« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 I don't want to watch the world end with someone else.

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Llwynog F. Foxley
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Llwynog F. Foxley

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Should I try to hide the way I feel inside my heart for you?
Would you say that you would try to love me too?
In your mind could you ever be really close to me?

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| Conte : Five Nights At Freddy's
| Dans le monde des contes, je suis : : Foxy, le renard pirate

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________________________________________ 2021-02-28, 23:01




Let's watch the end of the world together




Le groupe a tôt fait de rassembler leurs maigres possessions, de récupérer le peu de choses qui peuvent encore leur être utile avant de se remettre à avancer. La plupart semble rassuré, rassénéré même : malgré les drames qui se sont produits, ils semblent confiants, presque persuadé que leur plan ne peut que porter leurs fruits - envisager une autre issue reviendrait à baisser les bras pour de bon, a se laisser mourir, et certains ne sont pas prêts de s'y résoudre. Le garde qui a eu la chance d'échanger quelques paroles à sa famille mène la danse : il veille au grain, s'assure que tout soit respecté au millimètre près, et rassure les personnes qui semblent en avoir besoin. Pourtant, il reste encore des personnes au mine plus sombre, malgré la lueur d'espoir qui brille devant eux : Conan reste à l'écart, son visage est fermé, absent. Comme s'il revoyait des événements qui n'appartenaient qu'à eux, lui et l'homme qui a disparu, comme s'il restait figé dans un temps qui n'est plus. Il se contente de suivre le rythme, docilement, sans jamais y prendre réellement part à la manière d'un simple spectateur. Et il y a Dean et Llwyn, aussi. S'ils ont réussi à remonter le moral des autres, à leur faire entrevoir des perspectives plus réjouissantes, eux sont bien plus dépassés et abattus. Les regards qu'ils échangent en disent long : même si l'un et l'autre tentent de faire comme si tout allait bien se passer, une lueur inquiète brille doucement, sans jamais faillir. Ils n'essayent pas réellement de discuter - pour dire quoi, de toute manière ? - mais ils tous deux proches de Dinah, prêts l'un comme l'autre à lui venir en aide en cas de besoin, à intervenir s'il le faut.

Des murmures s'échangent de temps à autre, principalement des indications, des rappels de la marche à suivre, et ils traversent une salle. Puis une autre. Tout semble se passer comme prévu jusqu'à ce qu'un flash d'un blanc pur ne les aveuglent tous, pendant quelques secondes... Et qu'une inconnue ne se dresse devant eux, les toisant un moment. Certains semblent percevoir l'apparition comme une bonne nouvelle, une indication que l'on se soucie encore d'eux, que les renforts arrivent. Des chuchotements plus appuyés, plus enthousiastes résonnent : seuls le meneur fronce les sourcils, perplexe, et le visage de Dean se fait plus méfiant, plus renfermé. Et, lorsque la nouvelle arrivante prend la parole, il la fusille du regard : il a la décence de la laisser déblatérer ses idioties à tout va, avant d'afficher un sourire sarcastique :

«Vraiment, je suis persuadé que vous faites un travail remarquable... C'est à se demander ce qui vous a pris autant de temps pour venir ici. Un problème de priorités, peut-être ? Vous vous réjouissiez un peu trop vite de vos nouveaux "pouvoirs" je crois ? »

L'autre lui lance un regard courroucé.

«Et je vous interdit de parler de mes parents ainsi. C'est pas parce que vous êtes une vieille femme aigrie qu'il faut le faire payer aux autres : c'est vos choix qui vous ont mené là, si vous n'êtes pas contente, c'est uniquement de votre propre fait. D'ailleurs, si je peux me permettre, la jalousie vous va très mal au teint... Vous avez l'air encore plus froissé que d'ordinaire. »

La remarque la pique au vif, et elle semble vouloir répondre... Sans en avoir l'occasion : cette fois-ci, c'est Dinah qui se fait un devoir de la remettre à sa place, et les deux humiliations qu'elle vient de subir coup sur coup sont de trop : elle donne l'impression d'être sur le point d'éclater... Quand Dinah s'écroule en gémissant. Llwyn est le premier à réagir, la retenant précautionneusement pour lui éviter la chute. Certains s'éloignent, d'autres leur viennent en aide pour l'installer un peu mieux - la plupart doit penser à un malaise passager, mais il est possible de voir de la méfiance dans les yeux de quelques prisonniers...

« Dinah ? ça va aller ne t'en fais pas. On va te sortir de là, on va trouver quelque chose et tout ira bien. De toute façon, ce n'est pas un lieu digne de toi pour qu'il t'arrive quelque chose de vraiment sérieux, n'est-ce pas ? ça va bien se passer, et... »

L'ancien animatronique s'en moque d'être assis à même le sol : il a fait son possible pour l'installer au mieux, la laissant se reposer contre lui, lui servant d'appui. Il regrette de ne pas avoir une couverture ou quelque chose s'en approchant pour lui éviter la froideur du sol, mais il continue de parler, de lui murmurer des choses qu'il espère apaisante. Il s'en moque de ce qui se passe autour de lui, cherche simplement à s'accrocher à quelque chose : au fond, il croit encore à ce qu'il dit, il veut y croire de toutes ses forces, parce que ça ne peut pas se terminer ainsi, n'est-ce pas... ? Le comportement de la vice-présidente le fait sursauter : il ne s'attendait pas à tant de malice de la part de cette femme qu'il ne connait pas mais qui se permet de se comporter comme la nouvelle maîtresse du monde. Il la déteste pour son air pédant et horriblement triomphant.

Dean, lui, ne se fait pas prier pour la repousser de toutes ses forces, manquant de l'envoyer au tapis.

«Dégage tes sales pattes de là ! Tu t'es pris pour qui, au juste ? Laisse là ! T'es vraiment qu'une moins que rien, t'es la pire crevure que le monde ait jamais porté. C'est toi qui aurait dû te faire mordre, ça aurait été la meilleure chose qui puisse t'arriver. »

Ses propos sont secs, mordants : et malgré toute sa colère, des larmes perlent au coin de ses yeux.

«Tu parles d'être meilleure, mais t'as jamais été fichue de faire quelque chose de bien. Toujours à te montrer doucereuse, puis à vouloir poignarder les gens dès qu'ils ont le dos tourné. Je sais même pas comment t'as pu avoir la place là... Ah, si. Un sourire sans joie étire ses lèvres : T'as fait de la lèche à n'en plus finir, t'as attiré la pitié de tous pour espérer qu'on te garde. T'es de la pire espèce, et compte sur moi pour révéler tous tes actes méprisants au grand jour... Quand on rentrera, tu seras fini. Pour de bon. Enfin, ça c'est si on part du principe que tu t'en sortes. Parce qu'on sait jamais, par les temps qui courent, un incident est si vite arrivé... »

La femme chancelle sous les mots, comme si chacun d'entre eux était un véritable coup porté à sa personne. Elle plisse les lèvres, en un trait si fin qu'elles sont à peine visibles, entre ouvre la bouche comme pour dire quelque chose... Puis se ravise. Sans raison apparente, elle s'éloigne, se dirige vers l'un des gardes comme si elle cherchait une once de soutien, un minimum de complaisance pour sa personne... Dean, lui, semble être sur le point de s'en prendre à elle, d'en venir au moins, et c'est Llwyn qui le retient, qui lui fait non de la tête.

