« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Devant mon miroir je me prépare. Aujourd'hui est un jour vraiment important pour moi. J'ai entendu dire qu'Aladdin cherchait une gouvernante pour s'occuper de ses enfants et après un long moment de réflexion, j'ai décidé de me présenter pour ce poste. Dans ma main droite, je tiens une fiole contenant un liquide violacé. Je le regarde avant d'inspirer profondément. Ma décision est prise. Je retire doucement le petit bouchon en liège et porte le flacon en verre à mes lèvres. Je le vide entièrement et un frisson parcourt tout mon corps de bas en haut. Je ne sais pas pourquoi je me sens aussi fébrile pourtant ce n'est pas la première fois que je bois cette potion. Est-ce que ça serait différent ce coup-ci parce que j'ai peur que cela ne marche pas avec l'homme que j'aime ? Il me connait trop bien alors peut être que certaines de mes attitudes pourront éveiller ses soupçons ? Après tout l'habit ne fait pas le moine, comme on dit. Ce n'est pas parce que je change d'apparence que tout mon être se transforme. Non. Je stresse en partant de chez moi pour aller au Mystery Hotel. Mais il faut que je me reprenne sinon il va vraiment se douter de quelque chose et je vais faire une bourde par dessus le marché. Je fais un tour de la ville pour me calmer avant de me rendre devant son lieu de vie. Ça change bien du palais d'Agrabah. Après une énième longue inspiration j'entre dans l'hôtel et demande à voir Ali. On me fait patienter quelque peu alors je regarde autour de moi. Ce lieu est très intriguant. Je sens tout à coup comme un souffle dans mon cou et je me retourne mais personne. Plus qu'intriguant, je dirais maintenant inquiétant. Je ne suis pas folle et il n'y a pas de courant d'air. Je regarde bien encore partout mais rien du tout. Je secoue la tête. Peut être que ce n'était vraiment qu'un courant d'air.
Les minutes passent et je me fais tout un tas de films dans ma tête. La première phrase que je vais dire, la première pensée que j'aurais en le voyant. Le son de sa voix me fera t-il toujours autant d'effet ? Son parfum me fera t-il tourner la tête comme au bon vieux temps ? Je me mets une gifle intérieurement. Je ne suis là que pour décrocher ce boulot ! Pas de bourdes. Il ne faudrait surtout pas. Je mords ma lèvre pour me faire passer l'envie d'avoir ce genre de pensées mais quand je le vois enfin arriver devant je sens que mon cœur s'emballe. Merde ! Faut que je me calme. Inspire doucement. Il ne faut rien laisser paraître ! Je ne le connais pas ! Oh ... Il est toujours aussi séduisant. Je suis foutue ... Non il faut que je me reprenne ! Allez !
- Bonjour, je suis Corail. Je viens pour le poste de gouvernante.
J'arrive un décrocher un sourire franc et j'attends qu'il se présente à son tour même si je sais déjà qui il est.
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Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Nous nous retrouverons toujours Ali & Et ses RpMoi , petit personnage au teint café, vetu d une longue tunique couleur rêve bleu accompagné d'une ceinture rouge perroquet. Assis sur l'un des fauteuils de l'entrée de cet Hôtel. L'Hôtel Mystery Shack. Un nom que je n'arrivais a prononcer correctement. Ni a mémoriser. Parce qu'involontairement, je métarphorsais toujours le nom en Mystery Snack. Traduction: Mystérieux Serpent. Est ce que c'était une conscidience ? Sans doute pas , car je viens d'un pays a mille et une folies ou il y a des insomnies d'amour, plus chaud a minuit. Qu'au soleil, en plein jour. Un pays aux reves infinis ou il a des secrets mysterieux. Ou le chemin conduit vers le bien et l envie. Ou le fou qui se perd, au coeur du désert parce que fatal est l'amour. Venez! Venez! Approchez. Venez me voir, je percois votre aura, vous êtes une dévoreuse de contes et légendes. Vous aimez les histoires ? Bien sur que oui ! Et je désirais vous en conter une. Enfin ce n'est pas une histoire, mais plutôt un chapitre. Laisse moi vous raconter ce chapitre qui met en valeur une romance légendaire entre un héro qu'on surnommait le scarabée , et d'une charmeuse de déserts. Mais vous allez me demander qui je suis ? Je ne suis pas un recueil. Parce que je ne raconte qu'une histoire celle du scarabé. Je ne suis pas un auteur, de ma plume je n'écris pas ses aventures. Je suis un conteur. Je raconte ce qui s'est produit dans un passé lointain, un passé proche. Parce qu'a cet instant, nous sommes remonter quelques années en arrière.
Nous sommes a l'époque, ou notre héro ou cette parole prophétique n avait plus aucun sens. Celle ci: C'est pitoyable! Le fameux Sauveur d'Agrabah qui se cache . Regarder ce qu'est devenu le grand Aladdin, dire que tu aurais pu échapper a ce destin. C est quand tu es devenu un héros que tu as commencé a décliner. Et c est toujours ce qui arrive au héro . C est le sort qui leur réserver. Tu donnes et donne. Et pourquoi ? Il cueille les fruits, il coupe les branches. Et tout ce qui reste c est cette source tremblante. C est pour ca que l histoire d un héro ne se termine jamais par cette formule. Et ainsi ils vécurent heureux pour toujours , fait attention a toi Aladdin !
Mais a cet époque la, il était heureux , car le sort se montrait enfin favorable avec lui. Il avait ce qui n'avait jamais eu a cause de Cassim, son père : une famille. Une famille compléte avec une femme et des enfants. Il aurait pu avoir cette vie avec Sadira, mais elle l'avait abandonnée comme ses parents, pour des raisons qu'elle lui expliquerait le moment venu. Ce genre de raisons, se dévoile face a face. Mais revenons, a ses parents : Cassim qui était aussi volage qu'Aladdin . était parti a l'aventure. En quete d'une main magique qui transformait la moindre chose vivante ou non, en or. Du coté de la mère d'Aladdin celle ci décédait par chagrin d amour , gardant espoir de revoir son mari. Mais celui-ci n avait jamais franchie de nouveau la porte de leur taudis. Enfin c'était l'histoire du conte ! Parce que les souvenirs du charme noir venait encore plus compliquée l'histoire d'Aladdin.
Mais grace a Laureline qui était apparue dans sa vie , au moment ou il avait besoin d une femme pour guérir tous ses maux de coeurs. Princesse d'une galaxie lointaine , il avait trouver avec elle la famille qu on lui avait dérobé dans l histoire du conte. Mais aussi voler au cours de la malédiction. Et Aujourd'hui le héro ne pensait plus a cette phrase qui le hantait jour et nuit, depuis un long moment. Laureline avait guérit un maux en portant la vie en elle . Pas une, mais deux. Même si le couple , n etait pas marier avec elle. Parce qu'Aladdin etait toujours marier a sa Princesse Bleue. La Princesse du Cosmos était pour lui qu une concubine, une femme que le Prince déchu, entretenait pour se sentir moins seul. Mais aussi pour combler les absences de Jasmine et de Sadira. Mais aussi l absence de ses parents. Après tout, toute sa vie il avait été qu'un orphelin. Abandonné par les personnes qu'il aimait. Et c etait l'une de ses plus grandes phobies : être seul.
Mais la question que certaines femmes qui convoitait Aladdin, Laureline l'avait il aimer? Avec le temps, elle avait apaisée la perte de sa Princesse Bleue. Qui revait de lui. Tandis que lui rêvait la réalité. Sa Princesse bleue était dans un coma depuis longtemps.
Déterminé, Alladin avait chercher des solutions . Il s'était tourner vers la magie de son peuple .Donc la magie du baiser magique qui n avait pas fonctionner au toucher de leurs lèvres . Donc l'espoir s'était envahi. Parce qu'il croyait sincèrement que leur amour était assez puissant pour qu'il se retrouve toujours, a travers le temps, a travers les époques et dans n importe quelles contrées. Ses ressources étaient presque epuisées..
Mais que voulait la Princesse ? Il ne pouvait pas le savoir. Il n etait pas ce Prince de son reve. Il était celui de la réalité . Voulait-elle qu'il se morfond sur leur sort ? Qu'il meduse leur vie dans le temps ? Impossible sans la magie noire. Et même être Un Djinn, n'avait pas la capacité de les aider. Meme s' il croyait que cette magie allait lui procurer tout qu'il souhaitait, comme faire le voeu de reveiller sa Princesse. Mais la méchante Reine avait tout prévu. Le héro ne pourrait jamais avoir sa fin heureuse. Pas dans cette vie . La malédiction, avait affaiblie, toutes les magies existantes Pas seulement celle du Cosmos. Meme celle dans l'amour. Nous étions plus dans un conte de fée. Mais des personnages , que Regina souhaitait voir vivre comme les non croyant de la magie, qui vivait de l'autre coté de la frontière de Storybrooke.
