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 A la découverte de son moi intérieur [Fe]

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A la découverte de son moi intérieur [Fe] _



________________________________________ 2021-02-01, 21:58

A la découverte de son moi intérieur
ft. Aloysius Black


Nouvelle année rimait avec nouvelles résolutions. Violette était incapable de se souvenir de ces résolutions de l’année passée. Elle ne savait pas si elle les avait tenues. Mais là, Violette avait décidé de changer un peu de méthode. Dans un carnet, elle avait griffonné plusieurs objectifs, une ligne de conduite à avoir pour l’année 2021. Une des premières choses qu’elle avait noté c’était d’oublier Peter, de faire une croix définitive sur lui. Elle savait qu’elle ne le reverrait jamais. Et même si parfois, elle regardait par la fenêtre, la laissant entre ouverte pour qu’il puisse entrer, elle savait que ça n’arriverait plus jamais. Y penser la faisait encore beaucoup souffrir. La deuxième chose qu’elle avait noté c’était d’arrêter de tuer des gens. Encore récemment, Violette avait ôté la vie de quelqu’un. Certes, cela n’était pas arrivé dans le monde réel mais qu’importe. Cela ne changeait pas la gravité du geste. Le pire dans tout cela c’est qu’elle n’avait aucun remord, aucun regret. C’était exactement comme les deux meurtres précédents. Elle ne ressentait rien. Ce manque d’émotion était étrange, voire carrément anormal. Aussi, la troisième chose qu’elle avait écrit sur sa liste c’était d’aller voir un psychiatre. Oh, elle aurait peut-être dû commencer par un psychologue. Mais Violette avait peur que son problème soit bien plus profond. D’autres choses, d’autres objectifs étaient écrits par la suite, comme celui de devenir la prochaine Maire, la plus jeune de Storybrooke. Oui. Travailler pour la Mairie depuis 2 mandats lui avait donné envie de se lancer en politique. Cette ville avait besoin de sang neuf et jeune.

Après le voyage rempli d’émotion dans le monde d’Harry Potter, après avoir quitté le garçon avec qui elle avait vécu cette aventure, Violette avait décidé de prendre son courage à deux mains et à exiger un rendez-vous d’urgence chez le psychiatre. Elle ne pouvait plus attendre. Et si elle en croyait les rumeurs, son retour était très récent. L’Indestructible ne connaissait pas forcément cet homme. Il avait été Maire, c’est tout ce qu’elle savait de lui. Quoi qu’il en soit, vu que ça ne faisait pas très longtemps qu’il était en ville, son agenda ne devenait pas être overbooké.

Par chance, Violette parvint à obtenir un créneau pour le 3 Février. C’était tout simplement parfait. Elle profita de ce rendez-vous pour prendre son après-midi. Elle bosserait plus le matin. Et quand l’heure approcha, Violette sortit du travail pour prendre la direction du centre-ville. Le cabinet de Mr Black était situé dans un bâtiment de plusieurs étages. Lorsqu’elle entra dans la bâtisse, elle aperçut des escaliers, en face d’elle. Elle les prit, ne trouvant aucune porte au nom de Black au rez-de-chaussée. Les escaliers l’emmenèrent jusqu’au premier palier…seul étage accessible. C’était étrange puisque le bâtiment semblait en avoir de nombreux autres. A gauche, une porte indiquait le cabinet dentaire de Tatiana. A droite, la porte indiquait la destination. En lisant la plaque, le cœur de Violette s’emballa. Elle était en train de stresser. Elle hésitait presque à faire demi-tour. Mais non. Il fallait vaincre cette appréhension. Alors prenant une grande inspiration, Violette appuya doucement son doigt sur la sonnette pour signaler sa présence et ouvrit la porte sans attendre.

En entrant dans le cabinet, Violette arriva directement à l’accueil où le secrétaire était installé.

« Vous devez être Madame Pomerose. »

Violette hocha la tête. Oui. Elle n’avait pas donnée son nom. Violette n’avait pas vraiment envie que tout Storybrooke sache que l’une des adjointes à la Mairie allait chez le Psychiatre. C’était d’ailleurs pour cela que Violette portait des lunettes de soleil noires, un chapeau qui lui couvrait une bonne partie de la tête. Certes ce n’était pas poli de garder tout ça sur elle, mais c’était nécessaire. Afin d’éviter que sa voix soit reconnu par le secrétaire, Violette se contenta d’hocher la tête sans rien ajouter de plus.

