« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Né en tant que..Ne vaut mieux pas qu'on s'étale sur la racine de son existence, car vous aurez envie de vous faire sauter la cervelle avec votre carabine ou a la dynamite. Mais le Saloon raconte que ce cowboy a l'allure angélique et la crinière du soleil , se nommerait Loke selon les fleurs du désert , Les seules a l'avoir vu , disant que c'était un coup de -Lucky- de l avoir rencontré, mais que malheureusement il est mystérieusement disparu quelques heures après son arrivée , laissant derrière lui une plume. Avaient-ils prédit son arrivée dans la clairvoyance du tabac ? Un coup des amérindiens ..des sioux , sans doute ! Mais que feraient-ils de ce Cowboy ? Le vénérer voyons ! Le séquestrer en otage. Il vient du temps ..mais aussi du ciel.. il est la lumière des Collines Noires. Mais il empeste beaucoup trop le parfum du Wendigo..
╰☆Maru - Poing de Fer -
Né en tant petit remorqueur, aux couleurs métalliques. Qui a dit que les machines de transport n'avaient pas d'âme ? Personne! Donc peut-être que derrière la machine du siècle de l'année 1876: La locomotive a vapeurs, se trouve un être semblable a Maru et celui ci trouvera en le train un ami fidèle pour la quête a travers le temps, car on ne traverse pas le temps sans raison. Non ? Même si Maru, n'est pas transformers. Ni même un envahisseur d'une autre planète , comme dans le film cowboys et les envahisseurs. Il sera un personnage essentiel pour cette aventure. Maru sera connu du village car au Saloon on raconte qu'il aurait un -poing de Fer- un atout spécial pour cette quête. Il agira tel un justifier pour réparer les maux du Village. Et peut-être vivre une amourette, avec Calamity Jane. Qui sait ?
╰☆Stefan - Crocs de Coyote -
Né en tant que mortel dans les Années 1400, métarphorsé par la magie du Diable: en vampire. Il a traversé bien des époques , même celle-ci ? Si vous n'avez pas peur de ce que Saloon raconte sur lui , car on le surnomme les crocs du Coyote, parce que depuis son arrivée au village, le bétail réagit de manière étrange , même certaines bêtes ont disparues. Avez-vous vu des bisons , aux yeux rouges comme dans le petit vampire volés dans les nuits froides du Farwest ? Il faudrait aussi vérifier auprès des villageois, s il n'a pas des pertes humaines car peut-être que quelques fleurs du désert après avoir perdues leur vertu , n'ont pas été aperçues depuis quelques heures. Cet homme est loin de l'image du Ranger, comme Poing de Fer . Il serait donc un bandit a pendre ? Peut-être. Mais dans cette aventure , il vivra une expérience des plus extraordinaire qui pourra conter a ses étudiants en rentrant, car a son époque du présent, il est un enseignant en mythologie . Peut-être qu il est venu du temps pour en découvrir un peu plus sur le Wendigo , qui terrorise les parages du village. Qui sait ?
Guests a venir au cours de l'Histoire...
Shérif Clifford Chef de la tribu et Mitéagamaôkwe
Montaka Rose Yvette Clifford Fille du chef de tribu - Future Madame Raco-
Comme l'indique le sypnosis de l'événement 132 , rien d'extraordinaire , nos personnages (Maru, Stefan et Léo) se retrouvent invités a une fête organisée par la Mairie , pour célébrer les nouveaux mandats de chacun nominés, dont certains visages ne sont pas inconnus pour nos personnages. Chacun de nos personnages a recu une invitation ou pas , pour se joindre a cette nomination- même si c'est pour l'anniversaire caché du Seigneur de la flamme bleue- détail ! La Fête aura lieu le Samedi 17 octobre 2020, dans une école désinfectée.. Une école qui aurait pu m'inspirer des idées, pour cet événement, mais.. Donc chacun a ses raisons ou pas de se rendre la bas.. Commençons l'aventure avec le personnage Maru Smith , la poursuivre avec Stefan Vulpesco et Léo Lionstar.
Semaine 1 :Chacun de ses hommes a besoin d'une vie sociale différente ! L'un n'a pas d amis, sauf les membres de sa famille . Mais il avait un -super papy- qui avait de tres bons gouts, vu qu'il possédait une Cadillac Rose bonbon. L'un a trop d'amis et en désire plus pour prendre le repas avec eux , ou devenir leurs repas, car il ne connaît pas le vrai sens du mot -amitié-. L'un a un immense réseau de contacts , aussi rempli qu'un bottin téléphonique, mais il le néglige parce qu'il est aveuglé par les amours de sa vie, sa femme et son bébé a naitre. Donc chacun pour des raisons différentes, se rendent a cet événement de la mairie. L'un pour se faire des amis. L'autre pour s'offrir un immense buffet gratuit. Et le dernier pour se désintoxiquer avant de s'empoisonner l'existence de couches sales. Et de ressembler d'un zombie parce que la maman sera fatigué et le papa deviendra prendre le relai de la nuit. Quelques duos par ci et par la . Quelques cadeaux offerts au maire. Un discours horrible incohérent de la part du maire et des ballons rouges très très louche qui serait peut-être la cause de ce voyage dans le temps..
Semaine 2 :Dakota du Sud 1876 , a l'époque du Far West. Nos trois hommes ont une nouvelles identités. Une nouvelle vie. On se croyait en pleine malédiction mais a une autre époque. Nos trois hommes sont séparés mais se retrouveront sans doute. L'un est un bandit pendu ! L'un est une divinité amérindienne , déguisé en cowboy . Celui ci est kidnappé et rechercher par son future épouse. Mais petit souci il est possédé par l esprit d un puissant Wendigo qui s'avère être sa future épouse du futur. Ah les histoires de femmes , jamais facile a suivre. Il existe un objet mystérieux dans les collines noires . Il a un conflit entre les sauvages et les blancs. Il a ce Ranger du futur, qui va venir mettre de l'ordre dans tout ce crottin de chevaux
Semaine 3 : L'Intrigue commence a entrer dans le vif du sujet et la trame se dessine tranquillement et on baigne dans une ambiance Western. Nos trois - héros- c'est un grand mot , mais nos trois personnages s enrolent a fond dans leurs roles respectifs avec unes nouvelle identité pour chacun. Deux de nos personnages, Dracula et Maru se retrouvent pour chercher leur troisième acolyte toujours captif des sauvages. Il en apprend plus sur son couple mythique, grace a la magie des ancetres et les croyances des amérindiens. Mais heureusement pour lui ses deux amis sont au courant qu'il est dans crotin de chevaux jusqu'au cou. Un cou qu on brisera , car il doit epouser une femme . En faites peut-etre deux , car le chef de tribu veut marier aussi son unique fille . Est-ce qu il va marier a une femme qui n est pas sa femme ? Tout dependra de ses copains si il arrive a temps, car ses amis prenne le temps de passer une bonne nuit Olé - Olé chacun de leur coté. Ils font meme la connaissance d une celebrité du Far West qui leur servira de guide vers les contrées des sioux vers les collines noires ...Mais a quel prix ? Du nature peut etre ?
Dans la semaine 1 , l'Introduction
Maru :
- Dans la famille - Planes- l'organisation de la maisonnée est un peu bordélique.
Il faudrait un planning pour l'accès a la salle de bain.
- Maru est un amateur de pêche, qui empeste même le poisson. Il a dut se savonner trois fois.
- Papy Smith, possédait une Cadillac rose bonbon, des années 50 , qui se transmet de père a fils depuis deux générations. Mais petite anecdote sur Papy Smith il a été le chauffeur privilégiée de Marilyn Monroe . Celle ci aurait perdu un mouchoir dans les coussins de la banquette. Histoire croustillante a résoudre. Papy Smith aurait-il apporté un secret dans la tombe ?
Dracula :
- Nous qui croyait que les vampires n avait pas de reflet dans le miroir , comme notre cher Casper .Détrompez vous. Dans cette version , Dracula essai de voler la vedette a Monsieur Dorian Grey , avec son portrait vieillissant. Le célèbre Transylvanien aurait un reflet qui nous rappel que l'immortalité n'est pas une bénédiction, mais une malédiction. Le temps s'est peut-etre figé pour lui mais pas pour les miroirs.
- Hades et Dracula, ses deux personnages infernaux ne se connaissent pas ? Vraiment ! Preuve le vampire a dut se débarrasser de facon glauque d'un résident de Storybrooke pour voler une invitation a une fête qui souligne le boulot de la mairie et la Police. Est-ce que c est les narguer ? Surtout que tu es un tueur en séries et tu te pointes a un évènement bondé de policiers ?
- Dracula met un restant de lunch décomposé dans la poche d un vieux costume d époque , de son temps. Le Roi des Enfers pourrait décorer son bureau avec un joli biblio en forme de crane de rat. Tellement stylé !
Loke:
- Vous avez vu ce pavé ? Sans doute que oui ! Léo ne demande pas de tout lire. Mais ce pavé mais celui révèle beaucoup de secrets , qui préférait qu'il n'existe pas.
-On découvre certains gouts particuliers
-On apprend qu'il n a pas besoin de voyager magiquement dans le temps, pour vivre au quotidien et vouloir façonner sa relation avec Dewenty pour qu'il vivre dans les années 50 en 2020. Il est souvent en mood de ses années la, que ca soit vestimentaire ou gouts personnels, comme qu'il adore les laits frappés . Et il kiffe la Cadillac rose tatouage de son ami Maru.
-On découvre que Léo a deux mains gauches pour le bricolage, et qu'il croit que son habit bleu de travail offert par Ben Ranger va lui donner le talent devenir manuel.
- A bout de souffle, les projets de sa vie sont gros comme montagne, comme son futur nemesis.
- On s'en doute il se dope a son amour qu il ressent pour Dewenty.
- On apprend le sexe de ce fameux bébé qu'il n arrête pas de mentionner a tout le monde !
- On apprend qu'il est en train de planifier la date de la naissance de son enfant, avec son enfant. Il comprend le codemorse des bruits de ventre.
- Il préfère offrir des cadeaux a son amie Violette, qu'au maire . Il nargue meme un Peter Pan.
- Il s'ennui a cette fête, il veut rentrer a la maison mais nous avons tous que ce n'est pas prêt d'arriver parce qu'on aime tous faire nos personnages. Et en plus chaperonner Maru qui a commencer a boire. Il devra peut-etre aussi chaperonner son Professeur de Mythologie qui fait des choses pas net. Alors que c'est lui le bébé en âge Céleste. Par contre il est l'ainé en age humain. Illogique . Non il faut juste comprendre le personnage
Dans la Semaine 2 ,
Apres une attaque de Ballons rouges , le Voyage dans le temps commence ..
Maru:
Dracula:
- Stefan Vulepesco ne supporte pas le statut de vieillard
- Le vampire a une nouvelle identité, il est dans la peau d Everett Wilkins. un tueur en série et un cannibale. Est ce que ca serait lui notre mystere Wendigo ? C est juste une creature de Satan.
- Arrêter bêtement parce que le Bandit voulait sagement un Whisky au bar. Son diplôme de Bandit est expiré !
- Condamné a etre pendu par le Shérif du village qui se retrouve etre le beau papa de Joaquin (Léo) malheureusement personne réussi a tuer un demon de Satan. Il reste donc pendu a sa corde attendant sa mort au levé du jour du mariage de Joaquin (Léo) ou il attend un miracle d un fameux Ranger.
Loke:
- Désespoir , perte de reseau pour le téléphone , il ne pourra plus communiquer avec Dewenty. Malgré son dernier appel , elle veut des fraises de France c'est une urgence.
- Jaloux du Fils d'Hades Eliot , car il voudrait un bébé aussi spécial que celui d'Hades
- La nouvelle identité de Léo Lionstar , se nomme Joaquin Raco , fils de chasseurs de trésor
- Les parents de Joaquin Raco sont disparu dans les montagnes noires appartenant aux Sioux
- Fiancé a Rose Yvette Clifford , fille du Shérif d un village du Dakota Sud, il doit se marier
- Joaquin Raco , est un époux disparu , certains villageois croient qu'il est parti avec une autre femme du prénom de Dewenty, qui a seulement prit la fuite
- Joaquin Raco est kidnappé par les amérindiens Sioux , a cause que ceux ci savent qu'il est une divinité Céleste et le surnom '' Couverture étoilé'' en amérindiens
- Les Sioux disent que Couverture étoilé est possédé par un puissant Esprit Wendigo
- Les Sioux veulent tuer le Wendigo et sa progéniture futuriste
Maru:
- Il apprend qu'il se surnomme Scotty Mcfly et qu'il est ranger.
- Il se reveille dans un cercueil comme le bon vieux classique the lone Rangers avec le sexy Johnny Deep.
- Il decouvre une lettre qui est engager pour retrouver Joaquin Raco vivant ou mort mais en faites c est son ami Léo
- Il se prend en ville pour y découvrir Dracula pendu et bien vivant
Dans la Semaine 3 ,
La trame se dessine enfin ..
Maru Smith
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- Ça te dirait pas de venir aider ?
- QUOI ? Moi aussi je t'aime bébé !
| Conte : Planes 2 | Dans le monde des contes, je suis : : Maru
« Marconi plays the mamba, listen to the radio, don't you remember? We built this city, we built this city on rock and roll »
Maru
Samedi 17 Octobre :
En retard, il n'était jamais en retard. Mais ce soir-là, la fête allait commencer sans lui si la salle de bain ne se libérerait pas expressément. C'était l'inconvénient à vivre en communauté, la douche était le fief de toutes les convoitises, le seul endroit où l'on pouvait espérer un peu d'intimité et de tranquillité. Certains avaient tendance à en profiter, longtemps, très longtemps.
- Ça fait plus d'une heure que t'es sous la douche, tu vas finir par perdre tes cheveux à force de mettre des trucs dedans! Ils vont tomber et tu seras chauve et Sally et moi on pourra jouer aux billes sur ta tête ! Aller, laisse moi rentrer, je peux pas aller à la fête de la mairie comme ça !
Maru revenait d'une journée de pêche en mer et il était impensable de se rendre à la fête de monsieur le maire parfumé à la truite. Enfin la porte s'ouvrit sur sa sœur, magnifique chevelure au demeurant et grimace qui voulait tout dire :
- Mais qu'est ce que t'attends pour te doucher, tu pues le poisson !
