« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Être gardien de la paix n’était pas toujours chose facile, bien qu’il ait postulé en tant que policier, il aimait faire son travail, bien sûr il jonglait entre ses deux métiers. Gérer son entreprise d’import export. Il fallait toujours renouveler les stocks ou vendre du rêve. C' est en tout cas ce qu' il savait faire. Sylvester était un fin manipulateur ce qui était toujours utile en tant que Flic. Beaucoup de qualité dans un seul homme, bon on savait aussi qu’il était un peu narcissique sur les bords mais c’était normal. Pourquoi est- il était devenu policier en fait ? Il voulait le meilleur pour son fils et il estimait qu'être du mauvais côté n’était pas toujours bon, bien sûr qu’il prenait pas mal de risques mais c’était pour la bonne cause. C’était sa façon d’être après tout. Il avait un énorme réseau, ses contacts pouvaient donner beaucoup de réponse quand on savait comment leur parler.
Cela faisait donc quelques mois qu’il était au côté des policiers de StoryBrooke. Depuis Octobre 2020 pour être précis. quelques jours après son retour à SB. Donc ce matin il était donc au bureau pour se préparer quand il a reçu une charmante demoiselle toute mignonne. Bon son visage ne lui était pas familier puisqu’il n’avait jamais vu son visage. La jeune fille avait l’air d’avoir entre quinze et vingt ans pas plus. Elle avait l’air en panique en tout cas, ces yeux versaient des larmes. En bon policier et surtout parce qu’elle était une enfant à ses yeux, Sylvester la rassura pour essayer de la calmer, bien sur avec des paroles tendre enfin.. comme il pouvait quoi. Ca va aller...bon cela dit le fait de pleurer te permettra de moins pisser cette nuit. Il lui afficha un simple sourire, elle était toujours paniqué et il parla d'un ton plus posé. Oui quand ca marchait pas la rigolade bah fallait mettre un plus plus de sérieux. Calmez vous, personne ne vous fera le moindre mal, asseyez vous, et dites moi ce qu’il se passe. Elle lui compta qu’elle se nommait Clara et qu’un roi souris lui aurait dérobé ses poupées. C’était tiré par les cheveux si, ils étaient autre part dans le monde mais à Story Brooke c’était une affaire plutôt normal. Sylvester savait ce que pouvait ressentir la demoiselle surtout d’un point de vue financier, bah quoi ? Oui Les poupées qu’elle avait cité valent très cher et il s’y connaissait en matière d’antiquité.
Je vous demande un instant, nous allons retrouver vos poupées mais avant je dois contacter mon coéquipier pour cette affaire sur ses paroles il passe sa main sur le bras de la demoiselle. Je vous le promets on les retrouvera.
La jeune enfant renifla et Sylvester lui donna un mouchoir, avant de passer un coup de fil à son coéquipier Woody, le cow-boy, d’ailleurs il mettrait sa main au feu que cette affaire allait l’emballer. Heii Salut ! enfin j’arrive à d’avoir au téléphone. C’est pour t'annoncer qu'on a une affaire en cours, une demoiselle d’environ quinze ans est venue déposer une plainte de vole de poupées par un roi des souris. Je t'attends au poste pour qu’on puisse y aller. La demoiselle lui donna son collier et qu’il en aurait sûrement besoin pour la suite. Elle leur indiqua d’ailleurs par où aller. Sylvester afficha un air assez étonné mais après tout s’était StoryBrooke rien ne l’étonnait plus depuis bien longtemps… Il attendait donc Woody pour aller faire cette petite viré.