« Vous pouvez aller dans la salle d’attente, Mr Black ne devrait pas tarder… »

L’Indestructible lui adressa un franc sourire. Sourire qu’il pouvait voir malgré tout ce qui la couvrait. Elle ne se fit pas attendre pour rejoindre la salle d’attente. Très vide. Violette était la seule. Et ce n’était pas plus mal. Au moins, elle pouvait enlever ses lunettes et son chapeau qui lui tenait un peu trop chaud à la tête. Et à peine ses couvres chefs retirés, Mr Black ouvrit la porte de sa salle. Il se tenait devant la porte, observant Violette. Sans doute ne s’attendait-il pas à voir Violette Parr. Après tout, dans son rendez-vous, il avait été noté Mme Pomerose.

Violette se leva et se dirigea vers Mr Black. Il était imposant mais charismatique. Il y avait quelque chose d’étrange qui se dégageait de lui. Et Violette ne savait pas vraiment si elle pouvait lui faire confiance ou non. Mais il était psychiatre ! Techniquement elle devait lui faire confiance. Arrivée à sa hauteur, Violette tendit son main pour pouvoir serrer la sienne.

« Merci beaucoup d’avoir accepté de me prendre aussi rapidement. »

Il y avait quand même urgence…enfin selon elle.

« Je suis bien votre rendez-vous, Mme Pomerose. Je…je n’ai pas osé donner mon vrai nom. »

Qui sait ? Peut-être que le secrétaire irait raconter des rumeurs sur Violette à tout Storybrooke. La jeune femme n’avait pas vraiment envie d’apparaître dans WUS. Il était évident que ce manque d’honnêteté serait relevé par le psychiatre…Ou peut-être qu’il allait remarquer d’entrée de jeu d’autres choses sur Violette ? Tout cela était stressant. Violette n’était pas bien, et ça se sentait.

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________________________________________ 2021-02-04, 12:40 « Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

A la découverte de son moi intérieur
“Si je ne suis pas moi-même, qui le sera pour moi ? Et si je ne vis pas pour moi-même, qui vivra pour moi ?”

De toutes les surprises qu’avait pu avoir Aloysius depuis son retour, Georgia Dorian était sans aucun doute la plus amusante. Malgré sa grâce, son port de tête altier, ses sourires doux et sincère et la douceur de sa voix, il avait pu découvrir en elle tant de doutes et de fêlures que la situation en était des plus exquises. Son mari le connaissait pourtant bien, l’idée même qu’il puisse laisser sa femme franchir le pas de son cabinet l’avait surpris et pourtant, il avait dû se faire une raison : c’était bien le nom de Georgia Dorian qui avait été noté sur le carnet de rendez-vous, suivi d’une certaine “Pomerose”. Il avait dans un premier temps prêté attention qu’au premier nom, enchaînant les rendez-vous du matin avec une certaine impatience, espérant que la blonde ne se défilerait pas et trouverait le courage de venir se livrer. Et elle l’avait fait. Il avait presque senti son parfum de lilas avant même de l’apercevoir et il avait pu remarquer avec une certaine appréciation qu’il n’avait pas eu besoin de la rappeler à l’ordre quant à la distance qu’ils devraient avoir durant les séances. Si les Dorian étaient des “amis” et notamment des “amis” mondain, ou de “table”, il ne pouvait pour autant pas mêler l’affect aux séances, si tant est qu’Aloysius Black puisse avoir de l’affect pour quelqu’un. Durant une bonne partie de la séance, sous couvert de l’écouter patiemment, il s’était demandé si Erwin savait que sa femme avait souhaité fréquenter un psychiatre, comment il prendrait la nouvelle le cas échéant et si même, cette femme d’une douceur candide pourrait lui apporter de précieuses informations concernant leur couple.