Pour la punir de cette affront, Maru tenta de lui faire un bisou sur la joue, que sa soeur esquiva avec une remarquable agilité. Le pêcheur s'empressa de jeter ses vêtements poisseux dans la machine et se glissa sous l'eau, se savonnant une fois, deux fois, trois fois pour tenter de désintégrer les effluves de marée qui lui collaient à la peau. Il ne lui restait qu'un quart d'heure pour s'habiller, se coiffer et démarrer la voiture, direction le Manoir Maanteekor où Léo devait déjà l'attendre devant le porche. Le parrain de Sally était un homme tout à fait charmant, mais Maru savait à quel point faire bonne impression était important pour lui. Léo ne l'avait pas contacté sans arrière-pensée, il savait que le garagiste avait en sa possession LA voiture qu'il lui fallait pour être le roi de la fête. Le blond ne la sortait que pour de rares occasions, elle était l'héritage familiale qu'il avait de plus précieux, la cadillac de son grand-père. De père en fils les Smith avaient pris soin de maintenir cette voiture en état et d'en faire perdurer la légende. Maru adorait raconter les histoires de grand-papa Smith, aussi lorsqu'il récupéra Léo devant le manoir il ne tarda pas à lui en raconter une.
- Désolé pour le retard, la salle de bain a été prise d'assaut et je ne pensais pas qu'on pouvait mettre autant de produit dans une chevelure... Allez grimpe je t'emmène ! J'espère que la voiture te plaît, mon grand-père nous racontait toujours qu'il avait lui-même conduit Marilyn Monroe à l'avant première de « Certains l'aiment chaud » en 1959 dans cette voiture. Elle y aurait perdu son mouchoir, un mouchoir aussi rose que la carrosserie ! Encore à ce jour disparu entre les coussins de la banquette arrière. Accroches toi on y va !
Lunette de soleil et chemise à cravate bien repassée, Maru n'avait plus rien du pêcheur d'il y a quelques minutes. Lui qui avait passé une année en solitaire dans la forêt à manger des baies et des orties comptait profiter du buffet et de la bonne ambiance pour se refaire une santé et une petite vie sociale. Cette ville lui avait terriblement manqué, on ne s'ennuyait jamais par ici et les fêtes y étaient toujours très animées. Maru était heureux de pouvoir enfin profiter d'un moment pour décompresser, le temps d'une soirée oublier tout le reste, la douleur dans sa jambe, les souvenirs de l'Irak. L'ancien soldat ne songeait qu'à profiter de l'instant présent. Il avait pris soin de ne pas oublier son invitation et le cadeau de non anniversaire de monsieur le maire.
- Tu crois que c'est pourquoi cette fête ? Un non anniversaire, ok mais qu'est-ce-que ça signifie ?
La cadillac rose bonbon fit son entrée devant la salle des fêtes où un voiturier aux larges épaules l'attendait. Le grand gaillard, qui dépassait Maru de bien trois ou quatre têtes -il faut dire que le blond était plutôt très petit et l'autre plutôt très grand- récupéra les clés et invita les deux hommes à entrer dans l'école désaffectée. Maru regarda le géant s'installer dans la voiture et s'en aller la stationner. Il espérait que le fauteuil ne cède pas sous le poids du mastodonte, ça aurait été un miracle qu'il tienne le coup. Léger pincement au cœur et sueur froide, il laissa sa vieille voiture disparaître dans le lointain et suivit Léo jusque dans la grande salle. La pièce était déjà pleine et la musique battait son plein, tout le monde était bien trop occupé à se goinfrer et à danser pour faire attention à leur retard. Maru ne tarda pas à faire de même, déposant son cadeau sur la grande table avant de se ruer sur les petits fours. Il attrapa un verre de vin au passage qu'il but d'une traite, la fête pouvait commencer !
Fiche par Millaby sur Kitten-LS • Ne pas retirer les crédits
Stefan Vulpesco
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| Avatar : Claes Bang
Things are beautiful if you love them.
| Conte : Dracula | Dans le monde des contes, je suis : : Dracula, alias Vlad Teapes
Le vampire répand la nouvelle comme une traînée de sang.
Dans sa chambre, le vampire s’apprêtait pour la grande soirée à la mairie organisée en ce soir d’octobre. Avec minutie, il arrangeait son nœud papillon en se regardant ans le miroir. Il se voyait à l’intérieur comme chaque mortel, mais il voyait une version beaucoup plus âgée de ce qu’il semblait être physiquement. Dans le miroir, il voyait un vieillard ridé aux longs cheveux blancs. Ce n’était clairement pas sexy et c’est pour cela que lorsqu’il n’avait pas besoin de voir précisément ce qu’il faisait, il mettait un drap sur ce fichu miroir. Ce n’était pas tant parce qu’il trouvait son reflet laid, mais parce qu’il ne voulait pas avouer ce qu’il était vraiment… Un vieillard aigri qui était brisé par ses expériences passées. Une fois fait, il remit ce drap à sa place avant d’aller chercher son chapeau posé sur son lit. C’était un très beau haut-de-forme classique tout noir. Pour lui, c’était indémodable dans les soirées mondaines. Pour sembler un peu « humain » et sembler se protéger du froid lorsqu’il ne ressentait plus la température, Dracula mit sa longue cape noire drapée d’un tissu rouge en velours à l’intérieur. Satisfait de son apparence irréprochable, il descendit rapidement les escaliers et il s’approcha doucement du salon où il vit son fils assis sur le canapé, bouquinant un roman de Poe.
Le petit garçon n’était plus si jeune que cela. Maintenant âgé de plusieurs siècles, il était coincé dans une sorte de milieux fort perturbants pour le prépubère où il n’était ni à sa place auprès des enfants, mais pas non plus à sa place auprès des adolescents et les adultes. Dracula se persuadait qu’il avait fait le bon choix en transformant son fils pour le protéger, mais au fond il ressentait toujours un certain doute en voyant à tel point il lui en voulait d’avoir fait de lui un vampire. L’avait-il enfermé dans une malédiction par simple égoïsme? Pourtant, il aimait son unique garçon. Il était tout ce qui lui restait. Il ne pouvait pas imaginer la douleur qu’il ressentirait si on le lui enlevait.
- Damian, je sors à la fête de la mairie. Je rentrerais tard ce soir. Met toi au lit, pense à boire et surtout… Reste sage comme d’habitude? - Hum hum…
Comme d’habitude, le jeune homme ne releva pas son regard de son livre. Parfois, quand il était de bonne humeur, il retrouvait cet air enfantin qu’il avait autrefois et semblait l’aimer. Lorsque cela allait moins bien ou que son humeur était neutre, il se refermait sur lui-même et ne voulait rien savoir de son père. Stefan soupira et sortit à l’extérieur pour marcher vers la mairie. En fait, il avait une dernière tâche à accomplir et il serait enfin prêt à gagner les festivités. Il fit un petit détour vers un quartier cossu. Il y avait une maison qu’il connaissait fort bien. Il avait tué son vieux propriétaire pour s’en nourrir (et entre autres aussi à sa demande, mais ça c’est une autre histoire qu’il garde pour lui) et il allait souvent relever son courrier discrètement pour que les gens le croient en vie encore quelques jours. Dracula jeta les diverses factures avant de tomber sur ce qu’il cherchait.
- Gloire à Satan! Le voilà…
Il avait trouvé son laissé passé. Effectivement, pour pouvoir rentrer à la mairie, il fallait une invitation et ce malheureux personnage fourbe d’Hadès ne semblait pas le connaître. Donc… Il s’invitait tout seul… Sa trouvaille dans ses mains, il rejoignit l’endroit avant de présenter le papier à la personne dédiée à cette tâche. La bête put entrer sans problème et se joindre aux invités. Il remarqua la table remplie de cadeaux d’anniversaire. Se trouvant drôle, il posa parmi les paquets un crâne de rat. Un cadeau mortel pour le Dieu des enfers…
(c) DΛNDELION
Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »
| Avatar : Rob Raco
| Conte : Manga Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )
Aujourd'hui, j'étais libre de mes occupations -enfin presque- parce que j'avais pris la responsabilité de mon plein chef de m'occuper de la maisonnée, car avec sa bedaine, celle de Dewenty, pas la mienne. Même si a travers mes chemises, ceux qui le remarqueront un gras inhabituel était apparu . Oui j'avais pris un peu de poids que certains pantalons, ne m'allaient plus. Mon patron , ou les employés hauts placés dans la boite allaient peut-être gueuler après a ma personne. Mais je leurs rugiresserais que je suis le pom-pom boy des futures mamans. Et défendeurs des causes qui me tenaient a coeur , car pour ceux qui me connaissent intimement savait que j'étais un défendeur et un manifestant pour toutes sortes de causes . Peut-etre un jour, je ferais parti des personnes qui seront présent dans les manifestations historiques, comme celle des années 50 sur la pilule contraceptive, qui empêche a présent les générations futures d'avoir des grandes familles. Comme la mienne, je savais que je ne pourrais pas fonder une grande famille avec Dewenty, a cause de mes soucis de santé, mais aussi nos natures. Deja que ce bébe était peut-etre mon unique chance ! Notre unique chance !
Mais Aujour dhui , je pouvais encourager les femmes dans leurs rôles de mères, était une cause ou je me sentais a l'aise de soutenir. Même en étant un homme, parce qu'en voyant des femmes enceintes de mon entourage, et vivant avec l'une d'entre elles. Je n'étais pas aveugle, que les femmes avaient de lourdes responsabilités contrairement a L'homme qui faisait quoi ? Fournir la goutte , et certains prenaient même la fuite au mot - Bébé-. Chut ! C'était ma plus grande honte ! Personne ne devrait le savoir. Ce qui s'était passé en mai 2019 a Los Angeles , et ca ne devait pas être révélé. Histoire que je me forçais a oublier. Donc je voulais prouver que les -futurs- pères n'étaient pas juste des connards, comme je l'avais été. Mais un pacte est un pacte ! Je rompe rarement des contrats. Mais avec celui ci, que j'allais être un excellent papa, même un peu trop, pour l enfant que Dewenty portait en elle. Et que ca serait une expérience nouvelle pour mon espèce. Une expérience-presque- inconnue.
Pour mon souci de ventre c'était la faute a Bébé Monstre ! Mais elle ne pouvait pas râler que je ne la soutenais pas durant sa grossesse. Elle ne pouvait pas radoter que seul son corps était en pleine métaphorse. J'aurais bien porter le bébé a sa place, comme les hippocampes, mais ce n'était pas dans la nature mortelle. Ni celle des esprits de porter un foetus ou un oeuf. Mais la nature avait décidée que ca serait elle, qui le porterait durant plusieurs mois . Et j'aurais tellement souhaité qu'elle me ponde un oeuf ! Oui pour les non-connaisseurs de Manticores. Cette créature pond des oeufs. Mais maudite malédiction, elle m'empêcherait d'avoir mon exceed- créature de mon univers qui naissait dans un oeuf-. Si seulement, on n'avait pas été touchées par les cristaux de cette magie noire. Mon bébé aurait été un être divinement unique. Et pas seulement un humain lambaba. Et non un être spécial comme ses parents.
Sept mois , déja ! Oui elle est enceinte et je regrettais le fait de l'avoir appris trop tard. Oui le temps était trop court, il filait aussi vite que Montgomery, Flash Mc Queen pour les intimes. Malheureusement, mon créateur ne m'avait pas offert ce don a ma naissance en tant qu'entité étoilé du Lion. Mais lui, il le possédait. Mais aurait-il exaucé mon souhait de mettre sur pause le temps ou même me faire revivre chaque moment mémorable ou j'avais accès a ma bien aimée et son énorme bedon d'amour , qui abritait notre miracle. Sans doute que non, malgré mes loyaux services d'être céleste, procréer notre espèce , sans lui était interdit. Et être amoureux, il n'était pas trop en accord, car ca pourrait nuire a nos devoirs d'Esprit Stellaire. Mais Aujour d'hui , il n'avait pas son mot a dire sur ma vie. Rébellion ? Est-ce que je désirais être un esprit libre ? Je veux simplement être libre d'aimer. Et avoir un héritier comme tous ses humains qu'il voulait qu'on chérisse.
Sept mois , déja ! Je devais me dépêcher , a mes tâches du futur. Espérant que le bébé n'était pas pressé de rencontrer ses parents. Ni de voir la lumière du jour et que la main lumineuse de son père durant qu'il caressait le ventre de sa mère, serait lui suffire. Parce que je n'étais pas prêt a l'accueillir toute suite. Il avait encore des étapes a construire entre Dewenty et moi . L'arrivée de la Belle famille ! Je devais demander la bénédiction de son père pour prendre la main de son unique fille en mariage. Mais peut-etre arriveront ils après la naissance du bébé . Et j aurais peut-etre une chance de faire partie de la famille, un peu de force ,certes. Mais ma belle famille n'allait quand même me rejeter , maintenant que j'avais une pied dans la porte, avec un bébé de leur sang. Il avait aussi tous les préparatifs du mariage. Donc l'enterrement de vie de garcon, j'espérais que mon meilleur ami Benji, malgré ses soucis me préparait une- petite fête- avec les copains. Et Il avait tout le reste. Et j'aurais tellement souhaité que Dewenty soit enceinte de son dernier mois, le jour , ou échangeront cette phrase : Oui je le veux pour la lumière et les tenebres. En plus , il avait les préparatifs autour du bébé. Magasinage intense pour s'équiper. Je désirais aussi une -petite fête- pour souligner son arrivé , mais aussi souligner le fait que nous allons être parents. Il avait aussi le quotidien que je devais vivre. Il avait aussi mon devoir d'Esprit Celeste que je devais accomplir, en aidant mes protégés dans leur vie.
Dans ma vie mouvementée, plutot essouflante , il n avait plus place a l'amusement. Il avait seulement place au devoir. Ouf ! Mon cerveau allait manqué d'oxygène. Ouf ! J'allais peut-etre encore avoir une crise de coeur. Donc répondre présent a cette invitation , de cet événement de la Mairie , est ce que c'était une bonne idée ? Oui comme tous les citoyens de Storybrooke, nous avions recu une lettre. Mais est ce que tout le monde allait y aller ? Peut-etre pas ! Enfin moi j'étais en pleine réflexion, surtout que c'était du temps que je perdrais envers mes devoirs. Le devoir d'être : Un artiste , Un Esprit Céleste, Un frere ideal , Un ami exceptionnel , Un étudiant exemplaire , Un combattant accomplit , Un mari parfait , Un Papa impecable . Tout ce que j'avais envie la , maintenant était de mettre sur pause le temps . Et retrouver le Léo d'Antan.
