Morrigan M. Cornouailles « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! » | Avatar : jenna coleman
Je crois que tu as su voir en moi qui je suis vraiment avant que l'obscurité ne remplisse mon coeur. Tu étais mon ami, qu'en est-il aujourd'hui ?
La fratrie, c'est pas toujours facile.
| Conte : merlin l'enchanteur / légendes arthuriennes| Dans le monde des contes, je suis : : morgane | Cadavres : 315
________________________________________ 2020-10-01, 18:25 ✧ @"libre"
Le bourbon, c'est pour les faibles◇ ◆ ◇
[b]Mon regard se porte sur l’écran d’accueil de mon portable, 20h15. C’est fou comme le temps passe quand on s’amuse. Haha, c’est de l’humour. Mettant un dernier zéro sur la copie que j’avais devant les yeux, je me lève et m’étire. J’étais fatiguée, j’en avais marre de tourner en rond dans cette maudite vie que m’avait fait sans que je le veuille cette saleté de malédiction. Il fallait vraiment que j’ai une conversation avec Regina. Rangeant mes affaires, j’enfile ma veste et quitte ma salle de classe, fermant la porte à clé derrière moi. Entrant dans la réserve, je vérifie que mes plantes vont bien avant de quitter les lieux. Mes talons claquant sur le sol, je me rends jusqu’à ma voiture avant de monter. Roulant jusqu’au centre ville, je me gare et me dirige au Roni’s. Ce n’était pas en ce vendredi soir que je parlerais à Regina mais j’avais envie de passer une soirée tranquille et quoi de mieux que ce fameux bar ? Entrant à l’intérieur, je m’installe à une table de libre et commande un verre de bourbon. Me rendant aux toilettes, je reviens quelques minutes plus tard et croise la serveuse qui me donne mon verre en main avant de se faire bousculer et que l’entièreté du verre ne se retrouve sur mon chemisier. « non mais vous pouvez pas faire attention ! » hurlais-je « ce chemisier vaut deux fois plus que votre maudite vie ! » énonçais-je avant de retourner aux toilettes pour tenter de nettoyer les dégâts. Sortant, je soupire et retourne m’asseoir à la table avant de commander un autre verre et une assiette de frites. La pluie commence à tomber à l’extérieur quand mes frites arrivent. La salle commençait à se remplir. Apparemment, il y avait une soirée karaoké ou quelque chose dans le genre. Une personne vint près de ma table pour me demander la permission de s’asseoir. Je lève le regard et fixe la dite personne pendant quelques minutes avant de faire un signe de la tête « si vous voulez. » énonçais-je avant de boire une gorgée de bière vu que j’avais changé de boisson puisque mon bourbon avait fini sur mon chemisier.
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