Chronologiquement. Ca faisait déja quelques mois, que ma chambre a la Guilde ne m'appartenait plus. Et que Céleste et Carla :deux amies avaient prises ma place, car officiellement nous vivons ensemble. Prêt a construire, une vie ensemble. Enfin , avec notre bébé, quand il décidera de se manifester. Mais Patience Léo ! Si Dewenty serait enceinte , j'aurais été le premier a savoir non ?! Le conjoint est toujours le premier averti . Mais que des tests grossesses négatifs trainant dans la corbeille de notre salle de bain, commune a notre chambre. Et aucun signe céleste du cycle de la vie.  Soupire. 

 Durant ses mois de cohabitation, il avait eu quelques faits a retenir:

- Comme le fait, que chaque fois que je sors de chez moi, une poisse m'arrive. Et je frôle la mort ! Quelqu'un voulait ma peau. Mais je n'avais rien a craindre, les tentatives étaient toujours des ratés. Ce tueur a gages était  vraiment nul ! Non en faites, il ne connait pas le secret , de comment atteindre sa cible. Il ne connait rien aux êtres sprituels de lumières. Heureusement.Donc ca ne valait même pas la peine, que j'en glisse un mot sur l'oreiller a Dewenty. Il n avait pas d'inquiètudes a ressentir. Et si je voulais ce bébé, je devais être prudent. Pas de stress. Mais qui se cachait derrière ses attentats ? Un amant jaloux. Parce que je n'avais pas vraiment d'ennemis connus a Storybrooke. Enfin, il avait des  personnes que je ne portais pas dans mon coeur. Mais eux , je ne savais pas.  Et  mon seul ennemi, était Roléo. La facette shakespearienne  de ma personnalité.  J'étais sans doute victime d'un amant envieux, parce que j'hantais encore le coeur de beaucoup de femmes.  

-Comme le fait , que des fréquentations universitaires  a moi , t'avaient apercu te balader a bord de cette navette luxueuse. Plus précisement, cette jaguar rouge dont presque tout quartier connaissait le propriétaire : Erwin Dorian.  Moi cette voiture, je la connaissais pour l'avoir croisé a nombreuses reprises dans son entrée. Toi cet homme, était ton client. Enfin je te faisais confiance sur votre lien.  Moi sa femme était une amie. Et un court instant, elle avait été une proie de mon charme. Après notre rencontre, mais pas pendant qu'on se fréquentait. Pendant cette soirée la, moi j'étais assis dans le canapé du canapé avec Sparkle , a t'attendre. Attendre ma femme pour visionner un film en amoureux.  Mais a l'instant ou la sonnerie de mon telephone retentit , et qu'on m'envoyait plusieurs textos, pour me donner la meme information.  J'étais choqué d'apprendre , que  tu m'avais cachée son existence, celle d'Erwin Dorian dans ta vie. Qu'est ce que tu me cachais d autres avec lui? Et quel genre de client il était pour toi ? J'aimerais bien le savoir ! Pas pour savoir ce qu'il magouillait , mais pour savoir si tu étais en véritable sécuriété avec cet homme qui reflétait un reflet faux. Il semblait beau. Mais est ce que tu avais deja vu son portrait ? 

Des questions se bousculaient dans ma tête. Trop de questions. Que je commencais a me sentir physiquement mal, dans ma peau. Je devais me calmer, si je ne voulais pas retourner faire un séjour a l'Hopital. Parce qu' angoisser de cette maniere était nuisible pour ma tension artérielle. Donc pour mon coeur fragile. Mais cet homme était porteur de chance.  Trop gentil  et respectueux envers sa femme . Je n avais pas l'intention de me venger. Pas sous cette forme ! Je n avais pas l'intention surnoise de me venger au prochain croisement de sa voiture , et faire exprès pour que  la clé de mon jeep  frôle la carosserie et  égratigner son luxe.  

Mais sache que le fait de ne s'arretait pas la.  Ma coiffeuse et son époux était au même restaurant que vous et  le couple avait  pris des clichés de votre # rencard # d'affaires avec l'un de leurs telephones, avant de me les faire parvenir. Et ce que je voyais sur ce selfie était scandaleux. Et heureusement , que je n'avais pas écouter mon instinct animal ce soir la. J'aurais débarquer dans ce restaurant. Peu importe l'image honteuse. Peu importe la réputation, qu'on m aurait étiqueter.  J'aurais fracasser la tête de #ton client# contre la table.  Et je t'aurais arrancher le verre d'alcool a la main. N'avais tu pas honte ?   C'était inaceptable !  Moi, je sacrifais ma santé pour qu'on concoit un bébé. Et toi tu osais boire. Mais a quoi tu pensais ? Et lui , qui savait que je désirais tant être père. Parce que je n avais pas cette information durant nos vacances au bon endroit.  Il ne t'empechait pas de porter le liquide a tes lèvres pulpeuses. Est-ce que c'était lui qui t'avait tenter avec sa manipulation et son menu.  Et ne connaissais tu pas le ragot a son sujet ? Sans doute, que non ! J'espérais de tout coeur, me tromper.  Les pipelettes de Storybrooke, qu'on rencontre souvent dans les endroits que je fréquente , disait dans le dos de Monsieur Dorian qu'il avait eu une soirée arrosée avec une femme lui et qu' accidentellement,  mis en cloque celle ci.  Prénom de la demoiselle, grand mystère. Mais j'avais des doutes sur son identité.  Heureusement pour lui , j'avais gardé ce potin silencieux, pour Georgia, le temps de confirmer mes doutes. Mais cette soirée la, ce n'était pas mon amitié la priorité.

Sur le canapé, je m'arrachais les cheveux sous le tracas. Et un court j'avais quitté celui-ci pour aller dénicher dans ma cachette secrete. Sous le matelas de notre lit,  là ou je cachais mon butin de garcon. Je prenais un vieux paquet de cigarettes. Et j'allais m allumer une de celle-ci dans la cuisine avec le grille de pain. J'en fumais une,puis deux, ensuite.. J avais perdu le décompte , car  les grandes questions me hantaient,  est-ce que tu avais passée la soirée a boire ? Est ce que tu allais découchée pour m inquiéter plus ?  Est-ce que tu allais subir la même sort que la fille  ? Je n'avais pas tous les details de votre rendez-vous d'affaires. Et je les aurais jamais. Mais ce rendez-vous professionel, qu'en apparence, ne ressemblait pas a cela.  Mais en cogitant plusieurs heures.  En m'imaginant tous les scenarios possibles, que mon cerveau avait eu le tourni. J'avais écouté la voix de  mon coeur et je te faisais confiance aveuglement. Tu m'étais dévouée par amour. Tu m'étais fidèle -futurement- par les liens sacrés du mariage. Et le bébé allait être de moi. Mais la prochaine fois abstinence d'Alcool mon Lapin ! Tout ce que Dorian voulait faire était semé le doute dans mon esprit pour me détruire surnoisement.  Tout ca pour une histoire de séduction.

Mais Aujourd'hui que se passait--il dans notre couple ? Je me remettais lentement de mon séjour de l'Hopital , a cause de ma crise de coeur du mois de Juin. Plus précisément du douze de ce mois, alors que toi tu t'étais absentée pour la journée, pour ta quete vengeresse, pour venir en aide a tes semblables: Les monstres.  Moi , porteur de la peste selon Mister Dorian, j'avais été chercher secours auprès de Georgia. Et Aujourd'hui, c'était grace a elle, que ma vie était sauve. Elle avait veiller sur moi. Elle avait été présente, et aux petits soins. -Et elle l'était encore- Jusqu'a ce qu'on puisse te rejoindre . Mais j'étais redevenu a mon point de départ . Je devais trainer de nouveau ma médication comme un fardeau, jusqu' a la science ou la magie trouvent un remede qui permetterait d'ouvrir ma porte vers le monde céleste, pour guérir.  Mais seuls Lucy et moi avions ce don connu dans ce monde.. Mais un don inefficace jusqu a présent. 

Et de ton coté , que pouvais tu nous raconter ? Tes dernieres fatigues, que tu avais ressenties, m'inquiétait.  Mais  tu m'écoutais  guère, quand je te faisais part de mon opinion  . Tu te donnais trop, mais trop dans tes occupations, surtout dans ta carrière de courtière. J'étais fier de ma fiancé, pour ton talent artistique , tes accomplissements, car ceux ci étaient grandioses. Tu avais un bouquin avec tes créations. Et celui-ci , me faisait révasser, dans chaques tenues pour femmes, je t'imaginais, la porter. Un jour, il faudrait que tu me fasses une parade dans toutes créations.  Mais je rêvaissais surtout du moment, ou tu commencerais a creer ta robe de mariage, pour qu'elle se retrouve sur la couverture de ce catalogue.  Aussi fier d'avoir une femme, qui avait le business de la mode ancré dans le sang et la peau . Mais apparament c'était de famille !  Mais, t’apercevoir te lever chaque matin , sachant que tu allais te donner corps et âme dans ta profession. Et te voir, le soir  franchir la porte de notre maison, et t'epuiser a t occuper de la maisonnée. T'epuiser a t'occuper de moi, quand ca te tentait.  Moi j'avais honte,  je ne  rapportais aucune source de sous, car sur un coup de tête j'avais démisionné de mon boulot de barmaid et j'attendais impatiemment que ma carrière de mannequin , pour l'entreprise Agreste s'entame. Oui comme ton frère, je voulais percer dans le domaine. Peut-etre que ca allait nous rapprocher. Croisons les doigts ! J'avais aussi honte, parce que je ne supportais pas que tu es une carrière plus haute hiérarchiquement que moi.  Mais toi tu  ne t'arretais jamais. Et ca me vexait car je croyais que tu avais captée que notre préoccupation première, était fornication et procréation, pour ensuite nous marier.  Et ton comportement me prouvait le contraire. Ce comportement était nuisible pour notre projet de devenir parents. Parfois, tu mériterait une bonne fessée sur le derrière. Avec cette attitude,  je craignais le pire pour toi  Donc je tenais toujours mon téléphone proche de moi. Ma facon de veiller sur mon Bébé Monstre, sans t'étouffer , te surveiller et t'imposer ma présence.  Mais tu  allais finir par craquer. J'en étais convaincu ! Le temps jouait contre toi.  Mais ensemble pour le meilleur et le pire, je serais là ..