Donc cette invitation , de me rendre a la fete de la mairie pourrait peut-etre m'aider a respirer. Mettre ma vie et la finalisation de la chambre a coucher du bébé sur pause. Parce que c'était ce que j'étais en train de faire dans la maison. Pendant que Dewenty vaguait a ses occupations. Plus que je réfléchissais, mettre sur pause était une bonne idée, de toute manière , ca faisait plusieurs heures que je m acharnais et que je grognais sur assemblage de la couchette de l'enfant que la compagnie Hermes Express m'avait livrée quelques jours plus tot. Soit qu'il manquait des pièces, et que je devrais faire une plainte. Soit que je ne comprenais pas, le mode emploi même en japonais. Pourtant c'était une de mes langues natales ! Peut-être est-ce que je devrais téléphoner a Maru ou même Ben ? Mes hommes bricoleurs, pour un coup de tournevis pour monter ce puzzle avec moi. Parce que d'être vêtu de mon bleu de travail, ne me donnait pas le pouvoir d avoir un talent en bricolage. Être manuel , n'était pas une caractéristique qui me décrivait.
Mais au faites, pourquoi je perdais mon temps a faire une chambre a ce bébé ? Alors que je savais que sa mère , allait vouloir.. Vouloir un mot trop peu puissant pour décrire leur future relation , elle le gardait constamment collée a elle. Ils auront une relation siamoise. Ils seront inséparables. Au moins, on pourra une pièce pour ranger toutes ses affaires . Parce que quand tu as un enfant , on raconte que c'est toujours le bordel. Tu cherches la suce, le toutou , le doudou . Que tous les accessoires a ses besoins sont éparpillés dans la maison. Ca ne sera pas le cas ici !
Sortant de la chambre de mon -futur- poupon, tout en réfléchissant a cette invitation. Passant par la cuisine, je prenais une fleur du valse sur la table et je commençais a lui arracher les pétales. - J'y vais. Une pétale en moins. Je n'y vais pas. Une autre pétale chutait vers le sol. Une a une , les pétales tracait un sentier qui me suivait mes pas, direction Dewenty. Il ne restait que la tige, que je réduisais en poussières avec ma photokénésie et la reponse : Que je serais présent a cet événement, mais avec qui ? La réponse était évidente !
Au Salon, mon Bébé Monstre se trouvait assise dans le canapé. Voir sa bien aimée, inactive était une image terrifiante. J'avais la chair de poule. Je n'avais pas l'habitude de l apercevoir médusée comme une gargouille. Mais pourquoi elle était dans cet état ? La grossesse ! Un handicap pour elle. Elle était en repos. Séquestrée au domicile, par ma faute. MA faute. Quelle idée débile , de lui faire un bébé. Par ma faute, elle se fanait. Je culpabilisais ! Donc pour me faire pardonner, pourquoi pas la faire sortir un peu..Bébé Monstre , j'ai recue une invitation pour la fête de la Mairie ? Voudrais-tu qu'on y aille ensemble ? Ca va ?
Quelle question stupide ! Je pouvais ressentir au mécontentement. Et elle le manifestait en ronchonnant . Elle était assise la pour souffler doucement. Symptôme de femme enceinte. Elle devait encore, avoir un mal de dos. Et c'était de ma faute, si son corps avait eu des grands changements, ces derniers temps. Elle avait une apparence ballonnée. Mais pour son physique, elle ronchonnait pour rien, car elle était tellement belle . Elle l'était deja ..J'avais toujours un gout distingué pour les femmes. Mais enceinte , je pouvais démontrer au monde entier, qu'elle était ma propriété. Et , elle pouvait se faire désirer , mais son apparence prouvait sa fidélité a mon égard. Donc , les autres hommes pouvaient que m'envier. Mais si mon nemesis était tenté. Gare a lui , la guerre était déclarée. Et le Ragnarok , était qu'un pet a coté de la Supernova qui allait se déclencher. Un ciel amoureux de la terre, qui se sentait menacé, pouvait provoquer la fin de l'existence.
-Et bien vas-y si tu veux y aller.. moi le medecin m'a dit que je devais rester aliter comme une handicapée... Une sentence pour me condamner au statut de coupable, voila ce qu'était cette parole. Prenant place a son chevet. Déposant une main sur son ventre arrondit. Un geste pour me réconforter. Un geste pour apaiser mes pensées négatives. Un geste silencieux, qui me projetait une image positive de ma personne. Que je n'étais pas celui qui semait toujours la discorde, malgré mon prénom- Loki-. Et qu'elle devrait prendre cet bébé comme une benediction des étoiles. Et non comme une malédiction, a cause que tous les maux qu'on pouvait faire éprouver une grossesse. Pour la rassurer, je réfléchissais a des mots apaisants qui pourrait la faire sourire. Et pour lui faire oublier tout son mal être.
Mais non , mon lapin tu n'es pas une handicapée. Et tu sais si j aurais pu t'éparpiller tout ce supplice, je l aurais porter moi notre bebe. C'est pour le bien etre de notre petite terreur, que le médecin ta recommandé d etre cloué au lit. Même si je t'avoue que je suis un peu décu que je ne puisse pas te sortir. Mais il ne faut pas que tu prennes de risques, je ne survivrais pas de vous perdre. Mais promis je ne resterais pas longtemps a la fête, je rentre avant minuit. Je resterais meme pas une heure, juste le temps de féliciter mon amie Violette. Et aussi parce que je n aime pas te laisser seul a la maison, meme si tu as la compagnie de notre chien . Un chien, qui serait quoi faire en cas de grande détresse. Je lui avais appris un tour. Si Dewenty se tordait de douleur, elle devait alerter tous les chiens du quartier. Japper, jusqu'a ce que le message vienne a mes oreilles. C'était de la prévention, et aussi un moyen parmi tous les autres moyens que je possédais pour être présent en cas de gros -drame- Et que tu peux me rejoindre en tout temps sur mon telephone, ou ta juste a crier mon nom trois fois je viendrais.. Ses derniers mots avaient un sens.. Avec mon prénom elle pouvait m'invoquée auprès d'elle.
Baladant toujours ma main sur le bas de son ventre. Je glissais celle-ci sous le tissus qu'elle portait, pour avoir un contact peau a peau. Mais aussi un contact plus intime avec mon enfant. Tournoyant ma bague dorée, dans un geste discret. Ma main se réchauffait et l'intérieure s'illuminait légèrement d une lueur dorée. Un petit jeu entre père et bébé, pour déja creer un lien avec celui-ci. Spontanément , ma création eu une réaction. Elle s'agitait , déformant la rondeur du ventre de sa mere. Elle donnait un coup . - Oh il a bouger! M'exclamait d une voix surexcitée. - Je l'ai sentie Bébé. Je l'ai sentie. C'était toujours un instant impressionnant. C'était magique de sentir sous ses doigts, que tu avais creer une âme avec ta moitié. Créer la vie était un don que -presque- tout le monde possédait. Mais il était le plus précieux , avec celui d'aimer. Ses pouvoirs étaient l'énergie vitale que j'avais besoin pour me sentir vivant, sachant que j'étais un mort damné des cieux.
Non mais t'en fais pas ça va... ouch.. doucement petit chenapan ton père ne nous abandonne pas il va juste voir des amis... il reviendra après pour te raconter sa vie.. Avec sa parole, vous pouvez enfin savoir le sexe de notre enfant. C'était un garcon ! C'était ma -terreur- surnom monstrueux obligé ! Mais le surnom -petit chenapan- me faisait rire, car ce petit etre de sept mois, semblait deja aussi détestable de sa mère. Il était deja un DEVIL. Mais pourquoi des surnoms ? Parce que nous n'avions pas encore discuter -prénoms-. Et connaissant Dewenty , elle voudrait prendre possession de cette tache, car le bébé allait sans doute devenir sa propriété comme son père. Et non la mienne ! Donc surprise.. surprise mon Léo. En effet, Dewenty avait raison. Ce n'était pas mon intention de les abandonner. Il était hors de question, que j'abandonne ce bébé -ci- . Et cette mère -ci-. Je ne ferais pas cet erreur deux fois.
Bébé Monstre, me donnait un baiser sur la joue. Ce baiser me faisait rougir d'amour. Ce baiser faisait du bien au moral , car la vie de couple n'était pas tout rose comme dans Disney. Non la vie de couple ressemblait a celle des mangas. Elle avait du -challenge- . Frissonnant sous le contact de ses lèvres. Ce contact qui aurait pu me faire résister a les quitter , car leurs absences étaient -presque- insupportable et douloureux. Les heures étaient interminables sans eux. Mais je devais couper le cordon, une fois de temps en temps, parce que mon existence allait finir par se faire oublier, si je restais terrer dans ce manoir. Mes copains finiraient par croire , que Dewenty m'a enterrée dans le jardin de l'horreur, sous l'influence des hormones. Pour le moment ca va, mais s' il a quoi que ce soit. Je veux que tu me préviennes
Prêt pour la vie de père. Enfin pas si -prêt-. Je voulais et je serais présent pour chaque moment pour le bien et le pire. Même si j'avais une grave déception, que je trainerais comme un fardeau toute ma vie céleste, d avoir été dans l'ignorance de l'existence de - Terreur- a cause du déni de Dewenty. Pourquoi elle avait fait un déni ? - Ma joueuse vous conseille de lire le rp mission infiltration, avec le personnage de Benjamin pour le découvrir.- Je pensais plus au ténébreux. Pourquoi la référence du nain tracassin, car il était un homme objet comme moi. Et ceux qui sont lier d'un artefact doivent obéir a tous les appels magiques. Mais c etait juste que tu saches, que je ne veux pas que tu accouches sans moi, ou que tu fasses un malaise. Je me penchais pour embrasser la bedaine nu de ma femme. -Promis ma Terreur, Papa revient vite. Je te raconterais ce que j'ai vecu la bas .. Soit sage avec ta maman. Je compte sur toi pour veiller sur elle. Oui parler au bedon de Bébé Monstre était devenu un rituel. Une passion. Une obsession. Écouter les vagues. Recevoir des coups de pieds, des coups de mains dans ma tête poser sur sur ce ventre était mon loisir préféré. Ce bébé était deja un combattant hors du commun comme moi. Comme son père. Mais il avait la férocité de sa mère.
Je me redressais pour finaliser mon départ , a contre coeur. Parce qu'après avec trois paragraphes sur Dewenty, vous en doutez que j'avais de la difficulté , a ne pas m enchainer comme un boulet de canon après elle. Je me cherchais finalement des excuses pour rester comme subvenir a ses besoins secondaires. Ta besoin de quelque chose avant que je parte, genre une couverture, un oreiller, un truc a manger ? Que je t apporte de la laine pour que tu tricotes un chapeau a oreilles a notre bebe ? Petit détail, j'étais fan des petits chapeaux a oreilles pour les bébés, que la boutique Andalasia allait bientot etre en pénurie de chapeaux et de laines. Ta besoin que je te transporte dans un endroit plus confortable que le canapé?
Doucement, doucement Leo, ça va ne t'en fais pas.. non je n'ai pas besoin de couverture ni d'oreiller ça va... juste un chocolat chaud. Oui il a interet d'être sage sinon je ne le nourris pas... Décu de me sentir inutile. Ce n'était pas facile de ressentir ce feeling. Mais je me doutais bien qu'elle ne voudrait pas de mes tonnes de services. Dewenty etait une femme indépendante, débrouillarde. Et qui n'avait pas besoin que je lui démontre ma facette de chevalier servant. Mais attendez que neuf mois arrive. Elle aura sans doute besoin que je lui tend la main , pour la broyer. Et que je sois aux petits soins avec elle, pendant qu'elle me balancerait des jurons pour m'exprimer tout son amour. Et me dire merci cheri de m'avoir mis en cloque, maintenant il va te falloir un mode d emploi .
Choquer par cette révélation, au moins elle me confirmait que c etait une blague en riant doucement passant une de ses mains sur son ventre. Dewenty avait un humour très très noir. Mais pas au point de se moquer des blagues de bébés morts, vu qu'elle l'avait vécue avec sa fausse couche. Secret que vous pouvez apprendre a travers ses pensées écrites. Et peut-etre celle de mon -futur nemesis- . Bouche bé, elle savait que pour ma part, je ne la laisserais jamais négliger notre lionceau. J'allais intervenir! Peu importe la raison. Je serais toujours derriere elle a la surveiller. Pas que je n'avais pas confiance en ses aptitudes de mère. Je savais qu'elle ferait une mère exemplaire. Mais j'avais seulement une crainte qui serait apaisé a sa naissance. Je deviens savoir si le bebe allait être fragile comme son père. Ce qui pourrait apporter des complications dans la vie de notre vie de couple. Encore. Je savais qu'elle etait moins humaine que moi. Son coté bestial dominait. Et j'avais tellement peur qu'elle le délaisse a son mauvais sort, s'il était trop vulnérable. Trop faible.
Mais la voir se caresser le ventre me rassurait. Et je pourrais quitter la maison, l esprit un peu tranquille. -Il sera sage, tu sais que je ne peux pas prévoir ça ? C'est à lui de dire d'attendre que tu sois rentrer. Je me penchais de nouveau vers son ventre, pour une discussion père et fils. - Ta compris ma Terreur, Tu peux sortir durant le Samhain ou le Yule mais pas avant. C'était des sabbats scolaires! vu que tu aimes les histoires de vie de Papa, je te sortirais mon agenda pour qu'on cédule ta naissance ensemble. Comme ca maman sera quand perdre les eaux et pousser. Contrairement a Dewenty qui aimait les imprévus, les surprises. Moi je devais avoir un parfait controle sur ma vie dans tous les domaines.
Puis je me levais enfin debout avec une dernière remarque pour que ma femme passe une bonne soirée sans moi. Tu sais que tu es tellement belle , en future maman. J'aurais pas souhaiter mieux que toi , pour etre celle de notre enfant. Chocolat chaud pour la demoiselle, après je pars. Je sais que tu ne peux pas prévoir . Je suis sur qu il va attendre que je sois la pour venir nous retrouver. Vu qu'on va se choisir une date lui et moi. Je lui faisais un clin d'oeil et elle me faisait un rictus rieur. -Je suis toujours belle de toute façon, ça ne change pas. En effet peu importe son apparence, Dewenty était pour la PLUS belle femme Storybrooke.
