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I didn't expect that

Gabriel Agreste n'avait plus personne pour lui dire quoi faire. Alors il s'écouta lui-même, encore, prêt au pire pour corriger ses erreurs. Depuis son retour sur Terre - à Storybrooke, il avait réfléchi à un moyen de ramener sa femme non plus à la vie, non plus son corps, mais simplement son âme au Paradis. Il se battait toujours pour la même chose, jamais le même combat mais toujours par sa faute. Châtiments sur châtiments, il revoyait encore le regard d'Undertaker le rabaisser d'un sourire, le corps désordonné de sa femme zombifiée qui s'approchait chancelante de lui pour le mordre puis le mépris des deux héros... Dont l'un était son fils disparu depuis plusieurs jours maintenant. Tout s'effondrait et fidèle à lui-même, le styliste se renferma sur lui-même pour focaliser ses meilleurs plans sur les semaines à venir. Il passa le plus clair de son temps dans son manoir à imaginer les scénarios les plus extravagants pour venir à bout de ses problèmes puis se rendit quelques fois dans un quartier mal-famé nommé, majoritairement "Hazbin Street", là où il retrouvait le bourreau. Paradoxalement, le bourreau aidait à résoudre ce qu'il avait aidé à créer comme un châtiment. De quel droit ?

Une nuit, alors que Gabriel rentrait d'un énième rendez-vous qu'il s'était permis de prendre de lui-même, il quitta au plus vite un premier quartier et traversa le second sous les faibles éclairages des lampadaires. Sans aucun moyen de défense, sans sécurité, sans véhicules... Vêtu simplement de son large manteau gris et d'un chapeau masquant son regard baissé, il traçait sa route et espérait ne pas se faire interpeller. Sans masques, sans costumes, sans pouvoirs... Il ne savait pas se battre, attaquer ou se défendre. C'est pour quoi, serré dans sa paume elle-même plongée dans sa poche, il l'avait pris. Le Miraculous du Paon. C'était juste au cas où, se répétait-il. Juste au cas où. Ce n'était pas celui du Papillon, n'était-ce pas déjà cela ? Il faisait tant d'efforts pour se démarquer de son rôle de méchant, de son passé d'ennemi. Ce n'était pas le moment de replonger.

"Hey, petite, tu vas où comme ça ?" 

Une voix s'éleva. Ce n'était pas lui qu'elle visait mais pire encore, Gabriel s'inquiéta qu'une autre personne soit victime d'une mauvaise rencontre. C'était peut-être ce qui le différenciait des vrais méchants dont Undertaker pouvaient faire partie... Lorsqu'un problème survient, même si celui-ci ne le concerne pas, il ne détourne pas le regard. Ainsi, le styliste s'avança dans la pénombre près d'un lampadaire qu'il ne remarqua pas spécialement mais qui savait lui créer une ombre au sol. Il découvrit alors, dans une ruelle, trois hommes vêtus de noir prendre au piège une jeune femme rousse. Que faire ? Gabriel hésita. Il serra encore une fois son Miraculous dans la main, y songeant forcément, lorsqu'un des garçons masqués se retourna pour répondre à son coéquipier.

"Non, y a personne i-... EH TOI !"

Gabriel avait été aperçu de tous. Le lampadaire, pensait-il. Il n'avait pas été malin pour se cacher. Levant rapidement ses deux mains dans les airs comme pour s'innocenter de tout mauvais acte, il recula.

"Je... Je ne voulais pas... Attendez... 

-Toi là ! Poursuivit le second. Tu cherchais à faire quoi ? T'es un des petits partenaires de la petite ?

-C'est forcément le cas, regardez comment il est habillé ! C'est un complice !" 