Tu te levais toujours très tôt, pour le boulot. Toujours avant moi. Mais pas cette fois-ci. Je t'avais devancer. Silencieusement et prudemment, pour ne pas te réveiller. Toi qui avait besoin de sommeil réparateur.  Étirant mon bras , pour attraper mon portable sur le bureau.  Verifiant l'heure sur mon téléphone. Du coup, il était quatre heures du matin, quand je quittais les draps de notre nid,  pour aller a la salle de bain pour  faire ma toilette. Me préparer quoi !  Il était quatre heures et demie, quand je descendais a la cuisine pour remplir la gamelle de croquettes  et le bol d'eau de Sparkle. Il etait quatre heures , quarante cinq, quand je terminais de  te préparer un déjeuner santé,  que je laisserais dans le frigo , avec un post-it sur celui-ci # N'oublie pas de manger mon Bebe Monstre, passe une bonne journée. Je t aime #mais que tu ne mangerais pas.  Alors qu'il était essentiel que tu te nourrisses pour ta santé et notre projet . Et ce n'était pas en te goinfrant,  avec les sucreries et les gateaux de Ishanee , que tu allais retrouver ton énergie d'antan.  Il était a présent cinq heures et quart, que je finalisais mon ménage et que je retournais dans notre chambre pour t'écrire difficilement un mot, avec mon platre au bras. Mais tu connaissais déja l'explication de mon bras fracturé.  L'ambulancier, qui m'avait prit en charge chez les Dorian, m'avait volontairement briser le bras, pour déclencher ma regeneration plus rapidement, pour permettre mon coeur de tenir jusqu' a l'Hopital.  Mais celui n'était pas encore guérit , le temps de mon rétablissement. Ma guérison était au ralentie.  Déposant le mot sur mon oreiller . Une note qui disait :  J"embarquais dans le lit pour te bécoter le bout du nez.  Passer une main sous ta tenue de nuit, pour t'offrir une douce caresse sur le bas du ventre, soupirant. Espérant un jour , sa présence.  Puis je remettais la couverture sur toi pour te couvrir jusqu'au haut du cou. Mais je n oubliais pas de ne pas couvrir une de tes jambes. Parce que je savais que c'était ta pose préférée.   Pour conclure ce matin , je quittais le manoir avec le chien pour une journée remplie en Jeep,  avec Georgia, la femme de ton ''fameux client''dont tu n'avais jamais aucune connaissance que je savais pour vous deux.  La seule preuve de ce savoir était mon portable . Et Aujour dhui les portables sont des journaux intimes modernes. 

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Il était dépassé l'heure du repas. Je venais de déposer Georgia devant sa demeure. Nous revenons de l'Hopital, pour mes examens médicaux et si je pouvais enfin me débarrasser de mon platre. Mais pas encore. J'étais sur la voie de la guérison.. Oui je faisais confiance a la medecine humaine. Mais je t'avoue qu avec une magie guérisseuse, le processus aurait été plus rapide. Mais je ne connaissais encore..aucune personne qui avait ce pouvoir dans mon entourage.  Et je ne faisais pas confiance a la maitresse d'Erwin qui avait un don pour la science médical . Pour lui demander de l'aide. 

 Mais ce n'était pas, a cause de l'attente a l'Hopital que nous avions été retenus. Et qui expliquait mon retard aupres de ma femme, aupres de toi.  J'avais été pris au dépourvu par une equipe journaliere.  Parce que tu ne lisais peut-etre pas les journaux de Storybrooke. Ou tu les lisais mais tu n avais pas encore découvert qui etait -Roki-. Mais j'étais devenu celebre,  a cause d'une lettre qui devait m'aider a cheminer dans notre vie de couple. Et que finalement, j'avais découvert que j'étais moi aussi un monstre. Je n'avais pas toujours été un être lumineux avec les femmes.  Et en ce moment, je me retrouvais publiquement dans la mousse, car une certaine '' Cupidonne '' avait été l'une de mes conquêtes et apparemment, notre histoire ne se terminait pas a une rose, mais il a des souvenirs oubliés pour ma part. 

Une vérité. Un mensonge pour devenir une etoile brillante. Que voulait-elle de moi ? Qu avait fait de moi ? Voulait-elle une preuve de culpabilisation , des excuses . Que je devienne sien. Esperons que je n'étais pas tombée dans les mains d'une créature obscure qui besoin d'un homme pour ses plans maléfiques. Ou meme une tarée, aussi obsessionnel que Juvia.  Il fallait que je le découvre avant qu'il est un impact sur nous. Avant meme la police s'en mêle.   Parce que je n avais aucune idée, ce qui s'était reelement passé entre nous.

Mais a l'Hopital, j'avais été questionné sur l'identité de Cupidon.  Et par la meme occassion de mes relations antécédentes.  Et le premier nom qui m'était venue a l'esprit était celle d'une ange cornue, pour brouiller les pistes.  Si je suivais la logique de l'ancien Léo.  Tout ce que j'esperais, c'est qu'en entrant a la maison, tu ne me poses pas de questions sur ma journée.  Je n'avais pas envie de te mentir.  Je haissais mentir .Mais même un être de lumière, avait un alter ego.  Celui que le Papillon avait réveillé.. Et celui que tu avais percu un instant quand j'avais des doutes de qui tu aimais lui ou moi.  

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J'ouvrais enfin la porte du manoir. Déposant Sparkle au sol pour qu elle aille ou elle désire.

De ton ouie effilée et ton ordorat fin, tu avais entendue mes pas franchir la porte de notre maison.  Et tu avais sans doute sentie mon parfum a l'eau de lion. (Oui c'est une eau de colonne qui existe). Enlevant mes chaussures dans l'entrée. Et déposant un sac de courses sur le banc de l'entrée. Je pénétrais dans la cuisine, ou tu m'attendais assise dans une magnifique robe , qui semblait tricotée. Une robe claire brodées de fleurs. Un habit de femme marier. Accompagné de ta ceinture rouge-il te fallait toujours ta touche de cette couleur, comme cheryl dans Riverdale- orné d une panthere dorée.  Un de mes accessoires préférés de tes nombreuses tenues. Et tu savais que je portais une attention particulieres aux objets. Et que c'était l'une des raisons pourquoi je t'offrais autant d'accessoires comme , tes pantouffles de verres, ton collier coquillage , pour t'embellir mais aussi parce que je t'aimais. Et cette liste allait s'aggrandir, je te comblerais de cadeaux et d'amour tout le long de notre vie a deux..A trois peut-etre un jour.  Ta voix était forte , aux premiers mots pour me démontrer ta dominance habituelle. Et mon nom de famille, était d un ton envoutant.  Tu utilisais ta voix de sirène pour me charmer.  Et tu savais qu'a chaque fois que tu prononcais Lionstar -étoile du lion- ce surnom qui me plaisait car c'était mieux que ducon.  Ce surnom était une jouissance émotionnelle entre tes levres. Mais c'était aussi un nom que j'avais hâte que tu portes par alliance et par lignée. 

 Je m'approchais de toi, comme ensorcelé par cette parole.  Puis je m'arrêtais a tes cotés. Observant un regarde rapide la table. Notre repas tout en enlevant mon chapeau , pour le déposer sur ta tête.  Pourquoi ? Pour le plaisir de t'admirer , car tu étais plus ravissante et désirable quand tu portais un mes accessoires. Comme la fois , ou nous avions fait l'amour au bon endroit et tu portais ma chemise fétiche.  Un moment filmé que je gardais secret dans mon téléphone.  Mais un moment inoubliable , comme chacun de nos moments que nous passons ensemble. - Mon bébé Monstre s'ennuyait de son être de lumiere ? A cette phrase , je me penchais vers toi pour dégager de ma main platré tes cheveux pour avoir ton cou a ma disposition pour y déposer mon visage.  Je sentais toutes les bonnes odeurs , que tes produits de douche. - Tu sais que je suis toujours en retard , c'est pour te faire languir d'amour.  C est pour quand j'arrive a la maison , je retrouve une femme dont son mari lui manque tellement qu'elle se fait désireuse comme ce moment, quand tu utilises ce ton de voix avec moi. Et tu sais sans retard, le coup de foudre nous aurait peut-etre jamais persécutés.  Souvient toi de ce matin dans ce petit bistro. Tu avais pleins de colis a livrer et moi j'étais encore une fois en retard a un mes cours scolaires.  Je me taisais quelques secondes, pour couvrir ton cou de baisers tendres. - Ton repas sent bon a moins que ca soit toi. Dommage que tu m'ai pas attendu on aurait pu prendre un bain ensemble.  Se mettre en pyjama.  On aurait pu visionner des films collés. Sinon durant mes courses je me suis arreté dans un salon estétique acheter des huiles pour te masser vu que tu travailles beaucoup ces temps ci. Ca te tente ?  Oui a cet instant tu pouvais te demander si je m'épilais.  Oui a cet instant tu pouvais te dire que j etais legerement féminisé.  Non , je savais que les femmes aimaient que leurs partenaires soient a leurs petits soins. Et etre traitée comme une Reine.  Ses huiles se trouvaient dans mon sac a l entrée. 