Quittant le salon. Je faisais un tour rapide a la cuisine préparer le chocolat chaud de ma dulcinée , en réfléchissant, qui pourrait m'accompagner ? La personne idéale , a part ma fiancée, auprès été Lucy mon âme soeur. Mais je ne pouvais pas être vu , avec elle ni aucune autre femme. Amie ou pas. Parce qu'avoir une demoiselle différente a mon bras, pourrait enchainer une avalanche de reactions . Des réactions négatives . Je pourrais alarmer des viperes qui avaient le don de me clasher, me voyant comme seulement un butineur de fleurs . Je pourrais aguicher des jalouses. Deja que Dewenty n'était pas appréciée par mon -fansclub-. Je serais ciblée par cette gossip qui espionnait constamment ma personne. Elle continuerait a m'utiliser pour se maquiller de paillettes. Et elle continuerait a divulguer des bruits a mon sujet. Et après je devrais me justifier , auprès de ma bien aimée, qui percevait , mon réseau sociale féminin comme une rivalité. Une rivalité a éliminée , a faire saigner et même peut-etre a dévorer. Et depuis que Dewenty s'était ancrée dans ma vie , je n arrivais pas a me projeter avec une autre, dans les soirées. Vue qu'elle ne pouvait pas se présenter sous ordre du médecin. On se fera prochainement des sorties de poussette, en couple. Revenant dans le salon, je confiais le breuvage a ma femme en l'embrassant sur son nez pour avoir son consentement de partir et lui dire a bientot. - Merci et bonne soirée. Je lui envoyais des baisers volages sur le rebord de la porte du salon.
Une fois éloignée de ma fiancée, j'organisais ma soirée. Telephone portable en main. Je décidais donc de communiquer avec mon frère de coeur. Mon Duff. Mon Benji . Merde. c'est vrai , je ne pouvais pas , surtout dans un evenement mairie , car la Police serait présente , vu que le Shérif avait été nominé encore et toujours. Et Benjamin, même deguisé pourrait se faire démasqué car innocent , mais recherché. Coupable pour la justice. Il devait rester caché..Mais caché ou ? Je n'étais pas balance. Oui jeu de mots ! Je décidais de telephoner a un autre ami. Maru ! Connu grace au garage et ma princesse Sally, parrain de la petite. Elle etait pour moi , l'héritière de ma clé magique, quand Lucy sera sur son lit de mort. J'avais connu plus intimement Maru car je travaillais bénévolement parfois, au garage. Mais c etait surtout pour apprendre a devenir plus viril, pour ma femme. Mais aussi , parce que j'étais un amateur de belles bagnoles d'ou ma demande spontanée , au bout du fil. Je rêvais de monter dans la cadillac rose , comme le tatouage de main de ma maitresse. Une voiture d'une époque coup de foudre. Dommage que Dewenty ne pourrait pas y monter, ou que Maru . ne puisse pas me prêter les clés de son char pour que je fasse une escapade amoureuse avec mes beautés. Je rêvais d'aller bécoter ma copine sur le mont Hollywood. Mon ami avait donc accepté l'invitation et mon désir. Il débarquerait devant le manoir avec sa bagnole de luxe. Parce qu'il n avait pas que le maire qui avait être distingué.
Pendant que Maru essayait d'avoir un peu d eau chaude pour se laver. Et éviter d'etre parfumé d'un odeur qui pourrait titiller les Papilles gustatives d une manticore devenue doublement gourmande, car elle devait aussi nourrir mon bébé. Il était fort dangereux de se pointer devant la tanière d'une créature , qui pourrait faire de Maru un repas pané. Un repas insuffisant pour la combler, vu qu'elle devait manger pour deux. Et je n'avais pas envie d etre le dessert. Donc évitons toute provocation en lien avec la bouffe !
De mon coté, je me préparais pour l'occasion. Je n enfilais pas une tenue hollywoodienne. On n assistait pas a un tapis rouge, ou un défilé de mode de Monsieur Agreste. C'était juste une fête bancale , pour souligner le renouvellement d un mandat de l'autorité du Royaume. On était très loin d'un bal royal. Surtout que la soirée se passait dans une vieille école.. Cette école qui avait vu naitre ma relation avec Bébé Monstre. Et j'aurais tellement souhaité défleurer mon début de liaison avec ma manticore sur le bureau du Maire. Mais par réserve de la Bête , nous avions conclu cette -date drapée - chez elle.. dans ce manoir , dans cette chambre ou j'étais entrain de me bichonner d un look année 50. Si je ne pouvais pas m'agencer avec ma femme, je pouvais le faire avec la voiture .
Comme vous le savez, le temps ne s'arrête jamais. A présent, sur le porche de la maison, j'attendais sagement mon ami. Maru était en retard. Mais ce n'était pas grave , le carrosse de Cendrillon l'était aussi. Et la Princesse était en retard a sa soirée et son entrée avait été remarquée de tous. Et elle avait réussi a attirée de l'oeil du Prince. On n'allait pas a cette fête pour flirter , surtout pas moi ! Je dois vous rappeler le jonc a mon annulaire gauche. Mais pourquoi j'avais dans ma main un bouquet de fleurs saisonnières fraichement cueillit du jardin de l'Horreur, chut il ne faut pas le dire a Dewenty! Je n'avais pas eu le temps d'aller chez le fleuriste. Je possédais aussi une boite de velour dans l une de mes poches. Pourquoi ? Détrompez-vous même si ma libido était affectée par les hormones de Bébé Monstre. Je n'apaisais pas ma faim de lion, dans une autre tanière. Ne t'inquiète pas Peter Pan! C'est pour ta copine Violette. Mais ne commences pas a t'écrire des scènes des feux de l'amour dans ta tête. C'était seulement des cadeaux purement innocents , pour la féliciter pour sa montée dans l'hiérarchie . Et pour la soutenir parce que le maire semblait d un être aussi exaspérant que moi.
J'avais promis a Bébé Monstre, que je rentrais a la maison avant minuit. Je ne voulais pas finir citrouille dans le jardin comme punition. En vrai , je ne voulais pas m'attarder a cette fête, on faisait -coucou a Violette- on buvait une coupe de champagne. Et je demandais a mon chauffeur de me reconduire a la Maison. Je ne voulais pas quitter trop le domicile, a cause de la naissance de mon bébé. Je voulais etre présent a la première crampe et tout ce qui s'ensuit. Mais vous allez me dire qu'elle est seulement enceinte de sept mois.. Et alors ? Je savais lire les cartes du ciel , et le tarot grace a Kanna et celles-ci disaient que c'était pour bientot. Très bientot ! Et notre médécin avait fait des recommandations, que Dewenty ne devait pas trop être active , au risque d'un accouchement précoce. Donc comprenez que le temps pour moi, était précieux , mais aussi un ennemi juré, parce qu'il me jouait souvent des farces . Patience, c'est ainsi que j'avais surnommé le temps, m'offrait toujours des mauvaises surprises.
Dans la Cardillac Rose Jujube
Soupirant. Maru se faisait attendre comme mon mariage. J'allais me retourner pour me retrouver face a la porte, pour changer mon plan de soirée et finalement rester avec ma femme et sa bédaine. Que la Cadillac se garait dans l'allée du stationnement. Enfin ! Descendant les escaliers, pour rejoindre le compteur d'histoires du passé. J'embarquais dans la bagnole de rêves de tous les Ken de Storybrooke, quand Maru me disait de grimper.
Assis sur le siege de passager. Désolé pour le retard, la salle de bain a été prise d'assaut et je ne pensais pas qu'on pouvait mettre autant de produit dans une chevelure... Allez grimpe je t'emmène ! J'espère que la voiture te plaît, mon grand-père nous racontait toujours qu'il avait lui-même conduit Marilyn Monroe à l'avant première de « Certains l'aiment chaud » en 1959 dans cette voiture. Elle y aurait perdu son mouchoir, un mouchoir aussi rose que la carrosserie ! Encore à ce jour disparu entre les coussins de la banquette arrière. Accroches toi on y va ! Il s'excusait de son retard, ayant une bonne raison. Puis il commençait a vanter les éloges la voiture et de Papy Smith. - Pour être honnête , je commençais a me demander si tu n'allais pas me poser un lapin pour notre rencard . Je lui faisais un clin d'oeil narquois. En vrai , j'hésitais a te telephoner pour annuler, je n'aime pas trop laisser tout seul Dewenty dans l'état qu'elle est. Notre médécin veut qu'elle se repose , et je sais qu'elle a besoin de s'occuper, se sentir utile donc j'ai toujours peur quand je m'absente qu'elle fasse des bétises. Mais j'essais de lui faire confiance. Et je t'avoue que j'ai besoin de légereté, avec tout ce qui se passe dans ma vie. Je n'étalais pas plus mes aventures périlleuses. Je me mettais a rire, quand il se justifiait sur son retard. - Ne t'inquiète pas, je comprend votre problème de salle de bain, j'ai une grande famille moi aussi . Et même en couple, avoir la salle de bain pour soi est parfois difficile, mais il a un avantage, tu peux prendre ta douche avec ta copine. Contrairement aux membres de ta famille. Des produits dans les cheveux. Oui tu peux mettre beaucoup, je parle d'expérience, j'en met pleins dans ma crinière. En effet , sur le bord du bain , de ma salle de bain, il avait tous les produits de Dewenty, mais aussi les miens. Il avait une tonne de bouteilles avec plusieurs utilités différentes. J'avais meme des produits pour ma chevelure pour les coiffer. Oui coté soin du corps, j'étais pire qu'une femme. L'apparence avait une place primordiale dans ma vie. Je n'avais pas choisit le chemin du mannequinat seulement pour le spectacle.
Attentif a l'histoire historique de Maru, La voiture me plait en effet, merci de me donner la chance , de pouvoir siéger dedans. Caressant sensuellement du bout de mes doigts , le coffre a gants devant moi. De la même manière que j'effleurais les cicatrices dorsales de Dewenty. Un toucher empathique, qui voulait ressentir tout le vécu de chaque détail de cette voiture. Mais je n'avais pas le don, de percevoir les récits des objets, ni même des personnes. Je pouvais que décrypter les émotions de mes protégés. Maru me dévoilait une anecdote de grand-père . Passionné d'histoires, sans doute parce que je voulais combler le vide de ma propre histoire. Je ressentais au plus profond de mon âme, une amnésie de souvenirs lointains. J'avais le pressentiment qui manquait des morceaux a ma vie. Elle était incomplète. Et seul mon créateur avait les fragments de l'oublie qu'il m' avait retiré. Mais peut-être un jour, quand je voudrais connaitre la source de mon passé. Savoir mon origine. - Je voyagerais dans les abimes de mon âme. Je voyagerais dans le temps pour connaitre mon époque ancestrale. Mais pour le moment, seul mon futur m'interressait, car il ne fallait pas que je sois nostalgique du passé, car je pourrais déterrer des fantomes. Et un seul fantome, était bien suffisant dans ma vie n'est-ce pas Karen? En pensant - femme- Maru mentionnait le prénom d'une femme que j'aurais aimer fréquenter.
Marilyn Monroe. - Ton grand-père a eu bien la chance de la côtoyer, etre son chauffeur, même pour seulement une soirée. J'aurais tellement aimer être a sa place. Être a son époque. Même si j'ai une belle vie en 2020 , que un beau futur avec tout ce que les astres ont prévu pour moi . Un mariage, un bébé. Mais que je t'avoue avec ton histoire , j'ai vraiment envie de me projeter dans mon imaginaire. Et m'imaginer une vie dans les années 50, avec une toute autre version de Dewenty , ou je serais au pouvoir. J'aurais pu être cet homme qu'elle souhaite , que je sois. Et elle , aurait été la femme que j'aurais aimée qu'elle soit. Une femme parfaite ! On aurait filer l'amour parfait a cet époque Maru. Est-ce que Maru écoutait le récit de mes reveries. Peu importe. Somlanbule . Jusqu'a que le mouchoir vienne me réveiller.. - Un mouchoir disparu ? Si tu veux, enfin si je peux me permettre je pourrais te resoudre ce mystere. Tu crois qu entre copains, je pourrais me prêtrer la Cadillac pour une soirée ? J'aimerais vraiment me faire une derniere soirée amoureuse avec Dewenty avant que le bébé arrive. Je faisais une moue gênée mais suppliante a mon ami. J'aimerais faire une promenade avec elle. Je pourrais verifier les coussins par la meme occasion non ? Promis je me metterais des draps sur les sieges au cas ou qu'elle perde les eaux. Attendant une réponse de son ami. Il ne pouvait pas me dire non ? Il était trop angélique pour ce mot n'est ce pas ?
En route direction la Mairie. Maru semblait emballé par cette sortie entre chums de gars. Moi aussi j'étais content d'être en sa compagnie, même si j'aurais tellement aimer que Benjamin , Lucy et Dewenty soient avec nous. Oui j'appréciais d'être entouré d'un groupe. - Tu crois que c'est pourquoi cette fête ? Un non anniversaire, ok mais qu'est-ce-que ça signifie ? Connaissant la réponse, car contrairement a mon compagnon de rencard. Je possèdais un reseau de contact autre que ma famille. J'avais quelques amies, oui des amies avec un '' E''. Ne vous étonnez pas ! Des caramades dans les grandes team du Royaume de Storybrooke. - Selon mes copines Violette et Aisha, c'est la fête du Maire d'ou les cadeaux demandés, ta apporté ton cadeau ? Moi je n'avais pas a repondre, car il pouvait voir le bouquet de fleurs sur mes cuisses. - Mais son anniversaire est une surprise , donc ils ont deguisé celui-ci en un evenement pour souligner son deuxieme mandat. Espérant avoir répondu correctement a l'interrogation de mon chauffeur. -J'espère que la fête sera ennuyeuse. Dewenty me manque deja vieux. Mais j'ai promis a Violette que je viendrais la saluer.