Assis derrière le comptoir de ma boutique, je regardais avec plaisir les clients aller et venir dans le magasin. Cela faisait déjà plus d’une année que j’avais ouvert cette boutique de jouet. J’étais très satisfait de voir à quel point les affaires marchaient bien. Chaque jour de nouveau jouets se trouvaient un nouveau foyer et cela me comblait de bonheur. J’aimais aussi beaucoup passer du temps à l’atelier pour réparer les joujoux que les familles me confiaient. Les enfants avaient tous un jouet ou une peluche à laquelle il tenait tout particulièrement. Ils la traînaient derrière eux durant des années et participaient à chacune de leurs aventures d’enfant. Elles étaient très précieuses à leurs yeux et c’est pourquoi je trouvais tellement triste cette idée qu’ils puissent finirent leurs jours au fond d’une poubelle ou dans des mains étrangères. C’est pourquoi j’avais décidé de leur proposer cette alternative qui avait beaucoup de succès.
En somme, j’étais un homme heureux et comblé. Je ne manquais de rien, si ce n’est ce goût de l’action que je ne parvenais pas à combler. A force d’entendre les récits de Jessie concernant les affaires qu’elle menait au sein de la police de la ville, je devais bien admettre que j’avais fini par m’en montrer un peu jaloux. Lorsque j’étais un jouet chaque jour avait son lot de mission inédites et de grandes aventures. J’avais également démontré à de maintes reprises que j’étais un grand aventurier. Vous ne pouvez pas imaginer dans combien de guets pieds un jouet peut tomber au cours de son existence.
C’est pourquoi, lorsque des potes s’étaient libérés au sein de la police de Storybrooke, je n’avais pas hésité une seconde avant de lancer ma candidature. Finalement, j’avais été accepté et j’étais donc actif au sein de la police de la ville depuis le mois d’octobre. Bien sûr, je n’avais pas manqué de négocier un travail à mi-temps. Il était hors de question pour moi de laisser tomber ma boutique ainsi que tous ces magnifiques jouets qui comptaient sur moi pour trouver un nouveau foyer. Les choses fonctionnaient plutôt bien et j’appréciais le fait de pouvoir effectuer des enquêtes auprès de Sylveter. J’appréciais beaucoup cet homme et on faisait vraiment du super travail ensemble.
J’étais cependant bien loin de me douter qu’il m’enverrait un message ce jour-là. Les rues de la ville de Storybrooke étaient pourtant si calmes. Mais on ne devait jamais sous-estimer une ville où des mystères les plus étranges et les plus insolubles pouvaient se présenter à chaque carrefour. Justement, le message qu’il me laissa avait de quoi me faire sourire. J’avais toujours apprécié les mystères véritablement étranges et celui-ci était de loin le plus étonnant de tous. Cela parlait de roi des souris et d’enlèvement de poupées. Quelle mission pourrait-elle être plus indiquée pour un jouet tel que moi ? Sans hésiter une seconde, j’écrivis à Sylvester que je le rejoindrais dans les plus brefs délais. Attendant que mes derniers clients quittent la boutique avec sous le bras des lapins de Pâques en peluche et des faux œufs à peindre, parfait pour les fêtes de Pâques qui approchaient à grands pas.
Il ne fallut ensuite qu’une vingtaine de minutes pour rejoindre le commissariat ou Sylvester était déjà en train de m’attendre. Sur ma route, je croisais une jeune adolescente qui captiva mon regard. Une demoiselle aux cheveux dorés qui tenait entre ses mains un casse-noisette et qui avait l’air bien malheureuse. Était-ce elle la jeune femme qui était venue porter plainte pour le vol de ses poupées ? A la voir, je ne pus m’empêcher de songer à ce fameux conte de Noël connu de tous, Casse-Noisette. Après tout, il n’était pas déraisonnable de croire qu’il s’agissait bel et bien de la petite Clara. L’histoire collait parfaitement à la sienne. La laissant à ses occupations, je rejoignis Sylvester qui m’attendait dans le bureau de réunion. Je laissais un sourire éclairer mon visage en voyant mon compagnon d’aventure. Je me plaçais alors face à lui et m’adressa à lui avec toute la sympathie que j’avais à son égard.