Apres cette longue journée eprouvante, j avais tres envie d un moment intime avec ma fiancée, avec toi . Je me doutais guere que ce repas , avait une raison cachée. Cachait surtout une mauvaise nouvelle. Une nouvelle qui allait mouvementé notre quotidien,  plus que d habitude.  Mais il fallait bien que je les rencontre un moment donné. J'en avais seulement entendu parler de ta bouche. Il fallait bien que je les affronte. Mais il fallait surtout que je demande ta main a ton créateur.  Donc la prochaine fois que tu cuisinerais j'allais me méfier. Heureusement tu cuisinais rarement.  Et moi aussi d'ailleurs.  Vive la livraison en restauration .  Mais bon, il allait falloir qu on se mette aux chaudrons et aux livres de recettes bientot. Tu en connaissais la raison...

Je m'assoyais a ma chaise.  - Ton repas a l'air délicieux mon lapin.  Piquant ma fourchette dans le gratin de pommes de terre.  Glissant  ma main handicapée sous la table. Déposant celle-ci sur ta cuisse , la plus proche. Oui le tripotage de sous la table c'était un kiffe depuis le speed dating..Et alors.. Je peux bien me prendre un peu de plaisir. Avant de m attaquer au morceau de viande, car il faut toujours se méfier de la viande.. Surtout si on ne connait pas sa véritable identité. La viande etait signe de mauvais présage. 

J'espèrais qu'en entrant chez moi, j'aurais une meilleure soirée. Parce que malgré la compagnie de mon amie Georgia, la journée avait été épuissante avec ses hauts et ses bas.  Se balader en voiture, dans mon magnifique jeep, était plaisant . Mais s'arrêter a plusieurs endroits dans la ville l'était moins.  Mais ton mot du midi , cette attention particulière m'avait touché au coeur.  Surtout le - je t'aime - qui m'avait consolé que tu n'avais pas eu le temps de texter des mots coquins ou même des photos croustillantes. Ah oui c'est vrai, tu étais pudique. Si seulement ton mannequin vedette pourrait t'influencer a t'exprimer sexuellement a ton homme, juste a ton homme-moi- pour que tu te montres dans des tenues aux tissus légers, comme elle.  Si seulement, tu avais pu me faire fantasmer, l'attente a l'Hopital aurait été moins longue. Et j'aurais pu oublier cette horrible soirée d'hier ou j'avais vu des clichés, cet enflure, qui se trouvait en ta compagnie.  Heureusement pour moi, tu n'avais pas le museau dans mon téléphone. Le briser et le jeter, il en était hors de question! Même pour une vidéo cochonne de nous deux. Au moins , je pouvais me libérer des ondes négatives avec cetta fameuse vidéo. Tu  désirais anonymat pour ta double de vie. Moi je voulais anonymat pour mon jardin d'Eden. Et tu n'avais rien a craindre, personne n'avait vu les images. Et jamais personne, ne pourraient les voir.  Par contre , la description verbale de nos ébats entre copains , on se les partageait. Tu ne pouvais pas m'en vouloir, tous les mecs aime se vanter de leurs bons coups. Toi avec tes copains, tu discutes de quoi ?  Heureusement en cette journée pénible, ou nous étions séparés par nos occupations, Georgia était la, encore une fois pour prendre soin de moi , en ton absence. Elle m'avait offert et combler mon manque d'attention. Pas ma faute, je suis dépendant a l'attention. Je suis un petit garcon, dans le corps d'un homme.  Et j'ai besoin d'être le Roi , même a la maison d'ou mon petit mot sur l'oreiller qui exprimait mon désir d'une soirée amoureuse.  

A la maison , je te retrouvais dans la cuisine avec une table mise et un parfum qui met en appétit, qui planait. Pendant que notre chien , flanait dans la demeure, sans doute a la recherche de son diabolique chat , que je n'avais pas revu , ni eu connaissance d'un de ses mauvais tours ces derniers temps. Pauvre Sparkle, ses jouets ne l'amusait pas autant que je l'aurais espérer. Elle voulait un copain, vivement l'arrivé de ce bébé , alors !  Prenant place sur -mon trône- sur ma chaise, on entamait une discussion de couple. Ce que tous les couples font a la fin de leur fin journée. Blablater sur celle-ci. 

 M'aventurant amoureusement sur ton corps.  Tu me soumettais a mes gestes. Tu me laissais m'exprimer mon amour avec mes doigts sournois et baladeurs. Tu me laissais m'exprimer avec ma bouche.  Entendant ton soupir. Je comprenais que celui-ci avait un lien avec mon bras fracturer et ma mésaventure chez les Dorian. Peut-etre te sens-tu coupable de ne pas avoir été la , ce moment . Il ne fallait pas , parce que tout était de ma faute. J'avais été cachottier et je t'avais fais croire que la dégradation de ma santé d'avril a juin était que des malaises relier a ma maladie principale et non a mon souci cardiaque.   - Ne t'inquiéte pas mon lapin.  Je vais récupéré rapidement, c est moi le fauteur. J'aurais du t'en parler, que j'avais cesser toute ma médication pour ... C'était pour mon devoir.  Oui encore le même sujet, et toujours le même sujet a ma bouche - le bébé -.  Mais je m'étais sacrifier pour rien , parce qu'il n'avait aucun signe de sa présence.  Donc  ma vie avait continuer et Patience avait de nouveau son emprise sur moi . Me piégeant dans le temps. 

Tu t'étais levée pour le repas, pour qu'on puisse manger . Et je me levais a mon tour, te suivant a la trace. Ta personne m'avait terriblement manquée. -Hmm c’est vrai que je ne t’avais pas dans les pattes aujourd’hui, j’ai trouvée le temps assez calme.. Ishanee est venue, et elle m'a emmener des gâteaux avant de repartir pour rejoindre ses nouveaux patients. Donc on peut dire que la lumière m’a manquée.  Un sourire se dessinait sur mes babines, quand tu disais que la lumière t avait manquée. Espérant que j'avais bien compris le message codé, et que tu parlais bien de moi.  Mais tu avais raison , quand je n'étais pas dans les parages, tes journées devaient etre ennuyeuses et peu ensoleillé .  - Tu sais, si tes journées sont trop calme sans moi , engage comme modele volontaire et sans salaire.  Oui , même si je désirais etre mannequin connu pour la marque Agreste pour diverses raisons horoscopiques. Mais aussi parce que je devais rapporter de l'argent pour nous, pour notre mariage et notre- futur famille- Un bébé , dans ce monde a toujours un prix a payer. Le prix de ses besoins. Même si , père au foyer me plarait bien.  Mais etre l'un de tes modèles de catalogues.  Se faire habiller par sa -future- femme était un rêve.  Donc même si cette phrase semblait etre une replique romantique de beau parleur.  C'était une demande a réfléchir..  

- C'est donc la raison pourquoi tu ne déjeunes jamais, c'est pour manger des gateaux. Tu sais que je suis patient de te voir avec une bedaine, mais tu sais que tu n'es pas obligé de te goinfrer de cupcakes pour me faire plaisir. J'ai un meilleur glacage pour te faire grossir.  Oui c'était plutot cru , macho et culotté de ma part comme blague. Mais c etait une taquinerie. C'était pour te piquer, comme tu savais si bien le faire a mon égard que ca soit dans ma face ou dans mon dos avec tes copains ou ton chat.  Mais cette blague n'était pas méchante. Mais j'espérais que tu allais bien le digérer , avec ton humeur irritante de ses derniers temps.  Continuant a te toucher pour que la blague passe crème. 

Haussant un sourcil.  Cette parole , je ne savais pas comment le prendre. Comme une blague ou comme une vérité ? Il était très difficile pour moi de te cerner , surtout quand tu semblais - sérieuse- dans tes propos.  -  Tu es sérieuse, tu m'aurais servi mon repas dans le jardin, parmi tes catatombes florales ?  Oui je savais que notre jardin etait un cimetière. Tu l'avais avouée lors de notre fin de semaine au bon endroit.  C'était l'une des raisons pour que je ne mettais pas un pied la. Que je m'occupais pas du jardinage et que ne tondait pas la pelouse torse nu comme la plupart de ses humains. Je craignais de déterrer un os.  Déterrer une histoire de ta vie de sorcière. - Je ferais des efforts pour être a l'heure, car  je ne voudrais pas manquer une occasion de  manger en la compagnie de ma fiancée.  Je mangerais dehors que si tu veux qu'on fasse un pique nique a la belle étoile. 