Plus c’était sordide et plus cela risquait d’être follement intéressant. Pourtant, la femme était restée d’une banalité déconcertante. Un mari absent, des doutes qui s’installait, la perte d’une fille. Comme toute première séance, il l’avait laissé longuement parler et cela avait mené à un grand discours plein de désordre. Ce n’était pas gênant, la majorité des patients réagissaient ainsi, preuve qu’ils avaient aussi besoin d’une aide. L’ordre viendrait avec le temps, ils recompartimenteraient leurs pensées et pour certains, Aloysius les y “aiderait”. Dans un ordre qui ne leur serait pas naturel, qui lui conviendrait mieux à lui. Une manipulation à l’état pur. Pauvres âmes en perditions. Mais il ne pouvait se permettre de jouer de la sorte avec Georgia Dorian. Trop visible, trop chère à son mari, elle se devait de rester intact. Nul objet à briser par ici. Peut-être aurait-il plus de chance avec la suivante.

- Il va être temps de nous quitter Madame Dorian, la séance est terminée. Je vous propose de nous revoir la semaine prochaine, vous pouvez directement voir avec mon assistante pour le prochain rendez-vous. Je vous raccompagne.

Il s’était levé, reboutonnant lentement sa veste de costume, permettant à sa patiente de rassembler ses affaires sans pour autant se sentir pressée par le temps. Une fois levée, il lui avait montré d’un signe du bras la porte située derrière son bureau et l’avait accompagné jusque-là avant de lui ouvrir courtoisement la porte. Georgia avait s’était alors stoppé un instant, hésitante. Ils ne s’étaient pas revus depuis longtemps, le lion se doutait qu’elle pensait peut-être à lui proposer un dîner pour toute réponse, il coupa son élan avec un sourire :

- Je termine aujourd’hui à 18h30. Vous pourrez m’appeler dès 19h au manoir si le cœur vous en dit.

Façon délicate de lui rappeler que ce n’était ni le lieu, ni le moment de copiner. Elle hocha la tête avec un sourire :

- Merci Docteur Black, à très bientôt.

Il referma la porte derrière elle, un sourire étirant ses lèvres fines. Pendant un instant, il se demanda s’il devait prévenir Erwin de la visite de sa femme ou garder ce moment pour lui. Elle lui dirait sans doute, ne serait-ce que pour justifier le dîner qu’elle semblait vouloir organiser. Il avait hâte de se retrouver avec l’homme, voir comme il jugerait cette décision en dehors de ce qu’il dirait à sa reine. Aloysius se dirigea vers son bureau, récupéra un carnet de cuir noir pour y apposer quelques notes avant de le ranger de nouveau dans son tiroir. Il se dirigea ensuite vers la porte avant pour accueillir Madame Pomerose ou plutôt... Violette Parr, à n’en pas douter. Il avait caché sa surprise, se contentant de l’observer avec un sourire amusé :

- Madame Pomerose ?

Elle lui confirma que c’était le cas, précisant rapidement qu’elle n’avait pas osé donner son vrai nom. Ne se dépâtissant pas de son sourire amusé, il s’écarta de l’entrée pour l’inviter à passer. Une fois la jeune femme à l’intérieur du bureau, il referma la porte derrière eux en précisant d’un ton chaleureux :

- Il n’y aucun mal à donner un faux nom, je vous rassure, surtout si vous jouez franc jeu directement avec moi. Ce qui est tout de même préférable. Pour vous trouver lors de nos séances, il faut que vous puissiez être vous-même n’est-ce pas ? Je vous en prie, installez-vous selon votre convenance.

Il lui montra le fauteuil qui était destiné aux patients ainsi que le divan, la laissant faire son choix sans y porter un seul jugement. Pour la mettre plus à l’aise, il s’était d’ailleurs rapproché de son bureau pour faire mine de remettre quelques affaires en ordre et une fois que le choix de la jeune femme fut fait et qu’elle s’installa sur le fauteuil, le docteur Black se dirigea vers le sien pour lui faire face, déboutonnant sa veste avant de s’asseoir et de l’observer pendant quelques secondes. Elle avait sans aucun doute cru que sa réputation pouvait être entachée de venir sans couverture. Elle était après tout une figure connue de la mairie, était sans aucun doute d’une discrétion importante de par le don qui lui avait été donné, tout cela semblait coller assez parfaitement à la première image qu’elle avait donné. Pourtant son imagination semblait assez réduite, choisissant un pseudo dans les couleurs, ce qui rappelait son propre prénom, sans compter que la “pomerose” faisait presque un rappel à la “primerose”, une fleur, comme celle de son prénom. Elle ne s’embarrassait pas de fantaisie, allez droit au but, comme pouvait aussi le prouver son attente dans l’antichambre. Elle s’était donnée assez de mal pour se déguiser mais avait détruit sa couverture à la seconde où elle avait posé un pied dans le cabinet... et si quelqu’un l’avait vu ? Sans compter sa franchise déconcertante en guise de salut. Une nouvelle séance intéressante à laquelle il ne s’était sans doute pas attendu. Croisant les mains sur ses genoux, il précisa avec douceur :