Donc etre un génie ne servait a rien dans ce monde , car Aladdin ne pouvait pas exaucer ses propres voeux. Il avait un moyen, sauf il ne possédait ce grimoire, celui pour briser les lois de la magie, car il n avait pas autant qu’acquisitions qu'Aujourd'hui, dans ses objets magiques. Donc , il ne pouvait pas briser le sort du sommeil profond de sa Princesse. Parce que la magie du Cosmos, ne pouvait rien pour la Princesse. Il n avait plus aucun espoir pour le couple canon. A part prier le destin, ou les dieux pour qu'il ne coupe pas son ruban de vie.
Désespéré, il avait que Rajah qui pouvait rester a son chevet. Et heureusement. parce que cette décision soulageait Aladdin. Il culpabilisait moins. Elle avait un ami fidele pour veiller sur elle. Elle n etait pas seule . Mais lui se sentait bien seul sans elle. Mais il ne pouvait supporter cette image, d une Jasmine qui ressemblait a toutes ses princesses victime d un charme du sommeil.
Mais entre choisir de mourir d un chagrin d'amour , comme sa mère, Aladdin avait choisit la vie .. Mais il avait plutot choisit cet enfant dans le décor, qui se retrouverait orpheline. Sans père. Et qui allait périr par sa faute. Et notre héro ne voulait pas etre le portrait de celui-ci qui avait causer la perte de sa mère. Il voulait etre présent pour cet enfant de cette sorcière. Cette sorcière qui l avait gardée en captivité . Quelque peu de temps après la perte de Jasmine. Mais Sous l'emprise d un puissant magie . Entre les griffes de cette magicienne. Ma réalité était devenue un rêve, il avait qu'elle et moi. Il avait que nos moments. J'étais rendu aveugle au monde extérieur. Et cette sensation était agréable. D etre avec une personne. Et pas seul. Mais cet amour n etait pas sincère. Mais cet amour n etait pas recicroque pour Aladdin.
Parce que vous connaissez Sadira, cette sorcière prête a tout pour gagner le coeur d'Aladdin. Même a lui faire oublier l existence de Jasmine. Mais le scarabée et la charmeuse de désert n avait pas prévu était cette prophétie écrite. Que de leur union avait concevoir un enfant convoitée par les sources du mal. Des sorcières. Un frère maléfique et bien d'autres méchants. Et cette prophétie apprise par des sorcières de sa secte. Une secte qu elle ne voulait pas faire partie. Faisait renoncer a Sadira a son enfant. Et son délire d etre heureuse avec Aladdin. Passant que l enfant serait plus en sécuriété avec son père, qui ne savait rien.. Mais qu'il était toujours affrontrer et vaincre le mal aveuglement. Mais elle le savait son enfant aurait besoin d une mère, donc Sadira préférait rompe le charme et les mettre a l'abri , une fois l'enfant enfanté. Mais Sadira savait qu' Aladdin ne pouvait pas assumer le role de père seul. Il ne savait pas etre père. Il n avait pas eu le modèle . Il fallait une mère . Et Jasmine dans le coma , ne pourrait assez assumer ce role. Et voudra t-elle de cet enfant . Elle serait peut-etre qu une batarde a son coeur .. Elle verrait peut-etre en cet enfant comme une menace a son reve bleu , si elle ouvrait les yeux un jour.. Laureline arrivait donc dans la vie d'Aladdin pour être cette femme.Et qui allait lui apprendre a un merveilleux et fabuleux papa. C'était même Sadira qui l'avait guider jusqu' a Aladdin. On ne sait pas.
Comme je l'ai mentionné plus haut, nous sommes a l'époque ou le couple . Nous ne sommes pas a l'époque de la disparition de Sadira. Ni la Naissance de Kenza. Et Jasmine était toujours dans les abysses , a ce moment la. Mais pour Aladdin et Laureline la famille va s agrandir. Et leur Vizir , leur avait conseillé de se prendre une gouvernante. Parce qu'il se retrouverait avec trois enfants en bas âge. Et avec les aventures imprévisibles, les méchants d'Agrabah que la tempête maléfique avait capturés avec elle. Et la vie de mortelle que Laureline souhaitait. Et que lui ne souhaitait pas. Il ne voulait pas être prisonnier d un foyer. Il voulait une famille, qui l'accompagnerait dans sa vie volage. Mais il était aussi cloué a l'Orphelinat qui avait prit sous son aile, par amour de tous les enfants orphelins. Donc chaque visage lui rappelait lui -même. Mais aussi pour avoir une vie sociale qui lui rappelait , cette vie de Sultan qui aurait pu avoir. Donc notre héro avait peu de temps pour souffler.. Et se préparer a sa vie de père.
Son vizir lui avait conseillé aussi, qu'il devrait faire des sacrifices. Il avait donc sacrifié son reve de voir le monde pour Laureline. Il avait abandonné son archarnement a trouver a une faille dans la malédiction pour retourner a la maison. Sa vraie maison. Sa terre natale. Cette terre, ou l'amour est fatale. Parce que contrairement a tout le monde Storybrooke n etait pas fait pour la ville . Lui qui rêvait d'aventures fantastiques. De combattre des monstres. D'etre un personnage de conte. Et cette vie , Laureline et Jasmine ne pouvait pas lui offrir. Mais une gouvernante oui. Pendant qu elle veillerait sur les enfants. Et sur sa femme par la même occasion. Il pourrait partir en voyage a la recherche du miracle pour un portail vers Agrabah.. La bas, il réaliserait ses fantasmes. La bas il aurait peut-etre un remede pour Jasmine.. Donc la gouvernante sera d un grand soutien.. Donc le Vizir s'était donc empresser du communiqué. Et quelques jours suivants.. Une tonne de femmes se pointaient , mais aucune était retenue.. Pourquoi ? Misère de Misère, qu'il était difficile ce Prince espérant que la prochaine sera la bonne, car en jour, une femme pénétrait dans l'Hotel en demandant Ali.
★★★
Quelques minutes après sa paranoia fantomatique. Qui n'en était pas une. Tu avais bien sentie un courant d'air reel. C'était la présence de Netfir, Notre elfe de maison qui tentait de faire fuir les clients de l'Hotel , mais aussi toutes les gouvernantes qui se pointaient . Parce qu'il obéissait a un enfant qui n'avait pas envie de quitter les bras de son père pour aller dans les bras d'une etrangère. Mais a première vue, avoir eu un petit elfe invisible un court instant , sur ton épaule te posait aucun souci. Mais serait-il un souci a ta candidature le moment venu ? Parce que s'occuper des bestioles faisaient aussi parti du boulot. Celui-ci s'était éclipsé ailleurs, quand il m'avait apercu .. Il ne voulait pas se faire punir sans doute.
Quelques secondes après ce petit tour, je traversais la peinture secrete et magique. Cette peinture qui menait a mon Palais. Et je marchais en ta direction pour me retrouver devant cette toi. Toi ma sorcière. Sorcière que je ne reconnaissais pas, parce que tu portais un masque magique. Expression symbolique, tu avais seulement bu une potion, sans que je le sache, pour etre une etrangère. Donc je restais indifférent. Vetu de ma tenue de Prince, je prenais un air hautain. J étais rarement vêtue des fringues modernes de cette ville, sauf quand j étais de sorti. J avais du mal a m'adapter a cette vie, malgré les années qui passaient. Mais chez moi , je me pavanais dans une allure princière, a mon aise. Accompagné d'un tigre qui suivait mes pas. Il se positionnait a mes cotés . Dans mes bras, je portais un bambin de deux ans. Une petite fille plus précieusement. Ton enfant, que tu m avais confié. Cet enfant, que tu avais déposé chez moi dans un panier, avec une lettre pour seule réponse a mes questions. Physiquement, elle etait très jolie, vetue d'une robe a froufrou dorée accompagnée de petites ballerines. Elle avait un teint café et une chevelure noire lègèrement frisottante. Elle te ressemblait. Enfin ressemblait a ta véritable apparence. A ta présence elle me tenait fermement par le haut de mon habit , en jetant un coup d'oeil emeuraude discrètement, froncant les sourcils dans ta direction. Elle craignait sans doute que tu veules lui dérober son père. Elle etait très possessive envers moi. Mais son tigre et son petit lutin etaient de ses cotés pour la sécuriser. Mais si tu te faisais engager, tu aurais tout le temps de l'apprivoiser..