La Mairie
Arrivés a la Mairie. Je débarquais de la bagnole. Maru la confiait a contre coeur au responsable. Je percevais son inquiétude sur son visage. Et avant qu'on délaisse la voiture. Je disais a ce -fameux- géant, car moi aussi physiquement, mon apparence n'était pas celle d'un homme -montagne-. - Faites attention a la bagnole de Monsieur. Elle vient du passé. Son grand-père a dérobée la vertue de l'Actrice Marilyn Mooroe. Elle a même perdue un mouchoir entre les craques du fauteuil arrière. Donc vous comprenez son importance , c 'est une fierté de perdre sa virginité d'homme dans sa voiture. L'homme me regardait avec confusion et incompréhension, avant de filer. Dans le fond j'étais sur qu'il s'était depecher de prendre les clés des mains de Maru pour fuir - ma folie- . Même si cette histoire de fierté était vraie. Moi je serais tellement fier , de faire l'amour a ma femme dans son Jeep. Parce que ce véhicule avait un élément important a notre premier rencard, comme le garage Maru. Parce que la dépanneuse avait mis plusieurs heures a venir, nous remorquer.. Mais c'était seulement Ben qui avait jouer le role de Cupidon, en laissant Dewenty et moi se débrouiller avec le souci de mon- jeep- en panne. Et ce temps, nous avait rapprochés.
Entrant a l'intérieur du lieu de festivités, suivit de mon compagnon. On marchait vers les tables. Maru déposait son cadeau et prenait une coupe de vin. Je faisais de même, glissant une enveloppe parmi les offrandes pour le dieu flammèche. Mon présent était banal , mais il était pour toute son équipe. C'était des billets pour le défilé d'automne de la Maison de mode Agreste. Si le maire, s'interessait vraiment a ses citoyens, il viendrait me voir me pavaner sous les projecteurs , car moi aussi je pouvais être l'étoile d'une soirée. Moi aussi , je désirais être prier. Être vénéré une fois dans une vie. Je jalousais ma manticore pour sa gloire. Je voulais me sentir comme un ROI, pour elle. Je ne désirais pas que mon titre de Roi du Zodiaque, soit décoratif ici..
Pendant que Maru s'était précipité loin de moi dans le buffet sucré. Mon attention s'attardait sur ce crane de rat qui régnait parmi les paquets. Comment je devais percevoir cette offrande ? Difficile a décoder, car un cadavre d'animal pouvait symboliser plusieurs messages, dépendant de son ancien propriétaire. Ce n'était pas a moi de décrypter ce message . Ce n'était pas mon offrande. Mais voir ce rat, me faisait sortir mon telephone portable de mes poches pour envoyer un texto a ma femme. Un message dégoulinant d'inquiétudes et d'amour. Papa et mari , trop collant ? Oui !
Aller ! Aller ! Léo trouve Violette. A la voila ! Verifiant que Maru était toujours a la table au dessert. Je prenais la direction de mon amie . Pour lui offrir , son bouquet de fleurs et un bijou confectionner de mes mains. Vous pouvez demander a Plue , Axel pour les non intimes , j'avais un petit talent de bijoutier, surtout pour les bracelets d'amitié. Pour les cadeaux , je ne me souciais pas meme de l'opinion de son mec. Oui c'est mon amie. Je savais qu 'elle avait enfin un homme dans sa vie. Non ? Il était ou a juste. Il ne semblait pas a son bras. C'était indigne d'un petit copain, sauf s'il avait une belle raison comme Dewenty de rester a la maison. Était-il retenu par des enfants ? Peu importe. Violette avait recu ses cadeaux et on avait discuter un peu. Mais je savais que je ne pouvais pas m'attarder auprès d'elle après tout , elle était adjointe a la Mairie. Donc elle était une vedette de la soirée. Donc beaucoup d'attention a offrir a ses invités. Vu que c'était son idée cette fête pour son patron. Elle pouvait résumer que son rôle était Hôte.
Après ma discussion avec Violette, je rejoignais Maru qui se trouvait toujours autour du buffet et des boissons. Il avait une coupe vide dans sa main. - T'avait soif vieux! D'habitude un vin ca se sirote pour tu savoures chaque saveur sur ta langue. Oui c'étais le barmaid , même un peu le séducteur en moi qui parlait, car le vin était la boisson du Donjuan. Celui-ci savait que ce breuvage a la base de raisin était un doux exilir, qui embrouillait les sens, pour que le séducteur puisse ensorceler sa proie et qu'elle soit accessible a son charme. - Tu sais si tu as envie de faire des connaissances. Je te conseillerais une boisson plus festive comme le champagne ou des shooters. Mais si tu commences a boire, il va falloir que tu me confies les clés de la Cardillac pour que je sois ton chauffeur, et ton chaperon. Vous allez me dire qu'en ce moment , j'étais un peu trop sérieux ? Mon coeur n'était pas a la fête, il était ailleurs. Et j'avais perdu un peu la notion de m'amuser, mais surtout de me détendre. Avec l'arrivée du bébé, je deviens un homme et laisser le petit garcon derrière moi.
Et que dirait Dewenty, si je revenais a la maison dans un état critique , surtout en ce moment. Ca serait risqué. Ca serait dramatique, si je serais bourré le jour de la naissance de mon petit. Mais je pouvais me prendre une flute de champagne ,même si j'aurais préféré un lait frappé a la vanille, en attendant l'heure du départ, surtout que mon Bébé Monstre ne répondait pas a mon texto. Et j'avais qu'une envie m'éclipser. Mais cette soirée devait être ma thérapie pour me désintoxiquer , car la cherche quand elle n'est pas la . Même si j'essayais de l'ignorer, elle était toujours la dans mes pensées. Peut-être que ce verre allait me retenir a rester un peu plus longtemps. Surtout que je trouvais la fête un peu ennuyeuse. Les -party- universitaires étaient beaucoup plus animés que celle-ci. Heureusement que j'avais spotter dans la foule un personnage en couleurs, qui pourrait nous faire la conversation avec des histoires aussi palpitantes que celle de Papy Smith -Ca te dit que je te présente quelqu'un ? Viens j'ai apercu une personne forte interressante. Je suis sur que tu vas appréciée converser avec lui , des époques il en connait. il en a vécu. Lui aussi c'est un papy en quelque sorte.. Cher Professeur , vous n'avez pas échappé a mon radar vestimentaire, surtout que vous êtes vêtu d'un habit déparaillé. Le -look 1840- ce n'est plus a la mode, contrairement a l'année 50 , qui revient sur les tablettes des magasins. Peut-être devriez -vous changer la forme de votre chapeau pour passer inapercu dans la foule..
Stefan Vulpesco
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| Avatar : Claes Bang
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| Conte : Dracula | Dans le monde des contes, je suis : : Dracula, alias Vlad Teapes
La soirée est agréable. Les gens semblent de bonne humeur, les serveurs ont toujours de nombreuses coupes sur leurs plateaux pour les grands assoiffés. Dracula, pendant ce temps, observait ces gens, des policiers, des politiciens… Aucuns d’entre eux ne savait que parmi eux se cachait le monstre qui faisait disparaître de nombreuses personnes à Storybrook. Cela amusait énormément le vampire qui sirotait du vin en toute quiétude. Cette ville devait accueillir les pires incompétents qui existent à l’avis du meurtrier. C’était mieux comme cela après tout, il pouvait chasser en toute quiétude.
-Ca te dit que je te présente quelqu'un ? Viens j'ai aperçu une personne forte intéressante. Je suis sur que tu vas appréciée converser avec lui, des époques il en connait. il en a vécu. Lui aussi c'est un papy en quelque sorte..
Le vampire n’avait pas manqué cette voix qui s’était démarquée des autres. Même s’il était encore loin, le jeune homme avait attiré l’attention de la bête qui entendait très bien autour de lui. Malgré la distance qui les séparait, Stefan fut rapidement près d’eux avec un large sourire, posant ses mains sur les épaules des deux jeunes hommes.
- Le papy n’est pas sourd et vous prierait de bien vouloir ne pas me comparer à un vieillard. Si mourir à un avantage, c’est que je n’aurais jamais les cheveux blancs. Je ne crois pas avoir eu l’honneur de rencontrer ton ami Leo. Il n’est pas de l’université, je présume? Je suis Stefan Vulpesco, professeur à l’université en Mytholohie et vous êtes?, demanda-t-il à Maru en lui tendant la main.
Bientôt le maire fait son discourt. Dracula ne l’écoute que d’une oreille, regardant autour de lui. Il remarque que la seule personne qui semble le trouver drôle serait une petite rouquine qui semble fortement niaise. Il soupire au moment où des ballons leur tombe dessus. Le vampire frappe cesdits objets, ne trouvant nullement intéressant que ces objets viennent envahir son espace vital. Surtout que le matériel de ces objets puait!!! Par contre, il ne s’attendait pas à ce que les ballons se transforment en poussière et que les gens autour disparaissent. Il n’était clairement plus à Storybrook…
L’homme se regarde et il remarque que ces vêtements ont changé. Il a une tenue un peu moins chaude et plus légère. Il restait toujours assez chic et il avait son chapeau haut de forme sur la tête. Sa deuxième constatation, c’était qu’il se trouvait dans une ville construite dans le désert. Il devait encore se trouver aux États-Unis, mais clairement plus dans le Maine. Il y avait des bêtes se promenant en liberté, les gens se promenaient à chevaux. Au moins, il ne se trouvait clairement pas dans le futur. Pour en apprendre un peu plus sur ce qui se passait, l’homme alla rejoindre la taverne. Des jeunes femmes dansaient. Son regard s’attarda sur elles avant de rejoindre le bar. Il ne s’attendait pas vraiment à attirer l’attention de toute la clientèle qui se retournait sur son passage, mais bon. Il s’en fichait un peu.
- Barman, un Wisky s’il vous plais. Nous sommes dans quelle ville par ailleurs? Je me suis perdu…
Ce dernier lève un sourcil en l’air en arrêtant d’essuyer son verre et il se retourne pour regarder derrière lui. Il y avait une affiche placardée sur le mur. C’était sa photo! Mais on dirait qu’ils l’appelaient Everett Wilkins. C’était quoi, ce nom de petit garçon?
- HEY, LES MECS! C’EST LE CANNIBALE, CHOPPEZ LE!
Dracula aurait perdu la mémoire et il se serait nourrit d’humains quelques heures auparavant? Dans tous les cas, rapidement les humains l’attrapèrent. Le vampire se mit à rire.
- Si cela peut vous faire plaisir de m‘attraper, je me rends messieurs. Mais doucement, nous sommes des êtres civilisés, non? - T’as mangé ma mère, fils de p*te! - Toutes mes excuses, mais si cela peut vous soulager, son sang devait être succulent!
Ils le tirent jusqu’au bureau du Shérif qui semble tout aussi fou furieux que les autres habitants.
- Enfin nous t’attrapons, Wilkins! Ton règne de terreur est TER-MI-NÉ! - Si cela peut vous faire plaisir de le croire… Rêver n’a jamais fait de mal! Par contre, je doute que vous sachiez à qui vous avez à faire. - Ferme-là, criminel! Nous allons enfin te mettre la corde autour du cou!
Une foule s’est rassemblée autour de la pitance. Les villageois hurlent, veulent le voir mourir sous leurs yeux. Un prêtre à essayer de parler à Dracula, mais ce dernier l’a regardé avec un de ces regards affamés qu’il a fuis en courant. Le monstre a les mains attachées dans le dos et se tient debout sur une trappe fermée. Le bourreau ajute la corde autour du coup de celui qui devait-être sa victime. Dracula a un large sourire observant les gens en colère qui l’insulte. Il rit, les trouvant tous très amusants.
- Un dernier mot, assassin?, demanda le bourreau. - Hum… Je dirais… Que la ville soit à feu et à sang.
La trappe s’ouvre. La corde se tend sous le poids du corps. Le pied de Dracula s’agite dans un dernier réflexe avant que plus rien ne se passe. Le corps se balance sous le regard ravi des familles en colères qui explosaient de joie, voyant le criminel au bout de la corde. La mort lui allait bien au teint, n’est-ce pas? Sa peau est blanche comme la mort et ses yeux sont fermés comme s’il dormait. Ses bras pendent de chaque côté de son corps, moue. Il ne s’est pas débattu pour chercher son souffle. Il va très certainement rester là un petit moment pendu à la potence pour donner l’exemple aux autres fous qui voudraient s’en prendre aux gens de la ville. Les criminels ne s’en sortiraient jamais! Maintenant que le meurtrier était mort, tout allait revenir à la normal.
Pendant que les gens s’égaillaient, personne ne vit les doigts du mort se crisper. Soudain, ses yeux s’ouvrirent et ses lèvres se tendirent dans un sourire diabolique.
- BOUH! Je vous ai manqué?
Une femme hurla à la mort.
Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »
| Avatar : Rob Raco
| Conte : Manga Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )
L'heure du départ arrivait bientot pour moi. J'avais saluer Violette, offert mes cadeaux. Mais je m'ennuis deja de Dewenty et mon bébé. Je vidais ma flute de champagne et je ne comptais pas en prendre une autre. Parce que je m'étais promu chaperon de Maru. Mais même si j'avais envie d etre ailleurs. Il n'était pas encore minuit ! Donc j'avais encore un peu de temps avant que Dewenty me gronde de mon retard. Pour Maru je restais , cet homme que je considérais comme un grand frère. Vu que Ben était comme un papa pour moi. Il était le grand frère qui me sortirait des grosses emmerdes. Mais aussi des petites comme celle de venir m'aider demain a monter mon berceau. Espérant qu'il accepte, parce que je ne lui avais pas encore demander. Mais adorable comme type, il allait sans doute me dire oui ? Sans sursaut. Sans surprise. Je sentais une main se déposer sur mon épaule. Une main dont je sentais la température baisse a travers le cuir de mon blouson. Une main froide. Un froid cadavérique. C'était Monsieur Vuleesco qui venait raler a cause de ma remarque sur la vieilesse. Je comprenais pas pourquoi il se plaignait , surtout que c'était moi l'ancetre entre nous trois. Le papy n’est pas sourd et vous prierait de bien vouloir ne pas me comparer à un vieillard. Je mettais a rire a cette remarque , car j'aurais pu lui une blague sur la surdité. Une blague perverse mais j'allais m'abstenir on etait en public. Si mourir à un avantage, c’est que je n’aurais jamais les cheveux blancs. Mon sourire disparaissait a sa remarque de la mort. Je ne préferais pas en parler. Joker! Sujet sensible depuis toujours. La mort était beaucoup trop présente dans ma vie. Je ne crois pas avoir eu l’honneur de rencontrer ton ami Leo. Il n’est pas de l’université, je présume? Je suis Stefan Vulpesco, professeur à l’université en Mythologie et vous êtes? En effet Monsieur Vulpesco connaissait bien ses etudiants et le personnel de l'Université, car Maru ne faisait pas parti de l'établissement scolaire. - Non mon ami ne fait pas parti de l'Université, vous devrez le savoir aucun garcon ne m'apprécie a l'école et vous savez pourquoi. Les garcons me détestaient car j'etais trop populaire avec la gente feminine de l'Université. Il travaille dans un garage. Je vous présente Maru Smith. Tout a coup mon pantalon vibrait. C'était mon téléphone ! J'avais bloquer la sonnerie a cause de la musique de l'événement. - Je m'excuse je vais devoir m'éloigner, je crois que c'est ma fiancé qui m'appelle. Je vous laisse faire connaissance.