- Bien... que puis-je faire pour vous mademoiselle Parr ? Comment allez-vous aujourd’hui ? C’est généralement la première question que je pose à chacun de mes patients.

Voyant la lueur dans ses yeux, sans doute prête à répondre, il leva la main pour poursuivre :

- C’est une amorce. Le but n’est pas de répondre “bien” comme la bienséance vous le proposerez care sinon... pourquoi seriez-vous là ?

Il lui sourit, laissant un silence s’installer avant de poursuivre :

- Je n’attends pas non plus spécialement de réponse à cette question, vous pouvez y répondre de votre côté, en votre for intérieur et commencer à me parler de ce que vous souhaitez. Il n’y a nul besoin d’ordre chronologique ou de sens dans vos propos, vous pouvez passer d’une anecdote à une autre, comme bon vous semble. Le but de cette première séance est que vous vous sentiez à l’aise. Je ne suis là que pour vous aider mais le plus gros du travail, vous le ferez-vous-même.

Il lui sourit une nouvelle fois, sympathiquement, penchant légèrement la tête sur le côté, attendant patiemment qu’elle prenne la parole.
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________________________________________ 2021-02-06, 20:58

A la découverte de son moi intérieur
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« Être moi-même. C’est noté. »

Néanmoins, c’était plus facile à dire qu’à faire. C’était plus facile de faire semblant que de dire toute la vérité, que de se livrer. Violette trouvait qu’elle avait déjà fait un grand travail sur elle en avouant son viol et son meurtre à ses parents. Bon. Depuis ces aveux elle n’en n’avait pas fait d’autres alors que rien de tout cela n’avait pris fin. Les bêtises de Violette continuaient et elle commençait à se perdre elle-même là-dedans. Les relations s’ajoutaient à ses déboires personnels. Bref, il était plus que temps qu’elle se livre. Mais elle ne savait pas par où commencer.

S’asseoir déjà, non ? C’était un bon début. Mr Black la laissa choisir entre le divan et le fauteuil. Violette observa le psychiatre pour voir dans quelle direction il se dirigeait. Mais ce dernier venait de se rendre à son bureau. Mince, il n’allait pas pouvoir l’aider. La jeune femme posa son regard sur le divan. Il fallait s’allonger et ça rendait les choses beaucoup trop formelles pour Violette. Son choix se porta donc sur le fauteuil dans lequel elle prit place. Le psychiatre fit de même, prenant le fauteuil en face. Même si ça faisait plutôt formel aussi, Violette avait plus l’impression qu’ils allaient discuter, faire connaissance. C’était donc plus facile. Du moins, c’est ce que pensait la jeune femme.

Mais lorsqu’il commença à lui parler, à lui poser des questions puis finalement à lui expliquer ce qu’il n’attendait pas, Violette était légèrement perdu. Car bien évidemment l’Indestructible allait répondre qu’elle allait bien. Et elle aurait sans doute retourné la question à Mr Black. Mais ce n’était pas ce qui était attendu. Sauf qu’il ne semblait pas spécialement attendre non plus de réponse à sa question. Ok. Violette ne comprenait plus trop. C’était pas réellement ainsi qu’elle avait imaginé sa première séance chez le psychiatre. Elle avait besoin d’être plus guidée. Elle savait que si elle ne l’était pas, elle pourrait partir dans tous les sens. Violette fronça les sourcils, levant son regard en l’air, légèrement sur le côté. Elle cherchait par où commencer.