« Ce n'est pas le moment, on a d'autres choses plus urgentes à faire, elle ne mérite pas ton attention, d'accord ? Je vais avoir besoin de ton aide, on doit trouver quelque chose pour faire un brancard de fortune, on doit pouvoir continuer à avancer, et... »

Une détonation. Le bruit semble d'autant plus assourdissant qu'il n'était pas attendu, qu'il n'était pas nécessaire. Les oreilles de l'ancien renard bourdonnent, il ne comprend pas ce qu'il se passe : quelques secondes plus tôt, il était encore en train de parler, d'essayer de trouver un moyen d'avancer, de tenir bon... Et, maintenant, Dean a les yeux écarquillés, sa main droite semble chercher quelque chose, dans son dos... Et lorsqu'il la ramène devant lui, elle est couverte de sang.

«Qu... ? »

Le jeune homme ne semble pas comprendre ce qui lui arrive, et un deuxième coup de feu retentit : cette fois-ci, il s'écroule et reste allongé sur le sol, immobile... Conan se précipite sur la vice-présidente pour la mettre hors d'état de nuire, la plaquant contre un mur pour lui faire lâcher l'arme qu'elle a volé à l'un des hommes armés - celui qu'elle avait approché un peu plus tôt de son air innocent. Le rire de la femme, aux accents déments, résonne entre les murs, tandis qu'elle répète à qui veut l'entendre que ce sale petit con l'avait bien cherché, qu'au moins ça lui apprendra le respect, que personne ne peut se mettre en travers de sa route maintenant...

L'agent Riggs - celui qui lui avait permis d'avoir accès au casier - entre dans le champ de vision de Llwynog. Ses lèvres remuent, sans émettre le moindre son : l'ancien robot semble comme... Déconnecté. Le garde se rapproche de lui, s'abaisse à sa hauteur et pose une main sur son épaule. Il continue de parler sans que quoi que ce soit ne parvienne à ses oreilles.

« Non... C-c'est pas possible... » dit-il d'une voix sourde, sans même en avoir pleinement conscience.

Tout ce qui vient de se produire en l'espace de quelques minutes seulement... Tout semble faux. Il ne parvient pas à assimiler, il ne parvient pas - il ne veut pas comprendre. L'autre homme lui parle toujours, probablement pour dire des paroles creuses, vides de sens, destinées à l'apaiser, à le calmer... Des choses qu'il ne veut pas entendre. Les yeux de l'ancien animatronique sont fixes, comme s'ils n'appartenaient qu'à un objet sans conscience. Et, après quelques secondes à osciller entre le brun et le doré, ils deviennent complètement noirs. Le changement semble surprendre celui qui tente encore de l'aider, lui intimant un mouvement de recul purement instinctif :

« Vous pouvez veiller sur Dinah ? Juste quelques secondes. S'il vous plaît. »

Si la voix semble emprunte de politesse, le ton est sans appel : ce n'est pas une demande, juste un ordre dissimulé qui ne tolèrera aucun refus. Lorsque Llwyn se relève, ses gestes semblent curieusement mécaniques : il se dirige vers la vieille femme, ramassant au passage l'arme qu'elle a utilisé. Il vient se planter en face d'elle, l'observant de ses yeux de jais, avant de pencher légèrement la tête sur le côté.

« C'est bien ce pistolet que tu viens d'utiliser, n'est-ce pas ? »

Les rires se taisent, et l'expression de la femme change du tout au tout, son sourire hystérique s'efface pour laisser place à une mine horrifiée. Elle ne répond pas.

« Tu ne veux pas le reconnaître ? Mais il est trop tard, pour ça. Tu en gardes les traces sur tes mains, sur tes vêtements aussi. Et tout le monde t'a vu faire. »

Calmement, il amorce le pistolet.

« Tu as su comment faire. Et tu n'as même pas hésité. Ne compte pas sur moi pour faire preuve de clémence, tu n'en mérites pas. Tu peux me rappeler la façon dont tu m'as qualifié, un peu plus tôt ? Devant le silence de l'autre, il hausse les épaules. Tu as perdu ta langue, maintenant ? Comme c'est arrangeant... Je vais t'aider à te rafraichir la mémoire : je ne suis qu'un "meurtrier". Et la prochaine, c'est toi. »

Il relève l'arme et, sans même sourciller, abat la vice-présidente d'une balle en pleine tête, se moquant éperdument des éclaboussures de sang qui l'atteignent. Puis, il retire le chargeur de l'arme et la laisse tomber au sol, retournant auprès de Dinah et de Dean de la même démarche détonante... Lorsqu'il se rassoit auprès d'eux, ses yeux recouvrent une couleur mordoré, plus commune, et des larmes perlent doucement, avant de se mettre à couler sans bruit... Dans la pièce, un silence de mort résonne à présent.


panic!attack
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Dinah Price
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Doodle takes dad's scissors to her skin
And when she does relief comes setting in
While she hides the scars she's making underneath her pretty clothes
She sings: Hey baby can you bleed like me?


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________________________________________ 2021-04-11, 16:01




I don't want to watch the world end with someone else.
Everybody wants to rule the world !



☾☾ Je sortais du monde de Morphée, réveillée par le douleur. Mes yeux se posèrent instantanément dans ceux brumeux de Llwynog. Je ne comprenais pas... Pourquoi pleurait-il ? Je n'étais pas encore morte, ce n'était pas le moment de pleurer ! Il me vit ouvrir les yeux à nouveau mais ne sembla pas s'arrêter. Je voulais lui demander ce qui se passait, je voulais me lever et regarder de mes propres yeux mais j'étais bien trop faible. La douleur n'était plus seulement dans mon bras mais s'était étendue sur tout le haut de mon corps. Chaque mouvement, aussi minime soit-il, me faisait crier intérieurement de douleur. Je me retenais, cependant, de montrer quoi que ce soit extérieurement. Personne ne devait me voir dans un tel état, jamais. C'est alors que je me rendis compte de ma position. Dans les bras de Llwynog, allongée comme si je venais de mourir. Le silence régnait dans la salle, oubliant presque les grognements qu'on entendait encore au loin. Un silence de mort. Beaucoup n'osaient pas me regarder, ni regarder en face d'eux, comme s'ils venaient d’assister à une scène traumatisante. Il n'était pas question que je reste là sans rien faire alors que l'on comptait sur moi. Mais la vérité c'était que je ne savais pas quoi faire. Tout était perdue. J'avais encore une fois mis mes envies et besoins personnels avant ceux des autres, n'imaginant pas la portée que pourrait causer ce virus, n'imaginant pas un seul instant de toutes les conséquences auraient mes choix sur le cours des choses. Je n'étais pas faîte pour être présidente, et pourtant qu'est-ce que j'aimais le pouvoir. Mais maintenant que j'étais au pied du mur, ma vice-présidente prenant mes pouvoirs en profitant de ma mort proche, je me rendais compte que je n'étais pas fait pour amener qui que ce soit vers la victoire, même contre un simple virus. Si seulement j'avais ce qu'il fallait.