Je m'éloignais pour repondre a mon téléphone . Bébé Monstre ? Au meme moment, le discours du maire commençait que j'avais du mal a entendre ce que ma fiancée disait au bout du fil. Mettant un doigt dans mon oreille pour mieux entendre et bloquer le bruit. Entendre a moitié le discours, surtout le passage ou le dieu Hades parlait de ses enfants. De son fils si exceptionnel. Certes il voulait déclencher la fin du monde, mais j enviais tellement le dieu infernal. Moi aussi je souhaitais avoir un fils digne de Dewenty. Digne de de moi . Nous aussi on méritait que notre chimère soit spéciale . Jaloux, je voulais que mon fils soit aussi extraordinaire de le sien. Mais Dewenty ne connaissait pas ce souhait. Comme personne d'autre. - Tu ne m'appelles pas parce que tu as perdu les eaux ? Je lui disais qu'une voix inquiète. QUOII qu est ce que tu dis mon lapin ? J'entends rien a cause des applaudissements du Minotaure . Cette bete qui me faisait penser a mon frère etoile , taureau . Fiou je suis soulagé. Dit que notre Terreur que je l'aime fort. Il tient sa promesse, il attend que Papa rentre pour choisir une date sur le calendrier pour naitre. Mais pourquoi tu m'appelles ? Tu devrais aller faire dodo je rentre bientot. Le discours du Maire etait terminé et une pluie de ballons rouges nous envahissait. Tu veux des Fraises de France, t 'es sérieuse ? Essayait de degager les ballons qui tombaient sur moi. Bébé monstre t es encore la... Bébé.. Perte de reseau. Et le décor commencait a modifier. Hallucination ?
Entre deux mondes..
un message pour l'Hote de la soirée
MAIS QUI EST RESPONSABLE DE CA ??? - Pour répondre a la détresse de notre hôte: Hadès. Parce qu'il lui fallait absolument un responsable, vu que selon l'entrevue de la Gazette de Septembre, c'était clairement énoncé qu' il avait cette tendance a vouloir faire porter le chapeau a n'importe qui, sauf lui . Mais cher Maire , oublier le prénom de votre Adjointe. Elle était innocente ! Je défenderais toujours mon amie. Ce n'était sans doute pas un piege de celle-ci . Violette , malgré la noirceur qui sommeillait en elle , on ne pouvait pas -encore- la classer parmi le team des rouges. Enfin pas toute suite ! Elle avait encore le temps de se repentir. Donc il fallait pointer du doigt un autre coupable . Peut-être celui des temples divins dépouillés ? Ce coupable voulait ruiner l'anniversaire du Dieu infernal. Mais moi je serais plus convaincu par une autre piste celle de mon ami Agrabanais. Si seulement il pouvait être présent a cet événement, au lieu de se terrer dans son Hotel, craignant Halloween. Fête favorite de son demi frère. Oui celui-ci nous préparait toujours un mauvais tour. Mais ce n'était pas le fameux Mozenrath qui nous avait piègé, parce qu'il en avait rien a faire de ce Royaume, ni même de nous. Tout ce qui l'interressait était la rivalité avec son petit frère. Mais si Aladdin, aurait été la, sans doute qu'il aurait soupçonné le retour de ce Clown , qui avait terrassier certains habitants , lors d'un lointain Noel. Pourquoi ? Les ballons rouges , était sa signature de ÇA. Mais trouver le véritable fautif n'était pas mon rôle dans cette histoire. Vous avez une équipe de policiers, des détectives et même une équipe de super héros qui voudront sans doute enquêter, pour vous. Moi j'étais seulement une victime de cette farce ! Et votre mandat commençait très mal. Deja une catastrophe a son actif. Je porterais plainte a mon retour, car...
La - Bas , en plein paysage désertique du Dakota Sud. On était encore aux États Unis, mais un peu loin du Maine. Mais la c'était a la totale ! J'étais a une autre époque. Moi qui avait du mal a couper le cordon avec ma bien aimée, imaginer tout l'angoisse que j'avais pu ressentir au moment de cette découverte. En plus, moi qui avait toujours cet objet moderne dans un pantalon. Un pantalon qui n'était pas le mien ! Pas celui que j'avais a la fête. Mais je ne ralerais pas sur ma nouvelle apparence. Le costume d'époque m'allait a merveille. Il était a mon gout! Ce n'était pas les années 50, mais le look Cowboy riche pouvait que me plaire. Malheureusement, avec mon téléphone que j'avais ramener du futur, je ne pouvais pas capter d'ondes téléphonique. Et l'heure était grave ! Vous avez peut-etre l'angoisse sur la Promesse de fin du monde de votre fils , cher Maire. Comme vous l'avez déclaré lors de votre discours. Vous êtes peut-etre terrifier de découvrir qui est le responsable qui avait fait de votre fête , un flasco. Mais j'espère que les Enfers sont prêt a revoir leur maître , car vous devrez peut-être aller y cacher un certain temps , car pas question que je prenne le blâme pour vous car vous serez peut-être responsable d'un carnage en ville. Pourquoi ? Parce que ma femme enceinte ne pourra pas avoir ses Fraises de France, a temps , a cause de vos mystérieux ballons rouges, qui contenaient sans doute un gaz , une magie, peu importe ce que contenait vos ballonnes. A votre place, je consulterais un spécialiste du paranormal, comme le Professeur Pines, pour qu'il trouve une solution pour nous ramener a notre époque , car il ne faut jamais contrairier une demoiselle enceinte et un bébé chimère affamé. Vous n'avez jamais compris cela quand vos femmes portaient vos enfants ?
Dakota Sud 1876, dans la peau de ...
Allons a l'essentiel , a cet époque je suis le personnage Joaquin Raco, qui signifie lieu caché. Mon père Étienne Raco italien , marié a Shannen une Irlandaise ce qui expliquerait ma chevelure de flammes. Mes parents étaient des chasseurs de trésors, un peu comme le celebre couple fictif les O'Connell. Un film qui n'existait pas encore a cette époque. Ceux-ci étaient arrivés dans la région du Dakota , il y a plusieurs années par bateau puis par locomotive. J'étais donc né et grandit dans ce village du Far West. Alors que j'étais devenu un homme qui allait bientot épouser Rose Yvette Clifford , fille unique du Shérif . Mes parents voulaient m'offrir un cadeau inestimable pour mes fiançailles. Il avait entendu par les vents de l'Ouest , une histoire qui existerait un pendentif avec une pointe précieuse. Une flèche magique creer par les esprits de la Terre, qui guiderait notre coeur vers ce qu'on avait de plus cher.. Une flèche qui nous ramènera peut-être a la maison. Mais cet objet serait perdu dans les collines noires. sur le territoire amérindiens. Précision: sur la terre des Sioux. Alors que seulement leurs présences et leurs amours me suffisaient pour être heureux ce fameux jour en Blanc. Ce qui pourrait expliquer le costume que je portais a l'instant présent. Quelques jours avant mon mariage , mes parents s aventuraient a cette quête , pour ne jamais revenir.. Raison de plus pour les Blancs d 'avoir une haine pour ses Sauvages. Moi qui devait faire le deuil de mes parents , je ne pouvais pas . Je devais chasser mon chagrin de mon coeur , car pour le Shérif , il était hors de question d'annuler le mariage. Surtout que sur le testament , j 'avais hérité de la grande richesse archéologique de mes parents.. Donc vous doutez que l'avenir de Rose était assurée. Elle ne manquerait de rien . Elle serait comblée ou pas car .. - a découvrir au fil de l'histoire -
Nous sommes le jour, enfin le soir -il faut quand même respecter l'heure de la fête- ou le bandit Everett Wilkins fût arrêté a cause de son imprudence de se pointer au Saloon. Véritablement idiot cet individu, surtout se faire prendre pour un verre de Whisky. En plus d'être vampiriser par des insultes vulgaires des villageois. Il avait été condamné sans procès. Il était ou l'avocat du village ? Il devait dormir a cette heure la ou en déplacement. Le bandit avait donc eu la sentence habituelle: la potence, ordonner par mon futur beau père. -N'oublie pas de réclamer ta corde a pendre, vu que tu n'es pas mort, enfin si, mais -nos lecteurs savent que tu étais un mort vivant- sinon le Shérif allait la garder en souvenir dans un coffre- Ma fiancée: Rose et la plupart des résidents de ce village était rassemblés sur la place public pour le spectacle, éclairer par le clair de la lune et d'un immense feu. Moi ce n'était pas présent. Et ce n'était pas moi qui allait te secourir de ton sort, car j'avais une bonne réputation dans ma nouvelle peau. Et il ne faudrait pas l'assombrir, sinon on était mal et je devrais camoufler ma beauté étoilé avec un foulard dans mon visage. Mais peut-être que ma véritable fiancée et mon enfant a naitre aimerait bien savoir que j'étais devenu un voyou. Mais il fallait qu'on reste -en vie- pour retourner dans notre futur. Donc cesse de jouer le personnage indiscret, comporte toi en adulte. Et cesse de terroriser les villageois. Tu ne pouvais pas rester un instant tranquille ? Faire le mort ? Non , a tes risques et périls , tu allais finir torturer ou pire encore le bûcher t'attendait peut-être. A moins que mon beau père et le conseil de la ville prennent la nuit pour réfléchir a une méthode de t'exorciser du Diable et de mettre fin a tes siècles de vie . En attendant ses hommes allaient surement te laisser pourrir jusqu'aux premières lueurs du jour accrocher a ta corde. Bonjour les crampes! Donc soit que tu te débrouilles tout seul. ou tu espéres qu'un Ranger passe dans le coin pour te faire justice, devant un tribunal ou te délivre clandestinement, car il aura besoin de toi pour me ...
Retrouver. Époux en fuite ? Ce que les habitants allaient croire au petit matin après l'exécution du démon. C' est que les fleurs du désert , avec qui j'avais passée la nuit raconteraient, parce que pendant que le celebre Everett Wilkins était perché dans le vide. Joaquin Raco devait se marier a l Eglise en après midi le lendemain , mais ce soir il était en train de festivité la fin de son célibat avec des copains et des prostituées du Saloon dans une chambre de l'Auberge du village. Ses catins diront que Joaquin s'était éclipsé parce qu'il s'était épris d une autre femme .. Une demoiselle que personne dans le village connaissait. Une étrangère du prénom de Dewenty, car Raco avait jaser une partie la sorgue de cette jouvencelle. Et qu' alors que tout le monde dormait , il aurait quitté la chambre pour la rejoindre dans un lieu caché pour l'épouser clandestinement. Donc la logique de la situation veut que que la tête de Joaquin Raco soit mise a prix sur une affiche , car il avait des explications a donner a Rose . Et est-ce que son adultère sera un crime a punir par Shérif ? Surtout qu'en souvenir j'avais laisser , mon chapeau de Cowboy, ma paire de lunettes en face de la porte de cabine de la Toilette. Ca ne ressemblait pas a une fuite , mais a une disparition .. En faites laisse moi vous expliquer ce qui s'était vraiment passé cette nuit la.
Dakota Sud 1876, la réalité 2020
Je me présente Léo Lionstar, surnommé Loke. L'unique Esprit Céleste du Zodiaque de Storybrooke. Être venu du Futur 2020. Mon dernier souvenir etait que j'étais a cet événement de la mairie qui etait en faites un anniversaire surprise pour le maire souhaité a l'avance par ses collègues de boulot . Et vu que le maire voit toujours tout en grand , son adjointe, ma copine Violette avait envoyer a la plupart des Storybrookiens une invitation pour un party surprise . Mais la surprise de cet anniversaire était cette pluie de ballons. Mon dernier souvenir, avec cet appel de mon Bébé Monstre qui me demandait de lui trouver des fraises de France , car la terreur , mon fils , qui grandissait dans son ventre réclamait une collation a sa maman. Mais même pas le temps de lui dire : - Tes désirs seront realisés mon lapin , je t aime . Que perte de réseau. Le drame quand on est un homme aussi - Gaga- que moi avec sa petite copine. Il fallait a tout prix que je trouve du wifi ou que je rentre toute suite chez moi. Mais drama , ce n'était pas possible car...
Je me retrouverais dans une chambre avec des personnes étrangères. Des hommes inconnus, tous infectés par l'alcool. Certains se divertissaient a des jeux cartes et d'argent autour d'une table. D'autres hommes jouaient des instruments sèches. Certaines filles dansaient sur la musique. D'autres messieurs batifolaient dans des coins des femmes. Et moi aussi j'étais en bonne en compagnie ,avec belles demoiselles vetues dans de magnifiques robes m encerclaient alors que j'étais allongé dans un lit. Elles se faisaient désireuses dans leurs comportements. Essayant de m'enjôler avec beaux compliments et des gestes de séduction pour que je passe un bon moment. Mais non merci! J'étais indifférent a leurs charmes. Je leur montrais mon jonc a mon annulaire. J'insistais sur ce fait ! Je leur parlais de Dewenty sans oublier un détail de notre relation. Je leur parlais même de ma -terreur- bébé pour les non intimes. Ces filles me dévisageaient, mais elles restaient a mes cotés jusqu'a tout le monde s'assoupissent. Et que le silence règne enfin ! Et que je sois le dernier éveillé. Mais durant la soirée j'avais réussis a récolter quelques informations sur l'endroit ou je me trouvais et quelques potins du village . Parce que les rumeurs c'est toujours très importants !
Sur la pointe de mes bottes, je sortais en douce de la chambre puis de l'Auberge pour me diriger vers les toilettes de l'époque : une vieille cabane en bois. Je m'installais donc sur le trône. Branchissant mon telephone au bout de mes bras a la recherche d'un signal. N'importe quel signal. Mais aucune barre et j'allais bientot manquer de batterie donc je ne pourrais plus me réconforter de mes photos de Bébé Monstre et sa bedaine. Désespoir !Je rangeais mon appareil. Il fallait que je trouve de l'aide, car je ne devais quand même être le seul a avoir fait un voyage dans le temps ? Il devait avoir d'autres personnes de la fête. Mais qui ? Inquiet.
