant dans la rue sur des immenses chars pour faire rêver petits et grands avec la magie. Il était normal qu’elles aient choisi ce nom pour une pâtisserie qui se voulait émerveiller tout le monde aussi.
“J’avais déja eu l’idée à l’époque, mais là je veux vraiment l’élargir, c’est d’établir différents partenariats entre commerçants. Par exemple, nous avons un contrat avec Rémi, le restaurateur du ratatouille, ou encore Benjamin, de la bonne bouffe.”
Il fallait dire que pour Rémi, ça avait été facile. Elle le connaissait depuis longtemps, il avait même son frère en apprentissage. Ils avaient négocié des prix, des échanges et tout était allé comme sur des roulettes.
“Je me suis dis, que l’on pourrait faire un partenariat entre nos deux échoppes. Tu pourrais nous fournir de la glace pour certaines de nos pâtisseries, devenant ainsi notre fournisseur, ce qui te permettrait de travailler toute l’année. J’avais aussi pensé à une exposition de tes produits dans la pâtisserie, comme une sorte de succursale pour élargir ton public. Bien entendu, ça serait en location. Il faut un donnant-donnant. Mais, par exemple, on pourrait faire que les gens qui achètent des pots de glace au Fantasia, ait une réduction quand ils viennent acheter chez toi. Pour drainer un public. Et inversement. Les gens achetant des glaces chez toi, auraient droit à … je ne sais pas, peut être 10 ou 20% de réductions pour acheter des pâtisseries au Fantasia.”
Gabrielle avait une voix douce et très pédagogue. Elle expliqua ainsi clairement ce à quoi elle avait réfléchi, les différentes propositions. Quand Julia toqua à la porte à nouveau, elle se leva pour aller l’aider, disposant le plateau de gourmandises sur la table, ayant toujours son sourire maternel sur son visage.
“Alors tu en penses quoi ? Si tu as des idées aussi de ton côté, n’hésite surtout pas à les dire !”
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Axel Oswald
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Personnage abandonné
| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
☾☾Olaf était réellement heureux qu’on avait pensé à lui pour un cadeau. Avoir un cadeau était toujours quelque chose qu’il appréciait, et il n’échangerait aucun de ses cadeaux pour rien au monde. Surtout pas ceux donner, comme Gabrielle, juste pas envie de faire plaisir et par bonheur. Il n’aimait pas les cadeaux d’obligation. Cela le rendait triste toujours. Alors que là, il était tout heureux de savoir que son cadeau était venu d’elle, et sans le facteur de « devoir » ou « d’obligation ».
- Je ne ferais jamais, jamais, un cadeau d’obligation. Je ne suis juste pas très doué pour trouver un cadeau alors il me faut du temps.
Olaf aimait trouver le « cadeau parfait ». Il tenait toujours son cadeau contre son cœur, et il aurait presque pu le caresser s’il ne l’avait pas protégé. Il l’avait rangé dans son paquet pour éviter de la casser, ou de l’abimer, et il souriait à la jeune femme.
- Merci ! Je suis sûr qu’elle me protégera alors ! Merci Merci.
Il n’avait pas réellement besoin d’une figurine protectrice de chance et de bonheur dans sa vie…. Olaf était le genre de personne qui avait toujours eu une grande chance dans sa vie. Il n’avait jamais été bridé, utilisé, ou autre chose même malgré sa grande naïveté. Jamais il n’avait eu à se plaindre de ce genre de cas. Il avait eu de la chance, et il le savait même s’il ne l’admettait pas forcément… Il n’aimait pas croire au malheur.
Olaf, bien que connaissant son coma étant donné qu’il l’avait un peu vécu, ne l’avait pas ressenti comme tout le monde. Pour lui, il avait juste fait un long dodo, une grande sieste qui l’avait d’ailleurs totalement reposé. Il ne savait pas réellement ce qui s’était passé dans sa tête, mais il s’était jamais senti aussi bien que lorsqu’il s’était réveillé alors … Mais il savait avoir fait peur à tout le monde, ce qui restait quelque chose dont il devait se faire pardonner à tout le monde.
- Je suis contente si tu aimes. Beaucoup d’idées viennent de Jackson.
Un employé en or… et un ami de surcroit. Olaf aimait en tout cas à le penser, et il préférait se dire qu’il avait raison plutôt que de penser à la possibilité que Jackson ne le voit que comme « son patron ». Il ne voulait pas être que son patron. C’est tout. Fin de l’histoire, on passe à autre chose.