« Hello partenaire ! Désolé j’ai fait aussi vite que j’ai pu. Avec les fêtes de Pâques qui approche, tu n’imagine même pas combien de client se bouscule à ma porte pour acheter des jouets et des accessoires décoratifs. Alors dis-moi où est cette mystérieuse plaignante ? »
Il m’adressa alors un signe de tête vers la jeune fille qui se triturait les doigts de nervosité. J’affichais alors un sourire à mes lèvres, assez content de moi. Il fallait un œil de lynx pour comprendre que la jeune femme était concernée par cette histoire et apparemment c’était bien le cas. A croire que le métier commençait malgré tout à rentrer. Je lui demandais alors son nom et sortis pour l’appeler à nouveau. Après tout, elle avait attendu assez longtemps comme ça mon arrivée. Elle finit alors de boire le thé à la pomme et à la cannelle qu’elle avait demandé en attendant à nos collègues. Puis, se relevant de sa chaise, elle serra son casse-noisette de bois tout contre elle et nous rejoignis dans la salle des interrogatoires. Je lui montrais alors la chaise en face de nos deux places et elle s’assit après m’avoir adressé un petit remerciement poli. Je ne pris la parole qu’une fois qu’elle fut assise.
« Bonjour Mademoiselle Drosselmeyer. Je m’appelle Woody James et vous connaissez déjà mon collègue. Etant donné que je n’étais pas présent lors de votre première entrevue, vous voulez bien à nouveau raconter votre histoire depuis le début ? »
Elle obéit alors docilement, nous racontant l’histoire de son Casse-Noisette et également des marchés qu’elle avait passés avec le roi des souris afin de protéger son cher soldat à la mâchoire cassée. Fort heureusement, cette histoire s’était fort bien terminée. Le courageux soldat avait affronté les souris et était parvenu à libérer tous les jouets. Elle était en plus parvenue à sauver le casse-noisette de sa malédiction en l’aimant d’un amour sincère. Il avait repris forme humaine et vivait maintenant heureux dans un monde rempli de friandises où il attendait gentiment que sa petite Clara soit en âge de se marier pour venir la chercher et en faire son épouse.
Mais malheureusement la malédiction de la Méchante Reine avait changé beaucoup de choses. Elle avait été séparée de l’homme qu’elle aimait. Le roi des souris qui avait nourrit durant des années des désirs de vengeance, avait décidé de voler toutes ses poupées de collections en représailles. Clara ignorait ce qu’il comptait faire de ses jouets mais cela ne lui disait rien qui vaille.
« Savez-vous qui pourrait tirer profit de la revente de vos jouets ? »
« Oh beaucoup de monde en fait. Mes poupées ont toujours fait la jalousie de beaucoup de monde. Je suis certaine qu’elles se revendraient comme des petits pains sur un marché de collectionneurs. »
« Je vois. Nous devons donc suivre avec attention la revente de vos jouets. C’est une piste à explorer. »
« Mais euh… enfin je veux dire. Il y en a peut-être une autre à laquelle j’ai pensé. »
Je la voyais alors le tortiller les doigts de manière nerveuse. Rabaissant la tête vers le petit Casse-Noisette, elle ne semblait pas vouloir nous faire part d’une théorie qu’elle estimait beaucoup trop tirée par les cheveux. Cependant, je comprenais que ce qu’elle refusait de dire pouvait revêtir d’une grande importance. Sans doute que son instinct la titillait et j’étais du genre à penser que l’instinct pouvait réellement jouer un grand rôle dans ce genre de circonstance. J’essayais donc de la pousser dans cette voie.
« Oui ? Quelle est donc cette idée ? N’hésitez pas à nous le dire. Cela peut être important. »
« Et bien je… enfin je sais qu’il est maintenant possible d’effectuer des voyages entre Storybrooke et le monde des contes. Alors je me dis que le roi des souris a peut-être trouvé une idée pour y retourner. Peut-être qu’il tient réellement à se venger de mon Casse-Noisette. Mais comme je vous le disais c’est idiot de ma part de vous dire ça. »
Je regardais alors Sylvester pour tenter de connaître le fond de sa pensée. Peut-être que lui-même songeait que cette idée n’était pas totalement sotte. Mais je ne le connaissais pas depuis suffisamment longtemps pour déchiffrer son expression. Je me promis alors de lui poser la question un peu plus tard, lorsque nous mettrons nos différentes idées en commun. En attendant, j’abordais un autre sujet qui me semblait bien plus pertinent dans l’immédiat.