J'essayais de bouger, prenant toute la force qu'il me restait pour me mettre en position assise, permettant d'avoir déjà une meilleur visibilité sur la situation. Je posais ma main sur ce que je pensais être le sol mais la sentit effleurer à la place un appareil bien connu. Le téléporteur. Mon téléporteur. C'était impossible. La vice-présidente l'avait pris, avant de s'enfuir... Elle devait déjà être loin, en train d'annoncer ma mort sur toutes les chaînes. Alors pourquoi est-ce que mon téléporteur était à mes côtés plutôt que dans ses mains crochues ? Et c'est alors que je la vis. Son corps, gisant sur le sol, du sang continuant à sortir petit à petit de son crâne. Elle avait été assassinée brutalement. Comment ? Que s'était-il passé quand j'avais perdu connaissance ? Je n'étais absolument pas attristée par la situation. Elle n'avait eu que ce qu'elle méritait. Sa mort n'était qu'une conséquence de ses actes immondes. Ce n'était pas quelque chose qui me faisait peur, ayant moi-même déjà commandité de nombreux meurtres. Le mien aussi. Je lançais un regard discret à Conan... Je ne pouvais pas mourir. Pas comme ça, avec une balle dans la tête, comme la moins que rien qu'était ma vice-présidente. Il ne fallait pas qu'il voit ma faiblesse, il ne fallait pas que je devienne un trop grand danger. je devais fuir, fuir de lui tant que de ma propre décision. Je regardais un peut tout autour de moi, quand je vis une seconde scène, bien pire que la première.

Dean, mon propre fils, gisait lui aussi sur le sol. Il était à mes côtés, comme une mère et son fils bravant la mort, ensemble. Mais seulement l'un d'eux était allé jusqu'au bout, pour le moment. Je ne pus m'empêcher de verser une larme. Je... j'étais perdue. Je réussis tout de même à garder le contrôle sur mes sentiments. Je ne devais pas l'oublier : ce n'était qu'une simple simulation. Rien de tout cela n'était réel. Dean n'était pas réel, comme n'importe qui ici, à l'exception de Llwynog. Sa mort n'était pas réelle. Il n'existait tout simplement pas. Les larmes continuèrent à couler, malgré le fait que j'essayais de me rassurer. je ne m'étais pas attachée, c'était impossible. je ne l'aimais pas, je ne le connaissais pas, ce n'était pas mon fils. Je devais arrêter de pleurer, de montrer ma faiblesse à qui que ce soit. Pourtant, tous les yeux étaient tournés vers moi. On attendait de moi que je prenne le contrôle de la situation, que j'ordonne à tout le monde de me suivre, que je prenne la main, comme j'en avais l'habitude. Mais je n'en avais pas envie. Je voulais simplement fuir. Partir loin d'ici, de tous mes problèmes, de toutes ces morts, de ce satané virus qui venait de détruire la vie que j'avais mis une vingtaine d'années à construire. J'essayais de me raccrocher à l'hypothèse de la simulation du mieux que je pouvais mais la vérité, c'était que même moi je n'y croyais plus. La douleur, tant physique qu’émotionnelle était bien trop réelle. Je regardais un par un les gardes et prisonniers, travaillant ensemble pour s'en sortir, dans l'espoir d'avoir une idée miraculeuse, ou que l'un prenne le devant. Mais rien ne se passa. Mes yeux retombèrent sur le corps de la vice-présidente. Qui l'avait tuée ? C'était elle qui avait tuée Dean, j'en étais certaine mais qui aurait pu être habitée d'un désir de vengeance suite à sa mort ? Personne, ici, ne le connaissait. Personne sauf... Bien sûr. C'était lui. Qui d'autre ? Il voulait protéger tout le monde, peu importe qu'il ne connaissait pas Dean un jour plus tôt. Pour lui, c'était son fils et il n'avait pas été en mesure de le protéger. Alors il s'était vengé. J'étais étonnée d'un tel comportement de sa part. Je ne l'aurais jamais imaginé faire mal à une mouche alors tuer quelqu'un... Mais je comprenais. Je comprenais la douleur qu'il avait ressenti et ce qu'il avait poussé à le faire. Je la ressentais aussi, de façon bien moins intense j'imagine. Je devais partir, mais je savais que Llwynog ne me laisserait pas faire. Il ne me laissera pas abandonner, il ne l'avait jamais fait. Heureusement, je savais comment faire pour l'en empêcher. Je m'approchais d'un garde, et lui fit part de mon plan, regardant avec tristesse Llwynog. J'avais l'impression de le trahir, mais je n'avais pas le choix. Il le fallait. Je m'approchais de lui, et m'accroupit à ses côtés.

-Tu as fait ce qu'il fallait, ne l'oublie pas. Par pitié, ne culpabilise pas de ton acte, tu as agis comme un père qui vient de perdre son fils, rien de plus. Ta colère était justifiée et crois-moi que je l'aurais fais moi-même si... si j'en avais eu la force. Une fois de plus, tu as voulu me protéger, protéger notre propre chair, notre propre enfant. Tu l'as toujours fais et je sais que, quoi qu'il arrive, tu le feras toujours. Depuis que tu m'as trouvé sur le pas de ma porte, pleurant la mort de mon fiancé, je savais que le lien que nous avions formé serait plus fort que tout et que je pourrais compter sur toi, peu importe ce qui arriverait. Et j'avais raison, tu m'as toujours soutenu, tu m'as toujours supporté, défendu. Mais c'est pour cette raison que je ne peux pas te laisser me protéger, pas cette fois. J'espère que tu sauras me pardonner.