Complice ? La conclusion fut vite aboutie. Amenés par l'élan de la "discussion", ils s'avancèrent dans l'idée de régler le compte à l'individu. Celui-ci avait dans l'idée de fuir, il l'espérait, du moins, même si la jeune femme qu'il avait souhaitait aider il y a encore quelques minutes avait pris les devants pour gérer les deux situations à la fois. Pour faire bref, et cela le fut, elle mit à terre l'un des hommes et s'attaquait à l'autre. Le troisième venait toujours sur Gabriel, prêt à lui filer une droite.

"Bouge paas !" Lançait-il dans ses mouvements que le créateur tentait d'esquiver.

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L'homme vêtu de noir s'approchait dangereusement du styliste, le célèbre Gabriel Agreste. Officiellement, il ne savait pas se battre. Seul créer était son arme - très peu utile actuellement. Par contre, en tant que Papillon, il avait pu à de nombreuses reprises utiliser les arts martiaux et savait se défendre avec agilité. Pouvait-il agir en circonstances maintenant ? La surprise et la réticence à replonger dans ses mauvais tournants l'empêchèrent d'agir. Sur le point de se prendre une droite, c'est acceptant son sort qu'il observa alors l'attaquant tomber à la renverse devant lui, sans pouvoir terminer son geste. Derrière-lui, la jeune femme se tenait, grappin en main. Elle s'avança vers lui, évitant les malfrats. Pour toute réponse, Gabriel hocha une tête baissée pour la masquer à l'aide du revers de son chapeau. 

"Et vous ?" Se sentit-il obligé de demander. 

Question ridicule au vue de la situation que la jeune fille avait retourné sans le moindre problème. Il n'aurait pas du être ici, s'inquiéter pour elle. Elle n'en avait définitivement pas besoin. C'était lui qui se mettait en danger à rester dehors aussi longtemps alors qu'habitué à l'oppression de ses quatre murs depuis des jours. Il n'était pas à l'abri qu'elle le reconnaisse même si la nuit et sa tenue donnait avantage de la situation. Elle n'avait pas, non plus, forcément l'air de s'intéresser à la mode. Ce n'était pas une raison, pourtant, pour engager une discussion autour d'un café. Gabriel, replié, s'écarta de quelques pas pour descendre du trottoir. 

"Si vous allez bien, alors je n'ai plus rien à faire ici. Stipula-t-il d'un regard vacant. Je rentre chez moi."

Mais le bruit d'un hélicoptère l'interrompit et ses yeux se levèrent dans le ciel, cernant un rayon lumineux large et puissant qui encerclait des zones du quartier par un projecteur. Les meneurs semblaient chercher quelqu'un et le pire, dans tout cela, c'est que du quartier, la jeune rousse et le styliste semblaient être les seuls dehors à cette heure-ci. Gabriel grimaça. 

"Qu'est-ce que c'est encore que ça ? Il se tourna vers l'héroïne. Vous êtes recherchée ou c'est une simple coïncidence ?" 

Le bijou du Paon jonglait entre ses doigts plongés dans la large poche de son manteau. Il suffisait d'une transformation, l'utilisation du désespoir - quelconque soit-il - de l'inconnue pour vaincre les obstacles sur son passage et c'en était terminé. Gabriel rentrait chez lui... Mais non. C'était impossible. Tout ne serait pas aussi simple. Lad-... Marinette. Et Adrien. Ils finiraient par savoir. Mais que leur devait-il, désormais ? Justifier ses actes revient à se plaider impardonnable.

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Même aider revenait à se créer des ennuis, de nos jours, voilà ce que retenait Gabriel de cette mésaventure. Mais c'était terminé, se rajoutait-il alors en tête. La jeune femme s'en était très bien sortie, presque mieux que lui, et arborait un fier sourire à l'homme alors qu'il tentait encore de comprendre où et pourquoi il était là. Il fallait qu'il retourne au manoir, là-bas seul pouvait-il se sentir un minimum en sécurité. Poliment, discrètement, le styliste avait souhaité faire ses au revoir et quitter les lieux pour sombrer dans l'obscurité. Mais l'individu le retint d'une parole. Elle demandait son prénom et cette question fit froncer les sourcils de Gabriel alors qu'il tournait une tête perplexe dans sa direction. Lui non plus ne connaissait pas le sien mais voilà, il s'en portait très bien. Il comptait sur cette réponse pour clore la discussion mais les battements d'hélices dans les airs amenèrent sur un tout autre sujet que le styliste n'était pas près de conclure, cette fois-ci. 