Il eu le droit à son câlin aussi, et ça le rendait heureux. Il avait eu le droit à un câlin, et il se disait qu’il pourrait en avoir 861626 de la même personne qu’il serait toujours heureux comme au premier. Quand il se sépara d’elle, c’était pour avoir une commande … Une commande …Il réfléchit. Pour dire la vérité, il n’était pas très gourmand… un vestige d’une époque ou la nourriture finissait sous ses fesses dans l’exacte forme qu’il avait eu à le mettre dans la bouche. Il réfléchit alors.
- Est-ce que vous auriez un cake à la carotte ? avec un chocolat chaud, s’il vous plait mademoiselle.
Il prendrait ça si c’était possible … Sinon, il ne demandera que le chocolat chaud. Il aimait bien le chocolat chaud. Il en avait tellement rêvé dans ses rêves de bonhommes de neige, que c’était d’une normalité absolue que maintenant il en boive tout le temps. Une fois la jeune femme parti, la discussion revient sur l’information sérieuse… Olaf avait un mal fou à être sérieux, mais il se redressa et fit sa tête de sérieux …
Qui ressemblait à un enfant bien heureux entrain de vouloir faire l’effort d’écouter une personne en était intimement convaincu que la plupart des paroles resteront obscurs. Quand elle parla, il comprit cependant très bien la première phrase.
- Oh félicitation ! Je comprends, elle change de projet mais ça reste une bonne nouvelle pour toi ! Le Fantasia est une bonne adresse, on se sent en sécurité dedans !
Olaf savait que le fantasia avait ce pouvoir. Ce n’était pas pour dire que les autres non. Il savait que dans son glacier, on avait l’impression de se sentir enfant, de se sentir insouciant et dans un cocon de plume. Il savait que quand il allait dans la pelle à tarte d’Amélia il sentait un endroit chaleureux. Et ici, il se sentait en sécurité. Comme si rien dans le monde ne pouvait atteindre les personnes venant manger les pâtisseries de la jeune femme. Bien sur, c’était aussi chaleureux, mais ce n’était pas comme ça qu’Olaf ressentait le lieu.
Olaf ne connaissait pas du tout les deux noms qu’elle venait de dire. Ni Benjamin, ni Ratatouille… il était presque sûr de n’être allé ni dans l’un ni dans l’autre … et l’envie d’y aller venait de sauter dans son cœur comme un poux sur la tête d’un pouilleux… Expression chelou mais au moins imagé, il avait envie de découvrir ses lieux que la jeune femme semblait assez bon pour être un partenariat avec elle. Cela devait être très bon. Alors, il ne fit qu’un « oui oui » de la tête en attendant la suite. Incapable d’imaginer ce qu’elle allait dire ensuite.
Puis la suite de ses paroles. Olaf papillonna plusieurs fois des cils alors qu’il essayait d’assimiler tout ce qu’elle lui disait … Il essayait de comprendre et ressemblait donc bien à un enfant qui ne comprenait pas tout… Jusqu’à la lumière qui popa au dessus de sa tête, éclaira la discussion d’une nuance de compréhension. Julia était déjà arrivée à ce moment là, et les collations offertes sur la table. Il finit par se pointer lui-même du doigt alors qu’il papillonnait encore des cils.
- Tu veux dire … faire un … un partenariat avec moi ?
D’un coup, il se redressa et finit par taper dans ses mains trop content alors qu’il avait déjà des étoiles pleins les yeux. Il ne comprenait pas toutes les propositions de la jeune femme, il faudrait plus de temps que cela pour tout assimiler, mais il était sur d’une chose …C’est que c’était une idée super géniale.
- Je serais ravi … non super ravi d’être un partenaire avec toi. Je ne sais pas si faire une boutique ici serait utile, mais je pourrais aussi investir pour le faire en pot, c’était une idée de Jackson aussi. Et on pourrait faire en sorte que tu sois un des distributeurs officiels… et bien sur ça sera avec plaisir que je deviendrais un fournisseur ! Je te donne toutes les glaces que tu veux !
Oui dans la tête d’Olaf, il ne comptait pas faire payer à la jeune femme la moindre glace. Il lui donnerait ses glaces pour ses pâtisseries, et pourrait vendre une partie des glaces en boîte, et donc gagner de l’argent … C’était bien non ?