Repas prêt. Tu l'apportais a la table pour nous servir des parts dans nos assiettes. Mais peu interressé par le repas. Même si j'appréciais cette délicate attention de femme parfaite.  Cette délicate attention de ma sorcière bien aimée.  Je t'embrassais dans le creu du cou. Et je n'avais pas envie de m'arreter de te toucher de toutes les manières possibles.  Surtout que toi , tu m'encourageais avec ton - Hmm- gémissement et ta caresse sur ma joue.  Mais je n'aurais pas le choix , on n'allait pas gaspiller ce repas- concu sans morceau humain et avec amour-  pour se tripoter.  -  Tu vois sans ce retard , notre destin serait peut-être différent.  Mais sache, que ce moment est inoubliable . Je suis l'homme le plus chanceux, de mon existence a été empoisonné par toi. Par toi , mon Poison tu m'as rendu fou amoureux de toi . 

M'éloignant légérement de toi- contre mon gré- pour m'assesoir sur ma chaise.  Tu mettais la nourriture dans nos assiettes.  Tu prenais place a ton tour a la table dans un mouvement de - Enfin libre de ton dut conjugale- -Je crois que ça doit-être un peu des deux. désolé mais, j’avais vraiment besoin d’une douche j’avais trop chaud et si tu serais arrivé avant… ça aurait pu se faire mais, monsieur préfère être désireux Un massage ? Hmm peut-être mais après le repas mais tu vas avoir du mal avec un bras en moins chéri.  Expressif du visage. Je te faisais une moue de déception. J aurais tellement voulu prendre une douche- plutot un bain- avec beaucoup de mousse, une eau bouillante, avec des chandelles parfumées encerclant la baignoire, en ta compagnie.  Pouvoir savonner ma future femme était un de mes nombreux fantasmes.  En plus tu étais provoquante avec ta replique, en me disant que tu avais eu chaud.  Tu me piquais avec ta langue sortie , qui te donnait un air de coquine. Quand tu avais cette attitude.. Je devais me concentrer sur ma bouffe. Parce que ce comportement, en mettant en appétit pour autre chose , qu un gratin de pommes de terre et un roti. 

 -  Alors une prochaine fois , par contre moi , après ce repas je vais aller prendre une douche rapide. Parce que tu me donnes chaud . Toi tu pourrais toujours te mettre en pyjama ou meme nu.  Joueur. J'adorais jouer avec les mots et les métamorphoser en phrases séductrices. Mais heureux , tu acceptes ma proposition d un massage. Tu le méritais après cette journée de boulot. - Et après je te masserais,  . Mon bras est peut-etre brisé, mais ma main fonctionne encore.  Qui te dit que j'ai besoin de mes mains pour un massage.  Je te faisais un clin d'oeil. Me mordillant doucement la levre du bas au mot chéri.  Piquant ma fourchette dans une pomme de terre. -Il n’a pas que l’air je te rassure, il est bon j’en ai goûté un peu pour savoir si c’était mangeable ou non. Rassurant ? Pas du tout. Tu étais une manticore. Tu étais une empoisonneuse.  Mais tu etais ma -future- femme et je te faisais aveuglement confiance.  

Même pour cet répugnant personnage qui te faisait des avances , pour me faire du mal. D ou la raison que nous n'avions pas discuter- et jamais on en discutera- de l'horrible soirée que j'ai passé a fumer des clopes et me faire des scénarios . Parce qu'il ne comprenait pas que sa femme , était qu'une amie. Que Georgia etait la maman que j'avais toujours souhaitée. Et que même si elle était d une beauté royale. C'était toi la Reine de mon coeur. Donc même si , pour lui ca n avait aucune importante.  J'irais m'excuser d'avoir séduit sa femme pour qu'elle soit dans ma vie.  Parce que j'en peux plus de cette guerre.  Et je voulais qui cesse son jeu de séduction avec toi . Surtout que cette guerre -sans que je sache et je ne voulais surtout pas le savoir- parce que j'avais encore l'étiquette de meurtrier sur le front. Je méritais de me retrouver a nouveau en prison.  A cause de moi ,  j'avais condamné et enchainé leurs vies a la mort. Par ma faute , ma -future- femme allait avoir du sang sur les mains. Je suis un monstre..Et je l'ai toujours été depuis la mort de Karen.  L'amour est un crime. 

***

Ne t'occupe pas de la vaisselle. Je m'en occuperais demain.  Repas terminé. Non ce n'était pas encore le moment de discuter de ma -future- belle famille. Retient toi. Ne parle surtout pas, de ton frère l'expert en reproduction, qui avait concu des tonnes de bébés, alors que moi j'étais incapable d'en concevoir un seul avec toi.  Quelle honte !  Avec cette information , mon estime etait bas. Trop bas.  Et je ne pourrais pas m'empêcher de l'envier. Retient toi ne me parle surtout pas , de ton père, car je redoutais notre rencontre. Je voudrais tellement qu'il me voit comme le gendre parfait. L'époux parfait pour son unique fille. Surtout que j'appréciais les vieilles traditions humaines. Et je voulais sa permission de t'épouser. Et ta mère ?  Va enfiler ton Pyjama.  Je te rejoins dans la chambre après ma douche avec mes huiles.  Tu savais que pour le bien et le pire dans notre couple, le moment -oreiller- était le moment idéal pour les confidences et avoir toute mon attention.  Parce que tu auras peut-etre l'idée lumineuse de me faire -digérer- cette nouvelle que ta famille débarque, avec un moment croustillant dans notre lit.  Tu avais raison de vouloir me prévenir pour éviter une catastrophe , mais surtout pour une crise , quand je les verrais a la porte. A moins que je décidais de fuir. Tu seras ma réaction, quand tu m'annonceras cette nouvelle . Je t'abandonnais donc pour un moment intime avec moi-même dans notre salle de bain. 

***

Pendant ce temps..ce très long moment, mais qu'est-ce que je foutais dans la salle de bain ?  Pendant ce temps.. notre chienne Sparkle était endormie dans son panier.

***

Sortant enfin de la salle de bain.  Tu pouvais entendre le bruit de mes pas traînants  , a cause de mes crocs qui frottaient sur le plancher. Ses pas qui se dirigeait vers notre tanière- notre chambre- .  Poussant la porte , dans ma tenue relaxante.  Habillé seulement d'un short noir.  A mon cou , pendait mon collier habituel celui d une clé brisée.  Un bijou que je ne quittais jamais comme mes bagues magiques qui ornaient toujours mes doigts.  Encore mouillé, pour une fois ma crinière était peignée. Lisser par arrière, noué par une queue.  Mais quelques mèches rebelles s'égaraient dans mon visage.  Mais tu pouvais voir a une de mes oreilles, je t'avais emprunter une de tes anneaux . La plus masculine de toute.  Parce que j'adorais avoir un objet qui t'appartenait sur moi.  Le seul accessoire que j'avais laissé de côté était ma paire de lunettes.  Physiquement , j'étais prêt pour notre soirée amoureuse , mais toi tu allais changer nos plans. N est-ce que pas ? 

Je dois avouer que tu es plutôt chanceux de m’avoir en effet, tu as la femme la plus parfaite au monde ne l’oublie pas Leo. Et toi est-ce que je suis l'homme parfait pour toi ?Si tu avais accepté que je devienne ton époux, je crois que je n'avais plus besoin de me poser la question.  Démonstration ou non de ta part.  Un large sourire c'était dessiné sur ma bouche, car ta facette egocentrique, t'offrait un humour - particulier- mais très mignon. Tu te faisais des louages a toi-même, c'était cocasse. Parfois, moi aussi je le faisais me flatter de compliments, mais depuis que tu étais ma -copine- je le faisais beaucoup moins, car je préférais te complimenter toi , plus que moi.  Tu n'avais pas tort,  -ma femme- oui parce que tu étais ma possession. On allait finir par se marier, un jour, donc ce mot était bien choisie.  Tu étais la plus parfaite . Au monde peut-être pas mais chut ! Mais elle était parfaite pour moi. Et ne t'inquiète pas, je ne l'oublierais jamais. Tu es la femme parfaite. Tu seras bientot l'épouse parfaite et la mère parfaite, le moment venu. Enfin, si tu le souhaitais parce qu'entre nous c'était toujours un sujet -sensible- 