Une coïncidence, pensait-il tout d'abord tout haut, peu probable. Jamais. La jeune femme lui confirma ses peurs bien vite alors qu'elle sortait discrètement une dague en manche doré qu'elle exposa vivement avant de la dissimuler à nouveau pour ne pas attirer l'attention. Chose de toute manière faite. Gabriel Agreste écarquilla deux grands yeux ébahis face à l'affaire dans laquelle on l'embarquait.

"V-... Vous avez volé cet objet ? Et cet hélicoptère, pointait-il du doigt, vous poursuit, vous ??" 

Il ne fallait pas chercher à comprendre, qui cherchait à comprendre désormais les actions des habitants de cette ville ? Il y avait tant de choses à dire, à faire, à justifier. Et le styliste n'avait juste pas le temps de s'y consacrer. 

"Cette histoire ne me concerne en rien, ce sont les conséquences de vos actions qui nous - non, vous - ont conduit ici." 

Campé sur ses positions alors que la jeune aventurière faisait se fixer un grappin d'escalade à un toit, il n'avait pas tout de suite fait attention aux hommes armés qui se postaient derrière lui. Seul le regard curieux de la voleuse l'incita à jeter un coup d'œil avant d'intérieurement : paniquer. Être arrêté par la police - ou qu'importe l'organisation qui se trouvait face à lui - n'allait pas aider à ses propres affaires personnelles. 
Mais parler ne servait à rien. Il était inutile de discuter avec une masse grouillante cherchant à faire justice. Il le savait. Alors Gabriel agrippa en effet le poignet de la jeune femme, serrant sa poigne pour redresser un regard complice. Son geste le rendait complice du vol, il le savait, mais il l'assumait. On ne changeait pas de camp aussi facilement et les mauvais se retrouvaient toujours entre eux.

"Je veux juste rentrer chez moi avec la certitude d'être en sécurité." Acquiesça-t-il alors comme pour conclure le marché. Cependant, il ne disait pas accorder une totale confiance à celle qui, d'un instant à l'autre, allait les transporter dans les airs. 

Le coup partit vite lorsqu'il se fit emporter par l'outil d'escalade. N'arrangeant pas les projets du groupe armé, ils prirent suite à l'ordre de leur chef, la décision de tirer à vue et Gabriel put sentir à quelques millimètres de son bras la balle percer son manteau. 

"ATTENTION !" Hurla-t-il alors à la jeune fille comme pour presser une montée qu'elle ne contrôlait pas mais aussi pour l'avertir de faire attention qu'à tout moment... Elle pouvait tomber. 

L'homme d'affaires n'était pas serein à chaque seconde de la traversée et cela jusqu'à l'arrivée au toit qui se fit pourtant, d'un point de vue extérieur, plutôt rapidement. S'étalant au plus vite au sol pour éviter les autres coups de feu, il en perdit vivement son chapeau mais dans la pénombre, ne chercha pas à le récupérer avec urgence. Se savoir encore en vie lui suffisait pour l'instant. 

"L'hélicoptère ne va pas tarder à faire descendre des hommes ici. Nous allons être encerclés dans un instant, c'était une très mauvaise idée ! Autant le vol que... -" Il soupira.