« Sur mon temps libre, en ce moment, je regarde Riverdale. Bon. C’est une série pour les prépubères. Mais ça passe le temps. Et franchement, le dernier cliffhanger, je l’avais pas du tout vu venir. Je suis choquée ! »

Ok. Ce n’était peut-être pas ça qui était attendu. Et surtout, il n’allait peut-être pas pouvoir rebondir dessus car il ne regardait certainement pas Riverdale. Mais voilà. C’était la façon de Violette pour commencer à se livrer à Mr Black. D’ailleurs, avant qu’elle n’aille plus loin, il fallait qu’elle sache quelque chose d’important.

« Si jamais je parle de personnes de mon entourage, il faut que je leur donne un nom de code ? Pour préserver leur anonymat ? Après tout, moi j’ai accepté de venir ici pour vous parler. Mais eux n’ont peut-être pas envie que je parle d’eux à un psychiatre. Puis, je suis plutôt douée pour les noms de code. Avouez que mon faux nom était pas mal non ? »

Violette était plutôt fière d’elle pour le coup. La jeune femme passa une jambe sur l’autre et se redressa pour réellement commencer la séance. Elle avait pris conscience que parler de série n’allait pas la faire avancer.

« Pour commencer…je me… » commença-t-elle avant de s’arrêter brusquement. « Avant…de réellement me livrer à vous. Est-ce que vous êtes régi au secret médical ? Il y a des choses que je n’aimerais pas voir sortir d’ici. »

Comme ses quelques meurtres, ou le fait qu’elle se soit entichée d’un gamin refusant de grandir. Et certainement d’autres choses qui ne lui traversaient pas l’esprit en ce moment-même. Violette voulait avoir la confirmation qu’elle ne pouvait pas avoir de problème pour avoir parlé avec Mr Black. Mais s’il y avait bien une chose qu’elle pouvait lui dire sans qu’il y ait de conséquence, c’était l’élément de sa vie qui avait fait tout basculer. Pas besoin d’être psy pour le reconnaître toute seule.

« Sans avoir la prétention de vous volez votre travail, je pense que je suis là à cause de ce qui m’est arrivée…en Décembre 2018. Dis comme ça. Ca paraît vieux. D’ailleurs, depuis cette date, j’en ai parcouru du chemin. Mais j’ai peur d’avoir pris une mauvaise voie. Bref » tenta de se recentrer Violette en faisant des gestes avec ses mains. « Ce que je voulais dire c’est…en Décembre 2018…je…j’ai été abusée sexuellement…violée en d’autres termes. »

Et même si Violette avait réussi à faire le deuil de cet événement tragique, en parler lui faisait toujours du mal. C’était toujours comme si on lui plantait un couteau dans le ventre. Mais Violette avait appris à vivre avec cette douleur, à la supporter. C’était un bon début de discussion avec le psychiatre, non ?

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________________________________________ 2021-03-14, 23:54 « Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

A la découverte de son moi intérieur
“Si je ne suis pas moi-même, qui le sera pour moi ? Et si je ne vis pas pour moi-même, qui vivra pour moi ?”

Elle avait décidé de lui parler de Riverdale. Une série télévisée. Choix on ne peut plus commun. Beaucoup commençaient leur première séance pour le temps qu’il faisait, par le fait de parler de leur animal de compagnie ou encore de ce qu’ils avaient vu récemment à la télévision. Une sorte de système de défense bien rôdé qu’ils utilisaient aussi inconsciemment dans leur vie de tous les jours quand ils n’avaient rien à dire à leur interlocuteur ou, tout du moins, qu’ils avaient l’impression de rien n’avoir à dire. Il s’était contenté de lui sourire d’un air amusé, réprimant au passage l’envie de lever un sourcil qui connecterait sans aucun doute d’un jugement qu’il ne voulait pas lui faire percevoir. Violette Parr était jeune et comme toutes les jeunes de son âge, elle aimait les séries trépidantes sur des adolescents qui donnaient l’impression d’avoir une vie meilleure tout en ayant également une vie beaucoup plus chaotique et plus aventureuse. Cela plaisait sans aucun doute au plus grand nombre dans le monde entier mais l’ancien lion en venait à se demander comment une demoiselle qui vivait exactement comme ces adolescents attardés de séries télévisées pouvait en arrivait à aimer leur quotidien et peut-être l’envier. Poliment il se contenta de répondre :