« Comment se fait-il que vous sachiez qu’il s’agit bien du roi des souris ? Vous a-t-il laissé un mot ou vous a-t-il déjà menacée ? »
« Eh bien pour être honnête avec vous, je ne savais qu’il avait traversé la frontière de Storybrooke avec moi durant la malédiction. Je travaille comme antiquaire et j’ai une petite boutique dans le centre de la ville. Il passait assez souvent dans ma boutique. Il n’arrêtait pas de me lancer des remarques sur la beauté de certains objets et il insistait beaucoup lorsque l’un d’entre eux représentait des choses qui nous liait l’un à l’autre. Comme une souris ou un casse-noisette. Et puis un jour il m’a appelé par mon prénom et il m’a parlé du royaume de Casse-Noisette comme s’il le connaissait très bien. C’est à ce moment-là que je n’ai plus eu le moindre doute. »
« Est-ce que vous savez où il habite d’ordinaire ? »
« Oui. Enfin il m’est arrivé de parler avec une vieille dame qui était sa voisine. Elle le trouvait aussi très louche et souhaitait compatir à la peur que je ressentais à chaque fois que je le croisais. Comme je vous le disais, c’est pas vraiment le genre d’homme à qui on a envi de prêter notre confiance. »
« Vous pouvez nous emmener là-bas ? Autant commencer par l’interroger lui. Qu’est-ce que tu en dit Sylvester ? »
Attendant que mon coéquipier confirme mes dires, je souris à la jeune fille qui se releva. Elle avait l’air contente que je lui ai affirmé ceci. A voir son sourire, c’était tout ce à quoi elle s’attendait. Je le lui rendis alors ajoutant aimablement.
« Vous pouvez nous donner une minute, Clara ? Nous devons juste discuter de quelque chose. Nous vous rejoindrons dans une minute. »
Elle approuva d’un signe de tête poli et sortit de notre bureau alors que je regardais Sylvester avec un air beaucoup plus sérieux.
« Qu’est-ce que tu penses de ce qu’elle nous a raconté ? Tu crois qu’elle pourrait avoir raison ? Que tout pourrait se jouer dans le monde de Casse-Noisette ? »
acidbrain
Sylvester A. Cynster
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Nick Bateman ♥
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Illustration de se regarder en chien de faïence
code couleur : #DC143C
| Conte : Fantasia | Dans le monde des contes, je suis : : Chernabog
Hello partenaire ! Désolé j’ai fait aussi vite que j’ai pu. Avec les fêtes de Pâques qui approche, tu n’imagine même pas combien de client se bouscule à ma porte pour acheter des jouets et des accessoires décoratifs. Alors dis-moi où est cette mystérieuse plaignante ? Bien entendu Sylvester n'avait pas trop attendu, il s'était simplement poser sur sa chaise, ça le changeait que d'être sous couverture du redoutable Devil Cynster. Son nom n'était pas méconnu, il jouait un rôle qu'on lui avait donné histoire de faire tomber quelques têtes. Et quoi de mieux qu'un ancien démon pour cela. Chernabog celui qui effrayait tout un village rien quand jetant la pénombre. Autrefois, ça l'amusait grandement de faire le mal de partout aujourd'hui, on va dire que cette période est révolu et qu'il avant vers un nouvel avenir. Ne voulant pas donner une mauvaise opinion de lui à son fils. Comme on disait qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour les enfants. Ils étaient tellement important, c'est peut-être pour cette raison qu'avec son co-équipier ça avait été rapide de ce créer une amitié. Ils bossaient bien