À perdre le contrôle, il perdait son sang-froid. Le styliste rattrapa son chapeau pour le remettre sur sa tête lorsque les projecteurs commençaient à tâter l'immeuble à la recherche de deux silhouettes en mouvements. L'immeuble était haut et la seule sortie n'était tout simplement pas envisageable. Comment dire qu'il n'avait pas non plus confiance en un grappin et deux poids pour les sortir du problème ? On finirait par les retrouver s'ils ne disparaissaient pas... Comme par magie. Gabriel serra les poings.

"J'ai peut-être une idée mais avant tout je veux vous poser une question. Lança-t-il sous la pression. Pourquoi avoir volé cette dague ? Dans quel but ? Est-ce personnel ? Professionnel ? Est-ce pour vous venger ou pour quelqu'un d'autre ?" 

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Il semblait que des deux camps, Gabriel Agreste ait au moins choisi le bon. Sa soirée n'avait pas bien commencé mais elle pouvait encore bien se terminer s'ils menaient à bien une mission dont il ne faisait initialement pas partie. Agacé, pris dans un choix qui n'en était pas vraiment un, il se laissa conduire par une jeune fille qu'il connaissait à peine et qu'il avait tenté d'aider. Les rôles s'étaient inversés. Gabriel retint la leçon pour plus tard. Jusqu'alors, pourtant, les voici piégés sur un toit d'un immeuble sur lequel ils ne virent pas grande issue. Ce n'était pas le moment, se répétait Gabriel, de se faire arrêter par les forces de l'ordre. 
Les forces de l'ordre ?
Il ne savait pas vraiment. Contre qui était-il ? Qui était le bien, qui était le mal ? Cette fille avait volé un objet. Pourquoi ? 

Impossible de réfléchir, la situation pouvait leur échapper à tout moment. Le styliste était habitué aux plans de dernières minutes mais ça ne l'arrangeait pas de procéder à nouveau comme le méchant qu'il était. Ses ennemis lui avaient bien fait comprendre qu'il ne valait mieux pas jouer à nouveau avec le feu. Il hésita alors. Était-il mieux que sa réputation de styliste soit entachée par un casier judiciaire ? Non. Évidemment que non. Il devait prendre une décision rapidement mais cela non pas sans connaître les motivations de son alliée (?). La jeune fille était évidemment coupable de délit. Gabriel voulait savoir qui il défendait sur le moment. 

"On vous a employé... Répéta-t-il pour lui-même. Elle n'était pas au courant de toute l'affaire visiblement. Une seule question vint alors à son esprit pour tenter d'en savoir plus. Qui est-ce ? Qui est votre patron ?" 

Le temps pressait, il fallait agir vite. Si l'homme d'affaires refusait de donner son identité pour ne pas se créer plus de problèmes que prévu, il retint au moins le nom de la jeune fille et acquiesça simplement avant de sortir une broche de sa poche qu'il accrocha à son veston. Un petit animal en sortit. Celui-ci ne comprit pas où il était mais Gabriel n'avait pas le temps de le lui expliquer. 

"Duusu. Transforme-moi." 

Aspiré dans le bijou, l'animal dégagea une énergie magique qui transforma le styliste en un justicier masqué costumé de violet. Sans avoir plus le temps d'expliquer à Kelly de quoi il était question, il recula de quelques pas en redressant un regard vers elle.

"Kelly, écoutez-moi. À partir de votre appel à l'aide, je peux créer une créature capable de vous protéger. De nous protéger ! Il sortit une plume de son costume qui, dans sa paume, ternit en un violet plus foncé. Le coup de vent la fit s'envoler, s'attirant comme un aimant sur le grappin de Kelly. Apparut alors, au-dessus de sa tête, un immense faucon royal aux ailes rouges, au bec doré. Déployant ses grandes ailes, il cachait les deux protagonistes du radar de l'hélicoptère qui flottait au-dessus d'eux. Allons-y ! Cria alors Gabriel en s'accrochant au plumage de l'animal. Il nous aidera à fuir et sera sûrement plus rapide que les forces déployées contre nous !" 