Mais avoir eu cette pensée de vengeance.  Penser que tu serais dans les bras d'un autre homme que moi, était une pensée inacceptable. Une pensée blessante, même cruelle. Et l'homme de tes pensées, ne devra jamais exister. Parce que ma lumière allait s'éteindre et il aurait que les tenebres, dont tu avais eu un breve apercu, a quelques reprises.  Mais il ne devait pas surtout pas exister , parce que tu etais le centre de mon univers.  Et aucune menace gravitait autour de nous. Même si tu craignais sans doute que je faiblisse devant mes démons passés. Parce que tu etais une femme, qui n'était pas démonstrative en amour.  Mais aimer réelement quelqu'un c'est accepter de vivre avec les défauts de l'autre.  Moi je t'aimais corps et âme.  Donc toutes les femmes  que j'avais fréquenté dans mon parcours de Donjuan. Et toutes les demoiselles qui s'excitaient a l'école a ma présence.  N'était pas aussi parfaite que toi.  Tu n'avais rien a craindre de moi. Je te serais fidèle pour le bien et le pire.  Et  Georgia , elle était une amie-enfin- pour moi plus comme une maman , dont j'aurais souhaité avoir.  Mais le moment, ou mon corps me lachait , a cause de ma bétise relier a ma forte volonté de vouloir un enfant avec toi, sache que c'était avec toi que j'aurais voulue vivre ce malaise. Mais tu n'étais pas la.  Je ne t'en voulais pas, ton ami avait besoin de toi . J'aurais souhaité que tu me dorlotes un peu , vu que j'avais frôler la mort. Malgré que la cause , était stupide. Arrêter ses médicaments, qui me maintient en vie pour concevoir un enfant. Quelle idée.. Stupide. Mais peut-etre un jour,  voudrais tu qu'on parte a la quête d'un remede . Dans cette histoire il avait  ce cher Erwin qui avait tenté de m'assassiner, par la même occasion. Même si la mort ne me faisait pas peur. Parce que malgré les effets néfastes de la malédiction, je me considérais toujours comme un être surnaturel, mort. Cet état de cet homme, était une information que je préférais garder secrete , pour ne pas qu'il est d embrouilles avec ton client mais aussi entre nous. Mais ne t'inquiéte pas, cette histoire sera bientot de l'histoire .. Je serais guéri . Et ton ménage sera fait.. Surtout que j'ai apercu dans mon actualité amazone, sur mon telephone portable un aspirateur qui ferait des miracles apparemment.  Peut-etre que je devrais demander de l'argent a Lucy pour l acheter.  Comme ca je mettais la main a la pâte , en attendant des nouvelles pour un nouveau boulot.  Jacqueline avait déposée ma candidature et mon portefolio a la Maison de Mode Agreste. 

-Hmm, je pourrais y réfléchir.. si tu te tiens correctement.. mais je croyais que tu n’en avais que pour ton Agreste ?  Durant le repas, je t'avais fait une demande qui me tenait a coeur. C'était pour moi l’opportunité qu'on passe plus de temps ensemble et que nous partegeons une passion commune, la mode. L'amour pour les fringues. L'amour pour le tissus de toutes sortes de textures et de motifs. Mais aussi l amour de ses accessoires. Il avait aussi derriere cette demande, un de mes nombreux fantasmes. Celui de se faire vêtir par la femme que j'aime :  Toi . Devenir ton Ken me ferait tant plaisir. J'avais été creer pour etre une muse etoile pour l'art et la celebrité. Mais il avait aussi d'autres raisons pourquoi je voulais devenir ton accessoire de mode.  -  Réfléchis y, Bébé . La il était temps de parler sérieusement, parce que le - si tu te tiens correctement- voulait exprimer beaucoup d'images. Et très franc dans mes sentiments. Je ne pouvais pas te cacher, que tu me prennes toujours pour un enfant m'agacait un peu, car je savais que tu voulais un homme. - Tu sais mon lapin, parfois quand tu me parles, j'ai l'impression que tu me considères comme un gamin.  Oui avec toi je suis tres  enfantin.  Je suis une personne enjoué, qui essais de voir la vie en rose. Je suis très lumineuse comme personne. Si je te montre ma facette dijoncté c est que je me sens bien avec toi.  Et que tu ne te dises pas mon mec est tellement ennuyeux.  J'aime faire l'idiot , c'est tout.  Mais je sais être un adulte, et je sais être sérieux quand il se doit. Et je sais que ton travail te tient a coeur, que tu veux des employés a tes attentes. Et je veux relever le défi. Pause, avant de repondre a l'autre passage de phrase.  Oui les créations Agreste sont a mon gout.  C'est une marque connue,  de luxe . Et il dessine de magnifiques habits d'hommes. Malheureusement, il ne cree pas des tenues plus décontracté , d un style plus mauvais garcon. Petite déception, car je ne portais pas seulement des costumes. Mais aussi un look de mauvais garcon.  Mais toi tu as un talent que Monsieur Agreste ne possède pas.  Lui il est seulement styliste, toi tu possedes des compétences qu'il ne possède pas. Tu cree tes croquis. Et en voulant être ton modele, je veux me pavaner devant  toute la ville pour les gens remarquent que  ma femme est une artiste douée . Et que je suis très fière de ce qu elle fabrique. Et qu elle mérite le même statut de Monsieur Agreste.  Paroles sincères et j'espère qui te fera prendre conscience que je ne prend pas cette demande comme un jeu, même si c'était un rêve pour moi d'être sous les projecteurs et se faire prendre en photos par des photographes. Et que ca serait une fierté d'être dans ton catalogue.  Et sincèrement le moment venu , j'espère que tu seras la créatrice de ta robe de mariée. Comment elle avait réagir a cette parole ?  Réfléchis y , si tu veux qu on travaille ensemble, en plus j'ai quelques idées a proposer a la grande patrone, si tu veux les entendre a un autre repas ou sur l'oreiller. 

Pendant la préparation du repas, tu m'avais fait légérement paniquer avec ton idée de me faire manger sur la pelouse de notre jardin. Un jardin magnifique par sa beauté florale, mais terrifiant a la fois , car c'était a la fois des catacombes , creer par ta nature démoniaque et je n'avais pas envie manger a travers des cadavres enfouis et des histoires d horreur.   Surtout qu'aveuglement par amour pour toi ,  je ne préferais pas être témoin de tes sombres projets te ralliant a la mort.   Depuis la perte de Karen, je préférais aimer le mal , que le défier pour te changer.  Mais ce n'était pas ma seule angoisse.  Avec brutalité et violence. En serais tu capable de m'arracher les yeux ou c'était seulement une menace a l'air pour que je sois un gentil toutou. 

Pardon ?! Tu me trouve grosse c’est ça ? tu veux que je t’arrache les yeux ? Ton glaçage ? merci mais non merci, et ça ne fait pas grossir très cher… Avais tu compris les allusions a ce sujet -tabou- ? Pour mon -glacage magique- tu avais tort quand il était savourer au bon moment. Il faisait grossir , mais malheureusement ce n'était pas ton cas. Et chaque jour, je perdais une étincelle d'espoir.  Que le jour, ou tu seras vraiment enceinte, je ne pourrais pas le croire.  Elle avait mal prise la blague, que je me sentais presque mal a l'aise d avoir ouvert la bouche- Excuse moi mon Dragon.  Je ne le  voulais pas t offenser.  Non je n'ai pas envie que tu m'arraches les yeux. Je ne te trouve pas grosse, et même si tu le serais ,  je t aimerais malgré ton apparence.  Ce que je voulais dire c est.. Laisse tomber.  Fait comme si je n'avais rien dit.  Je me braquais parce que ca avait encore un lien avec  le sujet - dont il ne faut pas presque parler- parce que tu n'étais pas autant que moi a ce projet de vie. Ce projet de couple.  - Tu es très belle comme tu es ..   Et en meme temps, tu refusais mes avances d'une soirée intime avec ton non merci.  Donc la soirée massage n'était pas peut etre pas une bonne idée.  Surtout a cause de la suite ...Oui bien sur une prochaine fois mon amour, d’accord, je te donne chaud ? je n’ai pourtant rien fait de spéciale pour te donner cette envie.. je serais surement en pyjama. . Tu compte me masser avec quoi ? ce qu’il y a entre tes jambes ? Hmm je ne pense pas, tes mains seront suffisante. ou encore…

Ah les femmes elle ne comprenne rien aux envies coquines, des hommes.  Tu n avais pas besoin de faire quelque chose pour me donner envie de t'allonger sous moi.  Et tu pourrais porter le plus horrible des pyjamas.  Juste ta présence était suffisante pour déclencher des réactions désireuses envers ta personne.  Oui l'idée etait de te masser avec tous les extrémités de mon corps. Mais il était difficile de cerner ton sourire et ton regard pour savoir si tu etais enthousiasme a l idée ou non.  Il etait difficile a savoir si  tu allais me donner ton consentement ce soir, pour un moment sous les draps. Parce que le but de te masser était que ca se conclue de cette manière.  - C'était l'idée mon lapin. Tu sais si bien me cerner.  Mais toi j'avais parfois de la misère, tu avais un tempérament imprévisible. Et ces derniers temps, tu avais des humeurs changeantes.  Donc notre soirée amoureuse se résumera peut-etre a soirée tranquille devant le téléviseur. Et Dodo de bonne heure pour ma part, vu l'épuisante journée que j'avais vécu.  

Pendant que j'occupais la salle de bain. Têtue , tu n avais pas écoutée mes directives. Moi qui voulait que tu relaxes. Tu avais nettoyée la vaisselle ! Est-ce que tu étais toujours aussi maniaque sur le ménage ?  Je te laissais donc seule, un long moment a vaguer a tes occupations. 