ensemble enfin, quand Sylvester ne racontait pas des conneries. Parce que dans ce domaine, il était le roi après tout, ce n'était pas pour rien qu'il était dans le beauf club qui d'ailleurs s'agrandissait de jour en jour. Sylvester avait donc patienter tranquillement sur sa chaise observant tout de même la nouvelle venu. Rapidement le brun avait envoyé un message à Woody, il savait qu'il tenait un magasin de jouet donc le temps qu'il ferme cela allait prendre du temps et comme la demoiselle avait pas mal de stress dans la tronche. Donc gentiment il était parti faire un café pour lui, quoi fallait qu'il demande si elle voulait un café aussi ? Bon en attendant Woody. Désirez vous un thé ou un café histoire de vous déstresser un peu ? Elle avait donc hoché la tête timidement, elle avait l'air un peu intimidé quand même cela dit du haut de ses deux mètres zéro cinq, il y avait de quoi être intimidé s'était une montagne. Bref. Il avait apporter le thé pour la demoiselle et pour lui un café pour tenir la route bien sur discrètement il avait glisser du whisky écossais dans son café. Au bout de vingt minutes le cow-boy était arrivé, il lui avait expliqué le topo en fait en large. Et puis finalement, il lui répondit. Ne t'en fais pas je comprend tout à fait et au contraire, je trouve qu'en vingt minutes tu as été plutôt rapide. Ahh oui pâque, une fête qui me passe au dessus de la tête mais je comprend, mon fils raffole de cette fête aussi. D'un signe de tête il avait montrer la plaignante en question, la jeune petite blonde. Buvant d'une traite son café au whisky.
Bonjour Mademoiselle Drosselmeyer. Je m’appelle Woody James et vous connaissez déjà mon collègue. Etant donné que je n’étais pas présent lors de votre première entrevue, vous voulez bien à nouveau raconter votre histoire depuis le début ? Ah c'est vrai que les présentation s'était toujours bien en fait, Sylvester ne le faisait que pour sa boutique en ville. Il s'éclairci la voix tout de même. Pardonnez mon impolitesse pour m'a part c'est Sylvester au cas ou, je n'ai pas spécialement pensé que cela puisse être important. L'histoire depuis le début ma fois ça allait être un peu long, mais soit, il noterait les détails pertinent. Ah.. c'était mal de pactiser avec l'ennemi, bon lui même avait passé des contrats avec les fantômes dans son autre vie. Puis dans celle-ci pour avoir des informations capital. Une histoire bien passionnante, que des péripétie et il fallait avoué que ce Casse-Noisette était un gentleman à n'en point douté attendre sa promise s'était beau. Cela dit lui aussi ce pliait en quatre pour son compagnon. Il le méritait bien et son fils l'adorait tellement. Entre temps pendant que Clara était en train de parler Sylvester était en train de regarder le marché des poupées, comme il avait une entreprise d'artefact il avait plus facilement accès que d'autre personne à un marché beaucoup plus corrompu. Donc il était en train de regarder silencieusement. Visiblement beaucoup de personne pouvait tirer profit de cette vente. Oh beaucoup de monde en fait. Mes poupées ont toujours fait la jalousie de beaucoup de monde. Je suis certaine qu’elles se revendraient comme des petits pains sur un marché de collectionneurs. Mhh.. Effectivement, je connais certains marché plus ou moins légal. Je pourrais être prévenu si une vente de poupée apparaît dans les heures à venir.