Tu te présentais sous le prénom de Corail. Une très jolie prénom, accompagnée d'un joli sourire. Tu semblais nerveuse, sans doute l'effet d'être devant une légende, ou tu avais entendue toutes les anecdotes frissonnantes que le peuple radotait au sujet de ce poste. Une femme avait été presque été dévorée par le tigre. Une autre avait fuit parce que l'Hotel etait hantée, mais ce n etait que lutin qui faisait des siennes. Même si le paranormal régnait en ses lieux. Et dans les années futures, elle allait etre victime d un meurtre du celebre tueur en série Hyde. Pour postuler comme gouvernante, il ne fallait pas crainte la magie. Prenant le risque de te froisser , mais aussi de vexée ma fille. Je prenais ta main dans la mienne, pour la portée a ma bouche et lui offrir une bise. Avant de lâcher brusquement ta main, parce que l enfant me tapant l'épaule en pleurnichant, sans larmes. A cet instant, le tigre montrait les crocs. D'un ton ferme je m'exprimais envers eux. Ses deux complices. - Ca suffit votre petit manège a tous les deux. L'animal féroce refermait la gueule. Et l enfant prenait une moue boudeuse. - Enchanté Corail. Moi c'est Aladdin, mais vous pouvez m appeler simplement Ali ou Monsieur comme vous désirez.Je vous présente par la meme occassion Gédéon l animal de compagnie de la petite boudeuse. Soudainement, je faisais des chatouilles dans le cou a ma fille, pour la faire sourire et rire. Ce qu'elle fit. C'était pour calmer l ambiance. -Voila Kenza. Apres ce moment d'égarement, mon attention se reposait de nouveau sur toi. - Il faut l'excuser, elle est un peu perturber ces temps ci, avec l'arrivée d'une femme dans ma vie. Et elle a de la misère a comprendre qu'on n'est plus juste elle et moi. Elle a de la misère avec les visages féminins. Sans doute a cause de l'absence de sa véritable mère. Mais c'est ma faute, ma vie conjugale n'a jamais été facile. Vous devez le savoir si vous avez fait des recherches sur votre employeur. Une femme dans le coma. Et une nouvelle femme dans leur vie, enceinte en plus. Donc vous devrez vous occuper aussi a la naissance, si vous ne prenez pas la fuite. Sourire de malaise. - Allons discuter si vous voulez bien. Je vous invite dans mon bureau. Suivez-moi. J'espère que vous ne craignez pas la magie, parce qu'il va falloir qu 'on traverse un portrait pour je puisse vous montrer le lieu ou vous pourrez travailler, par contre vous serez loger dans la suite royale de l'Hotel . Et ne vous en faites pas, si vous etes engager, vu que c'est un travail difficile. Vous ne manquerez de rien. Par contre j'exige une tenue de gouvernante, comme mes domestiques. Bon allons voir votre curium vitae en toute intimité. Déposant Kenza sur le dos de son tigre. La petite empoignait le poil de la bete pour se tenir. Puis je tentais la main pour te Guider vers le portrait, ou tes rêves de Princesse allait se réaliser. Si tu etais la candidate parfaite. Regardant le Tigre . - Gédéon apporte Kenza, dans ses appartements. L'animal obéissait .. entamait le pas avant nous.
★★★
C'était ainsi que le Scarabée et la charmeuse des déserts disparaissaient de ma vue. C'était ainsi , qu'ils s'étaient revu , parce qu'ils se retrouveront toujours, a cause d'une prophétie nommée Kenza Alienore . Elle etait le destin de ses parents. Une enfant qui avait un don spécial. Ces dernières semaines, elle avait gribouillis un dessin bien particulier celui de sa famille. Et dans son langage de bébé, avait souhaitée, le retour de sa mère. Et elle était la.. Fruit du hasard ? Peut-etre . Peut-etre pas. Kenza est toute une intrigue a elle a seule. Fille d un Djinn. Fille de sorcière. En grandissant elle aurait un potentiel. Mais elle était peut-être comme moi...
J'étais stressée d'être devant Ali. C'est bête parce que je le connaissais bien en réalité. Mais dans ces circonstances spéciales c'était différent. J'avais peur qu'à travers mon comportement ou mes gestes il sache qui j'étais vraiment. Toujours pourvu de ses bonnes manières, il me fit un baise main. Ce contact me fit frissonner. Son souffle chaud sur ma peau me rappelle des souvenirs interdits. Il faut que je chasse ses pensées et vite. Je suis sous couverture, il ne faut pas que je montre le moindre trouble d'être en sa présence. Mais il relâche bien vite ma main parce que le bébé qu'il tient dans ses bras commence à pleurer. Je n'avais pas vu son visage jusque là mais quand elle se tourne je la reconnais tout de suite. Je la reconnaîtrais entre mille. Ma fille. Il me faut un self control de fou pour ne pas la prendre dans mes bras et l'embrasser sur ses petites joues roses. Elle est magnifique. Je ne peux m'empêcher de la contempler mais un feulement me sort de mes rêveries. Ali présente le tigre qui semble être le compagnon de jeu de ma fille. Il se présente lui aussi et je choisis mon option. Bien, Monsieur. J'ai peur de l'appeler Ali pour le moment. Je ne veux pas être trop familière. Il fait ensuite des chatouilles à notre petite princesse qui rit de bon cœur et dans ma poitrine, je sens mon palpitant qui fond encore plus. C'est le plus doux son que j'ai entendu de toute ma vie. J'ai trop envie de lui dire que je suis sa mère mais il faut que je sois plus forte que ça. C'est très dur. Il me la présente et j'entends pour la première fois son prénom. Kenza. Ça va lui va très bien et en arabe il signifie trésor. C'est vrai que même si elle semble déjà montrer son caractère c'est un véritable petit trésor. Je suis fière d'avoir mis au monde une petite merveille comme elle. Ali me parle un peu d'elle, qu'elle est perturbée en ce moment. J'apprends alors qu'il a une compagne et qui est enceinte de surcroît. Mon cœur se serre dans ma poitrine mais mon visage reste impassible. Serait-ce Jasmine ? Ça semblerait logique que oui mais la tournure de sa phrase me laisse un doute. Il parle d'une femme dans le coma. Mais qui est-ce ? Je le saurais bien assez vite. Il me parle de sa vie conjugale compliquée mais je n'ai pas fait de recherches non. Après tout le privé reste privé. Je ne dois pas me mêler de sa vie personnelle. Je suis ici pour le travail. Rien d'autre. Du moins, en apparence. Il me dit que je devrais m'occuper du bébé à naître. J'hoche simplement la tête avec un sourire. S'occuper de la progéniture de l'homme dont je suis éprise ne m'enchante pas mais c'est le travail alors je le ferai. Je ne peux pas avoir que des avantages. Il m'en faudrait bien plus qu'un peu de magie ou une vue conjugale mouvementée pour me faire fuir. Je lâche un petit rire avant qu'il ne m'invite à parler en privé dans son bureau. Il me rassure sur mon poste à me dire que je manquerais de rien et je souris. Je savais bien qu'il était protecteur et bienveillant alors je ne doutais pas de ses paroles. Il me parlait de la future tenue et j'acquiesçais. Je devais maintenant le suivre pour aller dans son bureau. Il posa notre fille sur son tigre et lui dit de l'emmener dans sa chambre. Je vis ma princesse s'accrocher à l'animal et partir devant nous. Un petit pincement au cœur de la voir partir mais je sais que je la reverrai très vite. J'avais bien l'intention de décrocher ce boulot.
Ali prit ma main et m'emmena là où il voulait que l'entretien se passe. Nous traversâmes un tableau et nous nous retrouvâmes dans un autre tout lieu. Je continuais de suivre mon futur patron et nous entrâmes dans son bureau. Joliment décoré, pas trop surchargé. Il me montre un fauteuil et je m'installe. Il prend place sur le siège en face. Un bureau imposant en bois nous sépare. Je croise mes jambes et je garde mon attention fixe sur Ali. C'est difficile de regarder ailleurs, il a toujours attiré mon attention. Je préfère être honnête avec vous dès le départ. Je n'ai pas vraiment d'expérience avec les enfants mais je suis prête à apprendre et j'ai un bon instinct maternel. Je ne fuirais pas ni ne rechignerai à faire quoique ce soit. Vous pouvez avoir confiance en moi. Je sais que c'est faible comme argument parce que vous ne me connaissez pas mais prenez moi à l'essai et vous pourrez voir que je ne mens pas. Je suis là pour travailler et être au service de votre famille. Je mets toute mon énergie dans ces quelques phrases. Je veux le convaincre que c'est moi qu'il doit choisir pour ce poste et j'espère vraiment qu'il le fera. Il faut que je sois proche de ma fille. J'en ai plus que besoin.