Le faucon était la création de la détresse de Kelly, devenant alors un totem protecteur à la jeune fille tant que Gabriel le décidait. Il n'avait pas souhaité en venir à ces pouvoirs... Mais c'était la seule solution. La seule. De grands battements d'ailes, le faucon emporta Kelly et son partenaire à plusieurs quartiers plus loin. Dans la nuit, il passait inaperçu. Par contre, lui, voyait tout. 

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La jeune femme affirmait qu'il n'était aucunement en danger quelconque. C'était à supposer qu'il devait donc s'en inquiéter ? Gabriel Agreste n'avait pas pris à la légère les mots de l'inconnue, mais malheureusement, pas dans le bon sens. Il se méfiait forcément de qui se cachait derrière cette histoire et même, par dessus tout, si lui pouvait finir par en être impliqué sans le souhaiter. Il y avait déjà un bon dossier de son passé sur son dos, ce n'était pas le moment de jouer les malfrats et d'en accumuler d'autres. Pourtant, à l'aveugle, le styliste avait fait confiance à la jeune rousse et lui demandait maintenant de faire de même lorsqu'il se servit d'elle et du danger dans lequel ils étaient pour créer une créature magique capable de les sortir de là. Ce n'était pas ce qu'il y avait de plus discret mais dans la nuit, pour un pouvoir que très peu connaissaient, Gabriel s'inquiétait déjà moins.

Kelly lui avait fait confiance, elle s'était accrochée avec lui à cette bête inconnue - et pourtant créée d'elle-même - pour sortir de l'impasse dans laquelle ils étaient. Maintenant en sécurité après avoir semé la troupe, le faucon les lâchèrent doucement sur le sol et de là, disparut comme s'il n'avait jamais été. Gabriel redevint l'homme enchapeauté, celui qui refusait de divulguer son identité, même lorsqu'il n'était pas masqué. Il souffla enfin dans le silence de la nuit avant que Kelly ne vienne lui poser, forcément, quelques questions. Il sourit finement en décalant le regard avec distance.

"Ce que vous avez vu est de la magie, c'est vrai, mais... Non. Répondit-il à nouveau sombre. Je ne suis pas magique. J'ai simplement les moyens d'en utiliser."

Il en resta là. C'était préférable, elle était une voleuse après tout. Elle avait en sa possession quelque chose de visiblement très important pour que ces hommes viennent la poursuivre aussi armés. Elle n'était pas personne... Il fallait se méfier. Enfin, il était plus fort que lui que de le penser.

"Pourqu-... Il s'arrêta. Non, laissez tomber. Reprit-il alors avec en hochant négativement la tête sur le côté. Vos affaires ne me concernent pas. Je ne connais pas votre patron et je ne sais pas pourquoi vous vous mettez en danger pour lui mais... Son regard se redressa alors vers la jeune femme qu'il discernait tout juste dans l'obscurité, éclairé par un lampadaire. Il songeait un instant à qui elle pouvait être. Elle semblait si jeune et déjà très expérimentée. Vous avez sûrement de bonnes raisons."

Impossible pour Gabriel de s'ouvrir plus que cela à la discussion. Il en avait, pourtant, des questions, sur ce qu'elle faisait, pour qui elle le faisait et pourquoi elle le faisait. Dans quel but ? C'était ridicule, Gabriel savait déjà que les organisations criminelles ou autres réseaux illégaux couraient les rues depuis la nuit des temps et que parfois, ceux qui les faisaient vivre n'avaient pas de raisons particulières à y entrer. Ils étaient payés et ça leur suffisaient. Parfois, il ne faut pas poser de questions...

Se refusant à chercher plus loin, il observa un instant les alentours avant de soupirer.

"Je ne connais pas cette partie de la ville où le faucon nous a déposé. Il faut dire, il n'est pas simple de se repérer à une heure pareille de la nuit. Puis remontant les yeux sur sa partenaire. Vous savez où nous nous trouvons ?"