Clara avait repris la parole après que Woody la pousse dans cette direction. Et bien je… enfin je sais qu’il est maintenant possible d’effectuer des voyages entre Storybrooke et le monde des contes. Alors je me dis que le roi des souris a peut-être trouvé une idée pour y retourner. Peut-être qu’il tient réellement à se venger de mon Casse-Noisette. Mais comme je vous le disais c’est idiot de ma part de vous dire ça. Sylvester avait plus de facilité à jouer le mauvais flic que le bon mais c'était le personnage qui le voulait, il n'était pas réputé pour être très doux en l'occurrence. Ah le monde des contes, un sujet bien tabou. Cela dit, il retournerait bien chez lui pour asservir certains démon et ainsi reprendre le pouvoir. Mhh.. Rien n'était idiot à vrai dire. Cette idée n'était pas à écarter, il fallait suivre cette idée. Son coéquipier l'avait regarder aussi, et c'est vrai qu'il n'était pas spécialement expressif à dire vrai. Il cachait bien son jeu de toute évidence. Puis, il en était arrivé au sujet du roi des souris. Ce en quoi Clara avait bien évidemment répondu Eh bien pour être honnête avec vous, je ne savais qu’il avait traversé la frontière de Storybrooke avec moi durant la malédiction. Je travaille comme antiquaire et j’ai une petite boutique dans le centre de la ville. Il passait assez souvent dans ma boutique. Il n’arrêtait pas de me lancer des remarques sur la beauté de certains objets et il insistait beaucoup lorsque l’un d’entre eux représentait des choses qui nous liait l’un à l’autre. Comme une souris ou un casse-noisette. Et puis un jour il m’a appelé par mon prénom et il m’a parlé du royaume de Casse-Noisette comme s’il le connaissait très bien. C’est à ce moment-là que je n’ai plus eu le moindre doute. Sylvester ne pu s'empêcher de froncé les sourcils, quoi s'était une concurrente en quelques sortes, il ne voulait pas qu'elle lui prenne sa clientèle. L'écossais était en train de continuer de taper le rapport pour avait tout sous la main. Mhh.. En tout cas pour un roi des souris, il n'était pas spécialement discret si son entourage remarquait qu'il était plutôt louche ou alors s'était surement mal joué. S'il aurait voulu le faire, personne n'aurait rien remarqué. Notant encore quelques annotations. Cela ne serait pas une mauvaise idée, et il commence à m'intéresser se roi des souris. Par contre, je ne le trouve pas spécialement discret dans ses procédés. Après à voir si je dois apparaître en tant que Flic ou potentiels client comme j'ai ma propre boutique en ville aussi bien qu'elle soit dans l'import export aussi.
Puis, il suivit son coéquipier pour parler ensemble de l'affaire en question. Qu’est-ce que tu penses de ce qu’elle nous a raconté ? Tu crois qu’elle pourrait avoir raison ? Que tout pourrait se jouer dans le monde de Casse-Noisette ? Il fit mine de réfléchir. Ce que j'en pense c'est qu'elle a peut-être raison bien que tout prouve que cela puisse être le roi des souris, mais... Je trouve qu'il doit s'y prendre très mal... il n'est pas discret. Mais c'est fort possible que cela se passe dans le monde des casse bonbons. Il marchait de quelques pas pour revenir en arrière. Mais si l'ont se rend chez se roi des mulots... Et qu'il n'y est pas.. on aura pas réellement le choix que de traverser le pond pour aller voir le monde de casse burne. Il montra donc l'adresse du roi en question, il ne lui avait pas fallu longtemps. Sylvester avait une liste de chaque membre de la confrérie des méchants avec leur noms véritable. Il n'était pas le roi des méchants loin de là mais, cette liste pouvait être très bien utile. De toute façon, on a rien à perdre d'aller là-bas ou ailleurs. Préparent donc l'itinéraire sur son gps, avec un brillant sourire. Mais avant tout, faut peut-être rassurer la charmante Clara qu'on prendra son affaire, elle a l'air si stresser qu'elle risque de nous faire des confettis de papier de partout. Il lui sourit et prit son bâton qui se rétractait, cela ne lui empêchait pas d'avoir des armes sur lui mais il préférait son bâton ça faisait plus mal et c'était beaucoup plus impressionnant à voir. On devrait aller la revoir, mais par contre faut trouver de quoi ce défendre de mémoire le roi des souris transformait les gens non ? genre le casse noix c'est de la faute du roi des rat non ?