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Ali Nacer
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Nous nous retrouverons toujours Ali & Et ses Rp Tu étais ma dernière chance. Ma dernière chance de trouver une gouvernante pour cet -notre enfant- mais aussi les futurs. Même si ca ne te plaisait guère, mais au fil de l'histoire , -vu que nous sommes dans le passé- tu voudrais peut-être les considérer comme les siens , sans pour pourtant effacée l'existence de leur véritable mère- car malgré son jeune âge , notre trésor démontrait déja qu'elle serait une terreur en grandissant. Ce trait venait il de toi ? Ce trait venait il de mon demi frère Mozenrath ou de moi ? Peu importe, elle était ingénieuse et construisait diverses plans avec ses complices -le tigre et le lutin de maison- pour se débarasser de toutes les prétendantes au poste. Tu allais surement être victime de son imagination maléfique, a moins que tu ensorcelles et conquérir son coeur, comme avec moi autrefois. Et si seulement je t'avais reconnue, j'aurais pu confirmer dans mes pensées que tu n'avais pas besoin d'aucun sortilège pour qu'elle t'aime et te choisisse comme sa gouvernante, car malgré le mirage que tu refletes , ton enfant peut, plutot allait, te reconnaître. Le lien mère -enfant est un phénomène magique inexplicable. Le lien mère-enfant , aucune malédiction ne peut le vaincre. Donc notre trésor était la maitresse de notre lien. Mais tu étais aussi ma dernière chance , de ne pas croire en la prophétie de notre ami , le Génie. Et dans -un futur proche- laisser ta rivale de toujours vivre sa vie Storybrookienne. Parce que moi je n'avais pas oublier, ni même renier ma racine mère. Tu étais aussi ma dernière chance, de ne pas croire que j'étais maudit en amour.
Naif, même peut-etre trop confiant d'avoir déniché peut-être la perle rare pour l'emploi. A moins, que j'étais ébloui par la beauté de ton reflet. Tu n'avais pas du te confectionner une apparence repoussante. Surtout que ton but, était de te rapprocher de nous. Et tu me connaissais, je n'étais pas l'homme qui restait indifférent devant un physique a mon gout. Et tu étais une charmeuse. Tu etais une sorcière, dont tu avais les atouts pour séduire un homme comme moi , pour obtenir ton objectif. Moi, je n'avais pas remarqué les signes , qui aurait pu me rendre méfiant a ton écart. Les signes comme ta nervosité, ton émerveillement pour -notre- bébé , ton enthousiasme pour ce boulot. Experte, dans l'art du camouflage et du mensonge, Tu buvais toutes mes paroles , même les plus pénibles a entendre. En plus, tu faisais preuve de politesse avec le mot Monsieur et tu avais un sens d' humour, accompagné un magnifique sourire. Tu etais la parfaite candidate. Mais nous devions discuter des petits détails. Et tu devais essayer ton costume de -nounou- . Donc main dans la main. Je t'invitais a traverser la porte vers une autre dimension.
Le concept a été inspiré d'un film connu. L'Hotel de Gravity Falls et le Palais- un chateau différent de celui du Royaume dorée, mais construit par la magie cosmos comme l'Hotel elle-meme. Ce palais avait une apparence et ambiance Orientale -du Celebre Scarabé d'Agrabah étaient connectés , en faisant qu'un lieu unique. Le portrait que Kenza et son compagnon félin venaient de traverser avant nous , était la porte secrète du repère d'Aladdin et certains habitants. Un repere souterrain qui pourrait te re-mémoriser des souvenirs de notre époque de conte, quand tu avais découvert toi meme un palais. Celui de tes ancêtres, les sorcieres du sable enfouie sous tes pieds.
Portail franchit. On descendait des dunes de sables, qui menait a un gigantesque Palais, dont je ne connaissais pas toutes les pièces. Mais la demeure était énorme, pour accueillir le peuple Agrabanais, qui comme moi ne trouvait pas leur place a Storybrooke, dont tu pourrais reconnaitre quelques visages de la cité , car seule la citée avait été touchée par la malediction de la méchante sorcière. Et moi , je me sentais responsable de cette histoire. J avais toujours cru que c'était ma faute, si le peuple avait été maudit, parce que contrairement a la méchante Reine de Blanche Neige, moi j'avais épousée mon reve bleu. Donc -pendant que la Princesse- était dans un profond sommeil dont aucune magie avait pu la réveillée , même pas un baiser d'amour. Notre peuple avait un foyer.. Mais chacun avait le choix de vivre la -haut , tenter une nouvelle vie. Chacun avait le choix d'etre en bas et avoir un semblant de vie qui ressemblait a notre ancienne vie, le temps que je trouve un miracle pour qu'on retourne a la maison, car on sait qu'on se trouve chez soi, quand l'endroit nous manque.. Et moi Agrabah me manque. Et rêveur que j'étais, je souhaitais que notre fille découvre son origine. Elle était née -certes- a Storybrooke , mais elle appartenait aux déserts Agrabanais. Tout comme toi...
Une fois descendu, tu avais sans doute du sable dans tes chaussures, si celles ci étaient adapté au monde moderne. Mais ne t'inquiète pas, j'allais résoudre ce souci , une fois que tu auras revetu ton uniforme. A l'horizon, tu pouvais apercevoir le Repere . Un Repere protégé des ténèbres, comme l'Hotel elle-même par la magie , et pas seulement la mienne, mais aussi par du crin de licorne ancré dans la matière de la fabrication du lieu. Dont tu avais bien veiller a la protection de -notre- enfant en l'offrant a son père. Au loin, tu pouvais entendre le bruit des habitants dans leurs occupations. Et quelques instants après cette vue extraordinaire, on avait pénétrer dans le Palais , jusqu'a mon bureau , enfin celui de mon -vizir- que je te présentais , a un moment. Ancien conseiller a la couronne d une autre époque. Il etait l homme idéal pour faire de moi un - sultan- même si la haut je ne portais pas ce titre. Mais ici , j avais besoin d un homme pour venir en aide a mon peuple . Mais aussi pour veiller sur lui , parce qu'encore très jeune , je rêvais toujours de ma vie de vagabond et de voir le monde. Partir a l'aventure. Partir a la chasse aux trésors ce monde méconnus. Mais avec un peuple et des enfants, ma liberté est prisonnière. Donc tu arrivais a point. On s'installait chacun a nos places respectives comme dans une entrevue.
Dans le fauteuil, je prenais une position a l'aise en observant le moindre de tes gestes. Et toi tu croisais les jambes, signe que tu te sentais intimidé ? Signe que tu te sentais gênée ? Signe que tu ne savais pas comment m'aborder . Et en plus tu me fixais , comme si je t'impressionnais, ou que tu voulais faire disparaître le bureau entre nous . Ce silence était gênant jusqu'a ce que tu décides de le briser en parlant. Je préfère être honnête avec vous dès le départ. Je n'ai pas vraiment d'expérience avec les enfants mais je suis prête à apprendre et j'ai un bon instinct maternel. Je ne fuirais pas ni ne rechignerai à faire quoique ce soit. Vous pouvez avoir confiance en moi. Je sais que c'est faible comme argument parce que vous ne me connaissez pas mais prenez moi à l'essai et vous pourrez voir que je ne mens pas. Je suis là pour travailler et être au service de votre famille.
Un large sourire illuminait mon visage a la phrase, vous pouvez avoir confiance en moi. Cette parole mythique. L argument parfait pour me convaincre. Parce que je voulais bien te faire confiance aveuglement , jusqu a ce que je découvre qui tu etais vraiment, car a cet instant dans l histoire de ma romance avec la Princesse. J'étais Jasmine et toi tu etais moi. - Je veux bien vous prendre a l'essais malgré votre manque d expérience mais pour me convaincre de vous engager. Vous devrez conquérir le coeur de ma fille. Apprivoiser le tigre et le lutin de maison. Et vu que vous devrez vous occuper de ma progéniture, je vous demanderais d'etre a l'écoute des besoins de ma concubine durant sa grossesse. La premiere requête était celle que tu voulais. La deuxième requête allait te déplaire mais tu pouvais tourner l'histoire a ta faveur. Parce que nous faisons parti du conte -Aladdin- et le moindre détail peut changer le cours de l'histoire te dirait le colporteur et effacer un futur qui etait deja écrit. A cet instant, tu avais tu pouvais contrôler mon dessein . Le colporteur te dirait de réfléchir . Tu connaissais tes buts. Mais savais-tu comment les obtenir ? Après tout, ce n'était pas la première fois , que tu désirais la place d'une Princesse. Mais serais tu la cause .. car finalement le trait ingéniosité de Kenza ne venait du coté paternel mais de toi.