Alors que je ne m'y attendais pas. Soudainement j'entendais du bruit autour de la cabine. - C'est occupé ! Revenez dans plusieurs minutes. On donnait des coups bruyants dans les sens contre le bois . Qu'es-ce que c'était ce bordel, on ne pouvait faire ses besoins en tranquillité a cette époque ?. Surtout que cette histoire, me donnait des maux de ventre. Pressentiment, je me sentais encerclé. Tournoyant mon anneau doré, pour activer mon don Regulus. Aucune reaction. J'aurais du m'en douter! C'est toujours comme ça a Storybrooke. Quand il nous arrive un truc pas net, on se retrouve sans ses pouvoirs. On se retrouve sans défense. J'allais devoir me battre a l'ancienne. Remontant mon pantalon, attachant ma boucle de ceinture. Je sortais de la cabane, poings en avant. -Je vous préviens je sais me battre, je suis le beau fils du Shérif. Donc a votre place je m'abstiendrais de me faire du trouble. Mais dans la pénombre je ne voyais personne. Le vent me jouerait-il des tours ? Je faisais quelques pas vers l'avant, quand tout a coup je sentais une présence derrière moi. Un individu agile avait grimper sur le cabane, pour ensuite sauter derrière moi pour me pieger et m'agripper me bandant d' un linge médicamenté de plantes toxines sur la bouche et le nez, pour que je m'évanouisse et m'écroule sur le sol poussiéreux. Qui était ce responsable ? Qui était en train de kidnapper le marié le plus en vogue de tout le Far West ? Je ne savais pas !
C'est ainsi que Joaquin Raco , se faisait kidnappé par un sauvage. Il avait perdu son chapeau , ses lunettes sous le choc de l'attaque. Et une plume avait tombé sur le sol dans le feu de l action . Mais pour quelle raison on le kidnappe, enfin me kidnappait. Aucune reponse encore. Cet être a la peau mabrée m'installait sur son cheval tacheté sous une couverture jusqu a sa destination leur camp caché près des collines noires. Durant toute la nuit , j'avais chevauché dans un état endormi. Un trajet sans embuche..
Au camp des Sioux
Le sauvage descendit de son destrier et me prenait dans tenait dans ses bras. Tout le monde autour de nous le regardait comme un héro avec des yeux admiratifs. Les enfants s'agitaient en disant tous a la fois : - C'est lui ? C'est bien lui qui nous sauvera des Blancs ? L'amérindien sans un mot et avec son air sérieux de guerrier plumé se dirigeait vers la plus grande tente, ou se trouvait le chef de la tribu assit devant un grand feu. Le héro du clan , me déposait sur un lit de plusieurs peaux d'animaux. dans la tente. Puis il parlait au vieillard : - Voici le Ahtahkakoop Chef , êtes vous sur que c'est lui ? Le chef regardait son guerrier. - CHETAN-KINYAN les esprits de nos ancêtres ne se trompent jamais, ils ont prédit sa venue, je ressens son aura spirituel. C'est une divinité ! - Mais Mitéagamaôkwe, le Chaman a dit que dans les visions de nos ancentres, le Ahtahkakoop était ensorcelé par le plus puissant Wendigo, jamais connu. - En effet , Chetan- Kinyan mais ne t inquiète pas. Montaka et moi on va s'occuper de cet esprit avant qu'il ne soit trop tard que son coeur devienne de la glace , car le feu a revelé qu'un Ranger viendra pour le Ahtahkakoop, mais nous feront échange , il nous débarrassera du Wendigo sous promesse et tuera l abomination qu ils ont creer , il nous aidera a rétablir la paix avec les Blancs pour en échange, nous leur offrirons la pointe précieuse, qui est le seul moyen de rentrer chez eux. Et on gardera le Ahtahkakoop et il épousera ma Montaka. - Mais la pointe précieuse a disparue avec les Raco, dans nos collines noires. C'est pour ca que le Ahtahkakoop est la, il est le seul a pouvoir retrouver cette pointe précieuse. Mais il aura besoin des Blancs pour y arriver. Aller mon enfant ne t'inquiete pas. Demande a Montaka de venir.. ou était encore passée ? On fera une grande ceremonie pour le Ahtahkakoop ce soir. Le guerrier sortait de la tente, pour exécuter la demande de son père. Et moi je me retrouverais avec un fou qui allait faire quoi de mon coeur ? J'étais possédé par un quoi ? Oui j'avais entendu vaguement leur conversation , mais c'était un peu flou parce que je me sentais encore sommeillent.
Pendant ce temps au village
Rose était devant le bureau du Shérif dans les bras de sa mère en train d'alarmer tout le peuple du scandale. Elle était dans un chagrin inconsolable. Pas de mariage pour le moment ! Enfin pas avant de retrouver Joaquin Raco ! Une affiche avec son visage, enfin mon visage avait été placarder un peu partout en ville. A cette heure on se demandait que était devenu le celebre bandit possédé du Diable ? En vie .. Mort.. Et ou ? Et que faisait le beau Ranger lui qui avait comme mission de tout réparer de son don magique pour que la paix règne dans le Far West.
Maru Smith
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Scott Caan
- Ça te dirait pas de venir aider ?
- QUOI ? Moi aussi je t'aime bébé !
| Conte : Planes 2 | Dans le monde des contes, je suis : : Maru
Maru venait tout juste de faire connaissance avec le professeur Vulpesco lorsque la musique s'arrêta et laissa place au discours du maire. Dommage, il aurait aimé en apprendre plus sur cet homme passionnant qui semblait connaître l'histoire mieux que personne. Pendant que le maire achevait son discours, le garagiste continuait à se goinfrer de délicieux petits fours. Un ballon lui tomba sur la tête, puis un autre, puis des centaines de ballons descendirent du plafond et recouvrirent la salle d'un rouge éclatant. Si au départ cela était plutôt drôle de devoir chercher son chemin à travers le labyrinthe de ballons, Maru cessa de rire immédiatement lorsqu'ils se mirent à éclater en poussière. Le brouillard enfin dissipé, il remarqua au-dessus de sa tête un plafond de bois qui n'avait plus rien de semblable à celui de la salle des fêtes. Il tenta de se retourner, mais fut bloqué par un mur et puis un autre mur, le pauvre garagiste était enfermé dans un coffre juste assez grand pour qu'il puisse y tenir debout. Entre les lattes du plancher, les rayons du soleil venaient lui réchauffer la joue. Il ne pouvait pas voir à travers, mais l'odeur de terre lui fit comprendre qu'il n'était sans doute plus dans une salle des fêtes. Pris d'une soudaine panique il donna de grands coups de pieds dans le couvercle et parvint enfin à se libérer de son cercueil.
Décidément, monsieur le maire était doué pour les tours de magie. La grande salle avait laissé place a une immense étendue rocheuse. Son ami Léo, le professeur Vulpesco et les invités avaient tous disparus. Maru était perdu au milieu d'un désert, avec pour seul repère une voie de chemin de fer au loin, qu'il décida de rejoindre au pas de course. Et que pouvait-il bien faire dans un cercueil en plein milieu du désert ? Le tintement métallique de ses éperons lui fit réaliser qu'il portait une étrange panoplie de cow-boy: bottes noires, foulard autour du cou, veste en cuir clair, chemise bleue à bretelles et pantalon gris foncé recouvert de sable. Il remarqua à sa ceinture une vieille gourde trouée, un petit couteau et un pistolet. L'ancien soldat avait une très forte aversion pour les armes à feu, mais jeter la seule arme à sa portée aurait été ridicule étant donné les circonstances, il l'a garda à sa ceinture, espérant ne pas avoir à s'en servir. À moins d'être au Texas on ne s'habillait plus du tout comme ça en 2020. Il épousseta ses nouveaux vêtements et remarqua le sang sur sa chemise. Il retira sa veste et inspecta son ventre, mais il ne souffrait d'aucune blessure, sinon de la soif. En revanche, dans sa poche il trouva une lettre fort intéressante adressée à un certain Scotty Mcfly.
Me voilà en ville pour affaire et j'apprends avec un profond désabusement, que le futur fiancé de ma fille chérie, ma Rosie, a pris ses jambes à son cou juste avant le mariage. Cet ingrat mérite la potence. Il a attendu que je sois parti pour fuir, rejoindre une peau rouge à ce que certains racontent, il fricote avec les sioux.Voila le portrait du maudit bâtard, tu dois me ramener Joaquin Raco en vie et si ce n'est pas possible ramène moi au moins sa tête pour habiller les épouvantails de mon jardin. Je saurais te remercier gracieusement,
Non il n'hallucinait pas, la date indiquait bien 1876 et la photo qu'il tenait dans les mains n'était pas celle de Joaquin Raco, mais de son ami Léo. Personne ne pouvait lui ressembler autant, c'était tout simplement impossible. Si Léo était Joaquin Raco, Maru était-il Scotty Mcfly? Il n'en avait pas la moindre idée, mais ce petit bout de papier eu le mérite de lui redonner espoir de ne pas être seul dans cette galère. Bien décidé à en découdre avec toute cette histoire et à rentrer chez lui pour terminer une commande très importante qui l'attendait au garage, Maru décida de se mettre dans la peau de Scotty Mcfly et de retrouver Joacquin Raco.
Scotty marcha le long du chemin de fer sans croiser un seul train. Au-dessus de sa tête tournoyait une nuée de vautours affamés. Ils étaient attirés par quelque chose non loin de là, une créature étalé au sol derrière les restes d'une calèche éventrée, une jument blessée. Incapable d'abandonner un pauvre animal sans défense, le cow-boy lui vint en aide et parvint après de longues minutes à gagner sa confiance. Il retira la flèche qui était plantée dans sa patte et l'enroula dans sa chemise pour empêcher de sang de couler. Scotty trouva beaucoup de réconfort auprès de l'animal qu'il surnomma Ginette et décida de faire route avec elle. La vieille jument lui donna la force d'avancer et le guida à travers les Badlands, sans qu'il ne s'en rende compte, vers la ville la plus proche qui était Fort Pierre.
Les heures passèrent sans qu'il ne croise âme qui vive. Il était à bout de force, assoiffé, lorsqu'il décida de s'arrêter pour se reposer un peu à l'ombre d'un grand arbre. Il s'affala mort de fatigue, prêt à s'endormir lorsque la voix d'un homme retentit très proche de lui. Surpris Maru se leva d'un bond et inspecta les alentours. Il n'y avait personne, sinon Ginette qui le regardait d'un œil inquisiteur. La soif l'avait-il rendu complètement fou ? Il leva la tête et compris avec horreur qu'un homme était pendu à l'arbre. Il le reconnu immédiatement :
- Professeur Vulpesco ? Je... j'arrive !
Ni une ni deux, Scotty utilisa ses dernières forces pour rompre la corde à l'aide de son petit couteau. Le corps du professeur tomba de toute la hauteur pour s'écraser au sol sans que le cow-boy n'ait le temps de le réceptionner.
- Tout va bien professeur ? Comment avez-vous... vous étiez pendu a... mais bon dieu qu'est-ce-que vous foutiez pendu a un arbre ?
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Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »
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| Conte : Manga Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )
Je n'étais pas au courant que Scotty Mcfly, enfin Maru avait été engagé pour retrouver Joaquin Raco -moi Léo Lionstar- pour être retrouver. Mais heureusement, parce que je suis un mec en grave détresse, comme mon professeur d'ailleurs. J'espérais qu'a l'heure qui était, il n'avait pas fini comme Sonia dans Underworld. Griller et sans vie a la lumière du jour. Dans le Far West , la vie était difficile . On etait facilement fiché. Je devrais m'y faire pour l'affichage de mon minois de bichon, ce n'était pas la première de ma face était dans les dossiers criminels. Oui étonnant avec ma bouille d'ange ,mais je suis un ancien meutrier qui a accidentellement assassiné le premier amour de sa vie, deux fois. Le mot accidentel est très important dans ce chapitre de ma vie. Le véritable meurtre de Karen, j'ai été impliqué involontairement. Elle a été tuée par une autre constellationniste qui la jalousait pour ses esprits. Et moi radicalement je voulais lui faire réaliser qu'il fallait qu elle traite mon espèce avec amour. Donc par la faute de la porte de mon monde ouvert. Elle était sans défense et décédée. Après on se demande pourquoi , je vois son fantome. Culpabilisation éternel. Bref c'était une partie de l histoire courte du chapitre de la vie de conte. Sa deuxieme mort , était que des souvenirs qu'on m'avait tatouer dans l'esprit. Karen morte , dut a une dispute conjugale. Coupable, j'avais condamné a la prison de Storybrooke . La j'avais connu mon Duff. Mon Benjamin ! Donc être fiché par les autorités c'était presque une anecdote repetitive de ma vie. Le destin. Un deja vu.
Heureusement , je pouvais toujours compter sur mes amis, peu importe qui. Et que mon ami devait me ramener auprès du Shérif Clifford, espérons le q qui était furieux contre moi parce que j'abandonnais sa fille chérie, Rose . Rosie pour les intimes. Je l abandonnais face a l'Autel de la Chapelle parce que je fricottais avec les améridiens. Sioux pour les intimes. Certains diront que je l'avais cocu avec une peau rouge. Le pire dans l'histoire c'était qu'on voulait me punir, enfin punir Joaquin pour ce crime. Vous avez compris dans ce maudit bordel- chanson de Chantal toupin- quoi ce n'est pas cette chanson la que je dois adapter dans ce rp ? Oups ! J'étais un autre homme. Et selon le Shérif, mon beau pere par alliance, croyait que Joaquin ne méritait pas sa petite fleur chérie. Donc on lui brise la nuque comme punition. Décidément je n'ai pas de chances avec les beaux pères, sauf le chef des Sioux qui nous veneraient a cause des prémonitions ancestrales de son peuple ou des esprits auquels les améridiens ont toujours crus. Avec Monsieur Clifford et Monsieur Maantekor, le pere de Dewenty qui était ma véritable épouse , ca me faisaient deux beaux pères qui voulaient ma peau.