— Certains scénaristes ont le don du cliffhanger, c’est ce qui fait d’ailleurs que ce genre de série garde de l’intérêt, une bonne scène de fin et un bon suspense. Je vois bien avouer que je ne connais que très peu la trame de cet univers mais je suis prête à vous croire sur parole. Quand on est une indestructible et qu’on est adjointe d’Hadès, je suppose que nombre de choses ne doivent normalement plus nous surprendre... si nous le sommes, c’est que cela a été écrit avec talent.

Elle avait semblé prête à se lancer dans le véritable vif du sujet mais elle s’était stoppée une nouvelle fois pour s’inquiéter des noms qu’elle risquait de divulguer. S’il l’avait pu, il aurait sans doute ricané face à cet excès de précaution. Il semblait évident que la jeune femme ne semblait pas très à l’aise ni même très au fait de cette branche médicale. Il se contenta cependant d’approuver :

— Votre nom de code était très efficace, effectivement mais il ne sera pas nécessaire de donner des noms de code à tout votre entourage. Même si je ne remets pas en cause votre faculté imaginative, cela nous prendrait sans doute beaucoup de temps pour rien. Vous êtes une figure publique, nombre de votre entourage est de ce fait connu. Et puis ce ne sont pas eux que nous devons analyser, uniquement vous et vos réactions par rapport à eux. S’ils vous aiment, je pense qu’ils n’y verront pas d’inconvénients.

Il lui avait souri aimablement et la brune avait semblé enfin décidé à arrêter de perdre son argent dans des palabres inutiles pour commencer véritablement sa séance. C’était sans doute les moments les plus plaisant pour le psychiatre : des palabres sans intérêt qui lui revenaient au même prix qu’une véritable psychanalyse. Pourtant, la jeune femme s’était stoppée une nouvelle fois pour s’inquiéter de ce qu’elle était en train de lui dire et il l’avait rassuré d’un signe de tête lent et entendu :

— Effectivement. La psychiatrie, contrairement à la psychologie est une discipline médicale. Je suis donc soumis non seulement au secret professionnel mais également au serment d’Hypocrate qui m’oblige en quelque sorte à vous aider du mieux que je le peux.

Il lui avait lancé un sourire complice avant de tourner nonchalamment la tête en direction de la seconde porte, derrière son bureau.

— Vous voyez cette porte ? C’est par celle-ci que vous partirez tout à l'’heure. Elle donne accès à l’arrière du bâtiment, ce qui fait que vous ne croiserait pas le prochain patient, tout comme personne ne vous a croisé... “mademoiselle Pomerose”.

Il lui avait lancé un sourire complice avant d’ajouter, pédagogue :

— C’est ainsi que je préserve le secret professionnel et la vie privée de mes patients. Vous pouvez donc d’autant plus me parler de tous les gens que vous souhaitez, rien ne sortira de ces murs.

D’elle-même, la jeune fille c’était enfin lancée dans les méandres de sa vie et quels méandres ! Aloysius était resté calme, impassible, tandis que la jeune fille se projetait dans le pire moment de sa vie. Ainsi elle gagnait un peu d’intérêt à ses yeux. Si elle avait tourné autour du pot comme la très grande majorité des patients qu’il traitait, elle avait décidé pourtant d’embrasser son passé en entier, de le prendre à bras le corps, ce qui était plutôt rare. Il voyait à son ton qu’une partie d’elle avait déjà digéré cet acte abject qui ne lui était nullement compréhensible mais une autre partie semblait l’avoir enfoui plus profondément en elle, transformant par la même occasion certaines parts de son âme au passage, comme si le traumatisme avait commencé à la gangrener. Elle avait peur d’avoir pris une mauvaise voie avait-elle dit... qu’avait-elle pu donc faire pour estimer ne pas avoir été la bonne petite fille qu’elle se destinait d’être ? Pour la première fois, la brune captait toute son attention et il espérait grandement qu’elle ne le décevrait pas. Il s’était contenté d’hocher la tête à son arrêt, sans prendre le temps de s’excuser ou s’apitoyer. Ce n’était pas son rôle après tout, ce n’était même pas déontologique à dire vrai et cela l’arrangeait bien. S'il pouvait s’éviter de mettre un “masque de normalité” à certains moments de sa vie, il ne se privait pas de le faire.