D'une mouvement de main s'effleurait le bureau, quelques objets apparaissait devant toi un parchemin qui était une carte de ta nouvelle demeure. Une clé qui etait celle de ma suite royale de l'Hotel et ton costume avec tes accessoires de gouvernante. Pointant chaque objet de mon index. - Voici une carte magique, vous pourrez y voir ses habitants mais aussi toute les pieces du Palais. Seul l'Hotel n'est pas sur cette carte. Vous pouvez vous balader comme bon vous semblez dans le Palais, sauf l'aile Est vous est interdit. Mais pourquoi cet aile était interdite ? Une salle du trone du trone s'y trouvait avec les artefacts les maléfiques d'Agrabah que je possédais en ma possession. Mais il avait aussi ma chambre.. Une chambre que je ne partageais pas avec ma concubine après tout, c'était qu'une concubine. La femme de mes enfants . Mais ce n'était pas -ma- Princesse. Cette carte ne doit pas tomber dans les mains de n'importe qui. Vous m'avez demandé de vous faire confiance, je le fais. Pour effacer toute trace de magie, vous devez dire trois fois sésame ferme toi. Au tour de la clé. - Comme indiquer plutôt, vous serez loger dans ma suite Royale. Vous avez même une salle de jeu et une chambre pour les enfants lors de vos heures de travail. Vous pouvez faire comme chez vous dans la suite , même inviter votre petit copain si vous avez un , mais si je peux me permettre , je ne souhaite pas que ma fille soit en contact avec celui-ci ou d une connaissance que je ne connais pas . Oui j'étais stricte mais surtout très protecteur envers -notre - fille. Je pointais le dernier objet et le plus intéressant de tous:le costume. - Je l'avoue c'est un caprice a moi. Mais aussi parce que je trouve que les fringues de ce monde atrocement -horribles- J"en porte quand je me balade dans les rues de Storybrooke pour passer inaperçu. Mais je préfère les habits de mon Royaume. Donc si vous êtes d accord , j'aimerais que vous soyez vêtue comme une Princesse durant votre travail, voulez vous l'essayer pour moi ? Poussant d un mouvement de main le costume en ta direction. Et mettant une main devant les yeux. -Promis je ne regardais pas. Je peux même me tourner ou sortir de la pièce, le temps que vous l'enfilez. Je viendrais vous aidez pour les accessoires .(Pour les petits curieux qui liraient, il n'aurait pas de détails ) Le costume etait un habit Bollywoodien violet. Et les accessoires étaient une couronne de chaines, avec des chaines de ventre et de chevilles. Oui chaque Prince avait sa petite exigence envers les femmes. - Dernière question , a votre entrevue avez vous un souhait a exaucé pour votre boulot que je pourrais réaliser ? Une envie particulière. C'était quoi cette question ? Certes j'étais ton patron. Mais jamais , il n avait aucun salaire en piece a la demande. Tu n allais pas faire du bénévolat non plus. Mais je pouvais combler n'importe quel de tes besoins et de tes caprices. Même celui de commencer toute suite, et d aller passer un moment avec -notre- fille, comme une vraie famille.
Dans ma démarche, je me montrais la plus convaincante possible. Il fallait que ce poste soit pour moi. Je ne supporterais pas qu'une autre femme s'occupe de ma fille. Déjà que je devais "partager" l'homme que j'aime avec une princesse ... Ça me faisait hérisser les poils à chaque fois que j'y pensais. Enfin, je chasse ses pensées et j'écoute ce qu'Ali a à me répondre. Il me prend à l'essai et je retiens mon sourire en attendant la suite. Il ajoute que je devrais conquérir le coeur de sa fille et c'est tout le but de ma venue ici. Il me parle ensuite d'un lutin et du tigre sur lequel Kenza était. Ça devrait faire mon affaire je n'ai pas peur. Par contre la suite de sa phrase me laisse sans voix. J'essaye de ne pas le montrer mais ... Je dois me battre contre une princesse et une concubine enceinte. Oups pardon m'occuper de sa concubine. Être à son service à elle. La pilule a du mal à passer pour le coup mais impassible je ne le laisse pas voir ma frustration. Dans mon for intérieur, je sais bien de quelle manière je pourrais m'occuper d'elle mais il ne le faut pas. Je suis là pour ma fille il ne faut pas que je me laisse consumer par ma jalousie. Pas tout de suite en tout cas. D'accord, je ferais du mieux que je peux, Monsieur. Oh ce "Monsieur" j'ai l'impression d'être dans un jeu de rôle coquin. Cette pensée me fait rire intérieurement. Il fit alors apparaître sur son bureau quelques objets. Une carte, une clé et des vêtements. Il m'explique alors tout ce que je dois savoir sur les différents accessoires. La carte c'est pour me repérer au sein du palais. La clé c'est celle de la suite royale que j'occuperai durant ma prise de fonctions. Une suite royale, moi qui viens de la rue, ça va drôlement me changer. Il parle ensuite de petit ami et qu'il ne voudrait pas que notre fille voit un autre homme que son père. Je coupe court. Je suis célibataire et ne recherche pas d'hommes dans ma vie. Vous pouvez être assuré de ça, Monsieur. À mesure que je dis ce mot, je me sens toute bizarre. Je ne sais pas si je m'y ferai au final. Le Ali reviendra sûrement bien vite. Sinon, je vais vraiment croire à ce jeu de rôle. Ne pas penser à ça. Ne pas penser à séduire son patron même si techniquement par le passé je l'ai déjà fait. Ensorceler ? Oui c'est plutôt le mot ... On ne va pas jouer sur ça. Revenons à nos moutons. Il pointe maintenant du doigt ce qui ressemble à un costume. Il est de couleur violette et me paraît bien beau. Un de ceux que je n'aurais jamais imaginé porter quand j'étais dans la rue. Il me dit que les habits modernes ne lui plaisent pas du tout j'hausse les épaules ça dépend pour moi. Il y a du bon et du moins bon. Je devrais être habillée comme une ... Princesse ? Je me retiens de serrer le poing. Si tel est votre souhait alors je le porterai.Moi ? Ressembler à une ... Grrrr ! Calme toi Sadi, ça va aller. Il pousse vers moi le costume et se cache les yeux. J'en profite pour rire silencieusement. Je veux faire bonne figure envers lui et je le laisse se cacher les yeux mais ça ne m'aurait pas gêné qu'il me regarde. Au contraire, j'aurais beaucoup aimé ça. Je ne suis pas pudique et n'aies pas peur qu'on puisse voir mon corps. J'enlève mes habits et reste en sous-vêtements avant d'enfiler le bas de ma tenue. Le tissu est terriblement doux et agréable. Il y a même un léger voile accroché au niveau de la fine ceinture. Je mets ensuite le haut et wow ça me fait un décolleté sublime. Je finis par mettre les chaînes autour du ventre et de ma cheville gauche. Le côté du cœur une symbolique invisible pour lui mais qui signifierait mon attachement et ma fidélité envers lui. Je me regarde un peu et aperçois un miroir un peu plus loin dans la pièce. Je ne peux résister à l'envie de me voir en entier alors qu'Ali enlève sa main de devant ses yeux pour me regarder. Je tourne sur moi-même en m'admirant dans la glace. Jamais je n'aurais cru que j'allais aimer ça mais Wow ... Je souffle ce simple mot signe de ma surprise. Je me trouve belle et à voir les yeux d'Ali j'ai l'air de lui plaire comme ça. Son regard est brillant. Ça me fait vraiment quelque chose. Si je ne m'écoutais pas là, je lui sauterai dessus. Il est tellement beau. J'aime qu'il me regarde comme ça. Sans m'en rendre compte je me rapproche de lui et avant que je ne puisse faire quoique ce soit de préjudiciable, je me mets une bonne baffe intérieure. Je m'arrête et le regarde. Est-ce que cela vous convient, Monsieur ? Je tourne à nouveau sur moi-même et lentement pour qu'il me voit sous tous les angles. Je me replace face à lui et attends fébrilement sa réponse même si son regard ne trompe pas. Ses yeux ... J'ai toujours été charmée par ses deux prunelles chocolatées. Un océan de douceur sucré dans lequel j'aimais me perdre. Ça ne change pas avec le temps j'aime toujours ça. Mon regard se pose ensuite sur ses lèvres lorsqu'il me répond. Je me souviens parfaitement de la dernière fois que je les ai embrassé. Du velours à l'état pur. J'aimerais tellement y regoûter. Sadi réveille toi !! Tu ne peux pas ! Je me recule, troublée par mon attitude. Pour finir l'entretien, il me demande si j'ai un souhait particulier. Je réfléchis un instant ou du moins j'essaye. Être si proche de lui me trouble. Je ... Hmm non pas pour l'instant. Je pense que je vais me mettre au travail. Et quitter ce bureau où je commence à avoir bien trop chaud. Ma ... Chambre est indiquée sur la carte c'est ça ? Je ... vais essayer de la trouver si jamais je n'y arrive pas j'appellerai au secours. Je lâche un petit rire. J'ai su me repérer dans le repaire des sorcières des sables je devrais pouvoir m'en sortir ici. Et puis si je n'y arrive pas ça me donnera l'occasion de le revoir assez vite. Je ramasse mes anciens vêtements et prends possession de ma clé ainsi que de la fameuse carte. Ali vient derrière moi pour me montrer où se trouve la suite royale dessus. Son parfum de miel s'engouffre dans mes narines. Je peux presque sentir sa peau contre la mienne. Il me faut une force hors du commun pour ne pas me retourner et l'embrasser. Il faut vraiment que je quitte ce bureau. Est-ce que je peux disposer ? Ou vous avez besoin de moi pour quelque chose avant que je ne quitte votre bureau, Monsieur. Hmmm c'est tellement sexy de l'appeler comme ça...