Ah les femmes , ils me mettent toujours dans le trouble. Pourquoi les américains ont du mal avec le Polyamour ? Pourquoi je ne peux pas faire comme mon ami Agrabanais et avoir mon Hareem ou quatre épouses. Parce que Léo Lionstar-moi- a mit fin au chapitre des groupies , depuis le jour que j'avais compris que j'appartenais a qu'une seule femme . Que j'étais sa propriété pour les siècles a venir. En vrai, j'appartenais a deux femmes, une magiquement par le lien avec ma clé et l'autre par amour. Même si il avait cette théorie d'envoutement par la voix, qui planait comme une auréole au dessus de ma tête. On se croyait dans une autre version inversé de la petite sirène. Cette femme en question, ce n etait ni la fille du Chef Sioux. Ce n etait ni la fille du shérif. Donc pas Rose et Montaka. Non c'était Dewenty ! Avec toutes ses femmes que je vous cite , vous allez vous perdre . Vous comprenez pourquoi je suis dans un maudit bordel ? Trop de femmes s'agravite autour de moi. Mes histoires, peu importe le monde et temps étaient toujours basées en lien avec le sexe féminin. Donc il ne fallait pas s'étonner que Joaquin est un peu comme l ancien moi, et qui va épouser deux femmes. Heureusement que Dewenty n 'étaient pas au courant de cette aventure. Je finirais dans le jardin de l'horreur. Mais mon bébé aurait le droit que lui raconte l'histoire rigolote de Joaquin Raco. Mais est-ce que je dois attendre sa naissance pour lui raconter ou je dois être honnête avec mon bébé monstre et tout balancer pour que mon enfant dans son ventre puisse avoir accès a l'excuse que Papa donnera a maman pour ne pas avoir rapporté ses fraises de france a temps.. C est sans doute ce que je vais faire. Toute facon, elle avait juste a m'ensorceler de sa voix de sirene ou de son coquillage magique pour que je craque et que je releve tout. Il avait aussi d autres méthodes de me convaincre de raconter mon récit , mais on va garder ses méthodes pour sous les draps !
Introduction terminé, passons au vif du sujet pendant que j'attendais que mes compagnons de soirée me portent secours. J'étais enfermé dans la tente du chef et une cérémonie se préparait en mon honneur. Le chef de la tribue avait quitté sa demeure drapé pour me laisser seul avec Montaka, une de mes prétendantes du passé. Enfin sa fille. Elle était plutot belle a regarder. Moins que Dewenty bien sure. Mais Montaka et Rosie avaient une petite ressemblance avec mon épouse du présent et du futur. J'étais allongé sur des peaux d'animaux, dans une tenue différente. Une tenue sioux. Donc a moitié a plumes. Orné de plusieurs décorations comme un sapin de Noel. Ma peau était meme peinturé comme dans un reave ou le néon etait le thème. Ligoté au poteau de la tente . Heureusement pour Dewenty, on n 'était pas un remarke de pocahontas et je n allais pas chanter notre histoire d amour avec la sauvage a mes cotés. Toujours pas la bonne chanson a caser. Oups !
Mais j aurais poéter les paroles si c'était la bonne epouse qui se retrouverait devant moi, parce qu elle méritait les beaux hits du Western. Et en tant que musicien , je ne chanterais jamais ma premiere competition du début de ma carrière hollywoodienne. A Storybrooke, je n avais pas percer dans la chanson, plus dans la mode mais quand j'avais affaire a Los Angeles pour affaires artistiques et voir Jacqueline une starlette avec qui j avais eu une aventure l année passée. Donc le fruit de ma carrière artistique, avait donné un enfant . QUOI ? Oui Léo Lionstar c'était reproduit sur un autre territoire que le sien. En vrai l histoire etait beaucoup plus compliquée que cela. J avais seulement offert ma semence a une mortelle pour réparer mes bétises de Donjuan. Pour que le couple de Jacqueline puisse se reconstruire au lieu de se detruire par ma faute. Ce bébé n etait pas le mien. Je ne l assumais pas. J etais simplement un géniteur comme mon créateur. Contrairement , a Bébé Terreur que je désirais . Je suis un vilain garcon ? Oui on ne me surnomme pas Loki pour rien.
Meme avec ma bouille d ange je seme la discorde dans l amour. Donc revenons a cette chanson qui put.. Jamais je ne chanterais a Dewenty. Ni meme a aucune femme d ailleurs, ma première chanson que certain Renaud , ma piquée lors d une soirée a l'époque ou j'étais en vadrouille et en pleine débauche. Alors que j avais filé au Quebec pour rencontrer Roch Voisine. Jamais je ne chanterais la chanson leur a pas plus. Je préférais qu on m'exorcice du Wendigo que chantonner ses horribles paroles , parce que c est que les Sioux avaient prevu pour moi lors de leur ceremonie , me déposeder de Mon Wendigo, qui etait en faites une manticore , parce que Montaka m avait confier que j'étais ensorcelé par cet esprit et qu un jour mon coeur deviendrait de glace . Un jour je serais un Léo du Lion méchant parce que l amour peut nous rendre mauvais.. Et nous transformer en Monstre. Mais qu est ce qui se cache derriere cette croyance de Wendigo ? Une théorie ou Dewenty serait une incarnation d un autre genre d Ursula ? Sans doute , parce que peu importe le prenom qu on lui donne Vanessa, Ursula , Manticore, Wendigo etc. Dewenty avait une puissante emprise sur moi et c etait peut-etre pas seulement de l'amour.. Mais c'était magique. Et pour moi elle etait ma sorcière des mers. Et je l aimais divinement. Donc mes chères épouses du passé oubliez moi, une femme m attends a la maison. Alors vous arrivez Maru et Dracula qu on rentre ? Après tout c est ca que je veux depuis le début que la soirée finisse . J ai une histoire a raconter a mon Bébé.. Il était une fois un cowboy du nom de Joaquin qui ...
Stefan Vulpesco
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| Conte : Dracula | Dans le monde des contes, je suis : : Dracula, alias Vlad Teapes
Il était pendu à son arbre depuis pas mal d’heures. Les gens s’étaient enfuis en courant, laissant le pendu sur place suite à son intervention fort surprenante puisque d’habitude, les pendus ne pouvaient plus délier leurs langues. Dracula commençait à s’endormir quand un homme approcha. Il ne semblait pas l’avoir remarqué en arrivant. N’était-ce pas le copain de son étudiant par hasard?
- Hého! Monsieur! J’aimerais de l’aide pour descendre s’il vous plaît! Vous seriez serviable de couper ma corde!
Enfin! Il réagissait. Ce dernier sortit son couteau pour trancher ce qui le retenait dans les airs. Non pas qu’il était gêné par la moindre douleur. Être pendu ne lui faisait même pas mal, mais disons-le, il avait hâte de se dégourdir les jambes! Le vampire tomba sur le sol assez peu gracieusement, mais, comme si de rien n’était, il se releva en époussetant ses vêtements.
- Qu’est-ce que je faisais pendu à cet arbre? Oh jeune homme, je profitais du soleil pour bronzer un peu, voyez-vous…, dit-il en roulant les yeux au ciel. Voyons, je pense que vous vous doutez bien qu’on m’a pendu contre mon gré pour un crime que mon homologue a fait.
Il regarde autour de lui, cherchant du regard quelque chose et il sourit en voyant ce qu’il cherchait.
- AhAH! Voilà un motel où se poser, mon cher. Maru, c’est bien cela? Ne devrions allez nous reposer. Je ne sais pas ce que vous comptiez faire, mais si vous êtes ici avec moi, Leo aussi et il faudra être parti demain pour le retrouver avant qu’il fasse une bêtise.
Sans attendre, il prit la direction du bâtiment. Il rentra dans l’établissement en causant quelques regards. Une jeune femme lui sourit et il le lui rendit en s’approchant du commis.
- Deux chambres pour deux personnes, mon bon monsieur. Voici la monnaie, il dit en tendant l’argent de l’époque que son homologue semblait avoir sur lui. Il semblait ne pas manquer d’oseille!
Il reçut les clés, il remercia l’employé avant de tendre un des deux objets à Maru.
- Je vous laisse aller vous coucher. Il y a une magnifique jouvencelle qui me fait de l’œil. Bonne nuit, mon cher.
Le lendemain, lorsque Maru sortait de sa chambre, une femme sortie de la chambre de son voisin suivit de près par Dracula qui semblait satisfait.
- Elle venait d’avoir 18 ans. Elle est belle comme une enfant, belle comme une femme aux courbes voluptueuses. Évidemment, si certains seraient gênés par la différence d’âge, je n’en fais plus cas depuis une bonne centaine d’années. Peu importe qui je fréquente, il sera toujours plus jeune que moi. Je l’ai séduite pendant qu’elle me regardait avec la candeur infernale de sa jeunesse. Cette jolie déesse était vraiment talentueuse dans un lit.
Maru Smith
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| Avatar : Scott Caan
- Ça te dirait pas de venir aider ?
- QUOI ? Moi aussi je t'aime bébé !
| Conte : Planes 2 | Dans le monde des contes, je suis : : Maru
En aidant Stefan à se relever de sa chute, Maru constata que ce dernier était un homme plutôt solide pour survivre et blaguer à propos de sa propre mise à mort. Une petite pendaison sous le soleil de midi et le voilà sur pied, frais comme un gardon prêt à reprendre la route.
- Quelque chose me dit que votre homologue n'a pas fini de nous causer des ennuis... Espérons que vous ayez une meilleure réputation auprès de la communauté de Fort Pierre, c'est la direction que nous devons prendre si nous voulons rejoindre le motel indique ce vieux panneau. Dans le pire des cas je pourrais dire que je vous ai capturé, d'après cette lettre je suis un ranger respecté du shérif... et probablement pas très doué vu que j'étais enfermé dans un cercueil en plein milieu de nulle part. Regardez la date sur la lettre, nous avons fait un énorme bond dans le passé. Et si on en croit cette photo, Léo n'était pas loin lui non plus. Pourquoi nous envoyer ici, pourquoi avoir changé nos identités? Le maire est-il derrière tout ça ? Il y a forcément une raison...
Pendant que Maru se triturait les méninges, le professeur se remettait tranquillement de sa pendaison, comme si de rien était. Il y avait quelque chose d'inquiétant une sorte de mystère autour de cet homme, mais ils étaient ensemble dans cette galère et partir seul de son côté n'aurait rien arrangé à la situation. Maru décida de ne pas poser plus de questions pour le moment, mais de rester sur ses gardes. Les deux hommes marchèrent en direction du Motel, à leur côté Ginette, toujours vaillante, qui commençait aussi à trouver le temps long. Maru était au bout de ses forces, complètement déshydraté. Le ranger avait tellement soif qu'il se rua sur le premier rocher croisant sa route, pensant qu'il s'agissait d'une fontaine à eau. Bientôt tous les rochers de la pleine se transformèrent en lavabo.
- Regardez professeur, ce magnifique lavabo, n'est-il pas beau ce lavabo ? Et ce bidet, beurk on ne peut pas boire dans un bidet. Le bidet il est laid ! Il est beau, il beau, il est beau le lavabo !
Un enfant de 4 ans avait pris possession du corps du ranger, ou bien le soleil avait-il finit de lui griller les méninges ? Rendu fou par la soif, la peau aussi rouge qu'une écrevisse dans un plat de sauce tomate, Maru s'agrippait à son rocher comme à une bouée de sauvetage. Une chance que le professeur ait été là pour le réveiller d'une bonne gifle.
Lorsqu'ils arrivèrent enfin aux portes de Fort Pierre, Maru s'écroula de fatigue, à moitié mort de soif. Il ne se réveilla que quelques heures plus tard, dans un lit aux draps de soie brodées. Ses vêtements sales lui avaient été retirés et des femmes le lavaient avec soin. Il réalisa rapidement qu'il était nu et bondit du lit, arrachant les draps pour les enrouler autour de lui.
- Merci, euh merci mesdames je ne veux pas paraître impolies, mais je crois que je peux me débrouiller tout seul, c'est vraiment gentil de euh de votre part !
Les filles se mirent à glousser et à faire des messes basses entre elles, a priori la situation les amusait beaucoup. Scotty jouissait d'une très bonne réputation à Fort Pierre, ce qu'il ne tarda pas à comprendre en voyant la richesse de la chambre dans laquelle on l'avait installé. L'insolation l'avait mis complètement KO, il avait l'impression d'être dans un rêve. L'homme à présent rhabillé regarda par la fenêtre, la ville était animée de charrettes allant en tout sens, d'hommes et de femmes faisant leur courses auprès des étales, d'enfants jouant aux osselets et de poivrots se défiant au poker. Des banderoles indiquaient qu'une fête était en préparation. Quel mauvais blagueur ce maire et combien de temps cela allait-il encore durer ? Maru pensa à sa famille, il venait tout juste de les retrouver et l'idée de les perdre à nouveau lui était insupportable. En sortant de la chambre, il croisa le professeur en très bonne compagnie. Le bougre n'avait pas perdu de temps, grand bien lui fasse, mais pour Maru il n'était pas question de perdre une seconde de plus.
- Professeur, madame, salua-il en retirant poliment son chapeau, ce n'est pas qu'on soit pressés, mais je pense qu'il vaudrait mieux partir à la recherche de Léo tout de suite, avant qu'un drame ne se produise. Regardez cette affiche, il y en a dans toute la rue. Nous ne sommes pas les seuls à le chercher et le shérif le veut mort ou vif. Si on en croit cette lettre, nous trouverons notre ami auprès des Sioux. commençons par demander quelques informations auprès des gens de l'hôtel.
Sans attendre, Maru questionna le tenancier à propos de Joaquin Raco. Ce dernier cracha derrière son comptoir après avoir prononcé le nom interdit. Il confirma tout ce qui était dans la lettre, Joaquin s'était enfuit avec les sioux, abandonnant sur l'hôtel sa future femme. Mais le retrouver ne serait pas une mince affaire, il leur faudrait traverser à nouveaux les Badlands et rejoindre les montagnes de Black Hills.
-Si j'étais vous messieurs, j'abandonnerais l'idée de me rendre là-bas aujourd'hui, le 7eme régiment se prépare à nous débarrasser de ces maudits Sioux. Ça va pas être joli joli, pour les Sioux je veux dire, car le général Custer c'est pas un rigolo. On prépare une fête pour le retour de nos soldats, restez avec nous et profitez de toutes les bonnes choses que vous offre Fort Pierre.
Déclara-il en désignant les demoiselles derrière le comptoir. Bien que fort sympathique Maru refusa l'offre, au grand désespoir du professeur qui aurait sans doute préféré profiter des dites « bonnes choses »...
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