— Ne vous inquiétez pas, vous ne me voler nullement mon travail. Je suis là pour vous guider, si vous avez déjà quelques pistes à me transmettre avant de me mettre la boussole en main, je ne peux vous en vouloir, au contraire, cela montre un signe d’avancée de votre côté. Vous semblez effectivement avoir déjà parcouru une bonne partie du chemin qui vous sépare désormais de ce moment traumatisant. Vous dîtes pourtant que celui-ci vous a peut-être amener à suivre une mauvaise voie. Il est normal de se sentir désaxée après un choc tel que celui-ci. Le viol a tendance à morceler l’âme car il détruit tout sentiment sécuritaire en nous. Il n’est pas rare que suite à cela, la victime puisse développer une envie exacerbée de se protéger...

Il laissa un silence s’installer laissant ses paroles faire leur chemin dans la tête de la jeune femme. Au bout de quelques secondes, il reprit alors la parole, tout en joignant ses mains, les posant sur ses jambes désormais croisées :

— Connaissiez-vous votre agresseur ? Votre état est affecté différemment en fonction de votre connaissance ou non de la personne qui vous a fait cela. De même... avez-vous eu l’occasion de voir la justice être rendue ?

Il l’observa longuement en silence, sondant son esprit, ses micro expressions. Il n’avait aucune envie de rajouter une autre question, le but n’était pas de l’assommer mais bien de rythmer leur entrevue. Les deux questions qu’il avait posées n’étaient pas facile à répondre, il le savait mais elle s’était lancée d’elle-même sur cette voie. Peut-être aurait-il dû, dans un excès de précaution lui repréciser que c’était à elle de décider de ce qu’elle voulait ou non parler, qu’elle pouvait changer de sujet, mais il n’avait aucune envie qu’elle en fasse autant. L'intérêt qu’il ressentait pour Violet Parr était tout juste en train de s’éveiller et il était hors de question de laisser ce fragile moment de félicité lui glisser entre les doigts par ses propres mots malavisés.
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________________________________________ 2021-04-04, 22:47

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Il était fort. Le fait de rebondir sur ce que Violette disait permettait de se sentir en confiance. Violette commençait à se sentir en confiance. Après tout, il avait réussi à maintenir la conversation sur un sujet qui, au premier regard, ne devait certainement pas l’intéresser.

« Vous n’avez pas tort sur les séries. Il faut toujours quelque chose qui tient en haleine le spectateur. »

Et Riverdale y arrivait parfaitement. Mais il n’y avait pas grand-chose de plus à ajouter à ce sujet. Surtout que Violette n’était pas venue là pour parler série. C’était plutôt avec Apple et Nora qu’elle parlait de ce sujet-là. Ainsi, l’Indestructible décida de rebondir sur les derniers propos de psychiatre.

« Là encore, vous marquez un point. Depuis que je suis arrivée dans ce monde, en 2018, j’ai découvert des nombreuses choses dont je ne soupçonnais même pas l’existence ! Cependant, je pense qu’il y aura toujours des choses qui me surprendront. J’ai même l’impression que ça arrive fréquemment. La vie à Storybrooke et dans ce monde est loin d’être un fleuve tranquille. Mais je pense que je ne vous apprends rien. »

Lui aussi devait avoir une collection de faits bizarres s’étant déroulés à Storybrooke. D’ailleurs, elle l’observant attentivement, Violette se demandait quel personnage de conte il pouvait être. Violette n’en avait aucune idée et elle savait que ce n’était pas réellement elle qui devait poser les questions ici. Elle en avait déjà posé assez. D’ailleurs, Mr Black avait eu la gentillesse d’y répondre, mettant une fois de plus Violette en confiance. Mais lorsqu’il évoqua que Violette était une personnalité publique, elle ne put s’empêcher de passer une main dans ses cheveux, gênée.