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Gabrielle M. Sokolovitch
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| Conte : Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : La fille de Satan: Mirajane Strauss
☾☾Gabrielle était contente d’expliquer tous ses beaux projets à Axel, et surtout elle était impatiente de lui dire qu’elle voulait qu’il en fasse partie. Elle eut un sourire attendri quand il lui répliqua qu’elle avait eu raison car le Fantasia était un endroit où l’on se sentait en sécurité. Il avait raison. Elle avait accentué sur ce coté chaleureux depuis qu’Erza lui en avait laissé la gestion, quelques années auparavant. Elle adorait son amie mais elle savait qu’elles n’avaient pas toutes les deux la même vision de la vie. Heureusement, le Fantasia avait toujours bénéficié de cette ambiance chaleureuse. Après tout, le monde venait de l’un des festivals les plus aimés et les plus populaires dans leur ancienne ville. Magnolia. C’était un festival de couleurs, de joies, de bonne humeur. C’était normal que la pâtisserie ressemble à ça. Maintenant, Gaby voulait que la pâtisserie soit encore plus une sorte de cocon où venir se réfugier quand la tristesse de la vie la rendait grise. Elle ne lésinait pas sur les couleurs, les odeurs, les ambiances. Encore plus quand il y avait une fête. Elle appréciait accorder les tons aux saisons aussi.
“Merci ! J’en suis vraiment heureuse !”
Sans Sloan, elle n’aurait jamais pu réaliser son rêve. Avoir sa propre boutique. Elle avait pensé à un bar avant, comme à l’époque où elle était serveuse à la guilde, puis elle s’était dit qu’il y en avait pas mal, et des bonnes adresses. Puis la pâtisserie s’était imposée à elle. Des années maintenant qu’elle y travaillait et qu'elle adorait. Alors forcément, elle avait sauté sur l'occasion. Elle avait pensé faire un crédit mais Sloan avait refusé, lui faisant le chèque. C’était inespéré. En vérité, jamais elle n’y aurait pensé jusqu’à ce qu’il lui tende le chèque. Elle avait entendu pendant longtemps des rumeurs sur elle mais tout était faux. Gabrielle n’était pas vénale. Oui, bien sur, elle aimait l’argent mais qui aurait le culot de dire le contraire ? Cependant, elle n’était pas avec Sloan pour son argent ! Absolument pas ! Elle était avec lui parce qu’elle aimait d’un amour sincère et pur.
“Oui Axel ! Un partenariat avec toi et ton magasin de glaces !
Elle l’observa se lever et taper des mains comme un enfant heureux. Gabrielle en eut un sourire ému. Il était si mignon quand il faisait cette tête là qu’elle ne pouvait résister. Elle continua de lui expliquer un peu les choses avant qu’il ne se rasseye.
“Après ce n’est qu’une des options que j’ai envisagé.”
La jeune femme lui fit passer le dossier qu’elle avait commencé à faire, avec les différentes options envisagés pour que personnes ne soient perdants, bien au contraire.
“Oui, c’est ça ! Distributeur officiel c’est pas mal.”
Elle griffonna le mot sur un post-it avant de relever la tête pour regarder son cappuccino qui allait refroidir. Elle en bu une gorgée tout en croquant dans sa tarte à la framboise.
“Il faut s’aider ici. L’entraide est la marque de fabrique de Fairy Tail et même si la guilde n’existe plus vraiment, je veux continuer de faire exister son esprit.”
Les patisseries étaient vraiment délicieuses et pas uniquement parce qu’elle en était la gérante. Même si elle ne travaillait pas ici, elle serait venu en acheter. La pâtissière qui était là depuis des années avaient des doigts de fée, et Gabrielle s’amusait toujours avec cette comparaison.
“Je pense que quand nous aurons réglé les détails administratifs de notre partenariat, l’on pourra faire un évènement pour l’annoncer ? Il commencera à faire chaud au printemps et ça sera l'occasion parfaite pour faire découvrir tes produits à un plus grand nombre.”
Bien sur, Gaby savait que les gens allaient à la boutique d’Axel, mais il y avait toujours des irréductibles qui ne connaissaient pas. Faire une grande dégustation serait une bonne idée et surtout un gros coup de promotions.
“J’avais pensé aussi ! Que dirais tu de concocter une glace ‘Fantasia ?’”
Elle rebut une gorgée dans la tasse, essuyant délicatement la moustache que le lait lui avait fait. Elle eut un petit sourire mutin.
“Ça serait sympa je trouve ! Une glace pleine de couleurs, au goût acidulé et sucré comme nous ! Avec le symbole de la guilde pour faire entendre à ceux qui sont là que malgré que nous avons pris tous un chemin différent. Fairy tail est notre famille.”
Pour toujours. Gabrielle n’oubliait pas les gens qui étaient restés à Magnolia, dans leur monde d’origine. D’ailleurs elle n’hésite pas une seconde quand il fallait aller les aider. Elle aurait bien voulu les voir venir ici, à Storybrook car elle savait qu’elle ne retournerait jamais véritablement pour s’installer. Sa vie était désormais dans ce monde et pour rien elle abandonnerait. Elle avait sa fratrie. Elle s’était fait des amis importants. Elle allait avoir bientôt un mari et qui sait, peut-être des enfants. Elle allait enfin avoir la famille dont elle rêvait tant.