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Ali Nacer
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Pour toi toute cette situation était un jeu de rôle , pour te rapprocher de notre fille, mais aussi pour me récuperer dans ta vie. Nous avions le même rêve, celui de former une famille, de vivre heureux et d avoir beaucoup d'enfants comme tous les héros de contes de fées. Malheureusement pour nous , nous étions encore loin du mariage fantasia et nous avions qu'un enfant. Un enfant qui ignore que sa mère est de retour. Un enfant qui ne connait pas sa mère, sauf par les paroles que son père-moi- lui raconte sur elle. Je n'avais même pas une photo a lui montrer. Tout ce qu'elle avait en souvenir de sa mère, était une doudou. Mais pour que notre rêve devienne réalité, tu avais quelques obstacles affronter. Mais comment ? Seul l"avenir, nous le dévoilera. Tes obstacles étaient une Princesse, ta rivale de toujours et une concubine enceinte. Mais qu'allais-tu faire des bébés ? Devant moi, tu agissais d'agir , comme une etrangère. Alors que tu avais très envie d'être familière.Moi de mon coté, j'étais trop naif pour remarqué ce jeu. Et je serais naif , pendant un long moment. Très long moment. Enfin jusqu' au moment ou j'apprendrais que tu es ma sorcière bien aimée. Mais a cet instant, j'étais un simplet, qui voyait que le reflet de celle que tu voulais me dévoilée. On en a eu la preuve au fil de mes aventures de contes, que ce coté dupe m'attirait toujours dans des péripéties périlleuses et fantastiques. Donc peut-être pourrais tu m'offrir ce qui me manquait dans ma vie .. Des récits digne d'autrefois.
Attentive. Tu buvais mes mots dans un silence timide. Mais je me sentais observé et analysé , mais je ne te faisais pas la remarque. Parce que ca serait manquer de tact. Surtout que d'apparence on était des étrangers. Mais me sentir idoler par toi , me plaisait. Ce sentiment me chatouillait le bas du ventre. Parce que je me sentais comme de nouveau - Le Prince Ali- . Être sous les projecteurs d une belle demoiselle, on ne pouvait pas demander mieux. Une fois le discours achevé, tu me disais, que tu ferais de ton mieux. Et ce que j'attendais de toi. Je ne te demandais pas la perfection, juste de l'aide pour reprendre ma vie en main pour qu'elle soit plus captivante. Moins ennuyeuse. Parce que je cherchais par tous les moyens de me defaire de cette vie de foyer. De cette vie de de mortel. Donc je t'offrais mon fardeau, a moins que tu avais l'intention dans un avenir proche, partir a l'aventure en famille. Et ca serait trop le rêve idéal. Toi , les enfants et moi , voir le monde. Faire des chasses aux trésors. Combattre le mal pour que triomphe le bien. Et peut-etre un jour, retourner a Agrabah. Mais pour l'instant, tout ce que j'espérais de notre aventure, enfin entrevue, était toi et moi sur le bureau pour un voyage toujours plus haut. Toujours plus loin.
Monsieur , mot que j'aurais du mal a m'y faire. Je n'avais pas l'habitude a tant de respect , de politesse. Moi qu'on avait toujours traitrer en vaurien. Même en étant le sauveur du Royaume d'Agrabah, on m'avait jamais appeler Monsieur, ni même par les mots royaux. On m'avait seulement offert des surnoms comme le Scarabé, Sauveur. Certains m'appelaient enfin par mon -prénom- Aladdin. C'était Jasmine qui avait le droit aux titres suprêmes. Au moment ou tu prononcais le mot - Monsieur- Tu semblais plonger dans ta bulle, perdu dans tes pensées. Des pensées qui m'intriguaient. Parce que tu semblais avoir perdu un court instant, avec la réalité. Et Oui tes songes , titillait ma facette curieuse de ma personnalité . Mais même en possèdant des dons phénoménaux. Je n'avais pas le pouvoir de télépathie, pour découvrir que tu avais des pensées coquines a mon sujet. Ce qui m'aurait fait plaisir, mais aussi rougir par ce malaise cocasse. Mais un jour peut-etre je demanderais a ma maitresse de lampe - Aisha-. Même si mon vizir voulait s'emparer de mon artefact, pour que je devienne son Djinn. Un vizir qui avait les même ambitions que Jafar. Mais encore une fois je faisais confiance a n'importe qui. La preuve, je t'engageais a etre ma nounou , sans trop mener l'enquête, sans trop creuser dans ta vie. J'étais sans doute aveugler par ta beauté et ton comportement de demoiselle soumise a tout mon baratin. Tu étais comme mon pantin. Je lui demanderais a ma fée , de pouvoir lire tes pensées. Pourquoi ? Pas seulement a cause de ton attitude du moment . Mais parce que ton regard qui m'idolait aguichait mon envie de savoir ce que tu pensais de moi .
A ta parole je te répondais : - C'est que j'attends de vous, que vous faites de votre mieux. Que vous me donner un coup de main. Et pas le coup de main que vous pensiez. Enfin pas toute suite. Même si la gouvernante que tu étais , me donnait envie de te connaitre plus intimement. Surtout avec la suite, qui s'ensuit. Parce que je suis un jeune homme qui se laisse guider par ses pulsions masculines. Et qui avait souvent le coup de foudre spontanément, sans trop se poser de questions. Et en ce moment coté, intimité , c'était un peu le vide. Jasmine n'était pas trop présente dans ma vie. Et Laureline, la concubine n'avait pas la libido dans le tapis. Et je n'étais pas le genre d'homme a se prendre des escortes , ou dénicher une femme de bar. Donc oui , chère nounou tu m'aguichais avec ton aura de mystères..
Je te présentais les objets que tu aurais besoin pour débuter. Ce qui calmait l'envie de te prendre sur le pupitre de mon Vizir, la toute suite, maintenant. Mais ca serait un peu malsain, surtout parce que je ne m'occupais jamais de la paperasse de l'Orphelinat- a cette époque- je n'étais pas encore acrobate du cirque du clair de la lune, mais directeur des orphelins. Malgré mon amour pour les enfants, le jour viendra ou je voudrais changer de voie. Surtout que l'Orphelinat etait entre de bonnes mains avec les personnages jouets et cette autre nounou du nom de Mary Poppins. Mais qu est ce que je faisais en tant directeur de l'Orphelinat ? Je m'amusais avec les touts petits comme si c'était les miens! Mais aussi comme si j'étais encore l'un d'eux. Mais peu importe , mon rôle pour l'Orphelinat, cet endroit aura toujours un emplacement important dans mon coeur, parce que c'était l'endroit de la naissance de notre petit trésor : Kenza.
Mais ne pas me laisser distraire par ta personne était difficile. Surtout que tu m'avouais sèchement que tu étais célibataire. Tu étais donc une femme sur le bazar, qui cherchait un homme dans sa vie. A moins que tu voulais juste un homme pour réchauffer tes draps la nuit et aux aurores l'homme devait déserté ton lit. Malheureusement, ce n'était pas que je recherchais comme relation. Surtout avec des enfants a la charge. Je ne cherchais pas a me batir un harem malgré les bavardages du Royaume . Non je souhaitais un rêve bleu durable et légendaire. Un reve bleu qui perdure a travers les âges. Et je savais que ce n'était pas avec Laureline que j'accomplirais cette destiné. Parce qu'entre nous, c'était qu un arrangement pour ne pas finir vieux garcon a cause d une prophétie du Génie qui prédisait que Jasmine, serait mon seul amour véritable. Aie ! Qu'allais tu faire ? Et est ce que c'était vrai . Les Djinns possédaient ils un don de clairvoyance ? Ou viendrait-il du futur ? Te savoir célibataire faisait de moi un homme comblé et satisfait. Pas de concurrence. Et je me sentais rassurer qu'il n'avait pas d'homme qui allait franchir la porte de ma suite royale.
Soulagé aussi que ma fille , allait avoir toute ton attention. Parce que ma gamine avait besoin vraiment d'une figure maternelle, parce qu elle possédait , malgré son âge , une attirance vers la magie noire. Comme son oncle paternel Mozenrath. Elle me parlait souvent de lui au fil de mes histoires que je lui racontais. Elle développait un intéret aussi pour les créatures et les méchants de mes récits. Elle se montrait meme parfois vilaine avec ses jouets.. Et elle faisait surtout mes quarante cents coups avec son lutin et son tigre. Elle se montrait méchante avec le cochon, la mascotte et l animal de compagnie d une résidente de l'Hotel. Je me demandais d'ou cette méchanceté venait ? -Chapitre a suivre dans un autre rp- Mais peut-etre voudrais tu percer le mystere avec moi.