Attentive aux bruits de mes pas.  Avec ton ouie surdéveloppée tu pouvais savoir qu'a mes pieds , je chaussais mes -crocs- . Souliers dangereux, mais je ne craignais pas de me blesser d'avantage parce que ca serait une autre blessure parmi toutes celles que j'avais subies . Souvient toi, je suis un esprit combatif ! Je suis une arme, mais aussi un bouclier. Des cpSi seulement, j'aurais eu l’opportunité de lire cette pensée, elle m'aurait fait plaisir parce que tu te souciais de moi.  Mais ne t'inquiète pas, je ne prévois aucune chute, sauf celle de notre lit.  Notre chambre avait un éclairage tamisé . La seule source de lumière était la télévision que tu avais allumée et ton téléphone que tu avais en main lors de mon entrée dans la pièce.  Quand je m'approchais du lit, en le contournant direction le panier de notre animal de compagnie.  Notre chienne dormait .  Je me penchais pour la couvrir de son petit -doudou- . Puis je me redressais , toi de même , en mettant ton appareil de coté. A cet instant, toute ton attention était rivé sur moi, ce qui me faisait très plaisir. -Mes bijoux te plaisent à ce que je vois non ? 

Observatrice. Et tu devais posséder une vue particuliere, Tu avais remarqué l'une de tes anneaux logés a mon lobe d'oreille.  J'espérais que ca ne te dérangerait pas, car pour moi quand un couple ce qui est a toi , est  a moi. Ce qui m'appartient  est a toi. J'adorais cette philosophie. Et avoir un objet a toi sur toi, me rendait heureux. Avant de te repondre , Je retirais mes -crocs- et j'embarquais dans le lit pour te rejoindre. -   Tu es observatrice mon Bébé Monstre. Oui c'est un de tes bijoux. Avoue que je suis beau avec . Ca ne te derangera pas j'espère. Toi aussi tu as le droit de prendre dans mes affaires tu sais. En plus ca me plairait beaucoup de voir ma femme avec un de mes bijoux ou même prendre un de mes chandails pour remplacer sa nuisette de nuit.   Je te faisais un clin d'oeil. -  Pour etre complétement franc avec toi , j'ai aussi utilisé tes produits de bains.  Parce que je suis tellement accro a toutes tes saveurs d ou pourquoi j'ai été aussi long a sortir du bain.   Mais tu le savais peut-etre deja, sans meme ma révélation. Tu avais sans doute un odorat particulier.  Frissonnant de froid, je me glissais sous les draps. - Tu viens ?  Oui c'était une invitation a se coller vu que tu etais toujours positionner sur le ventre.  Une position parfaite pour te reluquer, te masser et pouvoir te faire visiter mon monde spirituel. Mais j'attendais un signe, sinon tant pis.  A moins que tu veux encore visionner ton téléphone.  Cette replique etait une question cachée, j'étais intrigué par le contenu que tu regardais quelques minutes plus tot, après tout pour -le but- de nos narratrices étaient de -parler de la belle famille- .  Mais je pense qu on devrait plus regarder quelque chose ensemble.  Je vois que tu as mis Disney . Tu veux qu on s ecoute un dessin animé ?  T as vu la télécommande mon lapin.. Oui je voulais choisir le film.. 

Une citation d'un auteur que je  n'avais  pas retenu son prenom, sans doute parce que ce n'était pas une femme qui l'avait composée, mais un homme pour flatter la gente féminine. Ce proverbe  racontait  que la femme parfaite avance fièrement avec ses défauts. Et c'était ton cas !  Et moi  j'étais celui que malgré tes imperfections et tes défauts, c'est que tu es un etre exceptionnel et t'aime malgré fait le fait que ton contrôle , ta perfection se faisait ressentir, car tu étais très exigente envers moi.Et peut-etre avec les autres. Mais la, c etait que de nous qui était question.  Femme de pouvoir,  tu ne machais pas tes mots , quand tu te sentais déstabilisés par certains détails dont tu n'avais pas le controle , comme l'heure que je rentrais a la maison, le fait que tu te sentes dérangée que je porte un bijou ou meme ton odeur. Et tu ne semblais pas comprendre, que c'était ma manière de t'avoir constamment avec moi. Et avoir le parfum de sa -femme- sur soi, empechait tes concurrentes de me tourner autour. Et tu pouvais être fière, d etre ma privilégiée, meme ma propriété. Parce que les autres femmes te jalousaient. Et moi, je pouvais faire avec saliver les messieurs, parce que j'étais l'Homme, avec un grand H d'une femme parfaite.  Même si pour moi, partager nos affaires était symbole de possession, tu sais que je me plierais a tes exigences par amour.  Pas parce que ca me plaisait forcement ! Et je porterais que mes affaires. Et je me parfumerais qu'avec mon eau de rose. Le message etait passé , enfin- les - comme celui que tu voulais que je travaille. Au moins, tu me poussais vers le domaine de mes rêves.  Un domaine que nous avons en commun, la mode. Toi qui te considérait méchante , tu avais un petit fond -gentil- , car le fait que je voulais  etre mannequin pour mon idole, ta   concurrence , tu t en souciais guere. Mais même je travailerais pour la Maison Agreste, mon offre d etre ton modele me tenait extrement a coeur. Donc réfléchis y mon lapin ! 

 Comme la citation le stipule , tu avancais sans te soucier que tes défauts , qui faisait que dans notre couple il avait cet immense  impact sur moi,  le fait  que je cherchais sans cesse, et sans relache un miracle pour être ton homme idéal. Être l'homme que toutes les prédilections magiques ou non,  diraient que je suis ta moitié a -Tout Jamais-. Avec ton attitude -homme- Dewenty serait donc l’homme de la famille ? probablement.  Tu me mettais encore plus la pression , car je voulais ce role. Je dois toujours te prouver que je peux être homme. Mais comment ? car ta phrase parle d'elle-meme : Je veux quand même que tu reste un minimum masculin .  Mais il est difficile d'etre un homme quand tu as l'étiquette de - l'homme battu-.  Il est compliqué d etre un homme, quand tu n as pas eu de figure paternel. Et tu as eu comme référence -humaine- une femme qui avait le -POUVOIR-. Karen et toi vous êtes semblables tu es cette femme qui avait le -POUVOIR-. Tu avais sans doute envie que je fasse la révérence, parce que c'était dans ta nature, d'être venerée. Tu n'étais pas celle qui marche derrière moi . Juste parce que j'ai le -oups- dans le pantalon.  Je suis l'homme, mais c'est toi qui le - POUVOIR- Je me fais toujours avoir, et je te mange dans la main.   Alors comment échanger nos rôles ?  Je suis qu'un homme sous ma -transformation ombre- . Mais ce n'était pas le véritable moi.  Moi je suis Jekill et toi tu veux Hyde.  Mais ne t'inquiète pas, pendant que tu t occupais  tes occupations,  moi j'avais les miennes. Et je continue a chercher le - POUVOIR-.  Pour être l'homme idéal, que je ne pouvais pas accepter le mot : TOLERER.  Mais pour l'instant c'est sans succes, parce que j'étais enteté de ne pas aller dévoiler mes soucis a un psychopathe et Cupibidon n etait pas la pour m'aider, elle se servait que de moi pour les paillettes.. Mais vers quoi ? vers qui ? Je vais me tourner pour etre l'Homme a marier. Etre l homme que ta famille approuverait pour prendre la main de sa fille en mariage. Et surtout etre le père de son enfant. Parce que je me doute que tu allais tolerer qu'il soit comme moi. Même si je souhaitais sincèrement qu'il soit un - Éclipse-  .Mais il se pourrait qu’il ai cette dépendance comme son père.Il faudra bien choisir et il ou elle passera avant toi ce qui est plus que normal. En revanche s’il te ressemble je vous renie tout les deux.. je ne le porte pas pendant 9 mois pour qu’il ressemble à son père.

Quoi ? Est-ce que c'était un erreur de tape de - sa narratrice- ou j'ai bien entendu ce que je venais d entendre. Un verbe au -présent- qui me devoile  que tu portes mon bébé . Que tu portes il ou elle dans ton ventre, en ce moment même. Mais que tu n avais seulement pas  conscience que tu etais dans un deni.   Parce que physiquement, je ne voyais aucun changement physique. Même si l'autre jour, alors que ma santé se dégradait face a la maladie. J'ai cru percevoir une lueur dans tes prunelles. Mais la dans la clairvoyance, j'etais decu de ne pas voir tes formes s arrondir. Que ca soit ton ventre, ta poitrine ou tes pommettes.  Je n'étais ni meme temoin de petits malaises, avec regret. Moi qui espérait te soutenir et supporté dans les moments fragiles.  Si tu etais enceinte, comme tu venais de me le confier involontairement ,  moi j'étais que témoin et victime de tes humeurs et ton comportement -perfection-.   Mais ca expliquerait bien des commentaires -trop , mais trop franc qui sortaient de ton adorable douche. Que j aimerais parfois faire taire de mes baisers.  Par contre quand j'entendais des commentaires comme celui la , je m'abstenais de vouloir t embrasser : -Au risque de te déplaire, je ne préfère pas que tu porte de corset, je veux quand même que tu reste un minimum masculin même si tu me vole mes odeurs… chose que j’ai un peu de mal. Pour la simple et bonne raison que même si tu es ma propriété, j’aime à savoir que l’homme avec qui je vis ai sa propre odeur.