Je fis un geste de la main et le garde auquel je venais de parler s'approcha derrière Llwynog pour le menotter. Il semblait ne pas comprendre... J'avais envie de tout annuler, de le laisser partir mais je ne pouvais pas. Il m'empêcherait d'aller au bout de mon acte car il ne supporterait pas de perdre quelqu'un d'autre. Je savais qu'utiliser sa vengeance, sa colère contre lui était la plus grosse trahison que je pouvais lui faire mais je ne voyais pas d'autres moyens... Comment pouvais-je obliger un garde à le menotter s'il ne venait pas de commettre un meurtre ? Je ravalais mes sanglots avant de prendre les mains menottés de Llwynog dans les miennes. Je lui lançais un sourire doux, comme si je voulais lui promettre que tout allait bien se passer, sans pour autant réussir. A ce moment, tous les souvenirs que j'avais partagé avec lui me revinrent en mémoire. des souvenirs heureux, tous, sans aucune exception. Toutes les fois où il avait été là pour moi. Puis vinrent toutes les fois où je l'avais insulté, toutes les fois où je l'avais manipulée sans qu'il ne s'en rende compte, comme quand je lui avais fais croire que Liliann était une dangereuse psychopathe par pure jalousie, tous les secrets que je lui cachais encore, comme mon travail à la mafia, toutes les choses que je lui avais fais subir. Il ne méritait pas tout cela. Llwynog était la personne la plus gentille que je connaissais et celle qui m'avait apporté le plus de bonheur dans ma vie. Et pourtant, comme avec tous les autres, je n'avais été capable que de lui rendre de la haine. Je n'étais capable que de hair, pas d'aimer. Je devais le laisser continuer sans moi.

-Je te remercie pour tout ce que tu as fais pour moi jusqu'à aujourd'hui. Tu es la plus belle personne que j'ai rencontré et pour cette raison, je ne peux pas me montrer égoïste en te gardant avec moi, en t'emmenant à mes côtés. Crois-moi, j'aimerais partager mes derniers moments avec toi, mais tu mérites une bien plus belle vie que celle que je peux t'offrir. Je ne t'ai jamais traité comme tu le méritais. La vérité c'était que j'étais effrayée. Effrayée qu'en te rendant toute l'amitié, tout... l'amour que tu me portais, je tomberais amoureux de toi. Je ne pouvais pas laisser cela arriver, j'avais déjà trop souffert de la mort de mon fiancé. Mais, maintenant que je me retrouve au bord du gouffre, prête à sauter, je me rends compte qu'il est déjà trop tard pour te repousser. Je suis déjà tombée amoureuse. Je t'aime, Llwynog.

Je regardais doucement ses lèvres, hésitant quelques secondes avant de tourner la tête. Je ne pouvais pas l'obliger à m'aimer. Il n'avait fait que de me montrer de l'amitié à mon égard pendant toutes ces années. Il méritait mieux que moi, bien mieux. Je n'osais même plus le regarder. Je fis un signe de tête au garde, qui lui attrapa les mains pour le faire reculer, comme une dernière précaution. Quant à moi, j'attrapais le téléporteur à ma ceinture, et le mit en marche. Je devais partir, loin de lui, loin de tout le monde, loin de la population. Je refusais d'être assassinée comme je l'avais tout d'abord demandée mais je refusais de contaminer quoi que ce soit. Je devais vivre la vie de solitude qui m'avait toujours été destinée. Je me rappelais de ce que m'avait appris Dean pour le faire marcher, et visa une île déserte au milieu de l'océan Atlantique, avant d'appuyer sur le dernier bouton tout en lançant un sourire d'adieu à Llwnog. J'aurais aimé qu'il parte avec moi, qu'il m'accompagne pour mes derniers moments en vie mais je ne pouvais pas lui imposer un tel choix. Je savais que je n'étais pas capable de mener mon peuple vers la victoire en tant que présidente mais je savais que Llwyn, lui, l'était. Il était capable de bien plus que moi, il était le vrai meneur et le vrai héros. Voilà, Llwynog était un héros.


CODAGE PAR AMATIS

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Llwynog F. Foxley
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Llwynog F. Foxley

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________________________________________ 2021-04-27, 01:19




Let's watch the end of the world together




La pièce semble figer dans le temps : plus personne n'ose bouger, plus personne ne dit mot, et seul le silence s'étend encore, de manière à occuper tout l'espace. De façon à rendre le tout encore plus oppressant. Cela aurait dû rendre les derniers événements plus réels, plus tangibles - après tout, il en reste des traces on ne peut plus visibles, et certaines ne s'effaceront jamais plus - mais il n'arrive toujours pas à s'y faire. Il refuse encore d'y croire... Il refuse tout, et nie en bloque.

Les larmes continuent encore de couler sur ses joues, intarissables. Inconsolable. Il n'a pas réussi... Il aurait dû s'en douter, il aurait dû être plus réactif, faire quelque chose pour empêcher tout ça. Il aurait dû s'interposer, encaisser lui-même les deux impacts - ça l'aurait arrangé, après tout, qu'était-il dans cette réalité, sinon un prisonnier sans valeur ? Et, plus le temps passe, plus il se sent coupable. Ce n'est pas qu'une impression diffuse, non, c'est même une révélation toute entière, qui le prend aux tripes et qui ne le lâche plus. Si Dean a été tué, c'est par sa faute, et sa faute uniquement. Il l'a distrait, en lui parlant. Il l'a empêché de passer sa colère sur la vice-présidente, il a tenté de le conseiller, de l'empêcher de faire une bêtise... Et c'est lui qui en a fait les frais, qui l'a payé de sa vie. Tout ça parce qu'il voulait tenter une approche pacifiste... Tout ça parce qu'il ne voulait pas voir d'autres affrontements se produire. Et maintenant, où cela l'a-t-il mené ? ... Il est à genoux, à pleurer sans discontinuer, à se mordre les lèvres jusqu'au sang pour éviter de crier toute sa souffrance, toute sa douleur. Il a maintes fois l'impression de perdre pieds, de devenir fou. Il n'arrive pas à protéger qui que ce soit, il n'arrive à rien, quelque soit le temps, l'époque, ou l'univers. A chaque fois, il finit par enchaîner sur un faux pas, par précipiter la mort d'autrui. Chaque chose qu'il approche d'un peu trop près, il l'amène à son trépas précipité. Il... N'arrive à rien. N'est rien de plus qu'un oiseau de mauvaise augure, qu'on accueille à bras ouverts sans même avoir conscience du danger et des conséquences délétères que cela implique.

Inutile, inutile, inutile, inutile.

Il tente de retrouver son souffle, mais c'est peine perdue : il a tout aussi bien l'impression de se noyer dans ses larmes. A quoi bon tenter de continuer, de lutter, si c'est pour voir l'intégralité de son monde s'écrouler encore et encore ? Peu importe les fondations qu'il tente de bâtir, peu importe son application acharnée à vouloir tout protéger, tout renforcer, tout finit toujours par s'écrouler si rapidement, à la façon d'un château de cartes un peu branlant. Mais c'est couru d'avance, et il est incapable de se calmer. Incapable de faire la part des choses, et de se dire qu'il faut encore avancer. Il ne veut plus, il n'en a plus l'envie, ni la force. Il souhaite pouvoir baisser les bras, abandonner, être laissé sur le côté pour que les autres puissent continuer d'avancer - puissent encore tenter de s'en sortir - sans avoir à s'encombrer d'un poids mort, d'un frein. D'un homme qui ne sème que de mauvaises choses partout où il passe.