« Oh je pense pas être une figure publique. C’est plutôt Hadès qu’il l’est ! Mais je suis d’accord que si je suis ici, c’est surtout pour avoir une analyse sur moi…tenter de comprendre et pourquoi pas trouver des solutions. Enfin…je ne sais pas…peut-être que tout ceci n’est pas « solutionnable » ? De toute façon, rien ne devrait sortir d’ici. »

Mr Black l’avait confirmé en expliquant la différence entre la psychiatrie et la psychologie, en évoquant le secret professionnel mais également le serment d’Hypocrate. C’était un serment de l’ordre des médecins qui protégeait en quelque sorte les patients. C’était un bon point. Encore quelque chose qui mettait Violette en confiance. L’Indestructible tourna la tête vers la porte que la psychiatre indiquait. La porte de sortie. Bien différente de la porte d’entrée. Personne ne croiserait Violette. Décidemment, Mr Black marquait des points.

« C’est bon et surtout rassurant à savoir. Merci pour les explications Mr Black. »

Il n’en fallait pas plus que Violette se livre. Doucement mais surement. Elle avait lâché la première bombe à Aloysius…l’événement qui était, selon elle, l’élément déclencheur que tout ce qui avait suivi, de tout ce qu’elle allait raconter par la suite. Violette fronça les yeux face aux explications de Mr Black. Le viol avait tendance à morceler l’âme…en raison de la destruction de tout sentiment sécuritaire. Cette phrase tournait en boucle dans sa tête. Et la première chose qui lui vint en tête c’était Harry Potter.

« Du coup, si j’ai l’âme morcelée à cause de mon viol, je peux créer des Horcruxes ? » rigola nerveusement Violette.

Une façon de se protéger, de prendre l’annonce de cette première analyse à la rigolade. Alors qu’au fond, c’était un premier élément de réponse, c’était quelque chose d’important et de flippant. Si son âme était morcelée, ce n’était pas étonnant qu’une partie de l’âme de Violette ait pu noircir. Mais ceci n’était qu’une supposition. Aloysius aurait certainement plus d’élément de réponse à lui apporter !

« Par quel moyen peut passer cette envie exacerbée de se protéger, selon vous ? »

Violette tentait de savoir si faire torturer son agresseur en faisait partie, de même que tuer un violeur car l’histoire ressemblait à la sienne – en pire – ou même ne plus ressentir de remord ou de regret lorsque l’on enlève la vie à quelqu’un. Violette se mordit nerveusement la lèvre à la question de psychiatre. Et il fut de même à la dernière question. Ils entraient dans le vif du sujet et même si Violette avait fait le deuil de tout cela, ça lui faisait quand même du mal d’en parler.

« Oui…Je le connais. C’était quelqu’un à qui je faisais confiance, à qui ma mère faisait confiance. Même si parfois, il se comportait de façon bizarre…je m’étais toujours dit que je me faisais des idées. Qu’est-ce que j’ai pu être conne. J’aurais dû le voir venir. J’aurais dû réussir à me protéger, à me défendre. J’en ai largement les capacités. Mais…j’ai pas réussi. Aussi. Je me suis toujours promis que ça n’arriverait plus, que la prochaine fois que l’on m’attaque, je rappliquerais ! »

Mais Violette était loin de s’imaginer qu’au bout d’un moment, ça allait être elle qui attaquerait la première. C’était quelque chose qu’elle ne devait pas faire. Ce n’était pas dans les codes de super-héros. Violette fit une petite moue. Elle ne savait pas réellement quoi répondre à la dernière question de Mr Black. De quelle justice parlait-il ? La justice ou sa justice ? Car dans ces cas-là, il y en avait bien une qui avait été faite.

« Vous voulez savoir si j’ai porté plainte contre lui ? Non. J’ai pas eu le courage. J’ai préféré prendre lâchement la fuite et de me réfugier ici. Mais ce n’était pas une bonne solution. Ça ne m’a pas permis de faire le deuil de tout ça… Mais j’ai réussi à en parler, à des proches d’abord. »

Puis après…elle avait participé au meurtre glaçant d’un violeur. Et clairement, ça. Cela l’avait aidé à tourner définitivement la page sur ce qui lui était arrivé…pour aller sur une page peut-être plus sombre…

☾ ANESIDORA
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