Savoir que tu étais célibataire , surtout de la façon que tu me l'avais balancée , était -il un message que je devais décrypter. Le message, que ton -nouveau- patron te plaisait. Enfin physiquement. Parce que connaissais tu de moi ? Est-ce que tu avais fait des recherches sur moi , avant de venir postuler pour le poste de gouvernante ? Tu semblais plus renseigner sur moi, que moi sur toi . Si tu voulais qu'on se fréquente et qu'on essais de voir ce que ca donne , je ne refuserais pas mais tu seras considérée comme Laureline, d etre concubine et une -nounou-. Parce que j'appartenais encore a Jasmine.
Alors que je m'imaginais que toi et moi , on pourrait avoir un début histoire. Oui je vais vite ! Tout le monde devrait le savoir , il suffisait de connaitre ma relation avec la Princesse, pour le comprendre. Par contre, le deuxieme bout de la phrase, refroidisait ma fougue a ton égard, car tu me confiais que tu ne voulais pas d'hommes dans ta vie. Donc j'avais mal, très mal interprêté ta phrase. Tu voulais juste être une vieille fille , qui allaient vivre avec ses tigres. Dommage ! Avais tu eu une mauvaise expérience ? Je ne te poserais pas la question , parce qu'il était trop tot pour qu on se raconte nos vies. Mais j'étais intrigué, et peut-etre que tu étais célibataire, mais aux femmes d'ou que tu ne cherches pas d'hommes. Tu cherchais peut-etre juste une vie sexuelle aussi. Il avait tant de scenarios qu on pourrait se faire sur ces mots. Je coupe court. Je suis célibataire et ne recherche pas d'hommes dans ma vie. Vous pouvez être assuré de ça, Monsieur . N'exprimant pas mes interrogations et ma joie de savoir sur ton statut matrimomale. Je te disais avec un sourire léger au coin de mes lèvres : - Bien de cette manière, votre carrière sera votre priorité.
A propos de carrière, je te poussais un costume de style Bollywood, en ta direction. Ton uniforme de gouvernante. Je devrais être habillée comme une ... Princesse ? Je remarquais que tes doigts se refermaient vers l intérieur de ta main. Je froncais les sourcils. Avais tu un souci avec les Princesses. Oui en tant que Sadira, tu avais un souci avec les Princesses. Quand on connaissait ton histoire avec Jasmine. Mais en tant que Corail, ca parassait suspect. - Oui je veux que vous soyez vetue comme une Princesse de mon Royaume. Ne vous faites pas, je suis sure que vous serez magnifique dans cette tenue. Et tout comme moi, vous allez tomber amoureuse de ces tissus et ces accessoires. Puis tu rajoutais : Si tel est votre souhait alors je le porterai En effet , c'était mon souhait que tu accomplisses mon caprice, mon désir, mon souhait. Donc J'étais heureux que tu veules l'exaucer même si tu aimais la mode moderne de Storybrooke.
A ce moment la , qu on aillait découvrir si toi et moi on avait des chances entre nous. S'il avait une chimie sexuelle entre nous. Mains devant les yeux. Mais voyou un jour, voyou pour toujours. Sournois j'écartais légérement mes doigts , pour entrevoir cette scène ou tu te dénudais. Me mordillant la levre inférieure. Sensation de chaleur dans le bas du ventre. Front qui perlait a cause de cette ambiance chaudasse. De ma main de libre , je tirais sur le foulard pour libérer ma respiration . Mon souffle était coupé devant ta silhouette féminine. Je te trouvais tellement désirable, que j"étais cloué a mon fauteuil en admirant le spectacle que tu m'offrais. Dans ta tenue légère, si je pouvais souhaité mes propres voeux , j'aurais souhaité que tu viennes m'endiablé comme une bohémienne. A mon plus regret , ce moment fut trop court. A mon plus regret , je n'avais pas réagit comme j'aurais dut. Parce que tu n aurais pas eu le temps d enfiler le costume finalement.
Vetue de la tenue de Princesse, te voir changer d opinion sur les habits royaux me faisaient plaisir. Parce que j'avais toujours apprécier les Princesses. Tu te trouvais Belle et moi de même. Mon regard était brillant . Stincellant de désirs. A cet instant, comme toi je m'aurais précipité sur toi , pour satisfaire ma faim . Parce que te voir te rhabiller , m avait laisser sur ma faim sexuelle. Tu tournais et tournais comme une toupie. On dirait si que tu dansais. Tu me divertisais ! Est-ce que cela vous convient, Monsieur ? Si ca me convenait , la reponse etait Oui. Ayant du mal, a revenir a la réalité . Parce que je m'étais perdu dans mes mirages . - Si ca me convient ? Je suis comblé Mademoiselle. Vous avez m'ensorcelée avec votre beauté. Je lui disais avec franchise et manque de tact. Je commencais a m ouvrir a ses avances. Je commencais a me degener ! Je remarquais ton regard sur mes lèvres, est-ce que tu aurais envie de m'embrasser ? Moi oui j'avais envie qu on se bécote.
Tu te reculais, comme si tu voulais me resister. Mais pourquoi ? Parce que j'étais ton patron ? Parce que tu étais promise d etre une vieille fille a jamais ? Parce que tu étais attirée par un homme pour la première fois ? Trop de questions se bousculaient dans ma tete, au moment ou tu reculais. A moins que me repousser était pour une raison inconnue, secrete de succomber a ton secret. C'était pour cette raison que je me levais , Enfin de mon fauteuil pour me rapprocher de toi, en te posant ma derniere question. Tu ne désirais rien , sur ? Non tu n etais pas sur. Tu avais des désirs cachés , car ton - Je- était suspect.
- Comme vous désirez. Si vous voulez commencer maintenant, je n y vois pas d'inconvénients. Vous pouvez commencer a vous installer dans votre suite. Ma ... Chambre est indiquée sur la carte c'est ça ? Je ... vais essayer de la trouver si jamais je n'y arrive pas j'appellerai au secours. Est-ce que tu essayais de fuir la tension sexuelle qui avait entre nous ou tu essayais de m attirer dans ta chambre. Confus. - Oui votre chambre se trouve sur la carte. Mais si vous avez peur de vous perdre, je peux aller vous reconduire. Gentleman. Et si tu ne désirais pas a cause de tes craintes que je ne comprenais pas, j esperais que tu te perds parce que venir au secours d une Princesse en détresse datait de très très longtemps. Parce qu'Aujour dhui , les Princesses ne sont plus des Princesses dans ce monde. Me placant derrière toi pour t'aider a t'orienter dans ton nouvel environnement de vie. Je te pointais ta chambre d un doigt, tandis qu une main baladeuse, se posait sur le bas de ton ventre. Et nerveusement je jouais avec la chaine de ta ceinture. Puis tu posais la question fatale. - Oui vous pouvez disposer , mais est-ce qu'une promenade en tapis volant avec moi ca vous tente Corail ? Et je pourrais aller vous reconduire après a votre chambre.
Je suis troublée comme jamais de me retrouver ici face à Ali. Il ne sait pas vraiment qui je suis et ne s'attend pas à ce que ça soit moi caché derrière cette plastique qui semble bien lui plaire aussi puisqu'il dit que je l'ensorcèle. Ça me flatte, même si je sais qu'il ne me fait pas ce compliment directement. Je suis partagée j'ai le coeur entre deux eaux balloté entre mon désir de lui révéler qui je suis et de le serrer fortement dans mes bras et de l'autre ma peur d'être découverte et que nos vies soient en danger à cause des sorcières qui rôdent non loin de nous. L'homme qui maintenant est mon patron m'intimide toujours autant et je me recule de lui pour ne pas craquer. Je change de sujet et je veux démarrer tout de suite. Je lui demande alors si ma chambre se trouve sur la carte qu'il m'a donné. Il vient alors se mette derrière moi et cette proximité me rend toute chose. J'ai une bouffée de chaleur et encore plus quand il joue avec la chaîne autour de ma taille. Je frissonne au contact de ses doigts sur ma peau. Il faut que je m'échappe. Je lui demande alors si je peux disposer et il me dit que oui. Je me sens soulagée parce que mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine. Sans que je m'y attende il me demande de faire un tour de tapis avec lui. Il veut vraiment ma mort c'est pas possible. J'aurais aimé ça tellement que j'en tremble d'excitation mais je dois me contenir. Non ... Euh enfin pas maintenant j'aimerais vraiment prendre mes marques ici poser mes affaires tout ça quoi. Mon souffle est court. Son regard m'électrise. Veuillez m'excuser. Je prends mes affaires et la carte puis je sors de son bureau avant de manquer d'air. Je reprends une bouffée d'oxygène une fois dehors et je regarde encore la carte pour me repérer. J'essaye de me débrouiller seule mais je trouve un employé du palais qui m'indique par où il faut que j'aille. Je progresse lentement mais sûrement quand je me sens larguée. C'est pile à ce moment que je sens derrière moi sa douce odeur de miel. Je frémis. Je dois bien avouer que je suis perdue. L'orientation ici ce n'est pas mon fort, je crois. Je suis vraiment désolée de vous déranger pour cela mais est-ce que vous pourriez m'y conduire? J'étais gênée encore une fois mais je ne doutais pas qu'il m'aiderait. Il a touché été comme ça à secourir la veuve, l'orphelin et la vaurienne déguisée en princesse maintenant.