... Mais peut-être qu'à travers toute cette grisaille, une lueur d'espoir persiste encore, continue de briller autant qu'elle peut pour s'en sortir : dans ses bras, Dinah remue doucement. Et, quelques secondes plus tard, ses yeux s'entrouvent et papillonnent doucement, comme s'ils cherchent à se raccrocher à l'instant présent, à s'accrocher à quelque chose pour ne plus prendre le risque de repartir et de divaguer. Les yeux encore remplis de larmes, Llwynog doute de ce qu'il voit - il craint et redoute un mauvais tour de son esprit, une feinte pour l'encourager à aller de l'avant, pour mieux le faire trébucher par la suite. Il donne l'impression de l'observer sans la voir réellement, comme s'il n'était plus réellement aux commandes de son propre corps, qu'il était réduit au rôle d'un simple spectateur impuissant. Et pourtant, les choses se confirment : Dinah a bel et bien retrouvé ses esprits, et elle tente de se relever, difficilement. Pendant un temps, son premier réflexe serait de l'empêcher de bouger, mais il sait à quel point elle peut se montrer têtue lorsqu'elle a une idée en tête, alors il l'aide et l'accompagne, à grands renforts de gestes précautionneux au possible, comme s'il manipule une poupée de porcelaine qu'il risquerait de briser à chaque seconde.

... Alors, peut-être (et peut-être seulement) peut-il encore faire une bonne chose. Une dernière bonne action avant de se laisser aller, et de ne plus jamais avoir l'envie d'ouvrir les yeux pour accueillir un nouveau jour. Dinah est encore là. Dinah est toujours à ses côtés. Mais il faut agir, il faut se hâter, et tenter de regagner l'extérieur pour pouvoir chercher des secours, appeler à l'aide. Pour pouvoir la sauver, tout simplement. Et peu lui importe son propre sort, si cela lui permet d'aider une dernière fois. Si cela lui permet de contrebalancer un tant soi peu tout le mal qu'il a pu causer... Alors, il tente de refaire surface, de faire de son mieux pour être là, pour être présent. Pour être un soutien. Il déglutit difficilement et essuie ses larmes, les essuie encore une fois. Enfin, il les sent se tarir. Même si la douleur est toujours aussi grande, même si elle lui tort toujours autant les entrailles, il parvient à composer avec, à aborder une expression plus... Distante, détachée. En apparence, seulement - il a bien conscience qu'au moindre faux pas, tout explosera, tout s'envolera en un battement de cils. Mais, en attendant, il fera de son mieux pour que cela n'arrive pas - pour que cela n'arrive plus, plus jamais. Lorsqu'il voit Dinah pleurer, il baisse les yeux un instant - tout est de sa faute, il a échoué -, avant de la serrer légèrement contre lui, et de venir essuyer ses larmes, avec douceur. Il comprend ce qu'elle ressent - même si elle tentait de faire croire à tout le monde (et probablement de s'en persuader elle-même) qu'elle s'en moquait, elle tenait à Dean. A cet enfant qu'ils n'auraient jamais. A cet enfant qu'ils avaient perdu, parce que les choses s'étaient passées trop vite, parce que les choses n'auraient jamais dû se passer ainsi.

Il s'aperçoit que Dinah cherche un appui, probablement pour se remettre debout - pour reprendre leur avancée acharnée afin de se sortir de ce bourbier - alors il lui prend la main et l'aide. Il aimerait garder sa main dans la sienne, encore un moment - il aimerait même ne plus la lâcher du tout, probablement pour se rassurer, pour s'assurer qu'elle ne part pas, qu'elle est bel et bien toujours là - mais il a l'impression que ce serait égoïste, qu'il risquerait de l'étouffer alors... Il laisse les doigts de son amie lui échapper lorsqu'elle s'avance, et il se contente simplement de l'observer faire. Elle échange quelques paroles avec l'un des gardes - il est trop loin pour entendre de quoi il s'agit... Et il a l'intuition que même s'il se trouvait juste à côté d'eux, il n'entendrait pas : son esprit oscille entre ici et là-bas, comme s'il peinait à trouver un équilibre précaire, quelque chose qui lui permette vraiment d'aller de l'avant, encore un peu, le temps qu'il faut.

Il la voit ensuite revenir vers lui - quelque chose à changer, dans son regard, elle semble déterminée, oui mais... Triste à la fois ? Comme si quelque chose obscurcit ses souhaits, gâche ses envies. Elle semble hésitante - l'espace de quelques secondes, elle donne même l'impression de se raviser, juste avant de se jeter à l'eau - puis elle prend la parole. Llwynog a du mal à comprendre, il ne sait pas réellement à quoi elle fait allusion... A sa culpabilité ? A sa part de responsabilité quant à... à ce qui est arrivé à Dean ? Comment peut-elle savoir ? A moins que les quelques propos échangés avec le garde portait sur tout cela, peut-être a-t-elle voulu savoir, comprendre ce qu'il s'était passé pendant qu'elle avait perdu connaissance. Peut-être qu'elle lui en veut, pour tout ça... Mais cela ne fait pas sens. Il n'est pas en colère - pas vraiment, du moins il le croit, il peine à mettre un mot sur le flot d'émotions qui ne le quitte plus, qui tourbillonne encore et encore et qui menace de gronder, comme un orage tout prêt à éclater... Et il n'a défendu personne. Il a échoué, sur toute la ligne : Dean est mort, Dinah a été blessée... Il n'a rien su faire correctement, alors...

Pourquoi ?

Et soudain, un cliquetis raisonne et deux cerceaux - métalliques et froids - viennent enserrer ses poignets, et les chaînes sont ensuite rattachées à sa ceinture pour restreindre ses mouvements. Il cille à plusieurs reprises, comme s'il tentait - une fois encore - de se réveiller d'un mauvais rêve, mais... Force est de constater que tout cela, c'est bel et bien la réalité. Il ne comprend pas - il ne comprend pas pourquoi on lui fait ça. Il ne sait pas ce qui a bien pu se produire pour qu'il puisse mériter un traitement pareil, et il lance un regard perdu à Dinah. Comme un appel à l'aide silencieux. Il redoute que sa parole ne compte plus, il redoute que les mots qu'il puisse avoir le malheur de prononcer ne fassent que l'accabler davantage... Pour le rendre coupable de quoi ? Il ne comprend pas. Il avait l'impression que tout se passait bien, avant : gardes comme prisonniers, leur rang n'avait plus aucune importance tant qu'ils avançaient main dans la main pour s'en sortir. Alors pourquoi... ? Pourquoi un tel revirement de situation ?