Soulagé. Sincerement,  Je n avais pas envie de me vetir de corset , meme si je n avais pas peur du ridicule et que pour toi, je ferais -presque- n importe quoi.  Oui presque, il avait quelques limites intolérables et inacceptables.  Mais pour toi, il avait pire que le chatiment de le corset .Et je ne savais pas te dire - non-. J"évitais toujours a entrer en conflit avec toi. D ou que je m'assumais rarement avec toi. Pourtant avec les autres, j'avais -mon petit caractère-. Avec toi , j etais un peu mou .  Mais je me doutais bien que sa demande etait a prendre au second degré. Mais je voulais que tu  saches que pour toi , je serais dévoué . Je serais l'homme que tu auras modelé  avec ton pouvoir. Je serais ton Lion des Enfers . Et contrairement au chien des Enfers, je ne cherchais pas la liberté.  Je voulais être enchainé a - ma propriété-.  Ce mot qui tu t utilisais pour percer d un rayon de lumiere, les nuages gris au dessus de notre couple.  Ce mot rassurant . Ce mot dorlotant.  Ce mot qui me faisait oublier toute la douleur que ta perfection me faisait ressentir dans mon corps et mon âme. - Pour être honnête avec toi mon lapin, je suis soulagé de ne pas devoir partager tes corsets, et tes robes.  Je suis un peu Ottoman , par rapport a certains détails. Mais avoir le souffle coupé, m'entremeler dans les ficelles et me sentir coincé .  Merci a toi de vouloir que je te déplaise.  Mais sache que je n'aurais vraiment fait , si c'était un tes delires de femme en..  Non je devais me taire. Je devais te laisser le temps d'assumer que tu étais enceinte.  Et je voulais que ce moment soit inoubliable. Ce n etait pas a moi de te l annoncer , mais a toi de le faire.  Je souhaitais que le moment ou je serais qu un bébé grandissait dans ton ventre, que ce moment soit magique , mais surtout - sans drama- . Donc j enchainais avec la suite de la conversation. -  Repete le. Dit moi encore que je suis ta propriété, et je ne porterais plus jamais ton parfumAvoir le titre de toutou. D etre le touffu de Dewenty me plaisait, meme si toi tu voulais un Homme.. Un homme Éclipse. Un homme comme tes anciennes conquetes.  Ce qui me faisait beaucoup de peine..  Parce que je crois sincerement que ma lumière pourrait t'apporter un renouveau.  Une renaissance. Un avenir, que les autres n ont pas pu t offrir. 

Me présenter ta famille étais tu pour toi, aussi important que pour moi ? Me présenter ta famille qu est ce que ca représentait pour toi ?  Que tu voulais etre moi pour le pire et le pire. Enfin pour le bien et le pire.  Me présenter ta famille semblait être très destabilisant pour toi, perte de controle , parce que tu étais absordée par ton telephone, qu on aurait pu croire a un amant, mais tu t aurais cacher si tu en avais un non ? Non je crois que tu es le genre de femme a etre franche et que tu serais prete a provoquer ma jalousie , jusqu a ce que je devienne mauvais.  Surtout  si tu revois un ex copain..Je devrais un homme, et je lui ferais la peau..meme si je me prendrais des coups, je lui ferais la peau . Mais  si tu attendais un message ou appel d un client du genre d'Erwin Dorian, la je crois que tu t aurais cacher , comme quand tu lui avais donné l une de tes plumes. Une anecdote que je n avais pas toujours su l existence.  Mais il suffirait que Georgia tombe dessus ..pour la vérité éclate !  Ou que je tombe moi-meme sur la bague qui t avait offert. Un anneau d homme ca se remarque ! Un jour peut-etre , si tu désirais plus de drama..mais un drama a la fois- si vous plait -.  Sinon je devrais aussi  dingue que le - Joker-.  Heureusement, tu me confiais que - ma Reine- n avait pas une cour masculine.   Attentif , mais silencieux.  Merci de m'avoir rassurer.  Surtout que c'était un défaut chez moi , d avoir toujours cette manie de vouloir me faire apaiser.


Il avait l’air de faire la gueule au passage, vu qu’elle voyait plus son dos qu’autre chose.  Fatigué ? Mensonge avec un songe de vérité. La journée avait été éprouvante. Mais tu n avais pas tort de croire que je faisais la gueule. Oui je boudais ! Oui je t entends encore dire comme un enfant. Mais je ne craignais toujours ses moments ou je devais te - clasher- pour te dire que ton refus de -faire des calins- me déplaisait. L Orage me faisait très très peur. Moi j avais besoin de me sentir aimer.  J'avais besoin que tu t'occupes de mon -oups- pour me sentir comme un homme.  Mais j avais surtout besoin d avoir le -POUVOIR- sur nos moments ensemble.  Et notre soirée a l eau de rose,  a s ecouter un dessin animé et se toucher prenait une autre tournure .. Désagréable ? Pas du tout.. Parce que tu avais le POUVOIR de faconner la météo a ta volonté. 

Paupières closes. Couvert de mon plaid . Oui oui Erwin c est ton plaid ! Tu t'approchais comme une lionne en chasse. Discrètement, doucement pour ne pas effrayer ta proie.  Tu te glissais sous mon doudou pour que je change d'humeur.  Tu etais une vériitable enjoleuse !  Une séductrice , parce que tu t allongeais pour te faire désirable. L une de tes mains, étaient une intruse dans mon cocon.  Tu l as déposais sur mon torse. Faisant une pression, pour me dominer et m enserrer entre tes griffres. Des serres que tu n'inserais pas dans ma chair. Dommage! Moi qui appréciait par ta sauvagerie et être marquer. Non cette fois ci, tu étais délicate.  Au contact de ton approchement,  je laissais échapper d entre mes lèvres un léger gémissement.  Je déposais l une de mes mains sur la tienne, pour faire des chatouilles du bout de mes doigts, avant capturer celle-ci et la portée a la bouche.  Par la suite, je couvrais la paume de ta main de chauds baisers. Ce qui faisait contraste, a la température de mon corps, parce que ton baiser dans ma nuque, me faisait grelotter .  Des frissons m'envahissaient.  Mais ce bisous était magique , parce que j'avais cesser de te bouder. -Leo.. j’ai quelques choses à te dire… 


Quelque chose a me dire ? Tu allais enfin me révéler ce que j'attendais depuis des lustres.  Tu allais enfin me dire que nous avons reussis a procreer malgré les obstacles .  Tu allais enfin me dévoiler, que nous avons creer une vie .  Que tu portais enfin cet être unique qui pourrait régner sur les cieux et les déserts.  Cet etre eclipse, mi soleil - mi lune.   Ce bébé unique , car c'était une première , les esprits stellaires n'avaient jamais concu , depuis des décennies,  car c'était une loi interdite.  Mais pour toi ,  je me rebellerais .. Impatient d'entendre cette nouvelle de ta bouche.  Tellement excité que je te coupais la parole, car j'étais en train de me creer un film. J'étais tellement heureux que cette annonce soit une confidence d oreiller. Surtout que nous étions coller tous les deux.  -  Je me doute ce que tu veux me dire, sache que je suis vraiment content. J'en pouvais plus de cette attente. C'est pour quand ? Quand est-ce que je vais pouvoir le voir ? Voir quoi ? Le batonnet positif ou même une photo d un ecographie.  Même si je souhaitais appercevoir notre boutchou en direct , durant un rendez vous médical.  Parce que toi tu seras toujours pour cet être. Et moi je serais toujours la pour vous deux..Donc je voulais assister a tous les moments..d'ou ma future déception que j'apprendrais que ca faisait deja quatre mois qui mijotait dans ton ventre. Chaque seconde de son existence avait de l'importance.  Ce bébé était mon précieux.   Cet être que j'aurais tellement aimé sentir sa présence contre ma peau. Contre mon dos. Sentir une vague. Sentir un coup. Sentir une forme de son existence. 


Malaise. Tu sais que je parle rarement de mon passé… et encore moins de ma famille. Mon père est assez caractériel et froid.. et mon frère et un connard de première. Sauf que c’est ma famille donc, je dois les toléré dans mon champs de vision les moments venu même si on est territorial. Mon père est en Europe et mon frère en Inde...surveillant le côté asiatique.  En effet, tu parlais rarement de ton passé. Et aussi de tes sentiments. Tu n'étais pas démonstrative , contrairement a moi.   Et même si je préferais notre futur, a nos passés  car  je voulais avancer avec toi, et non reculer sur le ruban du temps.  Ton passé m'interressait beaucoup.. comme tout le reste de ta personne, vu que tu étais le centre de mon univers.  Mais pourquoi tu me parlais de ta famille , en particulier de ton père et ton frère.  Et ta mère dans cette histoire ? Si tu ne préférais pas en parler. Je n'allais pas te forcer, parce que je sais que d'apparence si tu étais aussi rigide que la terre , mais aussi fragile qu'une poussière d'étoile.  Tu possèdais une croute terreste autour de toi , mais etre temoin d une percée atmosphérique, me disait que j'étais l homme qui te fallait , car que tu ne te confierais pas a n'importe qui.  A l'écoute.. j'attendais que tu me dévoiles le vif du motif de ses baisers , car tu m'embrassais une nouvelle fois la nuque.  A cet instant comme reaction,  je déposais ta main a l emplacement de mon coeur.  Puis je  t'agrippais la cuisse, pour déplacer ta jambe et la passer pardessus moi.  Collant ainsi ta cuisse contre mes hanches. parce qu'il allait falloir plus que des simples bécots pour que j'avale correctement - cette pilule-. Et qu'elle est un effet apaisant. T'aurais pu fouiller dans mes cachets , et le camoufler dans ton repas.  T'aurais pu meme faire concocter une potion. Mais non ton amour serait assez suffisant. Mais je m'attendais a une reaction moins timide, dans le genre,  je te saute dessus et je te cloue au lit , pour etre sur que je t'écoute et que je ne comptais pas m'éclipser ailleurs. Empoignant fermement dans un mouvement repetitif, ta peau  de cuisse , dans ma main, j'attendais la suite..parce qu'avec je n'étais pas idiot, le mot territorial était un avant gout de la nouvelle : - Mon père et mon frère arrivent prochainement mais je ne sais pas quand..