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Ali Nacer
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Je laissai partir cette jolie femme, admirant sa beauté en songeant qu’elle me plaisait énormément. Sa peau semblait douce, ses yeux étaient d’un noir envoûtant et ses lèvres pulpeuses me faisaient frissonner, espérant pouvoir les frôler des miennes. Les gens ne semblaient pas vraiment apprécier de mélanger plaisir et travail, mais je ne voyais pas vraiment le problème à ça tant que le plaisir était partagé. Après tout, le vrai amour est doux et sublime. Il n’est pas supposer faire souffrir. Elle semblait hésiter, mais je n’étais pas dupe. Ce n’était pas le dégoût qui l’animait envers moi, mais ce même désir que je ressentais envers elle. Il était clair qu’une chimie se faisait ressentir entre nous deux.
Par contre, j’étais sûr d’une chose. Elle allait probablement se perdre. C’était commun pour la plupart des domestiques. Le château est grand et moi-même je pouvais prendre le mauvais chemin lorsque je me mettais à rêvasser un peu trop à l’amour ou à ce genre de choses. C’est pour cela que je pris la direction de la chambre que je lui avais réservée, espérant la croiser et pouvoir la reconduire dans la bonne direction. Je dois avouer que jouer au sauveur me faisait plaisir, me donnais l’impression d’être important et servir à quelque chose. J’aimais encore plus le sourire de magnifiques femmes comme cette dernière.
Enfin, je la trouvais. Elle était de dos, mais je reconnaîtrai ses cheveux entre mille. Elle semblait effectivement perdue et elle me le confirma quand j’arrivais derrière elle. Je lui souris en venant plus près d’elle et je pris une mèche de ses sublimes cheveux pour la repousser derrière son oreille, lui adressant un sourire dont j’avais le secret.
- Bien sûr, je vais vous y conduire. Vous ne me dérangerais jamais. Vous pourriez venir me chercher en pleine nuit pour n’importe quelle raison. Je suis à votre disposition. Vous n’êtes pas qu’une soubrette, vous êtes de la famille maintenant.
Plaçant une main derrière son dos, je la conduisis jusqu’à la porte de sa chambre. Je restais devant elle, lui souriant avec douceur. Comment ne pas désirer une nymphe aussi sublime?
- Je sais que vous vouliez prendre vos marques, mais… Vous voudriez bien passer un peu de temps en ma compagnie? Nous pourrions boire un bon verre de thé glacé à la menthe et apprendre à faire connaissance. J’aime bien apprendre à connaître les gens qui travaillent pour moi, voyez-vous… Me feriez-vous cet honneur, mademoiselle?
Cette rencontre avec Ali était éprouvante pour mon cœur, il battait la chamade dans la poitrine. J'étais vraiment toute chose devant lui. Il était aussi beau que dans mes souvenirs. Il me troublait toujours et j'essayais de tout faire pour qu'il ne le remarque pas. Je voulais alors partir et prendre mes marques dans ma nouvelle chambre mais il me proposa une balade sur son tapis. Romantique au possible mais j'allais craquer si on faisait alors je refusais et partis à la hâte vers mon nouveau lieu de vie. Dans le temple des sorcières des sables, j'avais su me repérer mais là, j'ai l'impression d'être perdue. Mais très vite, je ressens sa présence derrière moi et je me retourne toute confuse pour lui demander son aide. De manière très gentleman comme d'habitude, il accepte et quand il dit que je fais partie de la famille maintenant, j'ai un grand sourire. Il m'a vite intégrée. Je dois lui inspirer confiance. Il me dit même que je pourrais le déranger à n'importe quelle heure. Ça me tire un léger rire. Il faudrait déjà que je sache où est sa chambre. Oh non il ne faut pas. La tentation serait trop grande. Je chasse de mon esprit l'idée d'aller le rejoindre dans son lit en pleine nuit et me concentre sur ce qu'il me dit maintenant. Il veut bien me conduire jusqu'à ma chambre. Pendant que nous marchons il pose sa main juste au creux de mes reins et je frissonne. Le moindre geste qu'il a envers moi me fait réagir il faut que je me contrôle sinon il va se douter de quelque chose ou il va croire que je suis là uniquement pour lui et ... Il faut que j'arrête de penser aussi.
On arrivait pas loin de ma chambre quand il revint à la charge en me proposant de passer un moment avec lui. C'est dur de résister mais j'ai peur d'être trop près de lui et de faire une gaffe. Il va falloir que je sois plus que vigilante au moindre de mes faits et gestes. Je ne peux pas refuser indéfiniment ses invitations. D'accord, si c'est que vous souhaitez Monsieur, je passerais un peu de temps avec vous pour vous tenir compagnie. Je lui souris. Je dois jouer à la bonne honorée de pouvoir passer du temps avec son maître. J'espère que je jouerai mon rôle en tout cas. Il m'indique une porte. Oh la voilà enfin ! Merci beaucoup ! Je vais enfin pouvoir m'installer. J'ouvre la porte et découvre cette pièce qui me servira de refuge, de dortoir. Elle est très spacieuse et bien décorée. Je vais m'y plaire. Je pose mon sac sur le lit et regarde tout autour de moi quand mon regard croise le sien. Il est là. Encore. Mon coeur manque de louper un battement. Il va falloir qu'on passe ce temps ensemble sinon il ne me laissera pas reprendre mes esprits tranquillement. J'avais hâte d'être à cette nuit pour me remettre de toutes mes émotions. J'avance un peu vers lui en souriant. On va le boire ce thé ? lui dis-je en essayant de garder mon regard plongé dans le sien.
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Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
Ma magie était puissante, tres puissante depuis que j'étais devenu djinn, depuis quelques années.Mais pas aussi puissante, que mon ami , le Génie. Tout était la faute de la malédiction de la Méchante Reine. Cette Magicienne que tu as sans doute entendu parler depuis longtemps. Je n'étais pas aussi puissant que le bonhomme bleu, a cause de ma mortalité parce que ma naissance était humaine. Je n'étais pas né de cette legende qu on appel le feu de Naar. Le feu qui donne naissance aux Djinns et qui se trouve caché dans un des Royaumes d'Agrabah. Donc malgré mes connaissances en magie et mes dons, je ne possédais pas aussi qui aurait pu me reveler ce percherie. Ce secret qui avait entre nous. Avec de la télépathie, j aurais pu découvrir la vérité. Découvrir que tu étais la mere de mon trésor. Découvrir que tu étais ma sorciere bien aimée. Et dans un futur proche ma princesse. Mais cette rencontre avec toi et le fait que tu deviennes la nourrice de mes enfants, était un événement qui allait chambouler ma vie. Surtout quand j'allais apprendre la vérité.
Toujours dans l'optique de faire plus ta connaissance, parce que tu me laissais pas indifférent , et je ne pourrais pas expliquer ce phénomène. Il avait une chimie entre nous et je me la ressentais au fond de moi. Que je me faisais insistant. Même harcelant et collant. Mais si ca te fatiguait , tu pouvais me dire de te laisser tranquille ou te trouver une excuse. Ce n etait pas parce que j etais ton patron, que tu n avais pas ce droit, de me faire degager pour avoir toute ta tranquillité. Mais ce n etait pas le cas, tu te laissais séduire. Et heureusement que je ne laissais pas tes pensées, car celles ci auraient pu me faire rougir de bonheur, car j etais le centre de ton univers. Et avec un peu de temps tu redeviendrais le mien, après Kenza bien sur. Notre fille était plus importante que tout. Plus important que l amour que je portais a une femme ou une princesse.
Je t'avais reconduis jusqu a ta chambre, comme un gentleman. Et je te laissais t installer un peu mais je restais stoché au seuil de la porte du petit appartement. Et toi tu revenais vers moi , en plongeant ton regard dans le mien. Un regard qui m'insistait a te dire : Oui allons y ! Et je crois même qu on a du thé dans vos armoires de votre petite cuisine. Vous êtes capable de le préparer ? Apres tout tu étais ma nourrice et moi le Prince donc toi de faire les corvées. Je pénétrais dans l appartement. Refermant la porte derrière nous... Et la reponse qui restait un mystere est ce que Corail allait passer la nuit seule ou pas ?