Les mains de Dinah enserrent à nouveau les siennes, le ramenant à l'instant présent - lui faisant presque oublier sa situation précaire, délicate. Dans son regard, il peut lire une grande douleur, une grande tristesse, aussi. Et... Cela le rend encore plus confus. Elle prend de nouveau la parole, cette fois-ci pour lui faire des confidences, pour lui avouer des choses qui dépassent le point de non retour. Elle... l'aime ? Il sent sa respiration se bloquer, comme si quelque chose l'empêchait de retrouver son souffle. Il penche légèrement la tête sur le côté, comme s'il craignait d'avoir mal compris. Il aurait voulu... Il aurait voulu faire milles et une chose : l'interroger, lui demander ce qu'elle voulait dire par tout ça, pourquoi. Il veut comprendre, il veut être sûr. Il veut tout ça, et bien plus encore mais... Déjà, son amie se recule et s'échappe. Il amorce un mouvement pour la rattraper, la retenir. Pour l'empêcher de partir - peu importe ce qu'elle a prévu, il sait d'ors et déjà que cela ne lui plaira pas, il ne veut pas la voir partir, il ne veut pas. Mais le garde attrape ses liens et, d'un geste brusque, le tire, le ramène en arrière. Il ne comprend pas. Il s'apprête à protester, à appeler à l'aide, à demander pourquoi on lui fait tout ça. Il s'apprête surtout à prononcer le prénom de la blonde, pour tenter de la faire changer d'avis mais...

Il est trop tard. Le curieux appareil est déjà entre ses mains, elle fait quelques réglages, puis appuie sur un dernier bouton, et... Disparait. Sans rien dire d'autre. Sans même un regard en arrière. La gorge de l'ancien animatronique se serre, se serre si fort que même respirer lui demande un effort considérable, surhumain. Pourquoi... Ses épaules s'affaissent, il cesse de luter et baisse le regard... Il sent ses yeux s'humidifier de nouveau et, bien vite, de nouvelles larmes lui échappent. Il... Il est perdu. Comment Dinah peut-elle lui dire ça pour ensuite disparaître de la sorte... ? Elle l'a laissé. Elle l'a berné. Elle a utilisé les personnes qui les entoure pour le piéger, et le laisser derrière...

Alors... Pourquoi ? Pourquoi ça fait si mal ? Il peine à respirer. Il a l'impression de suffoquer, d'étouffer. Ses mains se crispent, se tordent comme pour faire des griffes et heureusement qu'elles sont coincées au niveau de sa taille, sinon il serait en train de se griffer le visage, de tout détruire. Il ne comprend pas. Il tente encore de se raisonner, d'essayer de... Mais tout part à la dérive. Ses jambes cèdent, et il se retrouve une nouvelle fois au sol, à contempler ses mains prisonnières par le biais de sa vue brouillée, trouble. Il n'a pas le droit au répit, on ne lui accorde plus aucun privilège : deux gardes conjoignent leur force pour le remettre debout, pour le forcer à avancer. Pour le garder à l'œil, aussi. Ce n'est pas parce que les choses ont changé que le reste du groupe à perdu de vue leur objectif premier : tenter de survivre jusqu'à pouvoir sortir d'ici. Alors, les autres avancent, continuent de se battre avec acharnement, passent de salle en salle en suivant le plan qu'ils avaient élaboré le matin même - cela semble s'être déroulé il y a de ça une éternité toute entière. Llwynog se contente de suivre le mouvement, bon gré mal gré. De toute façon, on ne lui laisse guère le choix : il est le seul à être traité comme ce qu'il est : un prisonnier. Le seul à avoir des menottes aux poignets, le seul à être sous escorte, à voir le moindre de ses faits et gestes être décortiqué - comme si l'on calculait encore le risque qu'il représentait. Il ne comprend pas la raison de ce changement de comportement... Et il n'a plus la force de s'interroger. Tout lui est égal. Il espère simplement que cela prendra fin rapidement - peut-être vont-ils finir par le voir comme un poids mort, et l'abandonner à son sort ? Peut-être vont-ils se servir de lui comme d'une distraction afin d'attirer l'attention des morts pendant qu'eux s'échappent ? Peut-être...

Même ces possibilités l'épuisent. Il s'en moque. Il se moque de ce qui peut bien lui arriver. Il se moque du sort qu'on lui réserve. La seule personne qui lui importait vraiment, la seule personne pour laquelle il avait encore envie de se battre et de faire de son mieux n'est plus là, alors... A quoi bon ? Il se laisse porter, en espérant secrètement que tout cela touchera bientôt à sa fin... Malgré toute la bonne volonté du reste des survivants, ils ont perdu trop de temps : la journée touche à sa fin, et l'un des gardes décident qu'il est temps d'établir un campement de fortune pour qu'ils puissent passer la nuit dans une sécurité relative. Leur quartier général est établi dans un hall secondaire : en un temps record, les portes sont bloquées, barricadées, afin de prévenir toute intrusion possible de la part des morts. Puis ils se rassemblent en petit groupe, afin d'échanger ensemble, de renouer des liens... Seul Llwynog est maintenu à l'écart, comme s'il s'agissait d'une bête enragée que personne n'a le cœur d'abattre : à sa première paire de liens s'en rajoute une seconde, l'attachant cette fois-ci à un radiateur pour l'empêcher de bouger complètement. L'ancien renard se laisse faire sans moufter : tout ça n'a plus d'importance, il se moque de tout... Ses pensées sont encore tournées vers Dinah, et il se demande ce qu'elle devient. Il se demande surtout si...

Mal installé, à moitié appuyé contre le radiateur glacial, il voit les uns et les autres tomber de fatigue - seuls le duo de veille garde l'œil ouvert, au cas où des morts tenteraient quand même leur chance. Le silence s'installe, et Llwyn est toujours aux prises avec ses pensées. Il n'arrive pas à savoir ce qui a bien pu se passer, il n'arrive pas à comprendre comment ils en sont arrivés là... Il n'a d'ailleurs plus aucune larme à verser, et se contente de ruminer ses sombres pensées, seul, exclu. Et, malgré tout, la fatigue finit par prendre le dessus sur ses appréhension et, à demi appuyé contre le chauffage, ses yeux finissent par se fermer, et il sombre dans un sommeil lourd et sans rêve...


« ...nog ! Llwynog ! Foxy ! Réveille toi, s'il te plaît ! C'est pas gentil de me faire peur comme ça ! Réveille toiiii ! »

La voix aux accents paniqués a finit par se frayer un chemin jusqu'à son cerveau embrumé. L'animatronique était perdu : ce qu'il sentait sous sa joue, ce n'était pas le contact froid et humide d'un mur de prison, mais... La douceur d'un drap ? Rien de tout ça n'avait le moindre sens. Fritz continuait de l'appeler, encore et encore - il le sentit même lui donner un coup de poing dans l'épaule, et cela lui fit ouvrir les yeux. Bien sûr, son regard ne rencontra que du vide - l'esprit n'avait jamais été visible, et il ne le serait probablement jamais d'ailleurs - mais l'environnement qui se trouvait dans son champ de vision était d'autant plus déconcertant : il était de retour... Chez lui ? Dans son propre lit ? Mais...