Cette grenade verbale , n'allait pas exploser.  Contrairement a ce que tu aurais pu croire , ou que vous pouvez croire , je n'allais pas fuir . Ni meme déménager comme le décrit - le titre-  de l'un de nos chapitres  de notre romance. Calme -enfin presque- parce que ta cuisse me servait de défouloir pour apaiser mon angoisse, mon stress, car oui je ne m'attendais pas a rencontrer les figures masculines de ta vie, aussi rapidement. Mais au moins il ne s agissait pas d un de tes ex . Mais -enfin- devoir etre en face de ceux -ci , étaient intimidant, surtout ton père.  Braver ma -future- belle famille ,  allait me prendre du courage , parce qu'endosser le rôle du  beau fils d un homme comme tu le décrivais aller être une quête hardu. Comme dirait Benjamin,  a cet instant on pourrait se  croire dans un film. Il fallait vraiment que je cesse de visionner des films avec mon meilleur ami. J'allais finir aussi dingue que lui. Et finir par croire que ma vie était basé sur une comédie romantique. Dans ce film du nom des garcons sans honneur, ou l acteur principal essayait de conquérir les graces du père , pour prouver qu'il était a la hauteur de sa fille chérie. Mais elle , elle avait des soeurs contrairement a toi, car tu étais sans doute unique. A moins que tu ne m'avais pas dévoilée une soeur ou plusieurs soeurs ? Si tu avais une, ca aurait pu bénéfique pour mon meilleur chum , on aurait pu les matcher.  Le rêve d'avoir son Duff comme beau frère.  Et avec cette rêverie , ca aurait détendu l'ambiance.  Ton père et ton frère n'aurait pas été sur mon cas.  Et Benji aurait été l'appât sous les projecteurs.  Mais c'était trop beau être vrai !  J'allais devoir affronter le type de   Pères qui sont  des protecteurs suprêmes envers leur unique Princesse  .  Et le beau fils s en prend toujours pleins la tronche, dans cette histoire.  Dont moi..


Si seulement je m aurais   considérer comme ton -petit copain- je t'aurais laisser en famille, car il devait te manquer. Même si tu disais que tu les tolérais, mais tu les aimes du plus profond de ton coeur , car tu me disais aussi que tu me tolérais. Et je commencais a comprendre que pour toi tolérer quelqu'un était un tatouage d'amour.  En tant que petit copain , j aurais pu -déménager temporairement-  avec Sparkle . Pas question que je laisse ma boule de poil ,  avec une famille cannibalisme.  Qu'il mange le chat qui vient toujours squatter et dévaliser le frigo . Comment il fait ? Je ne sais pas encore.. Mais je vais découvrir un jour le mystère.  J'aurais pu retourner dans ma garconnière, a l'Hotel Mystery.  Retourner a la Guilde , passer du temps avec mes amis et dormir dans le lit de Lucy . Ne t inquiete pas, elle fait ca avec les garcons proche d'elle.   J'aurais pu aussi effacer toute trace de ma vie a Storybrooke, en allant squatter mon sanctuaire secret et ou partir sur un roadtrip vers Los Angeles, ou je possédais une demeure secondaire, donc tu ne connaissais pas l'existence. C'était un cadeau de Jacqueline et son époux pour le service rendu.  

Mais malheur a tes figurines masculines, je n allais pas déserté notre maison, pour la simple raison que je n'étais pas ton petit ami.  Moi je me considérais comme ton - futur- époux.  Et que nous avons comme projet d'aggrandir ta famille, d 'un bébé . Donc obligé de m'accepter !  Je n'étais pas qu un banal male reproducteur. Non je voulais etre un Père. Et c est toi que j avais choisie pour etre sa mère.  Donc peu importe les atrocités que j'allais subir. Je me tiendrais debout devant eux.  Et malgré les -futurs- coups, je me releverais toujours.  Je me sentais prêt a les affronter. Je me sentais prêt a prouver qu'un Être Céleste des cieux,  pouvait être l'homme idéal d une Démone des profondeurs des abysses.  Et si ton père ne voulait pas me donner sa benediction pour le mariage, oui parce que c'était une étape importante de notre couple,  a cause des préjudices sur mon espece ou ma personne .Tant pis ! Je t'épouserais a la version Shakespeare.  En toute discrétion et loin du drama, car personne , surtout moi , ne veut du dramatique a son mariage.   Mais toi que souhaitais tu ? Comment voyais tu cette nouvelle ?  - Tu ne sais pas quand ..mais connais tu le motif de cette visite spontanée ? Tu as dis quelque chose de particulier a ton pere pour débarque comme ca ?  


 C'était a cet instant que j'avais besoin de ta franchise.  Avais tu confier a ton paternel , le sujet du  mariage et le bébé creer dans le peché ? A moins qu'il avait découvert mon existence , il venait te convaincre, te raisonner qu'une personne de ta classe, n avait rien a faire avec un être que moi. Il venait te dire que tu étais complétement - Folle- .  Il allait peut-etre t annoncer une nouvelle qui allait bouleverser notre vie.  Cette histoire me terrifiait rien qu'a y penser  , mais je lutterais pour qu on ne soit pas séparer, parce que tu es ma moitié.  Et si je dois devenir comme vous, je m'inclinerais..  Mais avant, je monterais a ton Père, que mon POUVOIR était de t'aimer . Et l amour , me donnerait la puissance que j'ai besoin pour  etre le beau fils, a qui il confierait a l'Autel. Et pour ton frère, je me doutais qu'il servait que de garde du corps.. ou de bourreau pour moi.  Avec les Maantekor on pouvait s'attendre au pire, de pire.  Mais j'espére que cette fois -ci , tu allais me soutenir. Me défendre.  Et prouver a ton Pere que tu m aimes . Parce que cette quête n'était pas juste pour moi , mais toi aussi.




.  - Peu importe quand, nous allons les accueillir ensemble pour leur petit séjour.  Par contre si ils sont venus , pour te dire que je ne suis assez bien pour toi , je te préviens , j espere que ta robe de mariée est concue. Parce que si tu trouves trop rapide, je ne laisserais pas ta famille me séparer de toi .  Parce que si je suis ta propriété, tu es la mienne aussi. C'est ca, le mariage !  C'est s appartenir l'un a l autre dans les moments heureux,  mais aussi pénibles.  Je vais t'épouser Dewenty , meme si on doit le faire devant lui ou clandestinement.  Parce qu 'il est sur Notre Territoire.  Oui avec toi j'étais un bon toutou obéissant. Avec ton père peut-etre pas, je serais l'Esprit Celeste du Lion qui a été concu pour être une arme.  Donc -futur- Papa , - futur- beau frere, j'étais pret a sortir l'arsenal de guerre pour votre fille , votre soeur.  - Maintenant que tu sais mon point de vue sur le sujet, tu veux que je reste avec  toi .. ou tu veux etre seule avec eux ?  Et maintenant ,  on peut se faire des calins la , ca me détendrait, un peu mon lapin, c est quand meme une grosse nouvelle.   Et je veux en profiter vu qu on est seuls ensemble, car vu qu on ne sait  pas  quand ils débarqueront . Je ne voudrais pas qu'il debarque a la chambre . Et nous oblige a faire chambre a part.  Ta verrouillée la maison  ? Après avoir tripoter longuement ta cuisse, je t'avais marquer de mes mains que tu avais des rougeurs. Je la lachais - Désolé mon lapin  Spontanément, je faisais une cascade , pour prendre le - Pouvoir- du lit .  Pour te retrouve sous mon emprise. Sous moi , clouer contre les draps .  Pourquoi cette réaction soudaine ? Parce que ton Père pouvait arrivé a tout moment, et le risque de se faire surprendre en train de se donner des mamour, je trouvais l'idée amusante . Juste imaginer le visage choqué d un pere, je faisais marrer , parce que je n allais pas devenir un chaste , durant leur petit séjour.  Caressant ta joue : - Je t aime Bébé Monstre.  Entre nos corps, il avait encore une petite distance. Je ne voulais t'écraser sous mon poids non plus.  Mais il avait essayé d'espace pour s'égare une main vers le bas de ton ventre. -  C'est la seule nouvelle que tu avais m'annoncer .? Si tu as rien a ajouter embrasse moi...