“Si jamais tu as des idées aussi, n’hésite pas à m’en parler. Nous sommes sur un pied d’égalité. Je veux que tu le saches !”
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Axel Oswald
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Personnage abandonné
| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
☾☾Olaf ne pouvait décrire réellement pourquoi il aimait autant le Fantasia, mais il savait en tout cas qu’il était heureux d’en connaître la propriétaire et de pouvoir être « avec elle ». Il savait que ça serait toujours mieux, et il ne voulait même pas penser à la faillite … depuis qu’il avait lui-même repris le commerce de glace, il savait que c’était une hypothèse qui l’effrayé … et s’il n’arrivait pas à faire vivre le glacier comme l’avait fait Jack ? Ou s’il faisait pire ? Il ne pouvait pas dire qu’il n’en avait pas l’habitude … il avait décidé d’acheter le glacier pour en être le patron après plus de cinq ans avec un patron aux abonnés absents … mais tout de même … pouvait il prendre une aussi grosse responsabilité ? Il n’était pas Gabrielle … et il ne pourrait jamais l’être en réalité.
Être en partenariat avec elle était déjà le premier pas vers la réussite. En tout cas, c’était comme ça que le voyait notre petit bonhomme de neige alors qu’un sourire grandiose se formait sur son visage. Il ne pouvait pas être plus heureux quand ce moment… en tout cas de ce qu’il en pense… et c’était ce qu’il pensait qui compter le plus dans cette histoire non ? Olaf prit le document et le regarda … elle avait tout organisé … lui c’était juste des idées en vrac qu’il faisait parce qu’il en avait envie. Rien d’aussi carré. Il sourit.
- Alors si son esprit existe, c’est que la guilde existe toujours non ?
Pas qu’il comprenne ce qu’était la guilde, rappelons le, il n’en faisait pas réellement partit, bien que sommeillant en lui l’esprit véritable du chiot. Personne ne le sait encore (parce que pour le moment ce n’est pas vraiment jouer) mais Olaf était réellement devenu l’esprit du chiot dans cette histoire … et donc, il faisait parti de la guilde, sans même le savoir.
- Un évènement ??? Oh oui ! Et on pourra apporter pleins de joie à des enfants pour ne pas qu’ils s’ennuient aussi ? Je pense que Jackson pourra nous aider ! Pour que les enfants aussi aiment nos produits et en redemandent et puissent sourire jusqu’aux oreilles.
Il ne pensait pas de manière « commerciale ». Dans la tête d’Olaf, c’était les enfants qui pourraient plus aimer leur produit, qui auront plus de facilité à sourire devant une glace … et si les enfants sourit, alors les adultes le feront aussi…. Il ne pensait pas du tout au fait que si les enfants demandent des glaces, c’était les parents qui devaient payer … ça c’était bien trop éloigné des valeurs et des idées de notre bonhomme de neige.
- Tu veux dire une glace spécifique au Fantasia ? Je pense que ça pourrait être une bonne idée. Bientôt on allait faire un concours de sculpture, peut être que j’aurais une idée, ou un gagnant avec, qu’en penses tu ?
Malgré lui, et le concours qui allait arriver, Olaf était déjà en train de penser aux différentes possibilités pour la glace. Il en avait une myriade en réalité … Pour ce qui était du symbole, il le connait pour l’avoir vue sur des membres de la guilde, lui n’avait qu’un tatouage et ça lui suffisait… Il n’aimait pas les aiguilles, et celui qu’il avait été imposé magiquement et sans douleur.
- Oui ! C’est une super idée ! Je vais y réfléchir en plus à côté, pour essayer de te faire une glace parfaite ! Comme tu as des gâteaux à vendre, je viendrais prendre des notes pour voir ce qu’on peut « assembler » avec la glace pour que cela soit beau, bon et nous en même temps.
Il n’était pas sur qu’elle comprenne ce qu’il voulait dire exactement par là, mais dans sa tête c’était assez claire. Il finit par sourire encore alors qu’une nouvelle idée venait après l’autre. Quand elle parla d’égalité, il sourit et pencha la tête sur le côté. Il n’avait pas comprit la phrase comme elle l’avait dit et répondit alors tout innocemment.
- Nous ne sommes pas égaux. Ta pâtisserie est bien au dessus, question client et chiffre d’affaire, que mon glacier, mais merci de le penser, je serais ne pas te faire défaut ! Promis !
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La glace, une douceur comme une autre } feat Axel -Plue- Oswald