« Qu'est-ce que... »

Sa voix était rauque, comme si cela faisait un moment qu'il n'avait plus prononcé le moindre mot - et de ce qu'il se souvenait, c'était vrai : il s'était muré dans un véritable silence depuis que...

« Dinah ! »

L'exclamation lui a échappé et, déjà, il se levait d'un bond pour quitter son lit à toute hâte. Il ne prit même pas la peine d'observer son allure - il se doutait qu'il était loin d'être présentable de toute manière - mais il se saisit d'un jeu de clefs avant de quitter son appartement à toute allure. La vieille dame qui lui laissé occuper la partie supérieure de son logement tenta de lui parler, de lui demander quelle mouche l'avait piqué, mais il lui demanda simplement d'attendre, avant de partir.

Dans sa hâte, il n'envisagea pas une seule seconde d'utiliser son véhicule - cela semblait même être une sage décision : au vu de sa fébrilité, cela aurait eu tôt fait de se terminer en accident - et il se rendit au domicile de son amie à pieds, en courant comme un beau diable dans les rues encore ensommeillées de Storybrooke. Lorsqu'il arriva au pied du bâtiment d'appartement, il se rendit compte que le trousseau était incomplet : s'il y avait bel et bien la clef qui ouvrait l'appartement qu'occupait Dinah, cette dernière avait oublié de lui fournir la clef qui allait de pair avec la porte du rez-de-chaussée, et il était... Coincé à l'extérieur. Si cela le frustra, il était bien décidé à attendre jusqu'à pouvoir rentrer - peu importe le temps qu'il passerait dehors, il devait s'assurer que tout allait bien pour elle aussi...

Fort heureusement pour lui, un voisin quitta les lieux une vingtaine de minutes plus tard, et il s'engouffra dans l'entrée avant que la porte ne se referme et ne lui refuse l'accès une fois encore. Il grimpa les escaliers quatre à quatre, avant de débouler dans le couloir de l'étage où elle habitait, puis il toqua doucement à la porte avant de l'ouvrir. Il la repoussa doucement, ne souhaitant pas la réveiller en sursaut, ni lui faire peur. Et.... Il s'arrêta devant la porte de sa chambre, jugeant qu'il n'était pas correct d'entrer sans y être invité. Alors, à la place, il resta dans le couloir, et appela doucement :

« Dinah ? Dinah est-ce que tu m'entends ? Tout va bien ? »


panic!attack
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Dinah Price
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Dinah Price

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Doodle takes dad's scissors to her skin
And when she does relief comes setting in
While she hides the scars she's making underneath her pretty clothes
She sings: Hey baby can you bleed like me?


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| Conte : Wonderland
| Dans le monde des contes, je suis : : Dinah, le chat d'Alice

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| Cadavres : 788



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________________________________________ 2021-05-01, 00:45




I don't want to watch the world end with someone else.
Everybody wants to rule the world !



☾☾ Où est-ce que j'étais ? Au paradis ? Cela ne m’étonnerait pas, j'étais l'exemple même d'un ange. J'étais certaine que ces êtres célestes prenaient des notes sur toutes mes actions depuis leurs petits nuages. Mais non... Je reconnaissais cet endroit... J'étais dans ma chambre. Ma chambre du présent, pas celle de 20 ans plus tard... Comment était-ce possible ? Il y a quelques minutes j'étais la première présidente zombie des États-Unis, j'étais en train de mourir ! Je ne comprenais pas... Est-ce que cela voulait dire que tout cela n'était qu'un rêve ? Impossible... La souffrance que j'avais ressentie, la tristesse, les émotions, tout était si réel... Avais-je raison depuis le début ? Est-ce que tout cela n'était qu'une simulation, comme quand j'étais devenu Henry ? Bien sûr que j'avais raison... Comment pouais-je avoir tort ? Ce genre de choses n'arrivait jamais. Mais est-ce que cela voulait dire que...

NON ! Qu'est-ce que j'avais fais ? Je sautais de mon lit, estimant n'avoir aucun besoin de me reposer malgré que la sensation de douleur se ressentait encore dans mon bras. J'avais encore tout gâché, comme d'habtiude... Pourquoi avais-je dis une chose pareille à Llwynog ? Je ne le pensais pas, non. C'était sous le coup de l'émotion voilà tout. Moi, aimer Llwynog ? Cela n'arrivera jamais. Je méritais mieux que lui. Ce n'était pas parce qu'il se comportait comme un parfait petit chevalier servant avec moi que je l'aimais. C'était probablement juste la morsure qui m'avait fait délirer. J'étais déjà touchée à cause de ma blessure, de ma mort imminente, ainsi que celle de mon "fils". Il n'y avait pas d'autres explications. Je n'aimais pas Llwynog, unpoint c'est tout. Je ne l'avais jamais aimé, et je ne l'aimerai jamais. Je ne voulais pas aimer, je ne voulais plus aimer. J'avais déjà tant perdu, tant souffert, je refusais de perdre qui que ce soit d'autre. Je refusais de m'attacher à quiconque et de ressentir à nouveau cette douleur que j'essayais de rejeter depuis tant d'années. Et Llwynog ne changera pas cela. Personne n'en était capable. Les murs que je m'étais construit resteraient à jamais figés. La situation était très bien comme cela, j'étais heureuse. L'étais-je ? Bien sûr, que je l'étais enfin. Je ne voulais rien changer.

Mais voilà qu'il devait se faire des idées. Des paroles sans aucun sens lâchés à haute voix, dans la nature, et tout semblait changer. Je regardais mon téléphone avec insistance, attendant un message de Llwynog qui ne vint jamais. C'était étrange... Bien que je commençais tout de même à m'inquiéter, me demandant pourquoi il ne m'avait pas encore harcelé de messages, je décidais de laisser mon téléphone sur le lit et partit chercher un paquet de cigarettes, que je gardais dans un tiroir de mon salon, en cas d'urgence. J'avais arrêté de fumer depuis maintenant plusieurs mois, mais je ne pouvais pas résister à la tentation. J'avais besoin de me calmer, de sentir autre chose, de faire retomber, même pour quelques minutes, le stress que je ressentais. Je ne voulais pas avoir à m'occuper de tout cela. Pourquoi tout devait toujours être compliqué ? Pourquoi fallait-il toujours que je détruise tout ce que je touchais ? Dés que j'avais quelque chose que je chérissais, quelque chose qui contribuait à mon bonheur, je le gâchais. Je le détruisais, je le rejetais, je faisais tout pour rester dans ma misérable condition. Et même si j'aimais Llwynog, que se passerait-il ? Il ne m'aimait pas. Comment pouvait-il aimer quelqu'un comme moi ? Rien de tout ça n'avait de sens.

J'allumais ma cigarette et ouvrit la fenêtre, pour éviter que la fumée envahisse l'appartemment. Tremblant un peu, je regardais tout autour de moi dans la rue, continuant à réfléchir à cette situation et toutes les fins malheureuses qui pourrait en découler. Puis, au bout de quelques minutes, je vis quelqu'un arriver en toute vitesse dans la rue, à courir comme si sa vie en dépendait.

-Merde !

Oh non... Llwynog ! Qu'est-ce qu'il faisait là ? Machinalement, je rentrais ma tête dans l'appartement et ferma les fenêtres dans la seconde. Il ne devait pas me voir, il ne devait pas me trouver. Je ne pouvais pas lui parler. Pas maintenant. Jamais. J'éteignis ma cigarette et commença à fouiller dans mon placard, pensant que voir mes vêtements m'aiderait à trouver une idée pour sortir de ce pétrin. Il avait mes clés, du moins un double. Il serait là dans un instant... Je devais me dépêcher. Fort heureusement, j'avais été plus maligne que lui. Je ne lui avais pas donné un badge permettant d'ouvrir la porte de l'immeuble, au rez de chaussée. Je n'avais plus qu'à espérer que personne lui ouvre le temps que je me volatilise... J'étais au cinquième étage, il m'était impossible de passer par une fenêtre... Je devais trouver un autre moyen. Mais la seule façon de sortir m'obligeait à passer devant lui...

Une idée de génie me traversa alors l'esprit. Je sortis de mon placard les pires vêtements que je pouvais posséder : un vieux jogging troué ainsi qu'un sweat à capuche noir extrêmement simple. Sans hésiter je les enfilais. Puis, je sortis une valise. Une noire de même, une avec laquelle Llwyn ne m'avait jamais vu. Je mis quelques affaires à l'intérieur, tant des jolies que certaines pour passer inaperçu. Étant dirigeante de l'unité de renseignement de la mafia portuaire, je savais passer inaperçu tant que je savais me remarquer... Et pour une fois c'était passer inaperçu dont j'avais besoin. Je partis dans la salle de bain et utilisa tout le maquillage possible et inimaginable pour me transformer en homme. Je me fis une barbe et des traits plus traditionnelement masculins. Avec mes cheveux coiffés dans ma capuche, j'étais méconnaissable. c'était parfait. Une fois prêt, je me jetais dans les escaliers à toute vitesse, ayant déjà perdu assez de temps. Je le vis devant la porte d'entrée, en train d'attendre qu'on lui ouvre la porte... Je l'ouvris donc depuis l'intérieur, avant de lui faire signe de rentrer, sans rien dire pour ne pas que ma voix grille ma couverture. Il s'engouffra à l'intérieur, sans rien remarquer, mais sans oublier de me remercier grâce à sa politesse maladive.

Parfait, maintenant je n'avais plus qu'à trouver un endroit où m'enfuir en attendant qu'il sorte de chez moi et que je puisse être tranquille... J'avais peu d'amis. Extrêmement peu, en vérité. Mais j'eus une idée, quelqu'un qui ne saura pas me dire non, quoi qu'il arrive et peu importe notre relation actuelle. Je ne l'aimais pas mais je savais que sa gentilesse inssuportable pourrait, pour cette fois, me rendre un grand service. C'est ainsi que je me dirigeais vers le garage Maru pour y trouver Liliann... En chemin, je décidais cependant de ne pas trop inquiéter Llwynog. Il était hors de question que je lui adresse la parole une nouvelle fois, mais je ne voulais tout de même pas qu'il croit que quelque chose m'était arrivé. J'attrapais donc mon téléphone, appuya sur sa photo de contact et envoya un message.

-Je vais bien.

Simple, rapide et efficace. Puis, non sans remords, je le bloquais. Je ne voulais plus en entendre parler, ne plus jamais l'entendre, ne plus jamais le voir. Je ne voulais plus jamais le confronter. Eviter le problème était le meilleur moyen pour le faire disparaître. Il ne me fallut que peu de temps pour me retrouver devant le garage de Maru, que j'avais trouvé grâce au GPS de mon téléphone. Au moins, je savais que c'était la seule qui ne se moquerait pas de ma situation actuelle. A peine arrivée, je me mis à crier.

-Liliann, je sais que t'es là, je dois te parler !

Il ne fallut même pas une minute pour que je découvre la tête de Liliann derrière la porte qu'elle ouvrit. J'avais envie de la frapper, mais me rappella que j'étais ici pour lui demander un service. Malheureusement.

-Oui ? Que... qu'est-ce qu'il se passe ?

-Enfin ! m'exclamais-je alors que je n'avais que très peu attendu, mais c'était plutôt pour la forme. Je poussais délicatement Liliann pour me frayer un chemin à l'intérieur. Elle fit attention à se pousser et ferma la porte derrière moi. Je dors ici cette nuit, ça ne te dérange pas j'espère ?

-Je ne sais pas... Ce n'est pas chez moi. Je... Je peux te laisser mon lit pour la nuit. Quel est le problème ?

-Le problème ? C'est Llwynog le problème ! Il me poursuit partout, je ne peux pas rester chez moi ! Ici, au moins, il ne pensera jamais à me chercher. J'hésitais un peu avant d'ajouter. Merci pour le lit.

Liliann sembla hésiter avant de répondre... Peut-être ne voulait-elle pas dire quelque chose de sensible ? Elle avait raison de faire attention. Un seul faux pas et je demandais à la mafia de m'occuper d'elle avant de réquisitionner le garage.

-Viens, je vais te montrer la chambre. Elle me fuida jusqu'à la chambre. Si tu as besoin de quoi que ce soit, je serai dans le salon. Je peux te préparer à manger si tu as faim. Je... Elle hésita de nouveau, commençant à me taper sur les nerfs. Je ne lui dirai pas que tu es là, s'il vient voir Ben.

Encore heureux !

-Merci beaucoup. Je ne te dérangerai pas plus, ne t'en fais pas... Ah si ! Je peux utiliser la salle de bain ? J'aimerais enlever cette... barbe.

Liliann sourit un tout petit peu... Qu'est-ce qui lui faisait sourire ? Elle se moquait de moi ? Elle n'allait pas passer la nuit si elle continuait comme ça...

-Bien sûr, c'est la porte juste là. N'hésite pas. Je te laisse te reposer alors.

Je hochais la tête comme signe de remerciement avant de commencer à défaire ma valise pour y récupérer les affaires dont j'avais besoin... Je n'avais aucune envie d'être ici mais je n'avais pas le choix, c'était le seul moyen pour que j'évite Llwyn. A jamais.



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